Статті в журналах з теми "Parlements – Europe du Centre-Est"

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Gallichan, Gilles. "Les Parlements et leurs bibliothèques, ou les chemins documentaires de la démocratie." Documentation et bibliothèques 47, no. 4 (May 13, 2015): 145–48. http://dx.doi.org/10.7202/1030374ar.

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Анотація:
Cet article offre un survol de l’apparition des premières bibliothèques parlementaires et législatives dans le monde atlantique au début du XIXe siècle. On constate que ces bibliothèques, tant en Europe qu’en Amérique, ont accompagné les premiers pas des institutions démocratiques. Dans le Nouveau Monde, on a développé un modèle de bibliothèque nationale et parlementaire dont la Bibliothèque du Congrès de Washington est l’exemple ultime. Ailleurs, comme au Québec, pour des raisons historiques, les bibliothèques nationale et parlementaire sont aujourd’hui des institutions distinctes.
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Rosa, Audrey. "Existe-t-il un droit fiscal de l’Union européenne ?" Gestion & Finances Publiques, no. 4 (July 2020): 109–14. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2020.4.019.

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Анотація:
Le droit fiscal européen est singulier. Il assure la conciliation des deux ordres juridiques superposés et permet une régulation souple des politiques fiscales en Europe. Il évolue en intégrant de nouvelles finalités qui relèvent de la justice fiscale. Mais, son autonomie ne peut résulter que de l’abandon de la règle de l’unanimité et le renforcement des pouvoirs du Parlement européen.
3

Rupnik, Jacques. "Pouss�es nationales-populistes en Europe du Centre-Est." Apr�s-demain N�43,NF, no. 3 (2017): 26. http://dx.doi.org/10.3917/apdem.043.0026.

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4

Mihail, Zamfira. "Interdépendance des cultures du Sud-Est et du Centre-Europe." Études Balkaniques-Cahiers Pierre Belon N° 3, no. 1 (1996): 167. http://dx.doi.org/10.3917/balka.003.0167.

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5

Rupnik, Jacques. "Démocrature en Europe du Centre-Est : trente ans après 1989." Pouvoirs N°169, no. 2 (2019): 73. http://dx.doi.org/10.3917/pouv.169.0073.

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6

Loughlin, John, and Daniel L. Seiler. "Le Comité des Régions et la supranationalité en Europe." Études internationales 30, no. 4 (April 12, 2005): 763–80. http://dx.doi.org/10.7202/704088ar.

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Анотація:
On peut trouver les origines de l'idée de représentation des régions au sein des institutions européennes dans la pensée politique « corporatiste » de la démocratie chrétienne ainsi que dans les courants régionalistes des années cinquante. Ce dont il faut rendre compte, ce n'est pas de la mise en oeuvre de cette conception mais du caractère tardif de sa concrétisation. C'est la crise économique des pays capitalistes au cours des années soixante-dix qui entraîna la nécessaire réforme de l'État et la relance de la construction européenne, en particulier la refonte de la politique régionale communautaire. Ces transformations ont constitué un facteur de mobilisation des régions et d'émergence du projet d’« Europe des régions » initié par les Länder allemands ; elles ont abouti à la création du Comité des régions par le traité de Maastricht. Si, du point de vue constitutionnel, le Comité est très faible, du point de vue politique, en tant que facteur de mobilisation des régions et instance de communication, il est toutefois doté d'un fort potentiel et pourrait connaître une évolution qui l'apparente à celle du Parlement européen. Le Comité ne s'est pas vraiment encore imposé sur le plan international ; il fait plutôt figure de laboratoire d'idées, au sein duquel les régions et les villes peuvent faire l'apprentissage de l'action au niveau international.
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Fuà, Giorgio. "Les voies diverses du développement en Europe." Annales. Histoire, Sciences Sociales 40, no. 3 (June 1985): 579–603. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1985.283185.

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Анотація:
Depuis plusieurs années, un groupe d'économistes — surtout, mais pas exclusivement, italiens et espagnols — se consacre à l'étude des problèmes spécifiques des pays européens qui ont connu un développement économique récent. La rédaction des Annales m'ayant invité à présenter les résultats de ces travaux, je ne proposerai pas ici une synthèse générale, qui n'aurait pas grand intérêt, mais m'attacherai plutôt à deux thèmes :a. J'indiquerai tout d'abord les caractéristiques particulières qui distinguent les pays européens dont le développement est plus récent (désignés désormais par le sigle PDR) de ceux dont le développement est plus ancien (PDA), et les facteurs qui rendent compte de ces différences.b. Je prendrai en second lieu un exemple particulier, qui démontre comment une zone qui fait partie des PDR peut trouver une voie de développement qui lui convient : il s'agit de l'industrialisation de l'Italie du Nord-Est et du Centre («modèle NEC »).
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Grandsenne, Florence. "Les intellectuels français face aux crises du communisme en Europe du Centre-Est (1956-1981)." Labyrinthe, no. 7 (October 30, 2000): 164–66. http://dx.doi.org/10.4000/labyrinthe.731.

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9

Le Baillif, Anne-Marie. "Paris, « un lieu centre de tous les centres ». Est-ce toujours d’actualité ?" Interlitteraria 25, no. 2 (December 31, 2020): 435–42. http://dx.doi.org/10.12697/il.2020.25.2.14.

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Анотація:
Paris, “The Centre of All Centres”. Is It Still the Case? In La République Mondiale des Lettres published in 1999 and 2008, Ms. Casanova wrote: “Paris is the Greenwich meridian for literature” for the 19th and 20th centuries. Writers and artists have come to the city in the past because it was extremely attractive for creative and economic reasons. But at the beginning of the 21st century, with the rise of the New Media for writing, publishing and diffusing, is it correct to say that Paris is still supreme? Is location more important than the time devoted to writing and reading? The claims on which Ms. Casanova builds her assertions are not supported by the facts of recent history and geography. She refers to “La belle santé économique et la liberté” in Paris but she forgot to mention why artists came from central Europe. It was just because the life was cheaper in Paris than in Berlin, as Walter Benjamin observed in 1926. She notes that Paris was the world centre for high fashion and that writers came together there to be inspired by the place and each other. But these things are no longer true: Paris is one of the most unaffordable cities in the world. Fashion in clothes is determined in many centres, with fashion weeks held in New York, Milan and China; aesthetics no longer depend on a single country. Literary creativity has spread across many continents and the internet and social media provide access to millions of people around the globe. Globalisation has unified the world, note Jean-Philippe Toussaint and Sylvain Tesson, and brought the standardization of cultures. There is also the matter of the dominant language today. The French language has not changed since Ms. Casanova was doing her research, but French writers now dream of being translated into English to reach the largest audience around the world. Publishers also favour English to make the most profit because literature and art are now worldwide commodities. Writers and researchers use the Internet, which connects them with documents, libraries and people all over the world. Newspapers such as Le Monde and Le Figaro in France provide literary reviews from around the world; for example, Histoire de la Traduction Littéraire en Europe Médiane, compiled by Antoine Chalvin, Marie Vrinat-Nikolov, Jean-Léon Muller and Katre Talviste, was written up in Cahiers Littéraires du Monde. What about the readership? If publishing and merchandizing are accelerating and globalizing because of how the Internet changes time and distance, the writer still has to follow the rhythm of the subject.
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Le Baillif, Anne-Marie. "Paris, « un lieu centre de tous les centres ». Est-ce toujours d’actualité ?" Interlitteraria 25, no. 2 (December 31, 2020): 435–42. http://dx.doi.org/10.12697/il.2020.25.2.14.

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Анотація:
Paris, “The Centre of All Centres”. Is It Still the Case? In La République Mondiale des Lettres published in 1999 and 2008, Ms. Casanova wrote: “Paris is the Greenwich meridian for literature” for the 19th and 20th centuries. Writers and artists have come to the city in the past because it was extremely attractive for creative and economic reasons. But at the beginning of the 21st century, with the rise of the New Media for writing, publishing and diffusing, is it correct to say that Paris is still supreme? Is location more important than the time devoted to writing and reading? The claims on which Ms. Casanova builds her assertions are not supported by the facts of recent history and geography. She refers to “La belle santé économique et la liberté” in Paris but she forgot to mention why artists came from central Europe. It was just because the life was cheaper in Paris than in Berlin, as Walter Benjamin observed in 1926. She notes that Paris was the world centre for high fashion and that writers came together there to be inspired by the place and each other. But these things are no longer true: Paris is one of the most unaffordable cities in the world. Fashion in clothes is determined in many centres, with fashion weeks held in New York, Milan and China; aesthetics no longer depend on a single country. Literary creativity has spread across many continents and the internet and social media provide access to millions of people around the globe. Globalisation has unified the world, note Jean-Philippe Toussaint and Sylvain Tesson, and brought the standardization of cultures. There is also the matter of the dominant language today. The French language has not changed since Ms. Casanova was doing her research, but French writers now dream of being translated into English to reach the largest audience around the world. Publishers also favour English to make the most profit because literature and art are now worldwide commodities. Writers and researchers use the Internet, which connects them with documents, libraries and people all over the world. Newspapers such as Le Monde and Le Figaro in France provide literary reviews from around the world; for example, Histoire de la Traduction Littéraire en Europe Médiane, compiled by Antoine Chalvin, Marie Vrinat-Nikolov, Jean-Léon Muller and Katre Talviste, was written up in Cahiers Littéraires du Monde. What about the readership? If publishing and merchandizing are accelerating and globalizing because of how the Internet changes time and distance, the writer still has to follow the rhythm of the subject.
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Garde, Paul. "Langue et nation : Le cas serbe, croate et bosniaque." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 8 (April 9, 2022): 123–48. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.1996.1908.

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Анотація:
L’opinion courante en Europe Occidentale admet qu’il existe une certaine correspondance entre langue et nation. La plupart des noms de nation sont aussi des noms de langue : français, suédois, italien, etc., même s’il existe des langues plurinationales comme le français, l’anglais, l’espagnol, et des nations plurilingues, comme la Suisse. En Europe Centrale et Orientale, le rapport biunivoque entre nation et langue a été affirmé plus fort encore : dans la conception centre-européenne de la nation, issue de Fichte et Herder, il est admis que la langue est un des attributs essentiels de la communauté nationale, et donc que chaque nation a sa langue et chaque langue sa nation. Pourtant, c’est justement dans cette partie de l’Europe que la correspondance est la plus incertaine, parce que la science ne propose pas de critère sûr pour définir les entités en cause et tracer leurs limites : les politologues hésitent à délimiter la nation, et les linguistes à déterminer la langue. Si la nation se définit par la « volonté de vivre ensemble », comme le veut Renan, qui déterminera cette volonté ?
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Cachera, D., F. Balen, and S. Charpentier. "Patients présentant un syndrome coronarien aigu avec sus-décalage du segment ST admis en structure d’urgence après régulation par un Centre 15." Annales françaises de médecine d’urgence 9, no. 5 (June 30, 2019): 284–88. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2019-0167.

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Анотація:
Introduction: La cardiopathie ischémique est une des principales causes de mortalité en Europe. Cette mortalité importante est l’apanage particulier des syndromes coronariens avec élévation du segment ST (SCA ST+). Si la prise en charge préhospitalière de ces patients (de l’appel à la table de coronarographie) est sous la responsabilité des Samu, certains patients échappent à la filière malgré un appel au Centre 15. Notre objectif était de décrire ces patients porteurs d’un SCA ST+, admis en structure d’urgence (SU) après régulation par un Centre 15.Méthode: Il s’agit d’une étude observationnelle de cohorte rétrospective incluant tous les patients admis en SU du CHU de Toulouse du 1eravril 2015 au 31 janvier 2017 avec un diagnostic final de SCA ST+.Résultats: Sur les 139 patients qui ont été admis en SU pour SCA ST+, 96 (69 %) avaient contacté le Centre 15. Les dossiers de 89 patients ont été analysés. On retrouve une importante proportion de patientes de plus de 75 ans, qui représentent un quart de la population. Seulement 30 patients (34 %) présentaient une douleur typique.Discussion: Notre étude retrouve un taux de douleurs atypiques et une proportion de femmes âgées plus importante que la littérature portant sur la description des patients porteurs de SCA ST+. Ces atypies de présentation peuvent expliquer la difficulté à réguler et orienter ces patients.
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Millet, Audrey. "Le corps de la mode. Histoire sociale de la mesure de l’Homme (Europe, 16e-19e siècle)." dObra[s] – revista da Associação Brasileira de Estudos de Pesquisas em Moda, no. 30 (December 1, 2020): 204–22. http://dx.doi.org/10.26563/dobras.i30.1241.

