Статті в журналах з теми "Santé des volailles"

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MAGNIN, Michel, A. TRAVEL, J. D. BAILLY, and P. GUERRE. "Effets des mycotoxines sur la santé et les performances des volailles." INRA Productions Animales 29, no. 3 (December 12, 2019): 217–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.3.2961.

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Анотація:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires produits par des champignons, qui peuvent être présents sur une large variété de cultures et en particulier les céréales. Leur maitrise est considérée comme un enjeu majeur dans le monde agricole en raison de leurs effets nocifs sur la santé des Hommes et des animaux. Bien que plus de 400 mycotoxines aient été identifiées, seules quelques-unes sont préoccupantes en production avicole. L’Union Européenne applique ou recommande des teneurs maximales pour certaines mycotoxines dans les matières premières et les aliments pour volailles, afin de protéger les animaux et le consommateur humain. L’objectif de cette revue, est de présenter les effets d’expositions aiguës ou réitérées aux mycotoxines, sur la santé et les performances dans les principales espèces avicoles. Cette analyse est notamment réalisée, lorsque cela a été possible, en comparant les effets observés lors d’études récentes aux seuils réglementés/recommandés au niveau européen. Une attention particulière a été portée sur l’importance des facteurs d’espèces et stades de productions, quant à la sensibilité aux différentes toxines. Le dernier paragraphe est consacré à l’analyse des données disponibles en cas de multi-contaminations en termes d’effets additifs, synergiques ou antagonistes.
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Manishimwe, Rosine, Martin Buhire, Alexie Uyisunze, Jean Bosco Turikumwenayo, and Michael Tukei. "Caractérisation d’Escherichia coli résistant aux antibiotiques dans différents systèmes avicoles de la province de l’Est et de la ville de Kigali au Rwanda." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 1 (September 20, 2017): 13. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31392.

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Анотація:
La résistance aux antibiotiques est devenue une préoccupa­tion de santé publique mondiale car un grand nombre de bactéries résistantes émergent continuellement. Les animaux ont été signalés comme l’une des sources de bactéries résistantes aux antibiotiques qui peuvent être transférées aux humains. Afin d’enrichir les données sur la résistance aux antibiotiques chez les animaux au Rwanda, une étude transversale a été menée dans la province de l’Est et dans la ville de Kigali pour isoler Escherichia coli présent dans des élevages de volailles en plein air et dans des élevages commerciaux. Des échan­tillons de matières fécales ont été prélevés dans 294 fermes avicoles et des souches d’E. coli ont été isolées et identifiées. Au total, 241 isolats d’E. coli ont été soumis à un test de sen­sibilité aux antibiotiques en utilisant cinq antibiotiques (gen­tamicine, streptomycine, rifampicine, doxycycline et érythro­mycine). L’utilisation d’antibiotiques chez les volailles était faible dans les élevages de volaille en plein air (30,9 %) com­parativement aux élevages de poules pondeuses et de pou­lets de chair (100 %). Parmi les 151 éleveurs qui ont déclaré utiliser des antibiotiques chez les volailles, près de la moitié (49,7 %) ont toujours utilisé des antibiotiques sur ordonnance vétérinaire. Sur les 241 isolats d’E. coli, 43,2 % présentaient une résistance multiple à quatre des cinq antibiotiques testés. Presque tous les isolats (98,8 %) étaient résistants à l’érythro­mycine, 78,8 % étaient résistants à la streptomycine, 77,6 % étaient résistants à la doxycycline, 69,3 % étaient résistants à la rifampicine et quelques-uns seulement étaient résistants à la gentamicine (3,7 %). Aucune différence significative statis­tiquement n’a été observée en ce qui concerne la résistance des isolats aux antibiotiques selon le type de système d’éle­vage. Toutefois, la résistance des isolats à la doxycycline a été significativement plus élevée dans les fermes où l’utilisa­tion d’antibiotiques a été signalée (84 %) que dans les fermes où l’utilisation d’antibiotiques n’a pas été signalée (70 %). La résistance aux antibiotiques d’E. coli observée montre l’exis­tence d’une source potentielle de résistance qui peut être transférée aux bactéries pathogènes et avoir un impact sur les humains et les animaux.
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Desvaux, Stéphanie, and Muriel Figuié. "Systèmes de surveillance formel et informel : comment construire des liens." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, no. 1 (November 19, 2015): 33. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20574.

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Анотація:
Dans le contexte de la surveillance de l’influenza aviaire au Vietnam, des enquêtes ont été conduites auprès d’éleveurs de volailles et d’acteurs locaux de la santé animale dans deux communes du delta du fleuve Rouge afin d’identifier la circulation d’informations sanitaires concernant les volailles (contenu de l’information ; mode, rayon et rapidité de circulation ; acteurs impliqués ; actions déclenchées par les informations reçues ; incitations économiques et sociales à la diffusion ou à la rétention d’information). Les principaux résultats montrent que a) des réseaux de surveillance informels actifs existent, b) les niveaux d’alerte sont variables et les mesures appliquées par les éleveurs sont diverses et souvent éloignées des recommandations officielles, et c) l’agent vétérinaire communal constitue une articulation entre les systèmes informel et formel de surveillance. Nous concluons sur la nécessité pour les autorités de distinguer plus nettement les stratégies de surveillance de celles de contrôle et d’envisager une régionalisation de ce contrôle basée sur une prise en compte des spécificités épidémiologiques et des dynamiques des acteurs locaux.
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Martin, S., M. T. Guillam, A. Huneau-Salaün, S. Le Bouquin, and C. Ségala. "Santé respiratoire des éleveurs de volailles et exposition aux poussières organique. Étude AIRPOUL." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 64 (September 2016): S246. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2016.06.282.

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Adebowale, Oluwawemimo O., Olanike K. Adeyemo, Olajoju Awoyomi, Racheal Dada, and Oluseyi Adebowale. "Antibiotic use and practices in commercial poultry laying hens in Ogun State Nigeria." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 1 (July 4, 2016): 41. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31170.

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Анотація:
La production de volailles occupe une place prépondérante dans l’économie nigériane. Toutefois, l’utilisation abusive des antibiotiques par les éleveurs de volailles a entraîné une multirésistance et nuit à l’efficacité des traitements antibiotiques dans l’industrie. Cette étude a été réalisée afin d’évaluer l’utilisation d’antibiotiques dans les exploitations avicoles commerciales. Une enquête a été menée à l’aide d’un questionnaire structuré destiné aux chefs d’exploitation pour obtenir des informations sur les caractéristiques socio-économiques des propriétaires ou desdits chefs, les types d’antibiotiques utilisés, la fréquence et la raison de leur utilisation, la sensibilisation à l’usage des antibiotiques et à leurs problèmes associés, et les sources d’information privilégiées par les éleveurs pour un recours raisonnable aux antibiotiques. Le niveau d’instruction des interviewés était universitaire ou équivalent (70,9 %), collège ou lycée (12,6 %), ou sans éducation formelle (13,6 %). Les antibiotiques étaient utilisés principalement en prophylaxie (> 60 %) et en thérapeutique (< 15 %). La gentamicine (76,7 %) était l’antibiotique le plus utilisé, venaient ensuite la tétracycline (64,1 %), l’enrofloxacine et la ciprofloxacine (57,3 %), la furazolidone (49,5 %), la streptomycine(46,6 %), la furaltadone (43,7 %), le chloramphénicol (41,7 %), la pénicilline (25,2 %), l’érythromycine (24,3 %), et l’acide nalidixique (11,7 %). Environ la moitié des exploitations agricoles utilisaient les produits interdits que sont la furazolidone et le chloramphénicol. Au total 82 (79,6 %) éleveurs savaient que l’utilisation aléatoire d’antibiotiques dans le traitement de maladies incorrectement diagnostiquées pouvait conduire à la résistance aux antibiotiques. Cependant, 73 (70,9 %) étaient moins informés sur le fait qu’un mauvais usage des antibiotiques chez les animaux constitue une grave menace en santé humaine. Les antibiotiques n’étaient pas utilisés avec prudence par les producteurs de volailles. Le manque de sensibilisation de ces derniers à cette situation serait un facteur qui y contribuerait. Les résultats de cette enquête devraient permettre d’élaborer des politiques pertinentes pour établir un contrôle de l’utilisation des antibiotiques dans les élevages de volailles au Nigeria.
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Mohammedi, D., and S. Mohammedi. "Ochratoxine A dans les aliments, les fluides et les tissus de volaille en Algérie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 1 (July 1, 2014): 35. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10157.

