Academic literature on the topic 'Amitié féminine – France – 18e siècle'

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Dissertations / Theses on the topic "Amitié féminine – France – 18e siècle"

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Chin, Man-Yi. "Amitié féminine et écriture épistolaire au XVIIIe siècles." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0045.

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Abstract:
Cette thèse sur l'amitié féminine telle qu'elle a pu être vécue au XVIIIe siècle dans son rapport avec l'écriture épistolaire se présente comme une contribution à la fois à l'histoire de l'amitié et à l'histoire des pratiques d'écriture et de lecture. Elle propose d'envisager les femmes du siècle des Lumières, celles du moins pour lesquelles nous disposons de traces écrites, comme des usagers et des acteurs de la culture écrite, en l'occurence à travers l'usage qu'elles ont fait de la notion d'amitié dans leurs pratiques relationnelles et dans leur construction de l'identité culturelle, leur appropriation de la memoria de l'"amitié savante", leurs écrits romanesques mettant en scène la correspondance amicale féminine et leurs échanges épistolaires dans le cadre d'une amitié de longue durée. Cette memoria, dans notre travail, a ainsi établi un concept central pour l'étude de l'amitié en tant que patrimoine commun constitué par des hommes lettrés mais où d'autres ont pu venir puiser<br>This thesis on women's friendship such it could be lived at the XVIIIth century in its connection with epistolary writing practice. It proposes to consider the women of the Enlightenment, for those at least for which we still do have written works, like users and actors of the written culture, in this case through their use of the friendship notion in their relations practices and their construction of cultural identity, their appropriation of the memoria of "learned friendship", their romantic writtings bringing into play the women's friendship correspondence and their epistolary exchanges within a long time friendship. Thus this memoria, in our work, establish a central concept for the friendship study as a common inheritance set up by well-read men but where others could have come to draw
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Cesarini-Dasso, Marie-Josée. "La criminalité féminine dans la société corse de 1768 à 1789 à travers les archives judiciaires." Nice, 1993. http://www.theses.fr/1993NICE0006.

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Decoudun-Gallimard, Frédérique. "La vie féminine dans la peinture française au XVIIIe siècle." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100015.

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Abstract:
La these dont le titre s'intitule "la vie feminine dans la peinture francaise du dix-huitieme siecle" developpe trois parties essentielles : la vie publique, la vie privee, et la vie de travail, et s'appuie sur des oeuvres picturales contemporaines pour justifier ses assertions. Elle traite dans sa premiere subdivision des diverses activites mondaines des femmes, s'attarde sur le phenomene des salons, evoque a travers l'exemple de madame de pompadour la place qu'occupent successivement le theatre et les beaux-arts dans l'univers feminin, (peinture - objets en porcelaine), et aborde ensuite le theme des plaisirs, (jeu - chere - amour). Dans sa deuxieme partie, elle se consacre a l'evocation de la vie privee des contemporaines, relate les rapports que celles-ci entretiennent avec leurs enfants au cours des diverses periodes de l'existence, (nourrissage - elevage mariage), et met en lumiere la responsabilite sociale majeure qui incombe a ces dernieres. Elle evoque par ailleurs les activites purement egoistes auxquelles s'adonnent ces femmes, (toilette - moments d'abandon - menues occupations), et insiste sur l'importance de la notion de plaisir intime. Elle traite enfin dans sa troisieme et derniere partie du theme du travail, instaure ici une distinction tres nette entre les taches avilissantes auxquelles s'adonne la majorite de la population feminine, (domestiques - ouvrieres), et les occupations enrichissantes et epanouissantes qu'executent les artistes, les femmes artisans, ou les professeurs. Elle accorde en dernier lieu une place au plus vieux metier du monde : la prostitution. En conclusion, elle constate l'extreme diversite de la vie feminine de l'epoque, et insiste sur la position ambivalente de la femme dans la societe<br>The dissertation entitled "women's life through the french painting of eighteenth century" develops three essential parts : the pratical life, the private life and the professional life, and leans on contemporaneous pictural works in order to justify its assertions. It treats in its first part of women's diverse society activities, deals with the salon phenomenon, describes through the example of madame de pompadour the place of the theatre and the fine arts in women's universe (painting, pieces of china), and deals then with the theme of pleasures (games, love). In its second part, the private life of these women is related, the relations between the latter with their children during different periods of existence (feeling, raising, marrying) are evocated and the major social which rests of them is brought to the fore. Moreover it evocates the purely selfish activities to which these women give themselves over (wash, moments of oblivion, minor activities), and insists on the importance of the intimate pleasure. Finally, the third and last part is devoted to the theme of labor, where a very clear distinction is made between degrading tasks with which the majority of the female population is concerned (servants, workers) and rewarding and fulfilling occupations that have the artists, the craftswomen or the teachers. It deals lastly with the oldest profession in the world : the prostitution. To conclude, it notices the extreme diversity of women's life at that time, and insists on the very ambivalent position that they hold in the society
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Guyard, Lucie. "Itinérance féminine et institutions : le vagabondage féminin dans la généralité de Rouen au XVIIIe siècle." Thesis, Normandie, 2019. http://www.theses.fr/2019NORMR140.

