Статті в журналах з теми "Troubles addictifs"

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Vaglum, P. "Personnalité et troubles addictifs." European Psychiatry 15, no. 1 (June 2000): 59–62. http://dx.doi.org/10.1016/s0924-9338(00)00450-8.

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Gaudriault, Pierre. "ADDICTION ET REPRÉSENTATIONS DANS LE RORSCHACH : ÉVOLUTION DES PATIENTS ADDICTIFS AVEC LES SOINS PSYCHIQUES." ARTICLES LIBRES 39, no. 1 (April 25, 2018): 231–52. http://dx.doi.org/10.7202/1044852ar.

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Анотація:
Quarante patients souffrant de troubles de l’usage de l’alcool (AUD) ou de troubles boulimiques (BD) qui ont bénéficié de soins psychiques sont classés « améliorés » (AC) ou « stationnaires » (SC) à partir de l’échelle CGI. La comparaison des Rorschach au début (t1) et à un moment avancé de leur traitement (t2) montre des différences significatives entre les deux groupes dans l’évolution des réponses « expressives » et « contrexpressives ». Une étude idiographique sur quelques cas précise la façon dont les réponses évoluent entre t1 et t2. L’intérêt du Rorschach pour contribuer à observer le développement de la mentalisation est discuté.
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Scarna, Hélène. "Genèse du processus addictif." médecine/sciences 38, no. 1 (January 2022): 81–83. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2021246.

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Анотація:
L’addiction se développe chez des sujets vulnérables à la suite d’une consommation répétée de drogues. La recherche de l’origine de cette vulnérabilité que nous avons réalisée au cours d’entretiens psychologiques avec 312 patients atteints de troubles addictifs dans un centre de soin, d’accompagnement et de prévention en addictologie, nous conduit à proposer une hypothèse quant à la genèse du processus addictif. Cette hypothèse prend ses racines dans l’articulation entre théories psychodynamiques et neurobiologiques du développement des affects. L’observation clinique révèle la fréquence des souffrances narcissiques chez ces patients. C’est donc dans la constitution historique du narcissisme que les origines du comportement addictif ont été recherchées.
4

Guillaume, S. "tDCS dans le traitement des addictions : quelles perspectives ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 668–69. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.066.

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Анотація:
Les troubles addictifs sont des troubles complexes où les traitements actuellement efficaces restent peu nombreux. Dans ce contexte, la tDCS de part son action neuromodulatrice, sa simplicité d’utilisation et sa faible innocuité pourrait être une option valable à la fois pour mieux comprendre la physiopathologie de ces troubles que comme traitement potentiel. Les comportements addictifs sont marqués par un ensemble de symptômes cognitifs, comportementaux et physiologiques faisant qu’un individu continue à consommer en dépit des conséquences négatives auquel il s’expose. Parmi ces caractéristiques, le craving est particulièrement impliqué dans le maintien des consommations. La neurobiologie du craving implique les régions préfrontales. Cela en fait une cible de choix pour la tDCS. Des études tDCS versus une stimulation placEbo ciblant le cortex préfrontal ont montré une diminution du craving. Ces résultats ont été retrouvé dans une série d’addiction allant du tabac à la methamphetamine en passant par l’alcool et la nourriture. Dans certaines études, cette diminution du craving était associée cliniquement à une diminution des consommations de nourriture ou de cigarettes.Une autre cible d’action potentielle pourrait être neurocognitive. Les addictions sont marquées par des altérations de la prise de décision, une hypersensibilité à la récompense et une impulsivité importante. Des études très préliminaires chez des sujet dépendants au tabac et au cannabis suggèrent qu’un programme de tDCS ciblant le cortex préfrontal dorsolatéral améliore ces fonctions neuropsychologiques et ainsi indirectement le pronostic de l’addiction. Les données actuelles ne permettent cependant pas de préciser si il existe un maintien à long terme des effets observés. L’intérêt clinique et les paramètres optimaux d’utilisation doivent également être mieux définis. Néanmoins ces premières données suggèrent que la tDCS pourrait permettre le développement de nouvelles approches thérapeutiques dans des troubles où les prises en charge actuelles sont perfectibles.
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Sportiche, S. "Quel est le profil clinique des patients avec trouble bipolaire répondeur au lithium ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 96–97. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.258.

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Анотація:
Le lithium reste le « gold standard » du traitement prophylactique dans les troubles bipolaires. En moyenne, chez 80 % des patients bipolaires traités par lithium, celui-ci a un effet préventif à long terme permettant une réduction du nombre d’épisodes thymiques, avec une réponse complète dans 30 à 60 % des cas. Toutefois, 20 % des patients sont non répondeurs et chez 30 à 50 % des patients la réponse n’est que partielle [1]. Dans les études antérieures, certaines variables ont été identifiées comme de possibles facteurs prédictifs d’une bonne réponse prophylactique au lithium : une bonne réponse initiale au traitement en aigu, une séquence manie-dépression intervalle libre, des antécédents familiaux de troubles bipolaires répondeurs au lithium, une apparition tardive de la maladie. À l’inverse, une comorbidité psychiatrique comme les troubles addictifs ou de la personnalité, une séquence dépression-manie-intervalle libre et la présence de cycles rapides représenteraient de potentiels facteurs de risque d’une mauvaise réponse 2,3. Cependant, en raison de l’absence de consensus sur la définition de la réponse prophylactique au lithium, les données de la littérature sont parfois contradictoires. Ainsi, malgré les nombreuses études antérieures, il n’existe toujours aucun marqueur prédictif unanime de la réponse au lithium. L’objectif de cette étude est d’identifier les facteurs cliniques associés à la réponse prophylactique au lithium, évaluée par le questionnaire d’ALDA [4], dans une population de 227 patients traités par lithium pendant plusieurs années. Nos résultats montrent que le sous-type bipolaire de type I, une histoire d’épisodes mixtes ou saisonnier, la rémission incomplète après un épisode, les antécédents de traumatisme dans l’enfance et la comorbidité avec un trouble addictif sont associés à mauvaise réponse au lithium dans les troubles bipolaires. les patients présentant ces caractéristiques pourraient bénéficier d’un autre traitement prophylactique en monothérapie ; une association avec le lithium pourrait être discutée dans certains cas.
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Carton, L., A. Bastien, T. Dondaine, S. Deheul, R. Bordet, O. Cottencin, S. Gautier, and O. Ménard. "TDAH de l’adulte et troubles addictifs, vers l’identification d’un profil psychopathologique ?" French Journal of Psychiatry 1 (December 2019): S98. http://dx.doi.org/10.1016/j.fjpsy.2019.10.313.

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Consoloni, J. L., N. Correard, J. M. Azorin, and R. Belzeaux. "Quels sont les facteurs sociodémographiques, cliniques et neuropsychologiques associés à l’observance médicamenteuse ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S155. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.312.

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Анотація:
L’observance médicamenteuse est un des facteurs majeur du pronostic des troubles bipolaires, alors que l’on considère que plus de 50 % des patients ont des difficultés à prendre régulièrement leur traitement (Lingam et Scott, 2002). Plusieurs facteurs cliniques semblent être associés au problème d’inobservance tels que les troubles addictifs (Leclerc et al., 2013), la symptomatologie dépressive résiduelle (Belzeaux et al., 2013) ou encore le niveau d’impulsivité de non-planification (Belzeaux et al., 2015). Pourtant, l’observance est un phénomène encore mal compris et une meilleure identification des facteurs pouvant l’influencer permettrait d’améliorer le pronostic de la maladie et de dépister les patients à risque. L’observance médicamenteuse a été évaluée de façon catégorielle à partir de la Medication Adherence Rating Scale. Des données socio-démographiques ont été recueillies ainsi que des données cliniques à l’aide d’échelles psychométriques et d’entretiens semi-directifs (SCID). Par ailleurs, un bilan neuropsychologique standardisé a permis d’évaluer le fonctionnement cognitif des patients. Au total, les analyses ont porté sur les données de 713 patients bipolaires euthymiques recrutés dans les différents centres experts de France. Les analyses univariées montrent que le degré d’observance est influencé par l’âge et par le genre mais également par la présence de certaines comorbidités psychiatriques telles que les troubles addictifs ou les troubles du comportement alimentaire. La symptomatologie dépressive résiduelle, le niveau d’anxiété et de tolérance du traitement sont également associés à l’observance. En revanche, aucun lien n’a été montré entre le degré d’observance et les performances cognitives. Dans cette étude, plusieurs facteurs socio-démographiques et cliniques, dont la présence de certaines comorbidités, sont associés à l’observance médicamenteuse alors que le fonctionnement cognitif ne semble pas participer au phénomène. Toutefois, des analyses multi-variées seront réalisées afin de mettre à jour d’éventuelles interactions entre les facteurs pouvant influencer le degré d’observance.
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Jeoffrion, C., and G. Airagnes. "Addiction au travail : quels facteurs organisationnels favorisants et quelle prise en charge individuelle et collective ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S3. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.019.