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Анотація:
L’ochratoxine A (OTA), mycotoxine produite par de nombreuses espèces d’Aspergillus et par Penicillium verrucosum, est néphrotoxique, hépato- toxique, immunotoxique et carcinogène chez les animaux et chez l’homme. La consommation d’aliments contaminés par l’OTA affecte la santé et la productivité des animaux et peut entraîner la présence d’OTA dans les produits animaux destinés à la consommation humaine. La prévalence de l’OTA dans les produits avicoles en Algérie a été déterminée à partir d’aliments, de sang et d’organes prélevés sur des volailles. La méthode d’analyse a été basée sur le coefficient de partage de l’OTA dans l’eau et les solvants organiques par ajustement du pH. La chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC) et la spectrofluorimétrie ont été utilisées pour la détection et la quantification. L’OTA a été présente dans une grande partie de l’aliment de volailles (poulets, poules pondeuses et dindes) à la concentration de 0,02 à 63 µg/kg. Les concentrations sériques ont été de 0,57 à 1,22 ng/ml. Bien que quelques prélèvements de sérums aient été négatifs, les organes (foie, testicules, reins) provenant des mêmes animaux contenaient de l’OTA. Les reins (concentrations de 0,02 à 9,73 ng/ml) et les testicules (concentrations de 0,12 à 2,11 ng/ ml) ont semblé être les tissus les plus contaminés. Cette étude montre qu’il serait important de proposer une recherche systématique de l’OTA sur les reins de volailles et, selon les résultats, interdire la consommation de leurs organes.
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BONNIN, Estelle, Michel LESSIRE, Nathaële WACRENIER, and Fabien ALLEMAN. "Les polymères de mannose en production animale. 2. Les enzymes de dégradation des mannanes dans l’alimentation des porcs et des volailles." INRAE Productions Animales 33, no. 4 (April 6, 2021): 295–306. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2020.33.4.4634.

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Les enzymes capables de dégrader les mannanes appartiennent à plusieurs familles d’hydrolases qui se distinguent par les sites de coupure sur ces polysaccharides. La plus connue est de loin la « β-mannanase », seule autorisée en alimentation animale en Europe et qui est spécifique des liaisons β-(1,4) entre deux mannoses. Si on ne se limite pas aux seules enzymes aujourd’hui homologuées pour l’alimentation animale, les mannosidases, les β-glucosidases, les α-galactosidases, et les mannane acétyl-estérases peuvent participer, seules ou en association, à l’hydrolyse des polymères de mannose. L’ajout d’une β-mannanase dans les aliments des volailles et des porcs permet de réduire en grande partie les effets antinutritionnels, en particulier inflammatoires, des β-mannanes. L’épargne de nutriments qui en résulte peut alors être directement valorisée en formulation en déconcentrant l’énergie du régime. Au-delà de l’économie réalisée sur le coût de l’aliment, des améliorations de la performance (indice de consommation en particulier) et de la santé digestive sont très souvent observées.
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Barka, M. S., A. Cherif-Anntar, and I. Benamar. "Antimicrobial resistance patterns and transferable traits in Enterobacteriaceae isolates from poultry in Tlemcen, Algeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 2 (April 8, 2021): 196–203. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i2.12.

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Анотація:
Background: Antibiotics are overused in poultry industry, and this has resulted in the emergence of multidrug resistant (MDR) bacteria. The current study is aimed at determining antimicrobial resistance (AMR) patterns of Enterobacteriaceae isolates from poultry in the west of Algeria.Methodology: Different chicken samples (kidney, bone and intestine) were collected and processed for culture using standard microbiological methods to isolate Enterobacteriaceae. Isolates were identified biochemically using API 20E, while isolated Escherichia coli was typed for O1, O2 and O78 antigens using slide agglutination with specific antisera. All identified isolates were tested against 26 antibiotic disks using the Kirby Bauer disk diffusion method according to the CLSI standards. The minimum inhibitory concentrations (MICs) of chloramphenicol, tetracycline, nalidixic acid, ofloxacin and ciprofloxacin were determined for selected isolates. Conjugative plasmid transfer, plasmid incompatibility and colicin tests were used to detect transferable resistance traits in 48 selected E. coli isolates.Results: One hundred and thirty-eight bacteria species were isolated, which included Escherichia coli (n=107), Salmonella spp (n=11), Klebsiella spp (n=8), Enterobacter spp (n=7), Pseudomonas spp (n=3) and Citrobacter spp (n=2). Serotyping identified 24 agglutinable E. coli isolates with O78:K80 (n=11), O1:K1 (n=9) and O2:K1 (n=4). Antibiotic susceptibility showed high frequency of E. coli resistance to nalidixic acid (89.7%), tetracycline (82.2%), streptomycin (82.2%), nitrofurantoin (68.2%), ampicillin (45.8%), ticarcillin (44.9%), piperacillin(42.1%), and chloramphenicol (15.9%). The percentage of multi-drug resistance isolates (resistance to more than 3 antibiotic classes) was 87.9%. The results of conjugative transfer in 48 E. coli isolates shows that the most important resistance traits transferred by plasmids are ASTeSuTmp (18.5%) and SuTmp (12.3%).Conclusion: This study confirmed the presence of multiple antibiotic resistant E. coli and other members of family Enterobacteriaceae in poultry in Algeria, and showed that these antibiotic resistance traits are easily disseminated by plasmids, with dire consequences on human health. Keywords : Poultry, Enterobacteriaceae, antimicrobial resistance, conjugation, plasmid. French title: Profils de résistance aux antimicrobiens et caractères transférables des isolats d'entérobactéries provenant de volailles à Tlemcen, Algérie Contexte: Les antibiotiques sont surutilisés dans l'industrie de la volaille, ce qui a entraîné l'émergence de bactéries multirésistantes (MDR). L'étude actuelle vise à déterminer les profils de résistance aux antimicrobiens (RAM) des isolats d'Enterobacteriaceae provenant de volailles dans l'ouest de l'Algérie. Méthodologie: Différents échantillons de poulet (rein, os et intestin) ont été prélevés et traités pour la culture en utilisant des méthodes microbiologiques standard pour isoler les Enterobacteriaceae. Les isolats ont été identifiés biochimiquement en utilisant l'API 20E, tandis que Escherichia coli isolé a été typé pour les antigènes O1, O2 et O78 en utilisant l'agglutination sur lame avec des antisérums spécifiques. Tous les isolats identifiés ont été testés contre 26 disques antibiotiques en utilisant la méthode de diffusion sur disque de Kirby Bauer selon les normes CLSI. Les concentrations minimales inhibitrices (CMI) du chloramphénicol, de la tétracycline,de l'acide nalidixique, de l'ofloxacine et de la ciprofloxacine ont été déterminées pour certains isolats. Des tests de transfert plasmidique conjugatif, d'incompatibilité plasmidique et de colicine ont été utilisés pour détecter des traits de résistance transférables dans 48 isolats sélectionnés d'E. coli.Résultats: Cent trente-huit espèces de bactéries ont été isolées, parmi lesquelles Escherichia coli (n=107), Salmonella spp (n=11), Klebsiella spp (n=8), Enterobacter spp (n=7), Pseudomonas spp (n=3) et Citrobacter spp (n=2). Le sérotypage a identifié 24 isolats d'E. coli agglutinables avec O78: K80 (n=11), O1: K1 (n=9) et O2: K1 (n=4). La sensibilité aux antibiotiques a montré une fréquence élevée de résistance d'E. coli à l'acide nalidixique (89,7%), à la tétracycline (82,2%), à la streptomycine (82,2%), à la nitrofurantoïne (68,2%), àl'ampicilline (45,8%), à la ticarcilline (44,9%), à la pipéracilline (42,1%) et le chloramphénicol (15,9%). Le pourcentage d'isolats de résistance multi-médicaments (résistance à plus de 3 classes d'antibiotiques) était de 87,9%. Les résultats du transfert conjugatif dans 48 isolats d'E. coli montrent que les traits de résistance les plus importants transférés par les plasmides sont ASTeSuTmp (18,5%) et SuTmp (12,3%).Conclusion: Cette étude a confirmé la présence de multiples E. coli résistants aux antibiotiques et d'autres membres de la famille des Enterobacteriaceae chez les volailles en Algérie et a montré que ces traits de résistance aux antibiotiques sont facilement disséminés par les plasmides, avec des conséquences désastreuses sur la santé humaine. Mots clés: volaille, entérobactéries, résistance aux antimicrobiens, conjugaison, plasmide.
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Adereti, F. O., I. O. Ibitunde, and S. O. Adedeji. "Perception of farmers on the effect of climate change on poultry production in Osun State, Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 1–8. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2988.

