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Tremblay, Jacynthe. "Présent absolu et avenir absolu." Hors-thème 17, no. 1 (March 23, 2010): 203–28. http://dx.doi.org/10.7202/039505ar.
Full textAbstract:
RésuméDe nombreux points de comparaison sont possibles entre la philosophie de Nishida Kitarō (1870-1945) et la philosophie de la religion de Karl Rahner (1904-1984), notamment concernant la temporalité, thème à propos duquel ces deux auteurs réfléchirent radicalement. En réexaminant la notion rahnérienne d’avenir absolu à la lumière de la notion nishidienne de présent absolu, il est possible d’apporter une solution au problème suivant : rejoint-on Dieu (Rahner) ou l’absolu (Nishida) dans un avenir situé au-delà de la temporalité ou bien dans l’instant présent, compris comme le lieu même du jaillissement de la temporalité ? Dans la mesure où elle s’appuie sur une philosophie du néant absolu, la pensée de Nishida permet de dégager la philosophie de la religion de Rahner des cloisons de l’onto-théo-téléologie qui l’enserrent et, la plaçant ainsi sur un horizon plus vaste, la rend apte à exprimer, d’une manière qu’on espère nouvelle, les nombreuses potentialités qu’elle recèle encore. En retour, une lecture de la temporalité nishidienne à travers le regard de Rahner permet de l’approfondir et de faire ressortir des éléments inédits.
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Tremblay, Jacynthe. "Présent absolu et avenir absolu." Hors-thème 17, no. 2 (July 6, 2010): 245–63. http://dx.doi.org/10.7202/044071ar.
Full textAbstract:
RésuméDe nombreux points de comparaison sont possibles entre la philosophie de Nishida Kitarō (1870-1945) et la philosophie de la religion de Karl Rahner (1904-1984), notamment concernant la temporalité, thème à propos duquel ces deux auteurs réfléchirent radicalement. En réexaminant la notion rahnérienne d’avenir absolu à la lumière de la notion nishidienne de présent absolu, il est possible d’apporter une solution au problème suivant : rejoint-on Dieu (Rahner) ou l’absolu (Nishida) dans un avenir situé au-delà de la temporalité ou bien dans l’instant présent, compris comme le lieu même du jaillissement de la temporalité ? Dans la mesure où elle s’appuie sur une philosophie du néant absolu, la pensée de Nishida permet de dégager la philosophie de la religion de Rahner des cloisons de l’onto-théo-téléologie qui l’enserrent et, la plaçant ainsi sur un horizon plus vaste, la rend apte à exprimer, d’une manière qu’on espère nouvelle, les nombreuses potentialités qu’elle recèle encore. En retour, une lecture de la temporalité nishidienne à travers le regard de Rahner permet de l’approfondir et de faire ressortir des éléments inédits.
3
Tremblay, Jacinthe. "Néantisation et relationalité chez NISHIDA Kitarô et WATSUJI Tetsurô." Thème 4, no. 2 (March 16, 2009): 63–82. http://dx.doi.org/10.7202/602440ar.
Full textAbstract:
RÉSUMÉ Le néant absolu (zettai mu) a suscité divers types de discours dans la philosophie japonaise contemporaine, notamment celui de la relationalité, dont traitent principalement NISHIDA Kitarô (1870-1945) et WATSUJI Tetsurô (1889-1960). Nishida met en lumière le lien intrinsèque entre le néant absolu et la relationalité en montrant que l’individuel (kobutsu) est tel uniquement par le fait de se confronter à un autre individuel, et que cette confrontation est un processus de néantisation absolue par lequel l’individuel renvoie constamment à l’autre, ce qui permet en retour une auto-affirmation absolue. Le néant absolu est également le fondement de la structure relationnelle de Watsuji, qui fait l’originalité de son éthique. L’humain (ningen), à la fois individuel et social, comporte une négation par laquelle il nie l’ensemble de l’humanité, se constituant ainsi comme individu et comme société. Tant la philosophie de Nishida que celle de Watsuji convergent vers le néant absolu et s’articulent autour de lui.
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Mukkamkuzhiyil, Kurian. "La philosophie de Michel Henry." Revue internationale Michel Henry, no. 7 (September 13, 2018): 113–31. http://dx.doi.org/10.14428/rimh.v0i7.6913.
Full textAbstract:
Cette étude met en rapport quelques notions fondamentales de la pensée indienne avec la phénoménologie de la vie. En avouant d’emblée les limites d’une telle démarche, l’auteur offre une ouverture sur la phénoménologie, notamment dans le cadre de la dimension non dualiste de la pensée indienne. Il s’attache à expliciter les recoupements entre l’affirmation henryenne de la réciprocité interne entre la Vie et les vivants et le fait que, pour la pensée indienne, toutes les réalités spirituelles et matérielles non seulement procèdent d’un Absolu, mais sont habitées par lui. L’auteur se demande notamment comment expliquer, dans une telle approche, la différence entre la Vie et les vivants. Cette contribution met donc en avant la pertinence et les enjeux d’une approche henryenne pour la compréhension des dimensions théologique, anthropologique, cosmologique et, en particulier, christique de la culture philosophique indienne.
5
Collins, Ardis B. "Hegel's Unresolved Contradiction: Experience, Philosophy, and the Irrationality of Nature." Dialogue 39, no. 4 (2000): 771–96. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300007848.
Full textAbstract:
RésuméCet article étudie lafaçon dont Hegel élabore sa conception des rapports entre la pensée et la nature dans la Phénoménologie de l'esprit. L'examen montre que 1) Hegel étend le concept de raison pour y inclure i'indépendance de la nature à l'endroit de la pensée rationnelle, 2) cette indépendance se révèle dans le donné contingent de l'empiricité, 3) le concept étendu de raison détermine et justifie les présuppositions de la logique hégélienne, et 4) ce même concept limite le rôle de la logique dans la philosophie hégélienne prise comme un tout, de telle manière que la philosophie y dépend de la science empirique en quelque chose d'essentiel pour sa connaissance de la vérité. En étayant ces thèses, l'article analyse la procédure de preuve utilisée par Hegel, expose le rôle qu'y joue la contradiction, et discute les explications phénoménologiques qu'il propose de la perception, de l'entendement, du stoïcisme, de l'idéalisme, de la biologie, du monde moral kantien, de la religion révélée, et du savoir absolu.
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Landenne, Quentin. "Le système comme point de vue de la réflexivité philosophique." Philosophiques 43, no. 2 (December 5, 2016): 249–71. http://dx.doi.org/10.7202/1038206ar.
