Academic literature on the topic 'Amérique latine – Conditions économiques – 1982-'

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Journal articles on the topic "Amérique latine – Conditions économiques – 1982-"

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Aparicio-Valdez, Luis. "La gestion empresarial en latinoamérica y su impacto en las relaciones laborales." Articles 44, no. 1 (April 12, 2005): 124–48. http://dx.doi.org/10.7202/050476ar.

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Abstract:
Les relations du travail en Amérique Latine se caractérisent par la présence traditionnelle d'un autoritarisme étatique qui se manifeste par une intervention continuelle, une législation abondante et parfois contradictoire, ainsi que par un conflit permanent. Tout cela dans un cadre social hétérogène dans lequel les relations du travail ont depuis peu cesse d'être atomisé pour se centraliser dans les branches industrielles. Ces caractéristiques normalisent toujours les relations du travail en Amérique Latine, mais leur poids diminue chaque fois que de nouveaux facteurs, tant internes qu'externes, entrent en jeu. Les nouvelles tendances, encore embryonnaires, amplifient le caractère extra juridique de la relation employeur-travailleur, de même que l'autonomie des acteurs immédiats en relations du travail, ainsi que la faible présence d'une optique coopérative et participative. La gestion patronale a joué un rôle principal dans cette évolution, particulièrement dans les domaines nouveaux, là où l'absence de tradition a facilité l'innovation. Les multinationales et le secteur d'exportations non traditionnel constituent les meilleurs exemples. Ce résumé a pour objet de présenter ces nouvelles tendances, d'identifier les facteurs internes et externes qui les ont générés, ainsi que d'offrir une base de comparaison pour faciliter une évolution globale de l'état des relations du travail au niveau international. Facteurs internes : La gestion patronale actuelle en Amérique Latine montre qu'il y a une crise complexe chez les protagonistes des relations du travail, c'est-à-dire les travailleurs, les employeurs et l'État. D'un cote, l'augmentation inusitée des grèves locales et nationales, le caractère « illégal » de la majorité des grèves locales dues à l'échec de la négociation collective, ou encore, leur emploi comme outil de solution des conflits, et enfin, l'importante complexité des demandes constituent les principaux problèmes. La source immédiate de ceux-ci est syndicale, alors que les causes plus profondes se rencontrent, pour la majorité, en dehors du contrôle des acteurs. À cause de cette distanciation, les relations se polarisent chaque fois plus. Les relations du travail doivent ainsi en venir à se rencontrer devant un tiers, l'État, qui lui aussi, devient chaque fois plus décisif. De l'autre cote, le maintien, l'accroissement ou le changement fréquent des lois du travail ainsi que la partialité des gouvernements en place soit avec les employeurs ou les travailleurs, reflètent la continuité ou l'augmentation de l'interventionnisme étatique dans la détérioration des relations entre les parties. Les réajustements périodiques des salaires selon les changements au cout de la vie dus à l'inflation, par exemple, exigent des employeurs qu'ils réajustent subséquemment leurs politiques salariales et leurs couts divers. Les changements dans la législation imposent une adaptation de la part des employeurs. En général, l'important interventionnisme étatique ainsi que le réglementarisme limitent de manière irrationnelle le mouvement autonome des relations du travail. Cependant, autant les employeurs que les travailleurs ont exercé, ces dernières années, une force extraordinaire tendant à changer, en leur faveur, le schéma et les règles qui gouvernent les relations du travail. Tous deux ont influencé le processus politique afin de limiter le déterminisme étatique dans les deux secteurs de la propriété, publique et privée, mais aussi dans le but de forcer la réconciliation avec leur acteur rival et ceci, en accord avec la logique de leurs propres intérêts. Le solde net de ce changement a été une relative ouverture du système traditionnel des relations du travail vers des formes nouvelles de relations, comme le système d'administration des ressources humaines, la concertation sociale, la négociation par branche industrielle et la transformation du régime du travail dans le secteur public, particulièrement dans les entreprises de l'État. Facteurs externes : La crise économique que vivent pratiquement tous les pays de cette région, l'accroissement disproportionne de l'offre de travail et de ses accompagnateurs naturels comme le chômage et le travail au noir, l'intervention excessive de l'État dans l'économie, de même que son centralisme, et le défi de la concurrence internationale basé sur l'internationalisation des facteurs de production sont les changements contextuels qui ont eu un impact majeur dans les relations du travail en Amérique Latine. Ceux-ci ont exercé une influence variable aussi bien sur les facteurs internes mentionnes plus haut que sur les relations du travail elles-mêmes, de façon directe. La gestion patronale a répondu à ces divers facteurs avec une grande variété de critères et d'actions. Une des réponses a été l'adoption de systèmes d'administration du personnel en remplacement du système de relations du travail. Même si cette pratique est naissante, son développement rapide, et ceci dans les secteurs les pins modernes et les plus rentables (les multinationales en constituent l'avant-garde), lui a concédée une importance majeure ces dernières années. Le système d'administration des ressources humaines est un concept radicalement différent de celui du système traditionnel des relations du travail. Alors que le premier est centre sur la relation individuelle employeur-travailleur, le second l'est sur la relation collective employeur-syndicat. L'expérience latino-américaine montre que la tendance actuelle va vers la superposition des systèmes. Les entreprises qui furent organisées sous le système traditionnel de relations du travail continuent dans cette direction, alors que les nouvelles entreprises, particulièrement celles qui participent aux secteurs les plus modernes de l'économie, ont l'option d'essayer un ou l'autre des systèmes, ou encore l'intégration des deux. Dans le cas où le système de l'administration des ressources humaines est adopte, le raisonnement logique est de donner fréquemment des avantages non économiques aux travailleurs, afin qu'ils ne voient pas la nécessité de recourir à la syndicalisation, ou encore, dans le but de diminuer les sources de conflit. Trois types de stratégies ont été pratiques dans divers pays : a) la création d'associations professionnelles dans le champ des ressources humaines et de l'administration du personnel, avec pour objectif d'améliorer le recrutement et la promotion dans l'emploi; b) la création et le développement de mécanismes destines à motiver les travailleurs, comme les cercles de qualité, les comités mixtes travailleurs-direction de l'entreprise et les programmes d'incitation non pécuniaires; c) l'ouverture d'alternatives participatives, aussi bien dans la gestion (cogestion, cogouvernement ou codétermination), que dans les bénéfices et la propriété de l'entreprise. Cette dernière stratégie a généralement été exécutée dans des conditions de faible stabilité du travail et de faible influence de la négociation collective. La motivation du travailleur a été le centre d'attention de divers programmes crées sous l'initiative de l'employeur. Les cercles de qualité sont les plus répandus en Amérique Latine, mais des comités de productivité, des programmes de préretraite et des clubs sociaux à l'intérieur de l'entreprise ont aussi été formes. En quelques mots, l'adoption du système d'administration des ressources humaines, même si elle est récente, est déjà une réalité en Amérique Latine. Le développement et l'établissement général de ces programmes sont ici plus que de simples souhaits des acteurs sociaux. On pourrait dire qu'il leur reste à traverser le même niveau de difficultés que le développement économique des pays latino-américains.
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Dubé, Sébastien. "A supposed fifth wave of Latin American regionalism and human needs." Regions and Cohesion 10, no. 3 (December 1, 2020): 58–71. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2020.100307.

