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Journal articles on the topic 'Adaptation scolaire – Enseignement secondaire'

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Hardy, Marcelle, and Pierre Côté. "Appropriation du savoir scolaire des fils et des filles d’ouvriers, d’agriculteurs et d’artisans." Revue des sciences de l'éducation 12, no. 3 (December 7, 2009): 345–60. http://dx.doi.org/10.7202/900539ar.

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Abstract:
Résumé La dynamique de l’appropriation du savoir scolaire est expliquée, ici, à partir du rapport au savoir scolaire des fils et des filles d’ouvriers, d’agriculteurs et d’artisans classés en enseignement général ou professionnel long en les comparant à leurs confrères et consoeurs du secondaire pratique ou professionnel court. Le sens de l’expérience scolaire est scruté en termes de valorisation/dévalorisation de soi dans l’appropriation du savoir pour soi et d’un savoir social, d’implication/résistance au procès de socialisation scolaire, de distance socio-culturelle entre l’école et la famille. Ceci conduit à une analyse de la concurrence entre la socialisation scolaire et la socialisation professionnelle plus manifeste chez les garçons de la formation professionnelle longue.
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Gagnon, Nicole. "L'idéologie humaniste dans la revue L'Enseignement secondaire." Articles 4, no. 2 (April 12, 2005): 167–200. http://dx.doi.org/10.7202/055181ar.

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Abstract:
On peut étudier une idéologie scolaire sous deux aspects : le contenu de l'éducation où se trouve de façon concrète cette vision idéale de la culture ; et le système d'éducation, ou mécanisme de transmission de la culture, à travers lequel on devrait rejoindre le cœur même de la vision du monde d'une société. J'ai choisi ici d'étudier l'idéologie scolaire de la société canadienne-française seulement sous le premier aspect qui est logiquement antérieur au second. J'aborde cette idéologie par le niveau secondaire (enseignement classique) dont le clergé enseignant a eu, jusqu'à tout récemment, le monopole. On a ainsi un groupe de support bien défini : les « prêtres-éducateurs », professeurs de séminaires et de collèges classiques. Leurs conceptions sont formulées dans L'Enseignement secondaire, « revue des comités permanents des maisons d'enseignement secondaire affiliées à l'Université Laval et (après la séparation des deux universités) à l'Université de Montréal, sous la direction des Supérieurs des collèges affiliés ». Je prendrai comme point de départ l'idéologie telle qu'on la trouve au début de la revue, abstraction faite de son histoire antérieure, et je l'appellerai idéologie primitive, par rapport à l'évolution subséquente que je veux ici retracer.
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Turcotte, Paul-André. "Sécularisation et modernité: les frères éducateurs et l'enseignement secondaire public, 1920-1970." Recherche 30, no. 2 (April 12, 2005): 229–48. http://dx.doi.org/10.7202/056439ar.

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Abstract:
Dans l'entre-deux-guerres, des congrégations masculines lancent le projet d'un enseignement secondaire public donnant accès à l'université, pour ainsi produire les compétences nécessaires à la reconquête canadienne-française de l'économie. Elles redéfinissent alors un nationalisme, imprégné de religion, en fonction de la modernisation «technicoscientifique». Ce faisant, elles entrent en conflit avec les collèges classiques, et ce, jusqu'à la réforme scolaire étatique de 1964. En même temps, elles ont dû composer avec la sécularisation à laquelle elles ont contribué et résisté tout à la fois.
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André, Bernard, Méliné Zinguinian, and Pascal Golay. "La triangulation dans l’évaluation des stages en enseignement: une comparaison des pratiques au primaire et au secondaire." Swiss Journal of Educational Research 41, no. 1 (April 3, 2019): 79–98. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.41.1.7.

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Abstract:
Cet article présente les pratiques de triangulation dans l’évaluation des stages par des formateurs et formatrices en établissement scolaire des degrés primaire et secondaire dans un canton suisse. L’analyse statistique des 311 questionnaires récoltés montre que même si l’expérience est la première référence de ces formateurs et formatrices, ils et elles procèdent à des triangulations avec des textes officiels comme le plan d’études qui régit l’enseignement de leur-s discipline-s et le référentiel de compétences des stagiaires ainsi que, dans une moindre mesure, avec le contenu d’ouvrages théoriques. Les formateurs et formatrices des degrés primaire et secondaire se distinguent dans ces pratiques de triangulation, notamment sur la place accordée à l’intersubjectivité.
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Emery-Bruneau, Judith, and Camille S. Leclerc. "Expériences poétiques d’étudiants en formation initiale en enseignement du français au secondaire québécois." Language and Literacy 20, no. 2 (May 23, 2018): 20–39. http://dx.doi.org/10.20360/langandlit29358.

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Abstract:
Quel rapport à la poésie les étudiants en formation initiale à l’enseignement du français au secondaire québécois entretiennent-ils? Quelles sont leurs conceptions de la poésie, leur manière de lire un recueil de poésie contemporaine et d’écrire un poème? Nos résultats d’enquêtes montrent le très lourd poids de la tradition scolaire qui pèse sur les étudiants et qui semble les empêcher de se distancier afin d’éviter de reproduire des pratiques plus scolaires qu’expérientielles ou esthétiques. Nous proposons quelques pistes de formation qui leur permettront de vivre des expériences poétiques variées, déstabilisantes, satisfaisantes, fructueuses et complexes afin de les amener à enseigner autrement la poésie.
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6

Genoud, Philippe A., Guillaume Ruiz, and Jean-Luc Gurtner. "Evolution de la motivation scolaire des adolescents: différences selon la filière et le genre." Swiss Journal of Educational Research 31, no. 2 (September 1, 2009): 377–96. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.31.2.5100.

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Abstract:
Cet article propose une analyse de l’évolution de la motivation d’adolescents en contexte scolaire. L’accent est mis sur les différences qui peuvent être observées dans cette évolution en fonction du genre et de la filière d’étude (regroupement selon le niveau de compétence) des élèves. Quatre dimensions de l’Echelle multidimensionnelle de motivation pour les apprentissages scolaires (EMMAS, Ntamakiliro, Monnard & Gurtner, 2000) ont été testées auprès de 332 élèves des deux sexes et des trois degrés du cycle d’orientation (enseignement secondaire inférieur). Ces dimensions sont la volonté d’apprendre, l’attrait de l’école, le sentiment de compétence et l’anxiété face aux évaluations. Nos résultats montrent que si la motivation diminue globalement au cours des trois années de la scolarité secondaire quelle que soit la dimension considérée, elle s’avère manifestement différente selon la filière d’étude et selon le genre. Un effet d’interaction entre genre, degré et filière est également observé sur la dimension du sentiment de compétence. Ces résultats démontrent l’utilité de prendre en compte ces trois paramètres si l’on veut comprendre la motivation des élèves et la soutenir durant la phase critique de l’adolescence.
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Campeau, Diane. "Lien entre réel et virtuel : enseignement de la géographie et construction de la conscience citoyenne." Articles 51, no. 2 (January 9, 2017): 733–44. http://dx.doi.org/10.7202/1038600ar.