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Анотація:
De l’Homme de Vitruve à S, M et L du 19e siècle, la mesure est au centre de la définition du corps humain et des modes. Sans mesures, pas de vêtement: le corps disparaît. L’enjeu de cet article est de proposer une série de questionnements pour comprendre la participation des praticiens du corps – du tailleur au perruquier – dans les changements de paradigmes imposant une nouvelle conception de l’Homme et un nouveau corps. L’histoire du corps et sa captation par les praticiens permet de compléter une vue de l’histoire de l’habillement : celle de la première enveloppe charnelle qui sert de support aux vêtements et aux artifices des apparences. Les transformations sociales et politiques du 19e siècle en Europe ont souvent été étudiées à partir des normes et des mesures coercitives. Néanmoins, je propose de renouveler les questionnements, et notamment d’examiner comment les savoirs corporels influencent le corps humain et nourrissent les réflexions depuis l’anthropométrie de la Renaissance jusqu’aux progrès technologiques de la première industrialisation. La fabrication des corps est un lieu d’excellence pour comprendre la dynamique de scientifisation qui touche l’Europe occidentale durant quatre siècles. Le corps est le moyen d’expression des normes économiques, sociales et politiques. À la croisée d’une histoire sociale des pratiques corporelles, de l’anthropologie des techniques et de l’épistémologie de l’esthétique, je propose d’interroger une histoire de la mesure de l’Homme à partir des savoirs des praticiens du corps.
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ZOLBERG, Vera L. "Le Musée des Beaux-Arts, entre la culture et le public : Barrière ou facteur de nivellement?" Sociologie et sociétés 21, no. 2 (September 30, 2002): 75–90. http://dx.doi.org/10.7202/001847ar.

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Анотація:
Résumé L'art conçu comme capital culturel est au centre des recherches de sociologues tels que Pierre Bourdieu et ce concept est pertinent à l'analyse des musées d'art dans la société contemporaine. À la différence du niveau d'instruction, le goût artistique se conçoit comme une affaire individuelle sans grande importance sociale. Je critique cette position à la lumière de l'étude de Bourdieu et Darbel concernant les publics des musées d'art, je compare leurs résultats avec ceux des recherches actuelles en Europe et aux États-Unis, et je mets en doute les preuves de la relation entre le goût et la mobilité sociale. Le musée d'art peut devenir un facteur de nivellement plutôt qu'une barrière à l'égalité, mais tant qu'il subsiste des inégalités en matière d'éducation et de profession, ce programme a peu de chances de se réaliser.
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Gargaun, Elena. "Les oligonucléotides anti-sens dans la SMA." médecine/sciences 35 (November 2019): 11–14. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019181.

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Анотація:
Une révolution est actuellement en cours dans le domaine des maladies neuromusculaires avec l’arrivée de nouvelles thérapies. L’amyotrophie spinale (SMA ou spinal muscular atrophy) est parmi les maladies pionnières de ce bouleversement thérapeutique. Le premier traitement approuvé et mis sur le marché en Europe et aux États-Unis est un oligonucléotide antisens dénommé nusinersen et commercialisé par le laboratoire Biogen sous le nom de Spinraza®. Il a comme indication les SMA de types 1, 2 et 3. La première injection de Spinraza® dans le cadre d’une ATU/EAP (Autorisation Temporaire d’Utilisation/Expanded Access Program ou programmes d’accès étendu) a été réalisée en France par le centre d’essais l-Motion. Les résultats des essais cliniques et des données de la littérature sur l’utilisation du nusinersen dans la SMA infantile sont discutés dans cette revue. Ces études rapportent une amélioration de la fonction motrice chez les patients SMA tous types confondus y compris les patients de type 3 [1, 2]. Une administration précoce du traitement s’accompagne d’une meilleure réponse clinique. Une meilleure compréhension de l’hétérogénéité génétique et clinique devient indispensable dans le monitoring et le suivi à long terme de ces patients.
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Rieucau, Jean. "Dualisme urbain et glissement du centre décisionnel, de la cité prétouristique à la ville touristique, dans l’Espagne méditerranéenne du début du XXIe siècle." Cahiers de géographie du Québec 48, no. 133 (December 22, 2004): 47–70. http://dx.doi.org/10.7202/009762ar.

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Анотація:
Résumé Sur l’Arc méditerranéen, le tourisme de masse, depuis les années 1960, a façonné des villes duelles (agriculture/tourisme, pêche/tourisme, quartier permanent/quartier saisonnier). Deux grands types de stations opposent des appendices récréatifs, greffés sur des noyaux villageois, à des « stations planifiées », créées ex nihilo. Dans le premier type, dominant sur le littoral méditerranéen espagnol, la centralité urbaine s’est déplacée de la cité prétouristique à la ville touristique en quarante ans de développement de l’activité distractive. L’éclosion de sociétés mobiles et multirésidentes, en Europe, depuis les années 1990, contribue à accélérer cette tendance, qui est à l’origine du fonctionnement d’importantes discontinuités spatiales, sociétales et culturelles entre les différentes composantes urbaines.
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Roult, Didier. "Hydro Energy & Sustainability – Synthèse de la conférence internationale organisée par la SHF, les 29 et 30 janvier 2019 à Grenoble." La Houille Blanche, no. 2 (April 2019): 117–21. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019021.

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Анотація:
L'hydroélectricité reste la plus importante des énergies renouvelables. Ses apports au système énergétique sont indéniables. Offrant à la fois la possibilité de stockage à différentes échelles de temps (de l'heure à l'année), une grande flexibilité et permettant de répondre aux besoins de services systèmes, l'hydroélectricité joue un rôle essentiel dans la transition énergétique. L'hydroélectricité participe largement au développement économique des territoires. L'usage multiple de l'eau (eau potable, irrigation, soutien d'étiage, navigation) est devenu la règle. Au-delà de la production énergétique, elle est au centre des enjeux liés à la gestion des ressources en eau et au développement des territoires. Mais, dans un contexte énergétique en pleine mutation, l'hydroélectricité doit s'adapter. La question environnementale reste une priorité, avec notamment de nombreuses solutions à apporter sur la continuité piscicole, reposant sur des actions de recherche et d'innovation importantes. De nouvelles technologies sont testées, telles que le couplage énergie photovoltaïque/ STEP, l'installation d'hydroliennes fluviales, et un nouveau regard est porté sur l'énergie des marées. Ce document présente une synthèse de la conférence internationale HydroES 2019 ≪ Quel avenir voulons-nous pour l'hydroélectricité en France et en Europe ? », organisée par la SHF et accueillie par INP ENSE3 à Grenoble, les 29 et 30 janvier 2019.
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Meyer-Sahling, Jan-Hinrik. "Des héritages multiples : Compte rendu critique des explications sur l'héritage de la réforme de l'administration publique en Europe du centre-est." Revue Internationale des Sciences Administratives 75, no. 3 (2009): 561. http://dx.doi.org/10.3917/risa.753.0561.

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Knibbe, Kim. "'We did not come here as tenants, but as landlords': Nigerian Pentecostals and the Power of Maps." African Diaspora 2, no. 2 (2009): 133–58. http://dx.doi.org/10.1163/187254509x12477244375058.

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Abstract This article is an attempt to show how the spaces in which African Christians in Amsterdam can move are produced by the mapping of various actors and the geographies that are created based on these maps. It first situates and describes a Nigerian-initiated Pentecostal church within global cultural flows, in relation to Nigeria and in relation to the Netherlands. In the view of many African Pentecostals, Europe, and by extension the Netherlands and Amsterdam, are territories which should be won back for Jesus. Subsequently, I show how 'producing the local' is crucially important to the goals of this church and how this relates to mapping and the production of religious geographies. The last part of this paper analyses how one particular location of this church, namely the South East of Amsterdam, shows up on a very different map that pinpoints this neighbourhood as a centre of Nigerian crime. In both cases, maps turn out to be a powerful means to mobilise money and people to produce long-lasting results. Cet article tente de montrer comment les espaces dans lesquels les Africains chrétiens d'Amsterdam peuvent se mouvoir sont produits par la stratégie d'acteurs variés et que les géographies créées sont basées sur ces plans. Il situe et décrit d'abord l'église pentecôtiste nigériane dans les flux culturels globaux entre le Nigeria et les Pays-Bas. L'Europe, et par extension les Pays-Bas et Amsterdam, est un territoire que Jésus devrait récupérer. Par la suite, je montre que « produire une localité » est extrêmement important pour cette église et comment cela se rapporte à la stratégie et à la production de géographies religieuses. La dernière partie de cet article montre qu'une localisation particulière de cette église, à savoir le sud-est d'Amsterdam, révèle une carte très diff érente qui indique les alentours comme un centre du crime nigérian. Dans les deux cas, les cartes se révèlent un moyen puissant pour mobiliser des gens et des ressources afin de produire des résultats durables.
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Amar, Johanna, Tristan Lebaud, and Cecilia Gomes Pires. "Musique et nation dans l’entre-deux-guerres (Europe-Amériques). Compte rendu de la journée d’étude inaugurale du projet de recherche, 10 décembre 2015, Maison de la Recherche, Paris." Comptes rendus 4, no. 2 (February 8, 2018): 216–19. http://dx.doi.org/10.7202/1043229ar.

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Le 10 décembre 2015 se tenait à la Maison de la Recherche à Paris la journée d’étude Musique et nation dans l’entre-deux-guerres (Europe-Amériques). Musicologues et historiens ont questionné l’articulation du fait musical et de l’idée nationale dans les démocraties de l’entre-deux guerres. Ce lien avait déjà fait l’objet de diverses études pour le xixe siècle et les régimes autoritaires. La journée d’étude est la première étape d’un projet de recherche international coordonnée par le Centre d’Histoire Culturelle des Sociétés Contemporaines de l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, le laboratoire Synergies Langues Arts musique (slam) de l’Université d’Evry-Val d’Essonne et l’Institut de Recherche en Musicologie (cnrs, Université Paris-Sorbonne). Le lien entre « musique et nation » fut à nouveau questionné lors d’un colloque en 2016 à Manchester puis prochainement en octobre 2018 à Montréal.
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Lebègue, Laurent, Daniel Greslou, Gwendoline Blanchet, Françoise De Lussy, Sébastien Fourest, Vincent Martin, Christophe Latry, et al. "Pléiades-HR satellites image quality commissioning." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 209 (January 11, 2015): 5–10. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.137.

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Pleiades est le système d'observation de la Terre civil le mieux résolu développé en Europe. Ce programme d'imagerie est conduit par le Centre National d'Etude Spatial français (CNES). Le premier satellite a été lancé le 17/12/2011 et le second le 02/12/2012. Chaque satellite est conçu pour fournir des images optiques aux utilisateurs civils et défense. Les images sont acquises simultanément en Panchromatique (PA) et multi-spectral (XS), ce qui permet en condition d'acquisition nadir d'obtenir des scènes de 20 km de large, en couleurs naturelles ou fausses couleurs, avec une résolution de 70 cm sur les produits PA+XS fusionnés. La couverture est quasi-mondiale avec une période de revisite de 24h avec les 2 satellites.L'évaluation de la Qualité Image et les opérations d'étalonnage ont été réalisées par l'équipe Qualité Image du CNES pendant les recettes en vol de 6 mois qui ont suivi le lancement de chacun des satellites. Ces activités couvrent plusieurs thèmes comme l'étalonnage absolu, le calcul des coefficients d'égalisation, les opérations de refocalisation, l'estimation de la FTM, l'étalonnage du modèle géométrique, l'estimation de la précision de localisation, la registration multi-spectrale, les stabilités statiques et dynamiques, les précisions planimétriques et altimétriques. Ces opérations nécessitent des réglages spécifiques de la charge utile ainsi que des guidages particuliers de la plateforme du satellite. Les nouvelles capacités offertes par l'agilité des satellites Pleiades nous ont autorisées à imaginer de nouvelles méthodes d'étalonnage et de mesures des performances.Après quelques rappels sur les caractéristiques principales des satellites, la présentation décrit les opérations d'étalonnage qui ont été menées pendant les recettes en vol et fournit les principaux résultats de Qualité Image.
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Herlea, Alexandre. "Un patrimoine encore interdit ?" Ethnologies 39, no. 1 (August 30, 2018): 189–204. http://dx.doi.org/10.7202/1051059ar.

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Le Mémorial des victimes du communisme et de la résistance de Sighet occupe une place de grande importance dans le contexte de la sortie du communisme et de la construction d’un monde basé sur les valeurs universelles correctement hiérarchisées. Il s’agit du premier mémorial des victimes du communisme au monde, fondé en 1993 et nommé en 1998 par le Conseil de l’Europe parmi les trois premiers lieux de la mémoire européenne, à côté du Mémorial d’Auschwitz et du Mémorial de la Paix de Caen. La mémoire du communisme en Roumanie est-elle aujourd’hui encore un « patrimoine interdit » ? Pour tenter de répondre à cette difficile question, il convient d’abord de développer quelques considérations sur la Roumanie après la chute du communisme, ses rapports avec son passé et la manière dont celui-ci est géré tant au niveau du pouvoir – des autorités et des institutions – que de l’opinion publique, c’est-à-dire des mentalités, en prenant en compte le contexte plus général en Europe et dans le monde. L’analyse portera ensuite sur le Mémorial Sighet, formé d’un Musée et d’un Centre international d’études sur le communisme, son histoire, ses réalisations et sa place dans le combat pour la connaissance et la diffusion de la vérité historique.
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Subrahmanyam, Sanjay. "Ceci n’est pas un débat…" Annales. Histoire, Sciences Sociales 57, no. 1 (February 2002): 195–201. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2002.280037.