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Abstract:
Abstract: This article analyzes the evolution, between 2010 and 2020, of the organizations created during the Latin American post–liberal regionalism wave. It describes their rise and decline and includes recent public opinion data to claim that there is no demand or supply for an eventual fifth wave of regionalism that would replicate the previous models. Considering the failure of national governments in fulfilling basic human needs, it nonetheless claims that the deepening of the critical social and economic conditions, especially in the COVID-19 pandemic context, could lead to a fifth wave of regionalism in Latin America. Nevertheless, to succeed, such a wave could be inspired by international and regional technical organizations in a way that would recall the principles of David Mitrany’s functionalist theory.Resumen: Este artículo analiza la evolución de las organizaciones creadas durante la ola de regionalismo post-liberal en América Latina entre 2010 y 2020. Describe su auge y caída e incluye datos recientes de opinión pública para plantear que no existe una demanda ni una oferta para una quinta ola de regionalismo similar a las olas anteriores. Sin embargo, el fracaso de los Estados en asegurar las necesidades sociales básicas y la degradación de las condiciones socioeconómicas, particularmente en el contexto de la pandemia COVID-19, podrían llevar a una quinta ola de regionalismo latinoamericano. Para que dicha ola pudiese tener éxito, podría inspirarse en las acciones de organizaciones técnicas internacionales y regionales, de una manera que recuerda los principios de la teoría funcionalista de David Mitrany.Résumé: Cet article analyse l’évolution, entre 2010 et 2020, des organisations créées durant la vague de régionalisme postlibéral en Amérique latine. Il décrit leur montée et leur déclin et inclut des données récentes d’opinion publique afin de soutenir l’argument selon lequel il n’y a actuellement ni demande, ni offre d’une cinquième vague de régionalisme latino-américain semblable aux vagues précédentes. Cependant, l’échec des États à assurer les besoins humains fondamentaux et la dégradation des conditions sociales et économiques, notamment dans le contexte de la pandémie de Covid-19, pourraient mener à une cinquième vague de régionalisme dans la région. Pour donner des résultats concrets, celle-ci pourrait être inspirée par l’action des organisations techniques internationales et régionales d’une façon rappelant les principes de la théorie fonctionnaliste de David Mitrany.
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Hébert, Martin. "Paix." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.088.

