Academic literature on the topic 'Amazonie (Équateur)'

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Journal articles on the topic "Amazonie (Équateur)"

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Legeard, Nathanaël. "En Équateur, la lutte organisée des associations contre l'exploitation pétrolière en Amazonie." Pour 223, no. 3 (2014): 287. http://dx.doi.org/10.3917/pour.223.0287.

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Rostain, Stéphen. "Les tertres artificiels du piémont amazonien des Andes, Équateur1." Les Nouvelles de l'archéologie, no. 111/112 (April 30, 2008): 83–88. http://dx.doi.org/10.4000/nda.380.

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Rossel, F., P. Le Goulven, and E. Cadier. "Répartition spatiale de l'influence de l'ENSO sur les précipitations annuelles en Équateur." Revue des sciences de l'eau 12, no. 1 (April 12, 2005): 183–200. http://dx.doi.org/10.7202/705348ar.

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Abstract:
L'influence de l'ENSO (El Niño/Southern Oscillation) sur les précipitations a fait l'objet de nombreuses études dans différentes régions de la planète et de l'Amérique du Sud en particulier. L'Equateur, situé entre le Pérou et la Colombie, est particulièrement touché par ce phénomène, mais les limites précises de son influence sont encore mal connues. L'homogénéisation des séries pluviométriques de 210 stations réparties entre les régions côtières, la cordillère des Andes et le versant amazonien de l'Equateur nous a permis de la préciser. Cette critique a été réalisée à l'aide de la méthode du vecteur régional et a été complétée par une régionalisation de la pluviométrie annuelle qui a permis de définir 18 zones homogènes à l'intérieur desquelles les variations inter-annuelles de la pluie sont représentées par un indice pluviométrique qui a pu être déterminé sur la période 1964-93. Les événements ENSO de cette période sont identifiés à partir de la série de température superficielle de la mer (TSM) du bloc Niño 1+2 grâce à une méthode numérique simple. Nous avons analysé et quantifié l'influence de l'El Niño sur les précipitations à l'aide de deux méthodes simples et de deux tests statistiques qui permettent de mettre en évidence le lien entre les précipitations annuelles et l'El Niño ou la TSM du Pacifique oriental. Nous avons examiné dans un premier temps la coïncidence entre les années Niño et les années de pluviométrie excédentaires. Puis, nous avons déterminé les différences entre les moyennes des totaux pluviométriques annuels des années Niño et normales des dix-huit zones. Une classification hiérarchique ascendante des indices pluviométriques et de la TSM du bloc Niño 1+2 permet ensuite de regrouper les zones pluviométriques en fonction de la similarité entre leurs variations inter-annuelles et de déterminer lesquelles sont les plus proches des variations de la TSM du Pacifique oriental et donc liées à l'El Niño. Nous terminons par une analyse en composantes principales des indices pluviométriques annuels qui a également pour objectif de regrouper les indices en fonction de la similitude de leur variabilité inter-annuelle et de leur sensibilité à l'ENSO. La comparaison et la synthèse des résultats de ces analyses nous a permis de diviser l'Equateur en trois grandes régions, la première est caractérisée par une forte influence de l'ENSO sur les totaux pluviométriques annuels, à l'inverse de la troisième où l'influence n'est pas significative, la deuxième région est intermédiaire entre les deux autres.
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Dichy-Malherme, Sarah. "L’unité éducative Amauta Ñanpi (Puyo, Amazonie équatorienne)." Diglossie et bilinguisme en Équateur, no. 3 (November 22, 2019). http://dx.doi.org/10.35562/elad-silda.596.

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Abstract:
L’histoire de l’établissement semi-public (fiscomisional) Amauta Ñanpi de Puyo est intimement liée à celle de l’institutionnalisation de l’éducation interculturelle bilingue (EIB) en Équateur. Créée en 1991, elle naît de la mobilisation de fonctionnaires kichwa de la direction provinciale d’Éducation interculturelle bilingue pour donner à leurs enfants une éducation qui leur soit « propre », dans leur langue maternelle. Ils sont alors soutenus par la mission locale, sur le terrain de laquelle l’unité éducative se situe encore aujourd’hui. Sous le gouvernement de Rafael Correa (2007-2017), alors que l’EIB est réintégrée au système éducatif national et que les organisations indigènes perdent le pouvoir de regard dont elles disposaient jusqu’alors, la communauté éducative Amauta Ñanpi cherche à acquérir le statut d’unité éducative publique (fiscal), en même temps qu’elle revendique sa contribution à l’intérêt général au sein d’une nation qui se prétend désormais « interculturelle » et « plurinationale ». Le présent article prétend reconstituer la trajectoire de cette institution emblématique entre 1991 et 2017, ainsi que sa contribution à l’élaboration d’un référent identitaire alternatif, non seulement pour les indigènes mais pour tous ceux qui participent à la consolidation de l’EIB en Équateur.
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Piccoli, Emmanuelle. "Justice paysanne." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.016.

