Добірка наукової літератури з теми "Regroupement des traces"

Оформте джерело за APA, MLA, Chicago, Harvard та іншими стилями

Оберіть тип джерела:

Ознайомтеся зі списками актуальних статей, книг, дисертацій, тез та інших наукових джерел на тему "Regroupement des traces".

Біля кожної праці в переліку літератури доступна кнопка «Додати до бібліографії». Скористайтеся нею – і ми автоматично оформимо бібліографічне посилання на обрану працю в потрібному вам стилі цитування: APA, MLA, «Гарвард», «Чикаго», «Ванкувер» тощо.

Також ви можете завантажити повний текст наукової публікації у форматі «.pdf» та прочитати онлайн анотацію до роботи, якщо відповідні параметри наявні в метаданих.

Статті в журналах з теми "Regroupement des traces":

1

Salumu, Fiston WANDJA, Gilbert MISAKO KASASA, Davreux YABILI FAMBA, and Moïse IBETA EMPEKA. "COALITION FCC-CACH EN RDC: Portée et incidence socio-politique dans la Ville de Kisangani." IJRDO - Journal of Social Science and Humanities Research 8, no. 12 (December 26, 2022): 22–27. http://dx.doi.org/10.53555/sshr.v8i12.5489.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Conquérir le pouvoir dès nos jours, nécessite un recours à un certain nombre de stratégies ou mécanismes qui rendent facile l’esprit de compétitivité. C’est dans cette optique que les partis et hommes politiques s’y penchent à des coalitions qui ne visent pas seulement la conquête ; mais celle-là peut aussi être une stratégie utilisée pour du pouvoir pour le relever les défis de gouvernance de l’Etat. Sur ce, en ce qui concerne la coalition Front Commun pour le Congo (FCC) et le Cap pour le Changement (CACH) en sigle « FCC-CACH), cette dernière a vu le jour dans une période post-électorale marquée par le triomphe du FCC aux élections provinciales et législatives (partie majoritaire) et la victoire du CACH au scrutin présidentiel de décembre 2018 en République Démocratique du Congo (RDC). Le but ce pacte politique était de relever les défis liés à la gestion commune de la chose publique. Paradoxalement, le fondement idéologique de cette coalition reste une désillusion au vu de tous ses faits manifestes notamment, la crise politique dans toute l’étendue de la république à travers la non collaboration entre les regroupement politiques en coalition, la mise en évidence d’une division sociale causée par la lutte machiavélisme de positionnement politique de l’un ou l’autre regroupement, la haine tribale ; ce qui donne lieu un dysfonctionnement socio-politique voire une mégestion. En effet, cette coalition laisse de traces explicatives qui démontrent son incidence négative dans la construction de la démocratie en RDC et le développement socio-politique de la Ville de Kisangani en particulier. Les points épinglés dans cet article en explicitent mieux.
2

Ngomayé, Esther Solange. "La ronde des poètes ou la lutte de la multitude pour l’autonomie du champ littéraire camerounais." Démo vs Cratie : la question du pouvoir de la multitude 33, no. 1-2-spécial (January 17, 2018): 37–56. http://dx.doi.org/10.7202/1042874ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Depuis les travaux en sociologie de la littérature de Pierre Bourdieu, un intérêt accru s’observe dans l’étude des littératures marginalisées comme celles de l’Afrique subsaharienne, où les instances institutionnelles ont tout à envier à celles des grandes villes européennes. Pourtant, ces littératures travaillent à leur autonomie, comme en témoignent par exemple les voies tracées par les multiples regroupements d’agents de la littérature. Ainsi, le groupe de La ronde des poètes du Cameroun, audacieux face aux écrivains reconnus et aux institutions européennes, a adopté, depuis vingt ans maintenant, des stratégies lui ayant permis de redonner à la littérature camerounaise une certaine forme de reconnaissance.
3