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Анотація:
Climate change plays important role in poultry production, it affects both the egg production aspect of poultry and management. The study was carried out to determine the perception of farmers on the effect climate change on poultry production in Osun State, Nigeria. Specifically, it described the socio economic characteristics of poultry farmers in the study area, determined the perception of the poultry farmers on climate change and identified the problems facing poultry farmers in their production. A multistage sampling procedure was used to select respondents for the study. At the first stage, all the three agricultural zones in the State (Ife/Ilesha, Iwo and Osogbo zones) were selected, at the second stage 40% of the Local Government Areas (LGAs) in each agricultural zone of the State were randomly selected resulting to five LGAs from Osogbo zone, 4 LGAs in Ife/Ilesha zone and LGAs from Iwo zone. This gave a total of 12 LGAs all. At the final stage 10 communities were selected from each LGA and 10 respondents were selected randomly from the selected communities resulting to a total of 120 respondents. Structured interview schedules were designed in English and used to elicit data from the respondents. Data collected were analyzed using both descriptive and inferential statistics such as frequency counts, percentages, mean and standard deviation. The results showed that more than majority (65.8%) of the respondents were males. The mean age of the respondents was 43. 72 ± 10.51 years. The mean of household size was 5.21 ± 1.84. In addition, climate changes affected the farmers rearing season of poultry birds (5.32) ranked highest among the respondents' perception on climate change followed by farmers' decision making concerning the type of livestock to rear can be affected by climate change (5.10). Diseases (4.61) ranked highest among the effects of climate change on farmers' poultry production followed by infertility (3.21). Diseases and parasites (1.00), inadequate access to feed (1.00) and cost of feed (1.00) ranked highest and equally among the problems facing poultry farmers in their production. The study concluded that majority of the farmers were aware that climate change has negative effect on poultry production. It was recommended that more awareness on effect of climate change on poultry production should be created and that farmers should engage professionals like veterinary doctors to manage the health of their poultry. Le changement climatique joue un rôle important dans la production de volaille, il affecte à la fois l'aspect de la production d'œufs de la volaille et la gestion. L'étude a été réalisée pour déterminer la perception des agriculteurs sur l'effet du changement climatique sur la production de volaille dans l'État d'Osun, au Nigéria. Plus précisément, il a décrit les caractéristiques socio-économiques des aviculteurs dans la zone d'étude, déterminé la perception des aviculteurs sur le changement climatique et identifié les problèmes auxquels sont confrontés les aviculteurs dans leur production. Une procédure d'échantillonnage à plusieurs degrés a été utilisée pour sélectionner les répondants pour l'étude. À la première étape, les trois zones agricoles de l'État (zones Ife / Ilesha, Iwo et Osogbo) ont été sélectionnées, à la deuxième étape 40% des zones de gouvernement local (LGA) de chaque zone agricole de l'État ont été sélectionnées au hasard résultant de cinq LGA de la zone Osogbo, 4 LGA de la zone Ife / Ilesha et des LGA de la zone Iwo. Cela a donné un total de 12 LGA. Au stade final, 10 communautés ont été sélectionnées dans chaque LGA et 10 répondants ont été sélectionnés au hasard parmi les communautés sélectionnées, soit un total de 120 répondants. Les calendriers d'entrevue structurés ont été conçus en anglais et utilisés pour obtenir des données auprès des répondants. Les données recueillies ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives et inférentielles telles que les nombres de fréquences, les pourcentages, la moyenne et l'écart type. Les résultats ont montré que plus de la majorité (65.8%) des répondants étaient des hommes. L'âge moyen des répondants était de 43.72 ± 10.51 ans. La taille moyenne des ménages était de 5.21 ± 1.84. En outre, les changements climatiques ont affecté la saison d'élevage des volailles par les agriculteurs (5,32) classée au premier rang parmi la perception des répondants sur le changement climatique, suivie par la prise de décision des agriculteurs concernant le type de bétail à élever peut être affecté par le changement climatique (5.10). Parmi les effets du changement climatique sur la production de volaille des agriculteurs, les maladies (4.61) se classaient au premier rang, suivies de l'infertilité (3.21). Les maladies et les parasites (1.00), l'accès insuffisant aux aliments pour animaux (1.00) et le coût des aliments (1.00) se classaient au premier rang et à égalité parmi les problèmes auxquels les aviculteurs étaient confrontés dans leur production. L'étude a conclu que la majorité des agriculteurs étaient conscients que le changement climatique a un effet négatif sur la production de volaille. Il a été recommandé de sensibiliser davantage aux effets du changement climatique sur la production de volaille et que les agriculteurs engagent des professionnels tels que les médecins vétérinaires pour gérer la santé de leurs volailles.
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Duteurtre, Véronique, Alexis Delabouglise, Flavie Goutard, Khong Nguyen Viet Khong, Guillaume Duteurtre, François Roger, and Marisa Peyre. "Influenza aviaire au Vietnam : état des lieux et complémentarité des activités de surveillance et des études épidémiologiques (2007–2011)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, no. 4 (May 9, 2016): 175. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31165.

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L’apparition de l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) H5N1 en 2003 a accentué la nécessité de disposer de systèmes de surveillance en santé animale efficaces pour éviter une pandémie grippale. Dans certains pays des mesures ad hoc ont été mises en place, soutenues par des bailleurs mais sans véritable ancrage sur le terrain ou auprès des institutions publiques chargées d’assurer une veille sanitaire. D’autres dispositifs, au contraire, ont permis de renforcer les structures déjà en place. L’objectif de cette étude a été de faire un état des lieux des dispositifs de surveillance de l’IAHP chez les volailles au Vietnam afin d’éva­luer la complémentarité des dispositifs nationaux (financés par le gouvernement vietnamien) et des programmes mis en place par les bailleurs internationaux. Les différents types de dispositifs de surveillance, d’études épidémiologique et de projets recherche sur l’IAHP au Vietnam ont été évalués dans l’ensemble complé­mentaires, assurant une couverture homogène du pays. Cependant les nouvelles politiques gouvernementales ont pour la plupart été décidées sans évaluation des actions antérieures en raison d’une insuffisance de données d’évaluation ou d’impact des projets mis en œuvre. Un dysfonctionnement du système de sur­veillance passive, avec un retour limité des résultats et des recommandations aux agents de terrain, a également été constaté. La mise en place de dispositifs de surveillance active efficients en complément de la surveillance passive s’avère donc essentielle dans la gestion du risque de l’IAHP au Vietnam.
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DELANOUE, E., and C. ROGUET. "Acceptabilité sociale de l’élevage en France : recensement et analyse des principales controverses à partir des regards croisés de différents acteurs." INRA Productions Animales 28, no. 1 (January 10, 2020): 39–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.1.3009.

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Dans un contexte de remise en cause fréquente de l’élevage et de ses pratiques, une analyse des points de débat, dans différentes filières (porcs, volailles, bovins, ovins et caprins), a été réalisée dans le cadre du GIS Elevages Demain. Une étude bibliographique a été conduite pour comprendre les fondements des préoccupations sociales envers l’élevage et évaluer leur robustesse. En parallèle, une trentaine d’entretiens a été menée auprès de différentes parties prenantes aux débats – professionnels des filières, salariés d’associations, journalistes et distributeurs – afin de recenser et décrire les principaux sujets de controverses sur les élevages en France. Les positionnements et arguments de chaque partie prenante ont été décrits afin de dégager d’éventuels sujets de consensus ou de blocage entre les discours. L’analyse des argumentaires a permis de classer les différents points de débats en quatre grandes thématiques : l’environnement, le bien-être animal, la santé humaine et l’organisation de l’élevage. Ces points de débat varient en fonction de la filière considérée ou de l’échelle d’observation. La hiérarchisation de ces remises en cause révèle les enjeux principaux auxquels les différentes filières françaises doivent faire face pour répondre aux attentes de la société. Par exemple, les filières de ruminants sont remises en cause pour leurs effets globaux sur l’environnement, tandis que les élevages porcins sont confrontés à des mobilisations locales contre les projets d’élevage. En outre, les travaux mettent en lumière des préoccupations fortes et anciennes de la part de la société à l’égard de l’élevage, qui ne peuvent se résumer à des « effets de mode ».
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Akangbe, E. E., and O. A. Abu. "Moringa oleifera: A rare plant, its nutritional and health benefits." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 1 (February 25, 2022): 262–67. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i1.3425.

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The various ways in which human foods are produced have been intensely discussed and questioned in recent time. It is expected that food from plants, farm animals and microorganisms should be inexpensive, healthy and of good quality. Therefore, the goal to produce sufficient food for everybody can only be achieved if the world food production increases by 2% per year. However, poultry possess a limited natural resistance and immunity against colonization or infection by potentially pathogenic microorganisms. Therefore, antimicrobial feed additives have made a tremendous contribution to profitability of intensive husbandry and providing people with healthy and nutritious animal products. Among antimicrobial feed additives, leaf and seed meals have been prominent recently in poultry and livestock production generally. Growing evidence indicates that increased intakes of phytonutrient-rich botanicals improve the nutritional status and health of the consumers. Moringa oleifera plant, a promising biologically active native plant found in Nigeria has nutritional and botanical attributes useful in livestock production. In poultry, Moringa oleifera leaf and seed meal is used as feed additive, especially in the absence of high plant energy-protein ingredients like full-fat soya bean. Various studies had been conducted on moringa plant by different researchers all reporting a positive effect on animal performances. This study therefore, review some reports from different researchers on the nutritional benefits of Moringa oleifera plant in animals and humans. Les différentes manières dont les aliments humains sont produits ont été intensément discutées et remises en question ces derniers temps. On s'attend à ce que les aliments provenant de plantes, d'animaux de ferme et de micro-organismes soient bon marché, sains et de bonne qualité. Par conséquent, l'objectif de produire suffisamment de nourriture pour tout le monde ne peut être atteint que si la production alimentaire mondiale augmente de 2% par an. Cependant, les volailles possèdent une résistance naturelle et une immunité limitées contre la colonisation ou l'infection par des micro-organismes potentiellement pathogènes. Par conséquent, les additifs alimentaires antimicrobiens ont énormément contribué à la rentabilité de l'élevage intensif et à la fourniture aux populations de produits animaux sains et nutritifs. Parmi les additifs alimentaires antimicrobiens, les tourteaux de feuilles et de graines ont occupé récemment une place importante dans la production de volaille et de bétail en général. De plus en plus de preuves indiquent que des apports accrus de plantes riches en phytonutriments améliorent l'état nutritionnel et la santé des consommateurs. La plante Moringaoleifera, une plante indigène biologiquement active prometteuse trouvée au Nigéria, possède des attributs nutritionnels et botaniques utiles dans la production animale. Chez la volaille, la farine de feuilles et de graines de Moringaoleifera est utilisée comme additif alimentaire, en particulier en l'absence d'ingrédients protéiques à haute teneur énergétique végétale comme le soja entier. Diverses études ont été menées sur la plante de moringa par différents chercheurs rapportant toutes un effet positif sur les performances des animaux. Cette étude passe donc en revue certains rapports de différents chercheurs sur les bienfaits nutritionnels de la plante Moringa oleifera chez les animaux et les humains.
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Olayinka, O. I., G. S. Bawa, F. O. Abeke, and M. Afolayan. "Performance of Japanese quail chicks fed combined inclusion levels of meals of garlic (Allium sativum), turmeric (Curcuma longa) and oxytetracycline." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 3 (June 9, 2022): 185–87. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i3.3549.

