To see the other types of publications on this topic, follow the link: Afrique tropicale.

Journal articles on the topic 'Afrique tropicale'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Afrique tropicale.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Gaugue, Anne. "Musées et colonisation en Afrique tropicale." Cahiers d’études africaines 39, no. 155 (1999): 727–45. http://dx.doi.org/10.3406/cea.1999.1775.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Roussel, Bernard, and Dominique Juhé-Beaulaton. "Les plantes américaines en Afrique tropicale." Cahiers d'outre-mer 45, no. 179 (1992): 373–86. http://dx.doi.org/10.3406/caoum.1992.3452.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Gu-Konu, Emmanuel Y. "Entité étatique et développement en Afrique tropicale." Cahiers d’études africaines 26, no. 103 (1986): 299–315. http://dx.doi.org/10.3406/cea.1986.1704.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Lejoly, J., and S. Lisowski. "Le genre Calycobolus Willd. (Convolvulaceae) en Afrique tropicale." Bulletin du Jardin botanique national de Belgique / Bulletin van de National Plantentuin van België 55, no. 1/2 (1985): 27. http://dx.doi.org/10.2307/3668007.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Coremans, Paul. "La conservation du patrimoine culturel en Afrique tropicale." Museum International (Edition Francaise) 18, no. 3 (2009): 168–82. http://dx.doi.org/10.1111/j.1755-5825.1965.tb01932.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Suret-Canale, Jean. "Géographie des capitaux en Afrique tropicale d'influence française." L'information géographique 67, no. 1 (2003): 105–15. http://dx.doi.org/10.3406/ingeo.2003.2860.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Ikabanga, Davy U., K. Guillaume Koffi, Jean Michel Onana, Bertrand M'batchi, Olivier J. Hardy, and Tariq Stévart. "Révision taxonomique du genre Santiria (Burseraceae) en Afrique tropicale." Candollea 74, no. 2 (2019): 115. http://dx.doi.org/10.15553/c2019v742a1.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Pauwels, L., H. Breyne, and C. Delaude. "Acosmium panamense (Fabaceae), arbre interessant introduit en Afrique Tropicale." Systematics and Geography of Plants 69, no. 1 (1999): 3. http://dx.doi.org/10.2307/3668519.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

AUMONT, G., and P. CHEMINEAU. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (1997): 3. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3971.

Full text
Abstract:
Les textes contenus dans ce numéro spécial de Productions Animales sont issus, pour l’essentiel, d’une réunion de la Commission spécialisée de Recherches INRA sur les ovins, les caprins et les cervidés. Cette réunion avait pour objet de présenter des projets et des actions de recherche menées sur les petits ruminants en zone tropicale par des chercheurs de notre institut en Caraïbe, par le CIRAD-EMVT en Guadeloupe et en Afrique, par une structure départementale de la Martinique (SECI) ou par des instituts internationaux (ILRI), projets menés le plus souvent en collaboration. Une forte contribution provient de la Guadeloupe et de la Martinique, sous l’impulsion et la responsabilité de l’Unité de Recherches Zootechniques de l’INRA, où sont développés de nombreux programmes de recherche et de recherche/développement sur les petits ruminants. Plusieurs textes rapportent des résultats obtenus sur le continent africain par le CIRAD-EMVT, et un texte présente des données obtenues sur les caprins au Mexique, en zone subtropicale. Le développement de l’élevage des petits ruminants représente un enjeu déterminant pour les systèmes d’élevages tropicaux. En Asie, en Afrique, en Amérique inter-tropicale, ces espèces représentent des cheptels considérables, souvent bien plus importants qu’en Europe. Les populations des ovins et caprins dans les pays tropicaux en voie de développement représentent 54 % du cheptel mondial, soit 926 millions de têtes (FAO 1993). Elles permettent des productions (lait, viande, laine et cuirs, et parfois traction) qui ne sont pas de simples compléments de revenus, mais, bien souvent avec d’autres espces à cycle court (porc, volaille), les ressources essentielles pour la survie et le développement de cellules productives réduites et familiales dans des systèmes difficiles et complexes comme les zones arides ou les zones péri-urbaines. L’intérêt de regrouper ces différents textes est de montrer les différentes approches que l’on peut avoir du développement de ces systèmes d’élevage, depuis la cellule familiale africaine jusqu’à des systmèes sophistiqués et très productifs mis en place par des organismes de développement comme la SECI dans des pays tropicaux riches, parangon européen dans un univers tropical sous-développé. Il était donc important que la Commission ovine et caprine de l’INRA permette l’expression de recherches menées au sein de l’institut ou avec son partenaire privilégié dans le monde tropical, le CIRAD-EMVT. En rassemblant ces textes dans un même numéro, nous avons l’ambition que leur lecture puisse servir à bien d’autres personnes que celles présentes lors de la réunion de la Commission. Par une diffusion plus large qu’à l’accoutumée, nous espérons ainsi intéresser de nombreux chercheurs, techniciens et agents de développement de toute la zone tropicale francophone, africaine et caraïbe. Nous avons aussi l’espoir que les résultats présentés par les différents auteurs puissent intéresser nos lecteurs habituels des zones tempérées. Ceux-ci pourront, en effet, par la lecture de ces articles, mieux connaître les problèmes existant dans des systèmes d’élevage assez différents de ceux rencontrés en zones tempérées. Bien que les thématiques abordées soient assez éloignées des préoccupations les plus courantes des problèmes de l’élevage en Europe, beaucoup se rendront compte que certains problmes posés dans les zones tropicales sont des sujets d’actualité dans les zones tempérées. C’est le cas de la maîtrise de l’intensification des systèmes de pâturage et du contrôle de l’infestation parasitaire, par exemple. Le développement des productions animales dans les zones tropicales, en particulier à partir des petits ruminants qui constituent une ressource précieuse, est un formidable défi à relever ces prochaines années. Ce numéro de Productions Animales a l’ambition de contribuer, modestement et é sa manière, à ce développement.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Karsenty, Alain. "Is sustainable logging possible in Africa’s dense forest?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31615.

Full text
Abstract:
René Catinot, qui fut directeur des recherches forestières au CTFT (Centre Technique Forestier Tropical, qui deviendra le département Forêt du Cirad) et figure historique de la foresterie tropicale française, se posait cette question au début des années 1960. Dès leur arrivée en Afrique Tropicale, nous dit Catinot, « les Forestiers chargés de la gestion de la forêt dense ont cherché à la régénérer ». Les connaissances forestières de milieux tempérés sont insuffisantes face à des forêts qui comportent 200 à 300 espèces, mais qui contiennent nettement moins de bois qu’une forêt aménagée en zone tempérée. Un débat oppose alors les tenants d’une régénération naturelle à ceux de la régénération artificielle. Le problème de l’exploitation sélective tropicale, particulièrement en Afrique, est le faible taux de prélèvement qui limite l’arrivée de lumière au sol et empêche la germination nécessaire au renouvellement des espèces les plus appréciées commercialement, lesquelles sont souvent à tendance héliophile. Catinot est affirmatif « il ne faut pas compter sur la Nature seule pour la régénérer ». Les techniques sylvicoles s’emploient, dès lors, à favoriser ces espèces commerciales, soit en « stimulant la croissance des plants préexistants » (sylviculture utilisant la régénération naturelle), soit en « transplantant dans les forêts épuisées par l’exploitation des plants d’essences nobles préalablement produits en pépinière » (régénération artificielle). Le langage sur la « noblesse » des essences trahit les conceptions de l’époque. Le terme de « diversité biologique » n’apparaitra qu’en 1968 et il faudra encore quelques années pour comprendre que la biodiversité ne se limite pas à la somme des espèces, mais représente l'ensemble des interactions entre les êtres vivants. Que nous dit Catinot, qui exprime bien la pensée des forestiers tropicaux de l’époque ? La sylviculture utilisant la régénération naturelle, « c’est avant tout une destruction lente et prudente du couvert » en utilisant délianage, dégagement et empoisonnement des « espèces gênantes ». Quant à la régénération artificielle, « il faut bien détruire la forêt préexistante pour donner aux plants la lumière indispensable à leur croissance ». Ce langage serait inaudible aujourd’hui, à l’heure où l’on cherche à promouvoir « l’exploitation à faible impact » et où la certification Forest Stewardship Council « de bonne gestion forestière » (FSC) s’interroge sur la compatibilité de l’exploitation, même à faible impact, avec le maintien de « paysages forestiers intacts »...
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Pauwels, L. "Observations sur le genre Salvia L. (Lamiaceae) en Afrique tropicale." Bulletin du Jardin botanique national de Belgique / Bulletin van de National Plantentuin van België 57, no. 1/2 (1987): 261. http://dx.doi.org/10.2307/3668321.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Catinot, René, and Ilona Bossanyi. "Tropicale silviculture in dense African forest (Part 1)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31602.

