Academic literature on the topic '1285-1314 (Philippe IV)'

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Dissertations / Theses on the topic "1285-1314 (Philippe IV)"

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Philippe, Bautier Robert-Henri Fawtier Robert. "Itinéraire de Philippe IV le Bel, 1285-1314 /." Paris : [Institut de France] : diff. de Boccard, 2007. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb412827799.

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Abstract:
Texte remanié de: Habilitation à diriger des recherches--Histoire médiévale--Paris 3, 2003.<br>Reprise du manuscrit du Rober Fawtier présenté devant l'Académie des inscriptions et belles-lettres au printemps 1961, augmenté et commenté. Bibliogr. vol. 1, p. 229-246. Notes bibliogr. Index à la fin du vol. 1.
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2

Provost, Alain. "L'imagination au pouvoir : recherches sur le procès de Guichard, évêque de Troyes (1308-1314)." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040252.

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Abstract:
Le procès de Guichard, évêque de Troyes, s'inscrit dans la série des affaires politico-religieuses qui marquent le début du XIVe siècle. Accusé d'avoir fait mourir par empoisonnement la reine de Navarre Blanche d’Artois, puis, par envoûtement, la reine de France, Jeanne de Navarre, l'évêque est l'objet d'une enquête menée par une commission ecclésiastique entre 1308 et 1311. Un important matériel d'accusation est réuni, qui associe la mise en cause des conditions dans lesquelles Guichard gouverne son diocèse (simonie, usure, actes de violence) et la démonstration du caractère diabolique du prélat (pratiques magiques, fabrication de poison, démon privé). Près de trois cents témoins sont interrogés par les commissaires. La majorité d'entre eux sont d'origine champenoise, ce qui souligne l'important enracinement local de l'affaire. Le discours des dépositions, résultat de la procédure d'enquête, comporte des récits parfois très détaillés, mais se fonde souvent sur l'ouï-dire. La lecture des archives du procès met en évidence le caractère construit de ces accusations, et permet de considérer que l'affaire contribue à l'affirmation du pouvoir monarchique au temps de Philippe le Bel.
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3

Nadiras, Sébastien. "Guillaume de Nogaret en ses dossiers : méthodes de travail et de gouvernement d'un conseiller royal au début du XIVe siècle." Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010573.

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Abstract:
Cette thèse a pour objet l'étude des méthodes de travail et de gouvernement de Guillaume de Nogaret (~1260-l313), juriste languedocien devenu principal conseiller et garde du sceau du roi de France Philippe IV le Bel ; elle repose sur l'exploitation, à l'aide notamment des critères de la diplomatique, de la riche documentation formée par les dossiers de travail de ce conseiller. La première partie est consacrée à la caractérisation du fonds des « archives Nogaret» puis à ce que ces archives et les sources du règne nous disent de sa carrière. Les trois suivantes sont consacrées à l'étude de différents dossiers d'affaires, regroupés en fonction des divers cadres de l'action de Nogaret: les relations avec les villes et seigneurs du Languedoc, les batailles judiciaires, et enfin la politique « nationale », illustrée par les tractations relatives à l'établissement de la « grande Philippine », acte devant régir les relations entre le roi de France et l'église de Lyon. De l'analyse de ces dossiers ressort l'image d'un Nogaret aux divers visages, propres aux trois principales « scènes» où il déploya son action: le Midi était le lieu d'une politique de nature contractuelle avec les communautés d'habitants autour du thème de la réforme et de la législation de saint Louis; le prétoire était lieu des affirmations de principe et des édifices intellectuels savamment élaborés, où le droit modelait l'histoire; la scène du pouvoir et de la majesté enfin, où étaient en jeu la figure ainsi que le verbe royaux, était le lieu du possible exercice d'une autorité contraignante. En chacune de ces situations, la préoccupation de Guillaume de Nogaret fut avant tout d'accroître le bien, les droits et les prérogatives du souverain. Pour y parvenir, il convenait de gagner autrui à ses vues, à coup tantôt de concessions, tantôt d'arguments. Nogaret mobilisait pour cela les vastes savoirs et compétences hérités de sa formation universitaire; il était aussi amené à jouer des attentes et intérêts, d'ordre politique, matériel ou autre, de son interlocuteur. Guillaume de Nogaret peut en cela être défini comme un intellectuel et un homme de principe sachant également se montrer pragmatique et prendre en compte le réel dans sa dimension concrète pour faire triompher la cause du roi.
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4

Jaouich, Christian. "L'affaire des Templiers est une chose horrible à penser : le processus de diabolisation des frères du Temple dans la construction du royaume capétien (1307-1314)." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29943.