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Abstract:
En anthropologie juridique, le terme « justice paysanne » renvoie à l’une des expressions du pluralisme juridique, entendu comme l’existence d’une pluralité d’ordres normatifs, de conceptions du/des « Droit/s » et de pratiques de résolution des problèmes au sein d’un collectif, dans ce cas-ci un État (Eberhard, Motard, Piccoli 2016 ; Garcia, Truffin 2009). Plus spécifiquement, la justice paysanne constitue une branche de la justice indigène, qui, à côté de la justice ordinaire, est légalement reconnue, dans la plupart des pays d’Amérique latine. Cette reconnaissance dérive de l’application de la Convention n°169 de l’Organisation internationale du travail (OIT) sur les peuples indigènes et tribaux (art.9, I). Dans l’expression « justice paysanne », le terme « paysan » réfère à une identification qui n’est pas strictement socioprofessionnelle, mais renvoie également à une origine culturelle précolombienne. L’utilisation de ce terme dans un sens qui recoupe partiellement celui d’indigène est spécifique à la Bolivie et au Pérou. En Équateur et en Colombie, par exemple, il est question de justice « indigène », mais sans renvoi à la notion de paysannerie (Huber 2009). La justice paysanne réfère donc à une forme de justice « indigène » uniquement dans les pays où le terme « paysan », a, pour des raisons historiques, recouvert une partie de la signification des mots « indien », « autochtone » ou « indigène ». Les problématiques soulevées par la justice paysanne sont donc largement semblables à celles des autres formes justices indigènes. Au Pérou, l’identification des populations andines comme populations paysannes est imposée par la Réforme agraire dans les années 1960 pour remplacer le terme injurieux d’« indio ». La justice paysanne se rapporte alors à la justice administrée par les Rondes paysannes et les Communautés paysannes et reconnue par la Constitution politique de 1993 (art. 149). Les Rondes paysannes sont des institutions endogènes récentes, apparues dans les années 1970 dans les campagnes andines, pour faire face aux vols de bétails par des pratiques de vigilance et de justice (Piccoli 2011 ; Starn 1999). Les Communautés paysannes (Andes) et natives (Amazonie) constituent, pour leur part, des régimes fonciers semi-collectifs. Au sein des Rondes et des Communautés paysannes, l’administration de la justice se base sur des décisions prises en assemblée et mêlant des pratiques issues des traditions andines et de l’État. En Bolivie, la justice paysanne est incluse dans les pratiques « indigènes originaires paysannes » reconnues par la Constitution politique de l’État plurinational de 2009 comme de rang égal aux pratiques de justice ordinaire, même si la loi (Ley de deslinde jurisdiccional) pose des limites assez strictes à leur mise en œuvre (Oliden Zuñiga 2013). L’expression « indigène originaire paysanne » tente de tenir compte de la pluralité des appartenances indigènes de Bolivie. La Constitution spécifie qu’« Est une nation ou un peuple indigène originaire paysan toute collectivité humaine qui partage une identité culturelle, une langue, une tradition historique, des institutions, un territoire et une cosmovision, dont l’existence est antérieure à l’invasion coloniale espagnole » (art. 30, I). Tout comme aux autres populations, l’État leur reconnaît le droit « à l’exercice de leurs systèmes politiques, juridiques et économiques en accord avec leur cosmovision » (art 30, II, 14). En dépit de la reconnaissance légale, en Bolivie, comme au Pérou, la question de la limite entre une pratique de justice et l’exercice de lynchages est sujet à de nombreux débats tant en raison d’amalgames langagiers que de stratégies juridiques (Robin Azevedo 2012). Ce qui est en jeu est à la fois la question de la pluralité de l’État mais aussi des limites de celles-ci : populations métisses, urbanisées etc. questionnent les limites posées par les lois de reconnaissance. L’anthropologie juridique – et l’étude de la justice paysanne – se confronte d’emblée à la question normative, tant son objet est lié à la question de l’État, de l’utilisation de forces coercitives et de constructions de législations. L’anthropologie permet, par le décentrement et sa non normativité, d’approcher des réalités complexes, dans un angle différent de celui du juriste. Elle donne donc une lecture distancée des pratiques de justice paysanne, en ne se souciant pas prioritairement de leur légalité, mais en les décrivant pour ce qu’elles sont et en les reliant à l’ensemble des pratiques sociales d’un groupe et des représentations culturelles, conceptuelles, symboliques dans lesquelles elle sont ancrées. De là émerge un apport professionnel spécifique de l’anthropologie juridique, dans les pays d’Amérique du Sud, à savoir l’utilisation de l’expertise anthropologique pour trancher les débats quant à la valeur « culturelles » des pratiques paysannes mises en question lors de jugements. Dans ces cas, la question de l’authenticité indigène des pratiques paysannes est souvent cruciale, mettant en lumière les liens entre ces deux concepts et replaçant inévitablement l’anthropologie au cœur de processus normatifs et politiques (Sanchez Botero 2010)
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Dissertations / Theses on the topic "Amazonie (Équateur)"

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Gravelin, Blandine. "Les effets du pétrole sur l'organisation socio-spatiale en Amazonie équatorienne." Paris 3, 1989. http://www.theses.fr/1990PA030011.

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Abstract:
Dans la province du napo (ne de l'equateur), la decouverte de gisements petroliers dans les annees 60 est a l'origine de la construction d'une route reliant quito a la zone d'exploitation. Celle-ci s'etend sur des sols bien draines, a 300 metres d'altitude. L'acces depuis les andes et les voies de desserte locales favorisent la venue de migrants a la recherche de terres libres. Le peuplement et la mise en valeur agricole repondent aux objectifs geopolitiques des gouvernements en place mais beneficient de l'assistance et des infrastructures minimales. Les groupes autochtones s'adaptent plus ou moins bien au nouveau contexte. Une douzaine d'annees apres les premieres routes, l'exploitation petroliere se poursuit et le front pionnier avance, mais la colonisation ne semble pas en mesure de creer une "region" organisee autour d'un reseau urbain
In the napo province (ne of ecuador), the discovery of oil fields in the 60's has led to the construction of a highway from quito to working zone. It is located around 300m over sea level, on well drained soils. Access from the andean regions and local roads induce the arrival of migrants looking for free land. Settlement and agriculturial development meet geopolitical aims of the country's governements, but very little assistance nor understructure is given. The native groups adapt more or less to the new context. A dozen years after the first roads, oil exploitation goes on as the pionneers do. But colonization does not seem able to create an organized region with its urban network
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Juteau-Martineau, Guilhem. "Quand les instruments de participation reconduisent l'incapacité politique : le cas de la régulation sociale et environnementale des activités pétrolières en Équateur." Thesis, Toulouse 2, 2019. http://dante.univ-tlse2.fr/id/eprint/7252.