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Il convient tout d’abord de rappeler au lecteur le contexte de la publication de mon essai: « Du Tage au Gange au XVIe siècle: une conjoncture millénariste à l’échelle eurasiatique ». Depuis quelques années, le problème du rapport épistémologique entre l’histoire européenne et l’histoire non européenne est au centre des débats en Europe. Nous nous trouvons confrontés à deux modèles dominants: le premier considère l’histoire non européenne comme purement exotique et autonome, sans importance pour le «vrai » champ historique – autrement dit l’histoire européenne; le deuxième conçoit le monde non européen comme un espace où les Européens agirent dans le cadre de leur « expansion » à l’époque moderne, mais qui ne contribuait en rien à l’histoire du centre. C’est ce deuxième modèle que l’on trouve le plus souvent dans les histoires traditionnelles étudiant les empires européens, telles qu’elles sont produites encore aujourd’hui en Angleterre ou au Portugal. Sur le plan institutionnel, confiner l’histoire non européenne dans le cadre des « aires culturelles » (en anglais: area studies) a paru hautement problématique à un certain nombre d’entre nous, ce qui m’a encouragé (en collaboration avec Serge Gruzinski) à proposer une série de réflexions autour de ce sujet. Les Annales ont publié nos deux textes sous forme de dossier, ainsi que celui de R. Bin Wong, avec des commentaires de Maurice Aymard et Roger Chartier, tout en invitant ses lecteurs à un débat sur les « conditions de possibilités, aujourd’hui, d’une autre histoire globale ».
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Wittgens, Herman J. "War Guilt Propaganda Conducted by the German Foreign Ministry During the 1920s." Historical Papers 15, no. 1 (April 26, 2006): 228–47. http://dx.doi.org/10.7202/030859ar.

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Résumé Après la signature du Traité de Versailles, à la suite de la première guerre mondiale, le Ministère des Affaires étrangères de l'Allemagne mena une véritable campagne de propagande contre l'article 231 de ce traité qui, à ses yeux, était de nature à engendrer un sentiment de culpabilité en Allemagne parce qu'il constituait une certaine condamnation morale du peuple allemand. L'auteur se penche ici sur les moyens qu'ont pris, tour à tour, le Kriegsschuldreferat (Section étudiant la culpabilité face à la guerre), le Zentralstelle fur Erforschung der Khegsursachen (Centre d'étude des causes de la guerre) ainsi que le comité directeur de toute cette entreprise, soit le Arbeitsausschuss Deutscher Verbande (Comité de coordination des Associations allemandes) pour enrayer ce sentiment de culpabilité que ressentait le peuple allemand vis-à-vis de la guerre. Selon lui, il est difficile d'évaluer le succès de cette campagne de propagande tellement il y a d'éléments divers qui s'y sont greffés; cependant, elle s'intègre fort bien dans le mouvement révisionniste que l'on observe à l'époque tant en Europe qu'en Amérique; de plus, certains estiment même qu'elle a contribué à accroître l'impopularité déjà grandissante du Traité de Versailles en ce début des années 1920.
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Hopkin, David. "Les religieux et la culture vernaculaire en Europe : un aperçu et un exemple." Port Acadie, no. 24-25-26 (October 31, 2013): 424–49. http://dx.doi.org/10.7202/1019149ar.

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Le rôle joué par les religieux tant dans la collecte que dans la valorisation des traditions orales n’est pas spécifique à la Bretagne ni au Canada francophone : les religieux sont tout aussi présents parmi les folkloristes et ethnographes d’autres régions de l’Europe. Et les mêmes questions peuvent être posées sur leur implication dans la culture populaire : leur investissement a-t-il à voir avec leur vocation religieuse (ou était-ce simplement un résultat fortuit chez une personne cultivée au fait des tendances littéraires qui vit en étroite relation avec la culture rurale) ? Comment ont-ils surmonté l’hostilité religieuse pour certains éléments douteux de la culture populaire, et l’association du populaire et de la superstition ? Y avait-il notamment des réseaux cléricaux autour des savoirs populaires qui diffusaient des modèles de comportement en matière de collecte ? Y avait-il une conception spécifiquement catholique ou protestante de la valeur du folklore ? Comment la position d’autorité des prêtres au sein de la communauté a-t-elle influé sur leur pratique de collecte ? Comment ont-ils répondu à la politisation de la religion ? Quel est l’impact de toutes ces considérations sur les matériaux qu’ils ont recueillis et sur la façon dont ils les ont diffusés auprès du public ? Après un court résumé de la place des religieux dans la collecte folklorique en Europe depuis le dix-huitième siècle, ce chapitre considère trois motifs qui ont poussé les religieux à s’intéresser à la culture vernaculaire : le sens du merveilleux ; le problème de survivances païennes, et les savoirs linguistiques au service des missions. Pour conclure on prend l’exemple du père Louis Pinck, l’un des religieux les plus redoutables dans le Reichsland Elsass-Lothringen, et personnage controversé dans l’histoire mouvementée de l’Alsace et de la Lorraine entre les deux guerres. Si les cinq volumes du Weisen Verklingende de Pinck sont l’un des grands monuments de la collecte de la chanson folklorique en France au xxe siècle, leur forme doit beaucoup à l’influence de ses préoccupations religieuses et sacerdotales. La Lorraine présente un point commun avec la Bretagne et le Canada francophone : la politique linguistique y a également été au centre des activités de collecte.
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Vasseur-Bacle, S., J. L. Roelandt, and C. Noel. "Empowerment en santé mentale : recommandations et perspectives." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S89—S90. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.386.

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L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit l’empowerment comme faisant « référence au niveau de choix, de décision, d’influence et de contrôle que les usagers des services de santé mentale peuvent exercer sur les événements de leur vie (…). La clé de l’empowerment se trouve dans la transformation des rapports de force et des relations de pouvoir entre les individus, les groupes, les services et les gouvernements » (Wallerstein, 2006). L’OMS mentionne également les aidants dans le Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être (2004, 2007) : « L’empowerment des personnes avec un problème de santé mentale et des aidants sont des priorités pour la prochaine décennie ». Suite aux 4e rencontres internationales du centre collaborateur de l’OMS pour la recherche et la formation en santé mentale (CCOMS, Lille, France), 21 recommandations en faveur de l’empowerment des usagers des services de santé mentale et des aidants ont été définies (document disponibles : http://www.ccomssantementalelillefrance.org/?q=promotion-des-indicateurs-d%E2 %80 %99empowerment). Cette première étape est le fruit d’un travail conjoint entre usagers, aidants, élus et professionnels. Une seconde étape, en cours, consiste à associer des indicateurs d’empowerment permettant de dresser une cartographie de l’empowerment en santé mentale en Europe. Cette communication présentera le concept d’empowerment en santé mentale, la promotion de cette notion par l’OMS et les 21 recommandations. La discussion portera sur la question fondamentale suivante : comment promouvoir de manière concrète ces recommandations ?
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Gerbaud, Florent, and Georgette Zrinscak. "La crise des élevages est-allemand et tchèque, facteur d'une nouvelle géographie de l'agriculture centre-européenne (The breeding activities crisis in Czech Republic and former GDR and the new agricultural geography of Central Europe)." Bulletin de l'Association de géographes français 74, no. 2 (1997): 199–214. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.1997.1970.

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Iordachi, Constantin. "Reconceptualizing the Social: East Central Europe and the New Sociocultural History Repenser le social : l'Europe du Centre-Est et la nouvelle histoire socioculturelle Die Wiederverjüngung des Sozialen: Ostmitteleuropa und die neue sozio-kulturelle Geschichte." East Central Europe 34, no. 1 (June 1, 2007): 1–35. http://dx.doi.org/10.1163/187633007789886117.

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Bacon, Marie-Hélène, Louise Vandelac, and Sébastien Petrie. "Pesticides: Le Talon d’Achille des politiques alimentaires canadiennes et québécoises." Canadian Food Studies / La Revue canadienne des études sur l'alimentation 5, no. 3 (September 30, 2018): 153–81. http://dx.doi.org/10.15353/cfs-rcea.v5i3.274.

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Comment expliquer que le projet de politique alimentaire du Canada ignore le dossier des pesticides alors que la récente politique bioalimentaire du Québec évoque vaguement la question, mais sans engagements significatifs? Pourquoi évacuer ainsi l’analyse des enjeux et des effets sanitaires et environnementaux préoccupants des pesticides et notamment du glyphosate, premier pesticide au monde, en croissance exponentielle, qui, déclaré cancérogène probable par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) (IARC, 2015), constitue au Canada 56 pour cent des pesticides agricoles et 44 pour cent de ceux du Québec (Santé Canada, 2017a; MDDELCC, 2017)? Presqu’omniprésent dans les champs, les cours d’eau agricoles et dans 30 pour cent des aliments au Canada, le glyphosate est l’objet de vives controverses scientifiques et citoyennes dans le monde entier (Robin, 2008, 2018). En Europe, sa ré-autorisation, suite à deux ans de vives controverses a été limitée à 5 ans. Aux États-Unis, 3,500 victimes d’un lymphome non-hodgkinien attribué au Roundup, premier herbicide à base de glyphosate (HBG) en importance au monde, poursuivent en justice son principal fabricant Monsanto (Gonzague & Michel, 2017) alors qu’en France et en Argentine, des poursuites pour malformations congénitales s’amorcent également contre Monsanto (Foucart, 2018). Cet article examine, dans une approche interdisciplinaire et intersectorielle, les facteurs de la montée en puissance des HBG, leurs principaux effets sur l’environnement et la santé, et les lacunes d’évaluation et d’encadrement des pesticides, contribuant à leur diffusion massive et à leurs effets. Il met aussi en évidence que les projets et politiques alimentaires canadiennes et québécoises, centrés sur le développement de modèles agro-industriels intensifs et technicisés d’exportation soumis à une conception de croissance économique, sont peu compatibles avec les exigences de protection de la biodiversité, de la santé et de la sécurité alimentaire. Or, dans un contexte de globalisation des marchés et d’accords de libre-échange avec l’Europe, plus soucieuse du Principe de Précaution et de droits des consommateurs, la négligence de ces enjeux écologiques et sanitaires risque d’en constituer le talon d’Achille.
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DOREAU, M., R. BAUMONT, and J. M. PEREZ. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 24, no. 5 (December 8, 2011): 411–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3274.

