Academic literature on the topic 'Amitié – France – 16e siècle'

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Journal articles on the topic "Amitié – France – 16e siècle"

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Lebrun, François. "François Laplanche, La Bible en France, entre mythe et critique, 16e -19e siècle, Paris, Albin Michel, « L'évolution de l'humanité », 1994, 318 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no. 1 (February 1995): 215–16. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900060819.

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Weis, Monique. "Le mariage protestant au 16e siècle: desacralisation du lien conjugal et nouvelle “sacralisation” de la famille." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 134. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.07.

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Abstract:
RÉSUMÉLe principal objectif de cet article est d’encourager une approche plus large, supraconfessionnelle, du mariage et de la famille à l’époque moderne. La conjugalité a été “désacralisée” par les réformateurs protestants du 16e siècle. Martin Luther, parmi d’autres, a refusé le statut de sacrement au mariage, tout en valorisant celui-ci comme une arme contre le péché. En réaction, le concile de Trente a réaffirmé avec force que le mariage est bien un des sept sacrements chrétiens. Mais, promouvant la supériorité du célibat, l’Église catholique n’a jamais beaucoup insisté sur les vertus de la vie et de la piété familiales avant le 19e siècle. En parallèle, les historiens décèlent des signes de “sacralisation” de la famille protestante à partir du 16e siècle. Leurs conclusions doivent être relativisées à la lumière de recherches plus récentes et plus critiques, centrées sur les rapports et les représentations de genre. Elles peuvent néanmoins inspirer une étude élargie et comparative, inexistante dans l’historiographie traditionnelle, des réalités et des perceptions de la famille chrétienne au-delà des frontières confessionnelles.MOTS-CLÉ: Époque Moderne, mariage, famille, protestantisme, Concile de TrenteABSTRACTThe main purpose of this paper is to encourage a broader supra-confessional approach to the history of marriage and the family in the Early Modern era. Wedlock was “desacralized” by the Protestant reformers of the 16th century. Martin Luther, among others, denied the sacramental status of marriage but valued it as a weapon against sin. In reaction, the Council of Trent reinforced marriage as one of the seven sacraments. But the Catholic Church, which promoted the superiority of celibacy, did little to defend the virtues of family life and piety before the 19th century. In parallel, historians have identified signs of a “sacralization” of the Protestant family since the 16th century. These findings must be relativized in the light of newer and more critical studies on gender relations and representations. But they can still inspire a broader comparative study, non-existent in traditional confessional historiography, of the realities and perceptions of the Christian family beyond denominational borders.KEY WORDS: Early Modern Christianity, marriage, family, Protestantism, Council of Trent BIBLIOGRAPHIEAdair, R., Courtship, Illegitimacy and Marriage in Early Modern England, Manchester, Manchester University Press, 1996.Beaulande-Barraud, V., “Sexualité, mariage et procréation. Discours et pratiques dans l’Église médiévale (XIIIe-XVe siècles)”, dans Vanderpelen-Diagre, C., & Sägesser, C., (coords.), La Sainte Famille. Sexualité, filiation et parentalité dans l’Église catholique, Problèmes d’Histoire des Religions, 24, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2017, pp. 19-29.Bels, P., Le mariage des protestants français jusqu’en 1685. 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NEVEU, A. "La raniculture est-elle une alternative à la récolte ? Etat actuel en France." INRAE Productions Animales 17, no. 3 (July 29, 2004): 161–75. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3587.