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In poultry industry, antibiotics are the most frequently used additive in poultry feeds to increase productivity. The residue effects on human health, resulting from the consumption of birds whose feeds contain antibiotics, makes ?nding an appropriate alternative of great importance. As a result of their nature, phytogenic feed additive could be specifically considered for this purpose.This study was conducted to investigate the effect of supplementing Japanese quail chick's diets with combined garlic, turmeric meal and Oxytetracycline on the growth performance and digestibility trial. The phytogenics were supplemented in the diets as feed additives and were randomly allocated to five dietary treatments of 120 birds each and were replicated three times in a completely randomized design with 40 birds per replicate. They were fed five experimental diets containing (25%garlic+75%turmeric, 50%garlic+50%turmeric,75%garlic+25%turmeric) and un supplemented (negative control) and antibiotic (oxytetracycline). The parameters measured are initial body weight, final body weight, weight gain, feed intake, feed conversion ratio and feed cost per kg gain.There were significant differences in final weight,weight gain,average daily weight gain, total feed intakeandfeed conversion ratio across the treatment groups. No mortality was observed across the treatments. It was observed that quails fed dietary level of 75%garlic meal +25% turmeric meal had the best results in terms of all the parameters for performance and nutrient digestibility, except for crude protein and crude fibre that are statistically similar at 75% garlic + 25% turmeric, 50% garlic + 50% turmeric and 50% garlic + 50% turmeric, oxytetracycline, respectively and no significant difference for nitrogen free extracts. For optimal productivity75% garlic meal +25% turmeric meal is therefore recommended. Dans l'industrie de la volaille, les antibiotiques sont l'additif le plus fréquemment utilisé dans les aliments pour volailles pour augmenter la productivité. Les effets résiduels sur la santé humaine, résultant de la consommation d'oiseaux dont les aliments contiennent des antibiotiques, rendent la recherche d'une alternative appropriée d'une grande importance. En raison de leur nature, les additifs alimentaires phytogéniques pourraient être spécifiquement envisagés à cette fin. Cette étude a été menée pour étudier l'effet de la supplémentation des régimes alimentaires des poussins de caille japonais avec une combinaison d'ail, de farine de curcuma et d'oxytétracycline sur les performances de croissance et l'essai de digestibilité. Les phytogéniques ont été complétés dans les régimes en tant qu'additifs alimentaires et ont été répartis au hasard dans cinq traitements diététiques de 120 oiseaux chacun et ont été répliqués trois fois dans une conception complètement aléatoire avec 40 oiseaux par répétition. Ils ont été nourris avec cinq régimes expérimentaux contenant (25 % d'ail + 75 % de curcuma, 50 % d'ail + 50 % de curcuma, 75 % d'ail + 25 % de curcuma) et non supplémentés (témoin négatif) et des antibiotiques (oxytétracycline). Les paramètres mesurés sont le poids vif initial, le poids vif final, le gain de poids, la prise alimentaire, l'indice de conversion alimentaire et le coût alimentaire par kg de gain. Il y avait des différences significatives dans le poids final, le gain de poids, le gain de poids quotidien moyen, l'apport alimentaire total et le taux de conversion alimentaire entre les groupes de traitement. Aucune mortalité n'a été observée dans les traitements. Il a été observé que les cailles nourries avec un niveau alimentaire de 75 % de farine d'ail + 25 % de farine de curcuma avaient les meilleurs résultats en termes de tous les paramètres de performance et de digestibilité des nutriments, à l'exception des protéines brutes et des fibres brutes qui sont statistiquement similaires à 75 % d'ail + 25. % curcuma, 50 % ail + 50 % curcuma et 50 % ail + 50 % curcuma, oxytétracycline respectivement et aucune différence significative pour les extraits sans azote. Pour une productivité optimale, 75 % de tourteau d'ail + 25 % de tourteau de curcuma sont donc recommandés.
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Desnoyers, Luc, and Donna Mergler. "Formation et recherche en santé et sécurité au travail." La recherche-action : enjeux et pratiques, no. 5 (January 29, 2016): 11–20. http://dx.doi.org/10.7202/1034871ar.

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Des groupes de scientifiques progressistes oeuvrent dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail. Leur analyse part du constat que l’état de santé des travailleurs est directement fonction de l’ensemble de facteurs environnementaux et organisationnels qu’ils subissent sur les lieux de travail. L’amélioration de la santé passe nécessairement par l’amélioration des conditions de travail, laquelle résulte généralement des luttes menées par les travailleurs et leurs organisations. C’est dans la perspective d’un support scientifique et technique aux luttes qu’interviennent les auteurs de cet article, perspective qui entraîne évidemment le développement de nouvelles pratiques de formation et de recherche. Une recherche menée avec les travailleurs des abattoirs de volaille à laquelle est consacrée la majeure partie de l’article illustre ce type de pratiques scientifiques centrées sur l’action.
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Igomu, E. E. "Salmonella Kentucky: prevalence and challenges in Nigeria and the Africa continent." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 21, no. 4 (August 25, 2020): 272–83. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v21i4.3.

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Salmonella Kentucky is ubiquitous in most African countries and the multidrug resistant (MDR) strains remain underreported across the continent. In Nigeria, poverty, inter country livestock trades, nomadic system of cattle production, indiscriminate use of antibiotics and prevalent immuno-compromising diseases such as human immunodeficiency virus/acquired immune deficiency syndrome (HIV/AIDS) and tuberculosis are factors that have enabled ease of transmission and complications of S. Kentucky infections. In the present decade, S. Kentucky is reported to be the most prevalent serovar associated with poultry in Nigeria, but very few reports underline the risk associated with consumption of poultry and acquisition of MDR S. Kentucky strains. The Nigerian poultry is one of the most commercialized subsectors of Nigerian agriculture, therefore, the presence of S. Kentucky especially strains carrying broad spectrum antimicrobial resistance pose a great risk to public health. The lack of proper monitoring, surveillance, isolation and control of the multidrug resistant S. Kentucky will remain a challenge to the export potential of the Nigerian poultry subsector and livestock in general. As a nation, modalities and actions against the smuggling of poultry products, indiscriminate use of antibiotics and nomadic system for the production of dairy and beef that promotes spread of virulent strains of Salmonellae must change. The impact of non-typhoidal salmonellosis in humans in Nigeria also remains under studied and under reported, especially those caused by S. Kentucky ST198. Compounding these concerns is the lack of commercial veterinary or human vaccines against S. Kentucky or where vaccines against the broad serogroup C non-typhoidal Salmonella (NTS) are available, they are rarely supplied, with no evidence they could be cross-protective. This review emphasizes the emergence and widespread occurrence of MDR S. Kentucky strains on the African continent, and discussed risk factors contributing to its spread in Nigeria and the potential public health challenge especially to high-risk immunocompromised individuals. Keywords: Salmonella Kentucky, ST198 strain, multidrug resistant, tuberculosis, HIV/AIDS, Nigeria, Africa French Title: Salmonella Kentucky: prévalence et défis au Nigeria et sur le continent africain Salmonella Kentucky est omniprésente dans la plupart des pays africains et les souches multirésistantes (MDR) restent sous-déclarées à travers le continent. Au Nigéria, la pauvreté, les échanges de bétail entre pays, le système d'élevage nomade, l'utilisation aveugle d'antibiotiques et les maladies immunodéprimantes prévalentes telles que le virus de l'immunodéficience humaine/le syndrome d'immunodéficience acquise (VIH/SIDA) et la tuberculose sont des facteurs qui ont facilité la transmission et complications des infections à S. Kentucky. Au cours de la présente décennie, S. Kentucky serait le sérotype le plus répandu associé à la volaille au Nigéria, mais très peu de rapports soulignent le risque associé à la consommation de volaille et à l'acquisition de souches MDR S. Kentucky. La volaille nigériane est l'un des sous-secteurs les plus commercialisés de l'agriculture nigériane, par conséquent, la présence de S. Kentucky, en particulier les souches présentant une résistance antimicrobienne à large spectre, pose un grand risque pour la santé publique. L'absence de suivi, de surveillance, d'isolement et de contrôle adéquats du S. Kentucky multirésistant résistera toujours au défi du potentiel d'exportation du sous-secteur de la volaille nigérian et du bétail en général. En tant que nation, les modalités et les actions contre la contrebande de produits de volaille, l'utilisation aveugle d'antibiotiques et le système nomade pour la production de produits laitiers et de boeuf qui favorisent la propagation de souches virulentes de salmonelles doivent changer. L'impact de la salmonellose non typhoïde chez l'homme au Nigeria reste également sous-étudié et sous-signalé, en particulier ceux causés par S. Kentucky ST198. À ces inquiétudes s'ajoute le manque de vaccins commerciaux vétérinaires ou humains contre S. Kentucky ou là où des vaccins contre les Salmonella non typhoïde du sérogroupe C sont disponibles, ils sont rarement fournis, sans aucune preuve qu'ils pourraient être de protection croisée. Cette revue met l'accent sur l'émergence et la présence généralisée de souches MDR S. Kentucky sur le continent africain, et a discuté des facteurs de risque contribuant à sa propagation au Nigéria et du défi potentiel de santé publique en particulier pour les personnes immunodéprimées à haut risque. Mots-clés: Salmonella Kentucky, souche ST198, multirésistante, tuberculose, VIH/SIDA, Nigéria, Afrique
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Murti, M., D. Skowronski, M. Lem, C. Fung, S. Klar, M. Bigham, S. Loadman, C. Chambers, J. Pritchard, and V. Lee. "Intervention de santé publique face aux éclosions de grippe aviaire A(H5N2) et (H5N1) chez la volaille – Colombie‑Britannique, décembre 2014 à février 2015." Relevé des maladies transmissibles au Canada 41, no. 4 (April 2, 2015): 76–80. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v41i04a01f.