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Abstract:
Cette recherche-développement réalisée dans le cadre d’une maîtrise en éducation avait pour but de voir si une approche utilisant l’environnement local pour réaliser l’apprentissage des concepts de géographie, permettait à des élèves du secondaire en classe d’adaptation scolaire, de développer les compétences du programme. La pédagogie autochtone, la pédagogie du lieu « place-based », de même que l’écoformation ont constitué les fondements théoriques qui ont étayé la proposition d’élaboration de situations d’apprentissage conçues et expérimentées selon deux modèles, dont l’un pour lequel on a utilisé le milieu de vie des élèves en alternance avec le virtuel. Les conclusions de la recherche sont présentées au regard de la construction d’une conscience citoyenne et du rôle du virtuel dans la proposition.
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Beaucher, Chantale. "Le rapport au savoir d’enseignants-étudiants en enseignement professionnel au Québec : étude de cas." Nouveaux cahiers de la recherche en éducation 13, no. 1 (July 30, 2013): 63–81. http://dx.doi.org/10.7202/1017461ar.

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Abstract:
Les enseignants de formation professionnelle au secondaire au Québec sont des experts de métier ayant développé au fil des ans des compétences professionnelles qui leur valent d’être recrutés par les centres de formation professionnelle. Or, une fois en poste, ils sont tenus de s’inscrire à un programme de formation des maitres à l’université. Le parcours scolaire initial de ces étudiants-enseignants ne laissait souvent pas présager d’une telle possibilité. Quelle est alors la nature du rapport au savoir de ces enseignants de formation professionnelle engagés dans un programme de formation des maitres à l’Université de Sherbrooke ? Le rapport au savoir de trois personnes est décrit dans cet article : celui d’un étudiant qualifié de craintif, celui d’un enthousiaste et celui d’un persévérant.
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DÉRY, Chantal, and Éric MOTTET. "Quelle vision du Nord québécois dans les programmes de géographie au primaire et au secondaire ?" Cahiers de géographie du Québec 61, no. 173 (July 4, 2018): 273–92. http://dx.doi.org/10.7202/1049373ar.

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Au moment où l’on parle abondamment du Nord québécois dans l’actualité politique et sociale, la question de son enseignement est absente des débats. Afin de mieux faire comprendre comment la nordicité est traitée dans le système scolaire québécois (primaire et secondaire), nous présentons dans cet article une analyse de contenu des programmes de géographie et d’un échantillon de matériel didactique utilisé dans les classes du Québec. Les premiers résultats tendent à montrer que le Nord québécois est peu présent dans les programmes et les manuels de géographie. Lorsque cette présence se fait sentir, c’est l’histoire du Nord québécois et des Inuit qui est présentée, davantage que les enjeux contemporains. De plus, les contenus sont souvent morcelés et on présente le Nord québécois comme un « ailleurs » sans véritable relation avec le Québec méridional, tout en perpétuant une certaine vision mythique du Nord.
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ECHARGHAOUI, Mohammed. "Les Difficultés d’adaptation psychosociale et les aptitudes intellectuelles chez les élèves à risque d’échec scolaire." Journal of Quality in Education 11, no. 17 (May 5, 2021): 204–30. http://dx.doi.org/10.37870/joqie.v11i17.257.

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Abstract:
Cette étude vise à déterminer les difficultés d’adaptation psychosociale, d’identifier les aptitudes intellectuelles chez les élèves à risque d’échec scolaire et de chercher profondément les facteurs d’adaptation psychosociale ayant un pouvoir discriminatif. L’échantillon se formait de certains élèves au niveau secondaire, présentant des risques d’échec scolaire. On s’est servi de six subtests de la Batterie NV7. A l’issue d’un ensemble d’analyses, on a constaté que la majorité des élèves à risque d’échec scolaire présente de moyennes aptitudes intellectuelles qui diffèrent selon le sexe et le niveau scolaire. Ces derniers ont des difficultés psychosociales au niveau du sentiment de compétence, de la volonté d’apprendre en français, de l’avantage à décrocher, du climat éducatif et de l’estime de soi. La volonté d'apprendre, le sentiment de compétence en français & en mathématiques, et l’attrait envers l'école influencent leur adaptation.
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Debeurme, Godelieve, Line Laplante, and Jacynthe Turgeon. "Pratiques orthodidactiques pour une formation professionnalisante." Nouveaux cahiers de la recherche en éducation 8, no. 1 (August 26, 2013): 131–50. http://dx.doi.org/10.7202/1018162ar.

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Abstract:
Dans cet article, il est rendu compte, à l’aide d’une étude de cas, de certaines pratiques orthodidactiques du français préconisées dans le programme de formation du baccalauréat en adaptation scolaire et sociale de l’Université de Sherbrooke. Il s’agit d’une expérience de terrain vécue par une étudiante sous la supervision d’une des autrices de ce texte. Elle s’est déroulée à la Clinique Pierre-H. Ruel, lieu d’apprentissage du département d’adaptation scolaire et sociale où l’occasion est donnée aux étudiantes et étudiants de diagnostiquer des difficultés d’apprentissage d’élèves du primaire ou du secondaire — en l’occurrence en français —, d’en préciser la nature et de préparer des interventions adéquates afin de remédier aux difficultés.
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Larochelle-Audet, Julie. "Conceptions de la diversité ethnoculturelle dans la formation en enseignement au Québec : un exercice de mise en visibilité des rapports sociaux de race." Éducation et francophonie 46, no. 2 (January 18, 2019): 73–91. http://dx.doi.org/10.7202/1055562ar.

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Abstract:
Vingt ans après l’adoption de la Politique d’intégration scolaire et d’éducation interculturelle (Ministère de l’Éducation, 1998), sa transposition dans les programmes de formation initiale en enseignement fait l’objet d’un bilan mitigé (Larochelle-Audet, Magnan, Potvin et D’Arrisso, 2018). Alors que des discours racistes se banalisent dans l’espace public (Potvin, 2008, 2016), les lacunes constatées dans la formation mettent en question les limites de ces orientations pluralistes. Cet article se penche en particulier sur les conceptions et les usages de la notion de diversité ethnoculturelle dans la formation en enseignement, et plus largement dans l’institution éducative québécoise. Il présente les résultats d’une analyse secondaire de données initialement collectées dans le cadre d’une recherche de maîtrise auprès de neuf professeures de trois universités francophones (Larochelle-Audet, 2014a). À partir d’outils conceptuels du féminisme matérialiste, des fragments permettant de voir les rapports sociaux de race sont assemblés de manière à révéler comment ces rapports sont à la fois dissimulés et réifiés par cette notion. Cet exercice de mise en visibilité s’intéresse successivement à la diversité ethnoculturelle comme contenu de formation, comme propriété de certains groupes de personnes et, enfin, comme voile s’inscrivant dans une logique d’effacement du racisme (Dhume, El Massioui et Sotto, 2016).
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CHOPIN, Cyrille, and Sylvain GENEVOIS. "Géomatique et enseignement secondaire. De l’accès à l’information géographique à la construction de jeux de données adaptés au contexte scolaire." Ingénierie des systèmes d'information 22, no. 5 (May 28, 2017): 35–52. http://dx.doi.org/10.3166/isi.22.5.35-52.