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Abstract:
Dans cette thèse, nous étudions la régulation sociale (Reynaud, 1987, 1991) et environnementale des activités pétrolières en Amazonie équatorienne, à travers deux études de cas : les paroisses de Pacayacu et Dayuma, où l’exploitation pétrolière commence au milieu des années 1970. A partir des années 1990, une série de publications (Little, 1992 ; UPPSAE, 1992 ; Kimerling, 1993 ; CESR, 1994 ; San Sebastian, 2000) met en lien les activités pétrolières et différents impacts environnementaux, sanitaires et socio-culturels. Leur médiatisation oblige l’Etat et les entreprises pétrolières à adopter une série de normes sociales et environnementales. Récemment, une série d’instruments de participation politique institutionnalisée prétend intégrer les populations locales à la régulation environnementale des activités pétrolières. Dans cette thèse, nous étudions la mise en œuvre de ces normes et leurs effets sur les capacités des populations situées dans l’aire d’influence des activités pétrolières à réduire collectivement leur vulnérabilité globale (Wilches-Chaux, 1989). L’évolution historique de la vulnérabilité structurelle des populations, notamment économique et sociale conduit au détournement des normes environnementales de leur objectif premier (droit à un environnement sain) : d’un côté les populations acceptent la pollution en échange de faveurs économiques et sociales ponctuelles concédées par les entreprises ; d’un autre côté les entreprises acceptent de faire ruisseler une part des bénéfices pétroliers pour assurer la paix sociale. Nous montrons ainsi que, sous couvert de réforme, les nouveaux instruments (Lascoumes, Le Gales, 2012) remplissent une fonction de « socialwashing », de mise en scène de l’acceptation sociale des activités pétrolières par les populations dans l’objectif de produire un effet d’image (participation sociale) au service de la promotion de l’expansion de la frontière pétrolière sur de nouveaux territoires
In this thesis, we study the social (Reynaud, 1987, 1991) and environmental regulation of oil activities in the Ecuadorian Amazon, through two case studies: the parishes of Pacayacu and Dayuma, where oil exploitation begins in the mid-1970s. From the 1990s, a series of publications (Little, 1992, UPPSAE, 1992, Kimerling, 1993, CESR, 1994, San Sebastian, 2000) links petroleum activities to different environmental, health and socio-cultural impacts. Their mediatization forces the state and oil companies to adopt a series of social and environmental standards. Recently, a series of instruments of institutionalized political participation claim to integrate local populations in the environmental regulation of oil activities. In this thesis, we study the implementation of these norms and their effects on the capacities of populations located in the area of influence of oil activities to collectively reduce their overall vulnerability (Wilches-Chaux, 1989). The historical evolution of the structural vulnerability of populations, particularly economic and social, leads to the diversion of environmental standards from their primary objective (right to a healthy environment): on the one hand, people accept pollution in exchange for punctual economic and social favors granted by the companies; on the other hand companies agree to run off a portion of the oil profits to ensure social peace. We show that under the guise of reform, the new instruments (Lascoumes, Le Gales, 2012) fulfill a function of "socialwashing", staging the social acceptance of oil activities by the populations with the aim of producing an image effect (social participation) in the service of promoting the expansion of the oil border in new territories
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Zurita, Benavides Maria Gabriela. "Du "temps du tapir" à nos jours : les marques du temps dans le paysage : Perspectives de deux villages waorani sur les relations entre les espaces forestiers et le temps en Amazonie équatorienne." Paris, Muséum national d'histoire naturelle, 2014. http://www.theses.fr/2014MNHN0032.