Full text
Abstract:
Cet article représente la première partie d’une étude réalisée par l’auteur sur le développement des méthodes de la sylviculture appliquée aux forêts denses humides d’Afrique. L’étude compare les résultats obtenus par chaque méthode. Les articles suivants exposeront les aboutissements des recherches en foresterie menées ces dernières années, incluant une discussion à la lumière des résultats de ces recherches sur les méthodes utilisées au moment de la rédaction de l’article. L’auteur décrit aussi une nouvelle méthode rendant compte des expériences passées et de nouvelles idées. L’article apporte des éléments essentiels à l’heure où les gouvernements africains promeuvent des programmes de reforestation et de restauration forestière dans les forêts tropicales humides. Cela est désormais primordial en raison de l’augmentation et l’extension de l’exploitation forestière en Afrique, nécessaire pour stimuler les économies africaines, mais épuisant indéniablement le capital forestier.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Triaud, Jean-Louis. "Les agents religieux islamiques en Afrique tropicale: réflexions autour d'un thème." Canadian Journal of African Studies / Revue Canadienne des Études Africaines 19, no. 2 (1985): 271. http://dx.doi.org/10.2307/484825.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Roux, Francis. "Risques et périls pour les oiseaux d'Europe hivernant en Afrique Tropicale." Cahiers d'outre-mer 43, no. 172 (1990): 399–412. http://dx.doi.org/10.3406/caoum.1990.3357.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Triaud, Jean-Louis. "Les agents religieux islamiques en Afrique tropicale: réflexions autour d'un thème." Canadian Journal of African Studies / Revue canadienne des études africaines 19, no. 2 (1985): 271–82. http://dx.doi.org/10.1080/00083968.1985.10804113.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Daveau, Suzanne. "Recherches de géographie humaine en Afrique tropicale (Analyse de six ouvrages)." L'information géographique 67, no. 1 (2003): 17–24. http://dx.doi.org/10.3406/ingeo.2003.2848.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Hoogmoed, Willem B. "Les instruments aratoires en Afrique tropicale; La fonction et le signe." Soil and Tillage Research 12, no. 1 (1988): 94–96. http://dx.doi.org/10.1016/0167-1987(88)90060-8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

AKAKPO, A. J., and P. BORNAREL. "Epidémiologie des brucelloses animales en Afrique tropicale : enquêtes clinique, sérologique et bactériologique." Revue Scientifique et Technique de l'OIE 6, no. 4 (1987): 981–1027. http://dx.doi.org/10.20506/rst.6.4.313.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Adifon, Fiacre Hermann, Ibouraïma Yabi, Pierre Vissoh, Ibouraïman Balogoun, Joseph Dossou, and Aliou Saïdou. "Écologie, systèmes de culture et utilisations alimentaires des ignames en Afrique tropicale : synthèse bibliographique." Cahiers Agricultures 28 (2019): 22. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019022.

Full text
Abstract:
Cette revue de littérature couvre la botanique, la domestication, l’écologie, les systèmes de culture, la transformation ainsi que les contraintes et perspectives pour une production durable des ignames en Afrique tropicale. L’igname est un taxon d’espèces essentiellement tropicales qui nécessitent des températures élevées. Ainsi, la germination est optimale entre 25 et 30 °C, alors que des températures inférieures à 15 °C ou supérieures à 35 °C la retardent. La culture de l’igname se pratique avec succès dans des zones où la pluviométrie varie entre 1000 et 1800 mm ; toutefois, il est possible de cultiver l’igname avec une pluviométrie de 600 mm mais le rendement reste faible. L’igname, pour la croissance végétative et une bonne tubérisation, préfère des sols limono-sableux ou sablo limoneux, ayant une conductivité hydraulique de 15 cm/h, une densité apparente comprise entre 1,1 et 1,6 g.cm−3 et surtout légers, profonds (> 0,6 m), bien drainés, riches en matière organique, en azote, en potasse, en magnésium et en calcium ; un pH compris entre 5 et 7 est aussi propice à une bonne culture d’igname. Au-delà des paramètres édaphiques et des facteurs climatiques, les pratiques culturales, notamment le type de cultivar, la densité de plantation, la date de plantation, les adventices, les maladies et ravageurs, sans occulter l’histoire des parcelles et les pratiques paysannes de gestion du sol, ont un effet sur la productivité des ignames. Les facteurs déterminant le choix des variétés d’igname cultivées par les producteurs sont principalement : la qualité culinaire des tubercules, la productivité, la valeur commerciale, la facilité de multiplication, la qualité des cossettes, la précocité de tubérisation, la conservation, la facilité de culture, le rôle dans l’alimentation et l’importance pour les cérémonies rituelles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Couty, Philippe. "L'agriculture africaine en réserve. Réflexions sur l'innovation et l'intensification agricoles en Afrique tropicale." Cahiers d’études africaines 31, no. 121 (1991): 65–81. http://dx.doi.org/10.3406/cea.1991.2109.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Rouziere, André. "Evolution récente de la filière cocotier en Afrique : conséquences sur la recherche agronomique tropicale." Oléagineux, Corps gras, Lipides 7, no. 2 (2000): 136–37. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2000.0136.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Carcasson, R. H. "Le Musée Coryndon, Nairobi, et le rôle des musées d'histoire naturelle en Afrique tropicale." Museum International (Edition Francaise) 16, no. 3 (2009): 182–87. http://dx.doi.org/10.1111/j.1755-5825.1963.tb01656.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Dejugnat, Yann. "Aux frontières du monde: voyage d'Abû Hamîd al-Gharnâtî revisité." Chronos 26 (March 23, 2019): 53–83. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v26i0.416.

Full text
Abstract:
Abû Hâmid al-Gharnâtî (m. 565/1169-70) fut sans conteste un des voyageurs musulmans les plus étonnants. « Type achevé du 'globe-trotteur' (rahhâl) occidental » (Lévi-ProvençaI 1960), il arpenta pendant plus d'un demi-siècle le Dâr al-lslâm, du Maghreb à l' Asie centrale et de l'Égypte au Caucase, mais surtout, comme l'a souligné Bernard Lewis, il fut le seul voyageur musulman, entre le IVe/Xe siècle où vécut Ibrâhîm ibn Ya'qûb et le IXe/XVe où furent rédigés les premiers rapports ottomans, à s'être aventuré en Europe, continent qui apparaissait beaucoup plus exotique et mystérieux aux yeux d ' un musulman du Moyen Âge que I 'Inde, la Chine ou même encore I ' Afrique tropicale (Lewis 1984 : 92).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Champluvier, D. "Revision des genres Staurogyne Wall., Anisosepalum E. Hossain et Saintpauliopsis Staner (Acanthaceae) en Afrique tropicale." Bulletin du Jardin botanique national de Belgique / Bulletin van de National Plantentuin van België 61, no. 1/2 (1991): 93. http://dx.doi.org/10.2307/3668447.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Nsangou, A. S., D. A. Mbah, C. L. Tawah, et al. "Amélioration génétique bovine par voie de croisement et de sélection en Afrique Tropicale : Expériences du Cameroun." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 17, no. 1 (2021): 19–41. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v17i1.2.