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Hallion, Sandrine, and François Lentz. "Écouter et se conscientiser pour mieux se dire : l’exploitation pédagogique d’un corpus de français oral." Cahiers franco-canadiens de l'Ouest 27, no. 1 (June 22, 2015): 3–34. http://dx.doi.org/10.7202/1031240ar.

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Abstract:
Un corpus de plus de quatre-vingts heures d’entrevues a été recueilli à la fin de la décennie 2000 auprès de francophones de quatre localités rurales manitobaines. Ce corpus constitue une ressource inestimable pour un enseignement du français basé sur du discours authentique et pour un travail spécifique à mener sur l’oral, en particulier sur la variation linguistique. C’est avec le souci de valoriser la forme première d’expression langagière que constitue l’oral et la «couleur» que cette langue orale revêt au Manitoba qu’un outil didactique basé sur des extraits du corpus a été élaboré, à l’intention principalement des enseignants de français langue première au cycle secondaire. L’article en explicite le contexte didactique, les objectifs et la démarche à partir de la présentation d’exploitations pédagogiques de ces extraits, dont de nombreuses sont axées sur la conscientisation. En milieu francophone minoritaire, valoriser, en contexte scolaire, «l’oral d’ici» est affecté d’enjeux déterminants: sensibiliser les élèves à l’importance stylistique et identitaire des variétés vernaculaires, faire valoir la fonction identitaire de l’oral et, plus fondamentalement, contribuer à construire chez les élèves un rapport positif à la langue française, condition nécessaire pour qu’ils se perçoivent comme les bâtisseurs de l’espace francophone.
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Leclerc, Martine, Ruth Philion, Catherine Dumouchel, Dominique Laflamme, and François Giasson. "La direction d’école comme pilier à l’implantation de la communauté d’apprentissage professionnelle chez les enseignants en adaptation scolaire au secondaire." Éducation et francophonie 41, no. 2 (December 18, 2013): 123–54. http://dx.doi.org/10.7202/1021030ar.

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Abstract:
Cette recherche porte sur l’implantation d’une communauté d’apprentissage professionnelle chez des enseignants en adaptation scolaire au secondaire, lesquels partagent la volonté de rehausser la réussite de leurs élèves en lecture. L’étude vise à comprendre de quelle façon la direction d’une école favorise l’implantation de ce mode de fonctionnement. Les données issues des entrevues semi-dirigées individuelles et de groupe montrent que la direction d’école joue un rôle clé dans ce processus et que certaines actions sont cruciales, notamment celles qui consistent à mobiliser le personnel autour d’une vision commune, à fournir les conditions nécessaires et à instaurer une pratique réflexive où les données issues des apprentissages des élèves occupent une place centrale. Certains défis doivent également être surmontés par les directions d’école, entre autres la surcharge de travail occasionnée par ce mode de fonctionnement. Cette étude saura profiter aux gestionnaires scolaires intéressés par le travail en communauté d’apprentissage professionnelle en vue d’améliorer la réussite éducative.
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Rivard, Léonard P., and Ndeye R. Gueye. "Une formation continue en littératie destinée aux enseignants en sciences de la nature oeuvrant en situation minoritaire : que disent les divers acteurs?" Cahiers franco-canadiens de l'Ouest 27, no. 1 (June 22, 2015): 57–103. http://dx.doi.org/10.7202/1031242ar.

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Abstract:
Le projet de «littératie en salle de classe de sciences de la nature» était un programme de perfectionnement professionnel de trois ans destiné aux enseignants francophones du secondaire qui travaillent en milieu minoritaire. Cette formation continue privilégiait les liens entre la langue et les sciences et voulait sensibiliser ces enseignants quant à l’importance de tenir compte de la langue dans leur enseignement. Notre but était de leur montrer comment utiliser une panoplie de stratégies efficaces afin qu’ils puissent transformer leur pratique en salle de classe pour faire lire, écrire et parler les élèves dans l’apprentissage des sciences. Notre objectif de recherche était de déterminer comment les croyances et les pratiques des enseignants ont changé au fil du temps et comment ces dernières ont été mises en oeuvre dans différentes classes. Nous voulions également cerner les défis et les éléments facilitateurs à la mise en oeuvre de ces stratégies et pratiques en littératie dans la classe, à l’école et à la division scolaire. Seules les entrevues auprès des enseignants, des élèves, des directions d’école ainsi que d’autres acteurs en éducation impliqués dans le projet ont fait l’objet d’une analyse dans le présent article. L’analyse des entrevues auprès des enseignants a révélé que les changements par rapport à leurs croyances et à leurs pratiques étaient progressifs et directement corrélés avec le taux de participation aux séances de formation.
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Tremblay-Gagnon, Delphine. "L'offre de cours relatifs à l'adolescence dans les programmes de formation à l'enseignement au secondaire et en ÉPS au Québec." Sens public, October 3, 2017. http://dx.doi.org/10.7202/1048832ar.

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Abstract:
Lorsque les élèves entrent au secondaire, ils doivent non seulement assurer leur réussite académique, mais expérimentent aussi de nombreux changements biologiques, sociaux et psychologiques qui affectent intimement leur expérience scolaire. Les enseignants, dans leurs façons d’interagir et d’enseigner, influencent directement cette expérience et la vie de leurs élèves: ils doivent enseigner la matière, gérer leur classe, atteindre les objectifs du Ministère de l’Éducation, des Loisirs et du Sport (MELS) du Québec, tout en composant avec des élèves en pleine maturation. De plus, comme dans toute profession, une base de savoir pour enseigner est nécessaire: nous pensons donc que la connaissance des élèves adolescents est primordiale dans la pratique enseignante, puisque l'élève est au coeur de l'enseignement. Ainsi, considérant l'importance de cette période de la vie et des savoirs aux fondements de la formation en enseignement, nous nous demandons: comment les connaissances relatives à l'adolescence et à l'élève adolescent sont-elles intégrées dans les programmes québécois de formation à l'enseignement au secondaire?
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Fraisse, Emmanuel. "ENSEIGNEMENT DE LA LITTÉRATURE : ASPECTS FRANÇAIS D’UNE CRISE MONDIALE." Gragoatá 19, no. 37 (December 19, 2014). http://dx.doi.org/10.22409/gragoata.v19i37.32993.