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Les impacts environnementaux liés aux productions animales sont pris en considération depuisau moins deux décennies. Mais jusqu’à une date récente, ils étaient considérés comme des «dommagescollatéraux» résultant de la nécessité de nourrir la planète. Depuis le rapport de la FAO«Livestock’s long shadow» (Steinfeld et al 2006), les préoccupations environnementales liées enparticulier aux gaz à effet de serre (GES) ont pris une importance croissante auprès des acteursdes filières animales et des décideurs politiques. Elles sont désormais au centre de la réflexion surle développement de l’élevage. En témoignent des documents dépassant le cadre de l’agriculturecomme la publication des propositions du «Grenelle 2» par le gouvernement français, ou la feuillede route de l’Union Européenne pour une baisse drastique des émissions de gaz carbonique àl’échéance de 2050. En fait, le problème est planétaire, car la consommation mondiale de produitsanimaux augmente, tendance appelée à se poursuivre en raison de l’évolution démographiqueet de l’accroissement de la part des produits animaux dans l’alimentation dans les pays endéveloppement et émergents (Gerber et al 2011). La revue INRA Productions animales a publié depuis plusieurs années de nombreux articlesrelatifs aux relations entre élevage et environnement, analysées sous divers angles. Récemmentdes articles relatifs aux polluants ou aux aspects environnementaux plus globaux ont été publiésdans le cadre de trois numéros thématiques : «Porcherie verte» avec notamment des articles surles éléments à risque et les émissions gazeuses lors de la gestion des effluents (Bonneau et al2008a, b), «Les nouveaux enjeux de la nutrition et de l’alimentation du porc» avec un article surles relations entre nutrition et excrétion de polluants (Dourmad et al 2009), et «Elevage en régionschaudes» avec un article consacré aux impacts et services environnementaux (Blanfort et al2011). Des articles ont également été publiés sur la quantification des émissions de méthane parles animaux d’élevage en France (Vermorel et al 2008) et sur la modélisation des émissions deméthane chez les ruminants (Sauvant et al 2009). Enfin, les moyens de réduire les rejets porcinset avicoles par la génétique ont été analysés (Mignon-Grasteau et al 2010). A signaler aussi lenuméro spécial «Elevage bio» en 2009, qui analysait les systèmes d’élevage biologique sans toutefoisdiscuter leurs avantages au plan environnemental. La réduction des émissions de GES par l’élevage est devenue un enjeu majeur des recherchessur les systèmes d’élevage et en nutrition animale. Ce dossier composé de quatre articles estconsacré aux GES en élevage bovin en mettant l’accent sur le méthane. En effet dans la plupartdes systèmes laitiers et à viande, le méthane est le gaz à effet de serre qui contribue le plus auxémissions, exprimées en équivalent gaz carbonique, comme le montre le premier article (Dollé etal 2011) qui replace les émissions de méthane dans l’ensemble des émissions de gaz à effet deserre. Un travail considérable a été réalisé pour évaluer et comparer les systèmes français, et lesINRA Productions Animales, 2011, numéro 5situer dans un contexte plus global : depuis quelques années les émissions induites par des systèmesd’élevage très divers sont étudiées dans le monde, principalement en Europe. Le deuxièmearticle (Sauvant et al 2011) analyse les relations étroites entre la production de méthane et les fermentationsdans le rumen selon la nature du régime alimentaire, puis discute la précision des principaleséquations empiriques de prévision de la production de méthane, ainsi que des modèlesmécanistes qui ont été développés. Des voies d’amélioration sont proposées. Dans un troisièmearticle (Popova et al 2011), les mécanismes de production de méthane dans le rumen sont analysés.Un intérêt particulier est porté au rôle des Archaea méthanogènes, microorganismes qui constituentun domaine spécifique du règne vivant et qui sont les seuls à produire du méthane à partirde l’hydrogène. La compréhension des mécanismes est un élément majeur pour prévoir les effetspossibles d’une ration, d’un additif, d’une biotechnologie sur la production de méthane. Laconnaissance actuelle de ces effets est présentée dans un quatrième article (Doreau et al 2011),centré sur les résultats obtenus in vivo. Il est en effet important de confronter les annonces faitesà partir d’essais in vitro, ou d’un seul essai in vivo mené sur le court terme, aux résultats d’étudesapprofondies reposant sur une base expérimentale solide. Ce dossier dresse un bilan des recherches et de l’état des connaissances sur le méthane entérique,et mentionne les principaux leviers d’action pour réduire les émissions des trois principauxgaz à effet de serre. Une vision plus large nécessiterait le développement d’aspects complémentaires.En premier lieu, celui des émissions de méthane et de protoxyde d’azote liées aux effluents.Elles sont toutefois très mal connues et éminemment variables, comme l’ont souligné Hassounaet al (2010) qui ont développé une méthode permettant de les évaluer en bâtiments. En deuxièmelieu, l'impact des nombreuses voies permettant de réduire les émissions de protoxyde d'azote auchamp doit être évalué. Ainsi, serait nécessaire une analyse portant sur les différents moyens permettantde limiter la fertilisation azotée minérale (fertilisation «de précision», recours aux légumineuses,inhibition des réactions de nitrification/dénitrification dans les sols, meilleure gestiondu pâturage…) qui sont seulement évoqués dans le texte de Dollé et al (2011). Enfin, la séquestrationde carbone par les prairies doit être prise en compte dans l’analyse de la contribution desélevages de ruminants au réchauffement climatique. Les valeurs actuellement retenues sont probablementsous-estimées (Soussana et al 2010), mais les résultats récents mettent en évidence unetrès grande variabilité de ce stockage de carbone, liée non seulement au type de végétation et auxconditions pédologiques, mais aussi, entre autres, au type d’exploitation par les animaux et auxaléas climatiques (Klumpp et al 2011). Le réchauffement climatique est actuellement considéré par les médias et les décideurs politiquescomme l’urgence en termes de protection de notre environnement. Cela ne doit pas faireoublier qu’il est nécessaire de prendre en compte simultanément l’épuisement de certaines ressourcescomme l’énergie fossile et les phosphates, la raréfaction des réserves en eau, la compétitionpour les surfaces agricoles, et la pollution de l’air, des sols et de l’eau par différentes moléculesminérales et organiques. L’analyse des impacts environnementaux, en tant que composantede la durabilité des systèmes d’élevage, doit donc être multifactorielle et prendre également encompte les services environnementaux et sociétaux de l’élevage, une activité qui fait vivre plusd’un milliard d’habitants de notre planète.
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Hammad, Manar. "L'Université de Vilnius: exploration sémiotique de l’architecture et des plans." Semiotika 10 (December 22, 2014): 9–115. http://dx.doi.org/10.15388/semiotika.2014.16756.

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Cette étude sémiotique de l’Université de Vilnius s’articule en deux composantes intimement liées: l’objet d’étude d’une part, la méthode mise en oeuvre d’autre part. L’image qui se dégage de l’objet dépend de la méthode descriptive, et la méthode descriptive a été adaptée pour la prise en compte de certains caractères spécifiques de l’objet donné. Par commodité, ces deux composantes seront abordées séparément dans ce résumé.L’objet d’étude est constitué par l’Université de Vilnius, considérée d’un point de vue spatial. Si l’état actuel des bâtiments est directement accessible à l’observation, plusieurs états antérieurs sont décrits par une collection de plans conservés dans les archives du département de l’héritage culturel du Ministère de la Culture Lituanien. La Bibliothèque Nationale de France conserve en outre une collection de projets dessinés pour l’Université de Vilnius au sein de la Compagnie de Jésus. L’analyse sémiotique de ce corpus syncrétique (bâtiments, plans techniques, projets) impose la prise en compte d’acteurs sociaux (enseignants, étudiants, techniciens) et d’acteurs environnementaux (froid, feu, intempéries, vieillissement) dont les interactions avec les lieux sont productrices de sens.Le caractère spécifique d’un tel corpus pourrait laisser croire que l’analyse n’aurait d’intérêt que pour des lecteurs lituaniens motivés par des liens affectifs locaux. Sans remettre en cause les qualités indéniables du corpus retenu, l’utilisation de la méthode sémiotique donne à l’analyse un intérêt méthodologique dont la généralité ne se restreint pas au cas considéré. Pour l’étude des plans de l’Université de Vilnius, l’approche sémiotique est amenée à effectuer un bond qualitatif par rapport aux études initiées en 1974 par le Groupe 107, et l’approche discursive Greimassienne remplace une approche linguistique trop attachée au modèle Hjelmslevien. La consécution diachronique des plans permet de reconnaître plusieurs transformations de l’espace universitaire, chacune d’entre elles distinguant un avant d’un après. L’aménagement des cours autour desquelles se déploient les salles, la concaténation des cours, leur orientation, leurs degrés d’ouverture, permettent de reconnaître des effets de sens successifs qui informent l’opération globale par laquelle l’Université tend à occuper la totalité de l’îlot urbain dans lequel elle est inscrite, et dont elle n’occupait initialement qu’une partie réduite. L’apparition des portiques au dix-septième siècle, leur mode d’implantation, leur organisation modifient profondément l’espace universitaire, tant dans son allure visuelle que dans son fonctionnement pragmatique. La substitution des voûtes aux plafonds change l’allure de l’intérieur des locaux, tout en assurant une meilleure résistance aux éventuels incendies, dont l’occurrence répétée est notée par les archives.L’analyse discursive de l’espace impose la prise en compte d’acteurs sociaux qui agissent sur l’espace ou dans son cadre. Une première distinction différencie les Enseignants des Enseignés. Lors de la fondation de l’Université en 1586, l’enseignement est confié à la Société de Jésus, dont la fondation en 1540 était relativement récente, et dont la vocation à l’enseignement s’affirmait avec force non seulement en Europe, mais aussi au Nouveau Monde récemment découvert. La dissolution de l’Ordre Jésuite en 1772 eut des répercussions directes sur l’Université de Vilnius, en particulier sur l’organisation interne des locaux et sur leur attribution fonctionnelle (on peut noter que la différenciation fonctionnelle des lieux est inscrite sur les plans qui remontent au début du dix-septième siècle). Les espaces dévolus aux étudiants permettent de distinguer un groupe résidant (les internes) et un groupe non résidant (les externes) parmi une population que l’on suppose locale et régionale, car la situation géographique de la Lituanie était relativement périphérique par rapports aux centres du savoir qu’étaient Rome et Paris à la fin du seizième siècle et au début du dix-septième siècle. L’élaboration parisienne des plans pour l’Université de Vilnius témoigne du fait que l’on pensait l’espace comme un moyen d’action (que la sémiotique identifie, selon les cas, comme acte d’énonciation spatiale, ou comme acte de manipulation, au sens technique du terme).Différentes expressions matérielles (alignement des bâtiments sur les directions cardinales, allure italianisante des cours à portiques) véhiculent les valeurs profondes universelles du programme de base de l’Université, qui est celui de la diffusion (transmission) de valeurs abstraites d’un centre vers une périphérie. L’enseignement réservait un large part à la religion catholique, universelle par définition (c’est le Père de l’Église Clément d’Alexandrie qui promeut l’usage du terme grec Katholikos -universel- pour qualifier le Christianisme). Dans l’Italie de la Renaissance, les théoriciens Alberti et Vasari opposent les valeurs universelles de l’Humanisme, tirées de l’Antiquité Classique, aux valeurs particulières caractérisant la production de l’Europe « gothique » du Moyen-Âge, ce dernier étant défini négativement comme ce qui a séparé l’Antiquité de la Renaissance.Considérée comme énoncé spatial, l’architecture apparaît comme un dispositif matériel chargé de modalités destinées à réguler l’action des acteurs qui y accomplissent leurs programmes d’usage. La circulation physique des personnes s’avère jouer un rôle central parmi les actions reconnaissables. Le circuit des visites guidées, opposé à la latitude donnée aux étudiants et aux enseignants, permet de définir un secteur public (moderne) de l’Université, centré sur la bibliothèque, et opposable à un secteur privé centré sur le rectorat. Les portiques, installés aux différents étages pour résoudre des questions de circulation humaine, remplissent simultanément des fonctions d’éclairage et d’isolation thermique. En reconnaissant de telles superpositions fonctionnelles, l’analyse impose la reconnaissance d’acteurs sémiotiques non matériels tels que la lumière et le froid. La poursuite de la même logique d’analyse mène à la reconnaissance du feu et du temps comme acteurs jouant un rôle dans la détermination des formes architecturales, et donc dans la formation de l’énoncé spatial qu’est l’Université.Opposable aux processus évoqués ci-dessus, l’action qui coordonne l’homogénéisation de l’allure de la Grande Cour et celle de la Cour de l’Observatoire ne relève pas de l’énoncé spatial interne, mais d’une énonciation externe: elle témoigne d’une pensée plastique, géométrique, qui poursuit une fin identitaire: son action donne à l’Université, à un moment de son existence, une allure cohérente qui participe à la définition de son identité. Une démarche énonciative comparable est repérable, à l’époque récente, dans la mise en espace de deux espaces garnis de fresques: le vestibule balte et le vestibule grec. Par de tels actes énonciatifs, la direction de l’Université s’adresse à la communauté universitaire, définie ainsi comme un destinataire interne, pour lui transmettre des messages dont les valeurs profondes sont reconnaissables comme l’identité, la cohérence, l’universel, le particulier. D’autres transformations architecturales, en particulier celles qui sont menées au début du dix-neuvième siècle sur la cour de la bibliothèque, développent vis à vis du public extérieur à l’Université, un discours relatif aux savoirs qu’elle développe et diffuse dans la société. Le caractère diachronique du corpus impose de reconnaître des transformations, mettant dès lors l’accent sur des actes énonciatifs spatiaux, puisque tout acte de construction est interprétable comme un acte énonciatif. Ce qui fait beaucoup de place, dans l’analyse, aux effets de sens énonciatifs, aux dépens des effets de sens énoncifs. D’un point de vue méthodologique, ceci apporte la preuve, par l’exemple, de la pertinence de l’utilisation du concept d’énonciation pour une expression spatiale et non verbale.
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GUY, G., and L. FORTUN-LAMOTHE. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 19, 2013): 387–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3167.