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Abstract:
Les Waorani habitent la forêt amazonienne au nord-est de l'Équateur. Le paysage forestier constitue un livre ouvert de l’'histoire sociale et écologique de leur territoire. Les activités des ancêtres ont laissé des empreintes dans la forêt que les Waorani contemporains identifient et utilisent quotidiennement. Le croisement de l’histoire orale et des pratiques culturales raconte une société de trekkers, dont le mode de vie a incorporé diverses activités économiques : chasse, cueillette, agriculture et pêche, auxquelles s'ajoutent aujourd'hui ponctuellement des emplois salariés pour le compte de compagnies pétrolières ou pour des organisations représentatives. La mobilité des trekkers avec une subsistance fondée sur la chasse, la cueillette et la pratique de l'agriculture sont généralement considérées comme incompatibles, aussi bien par les théories évolutionnistes que par les approches de l’anthropologie culturelle. Nous proposons une nouvelle lecture de cette complémentarité entre activités au sein d’une société considérée comme égalitaire. Les pratiques culturales de cette société ont fluctué au long de son histoire selon ses équilibres économiques et politiques mais elles ont transformé le milieu naturel en y laissant leurs empreintes. La transmission de l’histoire orale fait appel aux éléments du paysage pour transporter les auditeurs dans le passé ; des lieux et des individus végétaux sont ainsi mobilisés dans la construction de la mémoire collective. Les épisodes historiques sont spatialement situés ; la distance temporelle est également signalée. L’étude de l’histoire orale m’a permis de construire un outil analytique, les « catégories temporelles waorani » qui permettent de repérer une période historique, quand des événements sont associés à des actions qui inaugurent la transformation de la composition végétale d’un endroit déterminé. L’association de l’histoire sociale et des configurations botaniques de ces forêts permettent d’appréhender des logiques d’appropriation qui rendent compte des motivations de retour en un lieu et de la réactivation de pratiques culturales. Les végétaux sont étudiés comme des objets accompagnant les actions humaines. Toutes les pratiques culturales sont prises en considération: des plus simples, comme celle de ramasser une tige à celles qui demandent une organisation sociale particulière comme l’agriculture. Le monde végétal est étudié selon la perspective waorani à partir des catégories locales d’usage des végétaux et de la nomenclature de ces derniers. La perspective waorani sur les végétaux en tant qu’éléments de la société est examinée dans les histoires de vie et les récits de l’histoire sociale. La reconstitution de l’histoire orale de deux groupes familiaux, associée aux arbres et aux palmiers dispersés dans le paysage m’a permis d’interpréter les relations que les Waorani entretiennent avec le monde végétal. Celles-ci sont présentées selon les « catégories temporelles waorani », c’est-à-dire, depuis les temps mythiques jusqu’à aujourd’hui. La conception waorani des végétaux s’appréhende à ce croisement de pratiques culturales et de la mémoire collective. Cette thèse nous permet d’appréhender les dimensions spatiales, temporelles et sociales du paysage waorani. Cette démarche restitue le mécanisme de reproduction sociale : c’est l’histoire orale composée des traits culturels et des savoirs locaux naturalistes. Dans les transformations des forêts s’inscrit l’impact des Waorani, ce qui permet d’expliquer les processus sociaux et écologiques qui conduisent à l’état observable de la forêt
The Waorani people live in the Amazon rainforest of north-east Ecuador. The forest landscape in which they live is an open book describing the social and ecological history of their territory. The past activities of their forebears have left marks in the forest that contemporary Waorani can identify and use in their day-to-day life. The intersection between oral history and current plant management practices reveal a society of trekkers, whose subsistence is based around various economic activities, including hunting, gathering, agriculture and fishing. To these are also added various new and occasional waged jobs at oil companies operating in the forest, or within ethnic representative organizations. The mobility of the trekkers is generally considered incompatible with their subsistence, which is based on hunting, gathering and agriculture, both from an evolutionary theory as well as a cultural anthropology standpoint. In the first section we propose a new reading of the complementarity of these activities amongst what is considered an egalitarian society. The resources management practices of Waorani society have fluctuated throughout their history in accordance with the economic and political balances over time, but they have neverthelesstransformed the natural environment and left some clear historical footprints. Oral histories of the Waorani refer to various landscape elements to transport the audience to the past; places and plants are thus present in the construction of collective memory. Historical episodes are spatially located, but temporal distance is also reported. The study of Waorani oral history has enabled me to build an analytical tool - “Waorani time categories” - that allow the identification of time periods that relate to historical events associated with transformations or modifications of floristic composition in a given place. The combination of social history and botanical patterns in these forests help shed light on the logics of appropriation, which illustrate the motivations for returning to certain places and reviving some past management practices. Plants are studied as objects accompanying human actions. All management practices are analyzed in this thesis: from the simplest act of picking up a stem, to those that suppose a social organization, such as agricultural practices. Plant life is studied through a Waorani lens: that is to say according to the manner in which the Waorani order their representations, such as local plant use categories and other nature classifications. The Waorani conception of plants as elements of their society is examined through their life histories and narratives of social history. The reconstruction of the oral history of two family clusters associated with trees and palms scattered about the landscape has allowed me to interpret the relationships that the Waorani have with the plant life surrounding them. These are presented following the order of “Waorani time categories”, that is to say, from mythical times to the present. The Waorani conception of plants is apprehended through the linkages between of management practices and collective memory. This dissertation enhances our understanding of the spatial, temporal and social dimensions of the Waorani landscape. The approach reproduces the Waorani mechanism of social reproduction: oral histories composed of both cultural traits and local ecological knowledge. The impact of the Waorani people is evident in forest transformations, which helps in turn to explain the social and ecological processes that shape the observable state of the forest today
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Cárdenas, Muñoz Rafael Enrique. "Traits fonctionnels de la diversité végétale et faunistique affectant l’herbivorie et la décomposabilité des feuilles dans une forêt pluvieuse Néotropicale (Parc National Yasuní - Équateur)." Paris 6, 2013. http://www.theses.fr/2013PA060688.

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Abstract:
La relation entre la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes est devenue une question centrale dans la recherche en écologie au cours des 20 dernières années. Diverses études ont montré que la réduction de la diversité génétique, taxonomique et de groupes fonctionnels réduit l’efficacité des communautés à capturer les ressources essentielles (aliments, eau, lumière, proies) et leur conversion en biomasse. Les effets positifs de la biodiversité semblent être remarquablement cohérents entre différents groupes d’organismes, niveaux trophiques, et écosystèmes étudiés. Une telle cohérence suggère qu’il existe des principes généraux contrôlant la façon dont l’organisation des communautés influence le fonctionnement des écosystèmes. Les preuves empiriques de cette relation ‘biodiversité-fonctionnement des écosystèmes’ (B-EF) se sont très généralement basées sur des organismes à croissance rapide comme espèces végétales des prairies ou des expérimentations contrôlées en laboratoire, dans des microcosmes ou mésocosmes. Pour élargir les connaissances actuelles des effets de la biodiversité sur le fonctionnement des écosystèmes, des expériences en milieu naturel dans des écosystèmes plus complexes et diversifiés tels que les forêts tropicales sont nécessaires. Cela est d’autant plus important que l’on considère que, par rapport aux espèces de latitudes plus hautes, les organismes tropicaux sont particulièrement vulnérables au changement climatique en raison de leurs tolérances physiologiques étroites. La relation B-EF prendrait plus d’importance si les approches futures considereraient les connexions potentielles above- belowground. Ceci, du à que les écosystèmes terrestres se composent de deux sous-systèmes, un de surface (aboveground) et un souterrain (belowground), dont les rétro-alimentations entre les deux compartiments jouent un rôle déterminant dans la régulation de la structure des communautés et le fonctionnement des écosystèmes. Dans le sous-système de surface, l’herbivorie est un processus clé à la base de la diversification et la maintenance des communautés de plantes, notamment à travers l’évolution de stratégies de défense contre les herbivores. . .
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Bignon, François. "La guerre entre le Pérou et l’Équateur et la nationalisation des frontières andines (1933-1945)." Thesis, Rennes 2, 2020. http://www.bu.univ-rennes2.fr/system/files/theses/2020theseBignonFComplet.pdf.