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Abstract:
Pour avoir fait des études littéraires un outil décisif de son projet éducatif et national, la France, avec un certain retard par rapport à d’autres pays occidentaux, est aujourd’hui conduite à réviser la place de la littérature dans l’ensemble de son dispositif de formation. Les réponses qu’elle donne à la crise de l’enseignement de la littérature et de son rayonnement social diffèrent selon les degrés d’enseignement. Dans l’enseignement scolaire obligatoire (jusqu’à 16 ans), on observe une prise en compte de la notion de compétence ; l’enseignement secondaire long (16-18 ans) a connu une rénovation partielle mais réelle au plan des objets et des méthodes au cours de ces dernières années. En revanche, l’université apparait plus conservatrice et la marche vers l’invention d’ « humanités contemporaines » est entravée par un enchevêtrement de facteurs au premier rang desquels la peur du nouveau et le sentiment de la crise. Or, en France comme dans le reste du monde, c’est la capacité à dessiner sans préjugés le visage des futures études culturelles qui est en jeu, et à travers elle le développement de nouveaux objets, de nouveaux exercices, de nouvelles méthodes et d’une véritable interdisciplinarité.--------------------------------------------------------------------------------ENSINO DE LITERATURA: ASPECTOS FRANCESES DE UMA CRISE GLOBALComo a França fez dos estudos literários um instrumento decisivo do seu projeto educativo e nacional, hoje, com um certo atraso em relação a outros países ocidentais, ela se vê levada a rever o lugar da literatura no conjunto de seu dispositivo de formação. As respostas que ela dá à crise do ensino de literatura e de seu alcance social são diferentes, segundo o nível de ensino. No ensino escolar obrigatório (até 16 anos), observa-se uma tomada de consciência da noção de competência; o ensino secundário longo (16-18 anos) sofreu uma renovação parcial, mas real, em relação aos objetos e métodos, durante os últimos anos. Por outro lado, a universidade é mais conservadora, e o avanço para a invenção das <<humanidades contemporâneas>> é travado por um conjunto de fatores, dos quais o primeiro seria o medo da novidade e o sentimento da crise. Ora, na França, como no resto do mundo, o que está em jogo é a capacidade de enfrentar, sem preconceitos, a imagem dos futuros estudos culturais, e, através dela, o desenvolvimento de novos objetos, de novos exercícios, de novos métodos e de uma verdadeira interdisciplinaridade.---Artigo em francês.
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Houde, Sylvie, and Jean-Claude Kalubi. "Besoins perçus et adaptation des démarches d’enseignement: le cas de l’enseignement des sciences et technologies au secondaire." Brock Education Journal 19, no. 1 (July 1, 2009). http://dx.doi.org/10.26522/brocked.v19i1.121.

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Abstract:
Cet article traite de l’adaptation des démarches d’enseignement en cours d’action, adoptées par les enseignants des sciences et technologies de l’école secondaire. Il vise à comprendre les processus dynamiques de l’adaptation de l’enseignement. Il s’appuie sur des données qui ont été obtenues grâce à un protocole de recherche qualitative axé sur des techniques de groupes de réflexion. Les résultats de la recherche mettent en évidence l’hétérogénéité des parcours d’adaptation des enseignants. Ils soulignent la nécessité du professionnalisme de l’enseignant des sciences et technologies. Ils suggèrent de prendre en considération la complexité des besoins d’adaptation. Ceux-ci commandent en définitive la compatibilité entre les démarches de l’enseignant et les besoins de ses élèves. Le processus d’adaptation est aussi guidé par le plaisir de la reconnaissance, les rapports de l’enseignant aux savoirs, de même que par la défense des valeurs collectives.Mots clé: adaptation de l’enseignement, perception des besoins, enseignement des sciences et technologies This article deals with the adjustment of teaching approaches made by high school science and technology teachers while teaching. It aims at achieving a better understanding of the dynamic processes of teaching adjustment. It relies on a qualitative methodology using focus groups. Data analysis shows the multiplicity of ways that teachers use to adjust their teaching. It stresses out the importance of science and technology teachers’ professionalism and suggests taking into account the complexity of teacher and student needs in the equation of teaching adjustment. Those needs call for an increased compatibility between teaching approaches and students’ needs. The adjustment of teaching approaches is also related to the quest for recognition, the teacher relationship with knowledge and the collective values in place. Keywords: Teaching adjustment, students and teachers needs, science and technology teaching
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Hindriks, Jean, and Marijn Verschelde. "Numéro 77 - février 2010." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15403.