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Ce numéro de la revue INRA Productions Animales contient un dossier consacré aux dernières avancées de la recherche sur le foie gras. En effet, la démocratisation de la consommation de ce produit haut de gamme a été permise notamment par les efforts de recherche et développement sur l’élevage des palmipèdes à foie gras et la maîtrise de la qualité du produit. Ce dossier est l’occasion de faire en préalable quelques rappels sur cette belle histoire ! Un peu d’histoire La pratique du gavage est une tradition très ancienne, originaire d’Egypte, dont les traces remontent à 2 500 avant JC. Elle avait pour objectif d’exploiter la capacité de certains oiseaux à constituer des réserves énergétiques importantes en un temps court pour disposer d’un aliment très riche. Si les basreliefs datant de l’ancien empire égyptien attestent de la pratique du gavage, il n’existe pas de preuves que les égyptiens consommaient le foie gras ou s’ils recherchaient la viande et la graisse. Ces preuves sont apparues pour la première fois dans l’empire romain. Les romains gavaient les animaux avec des figues et pour eux le foie constituait le morceau de choix. Le nom de jecur ficatum, signifiant « foie d’un animal gavé aux figues », est ainsi à l’origine du mot foie en français. La production de foie gras s’est développée dans le Sud-ouest et l’Est de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avec le développement de la culture du maïs. Le foie gras est aujourd’hui un met inscrit au patrimoine culturel et gastronomique français (article L. 654-27-1 du code rural défini par la Loi d’Orientation Agricole de 2006). Le contexte de la production de foie gras Avec près de 72% de la production mondiale en 2012, la France détient le quasi monopole de la production de foie gras. Les autres pays ayant des productions significatives sont la Hongrie et la Bulgarie en Europe Centrale, avec environ 10% pour chacun de ces pays, mais aussi l’Espagne avec 3% de la production. L’Amérique du nord et la Chine représentent les deux autres pôles de production les plus significatifs, mais avec moins de 2% du marché. La production française a connu un essor considérable, sans doute le plus important de toutes les productions agricoles, passant de 5 880 tonnes en 1990 à plus de 19 000 tonnes en 2012. A l’origine, le foie gras était principalement obtenu par gavage des oies, longtemps considérées comme l’animal emblématique de cette production. Aujourd’hui, le canard mulard, hybride d’un mâle de Barbarie (Cairina Moschata) et d’une cane commune (Anas Platyrhynchos), est plus prisé (97% des palmipèdes gavés en France). En France, l’oie a vu de ce fait sa part relative pour la production de foie gras diminuer, et c’est la Hongrie qui contrôle 65% de la production mondiale de foie gras d’oie. Toutefois, cette espèce ne représente que 10% de la production mondiale. La France est également le principal pays consommateur de foie gras avec 71% du total, l’Espagne se classant au second rang avec environ 10%. Compte tenu de son image de produit de luxe et d’exception, le foie gras est consommé un peu partout dans le monde lors des repas de haute gastronomie. Les grandes avancées de connaissance et l’évolution des pratiques d’élevage L’amélioration des connaissances sur la biologie et l’élevage des palmipèdes à foie gras a permis de rationnaliser les pratiques d’élevage et d’améliorer la qualité du produit. Plusieurs laboratoires de recherche et structures expérimentales, ayant leurs installations propres et/ou intervenant sur le terrain, ont contribué à l’acquisition de ces connaissances : l’INRA avec l’Unité Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, l’UMR Tandem, le Laboratoire de Génétique Cellulaire, la Station d’Amélioration Génétique des Animaux et l’UR Avicoles, l’Institut Technique de l’AVIculture, la Ferme de l’Oie, le Centre d’Etudes des Palmipèdes du Sud Ouest, le LEGTA de Périgueux, l’ENSA Toulouse, l’ENITA Bordeaux et l’AGPM/ADAESO qui a mis fin en 2004 à ses activités sur les palmipèdes à foie gras. Aujourd’hui ces structures fédèrent leurs activités dans un but de rationalité et d’efficacité. Les avancées des connaissances et leur transfert dans la pratique, associés à une forte demande du marché, sont à l’origine de l’explosion des volumes de foie gras produits. Ainsi, la maîtrise de la reproduction couplée au développement de l’insémination artificielle de la cane commune et à la sélection génétique (Rouvier 1992, Sellier et al 1995) ont permis la production à grande échelle du canard mulard adapté à la production de foie gras. En effet, ses géniteurs, le mâle de Barbarie et la femelle Pékin, ont fait l’objet de sélections spécifiques basées sur l’aptitude au gavage et la production de foie gras de leurs descendants. La connaissance des besoins nutritionnels des animaux et le développement de stratégies d’alimentation préparant les animaux à la phase de gavage ont également été des critères déterminants pour la rationalisation d’un système d’élevage (Robin et al 2004, Bernadet 2008, Arroyo et al 2012). La filière s’est par ailleurs structurée en une interprofession (le Comité Interprofessionnel du Foie Gras - CIFOG) qui soutient financièrement des travaux de recherches et conduit des actions (organisation de salons du foie gras par exemple) visant à rendre accessibles toutes les avancées de la filière. Ainsi, l’amélioration du matériel d’élevage (gaveuse hydraulique et logement de gavage) a engendré des gains de productivité considérables (Guy et al 1994). Par exemple, en 20 ans, la taille d’une bande de gavage est passée de deux cents à mille individus. Enfin, la construction de salles de gavage, dont l’ambiance est parfaitement contrôlée autorise désormais la pratique du gavage en toute saison. Des études ont aussi permis de déterminer l’influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras (Rousselot-Pailley et al 1994). L’ensemble de ces facteurs a contribué à ce que les possibilités de production soient en cohérence avec la demande liée à un engouement grandissant pour le foie gras. Les pratiques d’élevage actuelles Aujourd’hui, le cycle de production d’un palmipède destiné à la production de foie gras comporte deux phases successives : la phase d’élevage, la plus longue dans la vie de l’animal (11 à 12 semaines chez le canard ou 14 semaines chez l’oie) et la phase de gavage, d’une durée très courte (10 à 12 jours chez le canard ou 14 à 18 jours chez l’oie). La phase d’élevage se décompose elle même en trois étapes (Arroyo et al 2012). Pendant la phase de démarrage (de 1 à 4 semaines d’âge) les animaux sont généralement élevés en bâtiment clos chauffé et reçoivent à volonté une alimentation granulée. Pendant la phase de croissance (de 4 à 9 semaines d’âge), les animaux ont accès à un parcours extérieur. Ils sont nourris à volonté avec un aliment composé de céréales à 75% sous forme de granulés. La dernière phase d’élevage est consacrée à la préparation au gavage (d’une durée de 2 à 5 semaines) grâce à la mise en place d’une alimentation par repas (220 à 400 g/j). Son objectif est d’augmenter le volume du jabot et de démarrer le processus de stéatose hépatique. Pendant la phase de gavage les animaux reçoivent deux (pour le canard) à quatre (pour l’oie) repas par jour d’une pâtée composée à 98% de maïs et d’eau. Le maïs est présenté soit sous forme de farine (productions de type standard), soit sous forme d’un mélange de graines entières et de farine, soit encore sous forme de grains modérément cuits (productions traditionnelles ou labellisées). En France, on distingue deux types d’exploitations. Dans les exploitations dites en filière longue et de grande taille (au nombre de 3 000 en France), les éleveurs sont spécialisés dans une des phases de la production : éleveurs de palmipèdes dits « prêt-à-gaver », gaveurs ou éleveurs-gaveurs. Ce type de production standard est sous contrôle d’un groupe ou d’une coopérative qui se charge des opérations ultérieures (abattage, transformation, commercialisation ou diffusion dans des espaces de vente à grande échelle). Il existe également des exploitations en filière courte qui produisent les animaux, transforment les produits et les commercialisent directement à la ferme et qui sont généralement de plus petite taille. Ces exploitations « fermières » ne concernent qu’une petite part de la production (10 à 15%), mais jouent un rôle important pour l’image de production traditionnelle de luxe qu’elles véhiculent auprès des consommateurs. Pourquoi un dossier sur les palmipèdes à foie gras ? Au-delà des synthèses publiées précédemment dans INRA Productions Animales, il nous a semblé intéressant de rassembler et de présenter dans un même dossier les avancées récentes concernant la connaissance de l’animal (articles de Vignal et al sur le séquençage du génome du canard et de Baéza et al sur les mécanismes de la stéatose hépatique), du produit (articles de Théron et al sur le déterminisme de la fonte lipidique du foie gras à la cuisson et de Baéza et al sur la qualité de la viande et des carcasses), ainsi que les pistes de travail pour concevoir des systèmes d’élevage innovants plus durables (article de Arroyo et al). L’actualité et les enjeux pour demain La filière est soumise à de nombreux enjeux sociétaux qui demandent de poursuivre les efforts de recherche. En effet, pour conserver son leadership mondial elle doit rester compétitive et donc maîtriser ses coûts de production tout en répondant à des attentes sociétales et environnementales spécifiques telles que la préservation de la qualité des produits, le respect du bien-être animal ou la gestion économe des ressources. Ainsi, la production de foie gras est parfois décriée eu égard à une possible atteinte au bien-être des palmipèdes pendant l’acte de gavage. De nombreux travaux ont permis de relativiser l’impact du gavage sur des oiseaux qui présentent des prédispositions à ce type de production : la totale réversibilité de l’hypertrophie des cellules hépatiques (Babilé et al 1998) ; l’anatomie et la physiologie des animaux de même que l’absence de mise en évidence d’une élévation du taux de corticostérone (considéré comme marqueur d’un stress aigu) après l’acte de gavage (Guéméné et al 2007) et plus récemment la mise en évidence de l’aptitude à un engraissement spontané du foie (Guy et al 2013). Le conseil de l’Europe a toutefois émis des recommandations concernant le logement des animaux qui préconisent, la disparition des cages individuelles de contention des canards pendant le gavage au profit des cages collectives. Par ailleurs, il recommande la poursuite de nouvelles recherches pour développer des méthodes alternatives au gavage. Parallèlement, à l’instar des autres filières de productions animales, la filière foie gras doit aussi maîtriser ses impacts environnementaux (voir aussi l’article d’Arroyo et al). Les pistes de recherches concernent prioritairement la maîtrise de l’alimentation, la gestion des effluents et des parcours d’élevage. Il reste donc de grands défis à relever pour la filière foie gras afin de continuer à proposer un produitqui conjugue plaisir et durabilité.Bonne lecture à tous !
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Tyring, Stephen K., Francisco Diaz-Mitoma, Stephen D. Shafran, Leslie A. Locke, Stephen L. Sacks, and Clarence L. Young. "Oral Famciclovir for the Suppression of Recurrent Genital Herpes: The Combined Data from Two Randomized Controlled Trials." Journal of Cutaneous Medicine and Surgery 7, no. 6 (November 2003): 449–54. http://dx.doi.org/10.1177/120347540300700603.

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Background: Genital herpes is a very common sexually transmitted disease. Safe and effective therapies are needed for patients with frequent recurrences. Objective: The aim of our study was to determine the efficacy and safety of famciclovir for suppression of herpes simplex virus (HSV) infection in patients with a history of clinically diagnosed recurrent genital HSV infection. Method: An analysis was conducted of the combined data from two randomized, double-blind, placebo-controlled studies of 52 weeks' duration involving a total of 469 patients (201 men, 268 women) from 47 university, hospital, or private referral centers in Europe and North America. The patients were 18 years or older with a history of six or more episodes of genital herpes during 12 of the 24 months prior to study entry and were not receiving suppressive therapy. They were randomized to receive oral famciclovir 250 mg twice daily or placebo for 52 weeks. The primary outcome measures were (1) the proportion of patients who remained free from clinical HSV recurrences, confirmed by viral culture, for at least 6 months after the start of study medication; (2) the time to first clinically confirmed lesional episode; and (3) the frequency of adverse events. Results: A significantly greater proportion of famciclovir-treated patients (151/191, 79%) were free from HSV recurrences at 6 months compared with placebo recipients (48/184, 26%) ( p < 0.001); efficacy was maintained at 12 months. The median time to the first clinically confirmed lesional episode was significantly prolonged for famciclovir recipients (more than one year) compared with placebo recipients (59 days; p < 0.0001). Famciclovir was well tolerated, with an adverse-experience profile comparable with placebo. Conclusions: Oral famciclovir 250 mg twice daily is an effective, well-tolerated treatment for the suppression of genital HSV infection in patients with frequent recurrences. Antécédents et objectifs: L'herpès génital est une maladie sexuellement transmissible très fréquente. Les patients qui présentent un niveau élevé de récurrence doivent recevoir des traitements efficaces et sécuritaires. La présente analyse vise l'établissement de l'efficacité et de l'innocuité du famciclovir, un antiviral destiné à supprimer l'infection au virus de l'herpès simplex (HSV) chez les patients ayant des antécédents cliniques d'infections génitales récidivantes au HSV. Méthodes: Analyse des données combinées de deux études randomisées, a double insu, contrôlées centre placebo. Les études étaient d'une durée de 52 semaines, et portaient sur 469 patients (201 hommes et 268 femmes) provenant de 47 universités, hôpitaux et centres privés en Europe et en Amérique du Nord. Les patients avaient au moins 18 ans et ont présenté des antécédents d'au moins six épisodes d'herpès génital au cours des 12 à 24 mois précédant l'étude. Ils ne suivaient aucun traitement suppressif. Durant 52 semaines, ils ont reçu soit 250 mg de famciclovir deux fois par jour, soft un placebo. Les principales mesures des résultats étaient: 1) la proportion de patients qui ne présentent pas une récidive clinique de HSV confirmée par culture virale, pendant au moins 6 mois après le début du traitement; 2) l'intervalle de temps avant le premier épisode cliniquement confirmé; et 3) la fréquence des événements indésirables. Résultats: Une proportion marquée de patients recevant le famciclovir (151/191, 79%) n'ont pas eu une récidive d'herpès au 6e mois du traitement, comparativement aux patients recevant le placebo (48/184, 26%) ( p < 0.001); l'efficacité s'est maintenue au 12e mois. Le temps moyen avant le premier épisode cliniquement confirmé a été considérablement plus long pour les patients traités au famciclovir (plus d'un an) que pour les patients au placebo (59 jours; p < 0.0001). Le famciclovir était bien toiéré et le profil des événements indésirables était comparable à celui du placebo. Conclusions: Une dose de 250 mg de famciclovir oral, prise deux fois par jour, représente un traitement efficace et bien toléré pour la suppression de l'infection au virus HSV de l'herpès génital, lorsque les patients ont des récidives fréquentes.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Bernier, Gaston. "Bibliography of Bibliographic Services of European Parliamentary Libraries = Bibliographie der bibliographischen dienste europäischerparliaments-bibliotheken. Compiled and introduced by Ernst Kohl on behalf of the European Center for Parliamentary Research and Documentation. Bonn, Deutscher Bundestag, Wessenschaftliche dienste, 1990. 93 p. Directory = Répertoire = Leitfaden. Centre européen de recherche et de documentation parlementaires. Luxembourg, Parlement européen; Strasbourg, Conseil de l’Europe, 1992. 103 p. Parliamentary Libraries and Information Services: a directory of the member legislatures of the European communities and the Council of Europe = Bibliothèques et services d’information parlementaires : Répertoire des organes législatifs des pays membres des Communautés européennes et du Conseil de l’Europe = Biblioteche e servizi di informazione parlamentari: Repertorio. Edited and introduced by Dermot Englefield. Roma, Camera dei deputati, 1990. 477 p. (Bibliografica, 4) World Directory of National Parliamentary Libraries = Répertoire mondial des bibliothèques parlementaires nationales, 1989. Ed. by Wolfang Dietz under the auspices of the Section of Parliamentary Libraries, International Federation of Library Associations and Institutions. Bonn, Deutscher Bundestag, Verwaltungsbibliothek, 1989. 305 p." Documentation et bibliothèques 39, no. 3 (1993): 180. http://dx.doi.org/10.7202/1028761ar.