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Abstract:
Cette recherche a pour objectif d’approcher le délit de vagabondage féminin en l’observant tel qu’il est construit par différents courants de pensées, et tel qu’il est vécu par le peuple et les vagabondes elles-mêmes. Il s’agit ici de favoriser une analyse du mouvement des femmes hors de tout cadre légal, et avant son interpellation. Cette pratique s’instaure dans un quotidien que pratiquent hommes et femmes, mais que la loi cherche à définir pour mieux la sanctionner. La monarchie au XVIIIe siècle réorganise sa maréchaussée, et instaure une lieutenance générale de police, à Rouen notamment. Ces deux institutions et leur coexistence jusqu’à la Révolution ont fait naitre les archives indispensables à notre étude, et leur ressort, étendu sur la généralité de Rouen, en a défini la zone géographique. L’image de la femme itinérante se façonne à la croisée de plusieurs analyses. Elle émane de réflexions plus générales faites sur les femmes dans la société, leur place et le rôle qu’on leur attribue alors même que la monarchie cherche à figer les individus. À ces idées s’ajoute la perception de l’indigence et ce qu’elle représente dans l’esprit des contemporains. Enfin, l’image de la vagabonde se construit également autour de la conception de la personne de passage, et ce qu’elle représente pour les communautés résidantes des lieux où elle passe. Ces conceptions se confrontent à une réalité que les politiques de répression de parviennent pas à faire disparaitre : les femmes vagabondent seules ou accompagnées. À travers leurs mots retranscrits dans les archives des institutions qui doivent les interpeller transparaissent leurs propres explications quant à leur mouvement. Et ces derniers nous renseignent sur une part de leur réalité<br>This research aims to approach the crime of female vagrancy by observing it as it is constructed by different currents of thought, and as it is experienced by the people and the vagrants themselves. The aim here is to promote an analysis of the women's movement outside any legal framework, and before its arrest. This practice is part of a daily life practiced by men and women, but which the law seeks to define in order to better punish it. The monarchy in the 18th century reorganized its maréchaussée, and established a general police maintenance, particularly in Rouen. These two institutions and their coexistence until the Revolution gave rise to the archives essential to our study, and their scope, extended to the Rouen generality, defined the geographical area. The image of the homeless woman is shaped at the crossroads of several analyses. It emanates from more general reflections on women in society, their place and the role they are assigned at a time when the monarchy is trying to stabilise individuals. In addition to these ideas, there is the perception of indigence and what it represents in the minds of contemporaries. Finally, the image of the femal vagrant is also built around the conception of the transient, and what it represents for the communities residing in the places where she passes. These conceptions are confronted with a reality that repressive policies fail to eradicate: women wander alone or with support. Through their words transcribed in the archives of the institutions that have to call them out, their own explanations of their movement can be seen. And these last ones give us some information about their reality
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Dorlin, Elsa. "Au chevet de la Nation : sexe, race et médecine : XVIIe-XVIIe siècles." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040214.