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Abstract:
L’enseignement en Belgique est un des plus inégalitaire au monde. La réussite scolaire est fortement dépendante de l’origine sociale des élèves. Le «décret inscriptions» en Communauté française et le GOK en Communauté flamande agitent l’opinion publique, mais passent sous silence le fait que les élèves de famille modeste sont avant tout victimes des réorientations en cascade. Dans ce numéro de Regards économiques, nous cherchons notamment à comprendre pourquoi, dans les deux Communautés linguistiques, les résultats scolaires sont aussi dépendants de l’origine sociale des élèves. En fait presque 60 % des écarts de résultats sont liés à l’origine sociale des élèves. D’où le titre de ce communiqué de presse, «la réussite en héritage». Notre recherche s’appuie sur les données de l’enquête PISA 2006 avec un échantillon de 4.125 élèves dans 269 écoles flamandes et 2.211 élèves dans 176 écoles francophones. Cette recherche a révélé que c’est la sélection entre écoles et filières qui contribue à faire de notre enseignement un des plus inégalitaire au monde. Au moment où les discussions sur l’égalité des chances se concentrent presque exclusivement sur les modes d’organisation des inscriptions et le financement différencié, il nous a semblé utile de revenir sur ces résultats. La fracture sociale par les filières Notre analyse révèle que les systèmes scolaires flamands et francophones sont très mauvais en matière d’égalité des chances. Des deux côtés de la frontière linguistique, les niveaux de ségrégation sociale sont les plus élevés d’Europe et la mobilité sociale (ou ascenseur social) est en panne. La ségrégation se fait à la fois entre filières et entre établissements scolaires. La Communauté française a le taux de ségrégation sociale le plus élevé au monde derrière la Hongrie et le Mexique. En fait il faudrait déplacer plus de 40 % des élèves de familles modestes pour obtenir une véritable mixité sociale. La moitié des élèves se trouve reléguée dans des filières techniques ou professionnelles dont les performances sont nettement inférieures à la filière générale. Un enfant de famille modeste a presque quatre fois plus de risque de se trouver dans l’enseignement professionnel qu’un enfant socialement favorisé. Ce risque est le même dans les deux Communautés linguistiques. En Communauté française, plus de la moitié des enfants de famille modeste sont en retard scolaire contre moins d’un quart en Flandre. Mais si on double moins souvent dans l’école flamande c’est parce que les enfants de famille modeste sont réorientés plus tôt (dès l’âge de 12 ans) dans les filières techniques et professionnelles (contre 14 ans dans les écoles francophones). Face à cette séparation entre filières, fortement déterminée par l’origine sociale des élèves, les inscriptions et les choix entre réseau libre et officiel semblent avoir une importance secondaire. Ségrégation sociale ou scolaire ? Comment expliquer que les élèves dans la filière professionnelle ou technique ont des compétences et connaissances aussi médiocres en lecture, mathématique et science ? Faut-il y voir un glissement des curriculums qui ferait que ces élèves sont moins confrontés à ces matières de base ? Plus grave, c’est que l’on retrouve trois à quatre fois plus d’enfants de familles modestes dans ces filières de relégation. Sont-ils à ce point si mal préparés par leur famille à assimiler un langage pédagogique ? Comment expliquer cela dans la mesure où la réussite scolaire ne peut bien sûr pas s’expliquer par simple héritage génétique ? Comment ne pas y voir une certaine forme de relégation, où les enfants socialement défavorisés sont relégués en seconde division et les enfants socialement favorisés jouent en première division. Qui est responsable ? Il faut bien reconnaître une certaine hypocrisie dans l’art 21 du décret mission selon lequel «A l'issue des huit premières années de la scolarité obligatoire, les élèves sont orientés vers la forme d'enseignement la mieux adaptée à leurs aspirations et à leurs capacités». On sait le caractère largement irréversible de l'orientation en cascade du général au technique et enfin au professionnel. Dans l'enseignement secondaire, la fin de la 2e commune est certainement un des moments-charnières les plus importants : là se joue de manière déterminant le destin scolaire (et par conséquent professionnel et social) de l'élève. Certains diront que «Nous devons permettre aux jeunes qui le souhaitent de s’orienter vers les filières professionnelles plus courtes. Ces filières sont indispensables au développement des compétences techniques et professionnelles». Fait du hasard ou non ? Ce sont toujours des enfants de familles défavorisées dont les "goûts" sont tournés vers les filières très courtes. Plus le tri est effectué tôt, plus les jeunes issus de ces familles ont tendance à choisir des orientations courtes ou moins valorisées, en intériorisant probablement leur échec annoncé dans les filières plus réputées. Un processus inégalitaire, d’ailleurs souvent validé (quand il n’est pas renforcé) par les décisions d’orientation prises par les conseils de classe. Faut-il supprimer les filières ? Dans les pays nordiques (Danemark, Finlande, Suède, Norvège et Islande) il n’y a pas d’orientation précoce et en fait les filières n’existent tout simplement pas. Le redoublement est rare et il n’y a pas de sélection sur base des compétences, ce qui n’empêche évidemment pas une pédagogie par groupes différenciés au sein des classes. La Finlande a supprimé les filières entre 1972-1977 avec un effet jugé très favorable sur la mobilité sociale selon des recherches récentes. Réduire les inégalités sociales dans notre enseignement, et en même temps redresser significativement les performances n’est pas quelque chose de facile. Ce que les pays nordiques nous enseignent, c’est qu’il est possible de mieux intégrer les filières entre elles, et en même temps améliorer la performance de chacun de nos élèves.
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Hindriks, Jean, and Marijn Verschelde. "Numéro 77 - février 2010." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2010.02.01.