Grenier, Guy, and Marie-Josée Fleury. "Rôle du communautaire en santé mentale dans un système en évolution : état des connaissances et recommandations." Santé mentale au Québec 39, no. 1 (July 10, 2014): 119–36. http://dx.doi.org/10.7202/1025910ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cet article a pour objectifs 1) de tracer l’historique et la place des organismes communautaires en santé mentale (OCSM) ainsi que leurs valeurs et pratiques spécifiques et 2) d’étudier l’impact du Plan d’action en santé mentale (PASM) 2005-2010 sur leur fonctionnement et leurs relations avec le réseau public. Les auteurs abordent la diversité des OSCM en fonction des dimensions suivantes : historique des OCSM au Québec, typologie, territoires couverts et financement, modalité de pratiques, et regroupement. L’étude montre que malgré la place qu’ils occupent dans la dispensation des services, les OCSM perçoivent un certain recul quant à la reconnaissance de leur expertise par le réseau public depuis la mise en place du PASM 2005-2010. Leurs critiques concernent surtout les questions de leur sous-financement, la crainte d’une perte de leur autonomie lors de la signature d’une entente de services ainsi que des lacunes sur le plan de la gouvernance et de la concertation. Un financement plus adéquat des OCSM, principalement pour les groupes d’entraide et les OCSM offrant de la réadaptation psychosociale, de l’intégration aux études et au travail, la reconnaissance de la nécessité d’une pluralité d’approches, ainsi que la reconstitution de tables de concertation ayant des pouvoirs décisionnels sont des outils pouvant permettre aux OCSM de jouer plus adéquatement leurs rôles.
4

Frigon, Sylvie. "La création de choix pour les femmes incarcérées : sur les traces du groupe d’étude sur les femmes purgeant une peine fédérale et de ses conséquences." Criminologie 35, no. 2 (July 19, 2004): 9–30. http://dx.doi.org/10.7202/008288ar.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Résumé Cet article propose un bilan descriptif et critique du traitement pénal réservé aux femmes purgeant une sentence fédérale (2 ans et plus) au Canada depuis une décennie (1990-2000), une décennie marquée par des réaménagements fondamentaux en matière d’enfermement des femmes mais aussi de justice faite aux femmes plus généralement. Pour ce faire, le texte est organisé autour de quatre objectifs : 1) dégager un portrait statistique des femmes purgeant une peine fédérale au Canada ; 2) discuter des conditions d’émergence du groupe de travail qui a mené une étude charnière, La création de choix, en 1990 ; 3) poser un regard sur les nouveaux centres de détention et la nouvelle philosophie pénale ; 4) examiner les reconfigurations et les redéploiements de la surveillance et de la punition enchâssés dans la nouvelle philosophie pénale. L’expérience canadienne en matière de justice à l’égard des femmes incarcérées nous permet de réfléchir à trois questions. Premièrement, dans quelle mesure ces nouvelles pratiques de gouvernance débouchent-elles véritalement sur des interventions plus humaines, favorisant l’autonomisation ? Deuxièmement, quelles répercussions ces nouvelles pratiques de gouvernance ont-elles sur la distribution du pouvoir entre acteurs sociaux (incarcérées) et sur le contrôle pénal et l’exercice du pouvoir ? Troisièmement, quels sont les enjeux, dilemmes et limites de l’intervention de regroupements — féministes, autochtones ou autres — sur le changement social et les institutions étatiques ?
5