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Abstract:
La mémoire de la guerre qui opposa les armées du Pérou et de l’Équateur en juillet et août 1941 a été opacifiée par la conflagration mondiale et par des récits nationalistes irréconciliables. À partir de l’usage croisé d’archives diplomatiques, militaires et médiatiques, ce travail entend pratiquer une approche totale de cet événement qui a contribué de manière décisive à la formation des deux nations. Les batailles de 1941 s’inscrivent ainsi dans un long processus régional de nationalisation des frontières, entendue comme étatisations concurrentes et injonction à adopter une identité nationale exclusive, là où les populations transfrontalières étaient traditionnellement binationales ou anationales. Ce moment est pour ces dernières et pour les partis politiques dans leur ensemble, l’occasion de revendiquer leur enracinement national. Les deux États andins ont de cette façon été en mesure de réaliser la promesse de faire nation jusque dans les régions frontalières où leur emprise était encore limitée, particulièrement en Amazonie, tout en les intégrant au répertoire de l’imaginaire national. Cet aboutissement imparfait a été accompagné par le développement d’une bureaucratie d’État, dominée par les armées qui déployaient ainsi leur ambition sociale d’institution totale, de même que par le système international panaméricain partageant la mystique de la frontière, qui y perfectionna ses instruments de sécurité collective. Aux frontières caractérisées par leur indéfinition nationale et géographique, s’est de la sorte substituée une ligne consensuelle et intériorisée. Le conflit andin ferme alors un cycle continental ouvert par les indépendances
The memory of the war that opposed Peru’s and Ecuador’s armies from July to August 1941 has been darkened by the global blast and nationalist irreconcilable accounts. This study intends to do a total approach of the event that decisively shaped both nations by analyzing diplomatic, military, and media data. The 1941 battles are part of a longstanding regional process of nationalizing the borderlands, understood as state-building and the mandate to adopt exclusive national identity, where transborder populations were traditionally bi-national or no-national. This particular moment has been seized by those populations and by all political parties as a way to claim their national roots. Both Andean states were able to achieve the promise of nation-building even in borderlands where their presence had been extremely limited, specially in the Amazon region, integrating them into the imagined community. This incomplete fulfillment has been driven by the making of a state bureaucracy dominated by the armies that deployed their social ambition of a total institution, as by the international Pan-American system sharing the same border ideal, that improved its instruments of collective security. Borderlands defined by a lack of national and geographical definitions were replaced by a consensual and interiorized borderline. The Andean conflict may have closed a continental cycle that started with the process of independence
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Labarthe, Sunniva. "La légende dispersée de l’affaire Chevron en Équateur : le pari manqué de la transnationalisation des droits de l’homme et de l’environnement (1993-2020)." Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0148.

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Abstract:
Pollué à l’époque des opérations de la compagnie pétrolière américaine Texaco aux confins de l’Amazonie équatorienne, condamné au bénéfice de Chevron par des tribunaux d’arbitrage international, l’Équateur semble à ce jour être sorti grand perdant de ce recours historique et transnational au droit, alimenté par toute une variété d’acteurs privés depuis 1993 et baptisé généralement « l’affaire Chevron ». Un recours au droit unique en son genre de par sa durée, par l’ampleur de ses enjeux économiques, financiers et politiques mais aussi sa complexité procédurière du fait de son caractère transnational, la densité de sa documentation écrite, ses rebondissement sinfinis et le nombre de ses protagonistes. Derrière le constat de cette revictimisation emblématique de ce petit pays d’Amérique Latine par la voie du droit international des cours d'arbitrage commercial, s’impose la nécessité d’une approche socio-historique de ce processus judiciaire qui associe l’étude de la défense internationale des droits de l’humain et de la nature, à l’évolution de la vie politique équatorienne et au développement du marché international des services juridiques. En édifiant un précédent négatif pour l’ensemble des parties, la greffe du litige judiciaire nord-américain dans le contexte des mouvements sociaux en Équateur, puis son transport devant plusieurs instances juridiques à l’étranger, interrogent au concret les conditions de possibilité et les perspectives de la judiciairisation des grandes catastrophes socio-environnementales indissociables du modèle de développement extractiviste en Amérique Latine. Concentrée sur l’affaire Chevron dans son contexte équatorien d’où part l’enquête générale de cette thèse en sciences sociales qui a débuté en 2013, cette analyse a pour objet central le rapport des acteurs transnationaux, des avocats en l’occurrence, aux organisations sociales et à l’État équatorien, à travers leur représentation des intérêts des victimes de la contamination pétrolière. Une analyse qui tend à démontrer que si l'affaire a accompagné les dynamiques des mouvements sociaux indigène et écologiste qui s'en sont emparés de diverses manières, c'est au niveau des logiques des principaux 8« avocats activistes » nord-américains, dont des entrepreneurs pionniers à la fois de l'industrie du poker et de la finance des litiges, que se comprend l'évolution de ce processus judiciaire transnational. Imaginé à partir de principes et d'outils juridiques tirés du droit des États-Unis ce recours à la justice a été conçu, alimenté et défendu par ses inventeurs comme une forme d'activisme à but lucratif : un business model pour la défense des droits de l'homme et de l'environnement. Contourner le problème de la coresponsabilité de l’État équatorien au niveau procédural, puis obtenir la faveur du gouvernement sur le plan politique, voire son intervention sur le procès en vue d’une récompense économique extraordinaire : telle a été leur stratégie relevant d'une conception à la fois mercantile, financiarisée et spéculative du droit. De la ruée vers l’or noir de Texaco en Amazonie au cours des années 1960, à l’extra-activisme des spéculations internationales des années 2000-2010 sur le filon de la sentence multi-milliardaire des tribunaux équatoriens contre Chevron, l’exploitation industrielle de la nature et des peuples indigènes en Amérique Latine évolue avec son temps. Le « néolibéralisme progressiste » des défenseurs légaux autoproclamés des victimes équatoriennes a su mobiliser un temps les ressources du « populisme de gauche » de la Révolution Citoyenne de Rafael Correa Delgado (2007-2017). Et du point de vue de ces recherches, c'est ce pari commun qui a échoué contre l'une des têtes de pont de l'industrie du pétrole, sur le terrain du droit et des affaires
Ecuador seems to have emerged as the big loser from the transnational lawsuit generallybaptized "the Chevron case." Fueled by a variety of private actors since 1993, this historic lawsuitfavored Chevron in international arbitration tribunals even though operations by the American oilcompany, originally Texaco, contaminated the Ecuadorian Amazon. This legal case is unique interms of its duration and the magnitude of its economic, financial and political stakes ; it is alsounique for its procedural complexity given the transnational character of the case, the density of itswritten documentation, and the infinite twists and turns involving a large number of protagonists. Theemblematic re-victimization of the small Latin American country by international courts of tradearbitration calls for a socio-historical approach of the judicial process, combining studies on theinternational defense of human rights and nature, the evolution of Ecuadorian political life and thedevelopment of the international market for legal services. This legal case that set a negativeprecedent for all parties brought North-American litigation to the forefront of Ecuadorian socialmovements, calling into question the perspectives of a judicialization of great natural disasters thatare related extractivista forms of development in Latin America.Focusing on the Chevron Case in the Ecuadorian context since 2013, this thesis analyzes therelationship of transnational actors, in this case lawyers, to social organizations and the Ecuadorianstate as they represent the interests of victims of oil contamination. This analysis suggests that theevolution of this transnational judicial process should be understood in the logic of the NorthAmerican "activist lawyers", including pioneering entrepreneurs from both the poker industry andlitigation finance, even if the case has accompanied dynamics indigenous and environmental socialmovements that have engaged with it in a vriety of ways. Conceived on the basis of legal principlesand tools drawn from U.S. law, this recourse to justice was conceived, nurtured and defended by itsinventors as a form of profit-making activism : a business model for the defense of human rights and 10the environment. To circumvent the problem of the co-responsibility of the Ecuadorian State at theprocedural level, and then to obtain the political favor of the government and even its intervention inthe trial in order to obtain an extraordinary economic reward : this was their strategy, based on amercantile, financialized and speculative conception of law.The industrial exploitation of nature and indigenous peoples in Latin America has evolved fromTexaco’s black gold rush in the Amazon of the 1960s to the extra-activism of internationalspeculation in the decade 2000-2010 on the vein of the multi-billion-dollar sentence of theEcuadorian courts against Chevron. The "progressive neoliberalism" of the self-proclaimed legaldefenders of the Ecuadorian victims in the Chevron case was for a time able to mobilize resourcesfrom the "left-wing populism" of Rafael Correa Delgado's Citizen Revolution (2007-2017). From thepoint of view of this research, it is this common bet that failed against one of the bridgeheads of theoil industry, both in the field of law and business
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Durango, Juan. "Impacts environnementaux de l'exploitation pétrolière en Amazonie équatorienne : de l'étude spatiale de la vulnérabilité à l'évaluation du risque." Thesis, Toulouse 3, 2019. http://www.theses.fr/2019TOU30005.