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COULON, JB, P. LECOMTE, M. BOVAL, and J. M. PEREZ. "Introduction générale." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 3, 2011): 5–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3232.

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L’agriculture, et plus particulièrement les productions animales, sont depuis quelques années au cœur des préoccupations mondiales, si l’on en juge par les nombreux rapports que les institutions internationales, ainsi que l’INRA et le CIRAD, leur ont récemment consacré (Millenium Ecosystem Assessment 2005, IPCC 2006, Steinfeld et al 2006, World Bank 2008, FAO 2009, Steinfeld et al 2010, Dorin et al 2011). Deux points forts ressortent de ces exercices de prospective : 1/ Le poids économique et social de l'élevage dans l'agriculture mondiale est considérable :- La planète compte, toutes catégories confondues, 19 milliards d’animaux d'élevage dont 70% sont détenus par des éleveurs hors pays industrialisés ; - On comptait en 2000 : 1 porcin pour 7 habitants, 1 bovin pour 4 habitants, 1 petit ruminant pour 3 habitants, et plus de 2 volailles par habitant ; - Environ 250 millions d'animaux de trait apportent la force de travail pour près de la moitié des cultures vivrières dans les agricultures familiales des pays en développement ;- L’élevage mobilise environ 4 milliards d’ha de surfaces en herbe (soit près de 30% des terres émergées non gelées), fournit le tiers des protéines pour l’alimentation humaine et représente 40% de la valeur de la production agricole brute mondiale ;- On prévoit d’ici à 2050 le doublement des productions animales, essentiellement par une forte expansion des activités d’élevage dans les pays du Sud ;- Quant à l’approvisionnement futur en produits aquatiques, il repose sur l’essor de l’aquaculture (50% déjà du marché mondial), qui est le secteur de l’élevage lato sensu ayant la plus forte croissance surtout dans la zone AsiePacifique ;- L’élevage contribue aux moyens de vie d’un milliard de pauvres dans les pays du Sud et emploie au total 1,3 milliard de personnes dans le monde. 2/ Les productions animales doivent faire face, plus que les productions végétales, à de nombreuses interrogationset remises en cause qui interpellent la recherche et le développement. On peut les résumer de la façon suivante :comment répondre à l’augmentation considérable de la demande en produits animaux, notamment dans les pays du Sud, dans un contexte de compétition forte sur les ressources pour l’alimentation humaine et de la nécessite d’une prise en compte des impacts environnementaux de l’élevage, qu’ils soient positifs (services environnementaux rendus par les systèmes de productions animales) ou négatifs (contribution au changement climatique liées aux émissions de GES, dégradation de la biodiversité, consommation importante d’eau et d'énergie, détérioration de la qualité des eaux par les effluents d’élevage). Ces interrogations ne se déclinent pas de la même façon dans les pays du Nord et du Sud, parce que la place de l’élevage dans la société et les enjeux de son développement y sont différents. Les productions animales au Sud se trouvent ainsi dans une situation paradoxale : elles doivent faire face à une évolution importante de la demande à moyen terme, dans un contexte nouveau, marqué notamment par les tensions sur les disponibilités et les coûts des intrants et par la prise en compte impérative tant des contributions que des effets liés au changement climatique. C’est dans ce contexte particulier, et en prolongement de la réflexion menée par l’INRA et le CIRAD dans le cadre du chantier PARC rappelé dans la préface, que la Rédaction de la revue INRA Productions animales a décidé de consacrer un numéro complet au thème de l’Elevage en régions chaudes (Coulon et al 2011). Les contributions rassemblées dans ce numéro spécial ont pour ambition de faire une synthèse approfondie de l’état connaissances et des expériences acquises en termes d’élevage en régions chaudes. Les productions animales sont analysées à différents niveaux d’organisation, tenant compte de leur spécificité et des interrelations entre les diverses échelles, permettant une visualisation à la fois circonstanciée et large de la situation de l’élevage dans le monde. Les auteurs fournissent ainsi un panel de résultats, d’illustrations, de solutions et d’alternatives innovantes, ainsi que de nouvelles pistes et priorités de recherche. Celles-ci peuvent réellement contribuer à mieux appréhender la multifonctionnalité de l’élevage, la durabilité de son développement et ses évolutions à venir. Après une présentation des éléments d’évolution des productions animales au niveau mondial (Gerber et al), le deuxième article synthétise les nombreuses connaissances acquises concernant les ressources alimentaires tropicales (diversité, disponibilité et valeur nutritive), utilisables en hors-sol ou au pâturage (Archimède et al). Pour les animaux, ruminants et monogastriques, les caractères majeurs d’adaptation aux effets directs du climat, à la sous-nutrition ou aux maladies parasitaires sont développés, et des options d’optimisation de la productivité et de la résilience sont proposées (Mandonnet et al). Dans le domaine de la santé, les maladies infectieuses animales constituent des contraintes économiques fortes ainsi que des risques pour la santé humaine ; des stratégies pour faire face à cette situation sont formulées, concernant à la fois la conduite des systèmes d’élevage et l’organisation de réseaux de surveillance à l’échelle régionale (Lancelot et al). L’article suivant insiste sur la nécessaire prise en compte de la qualité des produits par les producteurs et les transformateurs et l’importance des règles de caractérisation et de gestion de cette qualité, dans un contexte spécifique aux pays du Sud en termes de conditions climatiques, économiques et sociologiques (Faye et al). Les interactions entre l’environnement et les systèmes d’élevage diversifiés sont décrites et illustrées tant en termes d’impacts que de services agro-écologiques, et diverses pistes sont suggérées pour une gestion plus durable de ces systèmes en régions chaudes (Blanfort et al). En sus de la composante environnementale, et au vu de la diversité des systèmes d’élevage et de leur multifonctionnalité, une démarche essentielle de conception-évaluation de systèmes durables est explicitée, illustrée d’exemples géographiques contrastés (Dedieu et al). A une échelle plus large, les auteurs examinent les interactions entre les territoires ou espaces de production et les filières et proposent un modèle d’analyse appliqué à quatre territoires représentatifs du Sud (Poccard et al). Enfin l’élevage, marqueur socioculturel de nombreuses sociétés du Sud, est analysé comme contributeur culturel et capital social, pour son rôle économique majeur à l’échelle des familles, mais également en faveur de la sécurité alimentaire et le développement local (Alary et al). Souhaitons que ces articles de synthèse et les pistes de recherche évoquées dans ce numéro thématique incitent les chercheurs de l’INRA et du CIRAD à renforcer leur collaboration et à proposer de nouvelles approches de la conception et de l’évaluation des systèmes d’élevage en régions chaudes.
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Oloruntola, Olugbenga David, Simeon Olugbenga Ayodele, and Deborah Adebukola Oloruntola. "Effect of pawpaw (Carica papaya) leaf meal and dietary enzymes on broiler performance, digestibility, carcass and blood composition." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 3 (October 23, 2018): 121. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31640.

