Добірка наукової літератури з теми "Paysage – Aspect religieux"

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Статті в журналах з теми "Paysage – Aspect religieux":

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Lamine Sané, Mamadou, Claudette Soumbane Diatta, and Barnabé Ephrem A. Diémé. "Sites D’eau Sacrés Et Conservation De La Biodiversité : Cas Des Paysages D’eau De La Région De Ziguinchor (Sénégal)." European Scientific Journal ESJ 17, no. 43 (December 31, 2021): 18–49. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n43p18.

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Анотація:
The region of Ziguinchor, located in the south of Senegal, is entirely within Lower Casamance. Populated mainly by Ajamaat, this region is characterized geographically by a predominance of water landscapes that give it the image of an "amphibious" territory. This aquatic environment dominated by the Casamance River from which many bolongs stand out is also made up of mangroves, shallows and multitudes of ponds associated with them. The ajamaat populations thus draw an essential part of their resources from this environment. However, beyond its nourishing aspect, the aquatic environment occupies an important place in the traditional ajamaat beliefs. Considered as sanctuaries for many beings who populate the religious universe ajamaat, the water landscapes of Lower Casamance are sacred spaces whose access is subject to prohibitions. This aspect reflects the contribution of beliefs in the preservation of biodiversity.
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Pujante González, Domingo. "Ouverture : Quelque chose se passait…" HYBRIDA, no. 4 (June 29, 2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.4.24738.

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Анотація:
"Quelque chose se passait. Je le savais. Cet homme était là. Devant moi. Je ne le connaissais pas. Je ne l’avais jamais vu. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Pourquoi il me regardait ? Pourquoi je le regardais ? Mon cœur battait. Il battait fort. Je le voyais presque. Je le sentais. Dans ce petit corps d’adolescent, affaibli par ce soleil, et par le charme de cet inconnu d’en face". Tahir, Hicham (2015). Les Ruelles des pieds nus (p. 181). Casa-Express éditions. Deuxième solstice d’été pour la revue HYBRIDA… Rituel solitaire du feu, de la mer et de la lune… Nouveaux vœux pour tous et toutes… pour ceux et celles qui souffrent… pour les mères dévouées… pour mon père qui fait 80 ans. Fierté renouvelée en ce juin 2022, plus libre mais plus accéléré… plus individualiste… Espoir pour l’Ukraine et positionnement contre toute forme de totalitarisme et d’oppression… Notre revue se consolide et reçoit la considération des spécialistes qui permettent d’afficher le label de qualité et de soutenir, nunc et semper, une recherche engagée. Ce numéro 4 contient un Dossier central intitulé IDENTITÉ/S coordonné, magistralement il faut le préciser, par le professeur Walter Romero de l’Université de Buenos Aires en Argentine. Il regroupe dix articles venus d’espaces culturels différents qui se font écho : Côte d’Ivoire, Espagne, France, Maroc, Tunisie… Ils abordent et étudient des auteur·e·s aussi différent·e·s, et finalement aussi proches dans la thématique proposée, que Tahar Ben Jelloun, Fatima Daas, Alexandra David-Neel, Ariane Dreyfus, Carlos Fuentes, Édouard Glissant, Patrick Grainville, Laura Kasischke, Milan Kundera et Achille Mbembe, ainsi que d’autres productions audio-visuelles. En partant d’une orientation méthodologique spécialisée en études postcoloniales et migratoires et/ou en études culturelles, de genre et queer, tout en privilégiant les approches intersectionnelles où convergent plusieurs facteurs d’oppression et d’exclusion (classe, race, genre…), ce Dossier porte sur la polyvalente notion d’identité, concept fuyant et pluriel qui s’appuie sur l’idée d’hybridation culturelle. Les articles du Dossier prennent donc comme objet d’étude l’itinérance, l’errance et le déplacement, incluant l’idée de retour (récits de voyage, opposition entre les pays colonisés et les pays colonisateurs, entre le centre et la périphérie ou la banlieue, etc.). Ils insistent également sur les questions identitaires liées aussi bien à la mémoire qu’aux processus d’interculturalité, voire de transculturalité. Un autre aspect qui a été exploré est celui de l’identité individuelle et communautaire en relation avec les questions concernant la diversité sexuelle, ethnique, religieuse… mettant en valeur les récits et les sujets diasporiques, voire transgresseurs, tout en questionnant la normativité et les systèmes de domination. Dans notre section Mosaïque, nous publions deux articles spécialement intéressants : Ihab Abumallouh part d’une réflexion générale sur la présence de la sexualité dans la littérature maghrébine d’expression française pour centrer son analyse sur la sexualité dans son rapport avec la religion et la « raison/folie » chez Ben Jelloun. Stéphanie Parmentier, quant à elle, aborde les univers du livre numérique qui prennent un élan inespéré et gratifiant de nous jours, grâce aux nouvelles plateformes d’auto-édition et de lecture en étroit lien avec les réseaux sociaux. Dans la section Traces, nous avons l’honneur et l’énorme plaisir de publier en avant-première le texte inédit de Tassadit Imache, écrivaine que nous aimons et admirons, intitulé « Disparaitre dans un beau paysage » qui fera partie de son nouveau roman à paraitre en 2023. Sous le titre de « Sombras negras », nous publions également le témoignage poignant de l’artiste et activiste trans d’origine soudanaise Alex Medina, réfugiée politique en Espagne qui vient d’obtenir sa nationalité, ce dont nous nous réjouissons. Il ne nous reste qu’à remercier toutes les personnes qui nous aident, nous soutiennent et nous encouragent dans ce beau projet. Merci aux lecteurs et lectrices et merci aux chercheur·e·s du monde entier de nous envoyer vos propositions, vos créations et vos témoignages. Varius Multiplex Multiformis… (dixit Marguerite Y.). N’hésitez pas à succomber sous le charme de « cet inconnu d’en face ».
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Sikora, Przemyslaw. "Zwischen Ödland und sakralem Bereich – einige Bemerkungen zur Lage mittelalterlicher slawischer Gräberfelder." Praehistorische Zeitschrift 89, no. 2 (June 30, 2014): 404–21. http://dx.doi.org/10.1515/pz-2014-0025.