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Abstract:
L'Équateur est le 5ème producteur de pétrole d'Amérique latine. La plupart des réserves se trouvent sous le nord-est de l'Amazonie équatorienne (NEA), représentant 15% de l'ensemble du pays, mais englobant une grande diversité biologique et culturelle. La production de pétrole et de gaz génère des déchets toxiques susceptibles de polluer l'environnement. La méthodologie a été définie pour évaluer les aléas et la vulnérabilité environnementale en tant que composantes indépendantes du risque, en utilisant des méthodes indicielles et des outils de hiérarchisation. Ensuite, ils ont été combinés à l'aide de méthodes de superposition spatiale. La qualité des données publiques utilisées dans cette étude a constitué une difficulté. Dans ce contexte, le premier objectif était de déterminer les volumes d'hydrocarbures déversés accidentellement dans des blocs pétroliers bien documentés. Ensuite, des volumes de déversements estimés ont été attribués aux blocs mal documentés pour obtenir une carte homogène. Le deuxième objectif consistait à cartographier les principales émissions atmosphériques associées aux torchères, c'est-à-dire les gaz à effet de serre (CO2, CH4) et les particules de noir de carbone (BC). Le troisième objectif était d'évaluer la vulnérabilité potentielle du patrimoine naturel à l'échelle régionale à l'aide de proxys tels que le statut de protection et l'occupation des sols. Le quatrième objectif consistait à illustrer l'approche proposée pour l'évaluation des risques en évaluant le potentiel de contamination des eaux souterraines à partir des fosses de stockage de résidus d'hydrocarbures. Les principaux résultats indiquent 10 000,2 t (909,1 t.an-1 ; SD = 1219,5) de pétrole déversé accidentellement dans la NEA durant la période 2001-2011, selon les événements enregistrés. Cependant, une augmentation de 54.8% a été constatée lors de l'extrapolation des taux de déversement des blocs pétroliers bien documentés aux blocs mal documentés. La précision des prévisions spatialisées a été de 32 à 97%. Les gaz brûlés au cours de la période 2003-2012 se sont élevés à 7,6 Gm3 (760 Mm3.an-1), ce qui correspond à des valeurs allant de 3,7 à 4,5 kt.an-1 BC. Les hydrocarbures dans les fosses de stockage ont été estimés à 49 436,4 t. Plusieurs cartes résultent de cette thèse. Les émissions spatialisées indiquent que les déversements et les émissions des torchères sont plus fréquents dans les agglomérations de Joya de los Sachas, Dayuma et Shushufindi. Les cartes de vulnérabilité du patrimoine naturel indiquent que 42% de la surface du territoire est hautement vulnérable, à l'est de la zone d'étude. La vulnérabilité des eaux souterraines est faible à moyenne dans la plupart des zones. En outre, l'exemple envisagé pour l'évaluation des risques liés aux eaux souterraines et aux fosses non étanchéifiées indique que les impacts potentiels les plus importants sont localisés au niveau des agglomérations de Nueva Loja, Tarapoa et Shushufindi. La qualité des données publiques disponibles a été jugée acceptable. En comparant nos estimations des émissions atmosphériques avec d'autres estimations indépendantes, une différence de 2,5 fois au maximum a été trouvée. La précision de la répartition spatiale des déversements accidentels a révélé une méthodologie prometteuse pour améliorer la cartographie des aléas. L'évaluation de la vulnérabilité a montré que les composantes du patrimoine naturel permettent de construire des indices de vulnérabilité à l'échelle régionale, l'occupation des sols étant significativement corrélée à la richesse spécifique et les aires protégées étant conservées efficacement sur le long terme, véhiculant ainsi une information sur l'intégrité écologique. En conclusion, les estimations et les cartes obtenues peuvent s'avérer utiles pour la surveillance de la sécurité et la sûreté des installations, la responsabilisation des institutions publiques et l'aménagement du territoire afin de réduire les risques futurs
Ecuador is the 5th oil producer in Latin America. Most of crude oil reserves lie beneath the north-eastern Ecuadorian Amazon (NEA), representing 15% of the entire country, yet encompassing high biodiversity and cultural heritage. Crude oil and gas production generate toxic wastes potentially polluting the environment. The methodology was set to evaluate hazards and environmental vulnerability, using score indexes and rankings, as independent components of risk. Then, they were combined using spatial overlay methods. An observed hindrance for risk analysis was the quality of public data that were used in this study. In this context, the first aim was to determine accidental oil spill volumes in well-documented oil blocks. Then, putative spill volumes were allocated to poorly-documented oil blocks to obtain a homogeneous map. The second aim was to map key atmospheric emissions associated to gas flaring, i.e., greenhouse gas (CO2, CH4) and black carbon (BC) particles. The third aim was to assess the potential vulnerability of natural heritage using regional scale proxies such as protection status and land use. Finally, the fourth aim was to exemplify the presented risk assessment approach by evaluating total petroleum hydrocarbons (TPH) potentially flowing to groundwater from oil pits. Main results indicate 10,000.2 t (909.1 t.yr-1; SD = 1,219.5) oil spilled in the NEA during the 2001-2011 period (11 years), according to recorded events. However, a 54.8% increase was found when extrapolating spill rates from well-documented oil blocks to poorly-documented ones. Spatial prediction accuracy ranged from 32 to 97%. Gas flared amounted to 7.6 Gm3 (760 Mm3.yr-1), equivalent to a range of 3.7 - 4.5 kt.yr-1 BC, during 2003-2012 lapse. Total petroleum hydrocarbons in unlined oil pits was estimated to 49,436.4 t. Several maps resulted from this thesis. Spatial emissions indicate spills and gas flaring are occurring at higher rates in settlements of Joya de los Sachas, Dayuma and Shushufindi. The natural heritage vulnerability maps indicated 42% of highly vulnerable surface at the most eastern side of the studied area. Groundwater vulnerability was low to medium in most areas; furthermore, the example considered for risk assessment of groundwater and unlined oil pits, indicated highest potential impacts in settlements of Nueva Loja, Tarapoa and Shushufindi. Publicly available data quality was found to be acceptable. For instance, when comparing airborne emission estimates with some other independent estimates only 2.5-fold difference was found at most. Spatial allocation accuracy of oil spills showed promising methodology for improving hazard mapping. Vulnerability assessment indicated natural heritage proxies to be suitable for building vulnerability indexes at regional scale as land use is significantly correlated to species richness, and protected areas are efficiently conserved in the long term, thus conveying some information on ecological integrity. Moreover, there was only 8.8% of spatial incongruence between the two proxies. Groundwater vulnerability mapping indicated gaps in knowledge that were discussed; some distance thresholds were proposed to select validation sites in future studies. In conclusion, estimates and maps obtained may be valuable for safety and security monitoring, accountability of public institutions and land use planning to lessen future risks
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Acosta, Altamirano María Fernanda. "Cultures de la naissance, entre la tradition et le biomédical : Étude comparative en Équateur et au Portugal." Thesis, Université Côte d'Azur (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017AZUR2034/document.

