Статті в журналах з теми "Prunus – Résistance aux maladies"

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Maillard, Jean-Charles. "La résistance génétique aux maladies animales." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 2 (February 1, 1998): 106–8. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9633.

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Анотація:
Les moyens de lutte antivectoriels et les différentes campagnes d'éradication ont souvent eu des effets limités géographiquement et dans le temps, avec des mesures de conservation qui se sont révélées parfois décevantes. A partir de ce constat, la lutte génétique est devenue une alternative très prometteuse pour l'avenir dans le cadre de programmes de lutte intégrée contre les maladies des espèces domestiques d'intérêt zootechnique. L'Office international des épizooties (OIE) vient de publier un numéro spécial de sa Revue scientifique et technique qui est entièrement consacré à la "Résistance génétique aux maladies animales"
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PINON, J. "La sélection pour la résistance aux maladies." Revue Forestière Française, S (1986): 228. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25732.

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MANDONNET, N., E. TILLARD, B. FAYE, A. COLLIN, J. L. GOURDINE, M. NAVES, D. BASTIANELLI, M. TIXIER-BOICHARD, and D. RENAUDEAU. "Adaptation des animaux d’élevage aux multiples contraintes des régions chaudes." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 41–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3236.

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Анотація:
En zones difficiles, la pérennité des systèmes d’élevage repose sur la capacité des animaux à survivre, se reproduire et maintenir un niveau de production en situation de fortes contraintes. Les principales contraintes auxquelles les animaux doivent faire face en régions chaudes, sont le climat (température et humidité), la sous-nutrition et les pathologies. Chez les monogastriques comme chez les ruminants, les caractéristiques anatomiques et le comportement alimentaire constituent les principaux facteurs de régulation des échanges thermiques. L’élément clé de l’adaptation comportementale des ruminants à la sous-alimentation est leur capacité à choisir leur alimentation. L’adaptation physiologique porte sur la réduction du métabolisme basal, l’efficience digestive, la valorisation de fourrages grossiers, la mobilisation des réserves corporelles, le recyclage des nutriments et la valorisation efficiente de l’eau. Les travaux les plus significatifs sur la résistance génétique aux maladies portent sur la trypanotolérance, la résistance aux maladies transmises par les tiques et les strongyloses gastro-intestinales. Dans l’élevage moderne, la gestion de ces contraintes environnementales doit se concevoir de façon intégrée. Différentes techniques d’alimentation, de prophylaxie, de gestion d’ambiance des bâtiments d’élevage doivent être combinées pour garantir durablement la pérennité des systèmes d’élevage. Cependant, l’efficacité de cette approche intégrée repose également sur le potentiel adaptatif des animaux pour répondre aux pratiques mises en œuvre. Le développement des productions animales en régions chaudes ne pourra être garanti sans l’utilisation de l’adaptation naturelle des populations animales ou pour le moins, sans inclure les caractères d’adaptation dans les objectifs de sélection des races locales ou spécialisées.
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Simonnet, Émilie, and Isabelle Brunet. "Les fonctions de l’innervation sympathique artérielle." médecine/sciences 35, no. 8-9 (August 2019): 643–50. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2019131.

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Анотація:
L’innervation sympathique artérielle (ISA) est un processus biologique complexe nécessitant un guidage fin des axones des neurones sympathiques par les artères. L’ISA est un élément clé de l’adaptation du système cardiovasculaire aux différentes contraintes (exposition au froid, exercice, etc.) : elle contrôle le diamètre des artères de résistance, donc le flux sanguin parvenant aux organes et la pression artérielle systémique via la modulation du tonus artériel. Son importance lors du vieillissement et dans de nombreux contextes pathologiques est de mieux en mieux reconnue et comprise. Son intégration à la prise en charge de nombreuses maladies (hypertension, cancer, etc.) permettrait d’en améliorer traitements et pronostic.
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TAMIETTI, Giacomo, and Claude ALABOUVETTE. "Résistance des sols aux maladies : XIII - Rôle des Fusarium oxysporum non pathogènes dans les mécanismes de résistance d'un sol de Noirmoutier aux fusarioses vasculaires." Agronomie 6, no. 6 (1986): 541–48. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19860606.

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QUILLET, E., P. BOUDRY, and S. LAPEGUE. "Variabilité génétique de la réponse aux organismes pathogènes : un outil pour améliorer la santé des mollusques et poissons d’élevage." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 239–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3464.

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Анотація:
L’amélioration de la santé des cheptels est une composante essentielle du développement durable des filières aquacoles. La sélection d’animaux résistants aux différents organismes pathogènes rencontrés en élevage est une des stratégies possibles, complémentaire des approches prophylactiques, médicamenteuses ou vaccinales qui sont parfois difficiles à mettre en œuvre. L’analyse de la littérature scientifique permet en effet de conclure qu’il existe, dans les espèces et populations de mollusques et de poissons, une variabilité génétique de la résistance potentiellement exploitable par sélection. Les conditions d’exploitation de ce potentiel sont analysées. Pour des caractères complexes comme la résistance aux maladies, la mise au point de «marqueurs» susceptibles de fournir de l’information sur la valeur génétique des individus sans recourir à l’épreuve par le pathogène serait une aide précieuse pour mettre la sélection en pratique. Les travaux et perspectives dans ce domaine sont présentés, et leurs répercussions sur les stratégies possibles d’amélioration génétique discutées dans le contexte des filières aquacoles françaises.
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Totté, Philippe, A. L. W. De Gee, and John Wérenne. "Le rôle des interférons dans les maladies infectieuses du bovin : leurs effets sur les virus et les rickettsies." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (January 1, 1993): 83–86. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9403.

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Анотація:
Le traitement aux interférons (IFN) fournit une protection chez le bovin contre certaines infections virales expérimentales. L'efficacité du traitement a été démontrée contre des infections par le virus de la vaccine et par un rotavirus. En revanche, des infections par le virus de l'herpès bovin, BHV1 (cause de la rhinotrachéite et partiellement du complexe de la fièvre de transport), ne sont pas inhibées par IFN. Le rôle d'IFN dans la résistance des bovins à Cowdria ruminantium a été étudié au Zimbabwe. Une bonne corrélation a été trouvée entre la production d'IFN par l'animal après l'infection et sa résistance contre la rickettsie. Cela pourrait indiquer un rôle d'appui des interférons et d'autres cytokines.
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ESMENJAUD, D., G. SALESSES, J. C. MINOT, R. VOISIN, and A. BONNET. "Résistance des arbres fruitiers à noyau aux nématodes à galles: étude du modèle Prunus cerasifera1." EPPO Bulletin 24, no. 2 (June 1994): 501–9. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1994.tb01411.x.

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Naves, Michel, F. Vallée, and Nicolas Barré. "Observations sur un foyer de dermatophilose sur des bovins Brahman en Guadeloupe. Description, aspects épidémiologiques et économiques." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (January 1, 1993): 297–302. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9382.

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Анотація:
Un foyer de dermatophilose grave est apparu en 1985 dans un troupeau de vaches Brahman importées de la Martinique en Guadeloupe en juillet 1983. La maladie était peu connue en Guadeloupe jusqu'alors, car la race zébu locale possède une résistance naturelle élevée aux maladies transmises par tiques ou associées à elles. Les conditions de l'apparition et du développement de la maladie ont été étudiées en rapport avec la gestion du troupeau, le climat et les traitements appliqués. les résultats ont démontré l'importance économique de cette maladie grave pour les bovins de la région, ainsi que la sensibilité des races exotiques.
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Schneider, C., J. L. Spring, C. Onimus, E. Prado, T. Verdenal, G. Lemarquis, F. Lorenzini, et al. "Programme de collaboration franco-suisse pour la création de nouvelles variétés de vigne durablement résistantes au mildiou et à l'oïdium." BIO Web of Conferences 15 (2019): 01018. http://dx.doi.org/10.1051/bioconf/20191501018.

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Анотація:
Une alternative aux traitements phytosanitaires pour lutter contre le mildiou et l'oïdium de la vigne est le développement de variétés résistantes. Leur création doit intégrer non seulement le niveau de résistance mais également sa durabilité, ainsi que les performances agronomiques notamment la productivité et la composition des baies qui doit convenir à la production de vins de haute qualité. L'Inra (France) a engagé le programme de sélection ResDur, basé sur le pyramidage des facteurs de résistance, en 2000. Il a conduit à l'inscription au catalogue français d'une première série de variétés à résistance polygénique – Artaban, Floreal, Vidoc, Voltis – en 2018. Agroscope (Suisse) a démarré la création de variétés résistantes en 1996, en mobilisant les résistances portées par des variétés allemandes, principalement Bronner. Un premier aboutissement a été l'homologation en Suisse de Divico et Divona, respectivement en 2013 et 2018. En 2009 l'Inra et Agroscope ont démarré un programme de sélection commun, visant à combiner les facteurs de résistance aux maladies présents de manière complémentaire dans leurs lignées respectives. Les croisements réalisés ont généré, après sélection assistée par marqueurs, 400 descendants porteurs des facteurs de résistanceRpv1, Rpv10 et/ou Rpv3 ; Run1, Ren3 et/ou Ren3.2. Leur phénotypage agronomique et œnologique est réalisé dans le cadre d'un réseau d'essais situés dans les deux Instituts à Colmar (FR) et à Pully (CH). Les premières observations pluriannuelles, portant sur 80 descendants, ont permis d'étudier leur stabilité phénotypique pour les caractères de résistance, les traits culturaux et la qualité des vins. A l'issue de cette étape, quinze variétés candidates ont été sélectionnées et installées en essais d'évaluation de leur valeur agronomique, technologique et environnementale (VATE) en Valais (CH), ainsi que dans trois régions françaises (Champagne, Val de Loire, Vallée du Rhône). L'inscription au catalogue des premières co-obtentions Inra/Agroscope est prévue à l'horizon 2024–2025.
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RICORDEAU, G., F. BARILLET, J. P. BIDANEL, J. BOUIX, V. DUCROCQ, F. MENISSIER, and H. De Rochambeau. "Les objectifs et les critères de sélection : Synthèse des estimations de la variabilité génétique et des liaisons entre caractères dans les différentes espèces." INRAE Productions Animales 5, HS (December 29, 1992): 107–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4272.

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Анотація:
Cet article synthétise les estimations des héritabilités et des corrélations génétiques entre les principaux caractères d’intérêt zootechnique pour différentes espèces de mammifères domestiques (bovins, ovins, caprins, porcins et lapins). Les caractères étudiés sont ceux relatifs à la production de lait et de viande. On donne aussi quelques indications pour des caractères d’adaptation au milieu ou de résistance aux maladies. La connaissance de ces paramètres génétiques est indispensable pour choisir les objectifs et les critères de sélection. Depuis quelques années on s’intéresse à de nouveaux caractères, plus analytiques que ceux qui étaient étudiés traditionnellement. Il s’agit par exemple des composantes de la taille de la portée ou de l’efficacité alimentaire.
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Perrin, R. "La résistance des sols forestiers aux maladies provoquées parPythium spp.: Relation avec les conditions stationnelles et déterminisme." Plant and Soil 94, no. 2 (June 1986): 203–12. http://dx.doi.org/10.1007/bf02374344.

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BEAUMONT, C., and H. CHAPUIS. "Génétique et sélection avicoles : évolution des méthodes et des caractères." INRAE Productions Animales 17, no. 1 (March 20, 2004): 35–43. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.1.3551.

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La génétique a largement contribué au développement considérable de la filière avicole, notamment du fait des caractéristiques biologiques des espèces avicoles, particulièrement favorables à la sélection. Les demandes actuelles des consommateurs et des professionnels de la filière avicole amènent le généticien à considérer de nouveaux caractères : qualité des produits, résistance aux maladies (infectieuses ou non), réduction des rejets d’effluents, bien-être des animaux… En parallèle les méthodes d’analyse progressent vers une meilleure modélisation des caractères et des effets génétiques mais aussi vers une intégration des résultats de génétique moléculaire. L’ensemble permet non seulement d’introduire en sélection de nouveaux critères, mais aussi de renouveler l’étude des caractères déjà sélectionnés, tels que la croissance ou la ponte.
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ELSEN, J. M. "Sélection sur gènes et sélection assistée par marqueurs." INRAE Productions Animales 24, no. 4 (September 8, 2011): 357–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.4.3267.

