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Guimberteau, Guillaume, Olivier Terraz, and Stéphane Mérillou. "Modélisation volumique de bois par simulation de croissance." Techniques et sciences informatiques 25, no. 6 (July 1, 2006): 735–57. http://dx.doi.org/10.3166/tsi.25.735-757.

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Mariaux, Alain, and Ilona Bossanyi. "NATURE AND PERIODICITY OF GROWTH RINGS IN AFRICAN TIMBER: CAN THEY BE USED TO DETERMINE THE AGE OF TREES?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 327, no. 327 (December 19, 2015): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.327.a31296.

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Abstract:
Dans une démarche de planification de l’exploitation forestière, il est nécessaire de connaître à quel âge les arbres afri- cains peuvent être exploités, ceci autant pour le bois d’œuvre en forêt dense hu- mide que pour le bois énergie en savane. Or, le suivi de la croissance sur plusieurs années est rarement assuré. Les cernes de croissance peuvent-ils dès lors fournir une estimation au moins approximative de l’âge des arbres exploitables ? Cet article méthodologique publié en français il y a bientôt 40 ans, aujourd’hui traduit en anglais, présente d’abord de manière générale et dans une première partie la nature et l’anatomie des cernes des arbres de bois africains. Il précise alors de quelle manière ces cernes, quand ils sont peu visibles à la loupe, peuvent être individualisés et comptabilisés par traitement mécanique de surface puis radiographie aux rayons X. La seconde partie est consacrée aux moyens de dé- terminer la périodicité de formation des cernes. Elle intègre bien entendu la dif- ficulté principale représentée, pour une même espèce tropicale, par le décalage entre la croissance végétative et la suc- cession des saisons. Diverses méthodes ont été utilisées dès les années 1920 pour analyser la dynamique de formation du bois chez des essences forestières tropi- cales. Les prélèvements périodiques de cambium réalisés en tournant autour de l’arbre constituent une méthode intéres- sante, cependant destructive. Des inci- sions pratiquées dans l’écorce laissent dans le bois des cicatrices qui permettent de dater différents points dans le bois. Une autre méthode consiste à pratiquer une incision annuelle et à poser un ruban dendrométrique autour de l’arbre, dont le suivi régulier et mensuel permet de révéler les périodes de formation du bois. Deux ans d’observation suffisent à obtenir de bons résultats.
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De Roquefeuil, Régis, and Laurent Deshaies. "Croissance et décroissance récentes en Mauricie – Bois-Francs : un essai d’explication." Cahiers de géographie du Québec 26, no. 67 (April 12, 2005): 11–43. http://dx.doi.org/10.7202/021546ar.

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Abstract:
La croissance est inégalement répartie dans la Mauricie - Bois-Francs. Dans la zone agricole, les activités commerciales et les activités indéterminées sont, parmi les variables retenues, les seules à rendre compte, mais très faiblement, de la contraction de l'espace agricole. Au niveau des villages et des villes, le secteur secondaire a subi un net recul, surtout sur la rive gauche du Saint-Laurent, tandis que le tertiaire s'est développé partout, mais surtout dans les centres les plus gros ou les mieux situés. L'organisation spatiale interne de la région explique en partie la répartition inégale du secteur tertiaire tandis qu'elle n'intervient presque pas pour expliquer le recul du secondaire.
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Morel, Hélène, Romain Lehnebach, Jérémy Cigna, Julien Ruelle, Eric Nicolini, and Jacques Beauchêne. "Basic wood density variations of Parkia velutina Benoist, a long-lived heliophilic Neotropical rainforest tree." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 335 (March 15, 2018): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.335.a31518.

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Abstract:
L’analyse de la densité radiale des bois tropicaux révèle des profils linéaires et parfois curvilignes. Ce type d’étude ne prend généralement pas en compte les variations longitudinales, qui sont considérées comme similaires aux variations radiales. La présente étude vise à mettre en lumière (1) un nouveau profil curviligne de la densité radiale du bois, (2) des différences d’amplitude entre les gradients radiaux et longitudinaux et (3) à classer les variations de la densité du bois (DB) selon différentes échelles pour Parkia velutina, essence émergente des forêts humides néotropicales. La variabilité de la densité du bois a été évaluée sur des rondelles entières recueillies sur six arbres abattus et des carottes radiales prélevées sur dix arbres sur pied, et le taux de croissance en hauteur par des prélèvements sur un axe dominant. Cette essence montre des taux de croissance très élevés indicatifs d’un tempérament héliophile. La DB varie de 0,194 à 0,642 g/cm3, amplitude rarement observée au sein d’un même arbre. La variation radiale de la DB est curviligne, l’amplitude radiale étant généralement plus faible qu’en longitudinal. En conséquence, pour les arbres matures, les valeurs DB dans les houppiers sont plus élevées que dans le tronc. Les variations de la DB peuvent être très significatives à différentes échelles. Le partitionnement de la variance montre également que l’estimation intra-individu de la DB pour l’essence Parkia velutina est plus précise si l’on prend en compte à la fois le gradient longitudinal et radial.
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Engone Obiang, Nestor Laurier, Alfred Ngomanda, Lee White, Kathryn J. Jeffery, Eric Chézeaux, and Nicolas Picard. "Un modèle de croissance pour l'azobé, Lophira alata, au Gabon." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (December 1, 2012): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20492.

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Abstract:
L'azobé, Lophira alata, est un important bois d'oeuvre d'Afrique centrale classé vulnérable dans la liste rouge de l'UICN. Bien que de nombreuses mesures de croissance aient été faites pour cette espèce, aucun modèle de croissance ne semble exister actuellement. L'objectif de ce travail était de faire la part, dans la croissance de l'azobé, entre l'effet de la taille de l'arbre et celui de la compétition locale. Un modèle de croissance a été ajusté pour l'azobé en utilisant les données de quatre sites de mesures au Gabon. Ce modèle de croissance a été conçu pour être utile à l'aménagement forestier, c'est-à-dire qu'il ne repose que sur des variables qui peuvent être calculées à partir des données d'inventaire forestier. Un modèle log-normal avec une réponse négative à la densité du peuplement et à sa surface terrière a été sélectionné. La relation entre la croissance et la taille de l'arbre était unimodale avec un maximum à 60 cm de diamètre à hauteur de poitrine. Un effet résiduel significatif du statut social de l'arbre a été trouvé (avec une croissance plus lente pour les arbres dominés) tandis qu'aucun effet résiduel du site n'a été trouvé.
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Morel, Hélène, Éric Nicolini, Julie Bossu, Lilian Blanc, and Jacques Beauchêne. "Qualité et usages du bois de cinq espèces forestières adaptées à la plantation à vocation de bois d’œuvre et testées en Guyane française." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31492.

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Abstract:
Des essais de plantations forestières ont été menés en Guyane française depuis le début des années 1960 sur plus de 138 espèces (70 espèces natives et 68 espèces exotiques). Une étude récente sur la productivité de ces espèces en plantation (projet ForesTreeCulture, 2013-2015) a mis en avant le fort potentieldeproductiondetroisespècesnatives (Simarouba amara Aubl., Vochysia tomentosa (G. Mey.) DC., Bagassa guianensis (Aubl.)) et d’une espèce d’Afrique de l’Ouest (Tarrietia utilis Sprague) avec des volumes de bois produits supérieurs à 20 m3/ha/an. Cependant, les propriétés du bois de ces espèces commerciales ne sont connues qu’au travers d’arbres issus de forêt naturelle. Nous présentons les propriétés du bois de ces espèces en conditions de plantation – densité, retrait, élasticité, angle du fil, durabilité – et discutons de leurs potentiels et de leurs usages respectifs futurs. Une autre espèce, Cordia alliodora ((Ruiz et Pavon) Oken), a également été retenue bien qu’elle n’ait pas encore été plantée en Guyane française. Cette espèce, native de Guyane, est bien connue en Amérique latine pour son BOIS & son fort potentiel de croissance en milieu anthropisé.
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Tassin, Jacques. "Le long terme forestier à l'épreuve du changement." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 317, no. 317 (September 1, 2013): 4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.317.a20522.

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Abstract:
Un paradoxe semble devoir opposer au long terme presque proverbial qui caractérise la foresterie et qu’impose la lente croissance des arbres, les nécessaires rapides ajustements permettant d’intégrer des changements impromptus ou brutaux, cela au bénéfice d’une meilleure gestion de la ressource. Ce dualisme n’est comme on sait qu’apparent, comme en attestent les articles de ce numéro 317 de Bois et Forêts des Tropiques...
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Poupeau, François-Mathieu, and Fabien Schlosser. "La régulation de la filière bois énergie dans les Ardennes françaises." Articles 29, no. 2 (January 7, 2011): 3–28. http://dx.doi.org/10.7202/045153ar.