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Abstract:
L’enseignement en Belgique est un des plus inégalitaire au monde. La réussite scolaire est fortement dépendante de l’origine sociale des élèves. Le «décret inscriptions» en Communauté française et le GOK en Communauté flamande agitent l’opinion publique, mais passent sous silence le fait que les élèves de famille modeste sont avant tout victimes des réorientations en cascade. Dans ce numéro de Regards économiques, nous cherchons notamment à comprendre pourquoi, dans les deux Communautés linguistiques, les résultats scolaires sont aussi dépendants de l’origine sociale des élèves. En fait presque 60 % des écarts de résultats sont liés à l’origine sociale des élèves. D’où le titre de ce communiqué de presse, «la réussite en héritage». Notre recherche s’appuie sur les données de l’enquête PISA 2006 avec un échantillon de 4.125 élèves dans 269 écoles flamandes et 2.211 élèves dans 176 écoles francophones. Cette recherche a révélé que c’est la sélection entre écoles et filières qui contribue à faire de notre enseignement un des plus inégalitaire au monde. Au moment où les discussions sur l’égalité des chances se concentrent presque exclusivement sur les modes d’organisation des inscriptions et le financement différencié, il nous a semblé utile de revenir sur ces résultats. La fracture sociale par les filières Notre analyse révèle que les systèmes scolaires flamands et francophones sont très mauvais en matière d’égalité des chances. Des deux côtés de la frontière linguistique, les niveaux de ségrégation sociale sont les plus élevés d’Europe et la mobilité sociale (ou ascenseur social) est en panne. La ségrégation se fait à la fois entre filières et entre établissements scolaires. La Communauté française a le taux de ségrégation sociale le plus élevé au monde derrière la Hongrie et le Mexique. En fait il faudrait déplacer plus de 40 % des élèves de familles modestes pour obtenir une véritable mixité sociale. La moitié des élèves se trouve reléguée dans des filières techniques ou professionnelles dont les performances sont nettement inférieures à la filière générale. Un enfant de famille modeste a presque quatre fois plus de risque de se trouver dans l’enseignement professionnel qu’un enfant socialement favorisé. Ce risque est le même dans les deux Communautés linguistiques. En Communauté française, plus de la moitié des enfants de famille modeste sont en retard scolaire contre moins d’un quart en Flandre. Mais si on double moins souvent dans l’école flamande c’est parce que les enfants de famille modeste sont réorientés plus tôt (dès l’âge de 12 ans) dans les filières techniques et professionnelles (contre 14 ans dans les écoles francophones). Face à cette séparation entre filières, fortement déterminée par l’origine sociale des élèves, les inscriptions et les choix entre réseau libre et officiel semblent avoir une importance secondaire. Ségrégation sociale ou scolaire ? Comment expliquer que les élèves dans la filière professionnelle ou technique ont des compétences et connaissances aussi médiocres en lecture, mathématique et science ? Faut-il y voir un glissement des curriculums qui ferait que ces élèves sont moins confrontés à ces matières de base ? Plus grave, c’est que l’on retrouve trois à quatre fois plus d’enfants de familles modestes dans ces filières de relégation. Sont-ils à ce point si mal préparés par leur famille à assimiler un langage pédagogique ? Comment expliquer cela dans la mesure où la réussite scolaire ne peut bien sûr pas s’expliquer par simple héritage génétique ? Comment ne pas y voir une certaine forme de relégation, où les enfants socialement défavorisés sont relégués en seconde division et les enfants socialement favorisés jouent en première division. Qui est responsable ? Il faut bien reconnaître une certaine hypocrisie dans l’art 21 du décret mission selon lequel «A l'issue des huit premières années de la scolarité obligatoire, les élèves sont orientés vers la forme d'enseignement la mieux adaptée à leurs aspirations et à leurs capacités». On sait le caractère largement irréversible de l'orientation en cascade du général au technique et enfin au professionnel. Dans l'enseignement secondaire, la fin de la 2e commune est certainement un des moments-charnières les plus importants : là se joue de manière déterminant le destin scolaire (et par conséquent professionnel et social) de l'élève. Certains diront que «Nous devons permettre aux jeunes qui le souhaitent de s’orienter vers les filières professionnelles plus courtes. Ces filières sont indispensables au développement des compétences techniques et professionnelles». Fait du hasard ou non ? Ce sont toujours des enfants de familles défavorisées dont les "goûts" sont tournés vers les filières très courtes. Plus le tri est effectué tôt, plus les jeunes issus de ces familles ont tendance à choisir des orientations courtes ou moins valorisées, en intériorisant probablement leur échec annoncé dans les filières plus réputées. Un processus inégalitaire, d’ailleurs souvent validé (quand il n’est pas renforcé) par les décisions d’orientation prises par les conseils de classe. Faut-il supprimer les filières ? Dans les pays nordiques (Danemark, Finlande, Suède, Norvège et Islande) il n’y a pas d’orientation précoce et en fait les filières n’existent tout simplement pas. Le redoublement est rare et il n’y a pas de sélection sur base des compétences, ce qui n’empêche évidemment pas une pédagogie par groupes différenciés au sein des classes. La Finlande a supprimé les filières entre 1972-1977 avec un effet jugé très favorable sur la mobilité sociale selon des recherches récentes. Réduire les inégalités sociales dans notre enseignement, et en même temps redresser significativement les performances n’est pas quelque chose de facile. Ce que les pays nordiques nous enseignent, c’est qu’il est possible de mieux intégrer les filières entre elles, et en même temps améliorer la performance de chacun de nos élèves.
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Van Parijs, Philippe. "Numéro 14 - septembre 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16153.