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Анотація:
Jusqu’à une date très récente (l’émergence de la sélection génomique), l’essentiel des plans de sélection était basé sur l’évaluation desvaleurs génétiques à partir des informations phénotypiques et de pedigree. Cependant, ont aussi été mis en place plusieurs exemplesréussis de sélection valorisant la connaissance de gènes à effets importants sur les caractères ou utilisant l’aide de marqueurs moléculaires(la «Sélection Assistée par Marqueurs»). Ces exemples sont riches en enseignements pour l’avenir de la sélection. Les applicationsfurent variées, tant en termes de type de caractères (reproduction, qualité de carcasse, résistance aux maladies...) que d’organisation(éliminations d’allèles défavorables, introgression, accouplements ciblés…). Les limites, qui sont détaillées, de ces plans desélection sur gènes ou marqueurs, sont autant de contraintes qu’il faudra intégrer dans l’organisation de la sélection génomique.
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CAHU, C., and H. POULIQUEN. "Troisième partie : Mesures de gestion du risque d’apparition des maladies infectieuses aquacoles." INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 227. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3461.

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Анотація:
Les réseaux de surveillance des maladies infectieuses aquacoles constituent un excellent outil de gestion de ces maladies. Un premier article (Joly et al) présente la surveillance des maladies des mollusques par le biais de deux réseaux de surveillance, REPAMO (surveillance de l’apparition des maladies chez les coquillages des côtes françaises métropolitaines) et REPANUI (surveillance de l’apparition des maladies de l’huître perlière en Polynésie). De tels réseaux n’existent pas pour les poissons. Etant donné leur intérêt pour la gestion des élevages, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) a décidé de mettre en place cette année un réseau de surveillance des maladies des poissons, qui bénéficiera de l’expérience des réseaux mollusques. Parmi les mesures de gestion des maladies infectieuses piscicoles, la vaccination est celle qui séduit le plus les professionnels de terrain. Un deuxième article (Quentel et al) dresse ainsi l’état des lieux des vaccins disponibles en pisciculture. La principale limite de la vaccination tient à la difficulté d'en garantir l'efficacité lors d'administration orale malgré des tentatives d'amélioration par microencapsulation. Par ailleurs, le nombre de vaccins disponibles est très limité en raison des investissements nécessaires pour obtenir une autorisation de mise sur le marché piscicole de taille réduite. Les autovaccins peuvent aussi être utilisés, notamment en situation d’urgence, même si leurs conditions de préparation sont réglementées. La sélection génétique d'animaux résistants est porteuse d'espoir, en particulier pour les animaux destinés à l'exportation. Un troisième article (Quillet et al) présente donc la génétique de la réponse aux pathogènes piscicoles. Néanmoins, cette sélection génétique soulève des questions, d’une part sur les éventuelles corrélations génétiques entre différentes maladies ou entre une maladie et d’autres caractères (par exemple, la résistance à la SHV montre une légère corrélation négative avec la croissance chez la truite), d’autre part sur la possibilité de mutation des agents pathogènes. Les probiotiques, les prébiotiques et les peptides antimicrobiens pourraient à terme et en partie se substituer aux antibiotiques, notamment pour des raisons d'image des élevages et des produits mais aussi par crainte de voir se développer des antibiorésistances dans les élevages. Un dernier article (Nicolas et al) souligne donc la nécessité de soutenir des études sur ce thème dans le double objectif, d’une part d'une meilleure compréhension de leurs effets sur le système immunitaire des animaux aquatiques, d’autre part de la détermination de leur innocuité pour les animaux cibles, le consommateur et l’environnement. Il faut également rappeler la nécessité de poursuivre des études sur l’utilisation raisonnée des antibiotiques, principal moyen thérapeutique à court et moyen terme contre certaines maladies infectieuses aquacoles, émergentes ou non.
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HATEY, F., P. MARTIN, M. DOUAIRE, F. LE GAC, G. DAMBRINE, P. HERPIN, and P. MONGET. "Le programme Asteroger : vers un outil multifonctionnel pour les productions animales." INRAE Productions Animales 13, HS (December 22, 2000): 175–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.hs.3834.

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La génomique devient fonctionnelle Les travaux conduits dans le domaine animal à l’INRA sont tournés essentiellement vers la compréhension et la maîtrise des caractères d’intérêt zootechnique en vue de leur amélioration : croissance, reproduction, lactation, comportements, résistance aux maladies, qualité des produits. Pour progresser et prendre également en compte les interactions entre caractères, l’étude la plus exhaustive possible de l’expression des gènes est nécessaire. Or, actuellement, pour étudier ces caractères gouvernés le plus souvent par plusieurs gènes, les techniques utilisées ne permettent d’analyser en même temps que l’expression d’un seul gène ou d’un petit nombre de gènes, parmi les 30 000 à 120 000 présents chez les animaux supérieurs. Voir la suite de l'article à l'adresse suivante : https://www6.inrae.fr/productions-animales_eng/content/download/4100/42005/version/1/file/Prod_Anim_2000_hs_hs_30.pdf
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SEEGERS, H., N. BAREILLE, R. GUATTEO, A. JOLY, A. CHAUVIN, C. CHARTIER, S. NUSINOVICI, et al. "Épidémiologie et leviers pour la maîtrise de la santé des troupeaux bovins laitiers : approche monographique pour sept maladies majeures." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 17, 2013): 157–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3145.

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Les décisions de gestion de la santé animale correspondent à un large éventail de situations et de problèmes. Illustrant ce constat, sept maladies majeures des troupeaux bovins laitiers sont examinées pour identifier les facteurs les plus courants limitant l’efficacité des plans de maîtrise ainsi que les perspectives d’amélioration de la maîtrise sur le terrain. Pour les infections intra-mammaires, la recherche vise à la mise au point de vaccins multivalents, le ciblage des vaches à traiter par les antibactériens, la méthodologie des interventions en ferme, et l’augmentation de la résistance innée par la sélection génomique. Pour les strongyloses gastro-intestinales, les recherches prioritaires s’orientent aussi vers les stratégies de traitement anthelminthique raisonné et ciblé, la voie génétique semblant moins prioritaire que chez les petits ruminants. La maîtrise de la maladie de Mortellaro, affection de l’appareil locomoteur, ne pourra plus recourir aux désinfectants classiquement utilisés dans les pédiluves et des approches alternatives sont nécessaires. La maîtrise de la fièvre Q est à rechercher par la vaccination de l’ensemble du troupeau sur plusieurs années et l’hygiène de la parturition. La paratuberculose pourrait à terme être maîtrisée par la sélection génomique, en raison de l’absence de traitement et de vaccin efficaces et de l’existence de bases génétiques de résistance/résilience prometteuses. La maîtrise de l’infection par le virus BVDV semble pouvoir être atteinte par des mesures sanitaires combinées ou non avec la vaccination. La quasi-éradication des sérotypes exotiques du virus de la fièvre catarrhale ovine pourrait être obtenue par la surveillance ciblée et la vaccination massive et rapide. Les spécificités de l’étiologie, de l’épidémiologie et des moyens de maîtrise des maladies étudiées n’autorisent guère de conclusions génériques.
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ALABOUVETTE, Claude, Yvonne COUTEAUDIER, and Jean LOUVET. "Recherches sur la résistance des sols aux maladies. XII. - Activité respiratoire dans un sol résistant et un sol sensible aux fusarioses vasculaires enrichis en glucose." Agronomie 5, no. 1 (1985): 69–72. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19850110.

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Benhamou, N., and K. Picard. "La résistance induite : une nouvelle stratégie de défense des plantes contre les agents pathogènes." Article de synthèse 80, no. 3 (April 12, 2005): 137–68. http://dx.doi.org/10.7202/706189ar.

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Анотація:
Tout au long de leur co-évolution, les plantes et les microorganismes pathogènes ont développé des relations complexes résultant d'un échange constant d'informations moléculaires. Les agents pathogènes ont élaboré toute une gamme de stratégies offensives pour parasiter les plantes et en contrepartie, les plantes ont déployé un arsenal défensif similaire à bien des égards aux défenses immunitaires animales. Les percées récentes en biologie moléculaire et en transformation des végétaux ont démontré que sensibiliser une plante à répondre plus rapidement à l'infection pouvait lui conférer une protection accrue contre des microorganismes virulents. Un aspect important dans la mise en évidence du rôle joué par les molécules de défense au niveau de l'expression de la résistance est une connaissance exacte de leur localisation spatio-temporelle dans les tissus en état de stress. Afin de cerner le processus associé à l'induction de résistance chez les plantes, l'effet d'éliciteurs biologiques, microbiens et chimiques sur la réponse cellulaire des plantes envers une attaque pathogène a fait l'objet d'investigations et les mécanismes impliqués dans le phénomène ont été étudiés. Dans tous les cas, il a été montré qu'une corrélation existait entre la réponse globale de la plante et des changements dans la biochimie et la physiologie des cellules, lesquels étaient accompagnés de modifications structurales incluant la formation d'appositions pariétales riches en callose et l'infiltration de composés phénoliques aux sites de pénétration potentielle par l'agent pathogène. L'activation du sentier des phénylpropanoïdes est un phénomème crucial dans la restriction de la croissance de l'agent pathogène et dans la survie des cellules-hôtes en conditions de stress. Bien qu'il n'existe que peu d'exemples d'application pratique de la résistance induite en tant que méthode de lutte contre les maladies des plantes, les résultats obtenus à partir de quelques expériences menées en plein champ et en serre sont encourageants et indiquent que cette approche a le potentiel de devenir une stratégie de lutte efficace et durable contre toute une gamme d'agents pathogènes.
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LEMANCEAU, Philippe, Régine SAMSON, and Claude ALABOUVETTE. "Recherches sur la résistance des sols aux maladies. XV. Comparaison des populations de Pseudomonas fluorescents dans un sol résistant et un sol sensible aux fusarioses vasculaires." Agronomie 8, no. 3 (1988): 243–49. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19880310.

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Ouango, Jean-Gabriel, Kapouné Karfo, Moussa Kere, Marcelline Ouedraogo, Gisèle Kabore, and Arouna Ouedraogo. "Concept traditionnel de la folie et difficultés thérapeutiques psychiatriques chez les Moosé du Kadiogo." Santé mentale au Québec 23, no. 2 (September 11, 2007): 197–211. http://dx.doi.org/10.7202/032459ar.

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Анотація:
RÉSUMÉ L'exercice de la psychiatrie en Afrique au Sud du Sahara se heurte à de nombreux problêmes d'acceptabilité des soins par les malades et leurs familles. Le rejet fréquent de la démarche thérapeutique des psychiatres s'explique peut-être par l'inadaptation de l'approche étiopathogénique. En effet, en Afrique Noire, les responsables des maladies diffèrent selon qu'on a été à l'école ou non. L'école occidentale apprend aux minorités qui ont la chance d'y aller ou de l'approcher que le corps humain peut être agressé par des bactéries, des virus, des mycoses ou autoagressé par des modifications de sa propre physiologie. L'éducation traditionnelle, quant à elle, fait du corps une entité mystérieuse susceptible d'être pénétrée ou mangée par les génies et les sorciers anthropophages, suivant un mécanisme mystico-religieux lié aux croyances et coutumes. Chez la majorité des Moosé du plateau moaga du Burkina Faso, ces agresseurs sont des génies ancestraux ou des génies de brousse, en particulier dans le domaine de la folie. L'explication de la souffrance psychologique par un conflit familial, social ou intrapsychique indépendant du monde invisible est à la limite délirante pour eux, provoquant ainsi leur résistance à la prise en charge psychiatrique complète de ces malades. Une analyse des causes probables de cette résistance nous a paru nécessaire. À l'aide d'interviews, elle nous a montré que l'institution psychiatrique est vécue par les Moosé du Kadiogo comme une étape dans l'itinéraire thérapeutique de leurs malades mentaux, étape au cours de laquelle leur demande de soins se réduit à la suppression du symptôme qui dérange. Pour eux, la suppression de la cause relève d'un savoir que ne possède pas le psychiatre, ce qui rend la relation thérapeutique frustrante de part et d'autre.
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Molot, PM, P. Mas, V. Pivot, M. Bruneteau, T. Staron, H. Ferrière, and JM Lemaire. "Mesure par conductimétrie de la réceptivité aux maladies fongiques et du niveau de résistance induite par élicitation. Étude sur 3 modèles expérimentaux." Agronomie 12, no. 1 (1992): 105–13. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19920110.

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Aissani, Samia, and Ali Zitouni. "Asthma and diabetes association is not accidental." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 7, no. 2 (November 9, 2020): 159–61. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2020.7220.