Full textAbstract:
Le problème du système comme mode de construction de la pensée philosophique a trouvé dans la période de l’Idéalisme allemand l’un de ses points culminants dans l’histoire de la philosophie. Loin de se limiter à une question extrinsèque portant sur le choix d’une forme d’exposition qui resterait relativement indifférente au contenu de la doctrine elle-même, l’adoption ou le rejet de tel ou tel type de systématicité implique des décisions conceptuelles importantes touchant à des problèmes philosophiques qui sont au coeur des discussions de l’époque. C’est notamment la question de la complétude du système et de son rapport à une éventuelle extériorité qui sont mis en jeu dans ces discussions. Parmi les acteurs de cette controverse, Jacobi, Fichte et Hegel se sont ainsi affrontés, directement ou indirectement, sur la question spécifique du rapport entre système et vie, d’une part, entre système et absolu, d’autre part. Alors que Jacobi reproche à Fichte d’absorber la vie dans son système mortifiant et nihiliste et que Hegel dénonce au contraire dans la Doctrine de la science l’incomplétude d’un système incapable de combler l’écart entre savoir et vie, pour Fichte, l’unité différenciée de la vie et du système, posés comme points de vue de la réflexivité philosophique, rend possible un système qui, quoique accompli en lui-même, n’abolit pas son extériorité constitutive et son ouverture à la vie.
7
Archibald, James, and Shmuel Wygoda. "La responsabilité du médiateur textuel." Meta 51, no. 3 (September 21, 2006): 536–44. http://dx.doi.org/10.7202/013557ar.
Full textAbstract:
Résumé La traduction est un moyen de cerner la vérité et le vrai sens des textes. Cet article tente de définir la règle de conduite traductosophique d’Emmanuel Levinas à partir d’une analyse de ses Nouvelles lectures talmudiques (NLT). Bien que sa pensée ne fût pas explicite sur ce point, Levinas a laissé apercevoir une approche raisonnée de la médiation linguistique qui redéfinit en termes de philosophie morale la responsabilité du traducteur. Sa vision éthique de son rôle comme médiateur textuel nous oblige de revisiter plusieurs concepts clés dont celui d’interprète et d’exégète. Il s’agit de mettre en relief une certaine vision de la responsabilité intertextuelle, réflexive et procédurale du traducteur-exégète face aux sources, au public et à l’autre absolu. Les racines de la pensée de Levinas sur la responsabilité se trouvent à un carrefour où se rencontrent l’autre absolu et autrui. Le médiateur textuel dégage ainsi du texte le vrai sens suivant un sens aigu de responsabilité morale. Cette lecture traductosophique des NLT nous fait découvrir un modèle généralisable chez celui qui est conscient du principe de l’altérité en tant que régulateur du processus et des procédés de médiation linguistique si bien que le rôle du traducteur-exégète en est valorisé.
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Tran The, Jessica. "La critique lacanienne du savoir absolu de Hegel : enjeux pour une distinction épistémologique du rapport au savoir entre psychanalyse et philosophie." L'en-je lacanien 30, no. 1 (2018): 159. http://dx.doi.org/10.3917/enje.030.0159.
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9
Matejka, Ladislav. "Jakobson's Response to Saussure's Cours." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 9 (April 9, 2022): 177–84. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.1997.1892.
Full textAbstract:
Ladislav MATEJKA, Université du Michigan, Ann Arbor : «La réponse de Jakobson à Saussure»
Il est difficile de trouver un linguiste occidental qui ait joué un rôle aussi important que Saussure dans la formation du cadre conceptuel de Jakobson. L’impact de Saussure sur les linguistes russes dans les années 20 est bien documenté dans l'exposé que fit M. N. Peterson sur la doctrine saussurienne dans la revue Pečat' i Revoljucija en 1923, dans les remarques enthousiastes de R. Šor dans le Jafetičeskij sbornik de N. Marr (1927), et, en particulier, dans le livre de V.N. Vološinov (M. Bakhtine) Le marxisme et la philosophie du langage (1929). Celui-ci écrit : «On peut affirmer que la majorité des penseurs russes dans le domaine de la linguistique sont sous l'influence déterminante des observations saussuriennes sur les signes et leur rôle dans la communication humaine».
Pour Jakobson, la contribution linguistique de Saussure a été une source durable d'inspiration, mais aussi une cible continuelle pour ses attaques virulentes et souvent dévastatrices. Tout au long de sa carrière scientifique, Jakobson a mis en question l 'insistance de Saussure à séparer la synchronie et la diachronie, son accent mis sur l'arbitraire du signe verbal, son interprétation des procédures syntagmatiques et paradigmatiques et, tout particulièrement, sa conception du phonème. Dans une certaine mesure, la critique de Jakobson reflète ses années d'études dans le milieu des Néo-grammairiens moscovites conservateurs, qui avaient de la méfiance envers les courants occidentaux modernes.
Jakobson continua de combattre Saussure jusqu'aux dernières années de sa vie, comme en témoigne le «Retrospect» du 6ème volume de ses Selected Writings, achevé par Jakobson en février 1982. Si nous nous tournons vers les critiques persistantes que Jakobson adresse aux principes fondamentaux de Saussure, on peut se demander s'il reste quelque chose qui n ' ait pas été invalidé durant toutes ces années d'attaques répétées. Pourtant, il serait erroné de considérer les critiques que fait Jakobson à la doctrine saussurienne comme un rejet absolu. Il semble plus approprié d'envisager le dialogue unilatéral de Jakobson avec Saussure comme une contribution complémentaire au développement de la linguistique du XXème siècle.
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Kiefer, Julian. "Philosophie als absolute Vermittlung." Neue Zeitschrift für Systematische Theologie und Religionsphilosophie 61, no. 4 (November 27, 2019): 429–52. http://dx.doi.org/10.1515/nzsth-2019-0023.
Full textAbstract:
Zusammenfassung Für eine Verhältnisbestimmung von Religion und Philosophie unterzieht der protestantische Theologe Martin Wendte Hegels philosophisches System einer theologischen sowie einer philosophisch-immanenten Kritik. Das Beweisziel dieser Arbeit besteht im Nachweis, dass auch Wendtes philosophische Kritik nur haltbar unter offenbarungstheologischen Voraussetzungen, also gar keine immanente Hegel-Kritik ist. Der Grund dafür liegt in der Unwiderlegbarkeit Hegels, der bloß den notwendig absoluten Anspruch der Disziplin Philosophie ausdrückt; ein absoluter Anspruch, dem der der Theologie in nichts nachsteht.
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Robitaille, Mathieu. "Hegel et le spinozisme dans les années d’Iéna." Laval théologique et philosophique 63, no. 1 (November 2, 2007): 21–39. http://dx.doi.org/10.7202/016676ar.