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Анотація:
Zusammenfassung: In der bisherigen Forschung wurde die Lage der frühmittelalterlichen slawischen Gräberfelder im Bezug zu ihrem naturräumlichen Kontext, zu einer archäo lo gisch nachweisbaren Siedlung sowie zu einem Heiligtum untersucht. Eine derartige Untersuchungsweise erlaubt zwar, die Lage der Gräberfelder genau zu bestimmen und zu beschreiben, jedoch bleibt der Grund dieser Lokalisierung immer noch unbekannt. Die wenigen schriftlichen Quellen erlauben nicht, die ursprünglichen Gründe der Lokalisierung der Bestattungsplätze festzustellen. Trotz dieser unzureichenden Bestätigung in den zeitgenössischen Schriftquellen wird die Lage der slawischen Gräberfelder – besonders derjenigen, die vor der Christianisierung entstanden sind – mit den Bestattungssitten in Zusammenhang gebracht und durch die slawischen Jenseitsvorstellungen erklärt. Aufgrund der archäologischen Nachweise kann man feststellen, dass die slawischen Gräberfelder, sowohl vor als auch nach der Christianisierung, sich in gewisser Entfernung von der Siedlung, meist jenseits eines Wasserlaufes oder tiefer Geländesenken und oft an schwer zugäng lichen Geländeformationen, wie Anhöhen befinden. Eine derartige Lage kann kultische Konnotationen suggerieren. Betrachtet man jedoch den Bestattungsplatz ausschließlich als einen integralen Teil der Siedlungskammer, wird eine andere Interpretation dieses Phänomens möglich. Eine Analyse der Lage der slawischen Gräberfelder aus dem ost- und westslawischen Siedlungsgebiet, die mit Bezug auf die Bodeneigenschaften durchgeführt wurde, lässt erkennen, dass die slawischen Bestattungsplätze sich immer in schwer zugänglichen und wirtschaftlich unattraktiven Bereichen einer Siedlungskammer befinden. Man darf daher vermuten, dass für ein Gräberfeld solche Gebiete einer Siedlungskammer ausgewählt wurden, die entweder von schlechter Bodenqualität waren, oder sich durch eine ungünstige Lage in Bezug zur Siedlung und zu den Transportwegen auszeichneten, sich z. B. hinter einem Geländehindernis befanden. Besonders bemerkenswert ist auch die Tatsache, dass sich eine derartige Lage sowohl für die Gräberfelder mit Brand- als auch jene mit Körperbestattungen nachweisen lässt. Daher muss festgestellt werden, dass der mit dem Religionswandel verbundene Übergang vom Brand- zum Körperritus keine Änderungen der Lage der Gräberfelder verursachte, eine Verbindung zu traditionellen oder christlich beeinflussten Begräbnissitten kann daher ausgeschlossen werden. Die für die Platzwahl in der Forschung vermuteten kultischen Kriterien finden keine Bestätigung in den archäologischen und schriftlichen Quellen. Résumé: Les recherches antérieures ont tenu compte de la situation topographique qu’occupaient les nécropoles slaves du Haut Moyen-Âge par rapport à leur milieu naturel, ou en relation avec un habitat documenté archéologiquement, ou encore envers un sanctuaire, mais une telle approche – bien qu’elle permette d’établir et de décrire précisément l’emplacement d’une nécropole – laisse inexplorées les raisons qui ont mené au choix d’un site. Les rares sources écrites qui ont survécu ne permettent pas de mieux cerner quelles étaient les facteurs à l’origine du choix d’un site funéraire. Malgré les maigres indices que ces sources peuvent nous donner, le présent article tente d’examiner l’emplacement des nécropoles slaves – en particulier celles établies avant la conversion au Christianisme – par rapport aux rites funéraires pratiqués et de mieux comprendre comment les Slaves percevaient l’au-delà. Les données archéologiques indiquent que les nécropoles slaves, avant et après la Christianisation des régions slaves, se trouvaient à une certaine distance des lieux d’habitat, très souvent au-delà d’un cours d’eau ou d’une gorge, et fréquemment situées sur un terrain peu accessible, par exemple sur une hauteur ou au fond d’une dépression. Ces emplacements pourraient avoir des connotations religieuses. Mais si l’on considère les lieux de sépultures exclusivement