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L’association asthme et diabète a suscité de nombreuses interrogations du fait de l’augmentation simultanée de la prévalence de ces deux pathologies. Plusieurs facteurs peuvent favoriser la survenue du diabète chez les asthmatiques. La prescription pendant longtemps de fortes doses de corticoïdes associée ou pas à des corticoïdes par voie générale augmentent le risque de diabète particulièrement chez les non contrôlés. Ces corticoïdes sont souvent associés aux béta 2 mimétiques qui peuvent eux aussi entrainer des hyperglycémies. Le risque de diabète chez les asthmatiques se multiplie après 40 ans et lorsqu’il existe une notion de diabète familial. Parmi les facteurs du non contrôle de l’asthme, l’obésité et l’exposition au tabac qui sont des facteurs favorisant l’insulino-résistance responsable de la survenue du diabète chez les asthmatiques. À contrario, l’asthme peut apparaitre plusieurs années après le diabète. La recherche actuelle a montré que le poumon diabétique est le site de changements microangiopathiques tout comme le cœur et le rein. Des modifications pulmonaires induites par le diabète augmentent l’inflammation bronchique et le risque de maladies obstructives comme l’asthme.
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BARRÉ, N. "Les tiques des ruminants dans les Petites Antilles : biologie, importance économique, principes de lutte." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 111–19. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3982.

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Deux espèces de tiques tropicales, Boophilus microplus, d’origine asiatique, et Amblyomma variegatum, d’origine africaine, parasitent les ruminants des Antilles, en particulier des Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique). Elles sont vectrices de diverses maladies : babésioses et anaplasmose pour Boophilus, theilérioses bénignes et cowdriose pour Amblyomma. De plus Amblyomma est associé aux formes cliniques sévères, fréquemment mortelles, de la dermatophilose. En Guadeloupe, où la majorité des bovins sont de type créole, hautement résistants à ces maladies, mais où les caprins paient un lourd tribut à la cowdriose, le préjudice annuel généré par les tiques est estimé à 13,8 MF. Alors que Boophilus a couvert dans les Antilles et sur le continent l’ensemble de son aire de distribution potentielle, Amblyomma, l’espèce la plus pathogène, n’est encore présente que dans les Petites Antilles et à Porto Rico. Encore confinée à 4 îles au milieu de ce siècle, elle a infesté 14 îles nouvelles au cours des 25 dernières années. De fortes présomptions permettent de penser que le Héron garde-boeufs, arrivé dans les Petites Antilles à la fin des années 50 depuis l’Afrique, largement répandu dans la Caraïbe, pourrait être à l’origine de l’accélération récente de la propagation de la tique dans la région. Celle-ci menace le continent américain et les Grandes Antilles. Malgré de grandes capacités de diffusion régionale sur ses hôtes, cette tique a une productivité numérique, donc un pouvoir d’installation et de colonisation, bien moindre que Boophilus. Dès l’apparition d’un foyer, la mise en place de mesures adaptées peut donc efficacement entraver son développement. Là où elle est établie, des mesures rigoureuses doivent permettre de rompre son cycle de développement et de détruire définitivement ses populations. De plus, elle ne semble pas manifester actuellement de phénomène de résistance aux acaricides, et elle est, au stade adulte, assez spécifique des animaux domestiques de grande taille. Ceci est en faveur de la mise en oeuvre d’une stratégie de lutte ayant pour objectif un programme d’éradication spécifique basé sur l’application régulière d’acaricides sur ses hôtes domestiques.
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Maillard, Jean-Charles, S. J. Kemp, Michel Naves, C. Palin, C. Demangel, A. Accipe, N. Maillard, and Albert Bensaïd. "Tentative de corrélation de l’origine des races bovines et des maladies associées à ou transmises par la tique Amblyomma variegatum dans les Antilles françaises." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (January 1, 1993): 283–90. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9380.

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A l'aide de données biologiques et de la recherche historique, on a essayé d'expliquer la différence, en ce qui concerne la résistance et la sensibilité aux maladies transmises par (cowdriose) ou associées à (dermatophilose) la tique Amblyomma variegatum, entre deux races bovines des Antilles françaises : la race Créole hybride de la Guadeloupe et le zébu Brahman de la Martinique. Les polymorphismes de 5 systèmes génétiques indépendants (hémoglobine érythrocytaire, albumine et transferrine du sérum, la région classe I du complexe BolA et le gène gamma S cristallin) ont été étudiés chez différentes races, à savoir des Bos taurus d'Europe et d'Afrique, des Bos indicus d'Afrique de l'Ouest et de l'Est, le Brahamn de la Martinique et le Créole de la Guadeloupe. Par comparaison des fréquences de différents allèles de ces 5 loci polymorphiques non liés et à l'aide de deux matrices mathématiques différentes de NEI et de CAVALLI-SFORZA, on a établi les distances génétiques entre ces races. Il apparaît clairement que le bovin Créole de la Guadeloupe est dans une position intermédiaire entre le Bos taurus N'Dama de l'Afrique de l'Ouest et le Brahman.
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Wettstein, Baldegger, Weber, Bonsack, Andermatt, and Latzel. "Ist Empowerment chronisch kranker Betagter in der Schweiz möglich? Erste Resultate des Zürcher ALLFIT-Programms." Praxis 92, no. 25 (June 1, 2003): 1171–76. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.92.25.1171.

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Après que des études contrôlées effectuées à l'étranger aient démontré que des cours d'auto prise en charge permettent d'améliorer l'état général de patients chroniques d'âge avancé de façon durable à un prix abordable, un programme similaire appelé ALLFIT a été établi en Suisse pour les patients âgés atteints de maladies chroniques cardiaques, pulmonaires, rhumatismales ou de diabète sucré. Une analyse des besoins révèle qu'environ 7% des patients âgés pourraient bénéficier d'un tel programme qui consiste en une évaluation individuelle des buts personnels grâce aux conseils d'une infirmière, un entraînement hebdomadaire de la résistance, de la force et de l'équilibre ainsi que la participation à huit cours d'auto prise en charge en groupe. 85 des 100 premiers participants à ce programme l'ont terminé. Personne n'a abandonné en raison d'attentes non satisfaites. 99 patients ont pu définir les buts individuels et 80 les ont atteints au moins partiellement en trois mois. 21% ont pu améliorer leur capacité à marcher sur terrain plat et 25% à monter les escaliers. Ceci signifie qu'en Suisse aussi la prise en charge par le malade lui-même peut être utilisée pour améliorer l'indépendance des personnes âgées.
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ALABOUVETTE, Claude, Yvonne COUTEAUDIER, Jean LOUVET, Paul BREMEERSCH, Patrice RICHARD, and Marie-Louise SOULAS. "Recherches sur la résistance des sols aux maladies. XI. Etude comparative du comportement des Fusarium spp. dans un sol résistant et un sol sensible aux fusarioses vasculaires enrichis en glucose." Agronomie 5, no. 1 (1985): 63–68. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19850109.

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Adebowale, Oluwawemimo O., Olanike K. Adeyemo, Olajoju Awoyomi, Racheal Dada, and Oluseyi Adebowale. "Antibiotic use and practices in commercial poultry laying hens in Ogun State Nigeria." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 1 (July 4, 2016): 41. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31170.

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La production de volailles occupe une place prépondérante dans l’économie nigériane. Toutefois, l’utilisation abusive des antibiotiques par les éleveurs de volailles a entraîné une multirésistance et nuit à l’efficacité des traitements antibiotiques dans l’industrie. Cette étude a été réalisée afin d’évaluer l’utilisation d’antibiotiques dans les exploitations avicoles commerciales. Une enquête a été menée à l’aide d’un questionnaire structuré destiné aux chefs d’exploitation pour obtenir des informations sur les caractéristiques socio-économiques des propriétaires ou desdits chefs, les types d’antibiotiques utilisés, la fréquence et la raison de leur utilisation, la sensibilisation à l’usage des antibiotiques et à leurs problèmes associés, et les sources d’information privilégiées par les éleveurs pour un recours raisonnable aux antibiotiques. Le niveau d’instruction des interviewés était universitaire ou équivalent (70,9 %), collège ou lycée (12,6 %), ou sans éducation formelle (13,6 %). Les antibiotiques étaient utilisés principalement en prophylaxie (> 60 %) et en thérapeutique (< 15 %). La gentamicine (76,7 %) était l’antibiotique le plus utilisé, venaient ensuite la tétracycline (64,1 %), l’enrofloxacine et la ciprofloxacine (57,3 %), la furazolidone (49,5 %), la streptomycine(46,6 %), la furaltadone (43,7 %), le chloramphénicol (41,7 %), la pénicilline (25,2 %), l’érythromycine (24,3 %), et l’acide nalidixique (11,7 %). Environ la moitié des exploitations agricoles utilisaient les produits interdits que sont la furazolidone et le chloramphénicol. Au total 82 (79,6 %) éleveurs savaient que l’utilisation aléatoire d’antibiotiques dans le traitement de maladies incorrectement diagnostiquées pouvait conduire à la résistance aux antibiotiques. Cependant, 73 (70,9 %) étaient moins informés sur le fait qu’un mauvais usage des antibiotiques chez les animaux constitue une grave menace en santé humaine. Les antibiotiques n’étaient pas utilisés avec prudence par les producteurs de volailles. Le manque de sensibilisation de ces derniers à cette situation serait un facteur qui y contribuerait. Les résultats de cette enquête devraient permettre d’élaborer des politiques pertinentes pour établir un contrôle de l’utilisation des antibiotiques dans les élevages de volailles au Nigeria.
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GARREAU, H., J. M. BRUN, M. THEAU-CLEMENT, and G. BOLET. "Evolution des axes de recherche à l’INRA pour l’amélioration génétique du lapin de chair." INRAE Productions Animales 21, no. 3 (August 23, 2008): 269–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.3.3401.

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L’évolution du contexte sanitaire, économique et social de la production de lapin de chair a conduit les chercheurs de l’INRA à étudier la sélection de nouveaux caractères pour mieux répondre aux attentes des professionnels mais également du citoyen-consommateur, en particulier dans le domaine de la santé et de la longévité des animaux. Ces études reposent principalement sur la mise en place d’expériences mais également sur l’analyse de données de sélectionneurs privés et donnent lieu, après validation, à des applications dans les schémas de sélection commerciaux. Pour réduire la mortalité des jeunes, les chercheurs privilégient l’amélioration des aptitudes maternelles: l’application d’un modèle à effets génétiques directs et maternels pour le poids au sevrage a ainsi permis d’améliorer les aptitudes maternelles pour ce caractère. Une expérience de sélection canalisante pour l’homogénéité des poids de naissance intra-portée a permis d’améliorer la survie périnatale du lapereau. L’amélioration de la longévité de la femelle en reproduction est rendue possible par la mise en œuvre des méthodes d’analyse de survie. La résistance génétique aux maladies, principalement l’entérocolite épizootique et la pasteurellose, est explorée pour réduire les pertes économiques mais également pour améliorer le bien-être des animaux et réduire les risques sanitaires liés à l’utilisation des antibiotiques. Pour améliorer l’efficacité alimentaire du jeune en engraissement et ainsi réduire les coûts alimentaires qui grèvent lourdement le revenu de l’éleveur, deux critères de sélection sont comparées: la consommation résiduelle et la vitesse de croissance en régime alimentaire rationné. Afin de diminuer l’utilisation des hormones pour l’induction de l’oestrus, de nouveaux programmes visent à étudier la variabilité génétique du comportement d’oestrus des lapines.
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LEBOEUF, B., J. A. DELGADILLO, E. MANFREDI, A. PIACERE, V. CLEMENT, P. MARTIN, M. T. PELLICER-RUBIO, P. BOUÉ, and R. DE CREMOUX. "Place de la maîtrise de la reproduction dans les schémas de sélection en chèvres laitières." INRAE Productions Animales 21, no. 5 (November 27, 2008): 391–402. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.5.3414.