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Анотація:
Le workaholism correspond à un dysfonctionnement affectif, cognitif et comportemental de l’individu à l’égard du travail. En se traduisant par un excès d’investissement pathologique dans l’activité professionnelle, nous interrogerons le fait qu’il puisse s’agir d’une « addiction au travail ». Il renvoie en effet à une culpabilité de ne pas être au travail, une pulsion irrépressible à travailler malgré le peu de plaisir éprouvé et une négligence de la vie extraprofessionnelle. Ses conséquences sont délétères y compris sur le travail avec une mauvaise intégration dans l’équipe de travail et une diminution des performances. Le workaholism peut entraîner également un syndrome d’épuisement professionnel, et la perte du sentiment de cohérence qu’il engendre est associée à une augmentation du risque de trouble de l’humeur, d’autres troubles addictifs, pouvant conduire parfois au suicide. Il existe des vulnérabilités individuelles mais aussi des risques organisationnels qu’il faut identifier pour préserver la santé psychologique au travail. Nous présenterons dans un premier temps une synthèse des travaux les plus récents, visant à montrer l’importance du contexte sociétal et organisationnel dans l’apparition du workaholism. Nous présenterons dans un second temps différentes stratégies thérapeutiques calquées sur celles utilisées dans d’autres addictions comportementales :– la thérapie rationnelle-émotive ciblée sur les croyances irrationnelles concernant le niveau de demande au travail ainsi que sur les émotions négatives ;– l’entretien motivationnel pour favoriser la prise de conscience des conséquences négatives du workaholism ;– la psychologie positive en aidant le sujet à s’extraire d’une vision réduite de sa propre vie pour en dégager des objectifs plus larges ;– la participation à des groupes de workaholics anonymes.
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Kullack, Claire, and Jonathan Laugharne. "Le protocole EMDR standard pour la dépendance à l'alcool et à d'autres substances psychoactives en comorbidité avec un état de stress post-traumatique : quatre cas avec un suivi après 12 mois." Journal of EMDR Practice and Research 11, no. 2 (2017): 45E—60E. http://dx.doi.org/10.1891/1933-3196.11.2.45.

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Анотація:
Ce compte-rendu commence par un résumé de la littérature concernant les modèles théoriques qui soustendent la relation comorbide entre l'état de stress post-traumatique et les troubles de dépendance à des substances psychoactives, abordant également les divers protocoles modifiés pour les addictions, conçus pour aider au traitement de ces troubles. Cette série de cas donne un aperçu des effets que le protocole EMDR (désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires) standard a eu sur la dépendance à l'alcool et à d'autres substances psychoactives chez 4 patients de notre clinique du stress post-traumatique à Fremantle, en Australie-Occidentale, traités principalement pour un état de stress post-traumatique. Les patients ont été évalués pour des troubles addictifs à l'aide du Mini International Neuropsychiatric Interview Plus avant, immédiatement après et douze mois après la fin de la psychothérapie EMDR. Les résultats indiquent que le protocole EMDR standard a permis de réduire la consommation d'alcool et d'autres substances psychoactives. Avant le traitement, trois patients répondaient aux critères du syndrome de dépendance à l'alcool et un aux critères du syndrome de dépendance à une autre substance psychoactive. Lors du suivi après douze mois, trois patients sur quatre ne répondaient plus aux critères d'une dépendance présente à l'alcool ou d'une dépendance présente à une autre substance psychoactive. Les implications de ces résultats sont discutées au regard des théories de l'état de stress post-traumatique en comorbidité avec un syndrome de dépendance à des substances psychoactives et des protocoles EMDR modifiés développés pour les patients atteints d'une dépendance à des substances psychoactives.
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Lelonek-Kuleta, Bernadeta. "Konferencja międzynarodowa „Congrès International sur les troubles addictifs focus sur les addictions comportementales”, Nantes, 16-17 kwietnia 2015." Roczniki Teologiczne 63, no. 1 (2016): 201–4. http://dx.doi.org/10.18290/rt.2016.63.1-13.

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Lelonek-Kuleta, Bernadeta. "International conference „Congrès International sur les troubles addictifs focus sur les addictions comportementales,” Nantes, 16-17 April 2015." Roczniki Teologiczne 63, no. 1 English Version (2016): 196–98. http://dx.doi.org/10.18290/rt.2016.63.1-13en.

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Meyer, N., R. Viraben, and C. Paul. "Troubles addictifs et psoriasis : un exemple du rôle du dermatologue dans la médecine préventive ?" Annales de Dermatologie et de Vénéréologie 135 (February 2008): 259–62. http://dx.doi.org/10.1016/s0151-9638(08)70545-3.

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Grohens, Marc. "Dépression, psychotraumatisme et addiction après attentat chez un adolescent." Perspectives Psy 59, no. 3 (July 2020): 218–22. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2020593118.

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Анотація:
Les attentats du 13 novembre 2015 en France sont une série de fusillades et d’attaques suicides terroristes islamiques (revendiqués par Daech) commis dans Paris et sa périphérie. Le plus meurtrier a eu lieu dans une salle de spectacle Le Bataclan. Un concert de musique réunissant près de 1 500 personnes dont des adolescents s’y déroulait. Au décours d’un cas clinique d’un jeune homme souffrant d’un PTSD nous revisiterons le dispositif de soins d’urgence médico-psychologique mis en place. L’évolution de la symptomatologie post-traumatique au fil du temps montrera l’intérêt de la prise en charge clinique en immédiat et au long cours. Les éléments psycho-pathologiques montreront la nécessité de poursuivre le déploiement d’un dispositif structuré et adapté aux particularités de soins des troubles post-traumatiques et de leur parfois lente évolution. Les différents traitements employés doivent rester en congruence avec les besoins et les demandes de tels patients dont la clinique évolue au fil du temps entre troubles dépressifs et addictifs. La qualité de la relation thérapeutique est un facteur clé du rétablissement.
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Dervaux, A. "En quoi et comment le cannabis peut-il être toxique pour le cerveau ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 2. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.004.

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Анотація:
La toxicité cérébrale du cannabis est marquée principalement par des effets cognitifs, addictifs et psychotomimétiques.Troubles cognitifsPlusieurs études ont montré que l’administration aiguë de Δ-9-THC, principal principe actif du cannabis, et que la consommation régulière de cannabis entraînaient des troubles de l’attention, de la mémoire, en particulier de la mémoire de travail et de la mémoire épisodique ainsi que des troubles des fonctions exécutives. Ces troubles ont un impact sur l’apprentissage, les acquisitions scolaires, la conduite d’un véhicule et les tâches complexes. Ils sont liés à la dose, à la fréquence, à la durée d’exposition et à l’âge de la première consommation. Ils peuvent disparaître après sevrage, mais des anomalies durables s’observent chez les sujets ayant débuté leur consommation avant l’âge de 15 ans.Effets addictifsLa fréquence sur la vie entière de la dépendance au cannabis, caractérisée essentiellement par le craving, la perte de contrôle de la consommation et le retentissement important sur la vie familiale/professionnelle/sociale est, d’après certaines études, de 1 % en population générale. Le syndrome de sevrage, décrit en 2004, pourrait être inclus dans le DSM-5.Effets psychotomimétiquesFréquents, les symptômes psychotiques induits par la consommation de cannabis (idées de référence, de persécution) disparaissent spontanément dans les 24 heures. Ils durent parfois plusieurs semaines dans les pharmacopsychoses. Neuf études longitudinales ont montré que les sujets qui avaient fumé du cannabis avaient deux fois plus de risque environ que les sujets abstinents, de présenter ultérieurement des troubles psychotiques. Le risque, dose-dépendant, est plus élevé lorsque la consommation de cannabis a débuté avant l’âge de 15 ans et chez les sujets qui ont des antécédents familiaux de troubles psychotiques. L’évolution de la schizophrénie est aggravée par la consommation de cannabis.Toxicité cérébrale du cannabisElle est liée à l’interaction du Δ-9-THC sur les récepteurs cannabinoïdes cérébraux CB1, localisés principalement dans l’hippocampe, le cervelet, le cortex frontal, le striatum et les ganglions de la base. Plusieurs études ont retrouvé que la consommation de cannabis pouvait interférer avec le système endocannabinoïde cérébral lors de la maturation du cerveau à l’adolescence. Elle favorise aussi des troubles vasculaires cérébraux. Les études d’imagerie cérébrale ont retrouvé que les effets du cannabis, modérés en cas d’usage simple, étaient marqués chez les consommateurs réguliers par une diminution dose-dépendante de la densité de substance grise au niveau de l’hippocampe, des régions parahippocampiques et de l’amygdale.
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Dauvilliers, Y., and S. Bayard. "Troubles de la prise de décision et comportements addictifs dans le syndrome des jambes sans repos." Revue Neurologique 168 (April 2012): A199. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2012.01.516.

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Oliveira Da Silva, M., and L. Romo. "Effets de la thérapie assistée par l’animal sur les troubles addictifs et traumatiques : une étude empirique." French Journal of Psychiatry 1 (December 2019): S193—S194. http://dx.doi.org/10.1016/j.fjpsy.2019.10.508.

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Bourdais-Mannone, Claire, Faredj Cherikh, Nathalie Gicquel, Eve Gelsi, Frédérique Jove, and Pascal Staccini. "Étude comparative de systèmes de codage pour l'évaluation des situations médicales et sociales : le cas des troubles addictifs." Santé Publique 23, HS (2011): 39. http://dx.doi.org/10.3917/spub.110.0039.

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Ballon, N. "Prévalence et particularités sémiologiques du trouble de déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) dans différentes formes d’addiction : cocaïne, opiacés et trouble du comportement alimentaire." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 1. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.003.