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Abstract:
Filière longtemps marginale, le bois énergie a connu une croissance vigoureuse depuis une dizaine d’années, soutenue par l’engagement de plus en plus actif de la France en faveur des énergies renouvelables. En prenant l’exemple du département des Ardennes, nous montrons dans cet article comment ce développement s’est accompagné d’un certain nombre de tensions, en partie nouvelles, qui, à défaut de mettre cette filière en péril, posent aujourd’hui question tant pour les entreprises du secteur que pour les pouvoirs publics. Ces tensions tournent, pour l’essentiel, autour de la mobilisation des ressources en bois. Alors qu’à sa création le bois énergie était conçu comme une activité d’appoint pour les scieurs, son développement récent l’a fait entrer dans une nouvelle ère, plus industrielle, qui nécessite l’accès à des ressources plus importantes et plus diversifiées. Il en résulte une concurrence accrue entre les usages du bois et un risque de « fuite » de cette matière première vers d’autres territoires, du fait notamment de la multiplication des projets. Ces tensions, qui sont aujourd’hui exacerbées par l’injonction à remplir les objectifs européens, placent les enjeux de connaissance et de partage de l’information au coeur de l’activité régulatrice de l’État.
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Bastien, Jean-Charles, Gwenaël Philippe, Yves Rousselle, Leopoldo Sanchez, Marin Chaumet, and Sabine Girard. "Les variétés améliorées de douglas en France." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 172, no. 2 (March 1, 2021): 76–83. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2021.0076.

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Abstract:
Die verbesserten Douglasienherkünfte in Frankreich Le douglas est planté sur 415 000 ha en France. Du fait de sa croissance rapide, sa plasticité et la qualité de son bois, le douglas occupe une place croissante dans les reboisements. Chaque année, les 700 kg de semences nécessaires pour produire les plants destinés aux reboisements sont récoltés dans huit vergers à graines. Les performances et la plasticité de ces huit variétés sont évaluées dans une large gamme de milieux en vue de fournir aux reboiseurs des conseils d’utilisation pour le court terme et des perspectives à plus long terme face au réchauffement climatique. Des mesures recueillies sur 24 sites à un stade encore juvénile (5 à 8 ans) ne montrent pas de différences marquées entre variétés pour la survie. En revanche, elles mettent en évidence des différences d’environ trois semaines entre la date de débourrement des plants du verger le plus précoce et celle du plus tardif. Sur l’ensemble des sites, hormis un verger composé de clones californiens, la supériorité de croissance en hauteur des variétés par rapport à celle d’un peuplement de l’aire naturelle utilisé comme témoin varie entre 7 et 16%. Par ailleurs, si la croissance en hauteur est très dépendante du site de test, les interactions entre variétés et sites restent très peu significatives. Cet article présente enfin la stratégie adoptée pour créer une nouvelle génération de vergers à graines, destinée à produire 1000 kg de semences par an, tenant compte d’une évolution possible des besoins en variétés de douglas souhaitées par la filière forêt bois française.
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Gaudreau, Guy. "L’exploitation des forêts publiques au Québec (1874-1905) : transition et nouvel essor." Revue d'histoire de l'Amérique française 42, no. 1 (September 24, 2008): 3–26. http://dx.doi.org/10.7202/304648ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article établit l’évolution des récoltes de matière ligneuse sur les terres publiques québécoises entre 1874 et 1905. Au cours de cette période, deux phases ont été identifiées : une phase de consolidation, au cours de laquelle le volume des récoltes plafonne, et une phase de forte croissance, grâce à l’essor rapide du bois à pâte. Nouvelle manne du secteur forestier, cette dernière catégorie de bois relance les activités affectées par une crise dans l’industrie du sciage. Cette crise frappe certaines régions dès les années 1870 et 1880, soit beaucoup plus tôt qu’on ne l’avait d’abord cru. La variété des performances régionales constitue par ailleurs l’un des thèmes majeurs de cette étude. C’est pourquoi nous en avons cherché les causes.
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Kokutse, Adzo Dzifa, Afiwa Dzigbodi Akpenè, Olivier Monteuuis, Arcadius Akossou, Patrick Langbour, Daniel Guibal, Mario F. Tomazello, Edjidomélé Gbadoe, Gilles Chaix, and Kouami Kokou. "SELECTION OF PLUS TREES FOR GENETICALLY IMPROVED TEAK VARIETIES PRODUCED IN BENIN AND TOGO." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (July 20, 2017): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31302.

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Abstract:
Cette étude vise la sélection d’arbres« plus » sur la base des caractères den- drométriques et des propriétés du bois dans des plantations de teck au Bénin et au Togo. La croissance de 569 arbres dans 5 forêts au Togo et 90 arbres dans 3 forêts au Bénin a été évaluée en mesu- rant le diamètre à hauteur de poitrine, la hauteur totale et la hauteur du fût. Les propriétés suivantes du bois ont été éva- luées et prises en compte pour la sélec- tion finale d’arbres « plus » : densité, pourcentage de bois de cœur et couleur. La durabilité naturelle du bois de cœur, le point de saturation des fibres, le module d’élasticité et les retraits ont été évalués sur la base de modèles spectroscopiques dans le proche infrarouge, préalablement construits. Nos résultats montrent qu’au Togo la variabilité inter-arbres en forêt est assez forte pour l’accroissement annuel en hauteur (0,81 ± 0,27 m), en circonfé- rence (2,95 ± 1,02 cm) et en hauteur des fûts (10,64 ± 3,51m). Au Bénin, si les per- formances dendrométriques des arbres ne varient pas de façon significative entre les forêts, pour la hauteur des fûts (10,99 ± 3,80 m), les valeurs du coeffi- cient de variation sont plus élevées (40 %) pour la forêt de Koto. Prenant en compte les propriétés du bois, la sélection finale multicritères montre que les peuplements d’Avétonou et de Tchorogo au Togo consti- tuent un groupe homogène affichant les plus fortes valeurs pour la densité du bois et le pourcentage de bois de cœur. Les arbres des forêts de Haho-Baloe et Eto ont des valeurs plus faibles pour la dura- bilité naturelle, le module d’élasticité, le pourcentage de bois de cœur et la densité du bois. Au Bénin, les arbres de la forêt d’Agrimey ont une densité plus élevée mais les valeurs pour le point de satu- ration des fibres, la durabilité naturelle et le retrait du bois sont similaires pour les trois forêts. La variabilité des perfor- mances dendrométriques et de la qualité du bois des arbres-candidat nous ont per- mis de sélectionner 33 arbres « plus ».
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COLIN, F., F. HOULLIER, J. M. LEBAN, and G. NEPVEU. "Modélisation de la croissance des arbres,des peuplements, et de la qualité des bois." Revue Forestière Française, no. 3 (1992): 248. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26322.

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DUPLAT, P. "Utilisation des modeles de croissance et de qualité du bois : les attentes des forestiers." Revue Forestière Française, S (1995): 13. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26703.

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Fétéké, Fousseni, Adeline Fayolle, Kasso Dainou, Nils Bourland, Agathe Dié, Philippe Lejeune, Jean-Louis Doucet, and Hans Beeckman. "VARIATIONS SAISONNIÈRES DE LA CROISSANCE DIAMÉTRIQUE ET DES PHÉNOLOGIES FOLIAIRE ET REPRODUCTIVE DE TROIS ESPÈCES LIGNEUSES COMMERCIALES D’AFRIQUE CENTRALE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, no. 330 (July 21, 2017): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31315.

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Abstract:
La rythmicité intra-annuelle de la crois- sance diamétrique des arbres n’est connue que pour très peu d’espèces tropicales africaines. Dans cet article, une combinaison de méthodes expéri- mentant le marquage cambial séquen- tiel, l’analyse anatomique et la mesure des cernes a été utilisée pour détermi- ner la périodicité et les variations de la croissance diamétrique de trois espèces d’Afrique centrale produisant un bois d’œuvre de grande qualité : Baillonella toxisperma (moabi), Entandrophragma cylindricum (sapelli) et Erythrophleum suaveolens (tali). En outre, des interac- tions avec la phénologie foliaire et repro- ductive et le climat ont été recherchées. Pour les trois espèces, les cernes de croissance sont anatomiquement dis- tincts, annuels et se forment au rythme des saisons, avec un accroissement qui est maximal pendant la petite saison pluvieuse (de mars à mai). Les variations saisonnières de la croissance se sont avérées significatives pour le moabi et le sapelli et non significatives pour le tali. Les paramètres climatiques jouant un rôle déterminant dans ces variations sont la température et l’ensoleillement. L’ana- lyse dendrochronologique dresse d’inté- ressantes perspectives en vue d’acquérir des données de croissance sur le long terme, nécessaires à la définition des paramètres de gestion des populations naturelles de ces espèces.
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Kokutse, Adzo Dzifa, Kossi Adjonou, Kouami Kokou, and Messanvi Gbeassor. "Problématique de la performance du teck de provenance tanzanienne par rapport au teck local en plantation au Togo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 302, no. 302 (December 1, 2009): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.302.a20399.