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Abstract:
Pour les médecins du 17e s. , les femmes ont un tempérament froid et humide, imparfait et maladif. Hystérie, nymphomanie, ischurie. . . , cette étiologie sexuée constitue l'objet ambigu des nombreux traités des Maladies des femmes. Ce corpus est un champ d'investigation précieux pour analyser la façon dont les catégories du sain et du malsain se constituent comme catégories de pouvoir. Cette conception du corps des femmes comme un corps pathogène justifie une inégalité naturelle entre les sexes. Les naturalistes prennent modèle sur la domination de genre : les Indiens ou les Africains, sont perçus comme des populations au tempérament efféminé et faible. Le tempérament devient un instrument de naturalisation et de racialisation des rapports sociaux. Au 18e s. , le souci de la santé, la crainte du dépeuplement poussent les médecins à définir un concept de santé féminine pour promouvoir le modèle d'une femme saine et vigoureuse, mère des enfants d'une Nation forte. La mère devient le type féminin de la santé, opposé aux figures d'une féminité mutante ou " dégénérée ", la vaporeuse, la vivandière hommasse, la prostituée, l'esclave. La prise de contrôle de l'univers de la naissance par les autorités permet d'écarter les sages-femmes et les nourrices. Dans les colonies, cette nouvelle gestion de la reproduction est cruciale pour le système plantocratique. Les épouses transmettent par leur lait leur tempérament vigoureux à leurs enfants, quelques soient les influences du climat. Garantes de l'intégrité des caractères nationaux, de la supériorité des "blancs" sur les "noirs", elles deviennent ainsi un modèle et une arme pour la régénération de la Nation et l'unité du peuple français<br>Early modern medicine conceived female's temperament as cold and wet, imperfect and morbid. Women were ill all along their life, hysteria, nymphomania, pregnancies, labour, curse, prolapsus This gendered etiology has been the ambiguous subject of many treatises on Diseases of the women. This Corpus offers a valuable field of investigation to analyze the way in which the categories of healthy and unhealthy have been constituted as categories of power. This conception of the female body as a pathogenic body justified a natural inequality between the two sexes. Naturalists used the gender domination as a general pattern: Indians or slaves are perceived as having an effeminate and weak temperament. The temperament became a tool for naturalization and racialization of social relations. The concern with health and the fear of depopulation urged the physicians to define a concept of feminine health fit to promote the model of a healthy and vigorous woman, mother of the children of a strong Nation. The mother became the feminine type of health, opposed to the figures of a mutant or "degenerated" femininity, the hysteric, the sutler-woman, the "mannish woman", the prostitute or the african slave. The takeover of birth world allowed the authorities to discard midwives and nurses. In the colonies, this new management of reproduction was crucial for the plantocratic system: the wives transmit their vigorous temperament to theirs children along with their milk, despite of any climate influence. Their function was to guaranty the inthe integrity of national characters and the superiority of whites over blacks. They thus became a pattern and a weapon for the regeneration of the Nation
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Chollet, Mathilde. "Une ambition féminine au siècle des Lumières : éducation et culture au château : les journaux de Mme de Marans (1719-1784)." Thesis, Le Mans, 2014. http://www.theses.fr/2014LEMA3011/document.

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Abstract:
Mme de Marans (1719-1784) est issue d'une famille de noblesse récente et vit en châtelaine dans le Bas-Vendômois. Elle tient la plume dès son enfance et écrit en son for privé toute sa vie. Trois de ses journaux personnelsont été conservés : recueils de miscellanées, ils s'apparentent aux livres de lieux communs. La forme et le fond de cesécrits privés révèlent la personnalité de leur auteure, très cultivée, les raisons de sa prise de plume et ses pratiquesd'écriture. À l'aide de ces sources principales, de la correspondance de Mme de Marans et d'actes de la pratique, il estpossible de restituer l'éducation reçue par la diariste et les voies d'accès à la culture pour cette provinciale curieuse detout. Mme de Marans mobilise l'univers de la sociabilité des élites et celui du livre (elle offre même le fruit de sesréflexions au public via les anonymes Pensées errantes) pour satisfaire son ambition d'en apprendre davantage.Introspection, morale, théologie, histoire, littérature ancienne et moderne, sciences, intéressent Mme de Marans. Elleporte aussi sa réflexion sur des sujets d'actualité : place de la noblesse dans la société, nature du pouvoir royal etdroits des femmes. Le profil de Mme de Marans correspond à celui d'autres écrivantes et curieuses de la France et del'Europe des Lumières, mais elle subit les mêmes contraintes que ses contemporaines dans son accès à laconnaissance. Son cas montre ce qui est possible en matière de réception et d'appropriation des savoirs à lacampagne, et