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Анотація:
La validité du Trouble de Déficit de l’Attention/Hyperactivité (TDA/H) chez l’adulte ayant longtemps été contestée, la recherche de ce trouble chez les patients addicts n’est pas systématique. De plus, chez l’adulte addict, le diagnostic de TDA/H peut être rendu difficile car la clinique de ce trouble évolue avec l’âge et l’usage des psychotropes. Notre objectif est de rapporter les données de la littérature et de nos travaux concernant la prévalence et les caractéristiques sémiologiques du TDA/H dans trois groupes de patients présentant des conduites addictives : cocaïne, opiacés et trouble du comportement alimentaire. La littérature rapporte une prévalence du TDA/H chez des adultes de 3,4 % à 4,4 % avec des taux de 12 % à 15,2 % d’addictions parmi les patients TDA/H. Dans une population de sujets dépendant au crack/cocaïne, nous avons retrouvé 53 % d’antécédents de TDA/H dans l’enfance et 21,7 % de symptôme de TDA/H persistant à l’âge adulte. Des taux élevés de TDA/H ont aussi été rapportés dans d’autres addictions. La co-occurrence, TDA/H et addiction, apparaît donc comme une donnée robuste, retrouvée dans les deux groupes de patients, identifiés par l’utilisation de substances d’abus ou par le TDA/H. Les instruments d’évaluation actuellement validés sont parfois insuffisants pour porter le diagnostic de TDA/H chez un adulte addict. Cliniquement, les addictions ont été décrites comme plus sévères chez les patients TDA/H : début plus précoce, progression plus rapide vers la dépendance et problèmes avec la justice plus fréquents. De plus, les patients TDA/H rapportent des effets paradoxaux au cours de l’usage de certaines drogues : augmentation de l’attention avec le cannabis et diminution de l’hyperactivité avec la cocaïne. Nous discuterons les résultats qui mettent en évidence l’utilité, mais aussi les difficultés sémiologiques du diagnostic de TDA/H chez les patients adultes souffrant d’addictions.
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Hasanović, M., A. Kuldija, I. Pajević, A. Delić, A. Sutović, and N. Kravić. "Silence in the family about the abuse of heroin and its effect on the initiation of treatment." European Psychiatry 26, S2 (March 2011): 49. http://dx.doi.org/10.1016/s0924-9338(11)71760-6.

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Анотація:
IntroductionAdolescents often experience their addictive experiences hidden from parents. Treatment begins when problems arise that adolescents cannt solve it alone.AimTo asses correlation between duration of silence about heroin addiction experience and certain epidemiological data collected with the Pompidou form.MethodsThe authors analyzed the group of 77 heroin addicts aged 26.4 ± 5.6 years, who were treated at the Department of Psychiatry Tuzla in the period 2006–2009 year. Pompidou standardized form was used for collecting the necessary data.ResultsWe found that the heroin addicts began to take the first drug of 17.2 ± 3.9 years, parents were informed about it 2.8 ± 1.3 years later. The duration of silence was positively associated with age of addicts (ρ = 0515, P > 0.001), length of addictive experience (ρ = 0463, P < 0.001), parent's divorce (ρ = 0432, P < 0.001), previous conflict with law (ρ = 0255, P = 0.028), powerty in the family (ρ = 0236, P = 0.045) and previous treatment (ρ = 0354, P = 0.002). On the other hand, it was negatively associated with living in community with other addicts (ρ = -0 363, P = 0.001), intravenous heroin use (ρ = -0 345, P = 0.003), detected hepatitis B (ρ = -0 262, P = 0.002), owning their own children (ρ = -0.280, P = 0.016) and with years of completed education of father (ρ = -0 245, P = 0.008) and of mother (ρ = -0 246, P = 0.036).ConclusionSilence about heroin addiction was positively associated with age of addicts, duration of addiction, parent's divorce, with trouble with law, with poverty in family, and previous treatment. Silence is negatively associated with living with other addicts, intravenous use, hepatitis B, owning children, and more years of parent's completed education.
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Pignon, B. "La clinique du consentement." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 632. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.138.

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Анотація:
La mise en place de soins sans consentement en psychiatrie (SSC) est basée sur une appréciation subjective de l’état du patient, mais ils sont un objet de recherche clinique et ont, pour certains, fait l’objet de recommandations d’experts. Ces différentes recommandations concernant les SSC en psychiatrie seront synthétisés durant mon intervention. Ils sont enrichis d’une revue de la littérature. En cas de trouble psychotique, la conscience des troubles et le retentissement du délire sont des critères cliniques primordiaux.En cas de trouble de l’humeur, il faut évaluer le risque suicidaire et le retentissement somatique dans le syndrome dépressif et les états-mixtes, ainsi que l’anosognosie et le retentissement socioprofessionnel dans le syndrome maniaque. Un délire thymique est un facteur de gravité qui oriente vers des SSC. En cas d’état suicidaire, il faut évaluer le risque suicidaire et le potentiel trouble psychiatrique sous-jacent. Les indications des SSC dans les addictions sont très discutées. Les mises en danger répétées associées au déni des troubles peuvent conduire dans certains cas à des SSC. Pour les troubles du comportement alimentaire, un refus de soin associé à un risque vital est une indication aux SSC. Les troubles de personnalité sont des facteurs de risque des troubles pouvant amener des SSC.Ils ne sont pas en soi des indications aux SSC. Enfin, dans les pathologies démentielles, les troubles du comportement amènent parfois des SSC.
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Barde, M. "Consommation de cannabis chez les patients souffrant de troubles bipolaires. Quelles conséquences cliniques ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 45. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.115.

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Анотація:
Le trouble bipolaire (TB) apparaît comme étant la pathologie psychiatrique la plus associée aux comorbidités addictives. Parmi elles les Troubles Liés à l’Utilisation de Cannabis (TLUC) sont très fréquents (entre 30 et 60 % en fonction des cohortes). Devant cette réalité clinique, comprendre l’impact des TLUC sur le cours évolutif des troubles bipolaires paraît une question importante. Notre étude porte sur 910 patients bipolaires inclus dans la cohorte des centres experts sur le TB. L’évaluation du TB ainsi que des comorbidités addictives ont été réalisés avec la Structured Clinical Interview for DSM-IV (SCID), le fonctionnement, la sévérité et les comobidités ont été évalués à l’aide d’échelles spécifiques. Les patients souffrant de TB et d’un TLUC sont préférentiellement des hommes avec un âge de début plus jeune et une durée d’évolution plus courte que ceux sans comorbidité addictive. Le TB est plus sévère lorsqu’il est comorbide d’un TLUC. On note chez ce sous-groupe plus d’épisodes maniaques ou mixtes ainsi que plus d’épisodes psychotiques. Nous relevons plus d’épisodes thymiques (et notamment plus de cycles rapides) et d’hospitalisations sur les 12 derniers mois. Les tentatives de suicides (TS) et en particulier les TS graves ne semblent pas être corrélées à l’abus ou à la dépendance de cannabis chez les patients bipolaires. Le TLUC s’accompagne d’autres comorbidités avec plus de TDAH, plus de troubles anxieux et plus de troubles liés à l’utilisation de substances sur la vie entière (tabac et autres substances). Sur le plan dimensionnel, nous trouvons une association entre le TLUC dans le TB avec une hostilité, une impulsivité mesurées plus importantes, un fonctionnement global mesuré moins bon. À l’inverse, nous ne trouvons pas de lien entre TLUC et antécédents de traumatismes durant l’enfance (ni pour le score global du Childhood Trauma Questionnaire ni pour les sous scores).
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Poudat, F. X. "Les addictions sexuelles, à la croisée des chemins : questionnements cliniques et thérapeutiques." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 537. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.406.

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On parle d’addiction sexuelle pour définir une dépendance entre une personne et un comportement sexuel que celui-ci soit normal pour notre société ou déviant. Cette relation est intense, excitante, envahissante, répétitive, sans contrôle et isole le sujet de toute intimité sexuelle et réciprocité affective. Le concept d’addiction sexuelle est encore, aujourd’hui sujet à discussions tant sur le plan diagnostic que sur le plan clinique et thérapeutique. Certains auteurs ne peuvent concevoir les troubles sexuels, les paraphilies et la conduite addictive comme faisant partie d’un concept commun, d’où l’absence de définition consensuelle. Certains spécialistes parlent de troubles du contrôle des impulsions, de troubles sexuels compulsifs, de troubles hypersexuels… pour parler d’addictions sexuelles. Ainsi, l’hypersexualité n’est-elle qu’un élément de définition de l’addiction sexuelle ou en est-elle une forme à part entière ? Malgré ces discussions cliniques, le consensus actuel est d’utiliser les critères de Goodman pour confirmer le diagnostic d’addiction. Les discussions portent également sur la diversité des classifications cliniques selon l’approche théorique et sémiologique utilisées. La place de la cybersexualité est un exemple de la discussion actuelle entre le concept de cyber addiction et la sexualité addictive virtuelle. Sur le plan thérapeutique différents programmes se sont développés depuis ces dernières années mais il y a eu peu d’études contrôlées ce qui rend évidemment difficile une évaluation objective de l’efficacité des différentes thérapies qu’elles soient pharmacologiques, psychothérapiques, TCC, psycho-éducationnels… Des recherches sur les prises en charge de groupe d’addicts sexuels en restructuration cognitive, sont actuellement en cours d’évaluation à l’institut fédératif des addictions comportementales du CHU de Nantes dans le cadre de programmes multimodaux de résolution de problème et de prévention des rechutes.
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Manett, A. "Comorbidités psychiatriques et somatiques du PTSD chez le sujet âgé." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S55. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.154.

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Анотація:
Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un trouble sous-diagnostiqué chez le sujet âgé. La prévalence du TSPT est estimée à environ 2 % dans cette population . Il est très souvent associé à des comorbidités psychiatriques : au premier rang desquelles l’épisode dépressif majeur, possiblement accompagné d’idéations suicidaires, mais aussi les troubles anxieux (trouble anxieux généralisé, trouble panique avec agoraphobie), ou encore aux mésusages d’alcool, et de benzodiazépines . Ce trouble impacte la qualité de vie et entraîne une invalidité significative , affectant principalement 5 dimensions de fonctionnement : la compréhension et la communication, le déplacement, les soins personnels, l’activité et la participation sociale [1,2]. Il existe également des comorbidités somatiques importantes au premier rang desquelles les pathologies cardiovasculaires. Celles-ci sont le plus souvent en lien avec une augmentation des troubles métaboliques : le diabète, l’hypertriglycéridémie, l’hypertension . Ces comorbidités sont le plus souvent sous-diagnostiquées. Les sujets présentant un TSPT ont ainsi un risque accru d’infarctus du myocarde ou d’angine de poitrine [3,4]. Au-delà de la prise en charge du trouble psychiatrique, ces données rappellent l’importance de prendre en charge le sujet dans sa globalité. Il semble donc particulièrement important de mieux dépister ce trouble ainsi que ses comorbidités fréquentes chez le sujet âgé afin d’améliorer la qualité de vie et de diminuer la morbi-mortalité du TSPT. La prise en charge du TSPT chez le sujet âgé repose sur un traitement pharmacologique, au premier rang desquels les ISRS, et sur les psychothérapies. En particulier, les thérapies cognitives et comportementales peuvent être une proposition d’autant plus intéressante qu’il existe des comorbidités addictives ou somatiques.
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Brousse, G. "Le plaisir n’est-il que dans le gène : où en sommes-nous de l’interaction gène-individu-environnement dans les addictions ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S13. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.043.