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Abstract:
Originaire d'Asie du Sud et introduit au Togo depuis le début du siècle dernier, le teck (Tectona grandis L.f.) y est devenu la première espèce commercialisable. Mais depuis les années 1990, une nouvelle provenance dite teck tanzanien, reconnue pour ses bonnes performances, est préférée par le service forestier et les planteurs privés. Cette étude compare les performances morphologiques et technologiques du teck tanzanien à celles du teck cultivé depuis un siècle au Togo. Pour ce faire, les caractéristiques dendrométriques, l'indice de productivité (Ip), le pourcentage de bois de coeur à 1,30 m de hauteur de tige, les propriétés physiques et mécaniques ont été mesurés sur deux parcelles âgées de 7 ans. Les résultats montrent qu'à ce stade de croissance la provenance tanzanienne est plus productive (Ip = 6,75) que la provenance locale (Ip = 6,06). Les hauteurs du teck tanzanien (hauteur dominante H0, hauteur totale Ht et hauteur fût Hf) sont significativement supérieures à celles du teck local. En revanche, chez les arbres dominants, le teck local présente un diamètre moyen Dd significativement supérieur à celui du teck tanzanien. La provenance tanzanienne renferme en moyenne 40 % de plus de bois de coeur que le teck local. Cependant, les deux provenances ne montrent aucune différence significative en ce qui concerne les caractéristiques physiques (densité du bois à 12 % d'humidité) et mécaniques du bois (module d'élasticité et contrainte de rupture en flexion). (Résumé d'auteur)
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DELEUZE, Christine. "Integration de concepts éco-physiologiques dans les modèles de croissance et de qualité des bois." Revue Forestière Française, S (1995): 149. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26707.

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Rakotovololonalimanana, Herizo, Hery Rakotondraoelina, Gilles Chaix, Lolona Ramamonjisoa, Marie-France Thévenon, Honoré Randrianjafy, and Tahiana Ramananantoandro. "Adaptation et variabilité génétique de la croissance de Liquidambar styraciflua L. de l'essai de provenances à Mandraka, Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 320, no. 320 (March 17, 2014): 31. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.320.a20542.

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Abstract:
Liquidambar styraciflua ou copalme d'Amérique est une espèce feuillue originaire du Sud-Est des États Unis d'Amérique et de l'Amérique Centrale. L'espèce possède un comportement remarquable en plantation et les propriétés de son bois en font un matériau à usage multiples. En 1986, dans le cadre d'un essai international de provenances de Liquidambar styraciflua, le Commonwealth Forestry Institute (CFI) d'Oxford a diffusé dans plusieurs pays (Brésil, Mexique, Madagascar) des graines de treize provenances récoltées essentiellement dans l'aire de distribution naturelle de l'espèce dans l'Est des États-Unis d'Amérique, du Mexique et de l'Amérique centrale. À Madagascar, le Département des Recherches Forestières et Piscicoles (DRFP-FOFIFA) les a plantées à Mandraka (Madagascar). Des données annuelles de la croissance ont été collectées durant 25 ans ; cependant les résultats n'ont pas encore été publiés contrairement à ceux du Brésil et du Mexique. Il s'agit ici d'évaluer l'adaptation de l'essence à Mandraka et d'étudier la variabilité intraspécifique de sa croissance. Jusqu'à 25 ans, la croissance de l'espèce est régulière pour atteindre en moyenne 26 m en hauteur, 38 cm en diamètre et 0,12 m²/arbre en surface terrière. Les valeurs moyennes des provenances pour ces mêmes caractéristiques et la surface terrière sont significativement différentes. L'héritabilité au sens large à 25 ans est de 0,76, 0,60 et 0,63 respectivement pour la hauteur, le diamètre et la surface terrière, montrant un contrôle génétique de la croissance. Dans des conditions écologiques similaires et à âges équivalents, la croissance de L. styraciflua est équivalente à celle des espèces du genre Eucalyptus et supérieure à celle des Pinus. Par rapport aux essais internationaux du CFI, l'essai de provenances de L. styraciflua dans le site de la Mandraka montre une meilleure adaptation et une bonne croissance de l'espèce. (Résumé d'auteur)
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Zarnovican, Richard. "Impact du verglas de 1998 dans une érablière à bouleau jaune en Estrie : Situation après trois ans." Forestry Chronicle 78, no. 3 (June 1, 2002): 415–21. http://dx.doi.org/10.5558/tfc78415-3.

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Abstract:
La forêt feuillue du sud du Québec a été endommagée à divers degrés par le verglas de janvier 1998. Devant l’absence de données sur l’effet du verglas sur la production du bois d’oeuvre, une étude a été réalisée dans une érablière à bouleau jaune en Estrie. L’étude analyse l’ampleur des dégâts dus au verglas ainsi que les pertes en volume et la croissance radiale de principales essences. Les résultats obtenus à l’aide des tableaux de contingence indiquent que seul le bouleau jaune a subi des dommages importants, alors que les autres essences (l’érable à sucre, le frêne d’Amérique et le hêtre à grandes feuilles) n’ont subi que des dommages légers. En ce qui concerne la croissance radiale des arbres, on note qu’elle présente une tendance à la baisse et les résultats ne permettent pas d’établir un effet significatif du verglas sur cette baisse. Mots-clés : dommages dus au verglas, forêt feuillue, érablière à bouleau jaune.
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Haninec, Peter, Petr Madera, Martin Smola, Hana Habrová, Martin Šenfeldr, Luboš Úradnícek, Milan Rajnoch, et al. "ASSESSMENT OF TEAK PRODUCTION CHARACTERISTICS USING 1 M SPACING IN A PLANTATION IN NICARAGUA." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, no. 330 (July 21, 2017): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31317.

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Abstract:
Cette étude s’est déroulée dans une plan- tation forestière en Amérique centrale, proche de la ville de Diriamba au Nica- ragua, où des plantations de teck sur 48,9 ha, dans une zone de reboisement de 76,5 ha, sont renouvelées depuis 2006 (2006 : 7,90 ha ; 2007 : 13,63 ha ;2008 : 11,93 ha ; 2009 : 12,87 ha ; 2010 :21,70 ha). Cette plantation sort de l’ordi- naire du fait de l’espacement de 1 x 1 m des arbres et des facteurs écologiques limitants de cette zone tropicale aride. L’espacement de 1 x 1 m a été choisi pour favoriser la croissance en hauteur et obtenir ainsi des tiges de haute taille, et pour limiter les ramifications afin d’éviter la formation de houppiers importants. Cela permet de démarrer une production de poteaux de teck, adaptés à certaines constructions, dès la première coupe d’éclaircissement. Les paramètres de croissance des tecks (hauteur, circonfé- rence) ont été mesurés dans les placettes expérimentales mises en place en 2011. Des données complémentaires (morta- lité, arbres cassés ou tordus) ont égale- ment été relevées. Une méthodologie de terrain a été développée et les résultats restitués sous forme de tableaux et gra- phiques. Une évaluation statistique des paramètres de croissance a été menée à partir des mesures prises sur les placettes expérimentales délimitées dans la planta- tion. Les jeunes arbres plantés la même année ont été comparés selon leur prove- nance en termes de hauteur, de circonfé- rence, de productivité et de mortalité. Au total, 10 955 arbres sur 143 placettes ont été mesurés. Sur ces peuplements de 1 à 5 ans d’âge, le bois sur pied total est estimé à 1 287,89 m3, la masse moyenne de bois à l’hectare à 17,89 m3, la hauteur moyenne des peuplements à 3,03 m et la circonférence moyenne à hauteur de poitrine à 2,74 cm. Les arbres cassés représentent 5,64 %, les arbres tordus 5,66 % et la mortalité moyenne s’établit à 21,48 %.
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Kouadio, Y. L., D. F. Neuba, M. Koné, N. Bourland, and J. Doucet. "Étude de la croissance diamétrique de quatre essences de bois d’oeuvre exploitées à l’Est du Cameroun." Journal of Applied Biosciences 77 (July 25, 2014): 6444. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v77i0.6.