comme faisant partie intégrale des zones d’habitat, une autre interprétation peut être avancée. L’analyse de la situation topographique des nécropoles slaves dans les zones occupées par les Slaves de l’est et de l’ouest, conduite en prenant en compte les caractéristiques du sol, indique que ces nécropoles étaient toujours situées dans des lieux peu accessibles et peu productifs du point de vue de l’exploitation de la zone d’habitat. On peut en déduire que de telles situations avaient été choisies à dessein, soit à cause de la mauvaise qualité du terrain, soit parce qu’elles étaient mal placées par rapport à l’habitat et aux voies de communication, par exemple derrière un obstacle dans le paysage. Notons que ceci fut le cas tout autant pour les nécropoles contenant des crémations que celles à inhumations. Il en ressort que la transition entre les rites de crémation et les pratiques d’inhumation qui accompagna le changement de religion n’a pas eu de reflet dans le choix de l’emplacement des nécropoles. Le choix du site n’a donc pas été influencé par la transformation des rites funéraires traditionnels et Chrétiens. Les données que nous présentons ici, basées sur la documentation archéologique et un examen des sources écrites, suggèrent que les éléments cultuels n’étaient pas un facteur déterminant dans l’emplacement des nécropoles. Abstract: Research to date has considered the location of Early Medieval Slavic cemeteries in relation to their natural environment, to archaeologically documented settlements, and to the presence of sanctuaries. While such approaches enable us to establish and describe accurately the situation of a given cemetery, they do not address why a specific site was chosen. The few written sources at our disposal do not allow us to fathom the reasons why particular sites were chosen as burial places. Despite this meagre documentary evidence, the present article attempts to relate the location of Slavic cemeteries – especially those that came into being before conversion to Christianity – to burial rites and hence try to explain the Slavs’ perception of the afterworld. The archaeological evidence indicates that Slavic cemeteries, both before and after conversion to Christianity, were located at a certain distance from settlements, most often beyond a water course or a gorge, and frequently in a landscape that was not easily accessible, such as high ground or hollows. Such locations seem to have cultic connotations. But if we consider the place of burial exclusively as forming an integral part of the settlement environment, then another interpretation of the phenomenon becomes possible. The analysis of the location of Slavic cemeteries from the western and eastern Slav regions conducted in relation to an examination of soil properties indicates thatthe Slavic burial grounds were always located on ground that was difficult to access and on land that was unsuitable for agriculture within a given settlement area. It can be inferred that cemetery sites were earmarked for each settlement area either because of the poor quality of the land or because access was unsuitable with respect to the settlement and to transport routes, for example a location behind an obstacle in the landscape. The fact that such locations applied to inhumation as well as to cremation cemeteries is particularly worth noting. Indeed the transition from cremation to inhumation, which was connected to a change in religious practices, did not affect the location of cemeteries, and hence that the position of burial grounds was not related to traditional or newly-introduced Christian burial rites. The observations made here, corroborated by both archaeological and written sources, suggest that cultic aspects did not influence the choice of a specific location for a cemetery.
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Chacham, Vera. "A PRESENÇA DO PASSADO NA PAISAGEM ORIENTAL: DAS RUÍNAS MONUMENTAIS A UM ORIENTE DAS RUAS." Revista Letras 60 (December 31, 2003). http://dx.doi.org/10.5380/rel.v60i0.2857.