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Des enzymes exogènes et des additifs alimentaires phytogènes sont proposés en alternative aux antibiotiques utilisés comme promoteurs de croissance dans la production de volaille. Cette étude a évalué l’effet de l’incorporation de farine de feuilles de papaye (FFP) et de la supplémentation en enzymes (E) dans le régime alimentaire des poulets de chair. Au total, 288 poulets de chair Arbor Acre d’un jour ont été utilisés. Quatre régimes alimentaires ont été formulés pour être isocaloriques et isoprotéiques : régime 1, témoin (0 % FFP, 0 % E), régime 2 (0 % FFP, 0,05 % E), régime 3 (5 % FFP, 0 % E) et régime 4 (5 % FFP, 0,05 % E). Chaque régime a été répliqué six fois avec 12 poulets dans chaque lot. E a amélioré (p < 0,05) le gain de poids à trois semaines. La digestibilité de la matière sèche (MS), des protéines brutes (PB), des matières grasses et des cendres a été améliorée (p < 0,05) avec E, alors que l’incorporation de FFP a augmenté (p < 0,05) la digestibilité de la MS et des PB. L’interaction E x FFP a été significative (p < 0,05) pour la digestibilité de la MS et des PB. E a amélioré (p < 0,05) le poids à l’abattage et a diminué le poids du foie. Les plaquettes sanguines ont varié selon les régimes et ont augmenté (p < 0,05) avec E. E a réduit (p < 0,05) les lipoprotéines de basse densité (LDL), alors que FFP a réduit (p < 0,05) le cholestérol et les LDL. En conclusion, l’association de E et de FFP a amélioré la croissance des poulets, et la supplémentation en enzymes ou en FFP serait bénéfique pour la santé des poulets.
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Gallay, A., V. Vrouzet-Mauléon, I. Kempf, P. Lehours, L. Labadi, C. Camou, M. Denis, H. De Valk, J. C. Desenclos, and F. Mégraud. "D2-5 - Évolution de la résistance aux antibiotiques des Campylobacter isolés chez l’homme, la volaille et le porc en France : impact potentiel d’un usage rationalisé des quinolones en santé animale." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 54 (August 2006): 41. http://dx.doi.org/10.1016/s0398-7620(06)76844-4.

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Odafe Shalome, G., and L. I. Nojuvwevwo. "Quail husbandry and welfare systems at Songhai-Delta farm: Profitability of enterprise." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 5 (November 10, 2021): 77–89. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i5.3188.

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Quails are small sized pheasants having a long history of domestication and utilization. The management and welfare systems of Quail production at Songhai Delta farm were surveyed and reviewed. The young quails were sexed by the feather and vent methods when at 6 weeks old and they begin to lay eggs at about that age. Fertile eggs are managed in hatchery until chicks are hatched. Other set of eggs laid are also collected and sold in the farm shop. The quails were fed three types of ration - starter mash at 1-4 weeks of age, grower mash 4-6 weeks and layer mash as from 6 weeks of age. Quails are susceptible to some common poultry diseases; but good management and welfare practices ensure safety and healthy birds. A ratio of 1male to 3 females is the stocking rate in breeder cages in the farm, to obtain fertile eggs. High feed cost and poor market for farm products were the most significant problems of the enterprise. The cost and return estimate for quail bird production indicate that quail venture is highly profitable. The bird has early sexual maturity resulting in a short generation intervals and high rate of lay. Thus, raising quail offers many advantages when compared to producing other domestic or food animals. Quail venture is excellent and recommended for beginners in poultry business, because the birds begin to lay eggs at young age of about 6weeks; and can be slaughtered for food at 5weeks of age. Many developing countries presently faced with problem of inadequate supply of animal protein should find quail production a viable industry. The study recommends a step up of extension services to enlighten farmers and the populace on the importance of quail meat and eggs and the profitability of quail farming. Les cailles sont de petite taille ayant une longue histoire de domestication et d'utilisation. Les systèmes de gestion et de bien-être de la production de cailles à la ferme du delta de Songhai ont été considéré et examinés. Les jeunes cailles sont sexées par les méthodes de 'feather and vent' lorsqu'elles ont 6 semaines et qu'elles commencent à pondre des œufs vers cet âge. Les œufs fertiles sont gérés dans l'écloserie jusqu'à ce que les poussins soient éclos. D'autres œufs pondus sont également recueillis et vendus dans la boutique de la ferme. Les cailles ont été nourries de trois types de ration - purée de démarrage à l'âge de 1-4 semaines, purée de grower 4-6 semaines et purée de couche à partir de 6 semaines d'âge. Les cailles sont sensibles à certaines maladies courantes de la volaille ; mais de bonnes pratiques de gestion et de bien-être assurent la sécurité et la santé des oiseaux. Un rapport de 1male à 3 femelles est le taux de stockage dans les cages d'élevage dans la ferme, pour obtenir des oeufs fertiles. Le coût élevé des aliments pour animaux et le mauvais marché des produits agricoles ont étéles problèmes les plus importants de l'entreprise. L'estimation du coût et du rendement de la production d'oiseaux caille indique que l'entreprise de cailles est très rentable. L'oiseau a une maturité sexuelle précoce résultant en un intervalle de génération court et un taux élevé de produire des oeufs. Ainsi, l'élevage de cailles offre de nombreux avantages par rapport à la production d'autres animaux domestiques ou alimentaires. L'entreprise de caille est excellente et recommandée pour les débutants dans le secteur de la volaille, parce que les oiseaux commencent à pondre des œufs à un jeune âge d'environ 6 semaines ; et peut être abattu pour la nourriture à l'âge de 5 semaines. De nombreux pays en voie du développement confrontés à un problème d'approvisionnement insuffisant en protéines animales devraient trouver la production de cailles une industrie viable. L'étude recommande une augmentation des services d'extension pour éclairer les agriculteurs et la population sur l'importance de la viande et des œufs de caille et la rentabilité de l'élevage de cailles.
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Porphyre, Vincent, and Denis Bastianelli. "Editorial - L'élevage porcin dans les pays tropicaux." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (February 9, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31682.

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Les porcins assurent environ 35 % de la production de viande au niveau mondial, à égalité avec la volaille (FAOstat, 2019). En Afrique subsaharienne, cette proportion est largement inférieure en raison d’une forte tradition de production bovine et des interdits religieux autour de la consommation de viande de porc dans de larges parties de la zone. Elle représente cependant 11,9 % de la production de viande de la région et sa croissance a été de 50 % entre 2007 et 2017. Dans les régions où elle est pratiquée, la porciculture joue un rôle social et économique important lorsqu’elle se pratique à petite échelle, souvent combinée à d’autres activités agricoles.La production porcine se heurte cependant à de nombreuses difficultés sanitaires (peste porcine africaine, zoonoses), techniques (génétique, alimentation) et sociales (acceptabilité des élevages autour des lieux d’habitation). Face à ces défis, de nombreuses équipes de recherche sont mobilisées dans les différents pays producteurs. Cependant, les chercheurs sont souvent isolés et peinent à faire connaître leurs travaux à la communauté scientifique et à intégrer les réseaux scientifiques internationaux.Ce numéro thématique rassemble treize articles originaux et synthèses consacrés à la porciculture en région tropicale. Les questions socio-économiques sont abordées à travers des exemples de filières en Afrique mais aussi au Vietnam ou dans les Caraïbes. Les travaux présentés montrent les difficultés de ces filières soumises à des contraintes multiples. Souvent périurbaine, la production porcine doit se faire discrète et notamment minimiser ses nuisances. Ces conditions rendent difficiles une structuration et une professionnalisation qui permettraient un appui accru des autorités et une diminution des risques zoonotiques. Les systèmes d’élevage doivent en outre s’adapter à des contextes changeants où leur industrialisation bouleverse leur fonctionnement technique et économique et remet en question leur rôle dans les systèmes traditionnels basés sur l’intégration agriculture-élevage.Au niveau technique, l’alimentation reste la contrainte majeure pour les producteurs et le principal coût de production dans les contextes étudiés. Des pistes d’utilisation de ressources locales (tourteaux d’hévéa ou d’anacarde, patates douces) sont proposées pour diminuer l’incorporation d’ingrédients plus onéreux. Les pratiques d’alimentation autour du sevrage peuvent également améliorer le démarrage des animaux et leurs performances ultérieures. Enfin, les choix génétiques sont mis en débat, soit pour comparer les performances des porcs locaux ou améliorés, soit pour promouvoir des races locales à valeur patrimoniale.Les questions sanitaires restent une inquiétude majeure. En Afrique, la peste porcine africaine demeure une menace constante ; de plus, les pathologies sont nombreuses et impactent fortement la production. Les caractéristiques des systèmes de production et de commercialisation augmentent les risques de contamination et rendent difficiles les politiques de prévention. Il y a pourtant un défi sanitaire majeur pour les filières porcines car, au-delà de l’impact sur la production, les zoonoses, mais aussi la dispersion de souches microbiennes résistantes aux antibiotiques, sont des enjeux de santé publique prioritaire. Continuer la recherche, partager les résultats, constituer des réseaux nationaux, régionaux et internationaux : voilà autant d’efforts qui doivent être poursuivis. Au travers de ce numéro thématique, la Revue continue son travail de valorisation des résultats les plus marquants obtenus par des chercheurs travaillant dans des conditions matérielles et partenariales parfois difficiles. Nous pouvons d’ores et déjà annoncer que d’autres articles, en complément de ce numéro thématique, seront publiés dans les prochains numéros de la Revue afin de maintenir notre engagement en faveur de la promotion de la recherche porcine dans les Suds.
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Odafe-Shalom, G. I. O., and E. O. Owen. "Chemical analysis and quality assessment of Nigerian indigenous domestic fowl and quail eggs produced at Songhai delta farms." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 192–203. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1325.