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Kouadio, Y. L., D. F. Neuba, M. Koné, N. Bourland, and J. Doucet. "Étude de la croissance diamétrique de quatre essences de bois d’oeuvre exploitées à l’Est du Cameroun." Journal of Applied Biosciences 77, no. 1 (July 25, 2014): 6444. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v77i1.6.

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Paradis-Grenouillet, Sandrine, and Christelle Belingard. "Estimer le diamètre des bois carbonisés à partir de l’observation de la courbure des cernes de croissance des charbons de bois archéologiques : nouvelle contribution méthodologique." ArchéoSciences, no. 44 (December 31, 2020): 205–17. http://dx.doi.org/10.4000/archeosciences.7863.

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Behling, Maurel, Marie-Gabrielle Piketty, Thiago Fonseca Morello, Jean-Pierre Bouillet, Francisco Mesquita Neto, and Jean-Paul Laclau. "Plantations d'eucalyptus et sidérurgie en Amazonie : apports du modèle 3-PG." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20464.

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Abstract:
Le secteur sidérurgique de Carajás, en Amazonie Brésilienne, fait l'objet de contestations environnementales du fait de sa forte consommation en charbon de bois. Ce charbon est essentiellement produit à partir de biomasse de forêts naturelles, avec des impacts directs et indirects sur la déforestation et la dégradation de ces écosystèmes. Les plantations d'eucalyptus à vocation énergétique installées sur des pâturages dégradés constituent une alternative intéressante. Peu de ces plantations ont été mises en place jusqu'à présent et faute d'évaluations valables de leur potentiel de production, une étude a été menée pour présenter une estimation consolidée de la croissance et de la productivité des plantations d'eucalyptus du pôle de Carajás. Celles-ci ont été obtenues à partir du modèle 3-PG (Physiological Principles in Predicting Growth). Son paramétrage a été réalisé à partir de données de croissance du massif d'eucalyptus d'une entreprise de la municipalité de Breu Branco dans l'État du Pará au Brésil. La calibration locale du modèle s'est avérée beaucoup plus performante que l'utilisation de paramètres établis pour des plantations d'eucalyptus dans d'autres régions du Brésil, d'Afrique du sud ou d'Australie. Les simulations réalisées indiquent que l'accroissement moyen annuel actuel de l'ordre de 20 m³ à l'hectare, obtenu pour une période de six ans, pourrait augmenter jusqu'à 30 m³ avec des fertilisations adaptées et un contrôle efficace du sous bois. Elles suggèrent aussi que des productions supérieures seraient obtenues sans déficit hydrique. Cela montre la nécessité de sélectionner les zones de plantation où la saison sèche est la moins marquée autour du pôle de Carajás. La calibration du modèle 3-PG a permis d'améliorer cet outil de gestion des plantations industrielles dans les conditions amazoniennes. (Résumé d'auteur)
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Secondary Forests in Equatorial Africa Côte d’Ivoire - Cameroon - F. E. A." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31241.

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Abstract:
La « brousse secondaire » s’oppose à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Mensah, Guy Apollinaire, A. Schwarzenberg, C. H. Stier, T. Kangni, and C. F. Gall. "Aspects pratiques en élevage d'aulacodes (Thryonomys swinderianus). VI. Mesures préventives contre la mauvaise usure des incisives." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 4 (April 1, 1996): 341–46. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9508.

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Abstract:
Des expériences ont été conduites avec des aulacodes capturés ou nés en captivité, afin d'étudier des éléments facilitant l'usure des incisives et d'analyser l'effet de la vitamine C dans la ration alimentaire sur l'usure des incisives. Pour l'usure mécanique de celles-ci, l'aulacode utilise surtout le métal et le bois. L'hypothèse d'une avitaminose C dans l'alimentation comme cause d'une croissance démesurée des incisives n'est pas confirmée. Mettre à la disposition des animaux des dispositifs et différents matériaux seraient une mesure indiquée pour éviter les pertes dues à des problèmes dentaires. De plus, l'ajout d'ingrédients grossiers dans la ration alimentaire et l'absence de facteurs de stress peuvent aider l'aulacode à user normalement ses incisives.
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BUCUR, Voïchita. "Mesures sur carottes de sondage de quelques propriétés physiques de bois de hêtre à fortes contraintes de croissance." Annales des Sciences Forestières 43, no. 1 (1986): 115–24. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19860109.

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Temgoua, Lucie Félicité, Raphaël Njoukam, and Régis Peltier. "Plantations ingénieuses de bois d'oeuvre par les paysans de l'Ouest-Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 63. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20467.

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Abstract:
Les services de développement impliqués en sylviculture paysanne adoptent souvent des paradigmes tels que : " la plupart des paysans n'envisagent que des productions à court terme, leurs systèmes traditionnels agroforestiers sont immuables ou en voie d'abandon et il n'est possible que de leur proposer des techniques bien rodées, simples et normalisées incluant la plantation d'espèces exotiques à croissance rapide pour la production de bois de service ". En fait, l'étude des pratiques sylvicoles dans l'Ouest Cameroun montre qu'il existe une grande diversité de comportements vis-àvis de l'arbre et que des paysans-sylviculteurs font preuve d'ingéniosité pour adapter les systèmes traditionnels et aussi pour intégrer des technologies extérieures selon leurs besoins. Pour les plantations d'eucalyptus, ils ont su intégrer les techniques utilisées par les services de développement rural et de recherche, en innovant en ce qui concerne la production de plants, le semis direct, l'association avec des cultures, la coupe en taillis ou la diversité des produits. Quant aux boisements de pins, encouragés par l'État et les projets, peu de plantations paysannes ont été réalisées, faute de débouchés ou d'utilisations pratiques des produits. Pour ce qui est du système traditionnel de bocage, les espèces n'ayant plus d'usage courant sont éliminées au profit de nouvelles espèces qui sont choisies en fonction des besoins familiaux ou locaux et des opportunités du marché. En outre, il est surprenant de constater que, contrairement aux projets étatiques, certains paysans plantent dans leurs haies des espèces de forêt naturelle productrices de bois d'oeuvre à longue révolution, tels que le kosipo, Entandrophragma candollei. Par ailleurs, les boisements d'État ou communaux brûlent dans une indifférence quasi générale, malgré les efforts des gestionnaires soulevant la question de savoir si les crédits d'aide au reboisement public ne seraient pas mieux utilisés sous forme d'aide au reboisement privé. (Résumé d'auteur)
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Aubréville, André Aubréville, and Ilona Bossanyi. "No to the “Eucalyptus War” in Madagascar!" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31242.

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Abstract:
Une vive polémique oppose à Madagas- car les naturalistes au service des Eaux et Forêts, au sujet de reboisements en eucalyptus. Elle porte sur 3 000 hectares de plantations effectuées depuis 1908 à Périnet, au sein d’une forêt très dégradée et envahie par les bambous, afin de four- nir le combustible nécessaire au fonction- nement des locomotives. Cette aversion à l’encontre des eucalyptus est pourtant mise à mal par les résultats convaincants des plantations expérimentales d’Anama- lazaotra mais aussi, hors de Madagascar, au Brésil, au Kenya, au Maroc ou en Éthio- pie. La capitale Tananarive et ses envi- rons présentent aujourd’hui un visage boisé grâce aux eucalyptus (E. robusta, E. maculata) qui, rejetant vigoureusement de souche, approvisionnent les habi- tants en bois de cuisson et de service. Les plantations d’eucalyptus pourraient aussi enrayer la progression de l’érosion à Madagascar, notamment sur les collines dénudées du bassin du lac Alaotra, éven- trées de lavaka. Les essences malgaches étant de croissance très lente, rien ne vaut les eucalyptus pour produire du bois. On ne peut rejeter l’utilisation des eucalyptus pour des raisons purement affectives, parce qu’elles n’appartiennent pas à la forêt autochtone. En outre, dans la forêt orientale de Madagascar, le climat est suffisamment humide pour permettre le développement d’un sous-bois et ne pas laisser craindre des phénomènes d’érosion sous eucalyptus. Enfin, il est regrettable que les associations natura- listes malmènent le seul service à s’oppo- ser directement aux destructions des fo- rêts en en classant une partie, en luttant contre les feux, en protégeant les espèces utiles, ou en assurant des travaux de res- tauration. Tenter de discréditer le ser- vice forestier, c’est nuire finalement à la conservation de la nature malgache.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Amusant, Nadine, Alexis Digeon, Laurent Descroix, Olivier Bruneau, Vincent Bezard, and Jacques Beauchène. "PLANTING ROSEWOOD FOR SUSTAINABLE ESSENTIAL OIL PRODUCTION: INFLUENCE OF SURROUNDING FOREST AND SEED PROVENANCE ON TREE GROWTH AND ESSENTIAL OIL YIELDS." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 326, no. 326 (December 18, 2015): 57. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.326.a31283.