Kermoal, Nathalie. "La présence métisse à Edmonton dans les années 1930 : de l’éclipse à l’émergence." Urban History Review 49, no. 2 (February 1, 2022): 149–71. http://dx.doi.org/10.3138/uhr-2021-0001.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Les histoires des villes de l’Ouest canadien sont inextricablement liées à l’histoire des Métis. Installées le long des rivières au XIXe siècle, les familles métisses constituaient le noyau sur lequel sont venus se greffer d’autres arrivants. Avec la transformation des villes au cours du XXe siècle, les familles métisses trouvent de moins en moins de place dans le paysage urbain et disparaissent des récits des grandes villes de l’Ouest canadien. Les Métis, comme les Premières Nations, sont victimes du colonialisme municipal, dont le but est d’effacer leur présence, perçue comme étant d’une époque révolue. Sans place en ville, certaines familles vivent dans des établissements spontanés aux abords des villes ou, comme dans le cas d’Edmonton, près des dépotoirs. Les Métis d’Edmonton ont grandement influencé l’évolution de la ville au XIXe siècle, jusqu’à ce qu’ils soient dépossédés de leurs terres à la fin de cette période. Quoique la plupart des familles quittent Edmonton, la relation qu’elles entretiennent avec la ville n’est pas coupée pour autant. Le but de notre article est avant tout de mettre en lumière un aspect peu connu de l’histoire d’Edmonton, celle de regroupements métis dans certaines parties de la ville –notamment sur le dépotoir Grierson, en plein centre-ville, et du côté de Stony Plain Road, c’est-à-dire au nord-ouest de la ville, où une communauté plus large s’est installée – dont on perçoit encore les traces et qui ont vu le jour dans les années 1930. Dans notre analyse, nous dressons un portrait préliminaire de cette présence métisse à Edmonton. Bien qu’aux yeux de la municipalité, ces personnes entraient dans la catégorie des « squatters » indésirables vivant dans des logements de fortune, notre étude examine la possibilité que ces logements aient représenté un « chez soi » permettant à des familles élargies de vivre ensemble et de se sentir culturellement en sécurité malgré l’hostilité et la discrimination ambiantes.
6

Agostinho, Pedro. "LIMITAÇÕES DE UMA GUERRA SERTANEJA: reflexão sobre aspectos militares do Contestado (1912-1916)." Caderno CRH 16, no. 39 (August 31, 2006). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v16i39.18644.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Nos inícios do século XX, a construção da ferrovia que ligou São Paulo ao Rio Grande do Sul desencadeou profunda transformação, econômica, demográfica e política, com a poderosa e súbita intrusão da economia capitalista no planalto de Santa Catarina e Paraná, na região do Contestado, Brasil meridional. A construtora, uma concessionária norte-americana, recebeu o direito de explorar e operar essa via, e uma faixa de terra com 30 km. de largura, disposta de ambos os lados dos trilhos e ao longo de todo seu percurso. Destinava-se à exploração madeireira, assim como ao assentamento de colonos, sobretudo de origem estrangeira. Para tanto, os antigos posseiros, criadores de gado, agricultores, coletores de pinhão e de erva-mate foram expulsos das terras que exploravam, e que foram cobertas por aquela faixa, gerando hordas de sem-terras que se reagruparam em torno de carismáticos líderes messiânicos. Os chefes políticos regionais, ligados aos grandes terratenentes e apoiados na Igreja Católica, sentiram-se ameaçados pelos ajuntamentos milenaristas, e desencadearam a repressão armada. Isso deflagrou uma guerra sem quartel, que durou de 1912 a 1916. Este artigo busca entender os fatores do colapso final desse movimento social, analisando seus aspectos militares. PALAVRAS-CHAVE: movimentos sociais, insurreição social, milenarismo, Guerra do Contestado, Brasil. LIMITATIONS OF A COUNTRY WAR: contemplaying the mulitary aspects of the Contestado (1912-1916) In the beginnings of the XX century, the construction of the railway linking São Paulo to Rio Grande do Sul unleashed deep economic, demographic and political transformations, with the sudden and powerful intrusion of the capitalistic economics on the hills of Santa Catarina and Paraná, in the Contestado region, in Southern Brazil. The construction company, a North-american concessionary, was given the right to explore and operate this railway and also a strip of land with a width of 30 km.on both sides of the railway tracks and along its whole length. It was destined to the logging and settling of specially foreign farmers. The former squatters, cattle raisers pine and mate collectors were thus expelled from the lands on which they lived and worked that were covered by that 30 km landstrip, generating an army of landless people who regrouped around messianic, charismatic leaders. The regional political chiefs, linked to big landowners and supported by the Catholic Church, felt threatened by these milenarists groups, and unleashed the armed repression. This caused a no quarters war that lasted from 1912 to 1916. This paper strives to understand the factors in the final collapse of this social movement, analysing its military aspects. KEY WORD: social movements, popular insurrections, milenarism, contestado war, Brazil. LIMITATIONS D'UNE GUERRE SERTANEJA: reflexion sur les aspects militaires du Contestado (1912-1916) Dans les débuts du XX ème siècle, la construction de la voie ferroviaire qui liait São Paulo à Rio Grande du Sud a provoqué une profonde transformation économique, démographique et politique, avec la puissante et soudaine intrusion de l'économie capitaliste du planalto de Santa Catarina et du Paraná, dans la région du Contestado, Brésil méridional. L'entreprise de construction, une concessionaire nord-américaine, a reçu le droit d'exploiter et de réaliser des opérations sur cette voie, ainsi que sur une bande de terrain de 30 km de large, disposée de chacun des deux côtés des rails et tout au long de son parcours. Elle se destinait à l'exploitation du bois, bien comme à l'installation de colons, surtout ceux d'origine étrangère. C'est ainsi que les anciens propriétaires, éleveurs de bétail, agriculteurs, cueilleurs de pinhão (fruit tropical) et d'herbe à thé ont été expulsés des terres qu'ils exploitaient et que celles-ci ont été recouvertes par cette bande de terrain, donnant ainsi lieu à des hordes de sans-terre qui se sont regroupés autour de leaders charismatiques et messianiques. Les chefs politiques régionaux, liés aux grands propriétaires des terres et soutenus par l'Eglise Catholique, se sont sentis menacés par les regroupements millénairistes, et ont déclanché la répression armée. Ceci a provoqué une guerre sans quartier, qui a duré de 1912 à 1916. Cet article cherche à comprendre les facteurs du collapse final de ce mouvement social, en analisant ses aspects militaires. MOTS-CLES: mouvements sociaux, insurrections populaires, millénairisme, guerre du Contestado, Brésil. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br