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The quail and indigenous domestic fowl (IDF) are purebred birds that have received little or no genetic manipulation and intensive husbandry in Nigeria. Recently awareness is being created of the potential health value and functional properties of their eggs in industry. This necessitated the interest to examine the indices of egg quality by physical measurements and by chemical analysis of the eggs of the two species. Results showed higher values in IDF eggs for indices of egg size - longitudinal and latitudinal circumference and shell thickness. Weight indices – whole egg weight, albumen weight, and yolk weight, albumen height and yolk height recorded higher values in the IDF eggs. Whole egg weight was 36.51±3.25g for IDF egg, significantly (p<0.01) higher than the whole weight, 9.75±1.32g, of quail egg. Also the relative weight (proportion) of shell to total egg weight was higher in the IDF egg (10.74%) than in quail egg (9.56%). However, the proportions of albumen and yolk (49.38% and 41.01%) in quail egg were higher than the corresponding values in IDF egg (40.59%, and 48.68%). The Haugh unit HU and yolk index YI values of quail eggs were significantly higher (P< 0.05) and (P<0.01) respectively than the values in IDF eggs. The approximate chemical compositions (g/100gdm) of quail eggs were moisture content - 68.12, crude protein-13.45, ether extract-10.45, soluble carbohydrates-4.46, and ash-3.10; whereas IDF eggs measured 71.51, 12.63, 9.74, 3.56 and 2.5 respectively. The differences in crude protein and ether extract values were not significant (p>0.05) for the two sets of eggs. La caille et la volaille domestique indigène (le 'IDF') sont des oiseaux de race pure qui ont subi peu ou pas de manipulation génétique et un élevage intensif au Nigeria. Récemment, on a pris conscience de la valeur potentielle pour la santé et des propriétés fonctionnelles de leurs oeufs dans l'industrie. Ceci a nécessité l'intérêt d'examiner les indices de qualité des oeufs par des mesures physiques et par analyse chimique des oeufs des deux espèces. Les résultats ont montré des valeurs plus élevées dans les oeufs 'IDF' pour les indices de taille des oeufs - circonférence longitudinale et latitudinale et épaisseur de la coquille. Les indices de poids - le poids de l'oeuf entier, le poids de l'albumen et le poids du jaune, la hauteur de l'albumen et la hauteur du jaune ont enregistré des valeurs plus élevées dans les oeufs 'IDF'. Le poids de l'oeuf entier était de 36.51 ± 3.25 g pour l'oeuf de la 'FIL', significativement (p <0.01) supérieur au poids total, 9.75 ± 1.32 g, de l'oeuf de caille. De plus, le poids relative (proportion) de la coquille par rapport au poids total de l'oeuf était plus élevé dans l'oeuf 'FIL' (10.74%) que dans l'oeuf de caille (9.56%). Cependant, les proportions d'albumen et de jaune (49.38% et 41.01%) dans l'oeuf de caille étaient supérieures aux valeurs correspondantes dans l'oeuf 'IDF' (40.59% et 48.68%). Les valeurs de l'unité de Haugh 'HU' et de l'indice du jaune 'YI' des oeufs de caille étaient significativement plus élevées (P <0.05) et (P <0.01) respectivement que les valeurs des oeufs 'IDF'. 68.12, protéine brute-13.45, extrait d'éther- 10.45, glucides solubles-4.46 et cendre-3.10; tandis que les oeufs du 'FIL' mesuraient respectivement 71.51, 12.63, 9.74, 3.56 et 2.5. Les différences entre les valeurs de proteins brutes et d'extrait d'éther n'étaient pas significatives (p> 0.05) pour les deux ensembles d'oeufs.
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Adediran, O. A., and A. B. Omojola. "Evaluation of the effects of feeding selected antioxidant plants supplements on the performance and carcass characteristics of broiler chickens." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 6 (January 18, 2022): 156–66. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i6.3288.

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Consequent upon growing awareness of consumers about the use of antibiotics and other synthetic chemicals which may pose health risks in chicken production, it has become imperative for poultry producers to find natural and less hazardous substitutes to replace these chemicals. Therefore, this study was designed to investigate the influence of garlic (Allium sativum), ginger (Zingiber officinale) and roselle (Hibiscus sabdarifa) supplements at 1% inclusion level in broiler chicken diets on performance and carcass characteristics. A total of 150, one day old Arbor acres broiler chicks were obtained and used for the experiment. Five identical diets were formulated such that diet 1 (Negative control) had no antioxidant supplementation while diets 2, 3, 4, and 5 (positive control) were each supplemented with 1% of dried Allium sativum (AS), Zingiber officinale (ZO), Hibiscus sabdarifa (HS), and 200mg/kg vitamin E.The chicks were randomly divided into fifteen groups of ten birds each in a Completely Randomized Design. Each group was randomly assigned to one of the replicates of the dietary treatments, to have a total of 30 chicks per treatment. Average daily feed intake (ADFI), average daily weight gain (ADWG), and feed conversion ratio (FCR) were measured. Apparent nutrient retention, haematological parameters, blood cholesterol, and carcass characteristics were also determined. The ADWG and FCR were not significantly affected by the supplements. However, the birds fed AS supplemented diet had significantly (p<0.05) higher feed intake, than those fed HS supplemented diet but similar to birds in the negative control. Dry matter retention was not significantly affected in any of the treatments. It was observed that birds fed the AS supplemented diet had significantly higher (p<0.05) crude protein, crude fibre, and ether extract retention than all other treatments. Dressed weight was significantly (p<0.05) higher (76.42%) in birds fed AS supplemented diets. In conclusion, the Allium sativum, Zingiber officinale, and Hibiscus sabdarifa supplements in the chicken diets did not adversely affect performance. However, it was noted that the Allium sativum supplemented diets elicited better performance in terms of nutrient retention and dressed weight of carcass. Suite à la sensibilisation croissante des consommateurs à l'utilisation d'antibiotiques et d'autres produits chimiques synthétiques qui peuvent présenter des risques pour la santé dans la production de poulet, il est devenu impératif pour les producteurs de volaille de trouver des substituts naturels et moins dangereux pour remplacer ces produits chimiques. Par conséquent, cette étude a été conçue pour étudier l'influence des suppléments d'ail (Allium sativum), de gingembre (Zingiber officinale) et de roselle (Hibiscus sabdarifa) à un niveau d'inclusion de 1% dans les régimes alimentaires pour poulets de chair sur les performances et les caractéristiques de la carcasse. Un total de 150 poussins de chair Arbor acres âgés d'un jour ont été obtenus et utilisés pour l'expérience. Cinq régimes identiques ont été formulés de telle sorte que le régime 1 (témoin négatif) n'avait pas de supplémentation en antioxydants tandis que les régimes 2, 3, 4 et 5 (témoin positif) étaient chacun supplémentés avec 1% d'Allium sativum (AS) séché, Zingiber officinale (ZO) , Hibiscus sabdarifa (HS) et 200 mg/kg de vitamine E. Les poussins ont été répartis au hasard en quinze groupes de dix oiseaux chacun dans un plan complètement randomisé. Chaque groupe a été assigné au hasard à l'une des répétitions des traitements diététiques, pour avoir un total de 30 poussins par traitement. La prise alimentaire quotidienne moyenne (PAQM), le gain de poids quotidien moyen (GPQM) et le ratio de conversion alimentaire (RCA) ont été mesurés. La rétention apparente des nutriments, les paramètres hématologiques, le cholestérol sanguin et les caractéristiques de la carcasse ont également été déterminés. Le PAQM et le RCAn'ont pas été significativement affectés par les suppléments. Cependant, les oiseaux nourris avec un régime supplémenté en AS avaient une prise alimentaire significativement (p<0,05) plus élevée que ceux nourris avec un régime supplémenté en HS mais similaire aux oiseaux du contrôle négatif. La rétention de matière sèche n'a été significativement affectée dans aucun des traitements. Il a été observé que les oiseaux nourris avec le régime supplémenté en AS avaient une rétention significativement plus élevée (p<0,05) de protéines brutes, de fibres brutes et d'extraits éthérés que tous les autres traitements. Le poids paré était significativement (p<0,05) plus élevé (76,42 %) chez les oiseaux nourris avec des régimes supplémentés en AS. En conclusion, les suppléments d'Allium sativum, de Zingiber officinale et d'Hibiscus sabdarifa dans l'alimentation des poulets n'ont pas affecté négativement les performances. Cependant, il a été noté que les régimes alimentaires complétés par Allium sativum induisaient de meilleures performances en termes de rétention des nutriments et de poids habillé de la carcasse.
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Ayeni, A. O., M. Adegbenro, O. E. Dick, E. S. Oyedokun, I. O. Olasehinde, and J. O. Agbede. "Performance, haemato-biochemical indices and antioxidants status of broiler chickens fed diets supplemented with avocado-bamboo composite leaf mix." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 1 (February 25, 2022): 293–303. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i1.3428.