Full textAbstract:
Résumé Dans la foulée de la querelle du panthéisme, nombreux furent les philosophes qui réhabilitèrent le spinozisme et sur lesquels ce dernier exerça une influence déterminante. C’est notamment le cas de Hegel, pour qui la confrontation avec le spinozisme était capitale. Or l’enjeu de cette confrontation résidait pour Hegel dans le passage d’un absolu-substance, qui exclut la négativité, à un absolu-sujet se réalisant en tant qu’Esprit, lequel intègre la négativité en l’absolu. C’est dans les années d’Iéna (1801-1807) que Hegel prend acte de la nécessité de ce passage. À partir de l’été 1803, Hegel rejette la définition de l’absolu comme totalité substantielle, qui caractérise la première phase d’Iéna (1801-1803), au profit d’une définition de l’absolu comme sujet ou comme Esprit. C’est pendant la seconde phase d’Iéna (1803-1807) que s’élabore ce passage que la Phénoménologie de l’Esprit révèle en 1807. C’est cette confrontation avec le spinozisme, laquelle apparaît comme un moment déterminant du développement philosophique de Hegel à Iéna, que cet article entend mettre en lumière.
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Robitaille, David. "La Charte québécoise des droits ou la consécration du libéralisme égalitaire de John Rawls." Revue générale de droit 34, no. 3 (November 14, 2014): 473–91. http://dx.doi.org/10.7202/1027287ar.
Full textAbstract:
La Charte des droits et libertés de la personne du Québec reconnaît de nombreux droits et libertés, parmi lesquels se trouvent les libertés individuelles fondamentales, le droit à l’égalité ainsi que plusieurs droits économiques et sociaux. Cet ensemble de droits et libertés s’avère très similaire aux principes qu’élabore le philosophe et économiste américain John Rawls dans son principal ouvrage, Théorie de la justice, qui a connu un succès retentissant dans le monde philosophique, juridique et politique. Ce dernier, s’exerçant à dégager les principes « constitutionnels » qui doivent selon lui guider toute société juste, accorde en effet une importance particulière aux notions de libertés individuelles, d’égalité des chances et de redistribution des richesses. Ces principes, cependant, n’ont pas tous la même valeur aux yeux du philosophe. Soucieux de l’efficacité du système économique, Rawls accorde une priorité de rang absolue aux libertés, aucune limite ne pouvant leur être apportée. Conscient des inégalités sociales que pourrait entraîner l’absolutisme des libertés, Rawls fait toutefois entrer en jeu deux concepts destinés à remédier à ce problème. Il y a d’abord le principe de l’égalité des chances, par lequel les postes ou fonctions institutionnels et sociaux importants dans la société doivent être ouverts à toute personne. Vient enfin, à titre supplétif, un principe de redistribution des richesses, lequel est toutefois subordonné à la réalisation du principe de l’égalité des chances. La Charte québécoise établit une hiérarchie semblable, mais non identique, entre les libertés fondamentales, le droit à l’égalité et les droits économiques et sociaux. Nous constaterons ainsi, par une analyse parallèle de la Théorie de la justice et de la Charte québécoise, comment cette dernière consacre actuellement une conception philosophique qui s’apparente, comme celle de Rawls, au libéralisme égalitaire.
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Stillman, Robert E. "Radical Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 37, no. 3 (January 1, 1991): 168–76. http://dx.doi.org/10.1075/babel.37.3.05sti.
Full textAbstract:
La recherche d'une langue universelle en Angleterre au 17e siècle s'étend des propositions préliminaires de Francis Bacon, philosophe de la "nouvelle science", jusqu'à la création d'une langue philosophique par l'évêque John Wilkins, fondateur principal de la Royal Society. Les languages universelles, je le maintiens, sont, en premier lieu, des exemples de la "traduction radicale"; elles constituent l'effort d'accomplir par des moyens nouveaux le rêve inachevé des humanistes de retrouver une harmonie entre les mots et les choses. Les langues universelles ne sont pas des traductions d'une langue à une autre; elles traduisent plutôt ce que l'on pourrait décrire comme ou bien le livre de la nature ou bien le discours de l'esprit en un système de signifiants dont la logique fonctionne comme miroir de la logique du monde. Illustrées le mieux dans l'oeuvre de Bacon et de Hobbes, les conséquences politiques de la traduction radicale sont des plus profondes. L'histoire du mouvement de la langue universelle se reflète dans l'histoire des rois Stuart, ceux qui ont travaillé le plus pour l'établissement d'un ordre politique absolu. Le nouvel état autoritaire a trouvé un appui dans cette nouvelle langue elle-même autoritaire.
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Clausen, Anne. "Subjectivity and Transcendence: The Primacy of Truth and Goodness in Hegel and Levinas." Hegel Bulletin 39, no. 2 (August 20, 2018): 199–220. http://dx.doi.org/10.1017/hgl.2018.21.
Full textAbstract:
AbstractThe Hegelian concept, with its all-encompassing power, epitomizes the kind of totality-oriented thinking that Levinas, a philosopher of genuine alterity, sharply criticizes. This paper investigates this antagonism by focusing on a notion that is pivotal for both authors, the notion of subjectivity. Hegel makes transcendence into an immanent dimension of the subject whereas Levinas conceives transcendence as the subject’s relation with radical exteriority. The decisive question is whether Levinas falls back into the failures of so-called ‘philosophies of reflection’ or whether the Hegelian dialectic of being and nothing relies on an un-condition for which it does not and indeed cannot account. The paper culminates in the thesis that Hegel and Levinas reverse the order of priority of the Good and the True. While Hegel conceives of the absolute as system of truth, for Levinas the ethical ‘failure’ of totalization constitutes a necessary condition for rationality.
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Bochenek, Krzysztof, Cezary Mordka, and Józef Stala. "If there is no Religion – L. Kołakowski’s Defence of the Sacred. Part 1." Person and the Challenges. The Journal of Theology, Education, Canon Law and Social Studies Inspired by Pope John Paul II 12, no. 2 (September 15, 2022): 5–17. http://dx.doi.org/10.15633/pch.12201.
Full textAbstract:
This article is an attempt to present the views of the Polish philosopher on the phenomenon of religion. L. Kołakowski devoted almost all his professional life to the issue of religion. He places the area of religious experiences and beliefs within the framework of transcendentalism, one of the basic and mutually exclusive options: “transcendentalism – empiricism”. Empiricism is the sphere of naturalistic views and contents, and their most radical representatives are empirical sciences and philosophies related to them.
Kołakowski points out that there is no reason for the naturalistic option to exhaust the cognitive content. However, a philosophical attempt to go beyond naturalism in grasping the Absolute and the self, ends in metaphysical horror. Hence L. Kołakowski points to religious perception as an area that remains non-scientific but this fact does not contradict its value. A special place in L. Kołakowski’s analyses is occupied by the anthropological argument under which the biologisation of human existence is unjustified.