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Abstract:
Une préoccupation pour la réalisation empirique de la paix traverse le discours disciplinaire anthropologique. Ses racines sont profondes et multiples, mais convergent en un ensemble de questions situées à l’intersection entre la recherche de terrain, la philosophie politique et l’engagement pratique. A-t-il déjà existé des sociétés humaines vivant en paix? Quelles sont les conditions permettant, ou ayant permis, l’existence de cette paix? Est-il possible d’entrevoir un chemin vers la paix pour les sociétés contemporaines? On comprendra rapidement que ces questions sont indissociables de la définition même donnée au concept de paix. Intuitivement, nous pouvons comprendre la paix comme un « souhaitable » individuel et collectif. Bien entendu, une telle formulation est insatisfaisante pour l’analyse ou pour guider l’action. Mais avant de la préciser davantage il faut prendre la mesure de la puissance de la notion de paix en tant que référent vide, en tant que réceptacle dans lequel ont été versées les aspirations les plus diverses. La quête de la « paix » a été invoquée pour justifier tant les actions nobles que les actions exécrables de l’histoire. Ce constat pourrait facilement mener à penser que le terme est peu utile dans le cadre d’une discussion sérieuse portant sur les finalités humaines. Cependant, c’est justement le caractère polysémique du mot « paix », doublé du fort investissement normatif dont il fait l’objet, qui lui donnent sa prégnance politique. Comme n’importe quelle autre notion, celle de paix est l’enjeu de luttes de sens. Mais définir la « paix », c’est définir le domaine du souhaitable, du possible, du raisonnable; c’est intervenir directement sur l’horizon des aspirations humaines. Il n’est donc guère surprenant que les tentatives visant à fixer le sens de ce mot soient abondantes, souvent contradictoires entre elles et généralement convaincues de leur légitimité. L’ethnographie participe de diverses manières au travail de définition de la paix. Par exemple, l’ethnographie a joué – et semble parfois tentée de continuer de jouer – un rôle important dans la reproduction du paradigme édénique. Dans cette conception, la paix est comprise à la fois comme une absence de violence interpersonnelle et une régulation harmonieuse des conflits dans la société. Les représentations idylliques de telles sociétés dites « en paix » (Howell et Willis 1989) témoignent d’une tentation dans certains écrits ethnographiques d’idéaliser des sociétés traditionnelles, précoloniales, ou en résistance. Elles participent d’un travail de critique très ancien qui s’opère par contraste, procédé par lequel l’ « Autre » ethnographique est posé comme l’antithèse d’un monde (moderne, capitaliste, colonial, écocide, patriarcal, etc.) dénoncé comme aliéné et violent. L’anthropologie a souvent été prise à partie pour avoir employé une telle stratégie discursive opposant les « sociétés en paix » aux sociétés mortifères. Il faut noter, cependant, que ces remontrances participent elles aussi à la lutte de sens dont l’enjeu est la définition de la notion de paix. Les apologues du colonialisme, par exemple, utilisaient leur propre stratégie de critique par contraste : les lumineux principes (euro-centriques, libéraux, entrepreneuriaux) supposément aux fondements de la prospérité universelle viendraient supplanter les « ténèbres » locales dans ce que Victor Hugo (1885) a décrit comme la « grande marche tranquille vers l’harmonie, la fraternité et la paix » que serait pour lui l’entreprise coloniale en Afrique. Nous glissons ici dans une autre définition de la « paix » ayant joué un rôle important dans l’histoire de l’anthropologie, soit la pacification. Ici, la paix n’est pas un état observable dans les sociétés ethnographiées, mais plutôt un résultat à produire par une intervention politique, incluant militaire. La naïveté de la « grande marche tranquille » d’une Histoire par laquelle l’humanité cheminerait inéluctablement vers une convergence dans des valeurs euro-centriques communes se dissipe ici. Elle fait place à des positions qui établissent leur autorité énonciative en se présentant comme « réalistes », c’est-à-dire qu’elles rejettent l’image édénique de la paix et se rangent à l’idée que la violence est le fondement du politique. Dans cette perspective, la définition de la paix serait la prérogative de ceux qui peuvent l’imposer. La « paix » se confond alors avec l’ordre, avec la répression des conflits sociaux et, surtout, avec un acte de prestidigitation sémantique par lequel les violences faisant avancer les ambitions hégémoniques cessent d’être vues comme violences. Elles deviennent des opérations, des interventions, des mesures, voire des politiques entreprises au nom de la « paix sociale ». On le sait, l’anthropologie a fait plus que sa part pour faciliter les pacifications coloniales. Par son rôle dans des politiques nationales telles l’indigénisme assimilationniste, elle a également contribué à des « projets de société » visant l’unification de populations hétérogènes sous l’égide du nationalisme, du