contribue à la réévaluation de l'éducation et la culture des femmes au château au XVIIIe siècle<br>Mme de Marans (1719-1784) was born in a noble but new family and lives amongst the Bas-Vendômois gentry.She starts writing as a child and keeps private writings her whole life. Three of her diaries, or commonplace books, werepreserved. Form and content of these private writings reveal their author's character, her great culture, the reasons whyshe started writing and her writing practice. Those main sources, Mme de Marans' correspondence and notary sourceshelp reconstituting her education, and the ways her inquiring mind can access knowledge. Mme de Marans takesadvantage of her social network and of the book industry (she even publishes her thoughts in the anonymous Penséeserrantes) to fulfill her ambition of always learning more. Mme de Marans is interested in introspection, ethics, theology,history, science, ancient and modern literature. Topical issues such as nobility's place in society, nature of royal powerand women's rights concern her as well. Mme de Marans shares similarities with other women writers from France orEurope of the Enlightment, but she experiences the same restrictions as her contemporaries in her access toknowledge. Her case is an example of what can be appropriation of ideas in the countryside, and contributes to thereassessment of women's education and culture amongst the 18th century gentry
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Onandia, Beatriz. "Transfert culturels, traductions et adaptations féminines en France et en Espagne au siècle des Lumières." Thesis, Université de Lorraine, 2016. http://www.theses.fr/2016LORR0096/document.

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Abstract:
La réception espagnole des œuvres de Madame de Genlis, Madame de Beaumont, Madame d’Épinay ou Madame de Lambert constitue un chapitre important de la fortune littéraire que ces auteures connurent en dehors des frontières françaises et plus concrètement dans l’Espagne des Lumières. L’obsession pédagogique des intellectuels des Lumières hispaniques, l’intérêt des femmes pour la lecture et le développement du monde éditorial, provoqueront pendant tout le XVIIIe siècle une véritable avalanche de textes destinés à la formation et à l’instruction féminine, surtout vers le milieu du siècle lorsque un fort intérêt pour les traductions d’œuvres étrangères se fit sentir. En harmonie avec cet intérêt pédagogique du siècle des Lumières, l’éducation deviendra donc un des sujets phare de la production éditoriale de l’époque. De ce fait, les débats éducatifs qui avaient lieu en France, vont circuler aussi dans le milieu intellectuel espagnol, grâce, comme nous venons de souligner, aux différentes traductions d’œuvres françaises. La visée pédagogique des productions littéraires de Marie Leprince de Beaumont, Stéphanie Félicité de Genlis, Louise d’Épinay ou Madame de Lambert séduira un grand nombre des intellectuels des Lumières espagnoles. La sensibilité de ces pédagogues françaises en matière de morale et de religion s’adaptait à la perfection avec les créations littéraires de L’Espagne des Lumières. Une littérature respectueuse des valeurs spirituelles traditionnelles et en même temps ouverte à ce nouveau concept de « vertu sensible ». Ce renouveau féminin va se faire sentir aussi dans les traductions d’œuvres pédagogiques françaises. Ainsi un bon nombre de ces écrits vont passer par les mains des femmes. Ana Muñoz, María Jacoba Castilla,María Romero Masegosa, Antonia de Río y Arnedo, Cayetana de la Cerda et tant d’autres vont être tour à tour traductrices et écrivaines espagnoles, qui donneront ainsi une couleur féminine au mouvement d’émancipation et d’éducation de la femme espagnole. D’ailleurs, ces traductrices furent les responsables des premières versions espagnoles des œuvres de Madame de Lambert, Madame d’Épinay ou Madame de Genlis. Nos recherches vont essayer donc d’analyser les avatars des œuvres des auteures pédagogues françaises, leurs premières traductions en Espagne et leurs influences sur la littérature pédagogique espagnole et en particulier celle produite par les femmes. De cette manière, on va pouvoir esquisser certains traits spécifiques qui vont caractériser la production féminine hispanique<br>The favourable reception in Spain of works by Madame de Genlis, Madame de Beaumont, Madame d’Épinay and Madame de Lambert constitutes an important chapter in the literary fortune that these authors came to achieve outside of France and particularly, in Spain during the period of Enlightenment. The pedagogical obsession of the Spanish Enlightenment scholars, women’s interest in reading and the development of publishing provoked a veritable avalanche of texts aimed at the education and schooling of women throughout the XVIII century, especially in the middle of the century at a time when a strong interest in translating foreign literary works was surfacing. Concurrent with this pedagogical interest taking place during the Enlightenment, the subject of education had become a beacon in the editorial production of the time. Consequently, the educational debates which had been taking place in France also began to become the subjects in Spanish educational circles a result of the