Дисертації з теми "Regroupement des traces":

1

Hamdi, Marwa. "Modélisation des processus utilisateurs à partir des traces d’exécution, application aux systèmes d’information faiblement structurés." Electronic Thesis or Diss., La Rochelle, 2022. http://www.theses.fr/2022LAROS036.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Ce travail porte sur l’analyse des parcours utilisateurs dans les bibliothèques numériques qui se caractérisent par des processus métier faiblement structurés. Nous allons avoir recours à la fouille de processus afin d’extraire les modèles à partir de ces parcours. Les modèles découverts permettront aux concepteurs de ces systèmes de répondre d’une manière plus efficace aux besoins des utilisateurs et à leurs présenter un ensemble de recommandations. Dans cette thèse, nous avons généré des modèles à partir des traces de navigation des utilisateurs du portail web de la bibliothèque nationale de France, Gallica. Dans un premier temps, nous avons adapté ces traces sous un format compatible avec les algorithmes de fouille de processus. Dans un second temps, nous avons regroupé ces traces. L’originalité de notre apport porte sur le regroupement des parcours similaires, en tenant compte des caractéristiques existantes dans les traces, afin d’éviter la génération des modèles complexes, souvent non exploitables, à partir de telles traces volumineuse set non structurées. Enfin, nous avons validé notre méthode sur deux jeux de données simulé et réel. Nous avons comparé notre méthode à deux méthodes inspirées des travaux existants et les résultats montrent que notre méthode surpasse celles existantes sur les deux jeux de données à la fois dans le regroupement et la modélisation
This research focuses on extracting users’ journeys in a digital library characterized by weakly structured business processes. In this thesis, we investigate whether it is possible to model user journeys using process mining. The discovered models allow system designers to respond more efficiently to users’ needs and to present them with a set of recommendations. For our study, we have chosen to extract the users’ journey models of the digital library Gallica, based on real traces generated by their users. First, we adapt these browsing traces in a well-defined format compatible with process mining techniques. The originality of our contribution concerns the grouping of similar paths, considering the existing characteristics in the traces, to avoid the generation of complex models, often not exploitable, from such voluminous and unstructured traces. Finally, we validate our method on two simulated and real data sets. We compare our method to two other methods inspired by existing works. The results show that our method outper forms the existing ones on both datasets in clustering and modeling
2