capitalisme et de la docilité aux institutions dominantes. Après la seconde guerre mondiale, il n’a pas non plus manqué d’anthropologues prêtes et prêts à s’associer aux entreprises de pacification/stabilisation par le développement et par l’intégration de populations marginales à l’économie de marché. Dans la plupart des cas, l’anthropologie a été instrumentalisée pour réduire le recours à la violence physique directe dans les entreprises de pacification, proposant des approches moins onéreuses et plus « culturellement adaptées » pour atteindre les mêmes objectifs d’imposition d’un ordre exogène à des sociétés subalternes. Un point tournant dans la critique de la pacification a été le dévoilement de l’existence du projet Camelot dans la seconde moitié des années 1960 (Horowitz 1967). Cette vaste opération mise sur pied par le gouvernement américain visait à engager des spécialistes des sciences sociales pour trouver des moyens d’influencer les comportements électoraux en Amérique latine. Cette initiative visait à faire passer à l’ère de la technocratie les stratégies « civiles » de pacification coloniales développées en Afrique dans les années 20-30 et en Indochine dans les années 50. Outre la dénonciation par les anthropologues nord-américains et européens de cette collusion entre les sciences sociales et impérialisme qui s’est encore illustrée dans le sud-est asiatique pendant la guerre du Vietnam (Current Anthropology 1968), la réponse critique face au dévoilement du projet Camelot fut, notamment, de déclencher une réflexion profonde en anthropologie sur la frontière entre la paix et la guerre. Même si le recours à la manipulation psychologique, économique, politique, et diplomatique n’impliquait pas nécessairement, en lui-même, de violence physique directe il devenait impératif de théoriser les effets de violence produits par cette stratégie (Les Temps Modernes 1970-1971). Si l’idée que certaines « paix » imposées peuvent être éminemment violentes fut recodifiée et diffusée par des chercheurs du Nord à la fin des années 1960, elle était déjà bien en circulation au Sud. Frantz Fanon (1952) mobilisait le concept d’aliénation pour désigner les effets des violences symboliques, épistémologiques et culturelles des systèmes coloniaux. Gustavo Guttiérez (1971), impliqué dans le développement de la théologie de la libération en Amérique latine, parlait pour sa part de « violence institutionnalisée » dans les systèmes sociaux inéquitables. Sous leur forme la plus pernicieuse ces violences ne dépendaient plus d’une application constante de force physique directe, mais s’appuyaient sur une « naturalisation » de la domination. Dans ce contexte, il devenait clair que la notion de paix demandait une profonde révision et exigeait des outils permettant de faire la distinction entre la pacification aliénante et une paix fondée sur la justice sociale. Travaillant à cette fin, Johan Galtung (1969) proposa de faire la différence entre la paix « négative » et la paix dite « positive ». La première renvoie à l’absence de violence physique directe. Elle est une condition considérée comme nécessaire mais de toute évidence non suffisante à une paix significative. Déjà, des enjeux définitionnels importants peuvent être soulevés ici. Une société en paix doit-elle éliminer les sports violents? Les rituels violents? Les représentations artistiques de la violence? Qu’en est-il de la violence physique directe envers les non-humains? (Hébert 2006) La paix positive est une notion plus large, pouvant être rapprochée de celle de justice sociale. Les anthropologues ont tenté de la définir de manière inductive en proposant des études empiriques de deux types. Dans un premier temps, il s’est agi de définir diverses formes de violences autres que physique et directe (telles les violences structurelles, symboliques, épistémiques, ontologiques, etc.) et poser la paix positive comme le résultat de leur élimination. Par contre, les limites de cette « sombre anthropologie » (Ortner 2016) ont appelé des recherches complémentaires, plutôt centrées sur la capacité humaine à imaginer et instituer de nouvelles formes sociales dépassant les violences perçues dans les formes passées. L’idée d’une paix stable, définitive et hors de l’histoire – en d’autres mots édénique – disparaît ici. Elle est remplacée par des processus instituants, constamment examinés à l’aune de définitions de la violence qui, elles-mêmes, sont en transformation constante. La définition de la paix demeure l’enjeu de luttes de sens. Ces dernières se résolvent nécessairement dans des rapports politiques concrets, situés historiquement et sujets à changement. Les travaux anthropologiques ne font pas exception et sont pleinement engagés dans la production politique de ces définitions. Mais l’anthropologie de la paix participe également de la réflexivité que nous pouvons avoir tant face aux définitions cristallisées dans nos institutions que face à celles qui se proposent des les remplacer.
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Gagnon, Éric. "Vieillissement." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.062.