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Анотація:
Les facteurs déterminants dans l’apparition des addictions sont généralement présentés selon la formule consacrée : interaction produit-individu-environnement. Le poids variable du facteur produit dans cette équation tiendrait à la différence de potentialité addictogène entre les différentes substances psychoactives. En ce qui concerne la vulnérabilité relative des individus on retient les facteurs psychologiques considérés comme acquis, les facteurs génétiques, et à mi-chemin entre les deux, les pathologies psychiatriques. Enfin, l’environnement constitue le creuset où l’alchimie addictive va opérer ou non. Même s’il reste très large et discutable ce modèle interactif a permis de compenser les positions unicistes. Ainsi, si on a mis, à juste titre, beaucoup d’espoir dans la vulnérabilité liée aux gènes l’intérêt de cette approche repose beaucoup plus aujourd’hui sur l’étude d’une dynamique gène environnement ou d’une interaction gène traitement que sur la découverte d’une cause unique de la maladie addictive. De la même façon, l’idée d’identifier un trouble psychologique spécifique des addictions s’éloigne progressivement. C’est la recherche sur l’interaction des différents facteurs qui enrichit aujourd’hui la connaissance en addictologie. Nous avons souhaité rendre compte des avancées en la matière. Pour ce faire nous présenteront d’abord des travaux concernant les interactions gènes traitement dans l’addiction aux opiacés (Dr F. Vorspan, Paris), puis nous discuterons de l’interaction de l’individu avec son environnement en particulier dans l’addiction à l’alcool (Dr P. Nubupko, Limoges) et enfin nous aborderons l’état des connaissances actuelles sur l’implication des facteurs psychologiques et psychiatriques dans l’étiologie de ces troubles (Pr C. Lançon, Marseille).
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Gothuey, I., M. Jeannin, R. Bouzegaou, A. Kuntz, and V. Salamin. "Psychopathological characteristics of patients eligible for a diacethylmorphine prescription program: an ecological pilot study." European Psychiatry 65, S1 (June 2022): S291—S292. http://dx.doi.org/10.1192/j.eurpsy.2022.744.

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Анотація:
Introduction Agonist opiate treatments with diacethylmorphin (DAM) for heroin addiction have proven their effectiveness for a long time. But few studies focused on psychiatric troubles among the treated patients. As a new DAM program will open in Freiburg in Switzerland, in order to assess the eligibility to this program, we consider the psychiatric dimension using the Addition Severity Index French translation (IGT). Objectives Assessing the patient eligibility for the DAM programm and describing psychopathological characteristics Methods Assessing eligibility for a Dam program in Switzerland is based on some criteria defined by OFSP: Be adult, failure of at least two previous addiction treatments, intravenous consumption. In addition, the included patients (N=10) passed an interview with a trained examiner, to fill the addiction severity index scale (multidimensional psychometric scale). The result of the psychiatric dimension of IGT was compared with the psychiatric diagnosis in the medical file to assess the internal reliability of the descriptive method. Statistical method for little sample, mean, median, descriptive datas and Fisher test were applied. Results All kind of affective disorders, were the most representative psychiatric trouble in the studied population (47%) followed by personality disorders (32%) and severe anxiety troubles (21%). The psychiatric dimensional evaluation of IGT was consistent with the description file psychiatric diagnosis. In a surprising way, we found no psychosis spectrum troubles who could explained the previous treatment failure. Conclusions Affective disorders are overrepresented in our sample of addicted patient included in the DAM program. These troubles stay often underestimated. The have to be properly treated Disclosure No significant relationships.
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Vargas Castro, J. A., T. Grau, G. Faus, and M. Sanchez Povedano. "Répercussions des nouvelles technologies dans la santé mentale des enfants et des adolescents." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 9–10. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.022.

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ObjectifDéterminer si l’emploi addictif des nouvelles technologies (Internet – Jeux vidéo – Téléphone portable – Télévision) par les adolescents pourrait partager la même cause que celle qu’on observe dans les troubles alimentaires et dans les troubles d’externalisation, avec des altérations dans l’impulsivité, et partager également la même dysfonction neuropsychologique.Introduction et objetLes nouvelles technologies fournissent une meilleure qualité de vie, le problème est leur potentiel de dépendance surtout chez les adolescents souffrant de troubles du contrôle des impulsions, en particulier des troubles alimentaires et des troubles d’externalisation.MéthodesIl s’agit d’une étude descriptive et comparative. Le diagnostic s’établit selon notre protocole (DSM-IV/CIE-10), et selon l’application de trois instruments différents : BIS.11 (Barratt-échelle-de-l’impulsivité), DENA (questionnaire-de-dépistage-des-nouvelles addictions), IAT (Test-d’Addiction-à-l’Internet). La population a été divisée en deux groupes : les troubles de l’alimentation (n = 10) et les troubles d’externalisation (n = 10), dans la fourchette d’âge 12 à 17 ans, dans nos centres-d’ITA.RésultatsLes résultats ont démontré que le modèle de l’impulsivité est plus élevé chez les adolescents atteints de troubles de l’externalisation que chez ceux souffrant de troubles alimentaires. Les deux groupes avaient une tendance similaire dans l’utilisation des nouvelles technologies. ConclusionsL’usage et l’abus potentiel des nouvelles technologies est similaire chez les adolescents hospitalisés pour troubles de l’alimentation et ceux hospitalisés pour pathologies liées à des troubles d’externalisation, ouvrant une zone problématique : celle de la canalisation de l’impulsivité dans l’emploi des nouvelles technologies. Il est nécessaire de mener à terme des recherches avec plus de population d’appui, ce qui pourrait fournir des lignes directrices en faveur d’une approche clinique.
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Dufour, Magali, Louise Nadeau, and Sylvie R. Gagnon. "Tableau clinique des personnes cyberdépendantes demandant des services dans les centres publics de réadaptation en dépendance au Québec : étude exploratoire." Santé mentale au Québec 39, no. 2 (December 15, 2014): 149–68. http://dx.doi.org/10.7202/1027837ar.

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Анотація:
À ce jour, il n’existe aucun consensus quant aux critères diagnostiques d’une dépendance à Internet (Hinic, 2011 ; Tonioni et al., 2012 ; Weinstein et Lejoyeux, 2010). Pourtant, des personnes s’autodéclarent cyberdépendantes et réclament des soins dans les centres de réadaptation en dépendance (CRD) au Québec. Ces admissions ont amené l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal à demander la réalisation d’une étude descriptive sur la cyberdépendance. Objectifs : Décrire les caractéristiques sociodémographiques des cyberdépendants en traitement dans les CRD ; et 2) Documenter leurs problématiques associées telles les problèmes de consommation d’alcool, de drogues, pratiques de jeux, estime de soi, symptômes de dépression et d’anxiété. Méthode : L’étude a été menée dans huit CRD au Québec. Un échantillon de convenance de 57 personnes a été recruté sur une période de 24 mois de 2010 à 2012. Pour participer à cette étude, il fallait être âgé d’au moins 18 ans, s’identifier comme étant cyberdépendant, demander de l’aide pour un problème de cyberdépendance dans un CRD public. L’Internet addiction test (IAT) (Young, 1998), dans sa version française validée (Khazaal et al., 2008), a servi à évaluer la gravité des habitudes d’utilisation d’Internet. Les problèmes associés ont été évalués à l’aide des questionnaires suivants : l’inventaire d’anxiété de Beck (Beck, Epstein, Brown et Steer, 1988) ; l’inventaire de dépression de Beck (Bourque et Beaudette, 1982) ; le DÉBA-Alcool/Drogues/Jeu (Tremblay et Blanchette-Martin, 2009) et le questionnaire de l’échelle d’estime de soi (Rosenberg, 1965). Résultats. Cinquante-sept personnes ont accepté de participer à l’étude. La très grande majorité des participants était des hommes (88 %), âgés en moyenne de 30 ans, vivant chez leurs parents et ayant un faible revenu. Ils consultaient à la suite des recommandations de leurs proches et rapportaient de nombreuses conséquences reliées à leur utilisation d’Internet. Ils passaient en moyenne 65 heures par semaine sur Internet et rapportaient avoir plusieurs applications problématiques. Les applications problématiques les plus fréquemment rapportées étaient les jeux de rôles multijoueurs (57,8 %), les sites de divertissement streaming (35,1 %) et les bavardoirs communément appelés chat rooms (29,8 %). À l’échelle d’estime de soi, 66,6 % des participants présentaient une estime de soi très faible, ou faible, alors que 21,1 % rapportaient une estime supérieure à la moyenne. L’inventaire de dépression de Beck a évalué que 3,5 % (n = 2) de l’échantillon atteignait le seuil clinique tandis que 7,5 %, (n = 4) vivait de l’anxiété atteignant le seuil clinique. Presque la moitié (45,6 %) prenait une médication psychotrope pour un problème de santé mentale et 33,3 % présentait un problème de santé physique chronique. Conclusion : Cette étude a permis de mettre en lumière les caractéristiques d’un groupe encore méconnu dans la population, soit les personnes cyberdépendantes. Ces cyberdépendants vivent des conséquences significatives à la suite de la perte de contrôle de l’utilisation d’Internet. Par ailleurs, à leur admission en traitement, bien que la détresse psychologique subjective ne soit pas toujours élevée, les participants présentent un tableau clinique complexe où la comorbidité est la règle plutôt que l’exception. Il nous semble que les données actuelles comportent suffisamment de similarités avec les autres troubles addictifs pour permettre aux cliniciens de travailler en prenant assise sur leur expérience avec d’autres dépendances.
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Brousse, G., N. Ballon, J. M. Dellile, O. Canceil, M. Blaise, S. Bernardi, E. Berne, et al. "Addictions et troubles psychiatriques." French Journal of Psychiatry 1 (December 2019): S93—S94. http://dx.doi.org/10.1016/j.fjpsy.2019.10.304.