Guevara, Alvez Pamela Beatriz. "Inference of a human brain fiber bundle atlas from high angular resolution diffusion imaging." Phd thesis, Université Paris Sud - Paris XI, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00638766.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
La structure et l'organisation de la substance blanche du cerveau humain ne sont pas encore complètement connues. L'Imagerie par Résonance Magnétique de diffusion (IRMd) offre une approche unique pour étudier in vivo la structure des tissus cérébraux, permettant la reconstruction non invasive des trajectoires des faisceaux de fibres du cerveau en utilisant la tractographie. Aujourd'hui, les techniques récentes d'IRMd avec haute résolution angulaire (HARDI) ont largement amélioré la qualité de la tractographie par rapport à l'imagerie du tenseur de diffusion standard (DTI). Toutefois, les jeux de données de tractographie résultant sont très complexes et comprennent des millions de fibres, ce qui nécessite une nouvelle génération de méthodes d'analyse. Au-delà de la cartographie des principales voies de la substance blanche, cette nouvelle technologie ouvre la voie à l'étude des faisceaux d'association courts, qui ont rarement été étudiés avant et qui sont au centre de cette thèse. L'objectif est d'inférer un atlas des faisceaux de fibres du cerveau humain et une méthode qui permet le mappage de cet atlas à tout nouveau cerveau.Afin de surmonter la limitation induite par la taille et la complexité des jeux de données de tractographie, nous proposons une stratégie à deux niveaux, qui enchaîne des regroupements de fibres intra- et inter-sujet. Le premier niveau, un regroupement intra-sujet, est composé par plusieurs étapes qui effectuent un regroupement hiérarchique et robuste des fibres issues de la tractographie, pouvant traiter des jeux de données contenant des millions de fibres. Le résultat final est un ensemble de quelques milliers de faisceaux de fibres homogènes représentant la structure du jeu de données de tractographie dans sa totalité. Cette représentation simplifiée de la substance blanche peut être utilisée par plusieurs études sur la structure des faisceaux individuels ou des analyses de groupe. La robustesse et le coût de l'extensibilité de la méthode sont vérifiés à l'aide de jeux de fibres simulés. Le deuxième niveau, un regroupement inter-sujet, rassemble les faisceaux obtenus dans le premier niveau pour une population de sujets et effectue un regroupement après normalisation spatiale. Il produit en sortie un modèle composé d'une liste de faisceaux de fibres génériques qui peuvent être détectés dans la plupart de la population. Une validation avec des jeux de données simulées est appliqué afin d'étudier le comportement du regroupement inter-sujet sur une population de sujets alignés avec une transformation affine. La méthode a été appliquée aux jeux de fibres calculés à partir des données HARDI de douze cerveaux adultes. Un nouveau atlas des faisceaux HARDI multi-sujet, qui représente la variabilité de la forme et la position des faisceaux à travers les sujets, a été ainsi inféré. L'atlas comprend 36 faisceaux de la substance blanche profonde, dont certains représentent quelques subdivisions des faisceaux connus, et 94 faisceaux d'association courts de la substance blanche superficielle. Enfin, nous proposons une méthode de segmentation automatique de mappage de cet atlas à tout nouveau sujet.

Звіти організацій з теми "Regroupement des traces":

1

Dufour, Quentin, David Pontille, and Didier Torny. Contracter à l’heure de la publication en accès ouvert. Une analyse systématique des accords transformants. Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, April 2021. http://dx.doi.org/10.52949/2.