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"East Central Europe / L'Europe Du Centre-Est." East Central Europe 33, no. 1-2 (2006): 381–89. http://dx.doi.org/10.1163/187633006x00204.

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"East Central Europe/ L'Europe Du Centre-Est." East Central Europe 33, no. 1-2 (2006): 391–99. http://dx.doi.org/10.1163/187633006x00213.

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"EAST CENTRAL EUROPE/ L'EUROPE DU CENTRE EST: Eine wissenschaftliche Zeitschrift." East Central Europe 31, no. 1 (2004): i—1. http://dx.doi.org/10.1163/187633004x00053.

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BEKADJA, Mohamed Amine. "L’autogreffe de cellules souches hématopoïétiques non cryopréservées, un exemple de recherche clinique permettant une plus value en matière de soins : expérience de l’EHU 1er novembre d’Oran." Journal de la faculté de médecine d'Oran, 2017. http://dx.doi.org/10.51782/jfmo.v4i2.110.

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L’autogreffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH) est une technique thérapeutique, permettant d’utiliser les cellules souches du patient afin de contourner l’écueil de l’aplasie sévère post chimiothérapie. Son coût de revient très élevé l’a rendue inaccessible dans de nombreux pays et en particulier en Afrique où on n’en compte que six pays avec 16 centres par rapport à 679 en Europe, ce qui représente un déficit de 98%. En Algérie, la première greffe de cellules a été effectuée en 1998 au niveau du CPMC d’Alger. Le 2ème centre de greffe de CSH a vu le jour en 2009 à l’EHU 1er Novembre d’Oran et est devenu un centre de greffe à vocation nationale. Nous présentons dans ce travail, le cheminement de la mise en place de la procédure de greffe de cellules à Oran, selon les recommandations internationales et leurs adaptations selon les conditions locales de travail.
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Dragojevic, Sanjin. "The Process of Pacification in Southeastern Europe: Challenges and Issues from a Cultural Point of View." Canadian Journal of Communication 27, no. 2 (February 1, 2002). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2002v27n2a1298.

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Abstract: This paper examines the contextual factors and dynamics framing the contemporary situation in Southeastern Europe, reviews some strategies for addressing conflicts in the region, and considers some of the major challenges that societies in the region are currently facing. Two major features structure the larger context for the challenges and issues facing the region: first, the prevailing centre-semiperiphery-periphery theory, which is influencing the process of European integration, and, second, the proliferation of supra-national regional groupings in Europe. These form the general setting for, and influence the content of, current public debates on cultural values and identification. Résumé: Cet article examine les facteurs et dynamiques contextuels entourant la situation contemporaine en Europe du Sud-Est, passe en revue des stratégies pour adresser les conflits dans cette région, et considère quelques-uns des grands défis auxquels font face les sociétés vivant là. Deux facteurs majeurs structurent le contexte plus large des défis et des questions touchant la région: d'abord, la théorie dominante sur le centre, la semi-périphérie et la périphérie qui influence le processus d'intégration européenne; puis, la prolifération de regroupements régionaux supranationaux en Europe. Ces deux facteurs forment le cadre pour des débats publics actuels sur les valeurs et l'identification culturelles et influencent le contenu de ces débats.
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Karagianni, Elefthéria. "Les mythes et les symboles grecs anciens et judéo-chrétiens dans le roman Le Cercle de Stratis Tsirkas." IRIS, no. 41 (November 26, 2021). http://dx.doi.org/10.35562/iris.2251.

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Le Cercle, de l’auteur grec Stratis Tsirkas, classifié parmis les romans politiques, est une œuvre qui met sur le devant de la scène l’importance des mythes et des symboles, aussi bien grecs anciens que judéo-chrétiens, dans le contexte de la seconde guerre mondiale au Moyen-Orient. Des gens de nationalités diverses et aux buts variés, sans bornes et complètement déboussolés, à la fois profanant le sacré et sacralisant le profane se concentrent autour de la ville de Jérusalem. L’imaginaire mythique du roman tourne autour des trois axes principaux : le premier est la sacralité de la ville et l’importance du centre ; le deuxième concerne les symboles aquatiques et le rêve, et le troisième axe le symbole de la femme. Leur analyse nous aidera à percevoir des mythes et des symboles en tant que modus vivendi, et leur effet sur la conscience, le comportement et l’action humains en 1942, durant la période du conflit armée en Europe.
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Buelens, Mathieu. "Transnational analysis of local fertility: A spatial organisation depending on metropolitan contexts and national borders." Quetelet Journal 7, no. 1 (April 1, 2019). http://dx.doi.org/10.14428/rqj2019.07.01.04.

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Résumé La seconde transition démographique n’a pas effacé les différences spatiales en termes de fécondité en Europe du Nord-Ouest. Ainsi, il existe une distinction claire entre les États les plus au Nord et à l’Ouest du contient et les autres, ainsi que des différences intra-étatiques. Malgré la difficulté de rassembler des données compa-rables à une échelle spatiale fine pour plusieurs pays, cette étude propose à une échelle locale une comparaison transnationale de l’intensité et de la temporalité de la fécondité en Europe du Nord-Ouest. Elle examine la cohérence des modèles de fécondité sur territoire et détermine les échelles prépondérantes de leur organisa-tion spatiale. La méthodologie consiste en une analyse par composantes principa­les appliquée aux taux de fécondité par classe d’âge pour 5 376 entités locales reparties dans sept pays d’Europe du Nord-Ouest. De cette première analyse est déduite une typologie des entités spatiales selon leur fécondité. Les résultats donnent à voir des modèles de fécondité contrastés en Europe du Nord-Ouest. C’est surtout la temporalité qui distingue les modèles de fécondité, tant au sein de la zone d’étude en générale qu’au sein de chaque pays séparément. D’un point de vue spatial, ces modèles de fécondité contrastés sont organisés selon l’action conjointe de deux éléments : les métropoles et les frontières nationales. Les environnements urbains sont dissociés du reste de leur contexte national. De plus, à l’échelle intra-urbaine, une triple distinction apparait : la fécondité est faible et est la plus tardive en centre-ville ; elle est la plus élevée avec des calendriers très dispersés dans les quartiers défavorisés et enfin elle est relativement forte mais bien plus concentrée autour de 30 ans en banlieue. Les résultats révèlent également l’importance du niveau national, auquel correspond 65 % de la variance de l’intensité de fécondité entre les entités locales. Cela suggère que des facteurs na­tionaux doivent avoir une influence majeure sur l’intensité de la fécondité. L’utilisa­tion de l’échelle nationale pour étudier l’intensité de la fécondité uniquement est ainsi en partie justifiée. Cette analyse démontre aussi l’intérêt des études locales des comportements féconds en milieu urbain. Abstract The second demographic transition has not erased spatial differences in fertility patterns in northwestern Europe. A state-level distinction exists between northern and westernmost European countries, on one hand, and the rest of the continent, on the other hand, as well as intra-national distinctions. Despite the difficulty of gathering comparable data at a fine spatial level in different countries, this study presents cross-national and local spatial distribution of fertility intensity and timing in northwestern Europe. The goal is to examine the coherence of fertility patterns and determine the overriding scales of their spatial organisation. The methodology consists in a principal component analysis on age-specific fertility rates (ASFR) of 5’376 local units in seven northwestern European countries. Local units are then gathered in clusters. The results show contrasted fertility patterns in North-Western Europe. Differences in fertility timing are more important than differences in fertility intensity for both spatial units in the study area in general and within each country separately. From a spatial point of view, these contrasting fertility patterns are organised according to two existing levels: the metropolitan and the country level. Urban environments are isolated from the national context their embedded in. Additionally, a triple dis­tinction appears within metropolises. Fertility is low and the latest in city centres. Fertility rates are the highest and dispersed through childbearing ages in deprived urban neighbourhoods. Finally, fertility is relatively high but with a narrow distribution through in suburban areas. The national level is relevant for 65% of the fertility intensity related variance between local units. It suggests decisive influence of na­tional factors on fertility intensity. Cross-country analyses of fertility level are thus partly legitimated. However, this analysis also calls for better understanding of local fertility behaviours in metropolitan contexts.
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Bybee, Seth. "Libellule et Demoisells (Insecta: Ordre des rdonates)." EDIS 2006, no. 7 (April 14, 2006). http://dx.doi.org/10.32473/edis-in647-2005.

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La famille des odonates inclus les libellules et les demoiselles. Elle représente l'un des groupes les plus renommé. Les odonates sont appréciés par l'amateur aussi bien que par le professionnel notamment pour leurs grandes tailles, couleurs, ainsi que leurs comportements exceptionnellement charismatiques. De plus, ils sont facilement observables. Les libellules rivalisent avec certains oiseaux par rapport à leur envergure, couleurs vives et variées, grégarisme et comportements prévisibles. Les libellules sont par conséquent devenues très populaires auprès des ornithologues. Leur popularité auprès du public est telle que les libellules sont désormais le centre d'intérêt de partisans de protection de l'environnement en Amérique du Nord, en Europe, et en Asie. This document is EENY-362 (IN647), one of a series of Featured Creatures from the Entomology and Nematology Department, UF/IFAS Extension. Original publication date December 2005. EENY362/IN647: Libellule et Demoisells (Insecta: Ordre des Odonates) (ufl.edu)
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Jacobs, Ronald N., and Eleanor Townsley. "On the Communicative Geography of Global Sociology." Canadian Journal of Sociology 33, no. 3 (September 26, 2008). http://dx.doi.org/10.29173/cjs4152.

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This article analyzes the two distinct communicative logics that inform the institutional geography and normative understanding of global sociology. The globalizing logic imagines a unitary global space that organizes sociological debate; the transnational logic envisions a series of overlapping sociological debates, often organized within a national context that is in the process of cosmopolitan, global, and transnational transformation. We argue that both logics shape communication in the sociological tradition, even if neither project is fully realized. The main challenge to global sociology, particularly in its globalizing form, is the existence of extremely influential spaces of sociological debate in North America and Europe, which reproduce the privileges of the larger and more powerful national associations. At the same time, these large, powerful national associations are becoming increasingly transnationalized, putting centre and periphery into dialogue, if in limited and uneven ways. Résumé. Cet article analyse deux logiques communicatives distinctes qui contribuent à la géographie institutionnelle et à l’approche normative de la sociologie globale. La logique globalisante imagine un espace global unitaire qui organise le débat sociologique; la logique transnationale envisage une série de débats sociologiques imbriqués qui s’organisent souvent dans le cadre d’un contexte national, alors que le contexte national est en train de subir une transformation cosmopolite, globale, et transnationale. Nous soutenons que ces deux logiques déterminent la communication dans la tradition sociologique, même si leurs projets ne se réalisent pas. Le grand défi pour une sociologie globale, surtout sous forme globalisante, semble être l’existence des lieux de débat sociologique extrêmement puissants en Amérique du nord et en Europe, qui, tout en ayant une influence globale, tendent à reproduire les privilèges des associations nationales les plus vastes et les plus puissantes. Pourtant, ces grandes associations nationales puissantes deviennent de plus en plus transnationalisées, de façon à établir un dialogue entre centre et périphérie – mais encore une fois, selon des échanges limités et inégaux.
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Faye, Anne Béatrice. "Le grand tournant du pontificat de François: changements et perspectives dans l'Eglise famille de Dieu en Afrique." HORIZONTE - Revista de Estudos de Teologia e Ciências da Religião, August 31, 2021, 521. http://dx.doi.org/10.5752/p.2175-5841.2021v19n59p521.