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Lama, Anmol, and Sasmita Patel. "Challenges Faced by The Recovered Youth Drug Addict s in Their Normal Lives: An Exploratory Study in Darjeeling District of West Bengal, India." RESEARCH REVIEW International Journal of Multidisciplinary 7, no. 1 (January 20, 2022): 26–36. http://dx.doi.org/10.31305/rrijm.2022.v07.i01.003.

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Анотація:
Addiction has been a big worry in our society in recent years because of its complicated nature, which frequently resembles a chronic disease that affects both the brain and the body. Drug addiction is common among youth who are unable to cope with modern society's rules. Simultaneously, some kids are seeking help from various specialists, to come out clean. However, the problem for them does not end there, they may have difficulties resettling into normal life. They may be having trouble dealing with a traumatic experience that is holding them back or having trouble establishing a routine to reestablish normalcy or find work, among other things. The data for this qualitative study was collected using a semi-structured interview schedule as a tool and a Case study as a technique. Researchers used in-depth interviews to study and explore the multi-faceted challenges faced by recovered drug addicts in their normal lives after leaving rehab, as well as to understand the perception of drug addiction after recovery, its effect, causes, and other leading factors, with a focus on physical, spiritual, psychosocial, and socioeconomic challenges. Data were gathered from both primary and secondary sources. The study's primary respondents were ten cases who are recovered youth drug addicts between the ages of 20 and 34, who had completed their recovery and we're now living a normal life. As per findings, individuals have little awareness of drug addiction and have a preconception about drugs and drug addiction before consuming drugs. As a result of peer pressure, curiosity, abusive households, and other factors, the majority of them become addicts throughout adolescence and come from good socioeconomic situations, making narcotics easily accessible. The findings indicate that, after recovery, they mostly deal with society's stigma toward recovered addicts, which leads to overthinking and inability to keep sobriety, as well as failing to find inner selves and purpose in life.
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Molière, F. "Comorbidités psychiatriques et résistance thérapeutique." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 664. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.052.

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Анотація:
La comorbidité psychiatrique est la règle plutôt que l’exception dans le cadre de la dépression majeure. 60 à 70 % des patients déprimés présentent au moins une comorbidité psychiatrique, et 30 à 40 % en ont au moins deux. Les comorbidités les plus fréquemment retrouvées sont les pathologies anxieuses, les addictions, et certains troubles ou traits de personnalité (borderline, neuroticisme) [1]. La présence de telles comorbidités compromet le pronostic de la maladie dépressive, avec une diminution des taux de rémission et de réponse aux traitements, un allongement du délai d’action, un tableau clinique plus sévère, une altération du fonctionnement et une chronicisation. Les comorbidités psychiatriques sont considérées comme un des facteurs participant à la résistance thérapeutique pour 20 à 30 % des épisodes [2].Cette absence de réponse pourrait être plus particulièrement associée à certains sous-types et phénotypes cliniques de dépression poussant alors à la recherche de biomarqueurs spécifiques (électrophysiologiques, anatomiques et fonctionnels, métaboliques, et génétiques) de chacune de ces formes cliniques afin d’améliorer la compréhension même de la pathologie et son pronostic [3]. Par ailleurs, les recommandations ne définissent pas de stratégies précises en cas de dépressions avec comorbidités psychiatriques, les études randomisées, contrôlées classiquement menées ayant généralement tendance à exclure ces patients, et notamment ceux présentant une addiction associée. Il est néanmoins possible que le traitement de la dépression puisse améliorer le trouble comorbide, comme en témoigne la place aujourd’hui occupée par les antidépresseurs dans la pharmacothérapie des troubles anxieux [4].Ces données soulèvent des questions cliniques, thérapeutiques et de recherche importantes, centrées sur une meilleure identification des facteurs de risque de la résistance en abordant le problème central de la comorbidité psychiatrique qu’il est essentiel de repérer dans le cadre d’une prise en charge globale du patient déprimé.
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Cholet, J., J. Malnou-Belembert, A. Sauvaget, O. Bonnot, and M. Grall-Bronnec. "Approche transversale du TDA/H de l’adulte : à partir d’un cas clinique parent/enfant." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 49–50. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.129.

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Анотація:
Le trouble déficit de l’attention avec hyperactivité (TDA/H) reste un diagnostic méconnu des psychiatres pour adultes [1]. Cependant, si l’émergence du trouble se fait dans l’enfance, près de 50 % des patients présenteront des symptômes résiduels à l’âge adulte. Les comorbidités associées telles que les troubles de l’humeur et les conduites addictives peuvent masquer les symptômes du TDA/H à l’âge adulte et expliquer en partie le manque d’efficacité des thérapeutiques proposées. En effet, si les comorbidités associées relèvent en premier lieu d’une prise en charge adaptée, le TDA/H de l’adulte nécessite lui aussi une approche thérapeutique spécifique, transversale et intégrative.M. G. est adressé en consultation pour l’évaluation d’un TDA/H de l’adulte. Ce patient, âgé de 42 ans est père au foyer. Il est en couple depuis 16 ans. Le couple a 3 enfants. Le dernier, âgé de 7 ans, est suivi par un pédopsychiatre pour un TDA/H. Le pédo-psychiatre a conseillé à Mr G de venir en consultation du fait de la similitude rapportée par le père entre les symptômes présents chez son fils et sa propre enfance. A partir de ce cas clinique, nous développerons les particularités sémiologiques et diagnostiques du TDA/H de l’adulte, en mettant l’accent sur la dysrégulation émotionnelle [3,4], les conduites addictives [2] associées et les troubles attentionnels. En raison de l’impact du TDA/H de l’adulte sur la qualité de vie du patient et de son entourage, les propositions thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses proposées au père en tant que patient, mais aussi en tant que parent d’un enfant hyperactif, seront discutées. En effet, ce cas clinique souligne bien l’importance d’une approche transversale et intégrative des adultes hyperactifs, dans un objectif thérapeutique en termes de qualité de vie socioprofessionnelle et familiale.
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Horn, M., L. Gangloff, A. Gharib, and P. Thomas. "Schizophrénie et violence : la nécessité de considérer différents sous-groupes." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S32—S33. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.096.

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Il est aujourd’hui clairement établi que les patients souffrant de schizophrénie présente un risque plus élevé de violence que la population générale. Différents facteurs de risque de violence ont été mis en évidence chez ces patients, tels que l’impulsivité, le trouble de personnalité antisociale, les comorbidités addictives. Néanmoins, les études ayant tenté d’identifier le risque de violence des patients schizophrènes ont abouti à des résultats variables. L’hétérogénéité des gestes de violence commis, ainsi que la variabilité des profils de ces patients contribuent certainement à la divergence de ces résultats. Par ailleurs, différents auteurs ont montré que les patients présentant un délire d’identification des personnes constituaient une sous-catégorie de patients à risque de comportements violents, devenant agressifs et violents du fait du thème de leur délire. Cependant, aucune étude n’a exploré l’association entre délire d’identification et type de geste violent. Nous nous sommes donc intéressés à l’étude des caractéristiques cliniques de patients schizophrènes ayant commis des gestes de violence, à partir d’une étude descriptive réalisée sur une population de patients schizophrènes détenus. Nous avons évalué l’intensité des symptômes grâce à la Positive and Negative Symptom Scale (PANSS), la coexistence d’un trouble de personnalité antisociale et les comorbidités addictives grâce au Mini International Neuropsychiatric Interview (MINI). Le niveau d’impulsivité et les comportements violents ont été estimés par la Baratt Impulsivity Scale (BIS) et la MacArthur Community Violence Interview. Enfin, l’existence de troubles de la familiarité, tels que ceux qui caractérisent les délires d’identification des personnes, a été systématiquement recherchée. Notre objectif est, d’une part, d’évaluer de manière systématique les troubles de familiarité des patients schizophrènes, et leur association avec les comportements violents, et d’autre part, d’objectiver l’hétérogénéité des profils des patients schizophrènes ayant commis des gestes de violence.
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Grall-Bronnec, M., S. Bulteau, J. M. Vanelle, and A. Sauvaget. "tDCS et addictions comportementales : le coup de foudre !" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 532. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.391.