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Guay, Éric. "Le savoir absolu hégélien, ou comment rentrer chez soi." Philosophiques 26, no. 1 (October 2, 2002): 71–82. http://dx.doi.org/10.7202/004931ar.
Full textAbstract:
RÉSUMÉ Inspiré par la fascinante métaphore hégélienne de la « maisonnette » tirée d’un écrit de jeunesse, ce texte veut montrer sa concrétisation postérieure par le « Savoir absolu » de la Phénoménologie de l’Esprit (1807). On a souvent dit que l’ouvrage de 1807 réconciliait la modernité avec l’ère hellénique. De plus, l’on sait que Hegel considère cette dernière comme le premier moment du savoir, illustrant ce chez-soi auquel les Modernes ont dû renoncer pour acquérir leur propre vision du monde. L’argumentation présentée ici vise à montrer qu’à la manière d’un sujet qui, après un laborieux périple, revient enfin chez soi, c’est bien à un retour en « pays de connaissance » que nous convie cette œuvre célèbre du philosophe allemand. Miracle rendu possible par la découverte d’une circularité qui nous traverse tous !
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Jimenez-Redondo, Manuel. "Sein, Existenz und Bild in der Philosophie des späten Fichte." Fichte-Studien 47 (2019): 58–71. http://dx.doi.org/10.5840/fichte2019477.
Full textAbstract:
The late Fichte transforms transcendental philosophy into ontology, without transcendental philosophy ceasing to be transcendental philosophy. The center of his philosophy is no longer the transcendental self, but rather concepts like existence, light, image, from which the transcendental self can be derived. Against dogmatism, for which being is to be considered as an absolute fact, Fichte tries to show that being can be deduced and explained from the light, and that means: from transcendental freedom. Whatever exists is made from the substance of appearance, from the substance of visibility and light, from the material of the image. But the appearance, the image, the light, can only derive their creative power from the fact that they are (in absolute terms) the existence of the Absolute. And precisely at this point, under the idea that only the Absolute is, Fichte has repeatedly to cope with the question of the relation between the being-character of this substance and the being-character of the Absolute. Against his reiterated attempts to proceed this way, the difference between being and existence can not so easily be traced back to the concept of an absolute Being, in whose inner essence lies the fact that nothingness becomes itself an ‘apparent something’ (the world), against the background of which, and by which, the Absolute cannot be, and cannot be understood, except as absolute.
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Matsan, Konstantin M. "Apologetics in V.N. Ilyin’s Works on Aesthetics." Almanac “Essays on Conservatism” 64 (June 30, 2021): 335–43. http://dx.doi.org/10.24030/24092517-2021-0-2-335-343.
Full textAbstract:
In the article the author tries to view the works of Russian philosopher V.N. Ilyin on aesthetics as apologetic. Ilyin’s philosophic system that he himself termed as general morphology is based on such categories as “form”, “image” and “icon” as key elements, and thus it has obvious aesthetic dimension. General metaphysical principles stated in Ilyin’s theoretic and philosophic works that were not published in his lifetime, were reflected in his publicistic works – on aesthetics and liturgics. According to Ilyin, “form” is something by way of which the invisible ousia (essence) of the thing manifests itself on the surface – the phenomenon of invisible in visible image. For Ilyin the illustration of that principle was icon-painting. Ilyin also called his morphological system materologism – the doctrine on Logos running through the substance. Through the prism of this statement Ilyin views the phenomenon of bell-ringing, the “metaphysical task” of which was in “spiritualization of inorganic substance”, in that case – metal. An important part in Ilyin’s morphology was the metaphysics of light: light was something that allowed initially to discern forms and was the prerequisite for beauty and for admiring the beautiful. The appeal to beauty as something that was perceived directly in inner experience and lead the thought out of the limits of abstract logical construct, according to Ilyin, was part of the ontological argument of the divine being. Not only it contained the logically necessary conclusion of the divine being as the Absolute, but also included as a condition the “fact and act” of the man’s personal religious experience, – the experience of the direct perception of the divine reality in prayer and in church service, that, in its turn, was connected with the perception of the beauty of liturgical forms and with the cult as the phenomenon of the Absolute in circumstantial. This is the reason of the importance of the works on aesthetics and liturgics of Ilyin as an apologist.
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Binetti, María. "La decisión absoluta en el pensamiento kierkegaardiano." Areté 16, no. 1 (March 16, 2004): 5–18. http://dx.doi.org/10.18800/arete.200401.001.
Full textAbstract:
El artículo se propone mostrar la originalidad de la libertad kierkegaardiana, concentrada en una decisión absoluta que determina por entero la realidad del sujeto singular existente. La decisión produce la síntesis de la existencia personal, unificando todos los elementos y dimensiones que configuran la vida humana, y armonizando las fuerzas del yo hacia la confluencia en un mismo fin, a saber, en el Ser absoluto. La unidad interior producida por la decisión es posible gracias al “salto” trascendente de la libertad, por el cual la existencia humana se afirma en el fundamento uno y simple del cual ella procede.---This paper attempts to show the originality of Kierkegaard’s notion of freedom, that brings into focus an absolute decision that wholly determines the reality of the singular existing subject. Such decision brings forth the synthesis of personal existence, unifying all the elements and dimensions that constitute human life, and harmonizing the strengths of the self toward their confluence in one final end, which is absolute Being. Immanent unity brought about by the decision is possible due to a transcendental “leap” of freedom, whereby human existence affirms itself on the One and Simple Foundation out of which it proceeds.
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Fouasse, Myriam. "La traduction des ablatifs absolus dans deux versions anglaises de La Consolation de Philosophie." Bulletin des anglicistes médiévistes 69, no. 1 (2006): 1–24. http://dx.doi.org/10.3406/bamed.2006.944.
Full text
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Gagnon, Maurice. "Les arguments de Newton concernant l'existence du mouvement, de l'espace et du temps absolus." Dialogue 25, no. 4 (1986): 629–62. http://dx.doi.org/10.1017/s001221730004957x.
Full textAbstract:
Le présent essai examine d'abord les notions newtoniennes d'espace et de temps absolus en elles-mêmes et dans leurs relations réciproques, puis ensuite dans leurs rapports avec d'autres notions connexes comme celles de lieu et de mouvement, en prenant pour base le Scholium qui fait suite aux définitions formulées au début des Principia mathematica philosophiae naturalis. La seconde partie analyse les arguments et precédés utilisés par Newton pour identifier des mouvements absolus, et prouver ainsi que de tels mouvements existent. La troisième partie montre en quel sens il faut entendre que ces mouvements sont « absolus », et pourquoi on ne peut en tirer une preuve ultérieure de l'existence d'un temps et d'un espace absolus et subsistants.