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Abstract:
L’huile essentielle de bois de rose (Aniba rosaeodora Ducke) recherchée pour ses propriétés olfactives est un ingrédient majeur de la parfumerie de luxe. En raison d’une surexploitation ces dernières décen- nies, le bois de rose est désormais consi- déré comme une espèce en voie de dis- parition. Envisager de produire de l’huile essentielle à partir de plantations s’avère une alternative pertinente. Nous avons planté 605 arbres de bois de rose issus de graines de deux provenances de Guyane française sur une parcelle de 5 445 m². La plantation présente la particularité d’être entourée de forêt primaire. Après une période de 9 ans, nous avons évalué l’effet de la position de l’arbre par rap- port à la forêt environnante et de la prove- nance des graines sur les traits dendromé- triques (hauteur, circonférence, biomasse ligneuse) et le rendement en huile essen- tielle. Les arbres présentent une crois- sance moyenne enhauteurde 0,7 m/an, en circonférence de 2,5 cm/an, avec une pro- duction de biomasse aérienne de 990,5 kg de masse sèche/ha/an. Les rendements en huile essentielle varient entre 0,6 % et 3,6 %, avec une production moyenne de 2,1 %. La position de l’arbre par rapport à la forêt environnante est le principal fac- teur affectant la croissance des arbres et la production d’huile essentielle : les arbres situés en bordure de la forêt environnante sont significativement plus petits et accu- mulent moins d’huile essentielle du fait de l’influence de la disponibilité de lumière. La provenance des graines a peu d’in- fluence sur les caractéristiques dendro- métriques et le rendement en huile essen- tielle. En conclusion, la mise en place de plantations pourrait être un système opti- mal et économiquement avantageux si l’on vise la production d’huile essentielle mais il importe d’éviter leseffetsdebordliés à la proximité de la forêt
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NEPVEU, G. "La modélisation de la qualite du bois en fonction des conditions de croissance : définitions et objectifs, entrées nécessaires, sorties possibles." Revue Forestière Française, S (1995): 35. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26716.

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Gagné, Laurent, Luc Lavoie, and Jean-Marie Binot. "Croissance et propriétés mécaniques du bois après éclaircie commerciale dans une plantation d’épinette blanche (Picea glauca) âgée de 32 ans." Canadian Journal of Forest Research 42, no. 2 (February 2012): 291–302. http://dx.doi.org/10.1139/x11-181.

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Delwaide, Ann, and Louise Filion. "Coupes forestières effectuées par les Indiens et par la Compagnie de la Baie d’Hudson à Poste-de-la-Baleine, Québec subarctique." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 87–96. http://dx.doi.org/10.7202/032667ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Depuis plus de deux siècles, les Indiens Cris et les employés de la Compagnie de la Baie d'Hudson ont exploité la forêt de la région de Poste-de-la-Baleine (Nouveau-Québec, 55°17'N, 77°47'0), notamment sur la terrasse au sud de la grande rivière de la Baleine. L'analyse dendrochronologique a permis la datation des coupes forestières depuis 1865, soit par l'augmentation de la croissance radiale des survivants, soit par l'âge des reprises de dominance apicale sur les arbres taillés ou par l'âge des cicatrices causées aux arbres par les coups de hache. Quelque 200 sites de camps et aires de coupe ont été cartographies et ont pu être datés précisément. Trois grandes périodes de fréquentation de la forêt ressortent de l'analyse. Pendant la période antérieure à 1954, la reconstitution de l'histoire des coupes révèle que la fréquentation de la forêt par les Cris était essentiellement estivale. Des coupes importantes ont aussi été effectuées pour le chauffage des établissements de la Compagnie de la Baie d'Hudson. La période 1954-1973 se caractérise par une occupation de plus en plus continuelle du territoire par les Indiens. Les coupes s'intensifient à proximité du village, une quantité importante de bois y étant transporté pour le chauffage domestique. Enfin, on observe depuis 1973 une diminution importante du nombre et de l'étendue des coupes sur tout le territoire, cette période marquant la substitution du chauffage au bois par le chauffage à l'huile dans les habitations du village.
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Mathieu, Carolle, Serge Payette, and Hubert Morin. "Chronologie 14C et développement des combes à neige du lac à l’Eau Claire, Québec nordique." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 97–108. http://dx.doi.org/10.7202/032668ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Deux types de combes à neige ont été répertoriés au lac à l'Eau Claire: 1) des combes à neige sur substrat minéral formées après le passage de feux dans les grandes îles ; 2) des combes à neige sur substrat tourbeux, localisées dans les petites îles envahies par des tourbières ombrotrophes dont l'existence est redevable au mésoclimat créé par la grande masse d'eau du lac. La chronologie du développement des combes à neige construite à l'aide des datations 14C de charbons de bois, ainsi que de morceaux de bois conservés dans la tourbe, diffère fortement entre les substrats minéraux et tourbeux. Les combes à neige sur substrat minéral sont apparues après des feux survenus au cours des deux derniers millénaires, et tout particulièrement après 800 BP. Elles se sont formées plus récemment que celles des autres régions étudiées dans le Nord québécois. Au cours du XXe siècle, elles ont été colonisées par l'épinette noire, surtout au cours des décennies 1950 et 1960. Les combes à neige sur substrat tourbeux se sont développées de façon continue depuis 3000 BP, mais surtout au cours du dernier millénaire. À l'instar des combes à neige précédentes, leur formation est étroitement liée au refroidissement néoglaciaire, mais aussi au développement graduel d'un dénivelé topographique, créé par une croissance accélérée de la partie est des tourbières, qui a favorisé une grande accumulation de neige et un déneigement tardif empêchant l'établissement des épinettes noires.
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Moulambi-Nzonza, Samuel Jobercia, François Mankessi, Jean Bruno Bassiloua, and Rosalie Matondo. "Effet du substrat sur la biomasse et la fixation symbiotique de l’azote par les plants de Acacia mangium willd. (Fabaceae) en pépinière." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 5 (September 14, 2020): 1618–32. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.11.

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Abstract:
Acacia mangium Willd est une espèce à croissance rapide, fixatrice d’azote, capable de restituer au sol des éléments minéraux par chute de litière. Elle est actuellement très utilisée dans les programmes de reboisement. L’effet substrat sur la biomasse des plants, à l’âge de plantation, a été estimé dans le but d’optimiser les conditions de production des plants. Un dispositif en blocs complets randomisés comprenant six types de substrats à base de terre noire, charbon et sciure de bois, a été mis en place. Des jeunes plants âgés de trois semaines ont été transplantés dans des plaques alvéolées comprenant différents substrats puis élevés jusqu’à l’âge de plantation. Une dose de 30 g d’engrais NPK dilués dans 10 l d’eau a été apportée quotidiennement aux plants. Les résultats obtenus montrent un effet substrat sur la biomasse et la croissance. Les plants issus des substrats 6 (75% terre+25% charbon) et 4 (50% terre+50% charbon) présentent les meilleures performances de croissance. L’Activité Réductrice d’Acétylène (ARA) réalisée a été influencée par le substrat. La dose de fertilisation apportée n’a pas engendré l’avortement des nodules. Le substrat 5 (50% de terre noire, 25% de charbon et 25% de sciure de bois) offre les conditions optimales de développement des nodules.Mots clés : Substrat, Acacia mangium, biomasse, ARA. English Title: Effect of substrate on the biomass and the symbiotic fixing of nitrogen by Acacia mangium willd. (Fabaceae) seedlings in the nurseryAcacia mangium Willd is a rapid growth species, fixing of nitrogen and able to restore on the ground biogenic salts through the fall of litter. It’s currently very used in the afforestation programs. The effect of substrate on the seedlings biomass at the plantation age was estimated with the aim of optimizing the seedlings production conditions. A randomized complete blocks of six types of substrate containing black soil, charcoal and sawdust, was set up. Seedlings of three weeks old were transplanted in the alveolate plates with various substrates during the education phase until the age of plantation. 30 g of a mineral fertilizer NPK (20-20-20) diluted in 10 l of water was brought daily to the seedlings. The results showed a substrate effect on the biomass and the plants growth. Seeedlings which growed on the substrate 6 (75% black soil + 25% charcoal) and 4 (50% black soil + 50% charcoal) present the best growth performances. The Acetylene Reduction Assay (ARA) realized was significantly influenced by the types of substrate. Mineral fertilizer brought does not generate the abortion of the nodules. The substrate 5 (black soil 50%, charcoal 25% and sawdust 25%) offered the optimum conditions of nodules development.Keywords: Substrate, Acacia mangium, biomass, ARA.
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Ngueguim, Jules Romain, Louis Zapfack, Noumi Valery Noiha, Dieudonné Onana, Jean Lagarde Betti, and Bernard Riera. "Expériences sylvicoles au Cameroun : Croissance, mortalité et adaptabilité des espèces de bois d’oeuvre dans la station forestière de Mangombé (1964 - 2010)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 6 (May 12, 2016): 2789. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i6.22.