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La saisonnalité de la reproduction chez les chèvres originaires des latitudes tempérées ou subtropicales peut maintenant être contrôlée par des changements artificiels de la photopériode. Les jours courts stimulent l’activité sexuelle tandis que les jours longs l’inhibent. Ces connaissances ont permis le développement de traitements photopériodiques pour le contrôle de l’activité sexuelle des chèvres et des boucs. En France, l’Insémination Artificielle (IA) des chèvres joue un rôle central pour le contrôle des appariements et l’organisation du schéma de sélection. La plupart des chèvres sont inséminées en dehors de la saison sexuelle avec de la semence cryoconservée, après induction hormonale de l’ovulation seule ou en combinaison avec des traitements photopériodiques. Les taux de fertilité sont en moyenne de 65%. De nouvelles stratégies sont en cours d’expérimentation. Elles sont basées sur l’IA après un effet mâle pour réduire l’utilisation des hormones. Le schéma de sélection s’est développé grâce aux progrès de l’IA. Ce schéma repose sur des plans d’accouplements entre reproducteurs d’élite, le testage sur descendance en fermes et la diffusion des semences de boucs améliorateurs. Après les caractères laitiers, les caractères fonctionnels sont désormais pris en compte. Actuellement, l’accent est mis sur la morphologie de la mamelle. La résistance à certaines maladies est à l’étude. Outre cette approche de génétique quantitative, de nouvelles perspectives basées sur une approche moléculaire permettront de détecter des gènes économiquement intéressants pour l’élevage caprin.
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Konate, Abdourasmane K., Sylvain Zougrana, Soumana Kone, and Issa Wonni. "Evaluation des performances agronomiques des variétés de riz aromatiques au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no. 1 (June 8, 2022): 42–53. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i1.5.

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Au Burkina Faso, la production du riz ne couvre que la moitié des besoins de consommation, liée en partie à la faible productivité des variétés homologuées. Cette étude visait à évaluer les performances agronomiques des variétés aromatiques de riz, afin de contribuer aux besoins de consommation locale. Pour ce faire, un dispositif expérimental du type alpha lattice avec quatre répétitions a été mis en place sur le site irrigué de Karfiguela pour évaluer les paramètres agro-morpholpogiques et de rendements de 31 variétés de riz. En outre, elles ont été criblées en conditions semi contrôlées, pour évaluer leur phénotype vis-à-vis des bactérioses dues à Xanthomonas oryzae. Les résultats ont montré qu’un groupe composé de 12 variétés ont été très performantes avec des rendements de 5469 kg/ha. Le second groupe renfermait 16 variétés avec des rendements de 4552,92 kg/ha, et le troisième groupe composé de trois variétés, avait de faible rendement de 3333,33 kg/ha. Malgré leurs bonnes performances, les 28 variétés aromatiques ont été sensibles à la bactériose vasculaire et la bactériose à stries foliaires translucides, causées respectivement par X. oryzae pv. oryzae et X. oryzae pv. oryzicola. Par conséquent, leur utilisation sur un site avec une forte pression de ces deux pathogènes, impactera fortement leur potentiel de production. Il s’avère donc nécessaire d’améliorer leur résistance contre les deux maladies pour garantir une production durable.
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LEMANCEAU, Philippe, Claude ALABOUVETTE, and Yvonne COUTEAUDIER. "Recherches sur la résistance des sols aux maladies. XIV. Modification du niveau de réceptivité d'un sol résistant et d'un sol sensible aux fusarioses vasculaires en réponse à des apports de fer ou de glucose." Agronomie 8, no. 2 (1988): 155–62. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19880209.

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Touraine, Alain. "Existe-t-il encore une société française?" Tocqueville Review 11, no. 1 (January 1990): 143–71. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.11.1.143.

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La France adopte facilement les changements que les vents de la culture et ceux de l’économie poussent vers elle : elle ne leur résiste pas plus qu’elle ne les produit. Des observateurs voudraient la voir déchirée entre un passé auquel elle reste attachée et un avenir qu’elle désire ; un tel jugement ne correspond pas à la réalité. La France traditionnelle, celle de la vie rurale, de la famille, de l’Église catholique et de ses rites, résiste étonnamment peu aux changements qui la bouleversent . Mais la France modernisante, agent actif de ses propres transformations, est faible : la France est aussi peu progressiste que réactionnaire. Elle est trop occupée à aménager sa vie présente pour lever son regard soit vers l’avenir, soit vers le passé, sauf à l’époque des vacances et les jours de fête. Ce pays qui, si longtemps, vécut scs problèmes sociaux et politiques comme des drames joués sur la scène de l’histoire universelle, qui fut celui des révolutions et des expéditions coloniales, du syndicalisme révolutionnaire et du culte marial, des affrontements entre les pouvoirs établis et les intellectuels, semble sortir de l’exemplarité qui lui convenait si bien, sortir même de l’histoire qu’il ouvrait à coups de pique, de fusil et de discours, et apprendre à se gérer comme un fonds de commerce. Il reste aux extrémités de l’horizon politique des témoins du « progressisme » et du « nationalisme » pas-sés, mais ceux qui s’inquiètent de la montée de J.-M. Le Pcn ou de la résistance de G. Marchais à tous tes bouleversements de l’histoire les traitent plutôt comme des maladies chroniques d’une société, dont la droite comme la gauche se soucient plus de conquérir le centre ou l’entre-deux que de se rapprocher des extrêmes.
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Touraine, Alain. "Existe-t-il encore une société française?" Tocqueville Review 11 (January 1990): 143–71. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.11.143.

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La France adopte facilement les changements que les vents de la culture et ceux de l’économie poussent vers elle : elle ne leur résiste pas plus qu’elle ne les produit. Des observateurs voudraient la voir déchirée entre un passé auquel elle reste attachée et un avenir qu’elle désire ; un tel jugement ne correspond pas à la réalité. La France traditionnelle, celle de la vie rurale, de la famille, de l’Église catholique et de ses rites, résiste étonnamment peu aux changements qui la bouleversent . Mais la France modernisante, agent actif de ses propres transformations, est faible : la France est aussi peu progressiste que réactionnaire. Elle est trop occupée à aménager sa vie présente pour lever son regard soit vers l’avenir, soit vers le passé, sauf à l’époque des vacances et les jours de fête. Ce pays qui, si longtemps, vécut scs problèmes sociaux et politiques comme des drames joués sur la scène de l’histoire universelle, qui fut celui des révolutions et des expéditions coloniales, du syndicalisme révolutionnaire et du culte marial, des affrontements entre les pouvoirs établis et les intellectuels, semble sortir de l’exemplarité qui lui convenait si bien, sortir même de l’histoire qu’il ouvrait à coups de pique, de fusil et de discours, et apprendre à se gérer comme un fonds de commerce. Il reste aux extrémités de l’horizon politique des témoins du « progressisme » et du « nationalisme » pas-sés, mais ceux qui s’inquiètent de la montée de J.-M. Le Pcn ou de la résistance de G. Marchais à tous tes bouleversements de l’histoire les traitent plutôt comme des maladies chroniques d’une société, dont la droite comme la gauche se soucient plus de conquérir le centre ou l’entre-deux que de se rapprocher des extrêmes.
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GARREAU, Hervé, and Mélanie GUNIA. "La génomique du lapin : avancées, applications et perspectives." INRA Productions Animales 31, no. 1 (June 11, 2018): 13–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.1.2222.

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L’évolution récente des technologies de séquençage et l’apport de la génomique a révolutionné nos connaissances sur les génomes et leurs polymorphismes, et permis d’élaborer des outils de génotypage qui accélèrent l’identification de polymorphismes causaux et contribuent à améliorer significativement le progrès génétique réalisé chez certaines espèces d’élevage, en particulier les bovins laitiers. Le séquençage complet du génome du lapin réalisé par le « Broad Institute » (Boston, USA), avec l’appui d’un consortium international auquel a contribué l’INRA, a été publié en 2014. Les résultats obtenus ont apporté un éclairage nouveau sur l’évolution et la domestication du lapin. En 2016, dans le cadre d’un projet Européen (COST Action TD1101 « A Collaborative European Network on Rabbit Genome Biology – RGB-Net »), une puce de génotypage avec 200000 SNP (« Single-Nucleotide Polymorphism ») a été développée, permettant de renouveler les approches de génétique chez le lapin. L’objet de cette synthèse est de faire le point sur les connaissances relatives au génome du lapin et d’établir un inventaire des gènes ou régions génomiques liés à certaines fonctions ou caractères d’intérêt dans cette espèce. Nous décrivons ici le principe des outils (cartes génétiques, puces SNP, séquençage) et des méthodes (détection de QTL, approche gènes candidats, identification de mutations causales) qui ont déjà été appliqués chez le lapin. Nous illustrons les perspectives d’utilisation des outils maintenant disponibles pour la sélection avec deux projets de recherche portant sur la résistance aux maladies et l’efficacité alimentaire. Une réflexion prospective sur la sélection génomique est également proposée.
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Ogofure, A. G., and E. O. Igbinosa. "Effects of rinsing on Staphylococcus aureus load in frozen meats and fish obtained from open markets in Benin City, Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 2 (April 8, 2021): 294–99. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i2.24.

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Background: Staphylococcus aureus is a ubiquitous bacterium present in the environment and one of the leading causes of superficial and deep infections. In the food industry, it is acclaimed to be globally responsible for several food-borne diseases. This study was designed to isolate methicillin-resistant S. aureus (MRSA) and determine the effect of rinsing on MRSA load in frozen meat and fish obtained from open market in Benin City.Methodology: Forty frozen meat samples (15 beef, 10 fish and 15 chickens) were randomly obtained from five markets in Benin City. The samples were analysed before and after rinsing using standard culture-based techniques to determine heterotrophic bacterial count, isolation of S. aureus, MRSA, and antibiotic susceptibility testing. Data were analysed using SPSS version 21 and Microsoft excel 2016, and association between variables were measured using Student’s t-test with a probability level of < 0.05.Results: The natural logarithm (LN) of heterotrophic bacterial count (CFU/g) before rinsing were 11.53±1.25 (beef), 11.16±0.95 (fish) and 11.42±1.58 (chicken), while the counts after rinsing were 2.70±0.45 (beef), 2.68±0.25 (fish) and 2.79±0.49 (chicken) (p<0.05). Sixteen of the 40 (40%) were positive for S. aureus, of which 4 (10%) were MRSA. Amongst the frozen meat evaluated in the study, beef had the highest frequency of S. aureus contamination (46.7%) followed by chicken (40.0%) and fish (30.0%). The profile of antibiotic resistance of S.aureus showed that they were least resistant to ciprofloxacin (6%) but showed high resistance to erythromycin (94%), amoxicillin/clavulanic acid (87.5%) and trimethoprim-sulfamethoxazole (81%). Multiple antibiotic resistance index of S. aureus was calculated to be 0.63.Conclusion: The findings in this study revealed that frozen foods could act as a vehicle for the dissemination of antibiotic-resistant bacteria (ARB) and potential health risks for consumers. Keywords: Staphylococcus aureus; antibiotic-resistant bacteria; MRSA; frozen meat; rinsing French title: Effets du rinçage sur les charge de Staphylococcus aureus dans les viandes congelées et les poissons obtenus sur les marchés ouverts de Benin City, Nigéria Contexte: Staphylococcus aureus est une bactérie ubiquitaire présente dans l'environnement et l'une des principales causes d'infections superficielles et profondes. Dans l'industrie alimentaire, il est reconnu pour être globalement responsable de plusieurs maladies d'origine alimentaire. Cette étude a été conçue pour isoler S. aureus résistant à la méthicilline (SARM) et déterminer l'effet du rinçage sur la charge de SARM dans la viande et le poisson congelés obtenus sur le marché libre de Benin City.Méthodologie: Quarante échantillons de viande congelée (15 bœuf, 10 poissons et 15 poulets) ont été obtenus au hasard sur cinq marchés de Benin City. Les échantillons ont été analysés avant et après le rinçage en utilisant des techniques de culture standard pour déterminer le nombre de bactéries hétérotrophes, l'isolement de S. aureus, le SARM et les tests de sensibilité aux antibiotiques. Les données ont été analysées à l'aide de SPSS version 21 et de Microsoft Excel 2016, et l'association entre les variables a été mesurée à l'aide du test t de Student avec un niveau de probabilité <0,05.Résultats: Le logarithme naturel (LN) du nombre de bactéries hétérotrophes (UFC/g) avant rinçage était de 11,53±1,25 (bœuf), 11,16±0,95 (poisson) et 11,42±1,58 (poulet), tandis que les comptages après rinçage étaient de 2,70±0,45 (bœuf), 2,68±0,25 (poisson) et 2,79±0,49 (poulet) (p<0,05). Seize des 40 (40%) étaient positifs pour S. aureus, dont 4 (10%) étaient SARM. Parmi les viandes congelées évaluées dans l'étude, le bœuf présentait la fréquence la plus élevée de contamination par S. aureus (46,7%), suivi du poulet (40,0%) et du poisson (30,0%). Le profil de résistance aux antibiotiques de S. aureus a montré qu'ils étaient les moins résistants à la ciprofloxacine (6%) mais présentaient une résistance élevée à l'érythromycine (94%), à l'amoxicilline/acide clavulanique (87,5%) et au triméthoprime-sulfaméthoxazole (81%). L'indice de résistance aux antibiotiques multiples de S. aureus a été calculé à 0,63.Conclusion: Les résultats de cette étude ont révélé que les aliments surgelés pourraient servir de vecteur de dissémination de bactéries résistantes aux antibiotiques (ARA) et de risques potentiels pour la santé des consommateurs. Mots clés: Staphylococcus aureus; bactéries résistantes aux antibiotiques; SARM; viande congelée; rinçage
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CALENGE, F., C. MARTIN, N. LE FLOCH, F. PHOCAS, D. MORGAVI, C. ROGEL-GAILLARD, and P. QUÉRÉ. "Intégrer la caractérisation du microbiote digestif dans le phénotypage de l’animal de rente : vers un nouvel outil de maîtrise de la santé en élevage ?" INRAE Productions Animales 27, no. 3 (August 28, 2014): 209–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.3.3068.