Full text
Abstract:
Ce travail passe en revue les résultats des travaux de recherches sur l’amélioration génétique des zébus locaux (Goudali, White et Red Fulani) par voie de sélection et de croisement avec les races exotiques (Holstein, Montbéliarde, Brahman américain, Jersiais, Tarentaise, Limousine et Charolaise). Ces travaux ont été conduits depuis 1952 dans les Centres de Recherches Zootechniques de Wakwa et Bambui par l’Institut de Recherches Zootechniques (IRZ, aujourd’hui connue sous le nom de l’Institut de Recherche Agricole pour le Développement) du Cameroun, en système d’élevage semi-intensif dans les zones des hautes savanes guinéennes et des hauts plateaux de l’Ouest Cameroun. Les données proviennent des rapports d’activité et de consultations, des publications scientifiques et des entrevues. L’objectif est de ressortir les résultats saillants utiles pour les décideurs politiques, les chercheurs et les éleveurs. Les principaux résultats montrent que le potentiel laitier des croisés est généralement supérieur (>4 litres) à celui des races locales (>3,5 litres). Les génotypes ayant moins de 75% de sang exotique sont les plus performants en lait et viande. Les causes de mortalité par ordre d’importance sont nutritionnelles (36,8%), accidentelles (29,6%), pathologiques (21,1%), parasitaires (7,7%) et reproductives (4,8%). Par rapport aux autres produits de croisement, les croisés Holsteins ont été plus lourds à la naissance (34,75 kg) avec une vitesse de croissance plus élevée (0,46 kg), une production laitière plus élevée (5,47 ± 0,17 litres), plus précoces (40,87 mois) et moins susceptibles au stress Nuenvironnemental. Pour la filière bovin-à-viande, les performances de viande de la race synthétique Wakwa sont légèrement supérieures à celles des zébus Goudali sélectionnés dans le cheptel local. Cependant, le taux de susceptibilité à la dermatophilose est estimé à 71,0%, 34,4% et 5,0% chez le pur, ½ et ¼ sang Brahman, respectivement. La sélection massale du zébu Goudali (variété Ngaoundéré) et la race synthétique Wakwa a permis d’obtenir des progrès génétiques significatifs, soient, respectivement, 8,60 kg et 20,40 kg. Cependant, les corrélations génétiques négatives entre les effets directs et maternels montrent que le progrès génétique serait davantage plus important si la sélection était concentrée sur les performances directes et maternelles. Les expériences d’insémination artificielle menées à la SODEPA et à « Tadu Dairy Cooperative Society»montrent que l’industrie laitière est une entreprise rentable avec un rapport bénéfice-coût de 4,21.
 This work reviews the results of research on the genetic improvement of local zebus (Gudali, White and Red Fulani) through selection and crossbreeding with exotic cattle breeds (Holstein, Montbeliard, American Brahman, Jersey, Tarentaise, Limousine and Charolais). This work was started since 1952 by Institute of Animal Research (IRZ, now known as the Institute of Agricultural Research for Development) at the Wakwa and Bambui Research Centers, under semi-intensive management conditions in the high Guinea savannah areas of the Adamawa Plateau and the highlands of West Cameroon. Data were obtained from activity and consultation reports, scientific publications and interviews. The objective is to highlight salient findings that are useful for policy makers, researchers and livestock producers. The main results show that the milk potential of crosses is generally higher (>4 liters) than that of local breeds (>3.5 liters). Genotypes with less than 75% exotic blood had the best milk and meat production performance. The reported causes of mortality in order of importance are nutritional (36.8%), accidental (29.6%), pathological (21.1%), parasitic (7.7%) and reproductive (4.8%). Compared to the others crosses, Holstein crosses were found to be relatively heavier at birth (34.75 kg) with a higher growth rate (0.46 kg), higher daily milk production (5.47 ± 0.17 liters), earlier maturing (40.87 months), but more adapted to the breeding conditions and less susceptible to environmental stress. For the beef industry, the meat performance of the synthetic Wakwa breed is slightly better than that of the Gudali zebus selected from the local herd. However, the susceptibility rate to dermatophilosis was estimated at 71.0%, 34.4% and 5.0% in pure, ½ and ¼ blood Brahman, respectively. Individual selection of the Gudali zebu (Ngaoundéré subtype) and the synthetic Wakwa breed has resulted in significant genetic progress, 8.60 kg and 20.40 kg, respectively. However, the negative genetic correlations between direct and maternal effects showed that genetic progress would be more important if selection was concentrated on direct and maternal performance. Artificial insemination experiments conducted at SODEPA and Tadu Dairy Cooperative Society showed that the dairy industry is a profitable enterprise with a benefit-cost ratio of 4.21.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Nguetnkam, Jean Pierre, Richard Kamga, Frédéric Villiéras, Georges Emmanuel Ekodeck, and Jacques Yvon. "Altération différentielle du granite en zone tropicale. Exemple de deux séquences étudiées au Cameroun (Afrique centrale)." Comptes Rendus Geoscience 340, no. 7 (2008): 451–61. http://dx.doi.org/10.1016/j.crte.2008.02.002.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

FAYE, Mbagnick, Dome TINE, Souleymane DIALLO, and Oumar Harouna SY. "Analyse De La Pluviométrie Dans Les Rivières Du Sud : Cas De La Basse Casamance (Sénégal) Au Rio Gêba En République De Guinée." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 34, no. 1 (2022): 154. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v34.1.4554.

Full text
Abstract:
La pluviométrie est une variable climatique fréquemment utilisée pour étudier l’évolution du climat en Afrique tropicale. Les études récentes basées sur ce paramètre ont révélé une forte fluctuation de celui-ci en Afrique de l’ouest. Cette variabilité se traduit par la récurrence de la sécheresse et la migration vers le sud des isohyètes entrainant une « sahélisation » des zones soudaniennes. Ce glissement climatique est surtout noté à la fin des années 1960 traduisant un changement dans les lois de distribution des variables hydro-pluviométriques.L’objectif de cette étude consiste à mieux appréhender l’évolution de la pluviométrie dans la partie septentrionale des Rivières du Sud à travers l’indice Pluviométrique Standardisé (IPS), les tests de Pettitt et de Mann-Kendall. Il ressort des résultats de l’IPS une légère supériorité des années sèches par rapport aux années humides à Ziguinchor (20% années sèches contre 14% années humides) et à Cap Skiring avec 22% d’années sèches contre 20% d’années humides. A la station de Bissau, le nombre d’année humide est proportionnel aux années sèches (18%). Cela se traduit, selon le test de Pettitt, par une absence de rupture à Bissau et la présence de ruptures à Ziguinchor en 2004 et à Cap Skiring en 1976. Le test de Mann-Kendall révèle que seule la station de Cap Skiring présente une hypothèse alternative Ha. La p-value (0,006) étant inférieure au seuil alpha (0,05), le test affiche une tendance dans la série.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Maliboungou, J. C., Michel Lessire, and J. M. Hallouis. "Composition chimique et teneur en énergie métabolisable des matières premières produites en République Centrafricaine et utilisables chez les volailles." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 1 (1998): 55–61. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9653.