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Abstract:
L’anthropologie de la vieillesse a contribué à remettre en question des idées reçues et plusieurs préjugés tenaces, dont celle voulant que les sociétés modernes déconsidèrent la vieillesse et abandonnent leurs vieux, alors que les sociétés dites traditionnelles valorisent leur ainés et leur font une place honorable. Elle a écarté certaines images d’Épinal, comme l’Ancêtre trônant au milieu de sa famille, ou des clichés, comme le vieillard abandonné à l’hospice. Elle a appelé à se méfier de la mémoire toujours sélective et parfois enjoliveuse («Le bon vieux temps»). Elle a rappelé qu’il faut distinguer les représentations des comportements, que le prestige accordé à la vieillesse ne se traduit pas toujours en un véritable respect ou une réelle affection, et cache parfois des conditions de vie matérielle difficiles. Elle a surtout montré que le vieillissement n’est pas un phénomène purement biologique, partout identique, et qu’il est extrêmement variable d’une société, d’un groupe, d’une classe ou d’un genre à l’autre. Cette fonction critique, l’anthropologie a pu l’exercer au moyen de ce qui demeure son principal outil théorique et méthodologique : la comparaison. En comparant deux communautés au sein d’une même société, un même groupe avant et après des bouleversements historiques, deux culture très éloignées l’une de l’autre, la condition des ainés dans un pays avec celle des ainés originaires du même pays mais ayant migré dans un autre pays, ou encore différentes communautés au sein d’une même diaspora, elle a montré la diversité des conditions et des expériences, le poids des facteurs culturels, politiques ou économiques sur le vieillissement (Solokovski 1990). L’étude de cette diversité a non seulement permis de mieux comprendre le vieillissement, mais également de nourrir la réflexion touchant quatre grandes questions de l’anthropologie, que sont l’articulation du biologique et du social, les échanges familiaux, ce qui fait une communauté et le rôle des sciences et des techniques. Sur la première question, l’anthropologie du vieillissement a montré comment les transformations du corps sont étroitement déterminées par les conditions de vie, comment les changements biologiques, leur compréhension et leur perception, la manière dont les individus en font l’expérience et les réponses que les collectivité y apportent, sont façonnés par la culture, les normes sociales, l’organisation économique et les politiques publiques. L’étude de Margaret Lock (1993) sur la ménopause au Japon et en Amérique du Nord est à cet égard exemplaire. La sénescence, c’est-à-dire la dégradation des capacités générales de l’organisme biologique avec l’avancée en âge, connaît d’importantes variations. Non seulement la définition et les critères du vieillissement varient selon les milieux, les époques, les secteurs d’activité ou le genre (nombre d’années vécues, altérations physiques, incapacités, apparence physique, naissance de petits-enfants…), mais également ce qui est tenu pour un vieillissement normal ou souhaitable, le statut des personnes âgées, leurs obligations et leurs rôles. Si les conditions sociales d’existence ralentissent ou accélèrent le vieillissement biologique, elles donnent aussi à ce dernier une importance et une signification, qui font varier jusqu’aux formes d’expression de la douleur, de son histoire et de son identité (Keith 1985; Fry 2010). L’étude du vieillissement met en lumière la «biologie locale», le façonnement du corps propre à une culture ou un groupe. Sur la seconde question, l’étude anthropologique de la vieillesse s’est beaucoup intéressée aux échanges intergénérationnels, ainsi que le statut et la protection dont les personnes âgées bénéficient. Goody (1976) s’est efforcé de montrer comment les systèmes de parenté et de résidence, les modes transmission et le type d’économie favorisent ou non la dépendance des ainés envers les plus jeunes pour leur subsistance, le contrôle sur les biens, la possibilité de continuer d’habiter la demeure familiale et l’autorité qu’ils continuent d’exercer. La perspective permet non seulement la comparaison entre des sociétés d’aires culturelles très éloignées, mais l’articulation des questions anthropologiques touchant le vieillissement à celles liées à la famille et à l’économie, ainsi qu’à des enjeux politiques contemporains touchant les soins et la «prise en charge» des personnes vieillissantes (Buch 2015). Dans une perspective plus historique, on s’est intéressé aux impacts de l’allongement de la durée de vie, des transformation de l’économie (salariat, travail des femmes), des mutations de la famille, de l’essor des politiques de protection sociale (retraite, pension, allocation) et des migrations, sur les solidarités familiales, la sécurité et l’autonomie des ainés (Fry 2010). Les recherches sur les grands-parents et les transformations de leur rôle et statut (Attias-Donfut et Segalen 2007) ont alimenté l’étude des échanges et de la circulation des biens et des services au sein des familles, mais également de la transmission de la mémoire et du patrimoine familial, matériel et symbolique. Sur la troisième question, les anthropologues se sont intéressés à diverses communautés résidentielles d’ainés, que ce soit les grandes habitations et les foyers, les établissement de soins de longue durée (Hendersen et Vesperi 1995), ou encore les quartiers et villages sécurisés (gated communities), qui regroupent exclusivement ou en forte majorité des ainés. Ils se sont interrogés sur l’homogénéité de ces populations, le fonctionnement et les rites de passage propres à ces regroupements, les hiérarchies, les clivages et l’exclusion par delà le discours égalitariste, les relations avec le monde «extérieur» (les familles des résidents et la société dans son ensemble), en somme: la continuité et la discontinuité de ces communautés. Ces travaux ont nourri la réflexion sur ce qui fait une communauté en général (territoire, sentiment d’appartenance et organisation sociale), et sur la formation de communautés spécifiques de personnes âgées et le contexte dans lequel elles émergent (Keith 1985). Enfin, sur la question la place des savoirs scientifiques et techniques dans les sociétés contemporaines, les anthropologues ont porté une grande attention aux phénomènes de médicalisation et de professionnalisation du vieillissement. Celui-ci est en effet l’objet de savoirs et d’expertises qui en changent la signification et la réalité. Les transitions et transformations liées à l’âge sont devenues des problèmes, qu’il appartient à la médecine et à d’autres disciplines (la gérontologie au premier chef) de guérir, de soigner ou de «gérer» (Corin 1982). Ces interventions visent la préventions des maladies et des incapacités (gestion des risques), l’évaluation des «déficits» (physiques ou cognitifs) au moyen d’instruments diagnostics et de protocoles standardisés, pour déterminer les services ou l’aide dont la personne âgée a besoin, l’aménagement des espaces, la distribution des services spécialisés, les critères d’admission en institutions, etc. (Kaufmann 1994; Lock 1993). Ces interventions et les politiques qui les fondent, changent non seulement la façon dont le vieillissement est conçu et perçu dans une société, mais la manière dont les personnes le vivent (identité, image de soi, conduites, attentes). La vieillesse est redéfinie autour des catégories d’autonomie, de fragilité, d’activité et de dépendance – en Occident du moins – qui changent le statut de la personne âgée, sa place, ses relations aux autres, les critères culturels du vieillissement «normal» ou «réussi». Les personnes âgées sont largement considérées comme des patients et des usagers de services, mais aussi comme un marché pour les biotechnologies qui promettent un ralentissement du vieillissement. L’étude des savoirs et pratiques touchant plus spécifiquement les démences (ex : Alzheimer), du point de vue des savoirs et des pratiques professionnelles (Leibing et Cohen 2006) ou sous un angle plus expérientiel (Taylor 2008), est révélatrice de la manière dont une société conçoit la «personne», ce qui fait son «humanité» ou son identité, et comment, selon le contexte culturel et institutionnel, cette personne et cette humanité se défont ou se maintiennent. Ces travaux rejoignent une riche tradition de recherche sur la construction sociale de la «personne» et du «soi», particulièrement de la personne âgée (Lamb 1997 pour un exemple). Ces quatre grandes questions sont liées entre elles. La médicalisation et la professionnalisation renvoient à l’articulation du biologique et du social, ainsi qu’au soutien et à la prise en charge des personnes âgées; la question des communautés est indissociable des solidarités familiales. Le vieillissement est un phénomène aux multiples facettes, touchant toutes les dimensions de l’existence. Il n’est d’ailleurs compréhensible que mis en relation avec à un ensemble de réalités qui le débordent, et auxquelles, en retour, il apporte un éclairage : la famille, l’économie, la démographie, les soins de santé, les politiques, l’imaginaire social et les valeurs, la personne comme construit culturel. Si, comme le soutient Simone de Beauvoir (1970), on se découvre vieux dans le regard des autres, il reste à comprendre ce regard : les représentations, les normes, les savoirs et les pratiques qui le cadrent et l’orientent, ceux qui posent ce regard et les contextes dans lesquels il est posé, ainsi que les comportements et les expériences que ce regard induit.
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Dissertations / Theses on the topic "Amérique latine – Conditions économiques – 1982-"