22
Amalric, Jean-Luc. "L’épreuve de la métaphore : éléments pour une critique du discours philosophique." Remate de Males 35, no. 2 (January 28, 2016): 419. http://dx.doi.org/10.20396/remate.v35i2.8645199.
Full textAbstract:
Partant de l'idée selon laquelle existe um lien constitutif entre métaphore et discours philosophique, este artigo s'efforce de montrer em quel sens the théorie ricoeurienne de métaphore exposée dans La Métaphore vive representa une tentativa inédite pour repenser conjointement le statut de la métaphore et le statut du discours philosophique. Dans un premier temps, l'auteur analise a dependance du discours philosophique à l'étude de sources métaphoriques qui ne cessent de le précéder, de le motiver et de le dynamiser afin de mettre en relief l'impossibilité du projet philosophique d'une autofondation absolue. Então, il tente de mostrar comentário é néanmoins possível uma articulação do méto e do conceito philosophique qui préserve «l'autonomie relative» du discours spéculatif à l'égard du métaphorique. Tudo bem como efeito, em uma dimensão predominante e criativa, a distanciamento poético produzido pela métafora vive preparando a distanciação crítica própria ao especulador. Dans un troisième temps, enfin, l'auteur s'efforce de redéfinir le statut paradoxal du discours philosophique à l'égard du métaphore dans le situant dans l'entre-deux tensionnel d'une «imagination symbolique» et d'une « imaginação ficcional ».
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Synytsia, Andrii. "Pragmatic Foundations of Religious Experience in Wittgenstein’s Philosophy." Filosofiya-Philosophy 31, no. 1 (March 20, 2022): 9–18. http://dx.doi.org/10.53656/phil2022-01-01.
Full textAbstract:
The article shows that in matters of philosophy of religion, when the sphere of interest of Wittgenstein went beyond logical and linguistic analysis, he attached special importance to a pragmatic approach to the interpretation of religious experience. Wittgenstein’s philosophico-religious studies were largely inspired by the events of his own life , as well as the ideas of individual thinkers, including the pragmatic philosopher William James. In Wittgenstein’s work one can find both a substantiation of the originality of religion and its impossibility of analysis from the standpoint of science, and a conviction in the expediency of religious experience in human life. It is revealed how Wittgenstein, analyzing the main manifestations of religious experience, pragmatically eliminated contradictions in the comprehension of knowledge about God (as unspeakable), pointed out the importance of transition from skepticism to belief as a basis for experience of absolute safety, took into account socio-practical aspects of various ethico-religious experiences such as feeling guilty. The author finds out how Wittgenstein interpreted the practical value of religious experience, analyzed the language of religion, as well as revealed its socio-psychological and ethical aspects.
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Lachance, Geneviève. "L’antilogicien ou l’ennemi de la philosophie véritable." Elenchos 38, no. 1-2 (March 1, 2017): 45–59. http://dx.doi.org/10.1515/elen-2017-0003.
Full textAbstract:
Abstract One of Plato’s goal in the Phaedo is not only to define what philosophy is, but also to describe what ‘real’ or ‘authentic’ philosophy consists of. This description of ‘authentic’ philosophy reveals a tension. Indeed, if Socrates feels the need to speak of a genuine philosophy, is it not a sign that there is another type of philosophy, which is inauthentic and fake ? If Plato emphasizes the legitimacy of some philosophers, is it not because he believes that there are others, who resemble the former but are a mere imitation of them ? In fact, there is in the Phaedo an implicit description of ‘false’ philosophers, which culminates with the presentation of a precise case: the antilogician. Sometimes called a sophist, often described as an eristic, the antilogician is a perfect example of philosophy gone wrong. Criticised more than once in his dialogues, Plato condemns vivaciously the antilogician as he diverts real philosophical inquiry and immerses people in absolute relativism.
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Fernández, Héctor Velázquez. "La generación absoluta, según la exposición aquiniana de Aristóteles." Tópicos, Revista de Filosofía 11, no. 1 (November 28, 2013): 9. http://dx.doi.org/10.21555/top.v11i1.446.
Full textAbstract:
La distinción entre la generación absoluta y la relativa implica la diferencia entre la substancia y la no-substancia, en vez de aquella entre el ser y el no-ser, de acuerdo con Aristóteles. Este artículo trata de explicar cómo esta distinción hace posible hablar sobre el absoluto no-ser, un concepto ineludible cuando Aristóteles trata de explicar la generación absoluta y la corrupción absoluta sin apelar a la nada.
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Keenan, John P. "Mahāyāna Emptiness or « Absolute Nothingness » ?" Thème 20, no. 1-2 (October 16, 2013): 341–63. http://dx.doi.org/10.7202/1018863ar.
Full textAbstract:
Abe Masao’s contribution to late twentieth-century Buddhist-Christian dialogue was important in opening new avenues of interfaith understanding. However, some clarity in this dialogue was sacrificed when Christian participants were given to believe that they encountered « the Buddhist view » in Abe’s presentations. The present article contends that in significant ways Abe represented only the Kyōto School philosophy that drew on earlier Japanese philosophers of Absolute Nothingness and their appropriation of Zen enlightenment as the locus for all religious understanding, a place where all negation and affirmation are simultaneously affirmed and denied. The present article contends that Abe’s Kyōto School philosophy does not represent the broad classical traditions of Mahāyāna Buddhism, wherein emptiness does not mean absolute nothingness, but the dependent arising of all places and all philosophies.
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Oblova, Liudmyla. "Рhilosophical understanding of philosophy. Higher school without philosophy." Grani 24, no. 3 (March 30, 2021): 104–11. http://dx.doi.org/10.15421/172132.
Full textAbstract:
The conversation raises the question of the universal understanding of philosophy in order to question about the level of the contemporary's ability to understand philosophy in accordance with its original way of being. The statement of the question is connected with the catchy oddities of the current situation. We are talking about the current desire of the philosophizing community to justify the benefits of philosophy, and its substantive presence in the academic environment through the development of "competence philosophies". The spreading philosophies of "what you want", with a departure in the partial moments of a given problem, communicate a system of certain truths. But is it being introduced into a philosophical state? And do they preserve philosophy itself? Also, today, there are enough proposals to convey philosophical thought in a world separation from institutionalization. But, by all means, a fashionable and famous thinker. Or philosophize along with something attractive. With a scandal, for example. Basically, such offers are in demand. Therefore, thinking “for the money” is actively scattering. I will call this philosophy through subscription.At the same time, the applications offer spicy or hot topics with the prefix: a philosophical meeting, a philosophical view, a philosophical understanding. What do the joint stays of people who associate with the philosophy attached to the vital lead to? The aim of the article is to study the level of a contemporary's ability to understand philosophy in accordance with its original way of being. The main tasks are: 1) assessment of the current situation of actively spreading innovative teaching of philosophy; 2) analysis of the thinking of a person who is in a position where, on the one hand, “competence-based philosophy” and “craft philosophy” are being strengthened, on the other hand, the philosophy of the academy is removed from classical universities as unnecessary - under the conditions of the global market; 3) view of philosophy as an absolute unity.Research methods: The research is based on the metatheoretical method, since it allows one to describe philosophy in an inalienable way, in accordance with its nature. Avoiding methodological confusion, metatheory makes it possible to examine philosophy formally and encourage thinking, testing its power.For reflection, the comparability of the experiences of philosophy in itself and of the involved philosophy is proposed.