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Comtois, Paul, and Serge Payette. "Le développement spatial et floristique des populations clonales de peupliers baumier (Populus balsamifera L.) au Nouveau-Québec." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 65–78. http://dx.doi.org/10.7202/032665ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les paramètres de l'évolution spatiale des populations donates de peupliers baumier, notamment la superficie totale, la diversité floristique, la forme et le profil des peupleraies sont surtout le reflet du milieu colonisé. Par contre, la distribution spatiale, la croissance et la densité des individus, de même que la forme des clones sont des caractéristiques de l'espèce et dépendent de l'âge de la formation. L'un des aspects les plus constants de la structure des formations est leur développement sous forme de zones concentriques d'expansion. La différence médiane entre l'âge de ces zones correspond à l'âge optimal de maturité à la reproduction végétative. La constitution d'une nouvelle zone peut par contre être retardée, son expression pouvant être influencée par les conditions climatiques. L'expansion du peuplier, se faisant par vagues à des âges différents, conduit à l'établissement d'une zonation dans la végétation de sous-bois. Comme la diversité floristique, la zonation actuelle de la végétation est fonction de l'origine des formations. À l'exception des plages où Alnus crispa forme le stade le plus avancé, Viburnum edule est l'espèce qui domine le sous-bois des peupleraies, avant l'établissement des conifères, et Juniperus communis est Ie taxon le plus fréquent du stade intermédiaire. Les successions secondaires, ou celles qui s'établissent en sous-zone arbustive de la toundra forestière, débutent par une phase à Salix sp. L'influence du peuplier baumier (Populus balsamifera) sur le développement de l'humus est notable et semble déterminante au cours des premières décennies après son établissement. Par la suite, la présence locale d'espèces arbustives semble plus importante dans révolution future de l'humus.
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Peltier, Régis, Émilien Dubiez, Simon Diowo, Morgan Gigaud, Jean-Noël Marien, Baptiste Marquant, Adrien Peroches, Pierre Proces, and Cédric Vermeulen. "Assisted Natural Regeneration in slash-and-burn agriculture: Results in the Democratic Republic of the Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, no. 321 (July 17, 2014): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31220.

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Abstract:
La majorité des impacts anthropiques sur les forêts tropicales naturelles en Afrique centrale est liée à l’agriculture itinérante et à l’extraction du bois de feu en zone périur- baine. Cela est en particulier le cas autour de Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC). C’estpourquoi, en 2010, la Régénération naturelle assistée (RNA) a été adaptée et testée par le Projet Makala dans le bassin d’approvisionnement en bois de feudecetteville, pouraméliorerlessystèmes de culture sur abattis-brûlis et contribuer à l’enrichissement des jachères forestières. Avant la défriche, des arbres utiles sont sé- lectionnéspourêtre protégés. Puis, pendant la période de culture, la germination et la multiplication par rejets de souche et dra- geons des espèces forestières locales pré- existantessontfavoriséespar despratiques de sarclages sélectifs, d’éclaircies et d’éla- gages. Lesuividecestestsmontreunefaible survie des vieux arbres conservés lors du défrichementpour lescultures, enraisonde la difficulté de contrôle des feux lors du brû- lis, ce qui limite l’applicabilité de cette tech- nique à la périphérie des parcelles, sous forme d’enrichissement progressif de haies bocagères. Par contre, à l’intérieur des par- celles, les rejets de souche exploités et les drageonsdesespècesforestièresnaturelles, protégéspar RNA aumomentdessarclages, ont montré une croissance rapide qui per- met, àfaiblecoût, d’installer rapidementune jachère ligneuse. En 2014, trois ans et demi après le brûlis, ces jachères ont une biodi- versité etune biomasse supérieuresà celles des jachères non gérées par RNA. Une meil- leure productivité en charbon et en produit agricole ainsi qu’une réduction de la sava- nisation des espaces forestiers sont espé- rées. Cependant, l’acceptation sociale, qui estunfacteurcritiquepourladiffusiond’une telle innovationàgrandeéchelle, resteàétu- dier, en relation avec l’évolution possible desdroitsfoncierstraditionnelsetmodernes.
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Sfairi, Youssef, Mohamed Najib Al Feddy, Issam Jadrane, Abdelaziz Abbad, and Lahcen Ouahmane. "Réponses des plantules du cyprès de l’Atlas, Cupressus atlantica Gaussen, à l’inoculation de mycorhize arbusculaire en provenance de diverses origines dans l’ouest du Haut Atlas au Maroc." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 337 (November 26, 2018): 27. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.337.a31634.

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Abstract:
Le cyprès de l’Atlas, Cupressus atlantica Gaussen, est endémique stricte de l’ouest du Haut Atlas marocain. Cette espèce joue un rôle écologique et socio-économique très important dans son aire de distribution : pour produire du bois de feu, aider à protéger les sols contre l’érosion, et comme plante médicinale chez les populations locales. Malheureusement, subissant diverses pressions, principalement le surpâturage et les activités humaines excessives, l’espèce souffre d’une détérioration alarmante et de perte de territoire. La variabilité des champignons mycorhiziens arbusculaires et sa réponse à l’inoculation mycorhizienne des plantules sous serre ont été étudiées pour différentes provenances. Douze populations naturelles représentant l’aire de distribution du cyprès de l’Atlas ont été sondées, à Adebdi, Aghbar, Allous, Idni, Ighil, Ighzer, Mzouzit, Rikt, Tiouna, Taghzout, Talat N’os and Taws. L’analyse des variations des champignons mycorhiziens associés aux racines de cyprès de l’Atlas ont révélé la présence d’au moins sept morphotypes appartenant aux genres Rhizophagus, Glomus, Gigaspora et Acaulospora. Le taux de colonisation mycorhizienne dans les racines du cyprès de l’Atlas a été examiné dans son milieu naturel, montrant une variation de 25 % à 45 %. Dans les conditions sous serre, la croissance des plantules, avec ou sans inoculation avec un complexe mycrohizien, a été surveillée pour les plantules provenant des douze lieux échantillonnés. Les résultats montrent qu’en absence des champignons bénéfiques dans le substrat de culture, la croissance et la nutrition des plantules ont été hautement dépendantes de l’origine des graines. En revanche, en présence du champignon dans le substrat de culture, les paramètres de croissance et de nutrition des plantules des douze provenances ne différaient pas de manière significative. Deux groupes principaux ont été identifiés par l’analyse en composantes principales et la classification ascendante hiérarchique basées sur les caractères analysés. Le premier groupe comprend les populations de la vallée de N’Fis, à savoir Allous, Idni, Ighil, Ighzer, Mzouzit, Rikt, Talat N’os et Taws, alors que le second groupe est composé des populations du côté sud, Aghbar, Adebdi, Taghzout et Tiouna.
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Larocque, GR. "Importance de différents paramètres climatiques sur la croissance et la formation du bois de pin rouge (Pinus resinosa Ait) en Ontario (Canada)." Annales des Sciences Forestières 54, no. 1 (1997): 51–63. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19970105.

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Luckman, Brian H. "Essai." Géographie physique et Quaternaire 52, no. 2 (October 2, 2002): 139–52. http://dx.doi.org/10.7202/004845ar.

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Abstract:
Résumé La dendroglaciologie consiste en l'utilisation de séries dendrochronologiques datées de manière absolue afin de reconstituer l'évolution des mouvements glaciaires. Les séries peuvent être utilisées (a) pour déterminer l'âge minimal des formations d'origine glaciaire sur la base des dates d'établissement des plus vieux arbres qui s'y sont établis, (b) pour dater précisément les dommages subis par les arbres vivants (basculement, abrasion des tiges) au contact de la marge glaciaire, et (c) pour dater la mort d'arbres atteints par les mouvements du front glaciaire (interdation des patrons de croissance des arbres morts avec ceux d'arbres vivants de grande longévité). Bien que les bois in situ soient préférables dans de telles études, les subfossiles transportés et trouvés dans les dépôts avoisinants peuvent livrer des résultats fort utiles. La position et la datation de ces arbres fournissent des indications sur les fluctuations du glacier au cours du dernier millénaire. Cet essai illustre les approches et les indicateurs dendroglaciologiques utilisés dans la Cordillère du Canada à l'aide de certains exemples des études des mouvements glaciaires lors du Petit Âge glaciaire.
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May, P., and Roger Bessis. "Potentialités de croissance des differents types de bourgeons chez la vigne." OENO One 19, no. 2 (June 30, 1985): 81. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1985.19.2.1320.