Full text
Abstract:
L'utilisation adéquate des matières premières produites en Afrique tropicale est limitée par un manque de données précises concernant leurs caractéristiques nutritionnelles et les traitements technologiques subis. La présente étude avait pour objet l'évaluation nutritionnelle de matières premières tropicales disponibles pour les volailles en République centrafricaine. Elles ont été analysées et leur digestibilité a été mesurée chez le coq adulte. Les résultats suivants ont été obtenus respectivement pour les protéines (% matière sèche) et pour l'énergie métabolisable (kcal/kg matière sèche) : maïs 10,4 et 3 943 mil 11,7 et 3 803 ; sorgho blanc 11,6 et 3 793 ; sorgho jaune 10,1 et 3 790 sorgho rouge 9,7 et ND sorgho (mélange) 10,8 et 3 797 ; manioc 1,2 et 3 341 ; niébé 24,9 et 3 111 tourteau de coton décortiqué 41,3 et 3 748 ; tourteau de coton déshuilé 45,3 et 2 522 ; farine de sang 83,7 et 2 355. Mis à part un tourteau de coton très riche en huile résiduelle, les céréales étaient incontestablement les matières premières les plus énergétiques. Les tourteaux ont présenté des teneurs en protéines et en énergie métabolisable voisines de celles rapportées dans la littérature internationale. Les graines crues de niébé avaient une digestibilité élevée alors que le manioc et la farine de sang ont présenté des valeurs inférieures à celles publiées par d'autres auteurs. Ces différences peuvent s'expliquer par des technologies de préparation spécifiques qui sont discutées.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Koudenoukpo, Zinsou Cosme, Antoine Chikou, Delphine Adandedjan, et al. "Caractérisation physico-chimique d’un système lotique en région tropicale : la rivière Sô au Sud- Bénin, Afrique de l’Ouest." Journal of Applied Biosciences 113, no. 1 (2017): 11111. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v113i1.1.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Lobreau-Callen, Danielle, and Freddy Damblon. "Spectre pollinique des miels de l'abeilleApis melliferaL. (Hymenoptera, Apidae) et Zones de Végétations en Afrique Occidental Tropicale et Méditerranéenne." Grana 33, no. 4-5 (1994): 245–53. http://dx.doi.org/10.1080/00173139409429006.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Keay, R. W. J. "L'Arbre en Afrique tropicale, Cahiers ORSTOM, Sciences Humaines, vol. XVII, Nos. 3–4. Paris: ORSTOM, 1980, 127–321 pp." Africa 55, no. 2 (1985): 235–36. http://dx.doi.org/10.2307/1160320.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Raison, Jean-Pierre. "Afrique tropicale : de l'échec de la « révolution verte » à la « révolution doublement verte » (Tropical Africa : from the "green revolution" failure to the "doubly green revolution")." Bulletin de l'Association de géographes français 74, no. 4 (1997): 423–33. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.1997.2004.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Porphyre, Vincent, and Denis Bastianelli. "Editorial - L'élevage porcin dans les pays tropicaux." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31682.

Full text
Abstract:
Les porcins assurent environ 35 % de la production de viande au niveau mondial, à égalité avec la volaille (FAOstat, 2019). En Afrique subsaharienne, cette proportion est largement inférieure en raison d’une forte tradition de production bovine et des interdits religieux autour de la consommation de viande de porc dans de larges parties de la zone. Elle représente cependant 11,9 % de la production de viande de la région et sa croissance a été de 50 % entre 2007 et 2017. Dans les régions où elle est pratiquée, la porciculture joue un rôle social et économique important lorsqu’elle se pratique à petite échelle, souvent combinée à d’autres activités agricoles.La production porcine se heurte cependant à de nombreuses difficultés sanitaires (peste porcine africaine, zoonoses), techniques (génétique, alimentation) et sociales (acceptabilité des élevages autour des lieux d’habitation). Face à ces défis, de nombreuses équipes de recherche sont mobilisées dans les différents pays producteurs. Cependant, les chercheurs sont souvent isolés et peinent à faire connaître leurs travaux à la communauté scientifique et à intégrer les réseaux scientifiques internationaux.Ce numéro thématique rassemble treize articles originaux et synthèses consacrés à la porciculture en région tropicale. Les questions socio-économiques sont abordées à travers des exemples de filières en Afrique mais aussi au Vietnam ou dans les Caraïbes. Les travaux présentés montrent les difficultés de ces filières soumises à des contraintes multiples. Souvent périurbaine, la production porcine doit se faire discrète et notamment minimiser ses nuisances. Ces conditions rendent difficiles une structuration et une professionnalisation qui permettraient un appui accru des autorités et une diminution des risques zoonotiques. Les systèmes d’élevage doivent en outre s’adapter à des contextes changeants où leur industrialisation bouleverse leur fonctionnement technique et économique et remet en question leur rôle dans les systèmes traditionnels basés sur l’intégration agriculture-élevage.Au niveau technique, l’alimentation reste la contrainte majeure pour les producteurs et le principal coût de production dans les contextes étudiés. Des pistes d’utilisation de ressources locales (tourteaux d’hévéa ou d’anacarde, patates douces) sont proposées pour diminuer l’incorporation d’ingrédients plus onéreux. Les pratiques d’alimentation autour du sevrage peuvent également améliorer le démarrage des animaux et leurs performances ultérieures. Enfin, les choix génétiques sont mis en débat, soit pour comparer les performances des porcs locaux ou améliorés, soit pour promouvoir des races locales à valeur patrimoniale.Les questions sanitaires restent une inquiétude majeure. En Afrique, la peste porcine africaine demeure une menace constante ; de plus, les pathologies sont nombreuses et impactent fortement la production. Les caractéristiques des systèmes de production et de commercialisation augmentent les risques de contamination et rendent difficiles les politiques de prévention. Il y a pourtant un défi sanitaire majeur pour les filières porcines car, au-delà de l’impact sur la production, les zoonoses, mais aussi la dispersion de souches microbiennes résistantes aux antibiotiques, sont des enjeux de santé publique prioritaire. Continuer la recherche, partager les résultats, constituer des réseaux nationaux, régionaux et internationaux : voilà autant d’efforts qui doivent être poursuivis. Au travers de ce numéro thématique, la Revue continue son travail de valorisation des résultats les plus marquants obtenus par des chercheurs travaillant dans des conditions matérielles et partenariales parfois difficiles. Nous pouvons d’ores et déjà annoncer que d’autres articles, en complément de ce numéro thématique, seront publiés dans les prochains numéros de la Revue afin de maintenir notre engagement en faveur de la promotion de la recherche porcine dans les Suds.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

KONKO, Yawo, Bareremna AFELU, and Kouami KOKOU. "Potentialité des données satellitaires Sentinel-2 pour la cartographie de l’impact des feux de végétation en Afrique tropicale : application au Togo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 347 (March 31, 2021): 59–73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.347.a36349.

Full text
Abstract:
Le réchauffement climatique est un phénomène d’envergure mondiale qui se répercute sur le système climatique. Une des conséquences du réchauffement climatique est l'extension de la période de sécheresse, favorisant ainsi l’augmentation des fréquences du phénomène des feux de végétation. Les feux incontrôlés perturbent l’écologie et la fonctionnalité des écosystèmes, entraînant parfois leur érosion. La présente étude est une contribution pour la gestion des feux de végétation au Togo et porte sur le suivi spatial pour la saison des feux 2018-2019. Elle explore la potentialité des nouvelles données satellitaires Sentinel-2 (S-2) en accès libre dans la gamme de la télédétection optique pour la détection des surfaces brûlées, la cartographie des feux utilitaires et des feux incontrôlés. Elle teste également la performance de la méthode de cartographie des feux de végétation à partir de l’indice NBR (Normalized Burn Ratio) initialement conçue pour les images Landsat et évalue la biomasse végétale brûlée. Les résultats révèlent que les images S-2 présentent du potentiel dans la restitution des surfaces brûlées. La performance de la méthode de l’indice NBR sur les images S-2 est satisfaisante. La cartographie des feux de végétation montre que les feux utilitaires représentent 21,75 % contre 78,25 % pour les feux incontrôlés. L’ensemble des feux de végétation enregistrés a occasionné l’incendie de 5 878 km2 du couvert végétal, soit 10,39 % du territoire national. Le couvert végétal brûlé est composé majoritairement de savanes (33,12 %), de cultures et jachères (24,48 %), de plantations (14,59 %), de forêts claires (14,43 %) et de forêts riveraines (13,02 %). Les résultats obtenus constituent des éléments tangibles pour le suivi, la sensibilisation, l’élaboration des plans d’aménagement, de prévention et de gestion des feux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Van Damme, P. "Atelier scientifique sur la régénération des jachères en Afrique tropicale humide (scientific workshop on fallow land regeneration in the African humid tropics)." Land Use Policy 10, no. 3 (1993): 259–60. http://dx.doi.org/10.1016/0264-8377(93)90019-7.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Lienard, V., and D. Seck. "Revue des methodes de lutte contre Callosobruchus maculatus (F.) (Coleoptera: Bruchidae), ravageur des graines de niébé ( Vigna unguiculata (L.) Walp) en Afrique tropicale." International Journal of Tropical Insect Science 15, no. 03 (1994): 301–11. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400017616.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Bourbier, Lucas, Guillaume Cornu, Alexandre Pennec, Christine Brognoli, and Valéry Gond. "Estimation à grande échelle de l'ouverture du couvert forestier en Afrique centrale à l'aide de données de télédétection." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20537.