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Анотація:
Na transição do século XVIII ao XIX, o olhar do viajante ocidental sobre o Oriente muçulmano se transforma. A experiência de ruptura trazida pela Revolução Francesa acelera um processo de identificação do Oriente com o passado e com a imobilidade histórica. Assim, a narrativa de viagem ao Oriente no século XIX, ao se tornar literária, tem por este, sob influência do romantismo, um interesse exótico que privilegia o passado. Contudo, as referências e imagens deste passado na paisagem oriental são as mais diversas, possuindo mesmo, algumas vezes, sentidos opostos. Se esse passado é prioritariamente religioso em Chateaubriand, ele vai se tornando cada vez mais constitutivo da própria paisagem humana e presente em Lamartine e, em meio século, essa presença cotidiana do passado ganha um teor mais positivo. É o que se pode notar já a partir de Nerval, que assume um exotismo integral, no qual convivem e misturam-se o sujo, o belo, o velho, o sonho. A paisagem surge, assim, como uma forma de identificação intensa com o passado e, se sua composição reflete a busca da cor local, esboça também uma espécie de crítica ao que começa a se considerar como as faltas da civilização ocidental. Résumé À la fin du 18ème siècle le régard du voyageur européen sur l’Orient musulman se transforme. L’expérience de rupture amenée par la Révolution Française accélère le processus d’identification de l’Orient au passé et à l’immobilisme historique. De cette façon, le récit de voyage en Orient pendant le XIXe siècle, sous l’influence du romantisme, possède pour l’Orient un intérêt exotique qui privilegie le passé. Toutefois, les reférences, les images du passé dans le paysage oriental sont les plus divers, ayant même des significations quelques fois opposées. Si le passé est plutôt religieux chez Chateaubriant, il devient partie du paysage humain et présent chez Lamartine et, depuis un demie siècle, la présence du passé au cotidien gagne um aspect encore plus positif. On le remarque déjà chez Nerval, qui assume un exotisme intégral, dans lequel on voit mélangés le beau, le vieux, le laide, le rêve. Ainsi, il ne s’agit seulement d’une recherche de la couleur locale, mais aussi d’évasion et même d’une certaine critique de ce qu’on commence à apercevoir comme des pertes de la civilisation occidental.
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Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Анотація:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux

Дисертації з теми "Paysage – Aspect religieux":

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Karangwa, Jean-Marie Vianney. "L'Eglise institution face à l'individualisation du croire : théologie et droit de l'Eglise aux prises avec le paysage religieux." Strasbourg, 2011. https://publication-theses.unistra.fr/restreint/theses_doctorat/2011/KARANGWA_Jean-Marie_Vianney_2011.pdf.

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Le choix de la bipolarité « institution Église et individualisation du croire » se justifie par la recherche scientifique avec l’option de droit canonique. Il s’agit d’une démarche pluridisciplinaire promue par les chercheurs en droit ecclésial. La problématique éclaire les questions sur l’appartenance à deux sociétés, civile et ecclésiale. La première partie, avec un regard socio-théologique, cherche à caractériser individualisation et fait religieux. Elle veut montrer les enjeux du caractère antinomique de ces deux thèmes et comment sortir de la contradiction. Au travers des sections se dégagent les grands traits concrets du fait religieux, lequel cherche à répondre en s’appuyant sur un discours ecclésiologique. Notre approche est phénoménologique et théologique; s’y glisse l’individualisation du croire. La deuxième partie s’ouvre à la normativité du droit : dans quelle mesure le Magistère élabore des stratégies de la gestion de l’institution? La réflexion doctrinale de l’Église l’a conduite à rédiger un code, en tenant compte de l’idée de séparation « Église-État », ou du pluralisme religieux. Le diagnostic est patent : l’ecclesia décline vers l’individualisation, et cette dernière tend à la laïcisation, voire la déchristianisation. L’étude le montre : l’appartenance est nécessaire, tant à l’Église qu’à la société, et elle passe par la reconnaissance des instances sociétales et ecclésiales, s’inscrivant dans l’optique canonique et normative. Quelle perspective pour cette double appartenance? Est-elle envisageable? Quoi qu’il en soit de la complexité des questions soulevées (théologiques, dogmatiques, sociologiques et canoniques), la gestion de cette double appartenance doit être le fait du croyant aujourd’hui
It is appropriate to choose to study the institution of the Church and the individualization of belief using scientific research with regard to canon law. This entails dealing with the question following the multidisciplinary approach adopted by studies of church law. Such an investigation throws light on how civil and church societies are interdependent and belong together. The first part of the study, taking a social-theological view, seeks to describe individualization, on the one hand, and the reality of religion, on the other. It endeavours to show the contradictory interaction of these two themes and suggests how this may be resolved. Here the principal outlines of religious reality are examined, the exposition relying on a study of church forms and traditions. Our approach is phenomenological and theological : it is here that the individualization of belief comes in. The second part introduces the authoritative standard of law : to what extent the Magisterium influences the way the day-to-day life of the institution is conducted? The Church’s study of doctrine has led it to draw up a code, keeping in mind the concepts of the separation of “Church and State” or religious pluralism. The result is evident : the ecclesia is turning towards individualization, and this result in a tendency towards laicization, even de-christianization. The study shows this is happening. Interdependence and a mutual association are necessary, as much for the Church as for the society, and these belong together in the perspectives of both canon and normative law. What future lies ahead for their association? Can we suggest how it may happen? No matter how complex the questions raised, be they theological, dogmatic, sociological and canonical, bringing about this double association must be an objective for the believer of today
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Lawrence-Friedman, Sylvie. "Une nature pour mémoire : la réserve de paysages bibliques de Neot Kedumim en Israël." Brest, 2009. http://www.theses.fr/2009BRES1004.

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Анотація:
A travers la reconstruction d’un espace mémoriel, la réserve de paysages bibliques de Neot Kedumim articule les plantes et les paysages de façon a les relier aux valeurs culturelles et sociales juives. Le projet initial individuel de création de la réserve, calqué sur les idéaux sionistes et le contexte national de création de l’État d’Israèl, s’est trouvé amené à développer ces dernières années, en direction d’un public diasporique en manque d’investissement identitaire, une vocation à la fois touristique et mémorielle, conjuguant activités de plantation et expérimentations d’une scène naturelle comme produite de l’histoire et des textes traditionnels. Cette traversée des représentations de la nature dans la culture juive est suivie d’un décryptage des usages sociaux du cheminement sur des circuits à thèmes, des pratiques textuelles récurrentes des citations qui les accompagnent, enfin de l’utilisation particulière de la commémoration comme outil de réappropriation d’une mémoire et d’un territoire
Through the reconstruction of a memorial space, the Biblical Landscape Reserve of Neot Kedumim articulates plants and landscapes in order to link them to the cultural and social jewish values. The initial project of creation of the Reserve, modeled on the sionist ideals and the national context of the creation of the State of lsrael, was finally induced to develop these last years, towards a public issued from diaspora and lacking identity investment, a touristic and memory calling combining planting activities and experimenting a natural scene as a product from history and traditional texts. This crossing of the representations of nature in the jewish culture is followed by a deciphering of the social uses of hiking on thematic trails and of recurrent textual practices associated with, at last of the specific use of commemoration as a relevant tool for reappropriation of memory and territory
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Dalmon, Sébastien. "Espaces et lieux de culte des nymphes en Grèce ancienne." Paris 7, 2016. http://www.theses.fr/2016USPCC105.