Повний текст джерела
Стилі APA, Harvard, Vancouver, ISO та ін.
Анотація:
Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.Cette étude porte sur une des innovations contemporaines liées à l’économie de la publication scientifique : les accords dits transformants, un objet relativement circonscrit au sein des relations entre consortiums de bibliothèques et éditeurs scientifiques, et temporellement situé entre 2015 et 2020. Ce type d’accords a pour objectif affiché d’organiser la transition du modèle traditionnel de l’abonnement à des revues (souvent proposées par regroupements thématiques ou collections) vers celui de l’accès ouvert en opérant une réaffectation des budgets qui y sont consacrés. Notre travail d’analyse sociologique constitue une première étude systématique de cet objet, fondée sur la recension de 197 accords. Le corpus ainsi constitué inclut des accords caractérisés par la coprésence d’une composante d’abonnement et d’une composante de publication en accès ouvert, même minimale (« jetons » de publication offerts, réduction sur les APC...). En conséquence, ont été exclus de l’analyse les accords portant uniquement sur du financement centralisé de publication en accès ouvert, que ce soit avec des éditeurs ne proposant que des revues avec paiement par l’auteur (PLOS, Frontiers, MDPI...) ou des éditeurs dont une partie du catalogue est constitué de revues en accès ouvert. L’accord le plus ancien de notre corpus a été signé en 2010, les plus récents en 2020 – les accords ne commençant qu’en 2021, même annoncés au cours de l’étude, n’ont pas été retenus. Plusieurs résultats se dégagent de notre analyse. Tout d’abord, on note une grande diversité des acteurs impliqués avec 22 pays et 39 éditeurs, même si certains consortiums (Pays-Bas, Suède, Autriche, Allemagne) et éditeurs (CUP, Elsevier, RSC, Springer) en ont signé beaucoup plus que d’autres. Ensuite, la durée des accords, comprise entre une et six années, révèle une distribution très inégalitaire, avec plus de la moitié des accords (103) signés pour 3 ans, ainsi qu’une faible proportion pour 4 ans ou plus (22 accords). Enfin, en dépit d’appels répétés à la transparence, moins de la moitié des accords (96) ont un texte accessible au moment de cette étude, sans qu’on puisse observer une tendance récente à une plus grande disponibilité. L’analyse montre également des degrés d’ouverture très variables, allant d’une simple information sur le répertoire ESAC en passant par la mise à disposition d’un format annotable jusqu’à l’attribution d’un DOI et d’une licence de réutilisation (CC-BY), en incluant le détail des sommes monétaires. Parmi les 96 accords disponibles, dont 47 signés en 2020, 62 ont fait l’objet d’une analyse en profondeur. C’est à notre connaissance la première analyse à cette échelle, sur un type de matériel non seulement inédit, mais qui était auparavant soumis à des clauses de confidentialité. Fondée sur une lecture minutieuse, l’étude décrit de manière fine leurs propriétés, depuis la matérialité du document jusqu’aux formules financières, en passant par leur morphologie et l’ensemble des droits et devoirs des parties. Les contenus des accords sont donc analysés comme une collection dont nous cherchons à déterminer les points communs et les variations, à travers des codages explicites sur certaines de leurs caractéristiques. L’étude pointe également des incertitudes, et notamment leur caractère « transitionnel », qui demeure fortement discuté. D’un point de vue morphologique, les accords montrent une grande diversité en matière de taille (de 7 à 488 pages) et de structure. Néanmoins, par définition, ils articulent tous deux objets essentiels : d’une part, les conditions de réalisation d’une lecture d’articles de revues, sous forme d’abonnement, mêlant des préoccupations d’accès et de sécurité ; d’autre part, les modalités de publication en accès ouvert, articulant la gestion d’un nouveau type de workflow à toute une série d’options possibles. Parmi ces options, mentionnons notamment le périmètre des revues considérées (hybrides et/ou accès ouvert), les licences disponibles, le degré d’obligation de cette publication, les auteurs éligibles ou le volume d’articles publiables. L’un des résultats les plus importants de cette analyse approfondie est la mise au jour d’un découplage presque complet, au sein même des accords, entre l’objet abonnement et l’objet publication. Bien entendu, l’abonnement est systématiquement configuré dans un monde