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Abstract:
Les universités sont en crise, avec une baisse du financement par étudiant (hors inflation) proche de 50 % et une baisse du taux d’encadrement de plus de 50 % depuis 1972. En outre, seulement 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire. On peut donc se poser la question de savoir si la gratuité de l’université est encore possible et désirable. Si non, quel mode de financement avec contributions privées faut-il adopter pour préserver à la fois l’accessibilité et la viabilité du système ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons confronté le point de vue de deux économistes, Jean Hindriks (UCL, CORE) et Vincent Vandenberghe (UCL, IRES), et les objections d’un philoso­phe, Philippe Van Parijs (UCL, Chaire Hoover). Le point de vue de deux économistes Un refinancement public des universités est peu probable. Il faut rappeler que 90 % du coût d’une formation universitaire est financé par des contribuables qui pour la plupart ne sont jamais allés à l’université et qui pour certains subissent la concurrence des universitaires sur le marché du travail. Même si le besoin d’investir dans le capital humain est économiquement évident, la préférence politi­que s’oriente clairement vers d’autres demandes concurrentes et légitimes que sont les soins de santé et les pensions. Comment pouvons-nous donc assurer la poursuite de l’investissement en capital humain sans recourir à un effort supplémentaire des contribuables ? Mais plus important encore, si comme en Belgique, la dotation publique aux universités est fixe, comment échapper à l’inéluctable choix entre excellence pour un petit nombre ou médiocrité pour un grand nombre ? Notre argument est qu’il est possible de sortir de cette situation. On peut à la fois poursuivre l’expansion de la population étudiante (formation du capital humain) et assurer le développement de la qualité, sans augmenter la contribution publique. Il faut pour cela combiner une gratuité sélective et un financementsélectif basé sur une évaluation des performances. Gratuité sélective et payement différé : Il s’agirait de relever les droits d’inscription mais en offrant voire en imposant aussitôt que ces mon­tants soient commués en prêt remboursable au terme des études. Le remboursement du prêt serait contingent au revenu, tel un montant X au-delà d’un revenu de Y € par tranche de 1000 € empruntés. Le revenu Y à partir duquel interviendrait le paiement devrait logiquement correspondre au revenu moyen d’un individu n’ayant pas fait d’études supérieures. Quant au montant X, il devrait être fixé de manière à assurer l’équilibre financier du système Ce système est depuis peu en application au Royaume-Uni et diffère fondamentalement d’un impôt sur le revenu. Primo, le remboursement est concentré sur les utilisateurs bénéficiaires de l’enseignement supérieur. En Belgique, 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire supérieur. Il faut donc bien faire ici la dis­tinction avec l’enseignement obligatoire où la participation de tous justifie la gratuité et le financement intégral par l’impôt. Secundo, le remboursement est limité dans le temps. Tertio, le remboursement est nominatif et donc indépendant de la décision de s’expatrier. Ce dernier point est important étant donné la mobilité accrue des plus qualifiés, autant au sein de l’Europe que hors Europe. Plutôt que de décourager l’accès à l’université, ce système pourrait bien avoir l’effet contraire puisque des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni qui ont adopté une telle politique ont des taux de par­ticipation nettement plus élevés que le nôtre (respectivement 19 % et 20 % de la population, compara­tivement au taux belge de 12 %). La crainte que l’endettement ne décourage les étudiants défavorisés d’accéder à l’université est aussi contre-dite par une étude américaine récente (NBER) qui montre que la substitution d’un système de prêt au système de bourse n’a pas eu d’effet significatif sur la partici­pation des étudiants pauvres dans les universités américaines. Financement sélectif et évaluation des performances : Il ne suffit pas de proposer une solution de refinancement des universités, il faut également chercher à dépenser mieux ces fonds partout où cela est possible. Cette recherche d’efficience a induit, avec des effets surprenants, la mise en place dans certains pays d’une évaluation de la performance, autant au niveau de l’enseignement que de la recherche. Au Royaume-Uni, l’enseignement est évalué par une agence indépendante. Depuis lors, on observe une amélioration continue de la performance générale telle qu’évaluée par l’agence. Par exemple, 60,5 % des départements avaient reçu une cote excellente en 1998-2000, comparativement à 33,9 % en 1996-98 et 24,8 % en 1995-96. Pour la recherche au Royaume-Uni, l’évaluation est faite par un panel d’experts et d’utilisateurs de la recherche, spécifique à chaque discipline. Cela résulte en un système de financement de la recherche qui est très sélectif. En 2002-2003, près de 75 % des fonds de recherche ont été alloués à 14 % des universités. On note une amélioration significative de la qualité de la recherche. Comparativement à l’évaluation de 1996, en 2001, le pourcentage de départements recevant les cotes les plus élevées a augmenté de 20 % à 39 %, alors que le pourcentage des départements recevant les cotes les plus basses a diminué de 24 % à 6 %. Nous pensons que l’évaluation a plus de chance d’être acceptée si elle n’est pas perçue comme un moyen déguisé de couper les ressources. Pour cela, un refinancement des universités au travers de la gratuité sélective est donc un bon moyen de faire accepter l’évaluation des performances et un finan­cement plus sélectif. Le point de vue du philosophe Est-il juste que l’Université soit gratuite ? D’un côté, bien sûr que oui. En effet, à condition de dispo­ser d’un système d’impôt sur le revenu suffisamment performant, mieux vaut offrir l’université gra­tuitement à tous les ménages, non parce que c’est mieux pour les riches (dont les impôts financent de toutes façons les prestations dont ils bénéficient), mais parce que c’est mieux pour les pauvres (facilité administrative, non-stigmatisation des pauvres et incitation au travail). De l’autre, bien sûr que non, car si ce cadeau est égal pour chacun quant à son coût, il est très inégal dans ses effets. A ceux qui sont déjà avantagés par leurs talents initiaux et ce que leur environnement familial et scolaire en a fait, la société a le culot de dire : «Nous vous donnons en outre un gros cadeau supplémentaire sous la forme d’une formation supérieure gratuite» Peut-on réconcilier ces deux intuitions en apparences contradictoires ? Pas trop difficilement. C’est en fait ce que réalise pour l’essentiel le système auquel nous sommes accoutumés : un enseignement supérieur essentiellement gratuit quant à son coût explicite, mais avec une récupération différée non ciblée, sous la forme d’une taxation progressive du revenu des personnes physiques. A cette apologie non déguisée du statu quo, on peut faire au moins quatre objections. Objection 1. Le système actuel taxe indifféremment ceux qui doivent leur revenu élevé à des études payées par la collectivité et ceux qui le doivent à d’autres raisons. Réponse. C’est inévitablement approximatif, mais nullement améliorable par un meilleur ciblage du financement. Tenter de repérer la part de revenu que chacun doit à ses études supérieures, c’est, du point de vue de la recherche de la justice, faire preuve d’un souci de précision bien mal placé. En effet, le revenu que le marché nous attribue est certes fonction des efforts consentis, mais sur la toile de fond d’un ensemble vaste et complexe de dons, d’opportunités, de chances qui nous ont été attribués de manière très inégale et éthiquement arbitraire. Objection 2. En faisant payer aux bénéficiaires le vrai coût de leur formation, on se protège contre de graves gaspillages de ressources dans des formations qui sont loin de valoir ce qu’elles coûtent mais n’en rencontrent pas moins un franc succès du fait de leur gratuité. Réponse. Un usage intelligent des ressources rares disponibles exige une régulation de l’offre des formations. Mais la meilleure régulation, dans ce cas, ne passe pas par la vérité des prix et la souverai­neté du consommateur. La gratuité est naturellement combinable avec un numerus clausus explicite ou implicite, global et/ou spécifique à chaque orientation. Objection 3. Plus les étudiants payeront pour leurs études, plus ils seront à la fois motivés à étudier avec zèle et exigeants à l’égard de leurs enseignants, eux-mêmes désormais soucieux de ne pas perdre la clientèle à la source de leurs revenus. Réponse. Dans un système de concurrence implicite comme le nôtre, où la subsidiation de chaque institution dépend fortement de la proportion des étudiants qu’elle parvient à attirer, les enseignants ont la même incitation financière à se préoccuper de la satisfaction de leurs «clients» que si le montant provenant aujourd’hui des subsides avait à être payé par les étudiants. En outre, une soumission trop directe aux exigences de l’étudiant actuel peut handicaper gravement l’efficacité de long terme du système, qui exige à la fois de laisser place à une recherche sans retombée directe sur l’enseignement actuel et d’enseigner aux étudiants ce qu’il est important qu’ils apprennent, plutôt que ce que l’air du temps leur fait souhaiter d’apprendre. Objection 4. Avec la mobilité transnationale des personnes hautement qualifiées et la décentralisation de la souveraineté fiscale à un niveau sub-national, il sera plus difficile de récupérer par l’impôt l’investissement dont jouissent les titulaires d’emplois hautement qualifiés qui choisissent de s’expatrier. Réponse. Face à cette difficulté, le plus efficace est peut-être encore de préserver et développer, parmi les personnes qui ont la chance de pouvoir bénéficier de l’enseignement supérieur de leur pays, un sentiment de gratitude et une attitude de loyauté à l’égard de cette entité collective qui leur a offert ce privilège.
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Hindriks, Jean, Vincent Vandenberghe, and Philippe Van Parijs. "Numéro 14 - septembre 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.09.01.