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Oblova, Liudmyla. "Рhilosophical understanding of philosophy. Higher school without philosophy." Grani 24, no. 2 (February 28, 2021): 110–18. http://dx.doi.org/10.15421/172119.
Full textAbstract:
The conversation raises the question of the universal understanding of philosophy in order to question about the level of the contemporary's ability to understand philosophy in accordance with its original way of being. The statement of the question is connected with the catchy oddities of the current situation. We are talking about the current desire of the philosophizing community to justify the benefits of philosophy, and its substantive presence in the academic environment through the development of "competence philosophies". The spreading philosophies of "what you want", with a departure in the partial moments of a given problem, communicate a system of certain truths. But is it being introduced into a philosophical state? And do they preserve philosophy itself? Also, today, there are enough proposals to convey philosophical thought in a world separation from institutionalization. But, by all means, a fashionable and famous thinker. Or philosophize along with something attractive. With a scandal, for example. Basically, such offers are in demand. Therefore, thinking “for the money” is actively scattering. I will call this philosophy through subscription.At the same time, the applications offer spicy or hot topics with the prefix: a philosophical meeting, a philosophical view, a philosophical understanding. What do the joint stays of people who associate with the philosophy attached to the vital lead to? The aim of the article is to study the level of a contemporary's ability to understand philosophy in accordance with its original way of being. The main tasks are: 1) assessment of the current situation of actively spreading innovative teaching of philosophy; 2) analysis of the thinking of a person who is in a position where, on the one hand, “competence-based philosophy” and “craft philosophy” are being strengthened, on the other hand, the philosophy of the academy is removed from classical universities as unnecessary - under the conditions of the global market; 3) view of philosophy as an absolute unity.Research methods: The research is based on the metatheoretical method, since it allows one to describe philosophy in an inalienable way, in accordance with its nature. Avoiding methodological confusion, metatheory makes it possible to examine philosophy formally and encourage thinking, testing its power.For reflection, the comparability of the experiences of philosophy in itself and of the involved philosophy is proposed.
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Drees, Martin. "Evolution and Emanation of Spirit in Hegel's Philosophy of Nature." Hegel Bulletin 13, no. 02 (1992): 52–61. http://dx.doi.org/10.1017/s026352320000286x.
Full textAbstract:
Having studied Hegel's philosophy, as it is epitomized in the Encyclopaedia, many scholars would be in agreement with David G Ritchie who, in his book on Darwin and Hegel (1893), remarked: “Everywhere in Hegel we read about Entwickelung; but of Evolution he does not speak in so friendly a manner.” Bearing in mind the distinction between “Entwicklung” (“development”) and “evolution” and recalling Hegel's criticism of conceptions of natural evolution in the initial section of the Philosophy of Nature, it is certainly not immediately evident why a serious scholar like John N Findlay should maintain that “if any philosopher is a philosopher of evolution, that philosopher is Hegel.” It can hardly be denied, however, that more recent studies in Hegel's philosophy can be used to support Findlay's statement to a certain extent. Not only has the relevance of Hegel's philosophy for an adequate understanding of organic life and its evolution been strongly emphasized; it has even been asserted that Hegel had at his disposal a concept of evolution essentially determining the methodic approach of his philosophy of nature. Now I would not venture to ascertain whether or not Hegel's concept of evolution is of present relevance for our understanding of nature and even less would I dare to decide on the hypothetical question whether or not Hegel, if he “had lived a little later, … would have given us an evolutionary, teleological theory of Nature as he did of mind in history.” In my paper, I would like to deal with a subject matter of more limited scope. Discussions concerning the systematic importance and present relevance of Hegel's concept of evolution tend to be somewhat vague and abstract as long as the meaning of “evolution” in Hegel's philosophy is anything but unequivocal. Therefore, I am going to attempt to outline a systematic reconstruction of the function of Hegel's concept of evolution within the conceptual framework of Hegel's encyclopaedic Philosophy of Nature. More precisely, I will try to elucidate: 1) the question whether or not Hegel's criticism of philosophic and scientific concepts of evolution led him to his own positive concept of evolution; 2) the question in what sense a specific Hegelian concept of evolution is relevant for the understanding of the notional development taking place between the logical “absolute Idea” and “subjective spirit”.
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Kotin, Andrey. "Zwischen Sinn und Wahnsinn. Die Metamorphosen des Ich im deutschen romantischen Märchen." Studia Germanica Gedanensia, no. 40 (December 22, 2019): 110–20. http://dx.doi.org/10.26881/sgg.2019.40.09.
Full textAbstract:
Im vorliegenden Beitrag wird der absolut-generalisierende Menschenbegriff auf das subjektiv-figurative Konzept des Individuums begrenzt. Im Unterschied zu der anthropologischen Philosophie früherer Epochen beschäftigten sich die Denker der Romantik viel intensiver mit dem Ich-Problem als mit der Definition des Menschen bzw. des Menschlichen. Die theoretischen Grundlagen dieser eifrigen Ich-Zentriertheit können besonders gut am Beispiel von Johann Gottlieb Fichtes subjektiven Idealismus beobachtet werden. Davon ausgehend werden die literarischen Manifestationen des Individuellen in den Kunstmärchen deutscher Romantiker (Ludwig Tieck, Adelbert von Chamisso) analysiert.
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Case, Holly. "Whose Absolutism?" Current History 120, no. 824 (March 1, 2021): 121–24. http://dx.doi.org/10.1525/curh.2021.120.824.121.
Full textAbstract:
Frederick the Great, king of Prussia, was an Enlightenment philosophe as well as an absolute monarch. His writings, available in a new translation, reveal a complex character and raise questions about government and autocracy in contemporary Europe.
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Leonardy, Heinz. "DE L'HOMME ET DE DIEU DANS LA PHILOSOPHIE DE MAX SCHELER." Veritas (Porto Alegre) 45, no. 1 (December 31, 2000): 51. http://dx.doi.org/10.15448/1984-6746.2000.1.35045.
