Добірка наукової літератури з теми "Progrès perpétuel"

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Статті в журналах з теми "Progrès perpétuel":

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Thérien, Claude. "De la beauté comme symbole de la paix perpétuelle." Dialogue 36, no. 4 (1997): 753–70. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300017649.

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Анотація:
AbstractIn this article I consider the Kantian preference for natural beauty from a socio-political point of view. Instead of only regarding the “intellectual” significance of beauty in nature as a symbol of morality, I show that the aesthetic appreciation of natural beauty must also be understood in its dialectical relation to society as “the place of antagonism.” By highlighting this dialectical understanding, I point out the socio-political contribution of aesthetic experience for the cultural progress of humanity. The fragility of beauty in the context of culture can be further interpreted as a symbol of the temporality of the project of perpetual peace in politics.
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Losurdo, Domenico. "Fichte, a Revolução Francesa e o ideal da Paz Perpétua / Fichte, the French Revolution and the ideal of Perpetual Peace." Brazilian Journal of International Relations 2, no. 1 (May 10, 2013): 178–231. http://dx.doi.org/10.36311/2237-7743.2013.v2n1.p178-231.

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Анотація:
Losurdo analisa neste texto, publicado originalmente em Il Pensiero – Rivista di Filosofia, Nuova Serie – vol. XXIV-XXV, 1983-1984, o tema da paz perpétua no pensamento de J.G. Fichte, destacando os temas da utopia, programa político, revolução, guerras comerciais, colonialismo, questão nacional e princípio do "equilíbrio" como fator de paz. O autor analisa o tema da paz perpétua em diversas obras políticas fichteanas, destacando o desenvolvimento do conceito obra a obra, comparando inclusive mudanças sutis de texto para texto, tendo como pano de fundo o despontamento da Revolução Francesa, num amplo percurso teórico e histórico sobre o pensamento internacionalista de Fichte. Abstract: Losurdo examines this text, originally published in Il Pensiero - Rivista di Filosofia, Nuova Serie - Vol. XXIV-XXV, 1983-1984, the theme of perpetual peace in the thought of JG Fichte, featurting the themes of utopia, political program, revolution, trade wars, colonialism, the national question and the principle of "balance" as a factor of peace. The author examines the theme of perpetual peace in several political works based on Fichte, highlighting the development of the concept work to work, comparing even subtle changes from text to text, with the rise of the French Revolution as backdrop, in a broad historical and theoretical course on Fichte internationalist thought.
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Elliott, Mark C. "La Chine modern: Les Mandchous et la définition de la nation." Annales. Histoire, Sciences Sociales 61, no. 6 (December 2006): 1445–76. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900030092.

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Анотація:
RésuméEst-il nécessaire de rappeler combien il fallut attendre pour que les intellectuels de culture européenne acceptent l’idée que la Chine ait une histoire – comme la France, l’Allemagne ou l’Angleterre –, et pas simplement un passé? Un rapide survol des écrits qui furent consacrés à l’« empire du Milieu » au cours des cent soixante-dix dernières années environ témoigne d’un grand intérêt pour le sujet, souvent de connaissances considérables, mais suggère presque à chaque ligne le présupposé que la Chine est restée en marge de l’histoire mondiale (de la Welt-geschichte, selon l’expression allemande). Devant l’absence de toute Renaissance, Réforme, révolution scientifique, Lumières et révolution industrielle, les historiens des xixe et xxe siècles ont essentiellement perçu la Chine comme un pays immuable, imperméable à l’écoulement du temps, en «perpétuelle stase », selon l’expression attribuée à Ranke. Si les avis pouvaient diverger quant au caractère irrémédiable, singulier, voire dangereux de cette immuabilité, l’accord était quasi unanime sur le fait que la Chine n’avait pas connu les différents facteurs économiques, sociaux et politiques qui s’étaient si magistralement conjugués pour introduire en Europe le progrès et la modernité, ou bien qu’elle y avait été réfractaire. N’avaitil pas fallu l’arrivée des puissances occidentales aux portes de la Chine au xixe siècle pour l’ébranler enfin? Ne fut-ce pas uniquement sous la pression extérieure, la contrainte, que la Chine sortit de sa torpeur séculaire pour rejoindre, de force, le plus large flot des événements internationaux? Alors seulement, elle était entrée dans l’Histoire.
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Colonel, Audrey. "De l’inventeur héroïque aux innovations collectives : la ganterie grenobloise en quête perpétuelle du progrès (1830-1930)." Technologie et innovation 7, no. 1 (2022). http://dx.doi.org/10.21494/iste.op.2021.0766.