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Abstract:
L’arrestation de l’ensemble des frères du Temple au matin du vendredi 13 octobre 1307 a été l’un des événements marquants du XIVe siècle européen. Véritable prouesse organisationnelle de la part du roi de France et de ses conseillers, l’arrestation des Templiers était également un empiétement du pouvoir temporel dans l’une des juridictions de l’Église. Bénéficiant de l’immunité ecclésiastique, l’ordre du Temple était en effet soustrait au pouvoir du roi. Cette arrestation s’inscrit plus largement dans un contexte de vives tensions entre l’Église et le royaume : avec l’aide de ses conseillers, dont Guillaume de Nogaret au premier plan, Philippe le Bel avait développé une rhétorique selon laquelle, à l’intérieur des limites du royaume, les pouvoirs temporel et spirituel devaient être entre ses mains. Conséquemment, et ce dès le début de son règne, le roi s’était adonné à une série de mesures visant à imposer son pouvoir sur celui de l’Église, notamment par le prélèvement d’impôts sur les terres ecclésiales et par l’interdiction aux églises du royaume de France d’envoyer des redevances à Rome. S’il s’agit ici essentiellement d’actions coercitives visant à détourner l’afflux de deniers dédié à l’Église au profit du Trésor royal, l’arrestation des Templiers s’inscrit quant à elle dans une escalade des pressions à l’endroit de la papauté. Accusant la milice armée de l’Église de pratiquer divers rites hérétiques tels que le reniement du Christ, le crachat sur la croix, le baiser obscène, la vénération d’une idole et la pratique de relations sexuelles contre nature, cette attaque à l’encontre du Temple, et par association à l’encontre de l’Église, visait à démontrer que l’institution ecclésiale hébergeait l’hérésie en son corps depuis des temps immémoriaux, qui nécessitait donc l’intervention du roi pour la chasser de l’Église au nom de la défense de la foi et de la chrétienté. À la lumière des remarques présentées plus haut, le présent mémoire a pour objectif d’expliquer le sens de cet événement et d’analyser sa logique. La problématique de ce mémoire ne s’inscrit pas dans le traditionnel débat historiographique qui tente, depuis la deuxième moitié du XXe siècle, de déterminer si les Templiers étaient coupables ou innocents des accusations portées à leur encontre. Au contraire, nous désirons plutôt mettre en évidence un élément central de la logique de l’affaire des Templiers, c’est-à-dire le processus de diabolisation des Templiers ou, autrement dit, les mécanismes mis en place par la royauté capétienne pour transformer les Templiers de pieux chevaliers défendant la chrétienté en hérétiques.<br>The Templars' arrest at dawn of Friday the 13th 1307 was one of the important event of the 14th century. This arrest was, on the one hand, an organisational achievement and on the other an encroachment to the spirituel power. The Temple was indeed protected from the temporel power. This arrest must be understood in a much larger context. The beginning of the 14th century witnessed important tensions between Philip the Fair and the papacy. More specifically, Philip the Fair developed rhetoric, with the help of his advocates, and especially William of Nogaret, where inside the limits of his kingdom, both spirituel and temporal powers would be in his hands. Consequently, and since the beginning of his reign, Philip the Fair put forward actions in order to impose his power on the Church : those actions can be declined in imposing taxations on ecclesiastical lands and by the interdiction of churches inside the kingdom to pay their due to Rome. If those actions are essentially coercive means in order to divert money which was suppose to go to Rome to bring it to the Royal Treasure, the Templars' arrest can be put in relation with a series of measures in order to put pressure on the papacy. The Templars were charged of disowning Christ, of spitting on the cross, of practicing deviant kisses, of venerating an idol, and committing homosexual relations. The purpose of this arrest was to demonstrate that the Church was hosting heretics since immemorial times, and thus needed the intervention of the king to remove this heresy from the Church in order to defend faith and Christianity. This thesis has the objective to explain the meaning of this event and its logic. The argument of this thesis has no purpose to debate the traditional issue of whether the Templars were guilty or innocent of the charges brought against them: on the contrary, this thesis emphasises on understanding one important aspect of the trial's logic which is the process of demonization of the Templars. This process of demonization was put in place by Philip the Fair and his advocates in order to transform the Templars from a pious order dedicated to the defence of Christianity to perfidious heretics.
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5