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Le microbiote digestif est un symbionte dont on a démontré l’implication essentielle dans la régulation de la physiologie de l’hôte qui l’héberge pour la digestion, le métabolisme et l’immunité. Ce microbiote a en particulier un rôle majeur, et jusqu’ici sous-estimé, sur la santé de son hôte et participe à son adaptabilité à des environnements changeants. Les technologies de séquençage à haut débit devraient faciliter l’inclusion de cet écosystème complexe dans le phénotypage des animaux d’élevage. Il faut pour ce faire prendre en compte sa composition, sa diversité, sa stabilité au cours du temps et ses variations selon différents facteurs comme le génotype de l’hôte, l’alimentation et les conditions d’élevage. Ces connaissances devraient permettre de définir les propriétés d’un microbiote digestif « normal » associé à une bonne santé, d’en préciser les dysfonctionnements et de comprendre leurs répercussions sur l’état de santé de l’animal. Cela conduira à identifier des marqueurs de diagnostic et de pronostic de ces dysfonctionnements, fournissant des moyens de contrôle nouveaux de la santé en élevage, appréhendée en terme d’optimisation des rendements de production, de résistance aux maladies et de maintien du bien-être. A terme, le contrôle du microbiote digestif par l’alimentation, la génétique ou les pratiques d’élevage permettra de favoriser l’adaptation des animaux à leur environnement d’élevage en améliorant leur robustesse, de limiter l’utilisation d’antibiotiques et de préserver la sécurité sanitaire des aliments en évitant le développement de bactéries pathogènes pour l’Homme. L’ampleur des données à générer et à analyser pour les différentes espèces d’intérêt reste le défi à relever.
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Girardin, F. "Efficience du suivi obligatoire sanguin pour dépister les neutropénies sous clozapine et du monitoring de l’ECG en psychiatrie." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 662–63. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.049.

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De nombreux suivis et tests de dépistage sont proposés en psychiatrie sans véritable consensus. Certains examens obligatoires, tels que les contrôles sanguins hebdomadaires des neutrophiles lors de la prescription de clozapine sont peu efficients. Les schémas arbitraires de suivi des globules blancs (neutrophiles) varient considérablement d’un pays à l’autre. Quelles que soient la fréquence et la durée des différents schémas (États-Unis, Grande-Bretagne, France, Suisse, Allemagne), le nombre de patients à traiter est supérieur à 5500 pour escompter une vie sauvée d’une septicémie liée à une neutropénie sévère (< 0,5 G/L) et la survie supplémentaire est inférieure à 1 jour par rapport à l’absence de suivi des neutrophiles.Les ressources financières utilisées se montent à plusieurs millions d’euros (€ 2,25 à 3,1 millions GB vs États-Unis) par année de vie gagnée ajustée à la qualité de vie (QALY). Ceci entraîne des coûts de renonciation (opportunity costs) qui pourraient être utilisés pour limiter des effets indésirables fréquents des psychotropes, comme la prévention de la prise de poids (et l’insulino-résistance), la gestion des effets indésirables anticholinergiques, ou encore le dépistage ciblé de maladies transmissibles prévalentes en milieu psychiatrique (VIH, hépatites virales B et C).En particulier, le contrôle électrocardiographique systématique à l’admission, peu employé en psychiatrie, se révèle nettement plus efficient (€ 23 907 par QALY) que le suivi des neutrophiles pour prévenir un décès iatrogène inhérent aux psychotropes. Compte tenu des polymédications (hors indications), des posologies élevées et des stupéfiants co-administrés, le risque de mort subite suivant un épisode de torsade de pointe a sensiblement augmenté. Un consensus pour le suivi électrocardiographique devait être établi afin de prévenir une majorité des arythmies fatales iatrogènes suivant un épisode de torsades de pointe prévisible par une prolongation de l’intervalle QTc.
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LE ROY, P., H. CHAPUIS, and D. GUÉMENÉ. "Sélection génomique : quelles perspectives pour les filières avicoles ?" INRAE Productions Animales 27, no. 5 (December 12, 2014): 331–36. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.5.3080.

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La sélection génomique repose sur l’évaluation des valeurs génétiques des candidats à la sélection par un « score moléculaire » calculé d’après leurs génotypes en un très grand nombre de marqueurs de l’ADN. Dans une première étape, les effets des marqueurs sont estimés sur une population de référence génotypée et phénotypée pour les caractères à améliorer. La table des valeurs génotypiques ainsi établie est utilisée pour calculer les valeurs génétiques des candidats au cours des générations suivantes, qui peuvent alors n’être que génotypées. En quelques années, cette stratégie a été mise en place chez les bovins laitiers. Les opérateurs de la sélection dans les autres filières animales ont assisté à cette révolution et se posent légitimement la question de l’intérêt pour eux d’entrer dans cette démarche. La disponibilité d’une puce « poule » de 600k SNP permet d’ores et déjà d’appliquer une sélection génomique dans les filières poule pondeuse et poulet de chair. Pour les autres espèces avicoles, les outils de génotypage à haut débit sont en cours de développement. Quelle que soit l’espèce, trois composantes du progrès génétique peuvent être améliorées. L’intensité de sélection peut être augmentée pour les caractères non mesurables en routine (qualités des produits, efficacité alimentaire, résistance aux maladies). La précision des valeurs génétiques peut être augmentée, notamment pour les mâles dans le cas des caractères exprimés uniquement par les femelles. Enfin, l’intervalle de génération peut être diminué grâce à une évaluation précoce des candidats, notamment en sélection des poules pondeuses. Par ailleurs, l’évaluation génomique offre pour la première fois la possibilité de sélectionner des individus de race pure de l’étage de sélection pour leur valeur en croisement et dans le milieu de production. Les coûts de mise en oeuvre de la sélection génomique sont élevés, en raison de la taille de la population de référence nécessaire à une évaluation précise, du nombre élevé de candidats à génotyper et de la variété des populations à sélectionner. Toutefois, chez les volailles, l’énorme diffusion des reproducteurs pourrait permettre de compenser ces coûts.
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SAUVEUR, B. "Stratégies pour de nouveaux progrès techniques et économiques en aviculture." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 5, 1991): 31–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4315.

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La réunion d’arguments scientifiques, techniques et économiques peut permettre d’élaborer encore de nombreuses stratégies de progrès pour l’aviculture. Ainsi, les améliorations à attendre de la génétique quantitative classique sont loin d’être terminées. Des critères nouveaux (anatomiques ou physiologiques) de sélection sont en préparation et ils pourront être complétés par des études de polymorphismes d’ADN utilisés comme indicateurs de caractères économiques, notamment de résistance à certaines maladies. Ces méthodes sont cependant coûteuses, de même que la transgénèse qui n’en est encore, quant à elle, qu’au stade des études méthodologiques. Elles ne seront donc mises en place que si la possibilité d’amélioration d’un critère économique important est démontrée. Dans l’entre temps, toute modification de la croissance par administration de somatotropine paraît exclue. L’utilisation métabolique des matières premières alimentaires devra de son côté être de mieux en mieux connue et quelquefois accrue par utilisation d’enzymes afin de réduire les rejets dans l’environnement (azote et phosphore). L’obtention d’aliments bactériologiquement irréprochables devra aussi être assurée. L’avenir de la reproduction est fortement lié à la maîtrise de la consommation alimentaire des animaux reproducteurs et, ultérieurement, à l’usage généralisé de l’insémination artificielle qui permettra une gestion totalement séparée des deux sexes. La pathologie se diversifie avec l’apparition de syndromes complexes (anémie infectieuse, troubles locomoteurs ...) tandis que le portage sain de bactéries pathogènes pour l’homme constitue désormais l’autre source principale de préoccupations. Les techniques de recombinaison génique devraient permettre, en juxtaposant les gènes de différents épitopes à l’intérieur d’une même bactérie ou virus, la création de vaccins multipotents qui, autre innovation, seront peut-être administrés in ovo à l’embryon. Les modes d’élevage ont encore à s’adapter aux spécificités des pays (et même des régions) en privilégiant toujours la qualité, notamment microbiologique, des produits obtenus (volailles et oeufs) et les problèmes de bien-être animal. Les produits avicoles eux-mêmes seront de plus en plus souvent l’objet d’une première, voire d’une seconde transformation améliorant sans cesse leur commodité d’emploi et leurs caractéristiques diététiques ; ils seront valorisés par une politique de marque et d’« image-qualité ». Globalement, la gestion par résultat économique vrai intégrant l’ensemble d’une filière est probablement appelée à se développer.
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Lévesque, Andrée. "Deviant Anonymous: Single Mothers at the Hôpital de la Miséricorde in Montreal, 1929‑1939." Historical Papers 19, no. 1 (April 26, 2006): 168–84. http://dx.doi.org/10.7202/030923ar.

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Résumé Les historiens-nes du Québec ont dupuis longtemps reconnu l'importance de la famille patriarchate et du rôle de la femme comme mère au foyer. On a cependant accordé peu d'attention au sort de celles qui défiaient les normes culturelles et convoient en dehors les liens de mariage. Selon l'idéologie religieuse de l'époque, ces personnes minaient l'ordre social et, par leur transgression, jetaient la honte sur elle-même et sur leur famille. Certaines solutions furent adoptées pour faire face au problème des mères célibataires: le recours aux maternités privées, l'exil chez parents ou amis-es éloignés, parfois l'avorlement, ou les oeuvres de charité ou la soumission à leurs soins et à leur contrôle. Au Québec, pendant les années 1930, quelque 20 pour cent des naissances qu'on appelait illégitimes eurent lieu à l'Hôpital de la Miséricorde dont les dossiers détaillés sur les patientes constituent les sources privilégiées du présent article. Les contemporains percevaient la vocation de la femme laique soit comme mère à l'intérieur du mariage, soit comme prostituée. Les mères célibataires n'avaient pas de place dans cette vision polarisée du rôle des femmes. Elles ne pouvaient, par con- séquent, se réintégrer à la société qu'en cachant leur condition. Dans cette perspective, l'Hôpital offrait un service tant à la société, qui cherchait à dissimuler les écarts de comportement, qu aux femmes concernées. Les dossiers révèlent que les candidates à Vadmission étaient presqu'uniquement des Canadiennes-française catholiques. Souvent orphelines, elles étaient généralement jeunes (60 pour cent avaient entre 18 et 20 ans), étaient domestiques (47 pour cent) ou vivaient à la maison (31 pour cent) et souffraient souvent de problèmes de santé. A leur entrée, elles adoptaient une nouvelle identité, leurs pseudonymes reflétant parfois la honte qu'elles devaient subir. Les règlements de l'Hôpital accentuaient leur isolement: on ri encourageait pas les visites, le courrier était censuré, et les patientes étaient largement privées de contact avec le monde extérieur. Si les agences sociales encourageaient les mères célibataires à garder leur enfant, elles ne pouvaient choisir son nom et seulement 14.6 pour cent quittaient l'Hôpital avec leur enfant. Après l'accouchement, les paturiennes jouissaient de deux semaines de con- valescence après quoi, si elles ne pouvaient s'acquitter de leur compte envers l'institution - ce qui était le cas de la majorité de celles qui accouchaient à la Miséricorde - elles entreprenaient six mois de service à l'Hôpital. Pendant cette période de résidence, elles étaient traitées comme des mineures, parfois comme des criminelles, toujours comme des pécheresses repentantes. Certaines poursuivaient l'expiation de leur faute en devenant membre de la communauté religieuse, d'autres demeuraient dans l'institution au- delà de la période prévue. La majorité des enfants demeuraient à la charge des institutions et 37.7 pour cent mourraient avant leur premier anniversaire, le plus souvent de maladies contagieuses. Les religieuses et les mères accueillaient habituellement ces décès comme une bénédiction. Malgré V importance essentielle de trouver un assile pendant leur progresse, certaines patientes se soumettaient difficilement aux conditions qui leur étaient faites. Plusiers réaggissaient soit par une résistance passive soit par des actes de rébellion. Quelques unes épousaient le père de l'enfant mais la plupart devaient subir les conséquences de leur grossesse.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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ELSEN, J. M., and J. M. AYNAUD. "Introduction au numéro hors série Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales." INRAE Productions Animales 17, HS (December 19, 2004): 5–6. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3613.