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Le pape François se retrouve à la tête d’une Eglise confrontée à de grandes difficultés. Il a lancé et poursuivi des chantiers que son prédécesseur a eu du mal à faire avancer. Il a su se placer au centre des discussions essentielles de notre époque : la richesse et la pauvreté, l'équité et la justice, la transparence, la modernité, la mondialisation, le rôle de la femme, l’ouverture de la prêtrise aux femmes, la nature du mariage, l’accueil des divorcés remariés, les tentations du pouvoir, les relations avec l'islam, la lutte contre la pédophilie, les finances du Saint-Siège, l’abolition du célibat ecclésiastique, la gouvernance de l'Eglise, la redynamisation de la foi en Europe. Même si nous n’allons pas aborder tous ces thèmes, le pape pour sa part n’a guère d’autres solutions que de poursuivre dans la route déjà empruntée pour une Église à géométrie variable. Au-delà de sa personne, il s’agit de l’Eglise et, surtout de l’accueille du Christ par notre société contemporaine dans sa diversité culturelle. Ce qui est frappant c’est de voir comment le Pape François catalyseur, conçoit son ministère à travers l’écoute des pasteurs qui ont eux-mêmes écouté le peuple. Il insiste souvent sur l’enjeu de la liberté de parole et de débat. D’où la place que nous avons à la riche culture africaine.
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Canals, Roger. "Culte à María Lionza." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.005.

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Le terme « culte à María Lionza » renvoie à un ensemble de pratiques rituelles consacrées à la déesse María Lionza et à d’autres esprits de son panthéon. Il est présent sur une grande partie du territoire vénézuélien, notamment dans la région de Yaracuy, au centre ouest du pays, sur la côte caribéenne et dans les grandes villes comme Caracas. La Montagne de Sorte, dans la région de Yaracuy, est le principal centre de pèlerinage des croyants. Bien qu’il soit originaire du Venezuela, le culte à María Lionza est également visible, avec quelques variantes, dans plusieurs autres pays de la région caribéenne et de l’Amérique du Sud, voire aux États-Unis et en Europe. L’origine de ce culte remonte à la conquête espagnole du Venezuela. Au fil des ans, les pratiques sacrées indiennes, les religions africaines apportées par les esclaves noirs ainsi que le catholicisme auraient fusionné donnant lieu à des manifestations religieuses nouvelles (Mintz et Price 1992 ; Andrews 2004). Dès la fin du XIXe siècle se seraient ajoutées à ces trois sources principales d’autres influences culturelles comme le spiritisme kardeciste et l’occultisme, entre autres (Pollack-Eltz 1972 ; Clarac de Briceño 1996 ; Barreto 1990). Cependant, et à la différence de cultes afro-américains comme la Santería Cubaine, le Candomblé ou le Voudou haïtien, le culte à María Lionza n’est pas, dès son origine, connecté aux communautés d’esclaves africains. Jusqu’au XXe siècle, ce culte contenait essentiellement des éléments d’origine catholique et indienne, notamment des images religieuses de saints ou des pratiques d’adoration d’éléments naturels comme des cascades ou des fleuves. A cette période-là, le culte était majoritairement répandu parmi la population métisse et rurale, et l’apport africain n’était que peu présent –la possession spirituelle ou l’usage de percussions, par exemple, étaient rares lors des cérémonies. Dans les années quarante, le culte devint urbain du fait de la migration massive de la population rurale vers les grandes villes suite au boom pétrolier (Coronil 1997). C’est dans ce nouveau contexte, et essentiellement sous l’influence de la santería cubaine, que le culte commence à subir un processus d’afroaméricanisation avec plus de recours aux possessions spirituelles, aux percussions et à une multiplication des entités surnaturelles. Aujourd’hui, le culte à María Lionza entretient de multiples connexions avec d’autres cultes afro-américains comme le Palo Mayombe, l’Umbanda et le spiritisme dominicain. L’incessant partage d’éléments entre ces pratiques oblige à les considérer toutes en termes de continuité et à adopter à leur égard une perspective d’analyse comparatiste. Enfin, quant aux liens du culte avec d’autres religions, force est de constater que l’immense majorité des Maríalionzeros (les pratiquants du culte) s’affirme catholique, paradoxalement à l’opposition historique de l’Église catholique à la pratique de ce culte. Les églises évangélistes, dont le nombre au Venezuela ne cesse de s’accroître, critiquent elles aussi le culte avec véhémence, l’accusant souvent d’être une œuvre du diable. Le culte à María Lionza englobe des rituels de guérison, divination, purification et initiation, dans lesquels les épisodes de possession sont fréquents. La transe est plus ou moins violente selon l’esprit qui « descend » et la façon de « travailler » de chaque médium ou materia (matière). Parfois la possession pousse le médium jusqu’à la blessure ou l’automutilation (Ferrándiz 2004). Cela dit, nombre de croyants rendent hommage aux divinités de manière très calme et discrète, sans inclure des épisodes de transe. A part María Lionza, ce culte compte des centaines d’esprits, nommés aussi entidades (entités) ou hermanos (frères). Ceux-ci correspondent aussi bien à des divinités n’ayant jamais eu une existence terrestre qu’à des personnages célèbres ou aux âmes de défunts. Ces esprits sont regroupés en différentes cortes (cours) ou ensembles de divinités présentant une affinité ethnique, sociale ou professionnelle. On retrouve ainsi la Corte Africana (Cour Africaine), la Corte Malandra (Cour des Délinquants) ou la Corte Militar (Cour Militaire), parmi bien d’autres. Les cortes, quant à elles, sont ordonnées suivant une logique pyramidale : celles ayant moins de pureté sont placées en bas du panthéon tandis que les plus pures ou dites « avec le plus de lumière » sont placées en haut, aux côtés de María Lionza et du Christ. S’ils réalisent de bonnes actions, les esprits en position basse peuvent gravir l’échelle du panthéon. Ce vaste panthéon spirituel peut être interprété comme un dispositif de réappropriation voire de subversion de l’histoire. Il est par exemple fréquent que les esprits d’anciens chefs indiens ayant lutté contre les Espagnols pendant la Conquête (les célèbres caciques) descendent dans le corps des médiums et racontent, en témoins directs, les faits survenus il y a 500 ans, donnant leur avis sur la situation politique actuelle et offrant des conseils à l’assistance. Le culte relie ainsi passé, présent et futur, vie et mort, mémoire collective et expérience individuelle. Le culte à María Lionza ne constitue une pratique ni unifiée ni cohérente. Chaque groupe de culte, nommé centro (centre), organise les rituels à sa manière et donne sa propre version de l’origine de la déesse. Les rivalités entre les centros sont fréquentes et parfois violentes. Non seulement pluriel, le culte à María Lionza est aussi dynamique et changeant. En effet, les pratiquants le transforment incessamment en y incorporant de nouvelles divinités (tel que l’ex-président Chávez) et de nouvelles techniques rituelles à travers notamment les technologies de communication. María Lionza, quant à elle, est une déesse imaginée et représentée de façons très différentes, voire apparemment contradictoires : on peut la voir indienne, blanche, métisse ou, plus rarement, noire, selon les mythes, légendes ainsi que les études à caractère historique retraçant son origine. Cela dit, deux versions iconographiques et littéraires de María Lionza sont particulièrement répandues : d’une part, celle où elle apparaît comme une femme indienne nue chevauchant un tapir et, d’autre part, celle où elle est représentée comme une femme métisse ou blanche, habillée comme une femme du XVIIe ou XVIIIe siècle, portant une couronne sur la tête et tenant une rose sur la poitrine (Canals 2010). María Lionza apparaît souvent accompagnée de Felipe le Noir (El Negro Felipe) et de l’Indien Guacaipuro (El Indio Gucaipuro). L’ensemble de ces trois figures, nommées les Trois Puissances (las Tres Potencias), a, pour les croyants, un double sens : d’un côté, il est l’expression divine du métissage de la population vénézuélienne à travers les représentants de ce que les Vénézuéliens appellent « les trois races » (las tres razas, c’est-à-dire indien, blanc et noir) qui ont constitué le réseau ethnique du pays, et, d’un autre côté, il représente le paradigme d’entente et de réconciliation historique entre ces trois sources culturelles. Bref, les Trois Puissances sont, en même temps et pour les croyants, le reflet de ce qu’est le Venezuela et l’exemple de ce qu’il devrait être. Les images religieuses ont une grande importance dans le culte (Canals 2011) et donnent lieu à une industrie ésotérique qui a acquis une échelle planétaire. Lors des cérémonies, les croyants se réunissent autour de l’autel, nommé aussi portal (portail) où se trouvent surtout des statuettes de divinités. Hormis ces icônes, le culte serait inconcevable sans un grand nombre d’objets ou produits à forte composante sensitive et symbolique. Parmi ceux-là, il faut distinguer les substances « naturelles » (tabac, rhum, miel) de celles composées dans les perfumerías ou boutiques ésotériques. Dans ces boutiques s’amoncellent des savons, flacons de parfum, crèmes, encens et nombre d’autres éléments fabriqués à des fins très précises liés à la vie quotidienne et arborant des noms suggestifs: Amarra Hombres (lotion de séduction « attrape-hommes » adressée aux femmes) ou Tumba Negocios (produit pour faire échouer les affaires de ses concurrents commerciaux). Cette industrie ésotérique joue un rôle économique important au Venezuela et ailleurs. En fait, le culte à María Lionza est, pour nombre de croyants, un moyen de survie. Les rituels de guérison, divination ou initiation sont souvent payants, sans arriver pour autant aux prix exorbitants pratiqués dans d’autres religions comme la Santería. Par ailleurs, le culte à María Lionza est très présent sur le net, aussi bien sur des sites ésotériques que sur des réseaux sociaux. Cette présence sur Internet joue un rôle décisif dans l’expansion et la réinvention du culte. Récemment, certains groupes de culte ont initié des démarches pour intégrer le culte au Patrimoine Immatériel de l’UNESCO. Cette volonté de reconnaissance institutionnelle constitue un changement par rapport à la dynamique historique du culte qui a maintenu vis-à-vis du pouvoir et de l’officialisme une position majoritairement d’opposition, bien que nombre de représentants politiques et de militaires aient été, depuis les années 1950, pratiquants du culte en secret (Taussig 1997)
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Reece, Albert Stuart, and Gary Kenneth Hulse. "European Epidemiological Patterns of Cannabis- and Substance- Related Congenital Cardiovascular Anomalies: Geospatiotemporal and Causal Inferential Study." Environmental Epigenetics, July 5, 2022. http://dx.doi.org/10.1093/eep/dvac015.

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Abstract Introduction. As prenatal and community cannabis exposure have recently been linked with congenital heart disease it was of interest to explore these associations in Europe in a causal framework and space-time context. Methods. Congenital anomaly data from Eurocat. Drug use data from European Monitoring Centre for Drugs and Drug Addiction. Income from World Bank. Results. Countries with rising daily cannabis use had in general higher CAR’s over time than those without (time: status interaction: β-Est.=0.0267, P=0.0059). At inverse probability weighted panel regression cannabis terms were positive and significant for congenital heart disease, severe congenital heart disease, ASD, VSD, AVSD, PDA, tetralogy of Fallot, vascular disruptions, double outlet right ventricle, transposition of the great vessels, hypoplastic right heart and mitral valve anomalies from: 1.75x10-19, 4.20x10-11, &lt;2.2x10-16, &lt;2.2x10-16, 1.58x10-12, 4.30x10-9, 4.36x10-16, 3.50x10-8, 5.35x10-12, &lt;2.2x10-16, 5.65x10-5, 6.06x10-1°. At spatial regression terms including cannabis were positive and significant for this same list of anomalies from: 0.0038, 1.05x10-1°, 0.0215, 8.94x10-6, 1.23x10-5, 2.05x10-5, 1.07x10-6, 8.77x10-5, 9.11x10-6, 0.0001, 3.10x10-7, 2.17x10-7. 92.6% and 75.2% of 149 E-value estimates and minimum E-values were in high zone &gt;9; and 100.0% and 98.7% &gt;1.25. Conclusion. Data show many congenital cardiac anomalies exhibit strong bivariate relationships with metrics of cannabis exposure. Causal inferential modelling for the twelve anomalies selected demonstrated convincing evidence of robust relationships to cannabis which survived adjustment and fulfilled epidemiological criteria for causal relationships. Space-time regression was similarly confirmatory. Epigenomic pathways constitute viable potential mechanisms. Given exponential genotoxic dose-response effects careful and astute control of cannabinoid penetration is indicated.
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Monnet, Nadja, and Mouloud Boukala. "Postures et trajectoires urbaines : la place des enfants et adolescents dans la fabrique de la ville." Explorer la ville, no. 30 (April 16, 2019). http://dx.doi.org/10.7202/1058680ar.