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Анотація:
La représentation classique des Nymphes les réduit bien souvent à la condition de divinités féminines des espaces naturels. Ce travail se propose de dépasser cette vision quelque peu réductrice en analysant de manière précise le rapport de ces divinités avec différents types de lieux et d’espaces afin de tenter de dégager leurs modes d’action spécifiques, et notamment le type de médiation qu’elles opèrent, au sein du système polythéiste grec ancien. La première partie tente de dégager, dans les récits traditionnels transmis par les sources littéraires, et plus particulièrement la poésie (de l’époque archaïque à l’époque hellénistique, en intégrant l’Anthologie grecque), les différentes typologies de Nymphes et la manière dont elles agissent dans les espaces qu’elles fréquentent : monde aquatique (sources, fleuves, marécages, espace maritime), espaces agrestes (montagnes, grottes, bois et forêts, prairies), lieux éloignés (confins du monde, monde infernal) ou proches des hommes (jardins, espace domestique, espace de la cité). La seconde partie s’intéresse pour sa part aux différents lieux de culte des Nymphes (sources, grottes, autels, sanctuaires urbains, autres sanctuaires), étudiant leurs configurations variées, les témoignages archéologiques et épigraphiques, les rituels replacés en contexte et les associations divines que l’on peut y observer (en se limitant à la Grèce continentale jusqu’à la Thessalie et au site exceptionnel de Délos). Il s’agit aussi de voir comment le portrait des Nymphes dégagé par l’étude des sources poétiques s’accorde avec la réalité des cultes et leurs implantations, ou s’en éloigne parfois sur certains points
The common representation of the Nymphs often narrows them down to the condition of female deities of natural areas. This piece of work contemplates going beyond this somewhat reducing vision, by precisely assessing these deities’ relations with different types of places and spaces, and in doing so, tries to unfold their specific modes of action, including the mediation they operate within the ancient Greek polytheistic system. Part one endeavors to bring out various types of Nymphs and how they act in the spaces they inhabit in the traditional narratives known to literary sources, especially poetry (from the Archaic to the Hellenistic period, combining the Greek Anthology): water world (sources, rivers, wetlands, maritime space), rural spaces (mountains, caves, woods and forests, grasslands), remote locations (fringes of the world, underworld) or close to human beings (gardens, homes and the city space). Part two deals with Nymphs’ various places of worship (springs, caves, altars, urban and other sanctuaries), studying their diverse configurations, archaeological and epigraphic accounts, rituals put in context and divine associations one can discern (limited to mainland Greece up to Thessaly and the outstanding site of Delos). One may also have to look into the consistency–or occasionally, the disparity–of the Nymphs’ depiction in poetic sources, with the reality of cults and their location
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Gerber, René Joseph. ""Lis avec application les articles... et puis tu jugeras" : la réception des XII articles dans les "Flugschriften" de 1525." Phd thesis, Université de Strasbourg, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00869938.

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Les auteurs des Flugschriften mènent un combat pour la paix, chacun à sa manière. Luther veut sauvegarder la paix ; l'assemblée commune des autorités et des sujets de l'Ortenau veut rétablir la paix ; Melanchthon veut consolider la paix. De quelle paix s'agit-il ? Tout d'abord, le renoncement à la violence. Il s'agit essentiellement de sauvegarder la paix civile. Les Réformateurs, surtout Melanchthon, associent volontiers cette paix toute " extérieure " à la paix " intérieure que procure Dieu dans le cœur de celui qui place sa confiance en Lui. ". La paix ne peut pas être fondée sur un usage abusif de l'Ecriture. Luther dénonce le Droit divin qui, à ses yeux, relève d'un mésusage de l'Ecriture, et prône le " droit chrétien " : souffrir, et invoquer Dieu. L'assemblée commune des autorités et des sujets à Renchen ignore totalement ce Droit divin. Melanchthon condamne le recours à ce Droit divin. Aux arguments bibliques avancés par les paysans pour justifier leurs griefs et leur programme, Melanchthon en oppose d'autres pour récuser les XII articles. Luther le rappelle aux princes et aux seigneurs : ils doivent s'attacher à la Parole de Dieu ; qu'ils tiennent compte des articles des paysans qui sont souvent " justes et équitables " ; qu'ils engagent des négociations en vue d'une conciliation. Aux princes et aux seigneurs Melanchthon adresse ses suppliques pour assurer la paix future. Luther demande aux paysans de renoncer au Droit divin ; qu'ils adoptent le droit chrétien et qu'ils se gardent des faux prophètes ! Melanchthon déclare : le maintien de la paix implique pour le chrétien quelques renoncements et obligations. L'Ecriture condamne le recours à la violence illégitime.

Книги з теми "Paysage – Aspect religieux":

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Denys, François-Edouard. La voie du paysage: Réflexions métaphysiques. Lausanne: l'Âge d'Homme, 2000.

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Cousin, Catherine. Le monde des morts: Espaces et paysages de l'Au-delà dans l'imaginaire grec d'Homère à la fin du Ve siècle avant J.-C. Paris: L'Harmattan, 2012.

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Milne, Courtney. Visions of the goddess. Toronto: Penguin Studio, 1998.

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Miller, Sherrill, and Courtney Milne. Visions of the Goddess (Penguin Studio Books). Studio, 1999.

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