Full text
Abstract:
Les activités humaines en forêt humide tropicale sont à l'origine de perturbations et de dégradations du fait de leur mitage du couvert forestier. Des capacités permettant de mesurer l'étendue des dégâts sont indispensables au calcul des émissions de carbone dans le cadre des programmes Redd+ (Réduction des émissions dues à la déforestation et la dégradation des forêts). La télédétection est un outil puissant pour le recueil de ce type d'information (concernant, par exemple, l'exploitation forestière ou minière ou les projets d'infrastructure). Différentes techniques sont mises en ¿uvre pour identifier et quantifier l'ouverture du couvert forestier. Il s'agit ici de les compléter en comparant l'ouverture passée et actuelle du couvert forestier afin de documenter le renouvellement des écosystèmes suite aux opérations d'exploitation forestière. Cet article présente une approche mettant en ¿uvre une chaîne de traitement semi-automatisée adaptée à l'imagerie Landsat. En post-traitement, l'information portant sur l'ouverture de la canopée est extraite à l'aide d'algorithmes spécifiques. Un index spatial, calibré sur des données radiométriques à basse résolution, indique les taux d'ouverture passés et actuels. Ce procédé fournit des estimations de la dégradation forestière permettant de décrire les données de télédétection à basse résolution (issues de Modis, par exemple) utilisées pour la cartographie terrestre. Ces estimations sont alors croisées avec des cartes de couverture terrestre afin de distinguer des catégories forestières actuelles. Cet outil a été développé dans le cadre du projet CoForChange, dont l'objectif global est de prévoir l'évolution du couvert forestier et de la distribution des essences dans le Bassin du Congo liée aux changements globaux, et de développer des outils d'aide à la décision. Cet article présente un exemple en grandeur et en temps réels, situé dans la forêt humide aux frontières de la République centrafriquaine, de la République du Congo et du Cameroun, analysé année par année à l'aide de trente années d'archives Landsat.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Faye, Cheikh, Amadou Abdoul Sow, and Jean Baptiste Ndong. "Étude des sècheresses pluviométriques et hydrologiques en Afrique tropicale : caractérisation et cartographie de la sècheresse par indices dans le haut bassin du fleuve Sénégal." Physio-Géo, Volume 9 (January 14, 2015): 17–35. http://dx.doi.org/10.4000/physio-geo.4388.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Mapongmetsem, Pierre Marie, Guidawa Fawa, Jean Baptiste Noubissie-Tchiagam, Bernard Aloys Nkongmeneck, S. S. Honoré Biaou, and Ronald Bellefontaine. "VEGETATIVE PROPAGATION Of VITEX DONIANA SWEET fROM ROOT SEGMENT CuTTINGS." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 327, no. 327 (2015): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.327.a31294.

Full text
Abstract:
Vitex doniana Sweet est une espèce à usages multiples d’une grande importance socio-économique et commune en Afrique tropicale. Malgré sa forte utilisation en mi- lieu rural, elle est encore présente à l’état sauvage. Il existe peu de données sur sa domestication. La propagation de cet arbre par bouturage de segments de racine consti- tue une alternative à sa difficile régénéra- tion sexuée. L’objectif de notre travail était d’évaluer deux des facteurs clés (substrat d’enracinement, diamètre des boutures) qui influencent l’aptitude des boutures de segments de racine (BSR) à néoformer des pousses feuillées et des racines. Le système racinaire de 23 arbres a été partiellement excavé sur une profondeur de 20 cm. Des BSR de 15 cm de long ont été disposées hori- zontalement dans des polypropagateurs sur cinq substrats différents, arrosés matin et soir. Le dispositif était un split-plot à trois ré- pétitions. Le traitement principal recouvrait cinq substrats : terre noire (Tn), sable fin (S), sciure de bois (Sc), 50 % Tn/50 % Sc (Tn- Sc) et 50 % Tn/50 % S (Tn-S). Le traitement secondaire distinguait deux classes de dia- mètre (0,5-1cm ; 1,1-2,5 cm). Après la mise en culture des BSR, le temps de latence d’émer- gence était de 8 semaines pour les pousses aériennes et 12 pour les racines. Après 28 semaines, le pourcentage de pousses feuil- lées formées variait de 28 % (Tn) à 55 % (S). Les pousses aériennes se sont développées majoritairement (82 %) sur le pôle distal. Le diamètre des BSR a déterminé le déve- loppement des pousses feuillées (P < 0,01). Le taux de bourgeonnement des BSR oscil- lait entre 21,0 ± 1,8 % pour les BSR de 0,5- 1 cm et 86,0 ± 7,8 % pour la classe 1,1-2,5 cm. Le diamètre a également impacté l’enracine- ment des BSR (P < 0,001). Le taux d’enraci- nement des BSR variait de 12,0 ± 2,3 % pour les petits diamètres à 59,3 ± 4,7 % pour les plus gros. La multiplication végétative par BSR peut améliorer la filière économique de V. doniana dans les hautes savanes gui- néennes du Cameroun.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Magona, J. W., and G. Musisi. "Effet de traitement par injection de moxidectine sur la prévalence et la production d’oeufs de strongles chez des bovins dans un système de pâturage communal en Ouganda." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 1 (2002): 35. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9843.

Full text
Abstract:
L’effet de la moxidectine sur la prévalence des infections par les nématodes chez les bovins, ainsi que sur la production d’oeufs des fèces et la contamination sur des pâturages collectifs a été évalué dans le district de Tororo en Ouganda. Dans le premier essai, un groupe traité et un autre non traité de 40 bovins chacun ont été suivis pendant une période de 12 semaines, alors que dans le deuxième essai un groupe traité et un autre non traité de 30 bovins chacun ont été suivis pendant sept mois. Dans le premier essai, la prévalence d’infection par les nématodes ainsi que le nombre moyen d’oeufs des fèces du groupe traité sont restés significativement (p < 0,05) moins importants que ceux du groupe non traité du 7e au 84e jour. Dans le deuxième essai, les traitements stratégiques ont d’abord entraîné une réduction du nombre d’oeufs de 100 p. 100 chez les bovins traités, alors que cette réduction a été de 82 p. 100 chez les bovins non traités. Par la suite, le nombre moyen d’oeufs des fèces du groupe traité est resté en dessous de 60 pendant six mois, alors que celui du groupe non traité a fluctué en fonction de la pluviométrie entre 63 et 400. De plus, la contamination au pâturage par des larves infestantes des bovins traités a été significativement (p < 0,05) plus faible que celle du groupe non traité pendant la saison humide. Les infestations au pâturage par Haemonchus spp., Bunostomum spp., Oesophagostomum spp. et Trichostrongylus spp. ont été respectivement trois fois, cinq fois, quatre fois et deux fois moins importantes chez les bovins traités que chez les bovins non traités. La moxidectine pourrait être utilisée dans la lutte stratégique contre les parasites dans les conditions de gestion communale des pâturages en Afrique tropicale par le traitement sélectif des groupes d’âges de bovins les plus affectés à la mi- et à la fin de la saison des pluies pour réduire la contamination au pâturage.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Ebodé, Valentin Brice, Gil Mahé, and Ernest Amoussou. "Impact de la variabilité climatique et de l'anthropisation sur les écoulements de la Bénoué (nord Cameroun)." Proceedings of the International Association of Hydrological Sciences 384 (November 16, 2021): 261–67. http://dx.doi.org/10.5194/piahs-384-261-2021.