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Abstract:
<p style="text-align: justify;">Dans un vignoble de Pinot Noir en Bourgogne on applique une charge inégale comprise entre 0 et 16 noeuds, distribués sur des coursons à 1 ou 2 noeuds, ou une charge égale à 10 noeuds, distribués sur des coursons à 1 ou 2 noeuds, des baguettes à 5 ou 10 noeuds ou, enfin, de facon traditionelle (Guyot) sur une baguette et un courson. On observe que le nombre de rameaux surnuméraires, issus de bourgeons de base ou âgés de plus d'un an, se réduit linéairement à mesure que la charge augmente. Les ceps soumis à la taille Guyot produisent autant de pousses surnuméraires que de pousses d'origine nodale. La répartition des noeuds sur les ceps à charge égale n'a aucune influence sur le nombre de pousses surnuméraires.</p><p style="text-align: justify;">A la suite d'une sévère gelée intervenue juste après la fin du débourrement le nombre de rameaux par souche devient plus important qu'avant cet événement. La plupart des rameaux surnuméraires se trouvent sur le bois de deux ans. Sur d'autres ceps taillés sans baguette ni courson (charge 0) le débourrement se poursuit jusqu'au début de septembre si on enlève les pousses peu de temps après leur apparition. Mais l'intensité du débourrement est la plus grande pendant la période initiale. La relation entre la fréquence de débourrement des bourgeons surnuméraires et la méthode de conduite de la vigne est discutée.</p><p style="text-align: justify;">+++</p><p style="text-align: justify;">Pinot Noir vines in a Burgundy vineyard were pruned to unequal numbers of nodes, varying between 0 and 16 and distributed over 2 node spurs, or to 10 nodes distributed over spurs of 1 or 2 nodes, canes of 5 or 10 nodes or over one cane and one spur as is local practice (system Guyot). The number of 'extra' shoots arising from base buds or buds older than one year was in linear, negative relationship to the number of nodes per vine. Vines with Guyot-pruning produced as many extra shoots as shoots from nodes. Node distribution had no influence on the number of extra shoots on vines of equal node number.</p><p style="text-align: justify;">The vines carried more shoots after a severe spring frost that occurred just after the conclusion of bud burst than before this event. Most of the extra shoots arose on two-year-old wood. Other vines, left without nodes on one-year-old wood continued to produce shoots until early September under a regime of continuous shoot removal, but most shoots started growth during the early part of the season. The relationship between the development of extra shoots and the method of vine management is discussed.</p>
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Geoffroy, F., Michel Naves, G. Saminadin, H. Borel, and G. Alexandre. "Utilisation des ressources alimentaires non conventionnelles par les petits ruminants." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 105–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9227.

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Abstract:
L'utilisation des ressources alimentaires non conventionnelles (RANC) par les petits ruminants est une solution originale. Leurs conditions d'utilisation sont passées en revue. L'utilisation des sous-produits de la canne (peu consommés) et celle du manioc (toxique) peuvent difficilement être envisagées. Les feuilles de bananier, du fait de leur composition chimique (MS, MAT, ADF et NDF) se rapprochent d'un bon fourrage tropical. Mais leur utilisation digestive est faible. Les stipes ont des caractéristiques inverses. Ces deux organes sont des substituts fourragers et ont donné satisfaction dans les essais où ils ont été testés. La banane se caractérise par une teneur élevée en glucides cytoplasmiques, sous forme d'amidon lorsqu'elle est verte et de sucres solubles dans le fruit mûr, mais par des teneurs en composants membranaires, en protéines et en minéraux faibles. Ces caractéristiques en font un produit intéressant de substitution des céréales et concentrés énergétiques. Les résidus d'ananas pressés conservés de manière satisfaisante sous forme d'ensilage et complémentés par du tourteau de soja et de l'urée donnent des résultats probants avec des agneaux en croissance. Sont présentés deux exemples d'utilisation, dans de petits élevages, de patate douce et de pâturage de sous-bois.
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Fournier, Meriem, Vivien Bonnesoeur, Christine Deleuze, Jean-Pierre Renaud, Myriam Legay, Thiéry Constant, and Bruno Moulia. "Pas de vent, pas de bois. L’apport de la biomécanique des arbres pour comprendre la croissance puis la vulnérabilité aux vents forts des peuplements forestiers." Revue Forestière Française, no. 3 (2015): 213. http://dx.doi.org/10.4267/2042/58173.

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BIJJA, M., J. ARROYO, F. LAVIGNE, J. P. DUBOIS, and L. FORTUN-LAMOTHE. "Les services rendus par les systèmes de production de foie gras agroforestiers : l’exemple de l’association entre oies et noyers en Périgord." INRA Productions Animales 30, no. 3 (June 22, 2018): 241–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.3.2253.

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Abstract:
L’élevage rend de nombreux services dans les territoires dans lesquels il est implanté et il est intéressant de pouvoir les appréhender dans leur globalité. L’objectif de cette étude est de réaliser une qualification du bouquet de services rendus par les systèmes de production de foie gras agroforestiers en prenant comme exemple l’association oies / noyers en Périgord. Le cadre conceptuel utilisé a été adapté de Ryschawy et al (2015). Les données proviennent 1) de mesures biologiques (croissance des arbres ou production de fruit, comportement des animaux, biodiversité) ou pédologiques (fertilité des sols) réalisées sur des oies adultes élevées sur des parcours contenant des noyers âgés de 7 à 11 ans et 2) des données de la littérature pour les autres dimensions. Notre analyse montre que l’élevage des oies pour la production de foie gras sur des parcours implantés de noyers est à bénéfices réciproques puisque l’ombre apportée par les noyers est très appréciée des animaux, et que les déjections des oies fertilisent les arbres ce qui augmente leur croissance et leur production de fruits sans altérer leur qualité sanitaire. Cette association rend des services i) d’approvisionnement par la fourniture en quantité relative modérée de foie gras, de viande d’oie, de bois de noyers, de noix et de coproduits (duvets et graisse d’oie, coques et brou de noix) ; ii) de préservation de la qualité environnementale en valorisants des coproduits dans l’alimentation des animaux (77 t/an) et en préservant la fertilité du sol ; iii) patrimoniaux et de qualité de vie par le biais de produits labellisés et à haute valeur ajoutée (AOC Noix du Périgord, marque Oie du Périgord) et le maintien du patrimoine culturel et gastronomique; et iv) de vitalité territoriale par la création d’emplois et la contribution à l’agrotourisme. Il a aussi des externalités négatives (impacts environnementaux, acceptabilité sociale du gavage et risques sanitaires). Ce travail permet de montrer que les bénéfices de l’association oies/noyers sont beaucoup plus larges que les intérêts techniques et économiques qui les ont justifiés.
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Jonard, Mathieu, Renaud Colmant, Camille Heylen, Charles Ysebaert, Charles Carton, Luc Picard, Benoît Cassart, Ablo Paul Igor Hounzandji, and Quentin Ponette. "Impact de boisements résineux sur la séquestration du carbone dans les Andes péruviennes : cas des plantations de Pinus patula dans la coopérative de Granja Porcon (Cajamarca), Pérou." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 17. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31226.