various translations of French literary works. The pedagogic lens in the literary production of Marie Leprince de Beaumont, Stéphanie Félicité de Genlis, Louise d’Épinay and Madame de Lambert seduced a large number of Spanish Enlightenment intellectuals. The sensitivity of these French pedagogues on moral and religious matters translated perfectly to Spanish literary creations; it was a literature which respected traditional spiritual values at the same time as remaining open to the new concept of “sensitive virtue” This resurgence in female influence would go on to became apparent in the translations of French pedagogic literary works as a good number of these writings passed through the hands of women. Ana Muñoz, María Jacoba Castilla, María Romero Masegosa, Antonia de Río y Arnedo, Cayetana de la Cerda and so many others alternated between being translators and Spanish writers who gave a feminine perspective to the movement to emancipate and educate Spanish women. Notably, these women were responsible for the first Spanish versions of works by Madame de Lambert, Madame d’Épinay and Madame de Genlis. This research will analyse the transformation of these French pedagogical works: their first translations in Spain and how they influenced Spanish pedagogical literature, especially when produced by women. In doing so it will outline a number of specific traits which characterise hispanic female literary production
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Sottejeau, Céline. "L' Evolution du traitement et des représentations de l'amitié au moment de la montée de la crise révolutionnaire : de 1770 à la Révolution française." Orléans, 2006. http://www.theses.fr/2006ORLE1074.

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Abstract:
En 1770 paraît "Les Deux amis de Bourbonne" de Denis Diderot. Ce conte, écrit en réponse à trois oeuvres sur les "deux amis" publiées la même année, a pour ambition de venger une amitié qui aurait été bafouée. Cette controverse intrigue : d'où viennent ce goût pour l'amitié et cette affliction à la voir malmenée ? Le sentiment amical a vivement intéressé les lettrés de la fin du XVIIe siècle et ceux du XVIIIe siècle. Un grand nombre de traités sur le sujet l'atteste. L'admiration portée aux auteurs et aux idées de l'Antiquité n'y est sans doute pas étrangère. Nous nous situons avec cette étude entre tradition et rupture. Les philosophes des Lumières se réapproprient le concept de philia si cher à Aristote. Ils en font le héraut de leur idéal de morale laïque. Toutefois, l'amitié est aussi un thème littéraire. Les inquiétudes de Diderot quant à son traitement dans la littérature semblent fondées. La place occupée par l'amitié dans la production romanesque, théâtrale et poétique devient moindre, les images des amis changent. Certains acteurs de la Révolution vont lui redonner, pour un temps, ses lettres de noblesse. Dans une société qui ne cesse de réfléchir à la valeur de l'individu et à la façon d'organiser les rapports entre les hommes, l'amitié apparaît comme une vertu sociale capable de créer une cohésion entre les citoyens. Amitié et fraternité vont ainsi longtemps cohabiter. Les deux termes si proches ne sont pourtant pas tout à fait porteurs des mêmes significations. La devise républicaine de 1848 retiendra la fraternité. Pouvons-nous entrevoir les raisons d'un tel choix durant les années où se joue la Révolution ? Cette étude n'analyse pas les pratiques amicales, elle reste dans le domaine de l'idéalisation. Elle tente de présenter l'amitié telle que les hommes du XVIIIe siècle la rêvaient et non telle qu'ils la vivaient. A travers ce thème, l'évolution des mentalités d'un siècle riche en remises en cause et événements se perçoit en filigranes<br>"Les Deux amis de Bourbonne" by Denis Diderot is released in 1770. This tale, published as a response to three works on "two friends" published the same year, intends to avenge a supposedly scorned friendship. This controversy is puzzling : how come this taste for friendship and this affliction to see it ill-treated ? Friendly feelings deeply interested scholars at the end of the 17th and during the 18th century. This is evidenced by a large number of treatises. The admiration for the authors and ideas of Antiquity is probably not foreign to it. Our study is clearly situated between tradition and rupture. Enlightenment philosophers take over the philia concept so dear to Aristotle. They turn it into the herald of their ideal of secular morals. Yet friendship is also a literary theme. Diderot's worries concerning its treatment in literature seem grounded. The room for friendship in novels, theatre and poetry gets smaller, friends get a different image. Because of some Revolution figures, friendship will regain its patent of nobility for a while. In a society which constantly speculates on individual value and how to organize relations between men, friendship appears as a social virtue able to create a bond between citizens. Friendship and fraternity will stand together for a long time. So close as they are, the two words do not quite convey the same meaning though. The republican motto of 1848 will only retain fraternity. Can we make out the reasons for this choice in the years when Revolution is at stake ? This study does not analyze friendship in practice, it remains in the field of idealization. It aims at showing friendship as 18th century men saw it in their dreams, not as they experencied in their lives. Through this theme loom beneath the surface the changes in mentalities, in a century full of questionings and events