Full text
Abstract:
Abstract. La sécheresse observée en Afrique tropicale vers la fin des années 1960, a également affecté le bassin de la Bénoué en Afrique centrale, avec une persistance remarquable qui s'est répercutée sur les écoulements. Les ruptures à la baisse ont été mises en évidence dans les séries hydropluviométriques de ce bassin au pas de temps annuel en 1970–1971 (pluies) et 1971–1972 (débits). Les déficits associés à cette rupture sont de -2,9 % pour les pluies et -14,2 % pour les débits, par rapport à la moyenne climatologique (1950–1951 à 2014–2015). La saison humide a connu des évolutions pratiquement identiques. Cependant, depuis la décennie 1990, il est observé un relèvement significatif dans les écoulements moyens annuels de ce cours d'eau, et cela coïncide avec le retour des pluies. Le maintien de cette hausse au cours des récentes décennies pourrait être envisagé en raison de l'accroissement des espaces imperméabilisés dans le bassin, qui compenseraient le déficit engendré par la rechute des pluies après la décennie 1990 via une accentuation du ruissèlement. De plus, depuis la mise en eau du barrage de Lagdo en 1983, il est observé non seulement une augmentation de l'ensemble des gammes de débits minima suivant des taux allant de +57,8 % (minimum sur 1 jour) à +70,1 % (minimum sur 90 jours), mais aussi un accroissement général de la variabilité de l'ensemble des débits extrêmes (minima et maxima). L'augmentation progressive du stockage en saison de pluies à la retenue de Lagdo, pour fournir l'électricité et l'eau d'irrigation durant la saison sèche à une population grandissante, rendent imperceptibles les effets de l'accroissement des espaces imperméabilisés non seulement sur les écoulements de la saison humide, mais aussi sur les écoulements maxima. Au demeurant, l'opérationnalisation du barrage de Lagdo a eu un impact significatif sur le régime de la Bénoué, se traduisant essentiellement par le caractère désormais permanent de l'écoulement tout au long de l'année hydrologique et un important fléchissement de la crue d'août à octobre. Abstract. A tendency to drought conditions appeared in tropical Africa from the end of 1960s, also affect the Benoue watershed in central Africa, with a remarkable persistence in streamflow. Negative breakpoints are found in the annual hydroclimatic time series of the Benoue catchment at annual time step in 1970–1971 for rainfall, and in 1971–1972 for discharges. Compared to the climatological mean (1950–1951 to 2014–2015), the deficits associated with these negative breakpoints are approximating −2.9 % for rainfall, and −14.2 % for discharges. The wet season shows similar developments. However, from the 1990s, there has been a significant increase in the mean annual discharges of the Benoue River, which coincides with that of the rainfall during the same decade. The maintenance of this increase over the recent decades could also be expected in response to an increase in impervious surface areas (ISA) in the catchment area, which could compensate the deficit generated by the post-1990s rainfall deficit through increasing in runoff. From the watering of the Lagdo dam in 1983, an increase in all ranges of minimum flow, ranging from +57.8 % (1 d minimum) to +70.1 % (90 d minimum), as well as an increase in the variability of extreme flows (minima and maxima), has been detected. During the wet season, the increase in water storage capacity at the Lagdo reservoir, which is used to provide electricity and irrigation water to a growing population, mitigates the increase in runoff, especially in maximum runoff. Moreover, the operationalization of the Lagdo dam has a significant impact on the Benoue hydrological regime, resulting mainly in a new perennial nature of the flow, and a significant decrease in flood from August to October.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Shipton, Parker. "Debts and trespasses: land, mortgages, and the ancestors in western Kenya." Africa 62, no. 3 (1992): 357–88. http://dx.doi.org/10.2307/1159748.

Full text
Abstract:
AbstractAgricultural programme planners have commonly assumed that, to adopt new crops and inputs, small-scale farmers need financial loans, and that private land titles help them to borrow by providing a form of collateral for mortgages. The experience of the over 2 million Luo people and others in Kenya shows how inappropriate this theory can be in a tropical African context.With a land-holding system based on patriliny, the hosting of in-laws, and other principles, Luo tend to live among kin. They continue to justify land claims largely by labour, by the presence of ancestral graves, and by the group membership these represent. These patterns persist despite individual titling by the government since the 1950s. Financial institutions trying to foreclose on defaulters, and buyers trying then to move on to those lands, face stiff social a~hd political resistance, sometimes violent. The government land register obsolesces, and double-dealing proliferates. The mortgage system breaks down.Other problems in exogenous finance are legion. Credit means debt. It also means patronage, at international, national, or local levels. Neither public nor private financial institutions have overcome the great cultural, political, or pragmatic difficulties of lending to small farmers for staple food cropping or most other farm activities. These people have important debts and obligations of their own already, some quite subtle and some long-term. The promise of more loans, the most commonly cited justification for freehold tenure, proves largely illusory in western Kenya, as in many other rural parts of tropical Africa. Aid strategies based on saving and investment, and on non-financial intervention, hold more promise.RésuméCeux qui ont établi la planification agricole ont assumé de facon générate que, pour adopter les nouvelles cultures et ressources, les fermiers à petite échelle ont besoin de prêts financiers, et que le titre de propriétaire leur permet d'emprunter en constituant une sorte d'engagement pour une hypothéque. L'exemple du peuple Luo de plus de deux millions et des autres au Kenya, montre que cette théorie n'est pas due tout appropriee dans le contexte d'une Afrique tropicale.En raison d'un systeme foncier basé sue l'héritage père-fils, le recueillement des belles-families, et d'autres principes, les Luo ont tendance à vivre en communaute familiale. Us continuent à justifier leurs demandes de terres essentiellement par leur travail effectué, par la présence des tombes ancestrales, et par l'appartenance au groupe que celles-ci représentent. Ces modèles persistent, même depuis que le gouvemement a attribué des titres de propriété individuels à partir des années 1950. Les institutions financières qui tentent de saisir les débiteurs, et les acheteurs qui essaient de prendre possession de ces terres, se heurtent à une résistance ferme à la fois sociale et politique, et parfois même violente. Le registre des terres du gouvemement tombe en désuetude, et le procédé du double-jeu prolifère. Le système de l'emprunt s'effondre.Les autres problèmes en finance exogène sont multiples. Le credit est un signe de dette. II signifie aussi le patronage, aux niveaux international, national, ou local. Aucunes institutions financières publiques ou privées n'ont pu surmonter les grandes difficultés culturelles, politiques ou pragmatiques pour prêter à de petits fermiers pour la production alimentaire de base ou la plupart des autres activités de la ferme. Ces gens ont déjà leurs propres dettes de reconnaissance, à plus ou moins long terme. La promesse d'emprunts supplémentaires, ce qui est le plus regulièrement utilisé pour justifier la propriété fonciére libre, se revèle être fortement illusoire dans le Kenya de l'ouest, comme dans beaucoup d'autres régions de l'Afrique tropicale. Les stratégies d'aides basées sur l'épargne et l'investissement, ainsi que sur des interventions non financieres donnent plus d'espérances.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "A Charter for Nature Protection in Tropical Africa." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (2015): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31245.