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Dufour, Christine. "L’évaluation continue de programme comme stratégie d’ajustement aux environnements disciplinaire et professionnel pour les écoles de bibliothéconomie et des sciences de l’information." Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, October 30, 2013. http://dx.doi.org/10.29173/cais213.

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Анотація:
Dans un monde en perpétuelle transformation, la capacité des programmes universitaires à s’adapter rapidement à leur environnement devient un véritable avantage stratégique. Un exemple de méthodologie qui tire profit des ressources des départements est ici présenté. Des projets pilotes, qui ont validé les méthodes proposées, sont également discutés. University departments gravitate in changing environments. They can gain a strategic advantage by implementing effective continuous program evaluation mechanisms. This communication describes a methodology that exploits resources and processes already in place in departments. This methodology has been validated through different pilot projects from which selected results will be presented.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Анотація:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Ali, Setti Raïs, and Sandy Tubeuf. "Numéro 154 - décembre 2019." Regards économiques, December 17, 2019. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2019.12.12.01.

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Le 16 décembre 2019, l’Europe fête le vingtième anniversaire de l’adoption de la règlementation sur les médicaments orphelins qui encourageait les industriels à plus de recherche pour les maladies rares. Cette règlementation a conduit à une augmentation du nombre d'essais cliniques et de publications scientifiques concernant les maladies rares. Cependant, cette hausse n’a pas bénéficié équitablement à toutes les maladies rares. Les investissements en recherche et développement ciblent tout particulièrement les maladies rares les plus fréquentes dans la population; celles qui surviennent à l’âge adulte; celles qui sont caractérisées par un âge au décès prématuré chez les adultes. Ainsi, ce sont les maladies qui touchent la petite enfance qui reçoivent les plus faibles investissements alors même qu’une maladie rare sur deux touche des enfants. De plus, s’il y a effectivement de plus en plus de médicaments orphelins qui arrivent sur le marché européen, les prix demandés par les firmes pharmaceutiques sont très élevés et sont un obstacle à l'accès des patients. Pourquoi ces médicaments sont-ils si chers ? Le taux de succès moyen des thérapies en développement, des prémices de la recherche clinique jusqu’à l’autorisation de mise sur le marché d’un nouveau médicament, est faible. Ainsi les industriels compensent leur investissement avec un prix élevé. A cela s’ajoute la détermination du prix selon le principe du «value based pricing». Un fabricant définit le prix d'un bien qu'il produit en prenant en compte le bénéfice que tirera l'utilisateur de ce bien. Pour les maladies rares, la mise sur le marché d'un nouveau traitement alors qu’il n’en existe aucun jusqu’alors, constitue une innovation dont la valeur thérapeutique est majeure. Les industriels justifient alors un prix fort par les propriétés supérieures voire uniques du médicament. Néanmoins, nous défendons l’idée qu’il est possible de maitriser la perpétuelle hausse observée dans le prix des médicaments orphelins et formulons trois recommandations. Premièrement, il faut poursuivre les efforts de la plupart des pays européens à établir des registres nationaux recensant les patients avec des maladies rares. La mise en commun de ces bases de données permettra de produire plus efficacement des connaissances sur les maladies rares. Elle permettra surtout de connaître précisément et en temps réel le nombre de patients concernés par un médicament orphelin. Ainsi, on pourra évaluer le véritable impact budgétaire d’une décision de remboursement de tel ou tel autre traitement sur le budget total de la santé au niveau national comme européen. Deuxièmement, il faut accroitre le pouvoir de négociation des décideurs politiques avec les industriels. Ce pouvoir peut prendre la forme d’un partage du risque qu’un médicament ne soit pas efficace pour certains patients. Il peut également provenir d’une plus grande coordination des pays européens pour réaliser une négociation de prix commune. Enfin, il faut accroitre la transparence des coûts de recherche et de développement et celle des négociations portant sur les prix des médicaments de manière à tendre vers des prix plus équitables. Que représentent les financements publics ou les contributions d'associations dans la recherche et le développement de chaque médicament ? Comment le gain de progrès thérapeutique est-il estimé et valorisé monétairement ? Les firmes pharmaceutiques poursuivant un objectif de profit, une façon de contenir l’impact de cet objectif dans la fixation des prix serait d'introduire des défenseurs de l’intérêt des patients et du bien commun de la société dans le conseil d’administration de ces firmes.
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Schmidt, Rachel. "Contesting the Fighter Identity: Framing, Desertion, and Gender in Colombia." International Studies Quarterly, October 23, 2020. http://dx.doi.org/10.1093/isq/sqaa075.