Queinnec, Jacques. "La gestion du trésor royal à la fin du treizième siècle : Procédés et méthodes comptables : Les ressources du trésor." Brest, 2005. http://www.theses.fr/2005BRES1001.

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Abstract:
A la fin de 1295, Philippe le Bel reprend au Temple la gestion de son trésor, mais le nouveau trésor royal du Louvre use de procédés dérivés de ceux des Templiers. Les opérations de son journal de 1298-1300 sont pour moitié des opérations en espèces, et pour l'autre moitié des virements et autres opérations en écritures. Le montant net des recettes portées au compte du roi pendant ces deux années est de 2 194 002 livres parisis, dont 1 491 609 livres provenant du monnayage et de divers gains monétaires, 357 147 livres des décimes et autres contributions de l'Eglise, 68 506 livres du centième et des cinquantièmes levés sur les laïcs, et 204 012 livres du revenu des sénéchaussées méridionales. Le trésor encaisse en outre au compte des baillis, sans les virer au compte du roi, 302 793 livres. Les expédients auxquels l'insuffisance de ses revenus ordinaires contraint le roi ne lui procurent qu'une aisance de trésorerie temporaire, bientôt suivie d'une nouvelle dégradation de sa situation financière<br>At the end of 1295, Philip the Fair takes back from Temple the treasury management, but the new Louvre's royal treasury uses proceedings drifted from Temple. Operations in the diary from 1298 to 1300 are for half part cash operations, and for the other part transferring and other writing operations. The net receipts added to the king's account are, those two years, 2 194 002 parisis pounds, dividing in 1 491 609 pounds coming from coining profits, 357 147 pounds from décime tax and other Church contributions, 68 506 pounds from centième and cinquantième taxes paid by laics, and 204 012 pounds from southern seneschalcies revenues. The treasury receives also 302 793 pounds added on northern bailiffs accounts, without transferring them on king's account. The expedients that the king must use because of insufficiency of his ordinary revenue just procure him a temporary treasury comfort, before a new degradation of his financial situation
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Books on the topic "1285-1314 (Philippe IV)"

1

Field, Sean L. Courting Sanctity. Cornell University Press, 2019. http://dx.doi.org/10.7591/cornell/9781501736193.001.0001.

Full text
Abstract:
Courting Sanctity traces the shifting relationship between holy women and the French royal court across the long thirteenth century. It argues that during the reign of Louis IX (r. 1226-70) holy women were central to the rise of the Capetian self-presentation as uniquely favored by God, that such women’s influence was questioned and reshaped under Philip III (r. 1270-85), and that would-be holy women were increasingly assumed to pose physical, spiritual, and political threats by the death of Philip IV (r. 1285-1314). Six holy women lie at the heart of the analysis. The saintly reputations of Isabelle of France and Douceline of Digne helped to crystalize the Capetians’ claims of divine favor by 1260. In the 1270s, the French court faced a crisis that centered on the testimony of Elizabeth of Spalbeek, a visionary holy woman from the Low Countries. After 1300, the arrests of Paupertas of Metz, Margueronne of Bellevillette, and Marguerite Porete formed key links in the chain of attacks launched by Philip IV against supposed spiritual dangers threatening the most Christian kingdom of France.
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