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Abstract:
Les universités sont en crise, avec une baisse du financement par étudiant (hors inflation) proche de 50 % et une baisse du taux d’encadrement de plus de 50 % depuis 1972. En outre, seulement 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire. On peut donc se poser la question de savoir si la gratuité de l’université est encore possible et désirable. Si non, quel mode de financement avec contributions privées faut-il adopter pour préserver à la fois l’accessibilité et la viabilité du système ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons confronté le point de vue de deux économistes, Jean Hindriks (UCL, CORE) et Vincent Vandenberghe (UCL, IRES), et les objections d’un philoso­phe, Philippe Van Parijs (UCL, Chaire Hoover). Le point de vue de deux économistes Un refinancement public des universités est peu probable. Il faut rappeler que 90 % du coût d’une formation universitaire est financé par des contribuables qui pour la plupart ne sont jamais allés à l’université et qui pour certains subissent la concurrence des universitaires sur le marché du travail. Même si le besoin d’investir dans le capital humain est économiquement évident, la préférence politi­que s’oriente clairement vers d’autres demandes concurrentes et légitimes que sont les soins de santé et les pensions. Comment pouvons-nous donc assurer la poursuite de l’investissement en capital humain sans recourir à un effort supplémentaire des contribuables ? Mais plus important encore, si comme en Belgique, la dotation publique aux universités est fixe, comment échapper à l’inéluctable choix entre excellence pour un petit nombre ou médiocrité pour un grand nombre ? Notre argument est qu’il est possible de sortir de cette situation. On peut à la fois poursuivre l’expansion de la population étudiante (formation du capital humain) et assurer le développement de la qualité, sans augmenter la contribution publique. Il faut pour cela combiner une gratuité sélective et un financementsélectif basé sur une évaluation des performances. Gratuité sélective et payement différé : Il s’agirait de relever les droits d’inscription mais en offrant voire en imposant aussitôt que ces mon­tants soient commués en prêt remboursable au terme des études. Le remboursement du prêt serait contingent au revenu, tel un montant X au-delà d’un revenu de Y € par tranche de 1000 € empruntés. Le revenu Y à partir duquel interviendrait le paiement devrait logiquement correspondre au revenu moyen d’un individu n’ayant pas fait d’études supérieures. Quant au montant X, il devrait être fixé de manière à assurer l’équilibre financier du système Ce système est depuis peu en application au Royaume-Uni et diffère fondamentalement d’un impôt sur le revenu. Primo, le remboursement est concentré sur les utilisateurs bénéficiaires de l’enseignement supérieur. En Belgique, 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire supérieur. Il faut donc bien faire ici la dis­tinction avec l’enseignement obligatoire où la participation de tous justifie la gratuité et le financement intégral par l’impôt. Secundo, le remboursement est limité dans le temps. Tertio, le remboursement est nominatif et donc indépendant de la décision de s’expatrier. Ce dernier point est important étant donné la mobilité accrue des plus qualifiés, autant au sein de l’Europe que hors Europe. Plutôt que de décourager l’accès à l’université, ce système pourrait bien avoir l’effet contraire puisque des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni qui ont adopté une telle politique ont des taux de par­ticipation nettement plus élevés que le nôtre (respectivement 19 % et 20 % de la population, compara­tivement au taux belge de 12 %). La crainte que l’endettement ne décourage les étudiants défavorisés d’accéder à l’université est aussi contre-dite par une étude américaine récente (NBER) qui montre que la substitution d’un système de prêt au système de bourse n’a pas eu d’effet significatif sur la partici­pation des étudiants pauvres dans les universités américaines. Financement sélectif et évaluation des performances : Il ne suffit pas de proposer une solution de refinancement des universités, il faut également chercher à dépenser mieux ces fonds partout où cela est possible. Cette recherche d’efficience a induit, avec des effets surprenants, la mise en place dans certains pays d’une évaluation de la performance, autant au niveau de l’enseignement que de la recherche. Au Royaume-Uni, l’enseignement est évalué par une agence indépendante. Depuis lors, on observe une amélioration continue de la performance générale telle qu’évaluée par l’agence. Par exemple, 60,5 % des départements avaient reçu une cote excellente en 1998-2000, comparativement à 33,9 % en 1996-98 et 24,8 % en 1995-96. Pour la recherche au Royaume-Uni, l’évaluation est faite par un panel d’experts et d’utilisateurs de la recherche, spécifique à chaque discipline. Cela résulte en un système de financement de la recherche qui est très sélectif. En 2002-2003, près de 75 % des fonds de recherche ont été alloués à 14 % des universités. On note une amélioration significative de la qualité de la recherche. Comparativement à l’évaluation de 1996, en 2001, le pourcentage de départements recevant les cotes les plus élevées a augmenté de 20 % à 39 %, alors que le pourcentage des départements recevant les cotes les plus basses a diminué de 24 % à 6 %. Nous pensons que l’évaluation a plus de chance d’être acceptée si elle n’est pas perçue comme un moyen déguisé de couper les ressources. Pour cela, un refinancement des universités au travers de la gratuité sélective est donc un bon moyen de faire accepter l’évaluation des performances et un finan­cement plus sélectif. Le point de vue du philosophe Est-il juste que l’Université soit gratuite ? D’un côté, bien sûr que oui. En effet, à condition de dispo­ser d’un système d’impôt sur le revenu suffisamment performant, mieux vaut offrir l’université gra­tuitement à tous les ménages, non parce que c’est mieux pour les riches (dont les impôts financent de toutes façons les prestations dont ils bénéficient), mais parce que c’est mieux pour les pauvres (facilité administrative, non-stigmatisation des pauvres et incitation au travail). De l’autre, bien sûr que non, car si ce cadeau est égal pour chacun quant à son coût, il est très inégal dans ses effets. A ceux qui sont déjà avantagés par leurs talents initiaux et ce que leur environnement familial et scolaire en a fait, la société a le culot de dire : «Nous vous donnons en outre un gros cadeau supplémentaire sous la forme d’une formation supérieure gratuite» Peut-on réconcilier ces deux intuitions en apparences contradictoires ? Pas trop difficilement. C’est en fait ce que réalise pour l’essentiel le système auquel nous sommes accoutumés : un enseignement supérieur essentiellement gratuit quant à son coût explicite, mais avec une récupération différée non ciblée, sous la forme d’une taxation progressive du revenu des personnes physiques. A cette apologie non déguisée du statu quo, on peut faire au moins quatre objections. Objection 1. Le système actuel taxe indifféremment ceux qui doivent leur revenu élevé à des études payées par la collectivité et ceux qui le doivent à d’autres raisons. Réponse. C’est inévitablement approximatif, mais nullement améliorable par un meilleur ciblage du financement. Tenter de repérer la part de revenu que chacun doit à ses études supérieures, c’est, du point de vue de la recherche de la justice, faire preuve d’un souci de précision bien mal placé. En effet, le revenu que le marché nous attribue est certes fonction des efforts consentis, mais sur la toile de fond d’un ensemble vaste et complexe de dons, d’opportunités, de chances qui nous ont été attribués de manière très inégale et éthiquement arbitraire. Objection 2. En faisant payer aux bénéficiaires le vrai coût de leur formation, on se protège contre de graves gaspillages de ressources dans des formations qui sont loin de valoir ce qu’elles coûtent mais n’en rencontrent pas moins un franc succès du fait de leur gratuité. Réponse. Un usage intelligent des ressources rares disponibles exige une régulation de l’offre des formations. Mais la meilleure régulation, dans ce cas, ne passe pas par la vérité des prix et la souverai­neté du consommateur. La gratuité est naturellement combinable avec un numerus clausus explicite ou implicite, global et/ou spécifique à chaque orientation. Objection 3. Plus les étudiants payeront pour leurs études, plus ils seront à la fois motivés à étudier avec zèle et exigeants à l’égard de leurs enseignants, eux-mêmes désormais soucieux de ne pas perdre la clientèle à la source de leurs revenus. Réponse. Dans un système de concurrence implicite comme le nôtre, où la subsidiation de chaque institution dépend fortement de la proportion des étudiants qu’elle parvient à attirer, les enseignants ont la même incitation financière à se préoccuper de la satisfaction de leurs «clients» que si le montant provenant aujourd’hui des subsides avait à être payé par les étudiants. En outre, une soumission trop directe aux exigences de l’étudiant actuel peut handicaper gravement l’efficacité de long terme du système, qui exige à la fois de laisser place à une recherche sans retombée directe sur l’enseignement actuel et d’enseigner aux étudiants ce qu’il est important qu’ils apprennent, plutôt que ce que l’air du temps leur fait souhaiter d’apprendre. Objection 4. Avec la mobilité transnationale des personnes hautement qualifiées et la décentralisation de la souveraineté fiscale à un niveau sub-national, il sera plus difficile de récupérer par l’impôt l’investissement dont jouissent les titulaires d’emplois hautement qualifiés qui choisissent de s’expatrier. Réponse. Face à cette difficulté, le plus efficace est peut-être encore de préserver et développer, parmi les personnes qui ont la chance de pouvoir bénéficier de l’enseignement supérieur de leur pays, un sentiment de gratitude et une attitude de loyauté à l’égard de cette entité collective qui leur a offert ce privilège.
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