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ContexteLes addictions comportementales (AC), ou addictions sans drogues, ont en commun la perte de contrôle sur le comportement et la poursuite de ce comportement malgré les dommages. Les principales AC sont : le jeu pathologique, l’addiction sexuelle, l’exercice physique excessif, les achats compulsifs et certains troubles du comportement alimentaire. Associées à des comorbidités psychiatriques et addictives, à des conséquences sociales, leur prise en charge repose essentiellement sur des psychothérapies et des mesures sociales. L’utilisation des techniques de stimulation cérébrale est encore relativement récente, notamment dans le champ des addictions. La tDCS a principalement été testée dans les addictions avec substances, mais très peu dans les AC. Cette revue de la littérature a pour objectif de faire une mise au point méthodologique et clinique sur les premiers travaux couvrant cette question.Matériels et méthodesUne recherche bibliographique a été réalisée sur Pubmed et ScienceDirect, jusqu’au 30 juillet 2014. Les critères d’inclusion étaient : articles de revue, articles didactiques, essais thérapeutiques, études physiopathologiques.Résultats et discussionQuatorze revues et études ont été retenues. Elles portent sur les troubles du comportement alimentaire, l’obésité, et les processus décisionnels et de prise de risque. Les études cliniques ont montré l’intérêt de la tDCS bilatérale dans la diminution de la prise de risque, et du craving alimentaire. La tDCS présente des avantages prometteurs dans le traitement des AC. Non invasive, bien tolérée, avec un dispositif portable, peu coûteuse comparée à la TMS, elle pourrait être dispensée dans un cadre ambulatoire.
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Secret-Bobolakis, I. "Flash sur la recommandation « soins somatiques en psychiatrie »." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 589–90. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.308.

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RésuméLes personnes souffrant de schizophrénie ou de trouble bipolaire ont des taux de mortalité deux fois plus élevé que la population générale, tant de cause naturelle que non naturelle (accidentelle, suicide et iatrogénie).L’état de santé physique de ces patients est resté trop longtemps méconnu par les psychiatres et les médecins généralistes. Il est nécessaire de repérer les troubles somatiques chez ces patients et d’améliorer leur prise en charge thérapeutique. La Fédération française de psychiatrie à la demande de l’HAS a élaboré des recommandations de pratique clinique : comment améliorer la prise en charge somatique des patients ayant une pathologie sévère et chronique.Nous allons présenter une synthèse de ces recommandations en développant plus particulièrement les modalités de prise en charge des troubles somatiques concernant essentiellement les facteurs de risques cardiovasculaires et le syndrome métabolique. Nous présenterons l’évaluation globale en cours d’hospitalisation et les préconisations en matière de soins ambulatoires, la place de la famille et des aidants dans l’accompagnement, la prévention des troubles somatiques et le repérage dans le lieu de vie, la coordination des intervenants autour du patient, le repérage, la prise en charge et la prévention des conduites addictives et nous conclurons sur les perspectives en termes de formation.
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D’Hondt, F. "Troubles cognitifs, troubles psychiatriques, et addictions : comment s’y retrouver." French Journal of Psychiatry 1 (December 2019): S19—S20. http://dx.doi.org/10.1016/j.fjpsy.2019.10.196.

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Dervaux, A. "Attachement insécure et addictions : influence sur la prise en charge." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 609. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.222.

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De nombreux patients consultant pour des conduites addictives présentent des troubles de l’attachement (67 % dans l’étude de Wedekind et al. chez des patients alcoolodépendants) [1], notamment des troubles de l’attachement insécure-évitant, insécure-désorganisé et insécure-ambivalent. Ces troubles peuvent être isolés ou s’inscrire dans le cadre de troubles de la personnalité (40 % des sujets alcoolodépendants et 70 % des sujets dépendants aux drogues selon les critères DSM-IV dans l’étude National Epidemiologic Survey on Alcohol and Related Conditions, NESARC) [2]. Les travaux sur les troubles de l’attachement font écho aux études sur les traumatismes, les états de stress post-traumatiques et l’alexithymie chez les patients présentant des addictions [3].La consommation de substances peut être considérée comme une stratégie adaptative à la réalité externe en soulageant les sentiments de détresse émotionnelle, de souffrance psychique, angoisse, tristesse, colère… En l’absence de sentiments de sécurité interne suffisants, ou en raison de liens d’attachement vécus comme menaçants ou entravant leur autonomie, les patients vont tenter de gérer leurs émotions à l’aide de substances psychoactives, plus faciles à maîtriser, du moins à court terme.Les troubles de l’attachement influencent la relation médecin-malade, en particulier chez les sujets présentant des troubles de personnalité état-limites (16 % des sujets alcoolodépendants et 31 % des sujets dépendants aux drogues dans l’étude NESARC), chez qui les troubles de l’attachement insécure-désorganisé sont particulièrement fréquents [4].Ces patients nécessitent de trouver une bonne distance relationnelle lors de la prise en charge. Les techniques d’entretiens motivationnels sont particulièrement adaptées, notamment du fait de l’approche dialectique ou le thérapeute intervient de façon active, mais ou les patients sont incités à garder leur autonomie et liberté de décision. Ils sont également encouragés à participer aux processus de changement, par exemple à l’aide de grilles décisionnelles (le pour et le contre de la poursuite de la consommation).
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Gorwood, P., Y. LeStrat, and M. Wohl. "Comorbidité addictive des troubles bipolaires." L'Encéphale 34 (June 2008): S138—S142. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(08)80624-0.

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Pelissolo, A. "De quoi mindfulness est-il le nom ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 660. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.043.

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Le champ des psychothérapies s’est enrichi au cours des dernières années de nouvelles méthodes aux origines métissées, complétant les techniques classiques et découvrant des voies d’abord originales de la psychopathologie. Historiquement conçue par John Kabat-Zinn comme une application laïque des pratiques orientales à la gestion du stress, la méditation de pleine conscience (mindfulness) s’est ensuite rapprochée des thérapies cognitives pour élaborer des programmes de prévention des récidives dépressives. Des études contrôlées ont montré l’intérêt de ces programmes comme alternative aux traitements médicamenteux au long cours, même si d’autres recherches sont encore nécessaires pour préciser leur place au sein des stratégies thérapeutiques de la dépression. D’autres indications ont progressivement été proposées et étudiées : trouble bipolaires, troubles anxieux, addictions, ou encore troubles de la personnalité. Par ailleurs, l’utilisation des techniques d’exploration cérébrale, notamment l’EEG et l’IRM fonctionnelle, a permis d’approcher certains effets neuronaux pouvant sous-tendre l’efficacité des méthodes de pleine conscience. D’autres effets biologiques sur les marqueurs du stress, de l’inflammation et du vieillissement ont également été mis en évidence, au plan neuro-endocrinien mais aussi génomique. Ce symposium se propose donc de présenter les données les plus récentes et les applications cliniques des thérapies en pleine conscience dans les troubles dépressifs et dans les autres domaines de la psychopathologie, tout en expliquant les travaux actuels sur les bases neurales de leurs effets cognitifs et émotionnels.
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Krainikov, Eduard, Eugeniy Prokopovich, and Аlona Balanyuk. "FEATURES OF ADDICTIVE PERSONALITY." Bulletin of Taras Shevchenko National University of Kyiv. Series “Psychology”, no. 1 (10) (2019): 55–60. http://dx.doi.org/10.17721/bsp.2019.1(10).14.

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Анотація:
We surveyed 50 people between the ages of 18 and 25, most of respondents are college students. We used the following assessment tools: SMOL (abbreviated adaptation of MMPI), Heim's test for coping strategies, Mendelevich's methodic, Michigan Alcohol Test (MAST), Urgent Dependence Questionnaire in Shibko's adaptation. Respondents show some signs of predisposition, or even a clear presence of addictive behavior. Choosing a way to escape from reality was a cultural phenomenon, that is, the choice of an addictive agent is more dictated by advertising, public opinion, and art products. This data confirms the close direct relationship between alcohol dependence (according to MAST) and psychopathy — a correlation coefficient of 0.27. According to the regression analysis, the data of this scale strongly depend on the indicators of the hysteria scale (P-value = 0.01). This indicates that expressing alcohol and the consequences of such abuse can make a person protesting, uncomfortable, and seeking to exaggerate their problems and attract attention. The results of the study confirmed the literature data about self-centered, depressive, and anxious fetures of addictive personality. We can assume that the higher the emotional lability, anxiety and depressive personality, the greater the likelihood of addiction to computer games. It is worth noting that this dependency is different from the other vivid virtual world, which gives the person the opportunity to hide in him from the troubles. For people with adaptation disorders and computer addiction, clinical manifestations of anxiety and depression, severe depressive and anxiety episodes are common; high levels of situational and personal anxiety, excessive nervous and mental stress. That is, we can conclude that both computer addiction and gaming addiction are strongly linked to anxiety and depression. We assume that these dependencies are very closely related and that it is difficult to draw a clear boundary. In addition to health problems, psychoactive substance use, and addiction to procedural addiction, it causes significant social and economic damage to individuals and society as a whole.
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Ben Younes, S., W. Homri, S. Ben Alaya, A. Hajri, N. Bram, I. Ben Romdhane, and R. Labbane. "Existe-t-il un lien entre les traumatismes infantiles et la genèse de comportements impulsifs chez les patients bipolaires ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 599–600. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.198.