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Les agents des encéphalopathies spongiformes transmissibles (ESST) sont responsables de maladies neurodégénératives fatales chez l’homme (maladie de Creutzfeldt-Jakob, insomnie fatale familiale, syndrome de Gerstmann-Straussler-Scheinker, Kuru) et chez les animaux (tremblante ovine et caprine, encéphalopathie spongiforme bovine, encéphalopathie spongiforme féline, encéphalopathie transmissible du vison, dépérissement chronique des cervidés. L’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est une maladie nouvelle apparue en 1985 au Royaume-Uni, puis s’est propagée ensuite dans les autres pays européens et en particulier en France (premier cas identifié en 1990). La tremblante des ovins est en revanche connue depuis plus de deux siècles en Europe. Elle se distingue de l’ESB par sa contagiosité et la distribution de la protéine prion pathologique PrPsc dans les tissus périphériques. L’agent de l’ESB est transmissible des bovins à l’homme chez lequel il provoque une forme particulière (variant) de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. En revanche, l’agent de la tremblante ovine semble sans danger pour l’homme. Jusqu’en 1992, date du premier rapport réalisé à la demande du ministre de la recherche, Hubert Curien, par une commission de 9 chercheurs présidée par Dominique Dormont, les recherches poursuivies en France sur les ESST étaient le fait d’un petit réseau informel qui a été à l’origine d’un premier programme de recherches piloté par l’INSERM. L’annonce faite le 20 mars 1996 par les autorités du Royaume-Uni que 10 britanniques venaient de succomber à une variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob liée à l’ESB, entraîne une crise de confiance sans précédent des consommateurs. Interpellée, la communauté scientifique incluant l’INRA est alors brutalement placée devant un ensemble de questions nouvelles qui l’oblige à recentrer sa stratégie en termes d’expertise collective. La mise en place à cette occasion, du comité interministériel d’experts sur les ESST animé par Dominique Dormont (et auquel 8 chercheurs INRA participaient) a été un facteur très important dans la mobilisation de la communauté scientifique française et en particulier de l’INRA (voir à ce sujet l’analyse critique du fonctionnement de ce comité interministériel faite par Jacqueline Estades et Elisabeth Rémy dans l’ouvrage « l’expertise en pratique : les risques liés à la vache folle et aux rayonnements ionisants », 249 pages, L’Harmattan éditeur, Novembre 2003). Depuis 1993, les chercheurs INRA du département de génétique animale réfléchissaient aux conditions de développement de projets de recherche nouveaux sur les maladies à prions et en particulier sur la tremblante ovine qui sévissait de façon spectaculaire dans un troupeau ovin expérimental (domaine INRA de Langlade). Les chercheurs concernés de ce département ont eu un rôle moteur dans la mobilisation ultérieure des autres départements. En effet, à partir de l’automne 1996, des chercheurs INRA appartenant à 6 départements de recherche différents (génétique animale, santé animale, physiologie animale, transformation des produits animaux, hydrobiologie et faune sauvage, économie et sociologie rurale) ont décidé de s’engager dans des projets de recherche centrés sur les maladies à prions. Cet intense effort de mobilisation s’est accompli essentiellement par mobilité thématique (et non pas à la faveur de recrutements nouveaux), ce qui a représenté pour chacun des chercheurs engagés un effort personnel de remise en cause l’obligeant à repartir de zéro dans un domaine totalement nouveau, en abandonnant des recherches où chacun avait acquis un positionnement national et international. Cette mobilisation collective importante a été favorisée par trois facteurs différents : - l’exceptionnelle demande sociétale résultant d’une crise de confiance sans précédent touchant à la fois le consommateur et le citoyen, - l’ensemble des nombreuses questions nouvelles posées par la problématique « prions » qui a profondément excité la curiosité et l’intérêt des chercheurs de disciplines différentes, - et, enfin, la mise en place rapide de nouveaux moyens financiers, à la faveur d’une série d’appels d’offres successifs (INRA en interne, interministériels, GIS Prions, Union Européenne) qui ont exercé un effet incitatif puissant. Dans ce contexte nouveau, les objectifs prioritaires de l‘INRA ont été les suivants : - tout d’abord, créer les conditions optimales pour la mise au point des différents outils indispensables au développement des recherches sur les ESST : . les souris transgéniques pour les infections expérimentales,. les lignées de cultures cellulaires pour la propagation in vitro du prion,. les anticorps monoclonaux anti protéine prion (PrP),. les techniques immunocytohistochimiques pour identifier la protéine prion pathogène PrPsc dans les tissus infectés,. les méthodes de génotypage à grande échelle du gène PrP chez les ovins,. les approches épidémiologiques adaptées,. et surtout toute la logistique appropriée pour la manipulation des prions en toute sécurité au laboratoire et dans les animaleries (souris et gros animaux). - parallèlement, organiser des instances nouvelles pour la coordination (comité d’action incitative programmée, bureau permanent des recherches ESST) et l’animation scientifique interdisciplinaire (séminaires réguliers) de façon à assurer les meilleures conditions pour favoriser les échanges entre les équipes et la cohérence des projets entre eux. - et, enfin, mettre en place des moyens nouveaux en termes de ressources humaines (redéploiements, recrutements). Plus d’une vingtaine d’équipes INRA se sont engagées depuis 1996. A partir des nouveaux outils mis à disposition des différentes équipes, les recherches se développent et les résultats obtenus ont été présentés et discutés lors des séminaires organisés en 1998, 2000 et 2003. Ces résultats ont été valorisés par un nombre important de publications et ont été concrétisés au niveau des applications par la mise au point de tests rapides de diagnostic des ESST (contribution au test Biorad pour l’ESB, convention avec l’Institut Pourquier pour la tremblante ovine) ainsi que par un plan ambitieux de contrôle génétique et d’éradication de la tremblante dans les troupeaux ovins français. Dans le domaine de la biosécurité du retraitement des farines animales, un brevet a été pris en mars 2004. A l’issue du dernier séminaire, la direction scientifique Animal et Produits Animaux a décidé de valoriser l’ensemble des résultats obtenus et des connaissances en découlant, par la réalisation de ce numéro hors-série. L’objectif était de présenter au plus grand nombre l’ensemble des avancées scientifiques et des axes de recherche actuels sur les prions, menés dans les différentes disciplines. Ce numéro hors-série de la revue « Productions Animales » comprend 7 chapitres structurés autour des questions nouvelles que les chercheurs se sont attachés à résoudre : les animaux modèles, la caractérisation des souches et la nature de l’agent, la protéine prion cellulaire, la pathogénie des ESST, la variabilité de la résistance aux ESST et enfin l’épidémiologie et la lutte contre les ESST. En outre à la fin du numéro, figurent des annexes présentant successivement : la liste des publications scientifiques réalisées à partir des résultats obtenus, la liste des séminaires scientifiques organisés en interne, et enfin la liste des 18 projets scientifiques européens dans le domaine des ESST, impliquant des équipes INRA comme coordinateur ou comme partenaire, illustrant ainsi leur positionnement international.
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Ajayi, A. A., G. O. Onipede, B. C. Okafor, K. A. Adepoju, and J. C. Nwabuenu. "Phenotypic identification of soil bacterial and fungal communities inhabiting an archaeological monument at Augustine University, Ilara Epe, southwest Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 4 (September 27, 2021): 473–79. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i4.7.

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Анотація:
Background: The Sungbo Eredo Monument is an ancient public work with a system of defensive walls and ditches located in Eredo Local Council Development Area of Epe, Lagos State, southwest Nigeria. A huge section of the monument cuts through the Augustine University campus, forming two-sided vertical walls with a deep ridge in-between. The objective of this investigative study is to determine the microbial profile of soil samples from the monument in the University campus. Methodology: Soil samples were collected from the topsoil at a depth of 7.5cm from four randomly selected points along the edge of the monument. The samples were transported to the microbiology laboratory of the Department of Biological Sciences of Augustine University for analysis. Samples were cultured on Nutrient agar (NA) and incubated aerobically for 24-48 hours for bacteria isolation and on Sabouraud’s Dextrose agar (SDA) for 72 hours for fungi isolation. Bacterial colonies on NA were preliminarily identified to genus level by Gram reaction and conventional biochemical test scheme for Gram-positive (catalase, coagulase, starch hydrolysis) and Gram-negative isolates (oxidase, urease test, indole, methyl red, Voges Proskauer and sugar fermentation tests). Fungi colonies on SDA were identified using conventional macroscopic and microscopic characteristics. Antibiotic susceptibility test of the bacterial isolates to selected antibiotics was done using the Kirby Bauer disc diffusion method. Results: A total of twenty-three bacterial isolates in four genera; Bacillus, Staphylococcus, Cellobiococcus and Micrococcus and nine fungal isolates in three genera; Saccharomyces, Aspergillus and Botrytis were identified from the cultures. The bacterial isolates were sensitive (>50% sensitivity) to only gentamicin and ofloxacin, with 65.2% and 78.3% sensitivity rates respectively, while they were largely resistant to all other antibiotics such as ceftriaxone, erythromycin, cefuroxime, cloxacillin, ceftazidime and augmentin, with resistance rates of 65.2%, 65.2%, 73.9%, 82.6%, 86.9%, 91.3% respectively. Conclusion: The results of this investigative study revealed the presence of antibiotic-resistant bacteria (mainly Gram-positive) and fungi on the archaeological monument of Augustine University, adding to the existing data on microbial spectrum of archaeological monuments that could be useful for unraveling human cultural habits and microbe-related human diseases. However, further studies on molecular identification of these microbial spectrum will be required to ascertain their genetic relatedness and ancestral phylogeny, which will be useful for archaeologists in their study of the Sungbo-Eredo ancestral monument. French title: Identification phénotypique des communautés bactériennes et fongiques du sol habitant un monument archéologique à l'Université Augustine, Ilara Epe, sud-ouest du Nigeria Contexte: Le monument Sungbo Eredo est un ancien ouvrage public doté d'un système de murs défensifs et de fossés situé dans la zone de développement du conseil local d'Eredo à Epe, dans l'État de Lagos, au sud-ouest du Nigéria. Une énorme section du monument traverse le campus de l'Université Augustine, formant des murs verticaux à deux côtés avec une crête profonde entre les deux. L'objectif de cette étude d'investigation est de déterminer le profil microbien d'échantillons de sol provenant du monument du campus universitaire. Méthodologie: Des échantillons de sol ont été prélevés dans la couche arable à une profondeur de 7,5 cm à partir de quatre points choisis au hasard le long du bord du monument. Les échantillons ont été transportés au laboratoire de microbiologie du Département des sciences biologiques de l'Université Augustine pour analyse. Les échantillons ont été cultivés sur gélose nutritive (NA) et incubés en aérobie pendant 24 à 48 heures pour l'isolement des bactéries et sur gélose au dextrose de Sabouraud's(SDA) pendant 72 heures pour l'isolement des champignons. Les colonies bactériennes sur NA ont été préalablement identifiées au niveau du genre par réaction de Gram et schéma de test biochimique conventionnel pour les isolats Gram-positif (catalase, coagulase, hydrolyse de l'amidon) et Gram-négatif (oxydase, test à l'uréase, indole, rouge de méthyle, Voges Proskauer et sucre essais de fermentation). Les colonies de champignons sur SDA ont été identifiées en utilisant des caractéristiques macroscopiques et microscopiques conventionnelles. Le test de sensibilité aux antibiotiques des isolats bactériens à des antibiotiques sélectionnés a été effectué en utilisant la méthode de diffusion sur disque de Kirby Bauer. Résultats: Un total de vingt-trois isolats bactériens dans quatre genres; Bacillus, Staphylococcus, Cellobiococcus et Micrococcus et neuf isolats fongiques de trois genres; Saccharomyces, Aspergillus et Botrytis ont été identifiés à partir des cultures. Les isolats bactériens étaient sensibles (sensibilité >50%) uniquement à la gentamicine et à l'ofloxacine, avec des taux de sensibilité de 65,2 % et 78,3 % respectivement, alors qu'ils étaient largement résistants à tous les autres antibiotiques comme la ceftriaxone, l'érythromycine, la céfuroxime, la cloxacilline, la ceftazidime et l'augmentine avec des taux de résistance de 65,2%, 65,2%, 73,9%, 82,6%, 86,9%, 91,3% respectivement. Conclusion: Les résultats de cette étude d'investigation ont révélé la présence de bactéries résistantes aux antibiotiques (principalement à Gram positif) et de champignons sur le monument archéologique de l'Université Augustine, ajoutant aux données existantes sur le spectre microbien des monuments archéologiques qui pourraient être utiles pour démêler l'homme. les habitudes culturelles et les maladies humaines liées aux microbes. Cependant, d'autres études sur l'identification moléculaire de ces spectres microbiens seront nécessaires pour déterminer leur parenté génétique et leur phylogénie ancestrale, ce qui sera utile aux archéologues dans leur étude du monument ancestral Sungbo-Eredo.
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Popoola, O. D., B. T. Thomas, J. B. Folorunso, H. T. Balogun-Abiola, H. A. Adekola, Q. O. Okulaja, and M. O. Coker. "Widal antibody titre test versus blood culture; which is a better diagnostic for typhoid fever?" African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 23, no. 4 (October 24, 2022): 389–97. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v23i4.7.