Full textAbstract:
Este artigo procura apresentar asignificativa evolução das relações entre oHomem e o Absoluto no pensamento de MaxScheler. Num primeiro momento, o Homemdeve estar contente com ser, como se fosse umGottsucher, está em vias de ser, no posteriortrabalho, o verdadeiro sócio para um "futuroDeus". A história do homem e a história deDeus tende a ser somente uma única história.
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Cornette, Joël. "Genèse de l’état absolu XVIe–XVIIe siècle." Revue de synthèse 118, no. 2-3 (April 1997): 293–307. http://dx.doi.org/10.1007/bf03181354.
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Piché, Claude. "Fichte et la première philosophie de la nature de Schelling." Dialogue 43, no. 2 (2004): 211–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300003504.
Full textAbstract:
AbstractWhen we reconstruct Fichte's philosophy of nature of the Jena period, we notice striking similarities between the conception of organism in the Doctrine of Science and Schelling's corresponding developments in his early Naturphilosophie. Even though both thinkers agree to consider organic nature within the framework of transcendental idealism, it is nevertheless possible at this stage to discover slight differences in their interpretation which announce their future disagreement on the status of a philosophy of nature. If, for instance, organism for both Fichte and Schelling can be considered as an analogon of the absolute, much depends on whether they conceive this analogy from a practical or theoretical point of view.
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Shchedrina, Nelly M. "The ‘Principle of absolute doubt’ in Mark Aldanov’s oeuvre." Izvestiya of Saratov University. New Series. Series: Philology. Journalism 21, no. 1 (March 25, 2021): 111–13. http://dx.doi.org/10.18500/1817-7115-2021-21-1-111-113.
Full textAbstract:
The reviewed monograph of T. I. Dronova presents a multi-layered analysis of M. A. Aldanov’s oeuvre: from the principles of philosophical and historical cognition to narrative strategies. The approach to the legacy of the philosopher and writer suggested by the author allows to reveal the type of his artistic thought and the nature of his dialogue with the predecessors in a very convincing and in many ways novel way.
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Criddle, A. H. "The chronology of Nicomachus of Gerasa." Classical Quarterly 48, no. 1 (May 1998): 324–27. http://dx.doi.org/10.1093/cq/48.1.324.
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Girard, Charles. "La liberté d’expression est-elle un droit absolu ?" Revue de métaphysique et de morale N° 116, no. 4 (October 26, 2022): 477–95. http://dx.doi.org/10.3917/rmm.224.0477.
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Hellmann, André. "Geschäftsmodelle im Web2.0 – Logische Konsequenz oder absolute Antagonie? (Web2.0-business Models – Logic Consequence or Categoric Antagony)." i-com 6, no. 1 (May 2007): 33–37. http://dx.doi.org/10.1524/icom.2007.6.1.33.
Full textAbstract:
Mit dem Internet Geld zu verdienen ist, ein Thema seit dessen Erfindung. In der ersten Welle war vor allem die Anbindung von Haushalten an die teure Infrastruktur ein schnell wachsender Markt. Weitere Modelle wurden schnell durch Handel, Werbung und Kommunikation adaptiert. Doch nach dem Scheitern der „New Economy” war die Luft erst einmal draußen und die Investitionsbereitschaft sank auf ein Minimalmaß. Nun soll mit neu gemischten Karten und einer gänzlichen neuen Philosophie das Internet nochmals erobert werden. Welche Chancen „Web2.0” hat und was seine Rolle dabei sein kann soll im Folgenden erörtert werden.
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DEPRÉ, Olivier. "De la liberté absolue." Revue Philosophique de Louvain 94, no. 2 (May 1, 1996): 216–42. http://dx.doi.org/10.2143/rpl.94.2.541805.
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Lærke, Mogens. "Immanence et extériorité absolue." Revue philosophique de la France et de l'étranger 134, no. 2 (2009): 169. http://dx.doi.org/10.3917/rphi.092.0169.
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De Boer, Karin. "The Infinite Movement of Self-Conception and Its Inconceivable Finitude: Hegel on Logos and Language." Dialogue 40, no. 1 (2001): 75–98. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300049064.
Full textAbstract:
RésuméBien que Hegel soit parfaitement conscient du fait que l'activité de penser nepuisse devenir ce qu'elle est que dans etpar le langage, on peut dire qu'ila préservé une distinction hiérarchisée entre la pensée et le langage dans lequel elle s'exprime. Dans le but de clarifier ce qu'il veut dire exactement lorsqu'il distingue entre, d'un côté, la totalité des concepts purs et, de l'autre, le langage, la première partie du présent article—qui en est aussi la plus longue—fournit une interprétation deplusieurs textes de Hegel sur le rapport entre la pensée pure et le langage, et montre pourquoi la conception qu'il se fait de cette relation est plus difficile à critiquer qu'on ne l'a souvent cru. L'article part de la conception hégélienne du concept absolu et, après avoir briévement esquissé la relation entre la Logique et la philosophic de la nature et de l'esprit, examine divers passages sur le langage, tirés, entre autres, des leçons sur la philosophic de l'histoire mondiale. La deuxième partie de l'article propose—dans une veine heideggérienne—une perspective à partir de laquelle une déconstruction des présupposés de base de cette conception pourrait avoir quelque chance de succès.
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Kamburov, Ivan. "The Ontological Choice of the Philosopher." Filosofiya-Philosophy 31, no. 3 (2022): 219–30. http://dx.doi.org/10.53656/phil2022-03-02.
Full textAbstract:
The text reveals the approaches of the philosopher as a thinker to be in the being. Two possible paradigms for achieving the absolute as a form of philosophizing are presented. One is related to the school-academic historicalphilosophical approach, and the other is related to metaphysical experience as an act. The thesis is asserted that the metaphysical goal is achievable only as an individual practical experience of transcendence through the action of the thinker conceived as a precedent. The understanding is argued that it is in the metaphysical act that the thinker objectifies philosophical wisdom, not just the love of philosophy.
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Resweber, Jean-Paul. "Le champ de l’herméneutique." Thème 10, no. 2 (August 25, 2004): 55–78. http://dx.doi.org/10.7202/008883ar.