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Abstract:
Dans la foulée de la réforme agraire de 1969, le gouvernement péruvien lança un programme de reboisement dans les Andes. Plus de 20 000 ha furent ainsi boisés en pins dans la région de Cajamarca, dont 8 500 ha dans la coopérative agraire de Granja Porcon. Destinés alors à approvision- ner les paysans en bois et à développer l’ac- tivité économique locale, à enrayer la dégra- dation des sols et des forêts naturelles rési- duelles, ces boisements sont aujourd’hui sollicités pour leur contribution au stockage du carbone. Cette recherche vise à comparer la capacité de séquestration de carbone des pâturages et des plantations de Pinus patula de haute altitude (3 250-3 450 m). À cette fin, deux approches ont été combi- nées : l’échantillonnage des sols (couches holorganiques et 0-100 cm) et de la végéta- tion dans les deux formations végétales (pâturages et boisements de Pinus patula âgés de 17 à 26 ans), sur cambisols déve- loppés sur matériaux volcaniques ; l’établis- sement d’un modèle de croissance de type peuplement, couvrant une plus grande diversité d’âges, de sylvicultures et de ferti- lités. Après vingt ans, la différence entre le carbone stocké dans les écosystèmes fores- tiers et les produits ligneux, d’une part, et en pâturages, d’autre part, s’élève à 154 t/ha, soit environ 7,7 t/ha/an. Cette différence s’explique très largement par la contribution des parties aériennes des arbres. Le reboi- sement en Pinus patula tend à réduire les stocks de carbone du sol par rapport aux for- mations prairiales correspondantes. La réduction est significative (α £ 0,05) dans les 40 premiers centimètres du sol mais la dynamique temporelle suggère que cet effet est temporaire. Le modèle de croissance montre que le stockage de carbone dans les parties aériennes des arbres augmente avec l’âge et la densité des peuplements, ainsi qu’avec la fertilité du site. Il permet aussi d’évaluer la contribution des éclaircies à environ 23 % de la quantité de carbone associée aux parties aériennes des arbres pour une sylviculture classique.
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Montagnini, Florencia, Beatriz Eibl, and Sara R. Barth. "Yerba maté biologique : un système agroforestier en phase avec l'environnement et l'économie sociale et financière." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20475.

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Abstract:
Le commerce de la yerba maté, Ilex paraguariensis Saint-Hilaire, est un négoce lucratif en Argentine, au Paraguay et au Brésil. Ses feuilles sont consommées comme du thé avec un marché en croissance aux États-Unis, en Europe et en Asie, car elles contiennent des antioxydants, sont énergisantes et constituent ainsi une alternative au café. Environ 5% de la superficie de la province de Misiones en Argentine sont consacrés à la production de la yerba maté. Beaucoup de paysans n'atteignent pas les rendements escomptés faute de techniques appropriées. La yerba maté en culture organique (sans intrants agrochimiques) peut atteindre un prix plus élevé pour les coopératives qui en font un de leurs produits. Tradition nel lement gérée en monoculture, son exploitation peut entraîner l'érosion et l'épuisement des sols. Toutefois, la yerba maté pousse en forêt subtropicale et tolère l'ombrage ce qui permet de la cultiver dans des systèmes agroforestiers (SAF). Cette étude examine les SAF avec la yerba maté en culture organique à l'aide d'interviews semi-structurées auprès des paysans de la province de Misiones, y compris les fermes familiales, les grandes fermes, les compagnies privées et les réserves. Un grand nombre d'espèces naturelles poussant en association avec la yerba maté ont été identifiées. Le travail supplémentaire requis par les pratiques de la culture organique est compensé par un meilleur prix de vente. Les SAF, associant yerba mate et arbres, améliorent la fertilité des sols sans recourir aux fertilisants tout en procurant des revenus supplémentaires. Pour cette association l'étude recommande les espèces locales suivantes: Balfourodendron riedelianum, Cordia trichotoma, Nectandra lanceolata, Bastardiopsis densiflora, Cedrela fissillis, Jacaranda micrantha, Araucaria angustifolia, et Ocotea puberula, du fait de leur développement monopodial et de leur capacité d'auto-élagage; ainsi que Tabebuia heptaphylla, Enterolobium contortisiliquum, Peltophorum dubium, Parapiptadenia rigida et Anadenanthera macrocarpa avec une couronne plus large; toutes ont une bonne croissance et un bois de qualité. Il est aussi suggéré d'introduire d'autres espèces arborées, herbacées et arbustives de valeur fruitière, médicinale ou ornementale, diversifiant les produits fermiers. Finalement, cette agroforesterie associant yerba maté et espèces locales va promouvoir la diffusion de cette plante en culture organique et diversifier les revenus en Argentine et ailleurs. (Résumé d'auteur)
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Karsenty, Alain. "Is sustainable logging possible in Africa’s dense forest?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31615.

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Abstract:
René Catinot, qui fut directeur des recherches forestières au CTFT (Centre Technique Forestier Tropical, qui deviendra le département Forêt du Cirad) et figure historique de la foresterie tropicale française, se posait cette question au début des années 1960. Dès leur arrivée en Afrique Tropicale, nous dit Catinot, « les Forestiers chargés de la gestion de la forêt dense ont cherché à la régénérer ». Les connaissances forestières de milieux tempérés sont insuffisantes face à des forêts qui comportent 200 à 300 espèces, mais qui contiennent nettement moins de bois qu’une forêt aménagée en zone tempérée. Un débat oppose alors les tenants d’une régénération naturelle à ceux de la régénération artificielle. Le problème de l’exploitation sélective tropicale, particulièrement en Afrique, est le faible taux de prélèvement qui limite l’arrivée de lumière au sol et empêche la germination nécessaire au renouvellement des espèces les plus appréciées commercialement, lesquelles sont souvent à tendance héliophile. Catinot est affirmatif « il ne faut pas compter sur la Nature seule pour la régénérer ». Les techniques sylvicoles s’emploient, dès lors, à favoriser ces espèces commerciales, soit en « stimulant la croissance des plants préexistants » (sylviculture utilisant la régénération naturelle), soit en « transplantant dans les forêts épuisées par l’exploitation des plants d’essences nobles préalablement produits en pépinière » (régénération artificielle). Le langage sur la « noblesse » des essences trahit les conceptions de l’époque. Le terme de « diversité biologique » n’apparaitra qu’en 1968 et il faudra encore quelques années pour comprendre que la biodiversité ne se limite pas à la somme des espèces, mais représente l'ensemble des interactions entre les êtres vivants. Que nous dit Catinot, qui exprime bien la pensée des forestiers tropicaux de l’époque ? La sylviculture utilisant la régénération naturelle, « c’est avant tout une destruction lente et prudente du couvert » en utilisant délianage, dégagement et empoisonnement des « espèces gênantes ». Quant à la régénération artificielle, « il faut bien détruire la forêt préexistante pour donner aux plants la lumière indispensable à leur croissance ». Ce langage serait inaudible aujourd’hui, à l’heure où l’on cherche à promouvoir « l’exploitation à faible impact » et où la certification Forest Stewardship Council « de bonne gestion forestière » (FSC) s’interroge sur la compatibilité de l’exploitation, même à faible impact, avec le maintien de « paysages forestiers intacts »...
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LEBOURGEOIS (François). "Les Chênes sessile et pédonculé (Quercus petraea Liebl. et Quercus robur L.) dans le réseau Renecofor : rythme de croissance radiale, anatomie du bois, de l'aubier et de l'écorce." Revue Forestière Française, no. 4 (1999): 522. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5460.

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THÉRIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 1. Caractéristiques physiologiques, besoins alimentaires et élevage des adultes." INRAE Productions Animales 1, no. 5 (December 12, 1988): 319–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.5.4467.

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Abstract:
L’élevage du cerf pour la production de viande se développe actuellement en France, après l’Ecosse et la Nouvelle-Zélande où les premiers élevages ont été créés il y a une vingtaine d’années. Cette espèce se différencie des ruminants domestiques traditionnels par un certain nombre de points dont en particulier une variation très importante de la capacité d’ingestion avec la saison (elle varie du simple au double entre l’hiver et l’été sous l’effet des variations de la photopériode) et une moindre digestibilité des fourrages grossiers (5 à 7 % de moins que le mouton). Les besoins d’entretien des cerfs sont voisins de ceux des bovins ; s’y ajoutent, chez le mâle, des besoins spécifiques pour la croissance annuelle des bois (énergie et surtout minéraux dont une partie provient d’une déminéralisation du squelette). Les naissances gémellaires sont très rares chez la biche dont la fertilité dépend essentiellement du poids au moment du rut (les biches doivent peser 60 kg ou plus). Le poids des faons à la naissance est voisin de 8-9 kg, il varie avec leur sexe et selon le niveau alimentaire moyen du troupeau. La production laitière des biches varie entre 120 et 200 litres en 100 jours selon la qualité du pâturage. Leur lait est très riche en lipides et en protéines (respectivement 10,3 et 7,6 % au cours du second mois de lactation) soit deux fois plus que le lait de vache.
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Jourez, Benoit, C�line Vaianopoulos, and Jacques H�bert. "Effet de l?intensit� d?un stimulus gravitationnel induit artificiellement sur la croissance et la formation du bois de tension dans de jeunes pousses de peuplier (Populus euramericana cv ?Ghoy?)." Annals of Forest Science 60, no. 8 (December 2003): 789–802. http://dx.doi.org/10.1051/forest:2003074.

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