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Blouin, Genest Gabriel. "Politiques macroéconomiques et élections présidentielles : le cas latino-américain de 1980 à 2006." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25768/25768.pdf.

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Hillcoat, Guillermo. "La crise des modeles de developpement en amerique latine. De la substitution d'importations a l'economie tournee vers l'exterieur : une discussion theorique illustree par l'experience argentine." Paris 8, 1986. http://www.theses.fr/1987PA080088.

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Abstract:
Cette these aborde une problematique precise; celle de l'accumulation intensive dans une economie sous-developpee a base industrielle. Et ceci dans le cadre d'une reflexion plus large concernant les modeles d'accumulation et de developpement suivis en amerique latine. Le concept de modele est compris dans le sens de "mode" : conjonction d'un regime d'accumulation et des formes institutionnelles de regulation. Dans la premiere partie, une discussion autour de ces concepts est realisee. L'etude de cas portant sur l'economie argentine permet d'illustrer la demarche theorique ; cette etude aborde les caracteristiques majeures du regime d'accumulation en longue periode (1930-1980) : les modalites de la croissance intensive sous contrainte exterieure (les secteurs moteurs, accumulation de capital et emploi, fluctuations et cycle. . . ), l'articulation avec l'economie mondiale, l'equilibre macro-economique dans ce regime d'accumulation industrielle. La troisieme partie presente les caracteristiques principales de la formation des salaires et de la norme de consommation. Cet exercice d'economie appliquee aura permis, a la fois, d'etayer certaines hypotheses et de refuter quelques points de vue simplistes sur la specificite qu'assume la reproduction du capital et de la force de travail dans une economie semi-industrialisee
The purpose of our thesis is to discuss a specific set of problems : the problems that arise from applying a pattern of intensive accumulation to an industrially-based developping economy. This specific discussion is set within the framework of more wide-ranging considerations bearing on the models of development and accumulation applied in latin america. We use the model concept here in its modal sense : conjunction of an accumulation system and institutional forms of regulation. These concepts are defined and discussed in the first part of our thesis. Long range transformations of accumulation systems and regulation procedures are studied in the context of argentinian growth (19301980). We look at the major features of the accumulation pattern : the different elements of intensive growth patterns as affected by external constraints (leading sectors, accumulation of capital and employment, fluctuations and cycle. . . ) dovetailing with the world economy, the macro-economic equilibrium within this regime of industrial accumulation. In the third part we present a discussion of the main characteristics of wages regulation and the consumption norm. This exercise in applied economics will have served, we hope, to buttress certain theories while confuting certain over-simple views held on the specificity of reproduction of capital and of work-force in a semi-industrialized economy
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Caldeira, Kássia. "Le Mercosud en quête d'avenir : une intégration à la lumière de l'expérience européenne : les acteurs du processus de construction du Mercosud, 1985-2001." Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0065.

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Abstract:
Le Mercosud, qui regroupe l’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay, est sans doute le projet d’intégration le plus abouti d’Amérique latine. Ce travail de recherche rappelle d’abord les conditions économiques et politiques qui ont historiquement conduit à la création du Mercosud, processus formalisé par le Traité d’Asunción, en 1991. Puis, s’aidant méthodologiquement de la comparaison avec l’Union Européenne, il en décrit les mécanismes spécifiques, notamment institutionnels. Enfin, sur la base d’interviews menées auprès de représentants des gouvernements argentin et brésilien, ainsi qu’auprès de représentants de grandes entreprises transnationales, il met en lumière comment les rapports entre ces différents acteurs ont influencé, et influencent encore, le processus d’intégration. Au final, cette thèse dresse les contours du Mercosud, et en analyse en profondeur les implications et limites économiques, sociologiques et politiques
The Mercosud which regroup Argentina, Brazil, Paraguay, Uruguay is without doubt, the project that came closest to realising integration in Latin America. This research highlights first of all economic and political conditions that have historically promoted the creation of the Mercosud. These processes were formalised by the Treaty of Ansuncion in 1991. This research helps to draw out methodological comparisons with the European Union. It describes specific mechanisms of integration particularly the institutional ones involved in these processes. Finally based on interviews conducted among government representatives from Brazil and Argentina as well as trans-national corporations it shed light on how relationships between the different actors involved influence and continue to influence the processes of integration. In conclusion, this thesis considers the shape of development in the Mercosud and analyses in depth social, economic and political implications and limitation
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Cueva, Perus Marcos. "Territoire, système productif et nation en Amérique latine : le cas panaméen." Grenoble 2, 1995. http://www.theses.fr/1995GRE21003.