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Abstract:
La culture de la naissance peut être assimilée à un rituel de passage à la base de la construction identitairepour la mère et pour l’enfant. Cette transition est conçue de manière différente selon les contextesculturels.À partir d’un travail ethnographique au Portugal et dans l’Amazonie équatorienne, nous avons mis enévidence l’existence de trois systèmes de santé : le biomédical ou système officiel (qui se constituecomme tel à partir du XIX s.), le système traditionnel ou ancestral et le système alternatif (dans ce cas,incarné par les doulas).Autour de ces trois systèmes de santé se tisse une culture de la naissance porteuse, dans chaque cas, d’undiscours légitimant des pratiques présentées comme « adéquates » et les représentations associées.Malgré des différences importantes entre les procédures des protocoles médicaux – propres au systèmeofficiel de santé, au système traditionnel de santé et au système alternatif - pour la prise en charge del’accouchement, de l’alimentation pré-lactée (don du colostrum) et du postpartum, nous avons identifiédes points communs entre eux. Les frontières entre ces différents systèmes de santé, entre la tradition etla modernité, peuvent s’effacer ou demeurer floues.Les pratiques diverses sont associées à des représentations relatives à la mort, les corps, la douleur, lesparadigmes de santé et de maladie, la religion, la propreté et l’hygiène, les liens sociaux, entre autres
The culture of birth is a ritual of passage which is the basis of the construction of identity for the motherand for the child. This transition is conceived in different ways in distinct cultural contexts.Based on an ethnographic work in Portugal and the Amazonia of Ecuador, we have identified threeexisting health systems: biomedicine or the official system (which was constituted as “official” from the19th century onwards), the traditional system or ancestral system, and the alternative system (in this case,embodied by doulas).In the framework of these three health systems, a culture of birth is woven into a discourse legitimizingtheir practices, which are presented as "adequate", and their representations.Although there are important differences between the procedures of the medical protocols - specific tothe formal health system, to the traditional health system, and to the alternative system - for the deliveryof childbirth, for pre-lactated feeding (colostrum feed), and for postpartum, we also found bridgesbetween them.Sometimes the boundaries between these different health systems, between tradition and modernity, areeither disappeared or blurred.Various practices are associated with representations relating to death, bodies, pain, health and diseaseparadigms, religion, cleanliness and hygiene, social ties, among others
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Cadalen, Pierre-Yves. "Gouverner les communs environnementaux : l'Amazonie en Equateur et en Bolivie : conflictualité socio-écologique, échelles de pouvoir et espace global à l'heure de l'Anthropocène." Electronic Thesis or Diss., Paris, Institut d'études politiques, 2019. http://www.theses.fr/2019IEPP0036.