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Background: The importance of accurate diagnosis of infectious diseases is central and crucial to the effectiveness of treatment and prevention of the associated long-term complications of such infections. The objective of this study was therefore to determine the accuracy of the Widal antibody titre test in the diagnosis of typhoid fever relative to the gold standard blood culture technique.Methodology: A total of 40 students attending the Olabisi Onabanjo University Health Services, Ago-Iwoye, Ogun State, Nigeria on account of suspected typhoid fever by positive Widal test (≥ 1/80) and not on antibiotic therapy, were recruited for the study. Stool and blood samples were collected from each participant and analysed at the medical laboratory of the health center using conventional culture techniques and confirmation of isolates by simplex and multiplex polymerase chain reaction (PCR) amplification assays of hilA (Salmonella enterica), ipaH (Shigella spp), rfc (Shigella flexneri) and wbgZ (Shigella sonnei) genes. Antibiotic susceptibility testing (AST) of isolated bacteria to 10 panel of antibiotics was done using the Kirby Bauer disk diffusion test and interpreted according to the Clinical and Laboratory Standards Institute (CSLI) guideline.Results: Of the 40 patients with suspected typhoid fever by the Widal test, 9 yielded Salmonella enterica giving a 22.5% isolation rate, with Salmonella enterica serovar Typhi (Salmonella Typhi) confirmed as sole bacterium from blood cultures in 5 (12.5%) patients and co-infection of Salmonella and Shigella from stool samples in 4 (10.0%) patients. A total of 52 enteric bacteria isolates were recovered from blood and stool samples of the 40 patients made of Salmonella enterica 9 (17.3%), Shigella spp 20 (38.5%), S. flexneri 9 (17.3%) and S. sonnei 14 (26.9%). All the enteric isolates were multi-drug resistant (MDR), with resistance rates to the antibiotic panel ranging from 33.3%-100%, and all the isolates were resistant to ceftriaxone and pefloxacin. Salmonella isolates were also 100% resistant to nitrofurantoin, ofloxacin and ciprofloxacin; S. flexneri were 100% resistant to nitrofurantoin, amoxicillin, cotrimoxazole, ofloxacin and ciprofloxacin; and S. sonnei were 100% resistant to nitrofurantoin and cotrimoxazole.Conclusion: These results showed that only 12.5% of typhoid fever diagnosis by Widal test had Salmonella Typhi isolated from their blood cultures while Salmonella enterica and Shigella spp were isolated from stool samples of other cases. There is need to adopt culture techniques for laboratory diagnosis of febrile illnesses in order to improve treatment regimen. The fact that AST can also be performed with culture technique could further guide antibiotic prescription and reduce the risk of emergence of resistant bacteria. Contexte: L'importance d'un diagnostic précis des maladies infectieuses est centrale et cruciale pour l'efficacité du traitement et la prévention des complications à long terme associées à ces infections. L'objectif de cette étude était donc de déterminer la précision du test de titre d'anticorps de Widal dans le diagnostic de la fièvre typhoïde par rapport à la technique d'hémoculture de référence.Méthodologie : Un total de 40 étudiants fréquentant les services de santé de l'Université Olabisi Onabanjo, Ago-Iwoye, État d'Ogun, Nigéria en raison d'une fièvre typhoïde suspectée par un test Widal positif (≥ 1/80) et non sous antibiothérapie, ont été recrutés pour l'étude. Des échantillons de selles et de sang ont été prélevés sur chaque participant et analysés au laboratoire médical du centre de santé à l'aide de techniques de culture conventionnelles et de confirmation des isolats par des tests d'amplification par réaction en chaîne par polymérase (PCR) simplex et multiplex de hilA (Salmonella enterica), ipaH (Shigella spp), les gènes rfc (Shigella flexneri) et wbgZ (Shigella sonnei). Les tests de sensibilité aux antibiotiques (AST) des bactéries isolées à 10 groupes d'antibiotiques ont été effectués à l'aide du test de diffusion sur disque de Kirby Bauer et interprétés conformément aux directives du Clinical and Laboratory Standards Institute (CSLI).Résultats: Sur les 40 patients suspects de fièvre typhoïde par le test de Widal, 9 ont révélé Salmonella enterica donnant un taux d'isolement de 22,5%, avec Salmonella enterica sérovar Typhi (Salmonella Typhi) confirmée comme bactérie unique à partir d'hémocultures chez 5 (12,5%) patients et co-infection de Salmonella et Shigella à partir d'échantillons de selles chez 4 (10,0%) patients. Un total de 52 isolats de bactéries entériques ont étérécupérés à partir d'échantillons de sang et de selles des 40 patients constitués de Salmonella enterica 9 (17,3%), Shigella spp 20 (38,5%), S. flexneri 9 (17,3%) et S. sonnei 14 (26,9%). Tous les isolats entériques étaient multirésistants (MDR), avec des taux de résistance au panel d'antibiotiques allant de 33,3% à 100%, et tous les isolats étaient résistants à la ceftriaxone et à la péfloxacine. Les isolats de Salmonella étaient également résistants à 100% à la nitrofurantoïne, à l'ofloxacine et à la ciprofloxacine; S. flexneri était résistant à 100% à la nitrofurantoïne, à l'amoxicilline, au cotrimoxazole, à l'ofloxacine et à la ciprofloxacine; et S. sonnei étaient 100% résistants à la nitrofurantoïne et au cotrimoxazole.Conclusion: Ces résultats ont montré que seuls 12,5% des diagnostics de fièvre typhoïde par le test de Widal avaient Salmonella Typhi isolée à partir de leurs hémocultures, tandis que Salmonella enterica et Shigella spp ont été isolées à partir d'échantillons de selles d'autres cas. Il est nécessaire d'adopter des techniques de culture pour le diagnostic en laboratoire des maladies fébriles afin d'améliorer le schéma thérapeutique. Le fait que l'AST puisse également être réalisée avec une technique de culture pourrait guider davantage la prescription d'antibiotiques et réduire le risque d'émergence de bactéries résistantes.
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BOICHARD, D., Aurélien CAPITAN, Coralie DANCHIN-BURGE, and Cécile GROHS. "Avant-propos : Anomalies génétiques." INRA Productions Animales 29, no. 5 (January 9, 2020): 293–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.5.2995.

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Анотація:
Avant-Propos : Anomalies génétiques Les anomalies génétiques sont observées depuis toujours par les éleveurs et ont été décrites depuis longtemps par les chercheurs. Toutefois, elles ont toujours eu une situation à part dans la sélection des espèces d’élevage. Si la sélection s’est structurée, organisée, raffinée, elle n’a le plus souvent concerné que des caractères économiquement importants mais dits « quantitatifs », c’est-à-dire des caractères au déterminisme génétique complexe soumis à la fois à des effets du milieu et un nombre important de gènes. Parfois, des gènes à effet majeur ont également été pris en compte (gène culard, gène « sans cornes », coloration, absence de plumes…). Mais les anomalies ont toujours été considérées comme un problème inévitable, éventuellement à cacher. Elles ont été peu prises en compte en sélection, elles ne font pas l’objet de déclarations dans le cadre du contrôle de performances usuel et, au contraire, jusqu’à récemment, faisaient plutôt l’objet d’éliminations, volontairement ou non, sans déclaration. Considérées comme rares, elles ont été intégrées dans les incompressibles pertes d’élevage. La situation se complique en général lorsqu’un reproducteur largement diffusé s’avère porteur d’une anomalie. L’anomalie change alors de statut : d’inconvénient inéluctable mais peu important, elle apparaît comme un problème majeur pour les éleveurs, source de contentieux, porteur d’une mauvaise image. Son éradication rapide devient prioritaire, et l’élimination des reproducteurs porteurs est généralement préconisée. Au cours des années 1990 et 2000, quelques cas dans l’espèce bovine, finalement peu nombreux, ont marqué les esprits par l’impact qu’ils ont eu dans les populations concernées quand les meilleurs taureaux du moment se sont révélés porteurs. De plus, aucun réseau « du déclarant au généticien » n’étant mis en place, il a fallu du temps entre la déclaration des premiers cas et la disponibilité d’un test moléculaire permettant une éradication réellement efficace. Les anomalies génétiques sont inéluctables. Elles résultent de mutations de l’ADN qui sont un phénomène normal source de la diversité génétique. Souvent neutres, parfois fonctionnelles, les mutations peuvent dans des cas rares être responsables d’anomalies. Les populations d’élevage étant des populations génétiquement petites (malgré des effectifs physiques parfois très élevés), elles présentent des conditions favorables pour la diffusion et l’expression de ces anomalies, du fait de la dérive génétique et de la consanguinité. Contrairement à ce qui est parfois supposé, la sélection ne crée pas les anomalies, mais elle peut favoriser leur diffusion (l’augmentation de leur fréquence allélique et l’apparition de cas), de façon analogue aux antibiotiques qui ne créent pas de résistance, mais sélectionnent les populations bactériennes résistantes. On pense également à tort que les populations génétiquement petites présentent plus d’anomalies. Il est plus exact de dire qu’à effectif d’animaux identique, les populations génétiquement petites présentent un nombre d’anomalies différentes plus faible, mais un nombre de cas par anomalie plus élevé. Alors que la sélection est un modèle de rationalité, les anomalies sont longtemps restées hors de ce cadre. Une des raisons était sans doute le manque d’outils pour les éliminer. Une mise en place progressive depuis quinze ans et une accélération certaine des techniques de dépistage depuis le début des années 2010 a permis de définir un nouveau cadre pour intégrer les anomalies dans le processus de sélection. Tout d’abord, il est essentiel de disposer d’un système d’observation des anomalies. Les cas étant souvent rares et dispersés, il est essentiel que ce système soit largement implanté sur le terrain et que les informations soient centralisées, de façon à détecter les émergences le plus tôt possible, à partir de cas considérés éventuellement à tort comme sporadiques. Différents observatoires dédiés, souvent distincts du contrôle de performances classique, ont été mis en place à travers le monde et dans différentes espèces d’élevage ou de compagnie. Nous présentons dans ce dossier l’Observatoire National des Anomalies Bovines – ONAB ; https://www.onab.fr/ – (Grohs et al 2016) et la situation chez le porc (Riquet et al 2016). Ces dispositifs ont réellement montré toute leur efficacité lorsque les outils moléculaires les plus récents, de génotypage et séquençage, ont été disponibles, permettant de caractériser rapidement une anomalie à partir de quelques cas (Duchesne et al 2016). Ces outils génomiques peuvent même être utilisés pour orienter la recherche des anomalies avant leur observation (Fritz et al 2016). Enfin, il convient d’insister sur le fait que l’analyse de cas mais aussi de leurs ancêtres n’est possible que si d’excellentes collections d’échantillons sont stockées, comme c’est le cas pour l’ONAB ou pour le Centre de Ressources Biologiques pour les animaux domestiques (CRB-Anim ; https://www.crb-anim.fr/). La situation est bien sûr très variable selon les espèces. L’impact d’une anomalie, et donc la prise de conscience des sélectionneurs, est plus élevé dans les espèces conduites en race pure et quand l’individu a une forte valeur. L’espèce bovine est caractérisée par un double réseau de phénotypage associé au conseil en élevage et au travers des vétérinaires, par une conduite en race pure quasi-exclusive, par une sélection puissante, devenue génomique. Elle connaît une évolution récente favorisant la détection des anomalies. La situation est également très avancée chez le chien, une espèce bénéficiant d’une bonne supervision vétérinaire et organisée en de nombreuses races pures d’effectifs génétiques très petits et souvent sujettes à des anomalies spécifiques. Aujourd’hui, la situation a beaucoup évolué, de sorte qu’un nombre croissant d’anomalies est mis en évidence, dans toutes les races, quel que soit le mode de reproduction prédominant (monte naturelle ou insémination artificielle). En revanche, leur prise en compte reste encore partielle, et rarement à la hauteur (c’est-à-dire parfois trop, parfois trop peu) de leur importance réelle. Nous proposons dans Boichard et al (2016) différentes approches pour inclure les anomalies de façon objective dans la sélection. Pour le chercheur, les anomalies sont des objets d’étude hors du commun. L’anomalie, en provoquant une perturbation sévère en dehors de la gamme physiologique normale, permet parfois de comprendre un mécanisme habituellement peu variable et donc peu étudiable autrement. On comprend ainsi mieux le rôle des gènes au travers de leurs effets lorsqu’ils sont mutés. Les mécanismes mis en jeu touchent souvent des voies fondamentales du vivant et, à ce titre, sont souvent transposables entre espèces. Les connaissances sont bien sûr bien plus avancées chez l’Homme ou les espèces modèles comme la souris et nous bénéficions de ces informations pour caractériser rapidement les mutations découvertes dans les espèces d’élevage. Mais parfois, une anomalie observée dans une espèce d’élevage peut aussi contribuer à résoudre des questions chez l’Homme, par exemple pour des maladies très rares alors que la structure des populations d’élevage avec de grandes familles permet l’étude de cas familiaux. Il arrive alors que l’espèce d’élevage, de même que le chien, prenne le rôle d’espèce modèle de pathologies humaines.
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Yamb, Gervais Désiré. "(D)écrire les maux de la ville entre visibilité et invisibilité : de l’esthétique moderne à la poétique postcoloniale. Une étude par regards croisés." Le Monde français du dix-huitième siècle 6, no. 1 (July 19, 2021). http://dx.doi.org/10.5206/mfdsecfw.v6i1.14113.