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Phytogenic feed additives have been suggested to augment nutrient utilization in the gastrointestinal tract by enhancing production of digestive secretions and enzymatic activity. Such effects on gastrointestinal morphology have been postulated to increase the nutrient digestibility in poultry. However, research on avocado—bamboo composite mix on broiler chickens are limited, this thus forms the focus of this study.A six week feeding trial was conducted to evaluate the growth, haemato-biochemical indices and antioxidants status of broiler chickens fed varying levels of composite leaf mix (CLM). The avocado and bamboo leaves used were manually harvested, air-dried and milled to produce leaf meal. The two leaf meals were then mixed in ratio 1:1 to form the CLM. The CLM was included in broiler basal diets at 0, 4, 8 and 12g/kg levels designated diets I – IV, respectively. Ninety six day-old Cobb broiler chicks were randomly allotted to four treatments of three replicates with eight chicks each. At the end of the feeding trial, the result revealed that average final weight of chicken fed diets II (2533.33±66.67g) and III (2406.55±30.59g) were similar but higher than those fed the control (2216.67±29.83g). The same pattern was observed for total weight gain. The feed conversion ratio (FCR) was not affected although birds fed diet II had the best FCR (2.08±0.06).No significant (P>0.05) difference was observed in all the haematological indices save mean cell volume and mean cell haemoglobin which was highest in birds fed 4g/kg CLM supplemented diet (149.87±24.73fL and 49.95±8.25 pg/cell, respectively) as compared to 111.32±16.56fL and 37.12±5.55pg/cell in those supplemented 12g/kg CLM. The same pattern was repeated in percentage lymph .Among the serum biochemistry parameters measured, only Aspartate transaminase was affected and highest in birds fed diet supplemented with 4g/kg CLM (102.52±5.88µ/L) and lowest in those fed 12g/kg CLM (99.33±5.13µ/L). The superoxide dismutase, catalase and Glutathione peroxidase increased with increased CLM supplementation. The growth, haematological, serum biochemical and antioxidant parameters obtained from this study suggested that the CLM has no adverse effect on the health status of broiler chickens but on the other hand improved the growth, blood serum and serum antioxidant profiles. Des additifs alimentaires phytogéniques ont été suggérés pour augmenter l'utilisation des nutriments dans le tractus gastro-intestinal en améliorant la production de sécrétions digestives et l'activité enzymatique. De tels effets sur la morphologie gastro-intestinale ontété postulés pour augmenter la digestibilité des nutriments chez la volaille. Cependant, les recherches sur le mélange composite avocat-bambou sur les poulets de chair sont limitées, c'est donc l'objet de cette étude. Un essai d'alimentation de six semaines a été mené pour évaluer la croissance, les indices hémato-biochimiques et le statut en antioxydants de poulets à griller nourris à des niveaux variables de mélange de feuilles composites (MFC). Les feuilles d'avocat et de bambou utilisées ont été récoltées manuellement, séchées à l'air et broyées pour produire de la farine de feuilles. Les deux farines de feuilles ont ensuite été mélangées dans un rapport 1:1 pour former le MFC. Le MFC a été inclus dans les régimes de base des poulets de chair à des niveaux de 0, 4, 8 et 12 g/kg désignés régimes I à IV, respectivement. Quatre-vingt-seize poussins de chair Cobb âgés d'un jour ont été répartis au hasard dans quatre traitements de trois répétitions avec huit poussins chacun. À la fin de l'essai d'alimentation, le résultat a révélé que le poids final moyen des poulets nourris avec les régimes II (2533,33 ± 66,67 g) et III (2406,55 ± 30,59 g) était similaire mais supérieur à celui des poulets nourris avec le témoin (2216,67 ± 29,83 g). La même tendance a été observée pour le gain de poids total. Le taux de conversion alimentaire (TCA) n'a pas été affecté bien que les oiseaux nourris avec le régime II aient eu le meilleur TCA (2,08 ± 0,06). Aucune différence significative (P>0,05) n'a été observée dans tous les indices hématologiques, sauf le volume cellulaire moyen et l'hémoglobine cellulaire moyenne qui le plus élevé chez les oiseaux nourris avec 4 g/kg de régime supplémenté en MFC (149,87 ± 24,73 fLet 49,95 ± 8,25 pg/cellule, respectivement) par rapport à 111,32 ± 16,56 fLet 37,12 ± 5,55 pg/cellule chez ceux supplémentés en 12 g/kg de MFC. Le même schéma a été répété en pourcentage de lymphe. Parmi les paramètres biochimiques sériques mesurés, seule l'aspartate transaminase était affectée et la plus élevée chez les oiseaux nourris avec un régime supplémenté de 4 g/kg de MFC (102,52 ± 5,88 µ/L) et la plus faible chez ceux nourris avec 12 g/kg de MFC (99,33 ± 5,13 µ/L). La superoxyde dismutase, la catalase et la glutathion peroxydase ont augmenté avec l'augmentation de la supplémentation en MFC. Les paramètres de croissance, hématologiques, biochimiques sériques et antioxydants obtenus à partir de cette étude suggèrent que le MFC n'a pas d'effet néfaste sur l'état de santé des poulets de chair mais améliore en revanche les profils de croissance, de sérum sanguin et d'antioxydants sériques.
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Leyo, Idriss Hamidou, Zakari Moussa Ousman, Fréderic Francis, and Rudy Caparros Megido. "Techniques de production d’asticots de mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) pour l’alimentation des volailles, synthèse bibliographique." Tropicultura, no. 2 (2021). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1813.

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L’alimentation de la volaille nécessite un apport essentiel en protéine. Ces protéines sont introduites aux animaux à travers des ingrédients alimentaires comme les légumes à graines et leurs tourteaux (arachide, soja, etc.), les farines de poisson, etc. Ces sources protéiques bien qu’étant indispensables en alimentation de la volaille, sont assujetties à une flambée de prix et sont peu ou pratiquement non durables. Les asticots des mouches constituent une solution durable en alimentation animale mais sont classées dans les sources méconnues de protéines animales en Afrique de manière générale et au Niger en particulier. La production de ces asticots n’est pas onéreuse et n'implique pas pour le moment une compétition alimentaire avec l’alimentation humaine. Les asticots des mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) et des mouches soldats noires (Hermetia illucens L. 1758) sont privilégiés en raison de la facilité de leur production et de l’importance de leur biomasse. Les larves de ces deux types de mouches sont souvent produites avec des déchets de toute nature (substrats) disponibles gratuitement ou cédés dans le cas marchand à un prix dérisoire. Les compositions chimiques de ces asticots sont similaires voire meilleures que celles des ingrédients alimentaires conventionnels utilisés en alimentation avicole, et leur utilisation dans l’alimentation de ces volailles induit de bonnes performances zootechniques aux animaux. En plus de la protéine, le processus de production d’asticots permet d’un coté de recycler les déchets organiques qui constituent un véritable problème environnemental et de l’autre côté il permet de générer un résidu biofertilisant riche en nutriment qui peut être valorisé en agriculture. Plusieurs études ont montré qu’il n’a pas de dans danger sanitaire lié à l’utilisation des asticots en alimentation animale en général et celle de la volaille en particulier. En effet l’évaluation de plusieurs éléments-traces métalliques (ETM) au niveau des asticots avait révélé ces ETM sont à des seuils inferieur à ceux recommandés par les organismes internationaux (Union Européenne, organisation mondiale de la santé). Quelques rares études ont affirmé qu’une transmission de Salmonelles est possible aux consommateurs. Toutefois il est admis à l’unanimité que les asticots peuvent être introduits en alimentation animal sans induire des effets néfaste sur leur santé et que les contaminations éventuelles sur toute la chaine alimentaire peuvent être contrôlées.
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LE FLOC’H, Nathalie, Anne BOUDON, Lucile MONTAGNE, Hélène GILBERT, Florence GONDRET, Bénédicte LEBRET, Louis LEFAUCHEUR, et al. "Santé et bien-être de la truie gestante et du porc en croissance." INRAE Productions Animales, November 18, 2021. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2021.34.3.4879.

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Le projet européen PROHEALTH portait sur les maladies de production des porcs et des volailles. Pour l’espèce porcine, INRAE a apporté des connaissances nouvelles permettant de comprendre les mécanismes biologiques qui conduisent ou non à l’expression de ces maladies et de proposer des voies d’amélioration des conditions d’élevage pour préserver la santé des porcs. Ainsi, enrichir l’environnement des truies pendant la gestation a permis de réduire leur stress et donc d’améliorer leur bien-être et de réduire la mortalité néonatale des porcelets. Chez les porcelets, la dynamique de réponse aux stress du sevrage et la prévalence des problèmes digestifs ont été modulées par l’alimentation. Chez les porcs en croissance, augmenter la surface disponible en élevage contribuerait à prévenir l’apparition de troubles locomoteurs selon la prédisposition génétique des porcs à augmenter leur activité physique. Chez les porcs en croissance également, le respect de bonnes conditions d’hygiène du logement permet de préserver la santé et les performances de croissance en limitant l’inflammation systémique et les troubles respiratoires. En s’appuyant sur un modèle de lignées génétiques divergentes sélectionnées sur la Consommation Moyenne Journalière Résiduelle (CMJR), un indicateur de l’efficacité alimentaire, nous avons montré l’implication de facteurs génétiques dans la susceptibilité des porcs à certaines maladies comme les troubles digestifs du sevrage, l’ostéochondrose et l’inflammation causée par les mauvaises conditions d’hygiène du logement.
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Le Pottier, Gilles. "Les contrôles officiels en matière de santé publique vétérinaire dans la filière volaille." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 3 (2018). http://dx.doi.org/10.4267/2042/69752.

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