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Анотація:
IntroductionL’impulsivité est reconnue comme un facteur prédisposant aux conduites addictives et aux comportements suicidaires chez les patients bipolaires. Notre objectif était d’étudier l’impulsivité trait chez des sujets atteints de trouble bipolaire comparativement à des sujets témoins et déterminer si l’impulsivité trait identifierait un sous-groupe cliniquement distinct et homogène de trouble bipolaire. Le rôle joué par les expériences traumatiques infantiles sur le développement de comportements impulsifs chez les bipolaires a été également étudié.MéthodesÉtude de type cas témoins, durant une période de six mois (juillet 2012–décembre 2012). Les patients atteints de trouble bipolaire de type I, II ou non spécifié en normothymie ont été recrutés au service de psychiatrie C de l’hôpital Razi. Les sujets témoins ont été recrutés dans le service d’ORL de l’hôpital militaire de Tunis. Les deux groupes ont été comparés pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation. Ils ont ensuite été comparés pour les scores de la Barratt Impulsivity Scale (BIS-10) et pour les scores du Childhood Trauma Questionnaire (CTQ).RésultatsLes scores d’impulsivité totale et les sous-scores d’impulsivité motrice et cognitive des sujets souffrant de trouble bipolaire étaient significativement plus élevés que ceux des sujets témoins (avec respectivement p = 0,001; p = 0,005; p = 0,002). Il existait une différence statistiquement significative entre le groupe des bipolaires et des témoins en ce qui concerne le CTQ total (p < 10,3) et les sous-scores d’abus émotionnel (p < 10,3), de négligence physique (p = 0,01) et d’abus physique (p = 0,001) qui étaient plus élevés chez les patients. Il existait une corrélation entre le score total moyen au CTQ et le score total moyen d’impulsivité à la BIS-10 chez les sujets souffrant de troubles bipolaires (p = 004). L’impulsivité était associée à une enfance chargée d’évènements traumatiques, en particulier chez les patients bipolaires.ConclusionL’utilisation systématique d’un indicateur de l’impulsivité, en particulier le BIS, permettrait d’identifier les patients bipolaires à grand risque de conduites addictives et d’autres conduites à risques, afin de développer des mesures de prise en charge thérapeutique appropriées pour ces derniers vu leur mauvaise réponse au traitement.
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Icick, R., E. Karsinti, V. Bloch, J. P. Lépine, J. L. Laplanche, F. Bellivier, and F. Vorspan. "Associations différentielles de différents dysfonctionnements parentaux avec un début plus précoce d’usage de substances chez des patients stabilisés sous méthadone." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S104—S105. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.196.

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Анотація:
ContexteDans une cohorte de patients traités par méthadone, nous avons retrouvé 35 % de tentatives de suicide (TS) sur la vie, 53 % un trouble anxieux et 61 % un trouble de l’humeur. Presque tous étaient fumeurs quotidiens de tabac, les trois quart avaient soit une dépendance au cannabis, à l’alcool ou à la cocaïne associée sur la vie. Dans ce contexte, l’identification de facteurs de variabilité interindividuelle de sévérité et de comorbidité pourrait prédire le risque d’évolution péjorative chez les sujets jeunes ou moins comorbides. Outre les traumas dans l’enfance [1], les styles parentaux [2] semblent avoir un rôle important dans ces trajectoires, tout comme un âge de début (ADD) plus précoce des consommations de substances [3].Objectif/méthodesNous avons ainsi recherché chez 85 patients stabilisés sous méthadone des associations entre les scores à la Measure of Parental Style (MOPS) [4] (séparés pour chaque parent) et l’ADD de tabac, alcool, cannabis, sédatifs et cocaïne ainsi que la présence de comorbidités addictives. Les caractéristiques sociodémographiques, les conduites suicidaires et les comorbidités addictives et psychiatriques (DSM IV) étaient évaluées par entretien semi-structuré.RésultatsNous avons retrouvé des associations significatives (p < 0,00625) après corrections de Bonferroni pour huit tests effectués) entre indifférence paternelle et ADD inférieur du tabac, et entre abus maternel et ADD inférieur des sédatifs, mais pas entre MOPS et présence d’un TA comorbide. Après ajustement sur âge, sexe, dépression majeure et troubles anxieux en régression linéaire, l’abus maternel restait prédictif d’un ADD plus précoce des sédatifs (bêta = –0,24, p = 0,039), tout comme la dépression (bêta = –0,24, p = 0,045).DiscussionMalgré des limites dues à notre évaluation rétrospective et à la faible taille de l’échantillon, ces résultats soulignent l’importance de l’environnement précoce dans la variabilité des trajectoires addictives. Cela suggère l’intérêt d’une prévention primaire chez des patients jeunes présentant ces dysfonctionnements parentaux.
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Stokes, Paul R. A., Tahir Jokinen, Sami Amawi, Mutahira Qureshi, Muhammad Ishrat Husain, Lakshmi N. Yatham, John Strang, and Allan H. Young. "Pharmacological Treatment of Mood Disorders and Comorbid Addictions: A Systematic Review and Meta-Analysis: Traitement Pharmacologique des Troubles de L’humeur et des Dépendances Comorbides: Une Revue Systématique et une Méta-Analyse." Canadian Journal of Psychiatry 65, no. 11 (April 17, 2020): 749–69. http://dx.doi.org/10.1177/0706743720915420.

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Objective: Addiction comorbidity is an important clinical challenge in mood disorders, but the best way of pharmacologically treating people with mood disorders and addictions remains unclear. The aim of this study was to assess the efficacy of pharmacological treatments for mood and addiction symptoms in people with mood disorders and addiction comorbidity. Methods: A systematic search of placebo-controlled randomized controlled trials investigating the effects of pharmacological treatments in people with bipolar disorder (BD) or major depressive disorder (MDD), and comorbid addictions was performed. Treatment-related effects on mood and addiction measures were assessed in a meta-analysis, which also estimated risks of participant dropout and adverse effects. Results: A total of 32 studies met systematic review inclusion criteria. Pharmacological therapy was more effective than placebo for improving manic symptoms (standardized mean difference [SMD] = −0.15; 95% confidence interval [95% CI], −0.29 to −0.02; P = 0.03) but not BD depressive symptoms (SMD = −0.09; 95% CI, −0.22 to 0.03; P = 0.15). Quetiapine significantly improved manic symptoms (SMD = −0.23; 95% CI, −0.39 to −0.06; P = 0.008) but not BD depressive symptoms (SMD = −0.07; 95% CI, −0.23 to 0.10; P = 0.42). Pharmacological therapy was more effective than placebo for improving depressive symptoms in MDD (SMD = −0.16; 95% CI, −0.30 to −0.03; P = 0.02). Imipramine improved MDD depressive symptoms (SMD = −0.58; 95% CI, −1.03 to −0.13; P = 0.01) but Selective serotonin reuptake Inhibitors (SSRI)-based treatments had no effect (SMD = −0.06; 95% CI, −0.30 to 0.17; P = 0.60). Pharmacological treatment improved the odds of alcohol abstinence in MDD but had no effects on opiate abstinence. Conclusions: Pharmacological treatments were significantly better than placebo in improving manic symptoms, MDD depressive symptoms, and alcohol abstinence but were not better for bipolar depression symptoms. Importantly, quetiapine was not more effective than placebo in improving bipolar depression symptoms nor were SSRI’s for the treatment of MDD depression. Our findings highlight the need for further high-quality clinical trials of treatments for mood disorders and comorbid addictions.
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Waysfeld, B. "Troubles des conduites alimentaires et addiction." Obésité 7, no. 1 (February 6, 2012): 36–41. http://dx.doi.org/10.1007/s11690-012-0309-x.

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Amalou, A., A. Habibache, M. Sened, and N. Bourbon. "Addiction aux opiacés et troubles bipolaires." French Journal of Psychiatry 1 (December 2019): S89—S90. http://dx.doi.org/10.1016/j.fjpsy.2019.10.295.

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Awad, G., and K. Befort. "Troubles de l’alimentation : facteurs de risque pour la douleur et l’addiction ?" Douleur et Analgésie 32, no. 2 (June 2019): 113–14. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2019-0055.

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Les troubles du comportement alimentaire altèrent le circuit cérébral de la récompense et sont caractérisés par une perte du contrôle de la prise alimentaire. Ces troubles sont accompagnés de modifications neurobiologiques associées au comportement de type addictif et impliquent des processus neuro-inflammatoires qui pourraient être à l’origine du développement de douleurs chroniques.
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Samson, S., J. P. Fagot, J. Merlière, P. Gabach, and A. Fagot-Campagna. "Une prise en charge fréquente de la population adulte pour troubles psychiatriques ou traitements psychotropes, à travers les données de l’Assurance Maladie." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 86–87. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.232.

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Introduction.Utiliser les bases de l’Assurance Maladie (Sniiram et PMSI) pour estimer la fréquence des prises en charge liées à la psychiatrie chez l’adulte en France.Méthodes.Parmi les bénéficiaires du régime général en 2010 de plus de 18 ans (45 millions), ceux ayant une prise en charge liée à la psychiatrie ont été identifiés à partir :– des diagnostics liés aux hospitalisations (PMSI-MCO, RIM-P, SSR), aux affections de longue durée, aux arrêts de travail ou invalidité ;– du remboursement de consultation avec un psychiatre ou à des soins ambulatoires psychiatriques ;– d’au moins trois remboursements de médicaments de la dépendance ou neuroleptiques, antidépresseurs, anxiolytiques, hypnotiques [1].Résultats.Près de 8,2 millions des adultes (18 %) ont reçu des soins liés à la psychiatrie, dont 5,6 millions (69 %) ont eu uniquement des délivrances médicamenteuses sans diagnostic identifié dans les bases. Les pathologies les plus fréquemment retrouvées étaient les épisodes dépressifs/troubles de l’humeur (889 000), les troubles anxieux (464 000), les addictions (383 000), les troubles de la personnalité et du comportement (340 000). Schizophrénie, autres troubles psychotiques, troubles bipolaires et anorexie mentale étaient retrouvés chez respectivement 181 000, 224 000, 164 000 et 23 000 adultes. L’âge moyen variait de 42 (anorexie mentale) à 58 ans (patients identifiés seulement par les médicaments). Le pourcentage de femmes (65 %) s’élevait de 28 % (addictions) à 68 % (épisodes dépressifs/troubles de l’humeur, ou patients identifiés seulement par psychotropes) et 87 % (anorexie mentale). Le pourcentage de bénéficiaires de la CMU-C (11,5 %) variait de 11 % (troubles bipolaires) à 26 % (addictions).Discussion.Dix-huit pour cent de la population adulte a eu recours à des soins liés à la psychiatrie en 2010. Un diagnostic spécifique est retrouvé dans les bases chez plus d’un quart de ces patients, avec une forte proportion d’épisodes dépressifs et autres troubles de l’humeur.
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Lapierre, P., S. Szaffarczyk, T. Danel, O. Cottencin, and D. Pins. "Étude du sentiment de familiarité dans l’alcoolo-dépendance : une hyperfamiliarité aux visages." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S106. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.199.