fermé, soumis à paiement qui déclenche des séries d’identification des circulations légitimes tant du contenu informationnel que des usagers. Il insiste notamment sur les interdictions de réutilisation ou même de copie des articles scientifiques. À l’opposé, la publication en accès ouvert est attachée à un monde régi par l’accès gratuit au contenu, ce qui induit des préoccupations de gestion du workflow et des modalités d’accessibilité. De plus, les différents éléments constitutifs de ces objets contractuels ne sont pas couplés : d’un côté, les lecteurs sont constitués de l’ensemble des membres des institutions abonnées, de l’autre, seuls les auteurs correspondants (« corresponding authors ») sont concernés ; les listes de revues accessibles à la lecture et celles réservées à la publication en accès ouvert sont le plus souvent distinctes ; les workflows ont des objectifs et des organisations matérielles totalement différentes, etc. L’articulation entre les deux objets contractuels relève uniquement d’une formule de distribution financière qui, outre des combinaisons particulières entre l’un et l’autre, permet d’attribuer des étiquettes distinctes aux accords (offset agreement, publish & read, read & publish, read & free articles, read & discount). Au-delà de cette distribution, l’étude des arrangements financiers montre une gamme de dispositions allant d’une prévisibilité budgétaire totale, donc identique aux accords d’abonnement antérieurs, à une incertitude sur le volume de publication ou sur le montant définitif des sommes échangées. Les modalités concrètes de calcul des montants associés à la publication en accès ouvert sont relativement variées. S’il existe effectivement des formules récurrentes (volume d’articles multiplié par un prix individuel, reprise de la moyenne des sommes totales d’APC des années précédentes...), le calcul des sommes en jeu est toujours le résultat d’une négociation singulière entre un consortium et un éditeur scientifique, et aboutit parfois à des formules originales et complexes. À ce titre, l’espace des possibles en matière de formules financières n’est jamais totalement clos. Par ailleurs, la volonté des consortiums d’opérer une « transformation » de leurs accords vers la publication à coût constant renvoie à des définitions diversifiées du « coût » (inclusion ou non des dépenses d’APC préexistantes) et de la constance (admission ou pas d’une « inflation » à 2 ou 3%). De plus, nous n’avons observé aucune disposition contractuelle permettant d’anticiper les sommes en jeu au-delà de l’horizon temporel de l’accord courant. La grande diversité des accords provient d’une part des conditions initiales des relations entre consortiums et éditeurs scientifiques – les sommes dépensées en abonnement étant le point de départ des nouveaux accords –, d’autre part des objectifs de chaque partie. Même si cette étude excluait volontairement les négociations, les accords portent des traces de ces objectifs. Ainsi, de nombreux accords sont de nature explicitement expérimentale, quand certains visent un contrôle budgétaire strict, ou d’autres ambitionnent, dans la période plus récente, la publication du plus grand nombre possible d’articles en accès ouvert. C’est dans ce dernier cas qu’on touche à l’ambiguïté des attentes générales sur les accords transformants. En effet, pour les consortiums, la dimension « transformante » consiste essentiellement à transférer les sommes traditionnellement allouées à l’abonnement vers la publication en accès ouvert. Mais l’objectif n’est jamais de transformer le modèle économique des revues, c'est-à-dire de faire basculer des revues sous abonnement ou hybrides en revues entièrement en accès ouvert. D’ailleurs, aucune clause ne vise une telle fin – à l’exception du modèle d’accord proposé par l’éditeur ACM. Du côté des éditeurs, et notamment de Springer, le caractère cumulatif des accords nationaux passés vise à projeter un monde de la publication où l’accès ouvert devient de fait quantitativement très dominant, sans pour autant modifier de manière pérenne le modèle économique de leurs revues. Notre étude montre que les accords transformants actuels ne permettent pas d’assurer de manière durable une transition de l’économie de la publication vers l’accès ouvert, dans la mesure où ils n’offrent pas de garantie sur le contrôle des dépenses ni sur la pérennité de l’ouverture des contenus. L’avenir des relations entre consortium et éditeur demeure largement indéterminé.

До бібліографії