Full text
Abstract:
Lors de la Conférence sur la Conservation de la faune et de la flore à Bukavu (26-31 octobre 1953), une délégation française a présenté une recommandation, adop- tée à l’unanimité, en faveur d’une poli- tique générale de protection de la nature en Afrique. La Convention de Londres de 1933, réservée à la « conservation de la faune et de la flore à l’état naturel », appa- raît en effet insuffisante. La conservation de quelques espèces animales ou végé- tales, et la constitution de parcs nationaux et de réserves naturelles ne constituent en effet qu’un point particulier d’une pro- tection de la Nature qui doit s’étendre à la protection du milieu dans lequel vit l’humanité africaine. Il s’agit de protéger la couverture végétale spontanée, protec- trice des eaux et des sols. Celle-ci recouvre les forêts mais aussi les « brousses » in- déterminées. Une convention spécifique à l’Afrique se justifie parce que la nature africaine est différente et plus gravement menacée que d’autres. Elle l’est par le ca- ractère extrême de son climat, mais aussi par les feux de brousse et l’agriculture sur brûlis, qui font vivre une population sous-alimentée. La savanisation, l’appau- vrissement et l’érosion des sols, la déser- tification y progressent. Une politique de protection commune à tous les territoires africains est devenue indispensable pour assurer cette protection, comme elle l’est tout autant pour lutter contre les épidé- mies. L’Afrique est un tout qui ne connaît pas de frontières, mais rassemble des régions naturelles interagissant au plan climatique. Au-delà d’une Charte pour la protection de la nature en Afrique, il s’agit toutefois bien de la protection des popula- tions africaines, lesquelles ne doivent ce- pendant pas être soumises à un planisme scientifique qui ignorerait leurs pratiques coutumières.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Degrémont, Antoine. "Maladies transmissibles, systèmes de santé et aide humanitaire en Afrique." Revue Internationale de la Croix-Rouge 76, no. 808 (1994): 397–405. http://dx.doi.org/10.1017/s0035336100090201.

Full text
Abstract:
Où en sommes-nous, quelles leçons tirer et quelles stratégies adopter en matière de contrôle des maladies transmissibles? Ceci, quinze ans environ après deux événements majeurs dans le développement de la santé: la Déclaration d'Alma Ata sur les soins de santé primaires et la découverte du dernier cas mondial de variole. Telles sont les questions auxquelles nous nous efforcerons de répondre dans cet article, sur la base de l'expérience de l'Institut Tropical Suisse en Afrique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Silvain, Jean-François, Alain Kermarrec, Orville Marti, Alvin Simmons, and Bernard Lalanne-Cassou. "Ectoparasitic nematodes (Aphelenchoidoidea: Acugutturidae) of Lepidoptera and Blattodea in Guadeloupe." Nematology 2, no. 6 (2000): 669–84. http://dx.doi.org/10.1163/156854100509538.

Full text
Abstract:
AbstractA total of 935 Lepidoptera, primarily moths of the family Noctuidae, were collected during two surveys (1985-86 and 1996) in Guadeloupe and examined for the presence of ectoparasitic nematodes, Noctuidonema Remillet & Silvain, or Vampyronema Hunt (Aphelenchoidoidea: Noctuidonematinae). Nematodes were found on 24 of 84 species of Noctuidae, two of four species of Sphingidae and one of ten species of Geometridae. New host records are reported for 19 species of Lepidoptera in Guadeloupe and one in the United States. Noctuidonema occurred more frequently on the Noctuidae than on other families of Lepidoptera. More infested moths, particularly males, were collected from xerophilic habitats than from mesophilic-hygrophilic habitats, and more were collected during the dry season than during the rainy season. A total of 94 Blattodea (Periplaneta americana L.) were collected in 1996-97 from French Guiana, Guadeloupe, Mexico, and Saint Lucia, and were examined for the presence of Acugutturus parasiticus Hunt, an ectoparasite of that species. A. parasiticus, previously known only from P.americana from Saint Lucia, was found again on that island, as well as in Guadeloupe, but not on P. americana collected from French Guiana or Mexico. The host list of Insecta (Lepidoptera and Blattodea) parasitised by ectoparasitic nematodes of the family Acugutturidae is emended and updated. At present, 69 species of Lepidoptera in 43 genera, 12 sub-families, and six families are known as hosts of Noctuidonema or Vampyronema. With the single exception of Spodoptera litura (F.) in East Java, all Lepidoptera species reported as hosts of ectoparasitic nematodes occur in the Americas or the Fiji islands. No systematic search has been conducted for ectoparasitic nematodes on Lepidoptera in tropical Africa or Asia. The importance of these nematodes in the ecology of Lepidoptera and Blattodea is largely unknown. Noctuidonema diabolia is transferred to the genus Vampyronema as Vampyronema diabolia n. comb. Nématodes (Aphelenchoidoidea: Acugutturidae) ectoparasites de Lepidoptera et de Blattodea en Guadeloupe - Un total de 935 Lépidoptères, principalement des papillons de la famille des Noctuidae, ont été capturés au cours de deux études (1985-86 et 1996) en Guadeloupe et examinés pour détecter la présence du nématodes ectoparasites, Noctuidonema Remillet & Silvain ou Vampyronema Hunt (Aphelenchoidoidea: Noctuidonematinae). Des nématodes ont été trouvés sur 24 des 84 espèces de Noctuidae, deux des quatre espèces de Sphingidae, et une des dix espèces de Geometridae. Ils ont été trouvés chez 19 espèces de Lépidoptères non signalés précédemment comme hôtes de nématodes ectoparasites en Guadeloupe, et chez une nouvelle espèce hôte aux EtatsUnis. Noctuidonema a été trouvé plus fréquemment sur les Noctuidae que sur d'autres familles de Lépidoptères. Davantage de papillons infestés (surtout des mâles) ont été capturés dans les habitats xérophiles que dans les habitats méso- et hygrophyles, de même plus de papillons infestés ont été capturés pendant la saison sèche que pendant la saison des pluies. Un total de 94 blattes (Periplaneta americana) ont été capturés en 1996-97 en Guadeloupe, en Guyane française, au Mexique et à Sainte Lucie et ont été examinées pour détecter la présence d'A. parasiticus, un nématode ectoparasite de cette espèce. A. parasiticus, précédemment décrit uniquement sur P.americana à Sainte Lucie, a été trouvé à nouveau sur cette île et également en Guadeloupe. Par contre, cette espèce n'a pas été trouvée sur P.americana au Mexique ni en Guyane française. La liste des insectes parasités par les nématodes ectoparasites de la famille des Acugutturidés est modifiée et mise à jour. Actuellement, 69 espèces de Lépidoptères dans 43 genres, 12 sous-familles et six familles sont connues comme hôtes de Noctuidonema. A l'exception de Spodoptera litura (F.) trouvé dans l'est de l'île de Java, toutes les espèces de Lépidoptères signalées comme hôtes de Noctuidonema ou de Vampyronema se trouvent en Amérique ou aux îles Fidji. Aucune recherche systématique n'a été entreprise pour rechercher les nématodes ectoparasites des Lépidoptères en Afrique tropicale ou en Asie et l'importance de ces nématodes dans l'écologie des Lépidoptères est en grande partie inconnue. On a transfer Noctuidonema diabolia au genre Vampyronema comme Vampyronema diabolia n. comb.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Galli, Jacopo. "A cosmopolitan manual in decolonizing Africa: Fry&Drew's tropical architecture in the dry and humid zones." SAJ - Serbian Architectural Journal 8, no. 2 (2016): 193–216. http://dx.doi.org/10.5937/saj1602193g.