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Abstract:
Cette these etudie l'economie panameenne et son mode d'insertion dans le systeme productif americain a partir d'une approche regulationiste. Les differents espaces domines panameens, le canal inclus, sont etudies dans une perspective historique, qui met l'accent sur la lutte entre divers centres et sur les processus de destructuration et restructuration du capital en periode de crise. Les difficultes du projet national au panama durant differentes periodes sont aussi etudiees; le texte comprend une etude detaillee de "l'economie avec enclaves" et de la desintegration economique, sociale et politique. Une interpretation de la crise panameenne durant les annees torrijos est proposee, a partir de debats qui portent sur les contradictions economiques et sociales du torrijisme, sur la lutte entre les etats-unis et le japon pour le canal durant les annees "80" et sur l'invasion americaine de 1989 et ses consequences pour la societe panameenne
This thesis studies the panamanian economy and its mode of insertion in the american productive system from a regulationist point of view. Different panamanian dominated spaces, including the canal, are focused in historical perspective, which enphasizes the struggle between centers and the processes of capital's destructuration and restructuration in peripheries during crisis periods. Nation building's difficulties in panama at different periods are also examinated; the text includes a detailed study about panamanian "economy with enclaves" and the problem of economic, social and even political desintegration. An interpretation of panamanian crisis since the torrijos years is proposed, as well as a debate about economic and social contradictions of torrijismo, another one about the struggle between us and japan for the canal during the 80's, and the last one about us invasion in 1989 and its consecuencies for the panamanian society
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Godfroy, Cécile. "Les spécificités du secteur informel en Amérique latine." Bordeaux 4, 1997. http://www.theses.fr/1997BOR40012.

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Abstract:
Un contact ancien avec l'occident associe a un processus de colonisation intense et durable ont instaure des structures sociales, economiques, politiques et culturelles particulieres en amerique latine. Actuellement, cette specificite socio-economique historique entretient les inegalites structurelles et la concentration des richesses et de la modernite aux mains d'une faible partie de la population latino-americaine. Quant a la majorite de la population, son existence est liee aux activites informelles qui sont crees par et pour ses personnes. Or, meme s'il a differentes fonctions suivant les theories ideologiques, le secteur informel latino-americain se revele etre indispensable au fonctionnement de l'economie tant au niveau des emplois et des revenus que des biens et services produits et distribues. En effet, malgre l'heterogeneite des processus de developpement et des caracteristiques des activites informelles, il a ete possible de demontrer que grace au developpement des activites informelles, le continent vit une mutation plus qu'une rupture depuis le debut des annees 80. Les activites informelles jouent un role preponderant dans le maintien de l'equilibre socio-economique des centres urbains latino-americains car, en tant qu'element de la dynamique du developpement, elles s'adaptent constamment a leur environnement et satisfont les besoins locaux "oublies" par l'economie moderne, technicienne. Les activites informelles latino-americaines apportent donc leur propre solution face aux specificites structurelles du continent. Elles constituent une realite economique et sociale a par entiere qui est non seulement adaptee mais indispensable au processus de developpement mis en place en amerique latine. Par consequent, si les gouvernents latino-americains ont une reelle volonte de reduire les fortes inegalites socio-economiques, ils devront encourager et stimuler les activites informelles tout en leur permettant de garder leurs propres specificites, facteur de leur
Latin america is characterised by an old contact with the occident, associated with a intense and long process of colonization that set up social, economic, political and cultural structures, essentially dualistic and traditionnal. These socioeconomic structures maintain the inequalities despite of the developpment efforts, inequalities less important that is could be thanks to the informal sector created by and for excluded people. This sector is essential for the latin american economy not only at the employment and income levels but also for the products and services created and distributed. Regarding the many ideological theories, informal activities in latin america have different fonctions. Nevertheless, and in spite of the various characteristics and the developpment processes heterogeneity, it's possible to demonstrate that if the continent is living a mutation more than a rupture since the beginning of the eighties, it's thanks to the developpment of informal activities. In fact, informal activities are playing a main part in the equilibrium of the urban centers. They are belonging to the developpment dynamic, constantly adapting themselves to their environment and satisfying local needs "forgotten" by the modern, rational and technical economy and society. Informal activities are showing a great capacity of innovation and adaptation in front of the socioeconomic inequalities. Analysing latin american informal activities shows that they are bringing their own solution in front of the structural and conjectural characteristics of the continent, following their own rationality and needs. As a result of this, if latin american governments really want to implement an equal developpment process, informal activities must be promoted, keeping their own specificities
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Defossez, René. "L' Amérique Latine comme nouveau pôle de l'internationalisation de l'économie française." Paris 10, 1985. http://www.theses.fr/1985PA100140.

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Bizzozero, Revelez Lincoln. "L'entrée de l'Uruguay dans le Mercosur: ajustements et changements dans la politique extérieure d'un petit pays de la région." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2005. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210949.

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Colliac, Stéphane. "Les conditions préalables à la dollarisation totale : application à l'Amérique latine." Bordeaux 4, 2006. http://www.theses.fr/2006BOR40031.