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Peralez, Peslier Bénédicte. "La Littérature et son public d’amateurs au XVIIIe siècle : contribution des correspondances féminines." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2015. http://www.theses.fr/2015USPCA122/document.

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Abstract:
Les correspondances féminines du XVIIIe siècle participent à l’émergence d’un nouveau public, dont le jugement a progressivement été pris en compte au siècle précédent : celui des « amateurs des Lettres ». Le rôle de ces personnes qui cultivent un goût pour les Lettres sans faire profession d’écrire ou de jouer est encore mal défini, à une époque où le champ de la discipline littéraire, qui s’est constitué de manière autonome au XVIIe siècle, subit des mutations. Longtemps cantonnées à des travaux voués à l’anonymat ou à une divulgation restreinte, les femmes font du commerce épistolaire un lieu d’accomplissement privilégié de leurs pratiques culturelles en amateur, apportant, sur le sujet, une connaissance essentielle. Notre étude porte sur les lettres de sept épistolières : Mmes de Graffigny, du Deffand, du Châtelet, d’Épinay, de Charrière, et Roland, ainsi que Mlles de Malboissière et de Lespinasse. Dans la première partie sont envisagées les conditions familiales et sociales qui favorisent l’accès des épistolières à une culture lettrée indispensable à l’éveil de leur goût pour les Lettres. La seconde partie s’intéresse à la formation et à l’appropriation de cette culture par les femmes, au gré d’expériences de lecture et de représentations de spectacles dramatiques. La recherche porte ensuite sur le rôle des épistolières dans la transmission des textes et dans l’arbitrage des Lettres, à telle enseigne qu’elles deviennent les agents privilégiés de la médiatisation de la vie littéraire de l’époque. La fréquentation quotidienne des œuvres, qu’elles soumettent à la critique, finit par nourrir leurs pratiques d’écriture. Celles-ci, étudiées dans la dernière partie, sont fondées sur des procédés d’emprunts aux textes littéraires, qui favorisent le badinage avec les interlocuteurs, et sur des initiatives nombreuses de composition qui repoussent les limites du genre épistolaire. Ainsi, en mettant à l’épreuve les goûts des épistolières à travers l’exercice de la plume, les correspondances s’avèrent une pierre de touche du savoir et de la sensibilité littéraire des femmes lettrées, un lieu d’expression et, dans la lignée des lettres de la marquise de Sévigné, l’espace par excellence de la création en amateur<br>In the XVIIIth century, women’s correspondences were representative of the emergence of a new readership whose judgment had progressively been acknowledged in the course of the previous century ― namely, that of the “amateurs of Letters”. We still know comparatively little about the role played by these people ; they cultivated their taste for Letters without aspiring to earn a living by writing or acting, in an era when the discipline of Letters, that had emerged as such in the XVIIth century, was undergoing significant changes. Writings by women had long been restricted to anonymous or confidential publication; women now elected epistolary intercourse as a locus for their cultural practice as amateurs, thus contributing essential knowledge on the subject.This study focuses on the letters by eight letter writers : Mmes de Graffigny, du Deffand, du Châtelet, d’Épinay, de Charrière, Roland, and Mlles de Malboissière et de Lespinasse. The first section is about the aspects of these ladies’ domestic and social conditions which facilitated their access to the literary culture that was indispensable to the birth of their taste for Letters. The next section concentrates on these women’s apprenticeship and their appropriation of this culture according to their reading and theatre-going experiences. Our research then shifts to the women letter writers’ role in the transmission and the assessment of texts, to the point that they became the prime agents in the mediatization of the literary life of their time.Their daily acquaintance with the texts that they submitted to their critical judgment turned out to nourish their writing practices. These practices are placed under scrutiny in the last section of our study ; they rely on borrowing, which favours banter with one’s interlocutors, as well as on numerous composing initiatives, which push back the boundaries of the letter as a genre. By challenging their writers’ tastes through the practice of writing, the correspondences thus prove to be a cornerstone of the women of Letters’ literary knowledge and sensibility, a place for expression and, in line with the letters of the marquise de Sévigné, the space par excellence for an amateur’s creativity
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Vermelle, Alison. "Malesherbes et ses belles amies." Thesis, Paris 10, 2016. http://www.theses.fr/2016PA100123.