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Abstract The growing literature on desertion from insurgent groups focuses almost exclusively on male deserters, with few comparisons to combatants who choose to stay and little consideration of women combatants or the gendered norms and narratives that restrict combatants’ options. As governments increasingly emphasize “counter-narratives” to prevent radicalization and encourage disengagement from non-state armed groups, there is insufficient empirical evidence on how such framing contests between governments and insurgents might affect how recruits calculate their options. With “deradicalization” programs proliferating globally, and disarmament, disengagement, and reintegration (DDR) programs continuing to perpetuate gender stereotypes, it is critical to examine why some men and women disengage from violence while others stay, how they evaluate these decisions, and how gendered norms affect these decisions. Based on over 100 interviews with men and women ex-combatants across seven departments of Colombia, this article examines the effects of framing contests between the FARC guerrillas and the Colombian government, in which gender norms and gendered power dynamics play key roles. This paper argues that these gendered framing contests are critical to individual combatants’ disengagement decisions and, in particular, influence how women combatants perceive their alternatives and manage their exit pathways out of non-state armed groups. Las crecientes publicaciones sobre la deserción de combatientes de los grupos rebeldes se centran casi exclusivamente en los desertores hombres, con pocas comparaciones con los combatientes que deciden quedarse y poca consideración de las combatientes mujeres o la influencia del género en las normas y la narrativa que restringen las opciones de los combatientes. A medida que los gobiernos hacen cada vez más hincapié en las “contranarrativas” para evitar la radicalización y fomentar la desmovilización de los grupos armados no estatales, no hay pruebas empíricas suficientes sobre cómo dichas disputas de estructuración entre los gobiernos y los rebeldes podrían afectar la manera en que los reclutas determinan sus opciones. Con la proliferación de programas de “desradicalización” en todo el mundo, y dado que las iniciativas de desarme, desmovilización y reintegración (Disarmament, Disengagement, and Reintegration, DDR) siguen perpetuando los estereotipos de género, es fundamental analizar por qué algunos hombres y mujeres se desvinculan de la violencia mientras que otros no, cómo evalúan estas decisiones y de qué manera las normas en función del género influyen en estas determinaciones. A partir de más de 100 entrevistas a hombres y mujeres excombatientes en siete departamentos de Colombia, este artículo analiza los efectos de las disputas de estructuración entre la guerrilla de las FARC y el gobierno colombiano, donde las normas y las dinámicas del poder en función del género juegan un papel clave. En este documento, se sostiene que dichas disputas de estructuración influenciadas por el género son fundamentales para las decisiones de desmovilización de los combatientes y, en especial, influyen en la manera en que las combatientes mujeres perciben sus alternativas y gestionan sus vías de escape de los grupos armados no estatales. La littérature croissante portant sur la désertion des groupes d'insurgés se concentre presque exclusivement sur les hommes déserteurs, avec peu de comparaisons avec les combattants qui choisissent de rester et peu de considération pour les femmes combattantes ou les normes et récits sexospécifiques qui limitent le panel de combattants abordés. Alors que les gouvernements mettent de plus en plus l'accent sur les « contre-récits » pour prévenir la radicalisation et encourager le désengagement des groupes armés non étatiques, les preuves empiriques de la mesure dans laquelle un tel cadrage des conflits entre gouvernements et insurgés pourrait affecter la façon dont les recrues calculent leurs options sont insuffisantes. Tandis que les programmes de « déradicalisation » prolifèrent dans le monde entier et que les programmes de désarmement, de désengagement et de réintégration continuent à perpétuer les stéréotypes de genre, il est essentiel d’étudier les raisons pour lesquelles certains hommes et certaines femmes se désengagent de la violence contrairement à d'autres, les facteurs que ces personnes prennent en compte dans leur décision, et la manière dont les normes sexospécifiques affectent ces décisions. Cet article s'appuie sur plus de 100 entretiens avec des hommes et femmes ayant précédemment combattu dans sept départements de Colombie pour analyser les effets du cadrage des conflits entre les insurgés des FARC et le gouvernement colombien, dans lesquels les normes de genre et les dynamiques de pouvoir liées au genre jouent des rôles clés. Il soutient que ce cadrage sexospécifique des conflits est essentiel aux décisions de désengagement des combattants individuels, en particulier pour influencer la manière dont les combattantes perçoivent leurs alternatives et gèrent leurs voies de sortie des groupes armés non-étatiques.

Дисертації з теми "Progrès perpétuel":

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Zhang, Liang. "Le progrès perpétuel (ΕIIΕΚΤΑΣΙΣ) selon Saint Grégoire de Nysse : études sur la terminologie, les fondements, les moyens et les effets". Thesis, Université de Lorraine, 2022. http://www.theses.fr/2022LORR0101.

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Par « épectase », une idée fondamentale de Grégoire de Nysse, on désigne habituellement le progrès perpétuel de l'âme vers et dans la perfection de la vertu (cf. Ph 3, 13-14). Le mot « épectase », qui vient du terme grec ἐπεκτείνω, possède-t-il un sens unique ou a-t-il des significations nuancées chez Grégoire ? Quelles sont les éléments constitutifs du progrès perpétuel, la dimension rationnelle comme le soutient Ekkehard Mühlenberg, ou la dimension mystique comme le montre Jean Daniélou ? Est-il méthodologiquement justifié d'étudier Grégoire et les Pères de l'Église en distinguant dans leurs œuvres la philosophie, la théologie, l'anthropologie…, alors qu'ils ne le font pas eux-mêmes ? La thèse tente d'étudier d'une manière synthétique l'épectase en vue de montrer son originalité par rapport au monde grec et sa place dans les œuvres et la pensée de Grégoire. La thèse commence par une analyse des termes et des textes concernés en vue d'éclairer les significations du terme ἐπεκτείνω dans les différents contextes et de voir la continuité et l'évolution de la pensée de Grégoire. La deuxième partie traite des fondements du progrès perpétuel. La différence infranchissable entre le Créateur et les créatures est essentielle : Dieu est immuable tandis que l'être humain est soumis à la loi du changement ; Dieu est infini et illimité tandis que l'être humain ne l'est pas par nature, mais il possède une sorte d'« infinité » grâce à la participation à Dieu ; l'être humain peut connaître certaines choses de Dieu mais ne peut jamais comprendre totalement Dieu. L'humanité est créée à l'image de Dieu, ce qui manifeste à la fois la ressemblance et la dissemblance avec Dieu ; elle doit devenir davantage semblable à Dieu sans jamais lui devenir identique. La troisième partie essaie de montrer les moyens du progrès. Pour manifester sa pensée, Grégoire utilise souvent des images comme la course, l'échelle, le vol, la montagne…, et donne des modèles comme Moïse, l'Épouse, Paul, David, Basile… La purification continuelle et la divinisation sont aussi des moyens. La vraie liberté selon Grégoire est de toujours choisir le bien et de maintenir ce choix. La dernière partie traite les effets du progrès perpétuel. L'impact le plus remarquable est l'aspect spirituel voire mystique dans lequel nous trouvons de nombreux oxymores et d'expressions paradoxales. Il est important de souligner l'aspect eschatologique en montrant les relations entre l'épectase, l'état originel, et l'apocatastase. Si tous les trois manifestent la perfection, quels sont les liens entre eux ?
The perpetual progress of the soul towards the perfection of virtue is usually designated as "epektasis", a basic concept of Gregory of Nyssa (cf. Phil 3, 13-14). Does the word "epektasis", which comes from the Greek term ἐπεκτείνω, have a single meaning or different meanings in Gregory? What are the treasures of the perpetual progress? Is it more about the rational dimension as Ekkehard Mühlenberg focuses on, or the mystical dimension as Jean Daniélou shows? Is it methodologically justified to study Gregory and the Fathers of the Church by distinguishing in their works philosophy, theology, anthropology, etc., when they did not do so themselves? Are there other methods to study the Fathers? The thesis tries to study in a synthetic way the epektasis to show its originality and its place in Gregory's works and thoughts. The thesis begins with an analysis of the relevant terms and texts to clarify the meanings of the term ἐπεκτείνω in the contexts and demonstrates the continuity and evolution of Gregory's thought. The second part deals with the foundations of perpetual progress. The radical difference between the Creator and the creatures is essential: God is immutable while human beings are always changing; God is infinite and limitless while human beings are not by nature but possesses a kind of “infinity” by participation in God; human beings can acquire certain knowledge about God but can never completely understand God. Humanity is created in the image of God, which manifests both likeness and unlikeness to God; he must become more like God without ever becoming identical. The third part tries to show the means of progress. To manifest his thoughts, Gregory often uses images such as the race, the ladder, the flight, the mountain, etc., and takes Moses, the Spouse, Paul, David, Basil, etc. as models of epektasis. Continual purification and divinization are also means. True freedom according to Gregory is to always choose the good and to maintain this choice. The last part deals with the effects of perpetual progress. The most remarkable impact is the spiritual or even mystical aspect in which we find many oxymorons and paradoxical expressions. It is important to emphasize the eschatological aspect by showing the relations between epektasis, the original state and apocatastasis. If all three manifest the perfection, what are the links between them?
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Junior, Oswaldo Gonçalves. "Iniciativa privada na educação pública: a Fiat e o Programa Moto Perpétuo." Universidade de São Paulo, 2004. http://www.teses.usp.br/teses/disponiveis/48/48134/tde-07112007-114334/.

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Este trabalho tem como meta confrontar estudos teóricos sobre a problemática das ações sociais de empresas com os resultados de um estudo de caso sobre o Programa Moto Perpétuo da Fiat Automóveis S.A. que, durante cinco anos (1997 a 2001), voltou-se à doação de kits de materiais paradidáticos para milhares de escolas de diferentes regiões do Brasil. Apesar do amplo alcance do Programa, base na qual seus promotores se apoiaram para afirmar tratar-se da maior parceria da iniciativa privada com o governo federal dentro do Acorda Brasil! Está na hora da Escola - programa do Ministério da Educação dedicado a estimular a participação da iniciativa privada através de ações em prol da educação -, não havia, até o momento, nenhum estudo que demonstrasse os efeitos práticos dessa ação, seja na melhoria da educação (propósito declarado como motivação principal para sua existência), seja nas implicações de um redimensionamento das esferas pública e privada, assunto que acalora muitos debates na atualidade. Diante dessas constatações, optou-se pela realização de levantamento e leitura de diferentes fontes que tratam, de maneira direta ou não, da chamada responsabilidade social de empresas. Além de passo fundamental para uma adequada abordagem do objeto estudado, em última instância, esta etapa possibilitou subsidiar inferências mais amplas sobre este tema que condensa interesses conflitantes, na maioria das vezes expressos por discursos de promoção e de crítica mais afeitos às ideologias que espelhados no significado concreto de muitas dessas ações sociais. Numa outra parte, mediante informações obtidas com a realização de entrevistas e pelo levantamento e exame de diversos documentos, se analisou o Programa Moto Perpétuo. Como um exemplo da atuação privada junto ao setor público, pôde-se verificar que as correntes expectativas da eficiência de gestão e transferência de recursos em quantidade e qualidade suficientes não se concretizaram. Não obstante, os números sobre o Programa que foram divulgados (alunos e escolas beneficiadas e montante de recursos investidos), comparativamente altos diante de outras iniciativas deste tipo, foram componentes do êxito na construção de uma imagem positiva por parte dos promotores dessa ação junto a setores da opinião pública. Na somatória dessas constatações e de outros aspectos analisados, foi possível demonstrar que prevaleceram interesses de ordem comercial em detrimento das motivações declaradas da iniciativa de ajuda à educação. Apesar de não se poder afirmar que a iniciativa tenha resultado num avanço privado redefinidor do caráter público dos sistemas estadual e municipal de ensino atingidos pelo Programa, há indícios de que a implementação do Moto Perpétuo esteve condicionada pelas relações público (governo federal) - privado (empresa do setor automobilístico), representando um inédito capítulo centrado na educação, frente a um panorama no qual sobressaem historicamente acordos de ajuda mútua de caráter político-econômico.
The aim of this research is to confront theoretical studies about the problematic of social actions promoted by private companies with the results of a case study focusing the Moto Perpétuo Program sponsored by Fiat automobiles S.A. which, for five years (1997 a 2001), donated kits of educational materials to thousands of schools from different regions of Brazil. Despite the ample reach of the Program, in which its promoters based themselves to assert that it was the biggest partnership of a private institution with the Brazilian Federal Government Program of Education Acorda Brasil! Está na hora da escola (Wake up Brazil! It´s time of school) destined to encourage private institutions to act for the education there wasn t, up to now, any study that could demonstrate the practical effects of this action, whether it was for the educational improvement (declared purpose as the main motivation for its existence), or in the implications to reassess the extent of the public and private spheres, a question that heats many debates nowadays. In the face of these observations, it was opted to do a reading and research from different sources that deal, directly or not, with the business social responsibility. More than a fundamental step for an appropriated approach of the studied object, this stage permitted to subsidise broader inferences about this subject, which condenses conflicting interests, frequently expressed by speeches of promotion and criticism more accustomed to ideologies than mirrored in the concrete meaning of many of these social actions. In another part, the Moto Perpétuo Program was analysed by the information obtained from interviews and researches. As an example of the private acting in the public sector, it was verified that the current expectations of management efficiency and transfer of resources, in quantity and quality, didn t come true. Nevertheless, the data published about the Program (resources invested, students and schools benefited) comparatively high in the face of other initiatives like that, were components of success in the construction of a positive image made by the promoters of this action for the public opinion. In the sum of these observations and other aspects analysed, it was possible to demonstrate that commercial interests prevailed over the declared motivations to assist the education. Although it was not possible to assert that the initiative has resulted in a private advancement redefining the public nature of the State and Municipal system of teaching reached by the Program, there are evidences that the implementation of the Moto Perpétuo was conditioned by the relationship between the public (Federal Government) and the private (automobiles company), representing an unheard-of chapter centred on the education, facing a survey that stands out agreements of mutual help of political-economical nature.

Звіти організацій з теми "Progrès perpétuel":

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Renforcer les droits des femmes autochtones et rurales dans la gouvernance des terres communautaires: Dix facteurs de réussite. Rights and Resources Initiative, April 2019. http://dx.doi.org/10.53892/rnuc1928.

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De tout temps, les injustices que subissent les femmes en matière de droits fonciers communautaires ont été monnaie courante. Elles sont généralement perpétuées par des pratiques patriarcales au sein des communautés, des normes coutumières et des législations publiques qui négligent, voire discriminent ouvertement, les droits fonciers des femmes rurales et autochtones. S’il est vrai que de plus en plus d’hommes et de femmes remettent en question les coutumes patriarcales au niveau local et s’emploient à les transformer positivement, cette recherche montre que dans les PRFI les droits qui permettraient aux femmes de peser significativement sur les décisions qui déterminent l’utilisation, la gestion, la conservation, la distribution et la transmission des terres et des ressources communautaires demeurent insuffisamment protégés par les lois nationales. De ce point de vue, d’encourageantes initiatives couronnées de succès ont été menées par des groupes locaux et par un large éventail d’organisations de développement, avec pour objectif de promouvoir les droits de gouvernance foncière de femmes rurales et de leurs communautés, le récit de leur progrès mettant en exergue l’autonomie des femmes, leur pouvoir et leur potentiel. Le présent rapport s’attèle au traitement de ces lacunes en identifiant les facteurs qui ont contribué au succès des initiatives locales, nationales et régionales conduites dans des PRFI pour renforcer les droits de gouvernance des femmes autochtones et rurales sur les terres communautaires.

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