Full text
Abstract:
Edwin Maxwell FRY and Jane Drew are best known for their role in the construction of Chandigarh alongside Le Corbusier, however, their Indian experience was proceeded by a long career in West Africa that began during WWII and lasted until the end of the 50's. Fry&Drew were active in Ghana and Nigeria constructing an impressive amount of buildings: schools, universities, houses, villages, office buildings and museums. Their on-site experience was conceptualized in the book Tropical Architecture in the Dry and Humid Zones published in its final version in 1964. This paper aims to analyze the manual as an attempt to establish a cosmopolitan and modern design system specific for the tropical areas. An experimental and scientific approach that saw in climatic data a tool in the creation of a new rootedness of modern architecture not based on cultural analysis or vernacular reinterpretation but on the complex analysis of local conditions in order to provide inhabitants with suitable design solutions. Tropical Architecture in the Dry and Humid Zones as a manifesto of a regionalist modernism, two apparently opposite terms that find a reconciliation in a design system that seeks to build a new cosmopolitan modernity.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Loubota Panzou, Grace Jopaul. "Biomasse et stocks de carbone en Afrique centrale : importance de l’allométrie des arbres." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 343 (March 31, 2020): 85–86. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.343.a31853.

Full text
Abstract:
Quantifier les stocks de biomasse et de carbone dans les forêts tropicales est essentiel pour la mise en œuvre des stratégies d’atténuation des changements climatiques, et notamment le mécanisme de réduction des émissions dues à la déforestation et la dégradation des forêts. Les scientifiques s’accordent aujourd’hui à utiliser une équation allométrique de biomasse générale, combinée à une allométrie hauteur-diamètre ajustée sur des données locales non destructives. Or, l’allométrie des arbres varie entre les espèces et stratégies fonctionnelles d’une part, entre les types de forêts et conditions du milieu d’autre part. L’objectif de cette thèse de doctorat était d’étudier les variations de l’allométrie des arbres entre espèces coexistantes, et entre sites et types de forêts, en vue d’améliorer les estimations de la biomasse et des stocks de carbone en Afrique centrale. Les variations des allométries hauteur-diamètre et houppier-diamètre ont été rapportées pour les 45 espèces d’arbres coexistantes d’un site représentatif des forêts semi-décidues à Celtis du nord du Congo. Les relations entre les traits architecturaux dérivés à partir des allométries spécifiques aux espèces et les traits fonctionnels ont mis en évidence un continuum d’espèces entre les espèces de grande taille dominant la canopée et les espèces de petite taille dominant le sous-bois. Les espèces d’arbres de grande taille étaient exigeantes en lumière, dispersées par le vent, décidues avec une large contribution à la biomasse forestière, alors que les espèces d’arbres de petite taille étaient tolérantes à l’ombrage, dispersées par les animaux, sempervirentes et plus abondantes en densité de tiges. Les variations des allométries hauteur-diamètre et houppier-diamètre ont été également montrées entre les types de forêts en Afrique centrale. Ces tendances étaient en outre confirmées pour les espèces communes entre les types de forêts, suggérant un contrôle environnemental sur les variations de l’allométrie des arbres. Des attributs architecturaux dérivés des allométries spécifiques aux sites, en plus des attributs plus classiques de structure et de composition, ont pu être dérivés et reliés aux variations spatiales de la biomasse et des stocks de carbone. Cette thèse de doctorat a fourni de nouvelles données pour les futures cartes de biomasse dans le cadre du suivi du carbone forestier en Afrique centrale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

LHOEST, Simon. "Biodiversité et services écosystémiques en forêts tropicales : le rôle des affectations des terres forestières dans la région du Dja, Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 345 (November 2, 2020): 105–6. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.345.a31949.

Full text
Abstract:
Des dizaines de millions de personnes dépendent des forêts tropicales pour leur subsistance en Afrique centrale. Ces écosystèmes abritent une biodiversité unique et fournissent d'importants services écosystémiques (SE), qui peuvent varier en fonction des stratégies de gestion. Dans cette thèse de doctorat, nous avons évalué la biodiversité et les services écosystémiques dans le paysage du Dja au Cameroun, dans trois affectations des terres forestières : une aire protégée, une concession forestière certifiée FSC et trois forêts communautaires. Tout d'abord, nous avons évalué la valeur de conservation des forêts sur la base de la richesse et de la composition en espèces de deux groupes taxonomiques : les mammifères et les bousiers. Les espèces les plus grandes et les plus menacées ont été détectées dans l’aire protégée et les zones les plus éloignées de la concession forestière, mieux préservées de l'influence humaine. En revanche, les forêts communautaires sont particulièrement défaunées et dégradées en raison de leur proximité avec les routes et les villages, mais elles couvrent des superficies beaucoup plus limitées et conservent une canopée fermée. Deuxièmement, des entretiens identifiant les perceptions de l'offre en SE ont montré que, contrairement aux services de régulation qui ont été rarement mentionnés, les services d’approvisionnement et culturels sont les plus importants pour les populations locales. Parmi ceux-ci, la viande de brousse est le seul service pour lequel l’offre de la forêt n’est pas suffisante pour les populations locales. Troisièmement, en combinant des entretiens et enquêtes de terrain, nous avons quantifié l'utilisation de huit SE d'approvisionnement et culturels par les populations locales. Nous avons constaté que le bois de feu et le bois d'œuvre sont utilisés de manière durable par les populations locales, tandis que la chasse et la consommation de viande de brousse dépassent les seuils de durabilité. Concilier la conservation de la faune sauvage, la sécurité alimentaire et les pratiques de chasse durable est un défi majeur en Afrique centrale. Pour ce faire, il est essentiel d’intégrer toutes les parties prenantes dans les stratégies de gestion forestière durable, permettant d’identifier les leviers sociaux qui sous-tendent les changements de comportement des utilisateurs des forêts.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Senesse, Suzanne. "Polymorphisme pollinique du genre tropical Dialium L. (Caesalpinioideae, Légumineuse)—implications biogéographiques et évolutives en Afrique." Review of Palaeobotany and Palynology 84, no. 3-4 (1995): 347–64. http://dx.doi.org/10.1016/0034-6667(94)00056-p.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Gbenyedji, Jean Norbert B. K., Boris Dodji Kasseney, Seth Wolali Nyamador, et al. "Evaluation Des Attaques De Termites (Isoptera Brulle, 1832) Sur Quatre Essences Forestieres D’importance Economique Au Togo (Afrique De L’ouest)." European Scientific Journal, ESJ 12, no. 9 (2016): 333. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2016.v12n9p333.

Full text
Abstract:
Termites are one of the most abundant invertebrates in tropical ecosystems, where they play a major ecological role in litter decomposition. Despite their important role, termites can cause considerable damage to wood structures in most tropical countries. The aims of this study was to evaluate termite attack in four economically important species in Togo including Antiaris africana Engl (Moraceae), Pterocarpus erinaceus Poir (Fabaceae), Triplochiton scleroxylon Schum (Malvaceae) (all local species) and teak or Tectona grandis Linné (Lamiaceae). For the latter species, termites were infested on 83.49% of 630 feet examined. However, the rate and type attacks differ from one plantation to another. On the studied forest species, termites were collected on about 97% of Triplochiton scleroxylon feet. For this species, at least 31% of examined feet have had their wood attacked. For the other two species, Pterocarpus erinaceus and Antiaris africana respectively about 80% and 67% of examined feet were attacked by termites. Amitermes evuncifer, Ancistrotermes guineensis and Microtermes lepidus were species of termite often harvested from trees examined. However the last two species namely A. guineensis and M. lepidus are encountered on the bark of trees inside veneers unlike A. evuncifer harvested in the heart of the wood. Therefore, the latter species deserves special attention as likely to cause serious damage not only to these species but also other species not taken into account in this study. It is therefore necessary to consider adequate control methods against these species.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography