Academic literature on the topic 'Agriculture biologique – Philosophie'

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Journal articles on the topic "Agriculture biologique – Philosophie"

1

Rehmann, Christoph. "Biologie und Philosophie. Menschenbilder - Erkenntnisweisen - Weltbilder. Von Heinz Fäh. 126 Seiten. Metzler, Stuttgart 1984. DM 13,80." Biologie in unserer Zeit 15, no. 3 (June 1985): 95. http://dx.doi.org/10.1002/biuz.19850150311.

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2

Delsol, Michel, and Janine Flatin. "Qu'est-ce qu'une grande theorie biologique?" Acta Biotheoretica 39, no. 3-4 (December 1991): 363–73. http://dx.doi.org/10.1007/bf00114188.

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3

Hunault, G., F. Beaujard, H. B. Lück, and J. Lück. "Infogenese en biologie vegetale." Acta Biotheoretica 39, no. 3-4 (December 1991): 253–70. http://dx.doi.org/10.1007/bf00114180.

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4

Dugué, Bernard. "Un modele ondulatoire en biologie." Acta Biotheoretica 40, no. 2-3 (September 1992): 237–44. http://dx.doi.org/10.1007/bf00168151.

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5

Cusset, Gérard. "Les modeles sigmoides en biologie vegetale." Acta Biotheoretica 39, no. 3-4 (December 1991): 197–205. http://dx.doi.org/10.1007/bf00114175.

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6

Pichot, André. "Physico-chimie, biologie, information et connaissance." Acta Biotheoretica 39, no. 3-4 (December 1991): 375–86. http://dx.doi.org/10.1007/bf00114189.

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7

Vincent, Louis-Marie. "Reflexions sur l'usage, en biologie, de la theorie de l'information." Acta Biotheoretica 42, no. 2-3 (September 1994): 167–79. http://dx.doi.org/10.1007/bf00709488.

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8

REICHENBACH, HERMAN. "MÜLLER, GERHARD H. (Editor). Themen zur Geschichte der Biologie—Zum 60. Geburtstag von Professor Dr Armin Geus (Philosophia scientiae, Cahier spécial 2). Presses Universitaires de Nancy, Nancy: 1998. Pp 258, 7 ill. Price 130 FF. ISSN 1281-2463 (paperback)." Archives of Natural History 26, no. 3 (October 1999): 438–39. http://dx.doi.org/10.3366/anh.1999.26.3.438a.

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9

Doyon, Sabrina. "Environnement." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.007.

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Abstract:
Le mot environnement est polysémique. Selon les contextes et les disciplines, on peut référer à l’environnement physique, naturel ou social. Il est parfois associé, à tort, aux notions d’écosystème et de ressources naturelles. Ces ambiguïtés sont intéressantes du point de vue de l’anthropologie, car elles révèlent la multitude de réalités auxquels le terme réfère ainsi que les divers usages et pratiques auxquels il est lié et, surtout, aux différentes façons dont il peut être pensé, imaginé, transformé, projeté et vécu selon les groupes sociaux et culturels. Depuis les années 1960, les préoccupations liées à l’environnement sont très présentes. Cette situation est à mettre en lien avec trois phénomènes : l’émergence des inquiétudes à l’égard de la contamination causée par l’industrialisation et envers la surexploitation de la nature qui sont sans cesse croissantes, l’avènement des mouvements écologistes et environnementalistes qui ont publicisé ces enjeux dans la société et l’institutionnalisation de l’environnement, notamment par la mise en place un peu partout dans le monde de ministères de l’Environnement, de politiques environnementales et de législations concernant l’usage de la nature. Tout en interrogeant les concepts de nature et de culture, plusieurs approches au sein de l’anthropologie questionnent l’environnement par l’étude des différents types de rapports qu’entretiennent les êtres humains avec ce qui les entoure, ce qui les supporte et les constitue. L’écologie culturelle de Steward (Steward 1955), l’approche écosystémique de Rappaport (1967), l’ethnoscience et l’ethnoécologie (Haudricourt 1956), l’œuvre d’anthropologie structurale de Lévi-Strauss, les travaux relatifs aux rapports à la nature, des vivants et des non-vivants (Ellen et Katsuyochi 1996; Descola 2005; Viveiros de Castro 2009), et ceux propres à la perception et à « l’habiter » (Ingold 2000) sont parmi les approches anthropologiques ayant fait de l’environnement et de la nature le centre de leur réflexion. Elles s’inscrivent à la fois dans les courants matérialistes et symboliques de l’anthropologie et dans les écoles anglo-saxonnes et françaises de l’étude des relations socio-environnementales. Ces catégorisations ne sont toutefois pas absolues : des chevauchements et des emprunts enrichissent aujourd’hui les réflexions de chacun. Depuis les années 1990, les recherches anthropologiques concernant les relations entre l’environnement et les êtres humains sont nombreuses, variées et croissantes; elles intègrent souvent des approches propres à d’autres disciplines, telles que la géographie, la sociologie, les sciences politiques et la philosophie, et combinent des recherches fondamentales et appliquées. L’écologie politique (political ecology : approche critique des changements environnementaux qui analyse les liens entre des enjeux écologiques et d’économie politique) est un exemple de courant théorique phare qui intègre ces disciplines et qui rallie de nombreux chercheurs en anthropologie (Bryant et Bailey 1997; Escobar 1996; Gauthier et Benjaminsen 2012; Biersack et Greensberg 2006; Peet, Robbins et Watts 2011). Les efforts de compréhension de la pluralité des modes d’interprétation, de représentation et d’incorporation de l’environnement se nourrissent aussi d’études en histoire environnementale et questionnent les perceptions et les constructions sociales de la nature. Les concepts de natures humanisées (issues d’aménagements ou de perturbations anthropiques) y sont mis en rapport avec ceux de natures « sauvages et primaires »; des remises en question des idéaux de la wilderness, évoqués dans la tradition anglo-saxonne (Cronon 1995; Balée 2006), en émergent, démontrant qu’une supposée nature originelle n’aurait jamais existé et que l’environnement est, au contraire, travaillé, médié, construit par des actions humaines depuis la présence des premières communautés humaines. Ces clarifications amenées par l’anthropologie s’ancrent dans des compréhensions de la nature organisées par des savoirs environnementaux locaux et autochtones (Menzies 2006) qui sont souvent discrédités par la science positiviste occidentale (Fairhead et Leach 2003). Ces recherches sont également alimentées par des réflexions récentes en sciences de l’environnement où le modèle homéostatique de la nature (dans lequel les écosystèmes, en tant que systèmes, tendraient vers un équilibre via des mécanismes de rétroaction régulateurs) est contesté, préférant des approches qui intègrent le chaos et l’incertitude (Scoones 1999). Dans tous les cas, ces recherches s’attachent à montrer que les divisions conceptuelles entre la nature et la culture, la société et l’environnement ne sont pas universelles et s’ancrent plutôt dans des constructions modernes (Latour 1991). Ces réflexions foisonnantes ne sont pas étrangères aux analyses anthropologiques des discours environnementaux qui s’intéressent notamment à la cristallisation de certaines formules, telles que : les forêts cathédrales, le développement durable, la désertification et les changements climatiques (Crate et Nuttall 2009; Redclift 1987; Sachs 1993) et à leurs portées sociale et culturelle. Plusieurs auteurs exposent ainsi les conséquences sociales et politico-économiques variées, tant locales qu’internationales, des discours globalisés sur l’environnement dont les enjeux, connotés de conceptions « occidentales » anthropocentristes du rapport à la nature, sont énoncés et répétés par un petit groupe d’experts lors de récurrentes « grandes messes » internationales que sont les Conventions cadre des Nations unies sur les changements climatiques, les Conventions sur la diversité biologique et les Sommets de la Terre. Ces nouveaux processus politiques par lesquels l’environnement est gouverné et contrôlé, nommé environnementalité (Agrawal 2005), constituent des phénomènes où la nature est conçue comme un espace propre à l’intervention du gouvernement. Les anthropologues s’intéressent à ces processus, ainsi qu’aux enjeux qui y sont discutés, comme la justice environnementale, les réfugiés climatiques et le racisme environnemental, des termes qui témoignent de l’intrication sociale, politique, économique et culturelle inhérente à la situation écologique mondiale actuelle. Des recherches examinent également les mécanismes de négociation des enjeux élaborés lors de ces évènements et les structures qui codifient les échanges permettant à certaines voix d’être entendues tandis que d’autres sont tues. Les discours environnementaux globalisés sont au cœur des mouvements de protection de la nature, engendrés tant par des organismes privés qu’étatiques, qui s’incarnent notamment dans la création, exponentielle depuis les années 1980, de parcs naturels, de réserves ou d’aires protégées (Adams et Hutton 2007; West, Igoe et Brockington 2006). La constitution de ces territoires n’est pas nouvelle : elle a ses racines dans la colonisation de l’Amérique du Nord, de l’Afrique et de l’Inde. Elles furent d’abord créées à l’initiative des colonisateurs qui voulurent protéger une nature « sauvage » idéalisée comme étant vierge et qu’ils « découvraient »; une nature dont le caractère inaltéré avait, selon eux, disparu en Europe. L’instauration de ces parcs se fit cependant au prix de l’expulsion des populations autochtones qui les occupaient (Igoe et Brockington 2007). Les études des rapports qu’entretiennent spécifiquement les populations autochtones avec l’environnement sont d’ailleurs très riches et nombreuses et constituent tout un champ de recherche (Colchester 2003[1994]). Les anthropologues étudient comment la création de ces aires protégées, en transformant des paysages en lieux de contemplation et de protection de la nature, contribue à transformer l’espace et les rapports sociaux. L’espace est d’ailleurs un concept de plus en plus utilisé en anthropologie dans l’examen des relations socio-environnementales. Ces espaces protégés sont aussi le lieu d’initiatives de patrimonialisation de la nature (Roigé et Frigolé 2010) qui ne sont pas sans soulever des questionnements critiques. Le développement du tourisme et de l’écotourisme dans ces espaces protégés (Duffy 2008, Stronza 2001) amènent, entre autres conséquences, une valorisation de certaines espèces « charismatiques » au détriment d’autres entités constituant les écosystèmes. L’exploitation de la nature par le truchement de systèmes de production mécanisés et industriels en agriculture, dans les pêches, la foresterie, l’exploitation minière et l’extraction des carburants fossiles est au cœur des préoccupations de l’anthropologie de l’environnement. Cette dernière questionne les modes d’appropriation de ces « ressources naturelles » en s’intéressant notamment aux préoccupations de l’éthique environnementale, des mouvements écologistes et environnementalistes (Peluso 1992; Latour 2004) ainsi que des autres mouvements sociaux, notamment anarchistes et féministes, qui s’insurgent contre des modèles de développement de l’environnement délétères, sexistes et iniques (Rocheleau, Thomas-Slayter et Wangari 1996). Ces préoccupations s’arriment à celles exprimées à l’égard des effets de la privatisation, de la marchandisation et de la re-régulation des dimensions fonctionnelles, symboliques, esthétiques et contemplatives de la nature et du vivant, ce que se propose d’étudier un nouveau courant anthropologique se penchant sur les processus de la « néolibéralisation » de l’environnement (Castree 2008; Igoe et Brockington 2007).
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Dissertations / Theses on the topic "Agriculture biologique – Philosophie"

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Richardson, Mary. "Polycultures of the mind : organic farmers in Québec and the recovery of agency." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25408/25408.pdf.

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Besson, Yvan. "Histoire de l'agriculture biologique : une introduction aux fondateurs, Sir Albert Howard, Rudolf Steiner, le couple Müller et Hans Peter Rusch, Masanobu Fukuoka." Troyes, 2007. http://www.theses.fr/2007TROY0003.

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Abstract:
L’agriculture biologique émane d’une critique sociale et agronomique : celle de l’industrialisme et du capitalisme qui tendraient à empêcher l’existence même des agriculteurs, et celle de l’agrochimie qui exploiterait les terres sans entretenir correctement leur fertilité. D’une manière générale, l’agrobiologie émerge d’une contestation politique romantique de la modernité, avec toute la complexité de ce courant d’idées. Nostalgie du monde paysat, recherche d’une harmonie de l’agriculture avec la nature, tendance au mysticisme biologique, refus du désenchantement du monde, influences de l’Orient, critique de l’extension de la soif du profit, constituent les thèmes récurrents, plus ou moins accentués selon les fondateurs Howard, Müller, Rusch, Fukuoka. Avec Steiner, les racines de l’agrobiologie plongent dans l’occultisme. Une clarification épistémologique et philosophique de la diversité de ces enjeux culturels s’imposait. Sur le plan agronomique, les critiques tournent autour du thème de l’oubli agrochimique du sol et de l’importance de l’humus pour le maintien de la fertilité et la qualité nutritionnelle des produits agricoles. Outre une économie fondée sur l’agriculture, les alternatives proposées concernent la prise en charge de la commercialisation par les producteurs et un renouveau des techniques de la fertilisation organique, surtout avec le compostage et les engrais verts. De plus, la réflexion sur la nature comme modèle invite aussi à un rapprochement de l’agriculture avec la forêt, lequel trouve aujourd’hui un prolongement inédit dans une agroforesterie intégrant l’amendement au bois raméal fragmenté
Organic farming originates from a social and agronomical criticism of industrialism and capitalism which tend towards the complete disappearance of farming, and of agricultural chemistry which exploits land without properly maintaining its fertility. In general, organic farming emerged from a romantic political contestation of modernity in all its complexity. Nostalgia for country life, a search fro harmony between farming and nature, a tendency towards biological mysticism, refusal of disillusion with the world, oriental influences, criticism of expansion of thirst for profit, all are recurrent themes, more or less underlined by the founders Howard, Müller, Rusch and Fukuoka. According to Steiner, organic farming plunges its roots in occultism. An epistemological and philosophical clarification on these various cultural issues became necessary. From an agronomical point of view, the criticism concerns themes of agricultural chemistry’s neglect for soil quality, importance of humus in the preservation of soil fertility and nutritional quality of agricultural produce. Apart from an economy based on farming, the alternatives proposed are marketing by producers and a return to organic fertilization techniques using compost and green manures. In addition, the idea of using nature as a model invites a comparison of farming with forestry, which today is compounded by agroforestry methods incorporating Ramial Chipped Wood
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Paratte, Réjane. "Produire avec la nature : ou comment la production intégrée recompose les agents biologiques, chimiques et humains dans une arboriculture marchande." Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0553.

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Abstract:
Cette recherche s'interroge sur les relations nature/culture dans une agriculture industrielle: l'arboriculture fruitière en Suisse et en France. Elle examine les recompositions entre humains et non humains, qu'implique la production d'un fruit marchandise dans une démarche de réduction de pesticides, la production intégrée. Ce travail est centré sur les activités des producteurs: la mise en place du verger moderne et les défis parasitaires concomitants qui se présentent aux arboriculteurs, le travail de surveillance des vergers pour affronter ces défis, la mobilisation de processus biologiques et écologiques pour y répondre, le recours à des armes chimiques complétant ou se substituant à ces processus, et enfin la mise en marché des fruits. Ce travail révèle la complexité du défi que se donnent les arboriculteurs en production intégrée: revoir la protection des cultures en gardant le verger moderne, avec ses outils de lutte chimique et ses objectifs marchands, à l'origine de ses failles, tout en ajoutant des outils de lutte biologique et des objectifs environnementaux et sanitaires. La difficulté de lutter contre les ennemis fait apparaître une nature régie par le marché mais qui ne pourra jamais être totalement artificialisée, une nature capable d'évoluer au gré des facteurs humains et non humains, obligeant les arboriculteurs à s'adapter à leur tour
This research examines the nature/culture relationship within industrial agriculture, especially the production of fruit in Switzerland and France. It analyses the reconfiguration of human and non human agencies associated with the implementation of methods aimed at reducing the use of pesticides, namely integrated production. Drawing on an ethnographic work, the analysis focuses on the growers' activities: the establishment of modern orchards and the pests that challenge them, the key work of monitoring the orchard in order to address the risk of damages, the mobilization of processes based on natural functioning to address these pests, the use of chemical weapons supplementing or substituting these biological and ecological processes, and finally the marketing of fruits. This work reveals the complexity of the challenges with which growers are confronted: integrated production requires rethinking crop protection practices while keeping tyhe modern orchard. Producing with nature therefore adds biological control tools and environmental and health objectives to existing chemical tools and market objectives which have brought about the vulnerability to pest. The difficulty of fighting against the enemies of the orchard reveals a concept of nature governed by the market but that can never be totally standardized, a nature that evolves according to human and non human actions forcing growers to adapt to these ever-changing conditions
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Faysse, Nicolas. "L'influence des règles collectives d'allocation de l'eau sur les choix stratégiques des agriculteurs : des petits périmètres irrigués tunisiens aux prélèvements en rivière dans le bassin de l'Adour." Phd thesis, Université de Nanterre - Paris X, 2001. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00515643.

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Abstract:
Le contexte étudié est celui d'un système irrigué qui connaît une pénurie en eau structurelle. La thèse compare différentes règles d'allocation de l'eau et de taxation lorsqu'on tient compte des inévitables marges de manoeuvre dont disposent les irrigants, notamment en ce qui concerne la surface mise en culture, l'équipement ou la stratégie d'irrigation. Ces marges de manoeuvre peuvent engendrer une interdépendance entre les agriculteurs : les interactions qui en découlent sont déterminées à l'équilibre. De façon très générale, on peut définir des règles d'allocation de type ex ante, où chaque agriculteur reçoit une quantité d'eau indépendante de ses choix et de ceux des autres agriculteurs, et des règles de type ex post qui distribuent l'eau en fonction des choix effectués. Si les règles de type ex post permettent de bien valoriser l'eau sur l'ensemble du système irrigué et peuvent organiser un partage efficace du risque, elles créent aussi par la même occasion des interactions stratégiques qui aboutissent à un sur-assolement. Une comparaison est faite entre règles ex ante et ex post, avec des agriculteurs qui n'ont pas la même capacité à valoriser l'eau lorsque la ressource à partager est connue, et avec des agriculteurs d'aversions au risque différentes lorsque la ressource est incertaine. De plus, quand le coût d'audit du respect des allocations est important, le gestionnaire doit mettre en regard l'acquisition de plus d'information pour diminuer l'iportance de ces interactions, et le coût d'acquisition de cette information. Ces questions sont appliquées sur deux terrains d'étude: de petits périmètres irrigués en Tunisie centrale gérés par des associations d'irriguants, et le bassin de l'Adour dans le Sud-Ouest de la France, où la culture intensive du maïs provoque des tensions sur la ressource pendant l'été.
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Books on the topic "Agriculture biologique – Philosophie"

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The Lysenko affair. Chicago: University of Chicago Press, 1986.

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