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Abstract:
Plusieurs pays latino-américains, dont l'Equateur, ont opté pour la dollarisation totale. On peut se demander si ces pays étaient dans la meilleure situation pour faire ce choix. Nous identifions les critères envisageables lorsqu'un gouvernement souhaite évoluer vers la dollarisation totale de son économie et nous déterminons quels sont les pays latino-américains pour lesquels ce régime monétaire peut être recommandé. Une première série de critères concerne la monnaie en tant que telle et peut être regroupée sous le terme de vulnérabilité financière, qui correspond à l'utilisation d'une monnaie étrangère en lieu et place de la monnaie nationale, sans que le cours légal ne soit nécessaire. Une deuxième catégorie de critères comporte la qualité des institutions, l'instabilité macroéconomique liée à la volatilité des flux de capitaux et la nature des relations commerciales avec les Etats-Unis. Une vulnérabilité financière forte, des institutions de mauvaise qualité et un lien commercial étroit favorisent la dollarisation totale.
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Franco, Cavalcante Jacqueline. "La mondialisation financière et ses effets sur le développement économique au Brésil et au Chili : Une analyse sous l'optique du marché du travail : les années quatre-vingt-dix." Paris 13, 2001. http://www.theses.fr/2001PA131019.

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Abstract:
Cette thèse prétend apporter une contribution à la discussion sur le rapport entre la mondialisation financière et le développement économique au Brésil et au Chili, et leurs impacts en particulier sur le marché du travail pendant les années quatre-vingt-dix. L"étude analyse initialement l'importance des flux des investissements étrangers dans les pays en développement, le Brésil et Chili sont mis en évidence. Plus spécifiquement, cette approche souhaite identifier les probables corrélations que l'ont peut établir entre la mondialisation financière et le marché du travail des économies citées. Les réformes structurelles des économies latino-américaines sont originaires d'un ensemble plus important de règles et instructions reservées aux pays en développement à travers les délibérations du Consensus de Washington c'est ce que nous voulons mettre en lumière. Dans ce sens, on considère l'existence d'un paradigme, celui de la "modernité conservatrice", basée sur la déréglementation, l'ouverture commerciale et financière et sur les politiques de privatisation et de réduction du rôle de l'Etat dans l'économie. . .
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Couralet, Pierre-Emmanuel. "Une analyse économique du travail des enfants." Paris, EHESS, 2002. http://www.theses.fr/2002EHES0141.

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Abstract:
Cette thèse s’attache à l’étude des causes et des conséquences économiques du travail des enfants. Dans une première partie, les principaux déterminants micro-économiques de l’offre de travail enfantin – l’insuffisance du rendement de l’éducation, l’insuffisance des ressources parentales conjuguée à l’impossibilité d’accéder au marché du crédit, l’insuffisance de l’altruisme parental – sont exposés dans le cadre d’un modèle dynastique. Dans la seconde partie, des enquêtes nationales réalisées auprès des ménages de trois pays d’Amérique Latine – le Brésil, la Colombie et le Venezuela – sont utilisées pour confronter la théorie aux faits. Enfin, l’analyse du travail des enfants est replacée dans un cadre macroéconomique et des implications en matière de politique publique en sont déduites. Il est montré qu’une intervention publique peut permettre de placer l’économie sur un sentier de croissance plus égalitaire et plus favorable aux enfants issus de ménages pauvres
This thesis deals with an analysis of causes and consequences of child labour. In a first part, the main microeconomic determinants of child labour supply – the weakness of returns to education, the weakness of parental resources linked with no access to credit market, the weakness of parental altruism – are introduced in a dynastic model. In the second part, some national Latin American household surveys (Brazil, Colombia and Venezuela) are used to confront the theory with the facts. Finally, the analysis of child labour is led on a macroeconomic level and some public policy implications are deducted. It is shown that a public intervention may lead the economy on a more equal and better for poor children growth path
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Books on the topic "Amérique latine – Conditions économiques – 1982-"

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Favre, Henri. L' Amérique latine: Un exposé pour comprendre, un essai pour réfléchir. [Paris]: Flammarion, 1998.

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Gutiérrez, Gustavo. La libération par la foi: Boire à son propre puits ou L'itinéraire spirituel d'un peuple. 2nd ed. Paris: Éditions du Cerf, 1988.

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Gérard, Etienne, and Nolwen Henaff, eds. Inégalités en perspectives. Editions des archives contemporaines, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.9782813002310.

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Abstract:
La lutte contre les inégalités occupe aujourd’hui le devant de la scène internationale. Mais la lumière projetée sur leurs dimensions économiques laisse souvent dans l’ombre les conditions sociales de leur production, les modalités de leur traitement, ou encore les transformations sociales qu’elles portent en elles. Comment et par qui sont définis les indicateurs de mesure des inégalités? Comment les inégalités sont-elles perçues par les individus ou les groupes sociaux qui les subissent? L’ouvrage interroge les registres discursifs employés par les différents acteurs, et s’emploie ainsi à déplacer le regard pour explorer les inégalités dans toute leur complexité. Il s’attache aussi à décrypter les inégalités dans leurs contextes sociaux et culturels de production. Enfin, il analyse plusieurs processus de leur transformation enclenchés par la mondialisation, tels que les mobilités et les migrations. De l’échelle locale la plus fine du village – en Afrique, en Asie, en Amérique latine – à l’échelle mondiale, une approche au plus près des populations apporte ici un éclairage fécond et nourrit le débat actuel sur les transformations sociales au niveau global.
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