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Abstract:
Cette thèse explore un pan méconnu de la vie de Guillaume de Lamoignon de Malesherbes (1721-1794). L'homme issu d'une grande famille de la noblesse de robe parisienne est bien connu comme un acteur politique important des règnes de Louis XV et Louis XVI, mais aussi comme scientifique et botaniste passionné. Ses interactions avec les femmes de son entourage sont en revanche mentionnées à demi-mots voire absentes des études lui étant jusqu’ici consacrées. En s’appuyant notamment sur des sources d’archives (fonds privé Rosanbo, fonds Malesherbes, minutier central des notaires de Paris), cette thèse propose de suivre le fil d’histoires d’affinités oubliées. Dans le sillage de l’histoire du genre, elle analyse les pratiques familiales, sociales et culturelles de femmes nobles à travers des thèmes variés (sciences, voyage, mœurs…), induits par l’éclectisme de Malesherbes. La première partie (1721-1750) s’intéresse aux figures féminines de l’enfance de Malesherbes ainsi qu’à la place dévolue à la femme dans un foyer de la noblesse de robe. La seconde partie (1750-1774) aborde la construction des liens familiaux et sociaux puis s’attarde sur les profils des femmes insérées dans son cercle d’intimes. La troisième partie (1774-1794) considère l’évolution de ses rapports avec ses filles, sa sœur aînée mais aussi des amies communes à Turgot. Les femmes qui ont accompagné Malesherbes dans chaque phase de sa vie, et jusqu’à l’échafaud, étaient porteuses d’amitiés fraternelles, maritale, parentale ou intellectuelles. La reconstitution de ce vaste réseau féminin illustre les modalités plurielles de la construction des rapports hommes-femmes dans les espaces privés et publics de la noblesse au XVIIIe siècle<br>This thesis explores an unknown part of the life of Guillaume Lamoignon de Malesherbes (1721-1794). The man coming from a prominent family of the Parisian Nobility of the Robe is well known as a major political actor during the reigns of Louis XV and Louis XVI, but also as a scientist and passionate botanist.His interactions with women close to him are by contrast barely mentioned or even absent from the studies so far being dedicated to him. Notably relying on archival sources (Rosanbo private fund, Malesherbes fund, central minute book of the Paris notaries), this thesis proposes to follow the thread of forgotten affinity stories. In the wake of the gender studies, it analizes women’s familial, social and cultural practices, through varied themes (sciences, travel, customs…), led by the eclecticism of Malesherbes. The first part (1721-1750) focuses on the female figures of Malesherbes’ childhood and the role assigned to women in a home of the nobles of the robe. The second part (1750-1774) considers the construction of family and social relationships and focuses on women profiles inserted in his inner circle. The third part (1774-1794) considers the evolution of his relationships with his daughters, his elder sister but also mutual friends with Turgot.Women who have accompanied Malesherbes in every phase of his life, and to the scaffold, were carrying fraternal, marital, parental or intellectual friendships. The reconstruction of this vast female network shows various modes of the construction of relations between men and women in the private and public spaces of the nobility in the eighteenth century
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