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L’hypothèse centrale qui sous-tend cette réflexion est la suivante : le Tableau de Paris et Le Nouveau Paris de Mercier pourraient, dans une certaine mesure, apparaitre comme une pratique de l’écriture riche de possibilités, en ce sens qu’ils permettent non seulement de comprendre les configurations actuelles de certaines villes africaines postcoloniales, mais également d’élucider, d’un point de vue spatiotemporel, la continuité historique des « nouvelles » maladies de ces grandes métropoles telles que l’insalubrité, les inégalités, la criminalité, et l’urbanisation « chaotique ». C’est dans cette optique que Mercier a, à travers sa « physiognomonie », révélé le vice qu’est la corruption, cette « gangrène » qui tue Paris et ses habitants. Ainsi, la littérature panoramique s’érige en écriture de la résistance face à la déliquescence morale des habitants de la grande ville. Cette résistance entre non seulement dans cette conception d’une écriture totale de la ville africaine postcoloniale, mais également dans une compréhension de la pratique scripturaire chez Mercier dont l’ambition a, entre autres, été de « contaminer » son lecteur, de « guider » son regard panoramique et spatiotemporel sur les mutations des villes africaines postcoloniales. Mais résister, c’est aussi « articuler questionnement moral et création littéraire en décrivant une humanité malfaisante et criminelle, livrée à la cruauté et aux mensonges ».
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N’guessan, Kouame, Dibi Konan Evrard Brice, Essis Brice Sidoine, Toure Nin Céline, and Ngbesso Mako François De Paul. "Caracterisation des performances de croissance et de resistances aux maladies et aux ravageurs de sept (7) varietes de patate douce (Ipomoea Batatas (l), Lam., 1793) dans la region de bouake, Cote d’Ivoire." European Scientific Journal ESJ 17, no. 10 (March 31, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n10p51.

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La production de la patate douce, Ipomoea batatas (L.) Lam., reste confrontée à de nombreuses contraintes agronomiques. Pour mieux faire face à ces contraintes, une étude a été réalisée dans le but de déterminer les caractères agronomiques de sept (7) variétés de patate douce cultivée au centre de la Côte d’Ivoire (Bouaké) afin de sélectionner les variétés les plus adaptées. Dans cette étude, le taux de survie, la biomasse aérienne, la résistance aux insectes et ravageurs ont été évalués. Les résultats obtenus ont montré que les variétés Covington, CIP et Irène ont enregistré les meilleurs taux de survie. Au niveau de la biomasse aérienne la variété Irène s’est distinguée des autres variétés. La variété Fadanga a été moins sensibles pour l’ensemble des nuisibles influençant la patate douce.
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Mazzei, João Roberto Fortes, Estevão Freire, Eduardo Gonçalves Serra, José Ronaldo de Macedo, Angélica Castanheira de Oliveira, Lucia Helena Pinto Bastos, and Maria Helena Wohlers Morelli Cardoso. "Recherche sur le terrain: Une analyse comparative entre les méthodes conventionnelles, biologiques et durables de production de tomates." Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, February 16, 2021, 125–46. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/ingenierie-de-lenvironnement-fr/production-de-tomates.

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L’agriculture représente l’un des principaux piliers de l’économie brésilienne, son importance étant liée à la sécurité alimentaire et à la création d’emplois. Cependant, il est nécessaire d’avoir une réflexion critique sur la durabilité de la plantation. Parmi les différents types de cultures, la tomate s’est démarquée comme l’un des fruits les plus plantés et les plus consommés au monde. Cet article propose une évaluation comparative entre trois types de plantation de tomates: conventionnelle, biologique et durable (TOMATEC®), de la préparation du sol à la commercialisation sur le marché. Les travaux ont été menés dans le nord de l’état de Rio de Janeiro, en collaboration avec des groupes qui produisent les fruits dans ces trois types de plantation. La méthodologie était basée sur un questionnaire non structuré, avec des réponses gratuites, appliqué aux agriculteurs de la région. Nous pensons que cette étude contribuera à l’orientation de la société à travers des données issues de critères sérieux de traitement de l’information. Les principaux résultats ont montré, à travers le système de plantation durable de EMBRAPA (innovation), qu’il est possible d’utiliser des pesticides avec une conscience environnementale et de produire des fruits sans résidus. Les maladies, dans le système conventionnel, sont contrôlées par l’application de fongicides et de bactéricides. En plantation durable, un mélange de détergent maison avec de l’huile de soja, de la bouillie bordelaise, du lait de vache, des fongicides de contact et des fongicides systémiques est utilisé, et dans le système de production biologique, il est courant de ne pas laisser la maladie s’installer dans la plante, grâce à un contrôle préventif. de préparation et de protection des sols. Dans la lutte antiparasitaire, le système conventionnel effectue l’application d’insecticides composés de divers principes actifs. Dans le système biologique, le contrôle des insectes est privilégié en équilibrant le sol, ce qui permet aux plantes d’acquérir une plus grande résistance aux maladies et aux ravageurs. Dans le système durable, il n’y a pas de traitement préventif, mais curatif. Les prix du marché des fruits pour la plantation conventionnelle fluctuent et dépendent de l’offre, tandis que les tomates issues de systèmes biologiques et durables ne fluctuent pas. La production biologique n’a pas la capacité installée pour répondre aux demandes du marché. Avec cela, le système durable gagne de la place sur le marché et se développe dans le sud-est et le sud du pays.
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DUCROT, C., J. CHARLEY-POULAIN, and J. M. AYNAUD. "Numéro hors série 2004 : Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales -Sommaire et avant-propos." INRAE Productions Animales 17, HS (December 18, 2004). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3612.

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Ce numéro hors-série est consacré aux travaux sur les maladies à prions des animaux de ferme, menés à l’Inra en collaboration avec de nombreux organismes nationaux et internationaux. Il aborde de nombreuses facettes de la recherche sur ces agents et les maladies qu’ils occasionnent, tant sur le modèle tremblante que sur l’Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB) : biologie de l’agent pathogène et notion de souche de prion, pathogénie de la maladie et résistance génétique, voies de transmission et évolution dans les populations animales, lutte contre les EST. Le premier article présente l’ensemble des outils mis au point à l’Inra pour étudier les EST (laboratoire de génotypage à grande échelle) ainsi que les dispositifs expérimentaux qui y sont dédiés (domaine expérimental atteint de tremblante naturelle et différentes animaleries protégées). Ensuite, la notion de souche de prion est introduite, discutée, et les divers travaux en cours pour différencier les souches de prions sur une base biologique et biochimique sont présentés, de même que les études menées pour comprendre le déterminisme de cette diversité. Ces travaux ont aussi pour objectif l’amélioration des méthodes actuelles de typage en termes de rapidité et de fiabilité, notamment à travers le développement de souris transgéniques. Deux articles traitent des mécanismes par lesquels la protéine prion pathogène est introduite dans l’organisme, puis la façon dont elle diffuse dans les différents tissus et organes et exerce son pouvoir pathogène. L’un concerne la pathogénie de la tremblante, à partir des travaux entrepris sur le mouton : dans quels tissus diffuse la protéine prion pathogène, dans quels types de cellules et à quelle vitesse, et comment intervient le génotype de l’individu dans ce processus. L’autre porte sur les modèles cellulaires mis au point récemment, qui permettent la multiplication du prion ovin et servent à étudier les interactions entre la protéine prion pathogène et différents types de cellules de l’organisme, les gènes activés en cas d’infection, le rôle du polymorphisme de la protéine prion ovine dans la réplication du prion pathogène et l’identification de molécules ayant une activité antiprion. Les propriétés et le rôle physiologique de la protéine prion normale, ainsi que les raisons pour lesquelles la protéine prion normale est transformée en protéine prion pathogène, sont ensuite abordés à travers plusieurs études : approche physicochimique et structurale de la structure de la protéine prion, pour analyser les domaines de la protéine prion qui pourraient avoir un rôle clé dans la transconformation de la protéine normale en protéine pathogène, et pour comprendre la relation entre le polymorphisme génétique de cette protéine et l’état de résistance ou de sensibilité à la tremblante ; approche immunochimique grâce à des anticorps monoclonaux ayant des affinités particulières pour certaines régions de la protéine prion PrP, qui permettent l’étude de la capacité de la protéine normale à être convertie en protéine pathogène et le typage moléculaire des souches de prions ; analyse des voies de sécrétion et du rôle physiologique de la protéine prion cellulaire. L’influence du polymorphisme au locus Prnp sur la sensibilité des animaux aux EST est documentée, ainsi que les travaux en cours pour mettre en évidence d’autres gènes influençant la sensibilité des animaux aux EST, à partir de la cartographie du génome. Concernant l’épidémiologie des EST, un article présente les travaux sur les sources d’infection, les voies de transmission et la dynamique de la maladie dans les populations animales, en matière de tremblante et d’ESB. Les résultats relèvent d’expérimentations, d’études de terrain et de modélisation mathématique. Enfin, plusieurs articles sont consacrés à la lutte contre les EST, abordant plusieurs volets : développement de tests pour le diagnostic avant la mort et la distinction entre souches d’EST, travaux conduits depuis dix ans pour maîtriser voire éradiquer la tremblante dans la population ovine en jouant sur la résistance génétique des ovins aux EST, étude clinique conduite sur une molécule à visée thérapeutique et discussion sur la méthode de choix des molécules à expérimenter, pistes pour la destruction des farines animales à risque, grâce à l’utilisation de microorganismes ou la fabrication de biolubrifiants, additifs biocarburants et matériaux polymères.

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