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Abstract:
La thèse porte sur les relations de pouvoir autour des communs environnementaux en Bolivie et en Equateur au début de ce siècle. La période étudiée court du début des années 2000 à 2014-2015. Le point nodal du travail consiste à étudier les interactions entre la conflictualité socio-écologique des espaces amazoniens dans ces deux pays avec les projections internationales menées par les gouvernements de Rafael Correa en Equateur, et d’Evo Morales en Bolivie. En effet, la question écologique est devenue centrale dans les récits diplomatiques de ces deux gouvernements, élément crucial de leurs politiques d’influence internationale. Les deux premières parties de la thèse sont consacrées aux modalités de projection internationale des deux diplomaties, et au rattrapage de l’autonomie politique de ces pays périphériques, rattrapage inscrit dans les rapports de pouvoir écologique. Les conclusions tirées de ce rattrapage des dynamiques politiques invitent à penser un cadre général d’analyse des relations de pouvoir écologique, dont la robustesse pourrait être éprouvée par la suite. C’est le cœur de la troisième partie de la thèse. J’y propose le concept d’éco-pouvoir, qui déterminerait, du fait de la réalité structurante de l’anthropocène, des configurations et des dynamiques de pouvoir absolument neuves. Les tensions autour de l’autonomie indigène, la souveraineté nationale de ces Etats périphériques, la justice climatique sont observées à travers ce prisme. L’éco-pouvoir y est défini comme pouvoir polycentrique de vie et de mort sur l’espèce, dont l’instauration et la force d’inertie dépendent foncièrement de l’imposition d’une représentation univoque de l’espace et du temps
This work is about power relations around environmental commons in Bolivia and Ecuador at the beginning of our century. The chronological limits are from the early 2000’s to 2014-2015. It consists in studying the interactions between socio-ecological conflictuality of Amazonian spaces in both countries with the international projections led by Rafael Correa’s government in Ecuador, and Evo Morales’ one in Bolivia. Indeed, the ecological issue has become central to the diplomatic narratives of those governments and has become crucial to their international influence strategies. The two first parts of the PhD. are dedicated to the modalities of the international projections, and to the way their acquired political autonomy was caught up. This phenomenon is inscribed in what I call Ecological Power Relations. The conclusions I drew from this phenomenon invite us to think about a general framework of analysis of those relations, whose strength must be tested later on. That is the heart of the third part. I introduce the concept of Eco-power, which would determine, given the structuring reality of the Anthropocene, new power configurations and dynamics. The tensions around the indigenous autonomy, the Peripheral States’ national sovereignty, and climate justice, are observed through this prism. Eco-power is defined as the polycentric power of life and death over the specie, whose instauration and inertia strength depend on the imposition of unique time and space representation
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Cevallos, Nora Sofia. "Senti-pensar con la Selva. Luttes pour le territoire, l'autonomie et l'auto-détermination dans le contexte du Sumak Kawsay : le cas des peuples Kichwa et Waorani du Yasuni, Amazonie équatorienne." Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0062.

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Abstract:
L'objectif de cette thèse est d'analyser les conflits et les résistances provoqués par l'expansion de la frontière pétrolière sur le territoire des peuples Kichwa, des Waorani et des groupes d'isolement, les Tagaeri et les Taromenane du parc national Yasuní (nord-est de l'Amazonie équatorienne). Depuis 2008, ces peuples sont confrontés à une situation paradoxale. D'une part, l'inscription dans la Constitution équatorienne (2008) des droits des peuples autochtones, des droits de la Nature ainsi que du Sumak Kawsay ou Buen Vivir, concrétise les revendications autochtones des années 90 pour la défense de leurs identités et leurs territoires; d’autre part, dans le cadre du modèle de développement extractiviste, l’État équatorien multiplie les politiques favorables à l’exploitation pétrolière, annulant les avancées constitutionnelles et donnant lieu à la réactivation de nombreux conflits socio-environnementaux. Depuis 40 ans, la mise en œuvre de divers projets pétroliers a radicalement transformé les conditions de vie des Kichwa et des Waorani de Yasuní. Cependant, ces projets n’ont pas été dépourvus de réactions et de résistances de la part des communautés qui, faisant appel à la mémoire historique et aux traumatismes causés par l’extractivisme, ont réussi à faire entendre leur voix et à négocier les termes et conditions de l’exploitation pétrolière, en créant par là même, des espaces de participation et d’expression de leurs opinions. Cette thèse montrera comment aujourd’hui les Kichwa et les Waorani du Yasuní ressentent et pensent le territoire, l'identité, le développement et comment, à travers l'appropriation d'éléments du discours écologiste et des droits qui les concernent, ils redéfinissent leurs notions de Buen Vivir et ses formes d’organisation collective et communautaire pour faire face à l’extractivisme
The objective of this thesis is to analyze the conflicts and resistances caused by the expansion of the oil frontier in the territory of the Kichwa, Waorani peoples and the Tagaeri and Taromenane isolation groups of the Yasuní National Park (northeast of the Ecuadorian Amazon). Since 2008, these peoples have been confronted with a paradoxical situation. On the one hand, the inscription in the Ecuadorian Constitution (2008), of the rights of the Indigenous Peoples, of the rights of the Nature as well as of the Sumak Kawsay or Buen Vivir, materializes the indigenous demands of the 90s for the defense of their identities and their territories; On the other hand, within the framework of the extractivist development model, the Ecuadorian State multiplies the policies favorable to oil exploitation, annulling the constitutional advances and giving rise to the reactivation of numerous socio-environmental conflicts. For 40 years, the implementation of different oil projects has drastically transformed the living conditions of the Kichwa and the Waorani of Yasuní. However, these projects have not been exempted from responses and resistances from the communities, who, resorting to historical memory and the traumas caused by extractivism, have managed to raise their voice and negotiate the terms and conditions of oil exploitation, creating at the same time spaces of participation and expression of their opinions. This thesis will show how the Kichwa and the Waorani of the Yasuní feel and think today the territory, the identity, the development and how, through the appropriation of elements of the environmental discourse and the rights that concern them, they redefine their notions of Buen Vivir and its collective and community forms of organization to deal with extractivism
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