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Cadre de la recherche :De nombreux auteurs insistent sur le fait que l’histoire des rapports de l’enfant à la ville est une véritable histoire d’éviction, surtout à partir de la deuxième moitié du 20èmesiècle avec la généralisation de la circulation motorisée et que ce phénomène n’a cessé de s’accélérer. Plus qu’une cassure radicale entre un avant, qui semble représenté un âge d’or de l’enfance en ville définitivement révolu, et un après, où les enfants sont représentés comme enfermés chez eux, interdits d’accès à la rue et connectés au monde au travers de leur téléphone intelligent ou tablette, il importe d’inscrire le phénomène dans l’histoire longue et d’identifier, contrairement aux discours alarmistes, qui sont les enfants et adolescents continuant de fréquenter les villes, même s’ils ne sont pas (ou plus ?) majoritaires.Objectifs : Cet article introductif du numéro « Explorer la ville : le rapport aux espaces publics des enfants et adolescents » vise à présenter un état de la recherche et des pistes de réflexion et d’action novatrices sur les manières dont les enfants et les adolescent·es pratiquent les villes, agissent et sont agis dans les espaces urbains contemporains.Méthodologie :L’article introductif s’appuie sur une recension des écrits anthropologiques, sociologiques, historiques, géographiques, architecturaux et urbanistiques ayant porté sur le rapport aux espaces publics urbains des enfants et adolescents. Cette analyse est mise en relation avec des projets en cours cherchant à solliciter les jeunes lors des processus de concertation urbaine pour le réaménagement des villes, des métropoles voire des mégalopoles.Résultats :En réunissant des âges (enfance et adolescence) et des lieux habituellement traités séparément, les textes rassemblés nous incitent à prendre en considération divers aspects tels la faible présence des jeunesses dans les espaces urbains, l’uniformisation, la réglementation et la ludification de certains espaces publics, l’attrait des espaces fermés (intérieurs, centres commerciaux) et leur appropriation, l’apprentissage des activités physiques, la mobilité autonome, l’engouement pour les médias numériques mais également les injonctions familiales afin d’apprécier l’influence des parents et de la fratrie sur le rapport à la ville des jeunes.Conclusions :Cet article met en avant la nécessité d’une approche intersectionelle qui tienne compte d’une multiplicité de variables, telles que le sexe, l’âge, la provenance socio-géographique, voire la couleur de peau dans l’analyse des rapports aux espaces publics des enfants et adolescents. Il expose l’importance du passage entre des espaces intérieurs (le logement, les institutions scolaires, les maisons pour jeunes, centre de loisirs, etc.) et extérieurs, la possible ou impossible exploration en autonomie de la rue, des parcs et jardins, des centres commerciaux,… ainsi que les relations-tensions entre les familles et les enfants, entre les jeunes et les gestionnaires d’espace, entre les jeunes avec ou sans la supervision d’un adulte, entre les jeunes et d’autres usagers adultes (acteurs ou témoins) dans les espaces publicsContribution :Cet article fait une revue des enjeux sociétaux et anthropologiques sur les rapports aux espaces publics des enfants et adolescents de plus d’une dizaine de villes situées en Europe, en Amérique du Nord, au Maghreb et au Proche-Orient. Il identifie des pistes à approfondir et à mettre en oeuvre pour la recherche sur cette thématique.
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Béchacq, Dimitri, and Hadrien Munier. "Vodou." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.
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Doyon, Sabrina. "Environnement." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.007.

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Анотація:
Le mot environnement est polysémique. Selon les contextes et les disciplines, on peut référer à l’environnement physique, naturel ou social. Il est parfois associé, à tort, aux notions d’écosystème et de ressources naturelles. Ces ambiguïtés sont intéressantes du point de vue de l’anthropologie, car elles révèlent la multitude de réalités auxquels le terme réfère ainsi que les divers usages et pratiques auxquels il est lié et, surtout, aux différentes façons dont il peut être pensé, imaginé, transformé, projeté et vécu selon les groupes sociaux et culturels. Depuis les années 1960, les préoccupations liées à l’environnement sont très présentes. Cette situation est à mettre en lien avec trois phénomènes : l’émergence des inquiétudes à l’égard de la contamination causée par l’industrialisation et envers la surexploitation de la nature qui sont sans cesse croissantes, l’avènement des mouvements écologistes et environnementalistes qui ont publicisé ces enjeux dans la société et l’institutionnalisation de l’environnement, notamment par la mise en place un peu partout dans le monde de ministères de l’Environnement, de politiques environnementales et de législations concernant l’usage de la nature. Tout en interrogeant les concepts de nature et de culture, plusieurs approches au sein de l’anthropologie questionnent l’environnement par l’étude des différents types de rapports qu’entretiennent les êtres humains avec ce qui les entoure, ce qui les supporte et les constitue. L’écologie culturelle de Steward (Steward 1955), l’approche écosystémique de Rappaport (1967), l’ethnoscience et l’ethnoécologie (Haudricourt 1956), l’œuvre d’anthropologie structurale de Lévi-Strauss, les travaux relatifs aux rapports à la nature, des vivants et des non-vivants (Ellen et Katsuyochi 1996; Descola 2005; Viveiros de Castro 2009), et ceux propres à la perception et à « l’habiter » (Ingold 2000) sont parmi les approches anthropologiques ayant fait de l’environnement et de la nature le centre de leur réflexion. Elles s’inscrivent à la fois dans les courants matérialistes et symboliques de l’anthropologie et dans les écoles anglo-saxonnes et françaises de l’étude des relations socio-environnementales. Ces catégorisations ne sont toutefois pas absolues : des chevauchements et des emprunts enrichissent aujourd’hui les réflexions de chacun. Depuis les années 1990, les recherches anthropologiques concernant les relations entre l’environnement et les êtres humains sont nombreuses, variées et croissantes; elles intègrent souvent des approches propres à d’autres disciplines, telles que la géographie, la sociologie, les sciences politiques et la philosophie, et combinent des recherches fondamentales et appliquées. L’écologie politique (political ecology : approche critique des changements environnementaux qui analyse les liens entre des enjeux écologiques et d’économie politique) est un exemple de courant théorique phare qui intègre ces disciplines et qui rallie de nombreux chercheurs en anthropologie (Bryant et Bailey 1997; Escobar 1996; Gauthier et Benjaminsen 2012; Biersack et Greensberg 2006; Peet, Robbins et Watts 2011). Les efforts de compréhension de la pluralité des modes d’interprétation, de représentation et d’incorporation de l’environnement se nourrissent aussi d’études en histoire environnementale et questionnent les perceptions et les constructions sociales de la nature. Les concepts de natures humanisées (issues d’aménagements ou de perturbations anthropiques) y sont mis en rapport avec ceux de natures « sauvages et primaires »; des remises en question des idéaux de la wilderness, évoqués dans la tradition anglo-saxonne (Cronon 1995; Balée 2006), en émergent, démontrant qu’une supposée nature originelle n’aurait jamais existé et que l’environnement est, au contraire, travaillé, médié, construit par des actions humaines depuis la présence des premières communautés humaines. Ces clarifications amenées par l’anthropologie s’ancrent dans des compréhensions de la nature organisées par des savoirs environnementaux locaux et autochtones (Menzies 2006) qui sont souvent discrédités par la science positiviste occidentale (Fairhead et Leach 2003). Ces recherches sont également alimentées par des réflexions récentes en sciences de l’environnement où le modèle homéostatique de la nature (dans lequel les écosystèmes, en tant que systèmes, tendraient vers un équilibre via des mécanismes de rétroaction régulateurs) est contesté, préférant des approches qui intègrent le chaos et l’incertitude (Scoones 1999). Dans tous les cas, ces recherches s’attachent à montrer que les divisions conceptuelles entre la nature et la culture, la société et l’environnement ne sont pas universelles et s’ancrent plutôt dans des constructions modernes (Latour 1991). Ces réflexions foisonnantes ne sont pas étrangères aux analyses anthropologiques des discours environnementaux qui s’intéressent notamment à la cristallisation de certaines formules, telles que : les forêts cathédrales, le développement durable, la désertification et les changements climatiques (Crate et Nuttall 2009; Redclift 1987; Sachs 1993) et à leurs portées sociale et culturelle. Plusieurs auteurs exposent ainsi les conséquences sociales et politico-économiques variées, tant locales qu’internationales, des discours globalisés sur l’environnement dont les enjeux, connotés de conceptions « occidentales » anthropocentristes du rapport à la nature, sont énoncés et répétés par un petit groupe d’experts lors de récurrentes « grandes messes » internationales que sont les Conventions cadre des Nations unies sur les changements climatiques, les Conventions sur la diversité biologique et les Sommets de la Terre. Ces nouveaux processus politiques par lesquels l’environnement est gouverné et contrôlé, nommé environnementalité (Agrawal 2005), constituent des phénomènes où la nature est conçue comme un espace propre à l’intervention du gouvernement. Les anthropologues s’intéressent à ces processus, ainsi qu’aux enjeux qui y sont discutés, comme la justice environnementale, les réfugiés climatiques et le racisme environnemental, des termes qui témoignent de l’intrication sociale, politique, économique et culturelle inhérente à la situation écologique mondiale actuelle. Des recherches examinent également les mécanismes de négociation des enjeux élaborés lors de ces évènements et les structures qui codifient les échanges permettant à certaines voix d’être entendues tandis que d’autres sont tues. Les discours environnementaux globalisés sont au cœur des mouvements de protection de la nature, engendrés tant par des organismes privés qu’étatiques, qui s’incarnent notamment dans la création, exponentielle depuis les années 1980, de parcs naturels, de réserves ou d’aires protégées (Adams et Hutton 2007; West, Igoe et Brockington 2006). La constitution de ces territoires n’est pas nouvelle : elle a ses racines dans la colonisation de l’Amérique du Nord, de l’Afrique et de l’Inde. Elles furent d’abord créées à l’initiative des colonisateurs qui voulurent protéger une nature « sauvage » idéalisée comme étant vierge et qu’ils « découvraient »; une nature dont le caractère inaltéré avait, selon eux, disparu en Europe. L’instauration de ces parcs se fit cependant au prix de l’expulsion des populations autochtones qui les occupaient (Igoe et Brockington 2007). Les études des rapports qu’entretiennent spécifiquement les populations autochtones avec l’environnement sont d’ailleurs très riches et nombreuses et constituent tout un champ de recherche (Colchester 2003[1994]). Les anthropologues étudient comment la création de ces aires protégées, en transformant des paysages en lieux de contemplation et de protection de la nature, contribue à transformer l’espace et les rapports sociaux. L’espace est d’ailleurs un concept de plus en plus utilisé en anthropologie dans l’examen des relations socio-environnementales. Ces espaces protégés sont aussi le lieu d’initiatives de patrimonialisation de la nature (Roigé et Frigolé 2010) qui ne sont pas sans soulever des questionnements critiques. Le développement du tourisme et de l’écotourisme dans ces espaces protégés (Duffy 2008, Stronza 2001) amènent, entre autres conséquences, une valorisation de certaines espèces « charismatiques » au détriment d’autres entités constituant les écosystèmes. L’exploitation de la nature par le truchement de systèmes de production mécanisés et industriels en agriculture, dans les pêches, la foresterie, l’exploitation minière et l’extraction des carburants fossiles est au cœur des préoccupations de l’anthropologie de l’environnement. Cette dernière questionne les modes d’appropriation de ces « ressources naturelles » en s’intéressant notamment aux préoccupations de l’éthique environnementale, des mouvements écologistes et environnementalistes (Peluso 1992; Latour 2004) ainsi que des autres mouvements sociaux, notamment anarchistes et féministes, qui s’insurgent contre des modèles de développement de l’environnement délétères, sexistes et iniques (Rocheleau, Thomas-Slayter et Wangari 1996). Ces préoccupations s’arriment à celles exprimées à l’égard des effets de la privatisation, de la marchandisation et de la re-régulation des dimensions fonctionnelles, symboliques, esthétiques et contemplatives de la nature et du vivant, ce que se propose d’étudier un nouveau courant anthropologique se penchant sur les processus de la « néolibéralisation » de l’environnement (Castree 2008; Igoe et Brockington 2007).

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