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L’alcoolo-dépendance est une maladie chronique hautement récidivante dont l’enjeu principal est la prévention des rechutes. Les rechutes sont favorisées par le ressenti du sujet vis-à-vis de son environnement social [1]. L’alcoolo-dépendance entraîne des troubles cognitivo-comportementaux dont des déficits de reconnaissance émotionnelle et une altération des interactions sociales [2] majorant le risque de rechutes [3]. Ces troubles pourraient être liés à une altération du sentiment de familiarité. La familiarité se définit comme un sentiment de connaissance préalable d’un stimulus générant une émotion inconsciente, sans souvenir conscient de son identité [4]. Nous nous proposons d’étudier la familiarité aux visages dans l’alcoolo-dépendance. Douze patients alcoolo-dépendants (AD) étaient appariés en sexe et en âge à 12 témoins (T). Les participants ne présentaient ni trouble psychiatrique, ni neurologique, ni addiction en dehors d’un trouble d’usage sévère d’alcool pour le groupe AD (classification DSM-5). Des morphes entre visages familiers et inconnus (contenant 5 à 95 % du visage familier) étaient présentés. Les sujets devaient indiquer les visages leur semblant familiers. Un pourcentage de réponse « familier » était alors calculé par niveau de familiarité, permettant de construire une fonction psychométrique par sujet, et d’en déduire le seuil de familiarité (pourcentage de familiarité contenue dans le morphe pour lequel 50 % des stimuli étaient considérés comme familiers). Les interactions sociales étaient évaluées par une échelle de cognition sociale (MASC). Le seuil de familiarité était significativement plus faible dans le groupe AD que dans le groupe T (48,79 % versus 54,94 % – p = 0,025). Parallèlement les 2 groupes différaient sur les scores au MASC (AD : 26/45 ; T : 31/45 – p = 0,015). Ces résultats démontrent une hyperfamiliarité dans l’alcoolo-dépendance, associée à une altération de la cognition sociale. L’implication de l’altération de ces deux processus sur les risques de rechute est abordée.
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Perney, P. "Troubles neuropsychologiques dans les addictions : dépistage, évolution et pronostic." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 534. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.396.

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La présentation est centrée sur une partie des troubles neuropsychologiques, les troubles cognitifs, qui sont une complication importante des consommations de produits psychoactifs. Ces troubles sont fréquents dans la maladie alcoolique : 60 à 80 % des malades immédiatement après sevrage. La nicotine pourrait être un produit stimulant de la concentration et de la mémoire de travail. Toutefois, le tabagisme chronique est clairement associé à une altération globale des fonctions cognitives et en particulier des fonctions exécutives et de la mémoire prospective. Concernant les drogues illégales, il existe un risque significativement augmenté d’altérations cognitives pour le cannabis, les psychostimulants (cocaïne et ecstasy), les hallucinogènes et l’héroïne. Le dépistage de ces troubles est important pour plusieurs raisons :– en raison de la grande fréquence des troubles qui sont souvent infra cliniques ;– les co-consommations de produits psychoactifs sont très fréquentes et il est probable qu’une association de toxiques se traduise par une altération cognitive plus profonde ;– des troubles cognitifs pourraient être un frein à la prise en charge addictologique puisqu’ils sont associés à une baisse de motivation pour le soin et à des difficultés pour intégrer les informations données pendant le soin ;– enfin, l’existence de troubles cognitifs pourrait être un facteur pronostique péjoratif (difficultés pour prendre les bonnes décisions et donc taux de rechutes augmentés).Le dépistage nécessite l’utilisation d’un test fiable, assez simple de réalisation et suffisamment sensible. Le Montréal Cognitive Assessment (MoCA) répond à ces critères et permet un premier screening. En fonction des résultats obtenus, des tests plus spécifiques, ainsi que des séances de réhabilitation adaptées peuvent être proposés. En dehors des atteintes les plus sévères, l’arrêt du toxique va permettre une amélioration des compétences cognitives qui va débuter dès les premières semaines et se poursuivre parfois pendant plusieurs mois.
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Morana, Hilda C. P. "Subtypes of Antisocial Personality Disorder and the Implications for Forensic Research: Issues in Personality Disorders Assessment." Rorschachiana 23, no. 1 (January 1999): 90–117. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.23.1.90.

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Nous analysons 22 cas diagnostiqués comme Trouble de la Personnalité Antisociale poursuivis en justice et bénéficiaires de l’aide légale. Le diagnostic repose sur les critères stricts de la CIM-10 (F60.2) et du DSM-IV (301.7). Tous ces cas sont issus de l’expertise réalisée à l’Institut de Médecine Sociale et de Criminologie de l’état de Sao Paulo (IMESC) qui visait à évaluer leur état mental. L’expertise comprenait une évaluation psychiatrique et le test du Rorschach. D’autres tests psychologiques, des évaluations neurologiques et autres examens complémentaires ont été effectués à la demande. Les procédures judiciaires concernaient toutes des actes criminels. Toutefois on trouve des différences importantes quant à la potentialité criminelle. Ce fait, ainsi que d’autres éléments issus des dossiers, nous a persuadé que non seulement l’on se trouvait devant des potentialités criminelles distinctes mais qu’en outre que d’importantes différences dans la personnalité étaient en jeu, qui ne peuvent être appréhendées par les critères diagnostiques couramment utilisés pour le Trouble de la Personnalité Antisociale. En corrélant ces item avec la dynamique psychique donnée par le Rorschach et inférée des anamnèses des sujets, nous avons trouvé dans notre échantillon quatre sous-types bien distincts de Trouble de la Personnalité Antisociale, pour lesquels nous avons gardé la terminologie psychiatrique classique, et qui ne peuvent être considérés simplement comme des variantes individuelles. Cela ne veut pas dire, compte tenu des limitations de notre échantillon, qu’il ne pourrait exister d’autres sous-type. Dans le groupe diagnostiqué comme Trouble de la Personnalité Antisociale, nous avons trouvé les quatre sous-types suivants: instabilité (8 cas), caractère pervers (7 cas), explosivité (5 cas) et asthénie (2 cas). Bien que nous n’ayons pas procédé à des analyses statistiques, cette étude qualitative représente le point de départ d’une ligne d’investigation que les auteurs ont l’intention de poursuivre concernant le problème des troubles spécifiques de la personnalité. L’analyse porte sur les données démographiques, l’histoire personnelle, les antécédents, les épisodes cliniques, l’histoire des faits incriminés et l’âge auquel ils ont été commis, ainsi que sur les item diagnostiques. Les résultats du Rorschach sont présentés dans des tableaux et interprétés en référence à l’échantillon composé de 10 sujets non consultants qu’utilise Silveira (23) pour la standardisation du Rorschach à la population brésilienne. Dans la conclusion générale, nous mettons l’accent sur les aspects de la dynamique complexe du psychisme qui ont trait à la répercussion. L’un de ces aspects concerne des modalités particulières de la perception et de la pensée. L’autre aspect est lié à l’assertion donnée dans la définition du Trouble de la Personnalité Antisociale à la CIM-10: “incapacité de se conformer aux normes et règles sociales et aux obligations sociales.” En ce qui concerne le type d’infraction, nous avons observé que (1)dans le type explosif, ce sont les atteintes physiques et l’alcoolisation qui prédominent; (2)dans le caractère pervers, on trouve surtout des homicides (y compris attaque à main armée), utilisation de cannabis et absence de troubles épileptiformes, ainsi que des traumatismes accidentels; (3)on trouve une plus grande variété d’actes criminels ainsi que des addictions à la cocaïne dans le type instable. Les troubles associés à l’épilepsie prédominent dans les types antisocial et instable. Les auteurs estiment que les résultats de la présente étude intéressent les procédures épidémiologiques, d’expertise et de traitement, notamment en ce qui concerne les conséquences judiciaires et les possibilités de réhabilitation psychosociale des personnes qui présentent un Trouble de la Personnalité Antisociale.
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Karibo, Holly M. "‘The Only Trouble is the Dam’ Heroin’: Addiction, Treatment and Punishment at the Fort Worth Narcotic Farm." Social History of Medicine 33, no. 2 (August 16, 2018): 515–38. http://dx.doi.org/10.1093/shm/hky069.

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Summary In 1929, the U.S. federal government approved two ground-breaking programs designed to treat drug addiction. Emerging at a time when many began to worry about a supposed rising tide of drug use across the country, the establishment of narcotic hospitals at Lexington, Kentucky and Fort Worth, Texas marked a watershed moment in the treatment of addiction. This article traces the institutional history of one of those facilities, the Fort Worth Narcotic Farm, and the experiences of the men who found themselves under its care. It argues that, on the surface, the creation of the farm model seemed like a hopeful alternative to strict incarceration models. Its creation reflected shifting notions of addiction: namely, that addiction is not simply a crime, but it is also a disease with serious public health implications. Yet, the establishment of the hospital as places to both treat and punish addicts was their inherent and fundamental flaw. Central to this was the concept of the “prisoner-patient,” a person forced to undergo treatment as a result of criminal charges. Not only did patients express their frustration with the prison-like setting at Fort Worth, but recidivism rates remained high throughout the facility’s operation. Ultimately, lawmakers and politicians would use these recidivism rates as part of a broader push for more punitive drug legislation in the post-World War II period. By placing the history of addiction into conversation with mass incarceration studies, this article shows that the roots of the punishment model employed in the last quarter of the twentieth century were interwoven into seemingly “progressive” treatment models dating back to at least the 1930s. Indeed, the very failures of early addiction treatment models that arose by mid-century helped to justify an expanding criminal justice model in the post-1960s era.

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