Full textAbstract:
Résumé Du point de vue de la démarche philosophique, l'a. présente trois trajectoires herméneutiques distinctes, pour en déterminer les points d'articulation et les convergences: la phénoménologie (Husserl, Heidegger, Gadamer, Ricoeur), la psychanalyse (Freud, Lacan), la théologie (Bultmann, Derrida). Quelques « lieux communs » de l'herméneutique apparaissent alors: traversée et quête renouvelée d'une compréhension où il n'y a point de vérité absolue, écriture codée du texte ou des inscriptions vécues et écriture parlée du dialogue philosophique ou analytique, tension entre le littéral et le figuré, compréhension perçue comme traduction et compréhension perçue comme écoute, partage sur la question du fondement, rapport privilégié entre le récit et la configuration temporelle de la vérité, et précarité du sujet-interprète douloureusement éprouvée par le sujet de la théologie.
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Ströker, Elizabeth. "En torno a la problemática de la fundamentación última en la fenomenología de Husserl." Areté 3, no. 2 (January 30, 1991): 253–77. http://dx.doi.org/10.18800/arete.199102.004.
Full textAbstract:
El presente trabajo se propone sobre todoinvestigar la pretensión de autofundamentaciónúltima de la femenología manifiesta en autodenominacionesequívocas como las de "cienciaestricta", "ciencia de orígenes y fuentes"últimas e incondicionales, "filosofía primera" o"ciencia de fundamentación absoluta". Elsentido de la ciencia estricta se aclara en dosdirecciones: por un lado fundamentación absolutano significa validez absoluta de lo fundadopor ella sino más bien retomo a un fundamentoinfranqueable, a una "base última"; y, por otrolado, la donación absolUla de la objetividad delconocimiento no significa conocimientoinconmovible pues los análisis fenomenológicosson inacabados. Precisamente su carácter históricamentecondicionado empuja a lafenomenología a querer ser filosofía primera,es decir filosofía de fundamentos absolutos apartir de una autofundamentación absoluta ( einePhilosophie absoluter Begründung ausabsolUler Selbsthegründung), idea que estarávinculada con la autorresponsabilidad del filósofo,comprometido con la idea de la verdad.
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Small, Robin. "Absolute Becoming and Absolute Necessity." International Studies in Philosophy 21, no. 2 (1989): 125–34. http://dx.doi.org/10.5840/intstudphil198921275.
Full text
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Blanc, Mafalda de Faria. "Henologia e Constituição Espiritual do Princípio." Philosophica: International Journal for the History of Philosophy 10, no. 19 (2002): 311–42. http://dx.doi.org/10.5840/philosophica20021019/2019.
Full textAbstract:
Dans un premier temps, l’Hénologie, entendue au sens néo-platonicien d’une interprétation méontologique du fondement de l’étant, est présentée dans son développement historique comme une possibilité qui toujours se présente à la réflexion philosophique sur le Principe en alternative à l’Onto-théo-logie. Dans un deuxième moment, l’Hénologie est entendue comme une pensée de la génèse et de la justification de l’existence, où l’homme, compris comme liberté et action - dans la tradition spéculative de l’Idéalisme Allemand - est pris dans son rôle central comme le médiateur universel de l’esprit, le rédempteur même de l ’Absolu dans sa volonté d’existence.
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Gorenko, Oleg. "Human Being in History vs History in Human Being – Part 2: Recipe of Unity of History and Life from Benedetto Croce." Mìžnarodnì zv’âzki Ukraïni: naukovì pošuki ì znahìdki, no. 29 (November 10, 2020): 248–72. http://dx.doi.org/10.15407/mzu2020.29.248.
Full textAbstract:
This article continues the author’s study initiated in the previous number of a given collection. It also regards the specific problem of interconnection between history and psychology. However, in this sequel the main accent is on the style of thinking and value criteria of Benedetto Croce, who is an outstanding European theoretician and methodologist in the sphere of History, original philosopher, authoritative connoisseur of Culture and Arts, an unswerving supporter of high ideals of Italian Risorgimento. The concept of absolute historicity, grounded by the scholar on the basis of deep philosophic probation into mechanisms of historic thinking, had a significant impact both on further development of historic theory and on the formation of new understanding of a role of historic experience for social practice of a full-fledged democracy. Croce’s works help to comprehend the paradoxy of a phenomenon of historic consciousness, which is always modern by its nature. It remains modern irrespective of whatever temporal layers it resurrects at each particular moment of human life. Historic consciousness is an important component of psychologic reality of any human being and that is why it requires a subtle feeling of profound homogeneity. It’s important not to forget that historic consciousness preserves a considerable potentiality of an actual impact on human behaviour in particular and on communicative processes within the frames of society in general. It proves the fact that history is always with the human being and within him. That is why historic policy on the stage of democratic transformation should be especially grounded and should be characterized by a high level of psychologic culture
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Aschenbroich, Gregory. "« Que reste-t-il du savoir absolu ? ». L’hégélianisme de Derrida." Les Études philosophiques N° 139, no. 4 (October 7, 2021): 85–103. http://dx.doi.org/10.3917/leph.214.0085.
Full text
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Gouin, Jean-Luc. "La raison comme lemme philosophique ou « Der Instinkt der Vernünftigkeit » — pour accoster Hegel." Articles 23, no. 2 (August 7, 2007): 285–303. http://dx.doi.org/10.7202/027397ar.
Full textAbstract:
RÉSUMÉ Bien que l'on associat traditionnellement pensée hégélienne et affirmation péremptoire de la rationalité de la réalité (die Vernünftigkeit der Wirklichkeit), il n'est pas inopportun de tenter de saisir le fil d'Ariane qui, progressivement, conduit le philosophe de l'Idéalisme absolu à littéralement arraisonner la Raison. On comprendra dès lors que cette Raison est peut-être moins un FIAT originel né de l'arbitraire - fût-il celui, génial, d'un puissant esprit pensant - qu'une simple CONSTANTE du réel : nous sommes de raison dans la Raison. Aussi, lutter contre celle-ci constitue sans doute non tant un acte de Liberté que d'entêtement Reste donc à s'en faire une alliée. Il nous faut épouser Athéna - et cultiver die Rose im Kreuze der Gegenwart, la rose dans la croix du présent.
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Grigoletto, Lorena. "LES GOUVERNANTES-PHILOSOPHES. LA FEMME ENTRE FAMILLE ET ÉTAT DANS LA RÉPUBLIQUE DE PLATON ET DANS L'HYPER-TRADUCTION DE BADIOU." Revista Internacional de Culturas y Literaturas, no. 15 (2014): 190–99. http://dx.doi.org/10.12795/ricl.2014.i15.16.
Full textAbstract:
Comment penser à l’égalité et à la différence entre les genres au domaine politique ? Dans La République de Platon Socrate-Badiou, dans son dialogue avec le personnage féminin d’Amaranta, il critique les conséquences de cet égalité absolue entre les gouvernants - philosophes établie il y a plus de deux mille ans par le Socrate de Platon. De cette façon, la femme semble acquérir le papier symbolique d’articulation entre une dimension publique et privée