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Abstract:
La grenouille est apparue dans la gastronomie européenne au cours du 16e siècle. La plupart des grenouilles consommées sont prélevées sur des stocks naturels, mais ceux-ci ont fortement diminué au cours du 20e siècle du fait de l’augmentation de l’activité humaine (augmentation des prélèvements, diminution des habitats favorables). La France est le principal pays importateur avec 3000-4000 t/an de cuisses surgelées en provenance des pays d’Extrême-Orient et 700-800 t/an de grenouilles vivantes. Au cours des dernières années, des essais d’élevage intensif de grenouilles ont été conduits dans plusieurs pays. Des essais ont été mis en place dans les années 80 dans l’ouest de la France pour tester les capacités d’élevage de grenouilles du complexe esculenta (deux espèces parentales : Rana lessonae et R. ridibunda et un hybride : R. esculenta). R. ridibunda s’est avérée la plus intéressante pour l’élevage intensif et a fait l’objet d’un essai de longue durée. Au début de l’essai, les femelles effectuaient plusieurs pontes par an avec une fertilité satisfaisante. Après une dizaine d’années d’élevage, la fécondité et la fertilité ont diminué, sans que les causes de ces diminutions soient totalement élucidées. Le développement des têtards dure de 2 à 3 mois.Les grenouillettes peuvent être alimentées avec des granulés dès la métamorphose. Après 40 jours, le taux de survie est de 92 % et la taille moyenne de 32 mm. La durée d’élevage depuis le sevrage est de 10 à 12 mois, avec une production de 20 à 30 kg/m2 pour une température comprise entre 15 et 25°C. Une alternative à la production intensive est de reconstituer les stocks naturels. Depuis 1986, plusieurs essais ont été conduits avec R. temporaria, qui associent l’élevage intensif des têtards en étang, le lâcher des grenouillettes dans la nature et le suivi du retour des adultes qui reviennent pondre sur leur lieu de naissance après deux ou trois ans (taux de retour d’environ 6 %). Le choix entre ces deux voies doit également tenir compte des contraintes réglementaires et socio-économiques.
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ΝΥΣΤΑΖΟΠΟΥΛΟΥ-ΠΕΛΕΚΙΔΟΥ, ΜΑΡΙΑ. "ΤΑ ΠΛΑΣΤΑ ΕΓΓΡΑΦΑ ΣΤΟΥΣ ΜΕΣΟΥΣ ΧΡΟΝΟΥΣ ΣΤΟ ΒΥΖΑΝΤΙΟ ΚΑΙ ΣΤΑ ΒΑΛΚΑΝΙΑ: Κριτήρια πλαστότητας, στόχοι και τεχνικές." Eoa kai Esperia 7 (January 1, 2007): 25. http://dx.doi.org/10.12681/eoaesperia.7.

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Abstract:
<p>Le problème de la distinction entre les documents authentiques et les faux fut posé au 17e siècle en Allemagne et en France, pour des raisons politiques et sociales: en France, en raison de la lutte des rois contre les revendications des nobles; en Allemagne, à cause des contestations de droit civil. Mais c'est dans les milieux des Acta Sanctorum à la deuxième moitié de ce siècle que l'on a commencé à faire dans les archives des couvents des recherches systématiques sur l'authenticité des documents, en vue de l'édition des Vies des saints. La recherché dans ce domaine du moine jésuite Daniel vo Papenbroeck (1659), la première du genre, fut importante, quoique incomplète et avec des critères souvent inexacts. Le bénédictin Jean Mabillon en 1675 a corrigé et complété cette recherche avec une rigoureuse méthode scientifique: dans son grande oeuvre De re diplomatica (1681) il a formulé des règles fondamentales pour l'étude critique des documents, mettant ainsi les bases de la Diplomatique en tant que science à part. Selon l'opinion généralement admise, on considère comme faux les documents dont les éléments ne correspondent pas aux données historiques et diplomatiques. La falsification des documents est un phénomène diachronique concernant des affaires ecclésiastiques, publiques ou privées. Au Moyen Âge, à Byzance et aux pays Balkaniques, les faux n'étaient pas rares et leur nombre s'augmenta à l'époque de la domination ottomane.</p>Objectif de la falsification des documents est principalement la revendication des biens (fonciers ou revenus) et des privilèges, exemptions fiscales ou subventions, et d'autres objets d'intérêt surtout économique. Le temps de leur falsification a une grande importance pour la recherche, car il peut fournir d'éléments utiles pour le motif de cette entreprise. Le faussaire ne rédige jamais en entier son document, mais au contraire, afin de lui donner une apparence d'authenticité, il copie un ou plusieurs documents authentiques antérieurs, dont le contenu concorde plus ou moins à son sujet. Ainsi quelquefois le faux a l'aspect d'une copie - authentifiée, philologique ou figurée -, ce qui crée dans certains cas des difficultés à la recherche (cf. Actes de Chilandar, n. éd., No 37). <p>Critères de fausseté sont certains éléments de forme et de fond: tells le papier (p. ex. les filigranes), l'encre, l'emploi anormal du sceau et l'écriture; la structure et l'enregistrement; Vintitulatio et la phrase finale des actes impériaux; les fautes d'orthographe, de syntaxe et d'expression, surtout pour les documents de la chancellerie impériale; l'emploi inexact de termes, de titres, d'institutions et de données prosopographiques et numismatiques ne correspondant pas à la réalité historique; enfin, la discordance des éléments chronologiques qui constitue la faute la plus fréquente. Pour tous ces cas nous citons d'exemples caractéristiques. Quand le faussaire a comme modèle un seul document authentique, il le copie d'habitude presque mot à mot, tâchant de remplacer les éléments spéciaux de son modèle par ceux qui correspondent à son objet. Il combine parfois les éléments des plusieurs documents authentiques. Dans certains cas la fabrication du faux se fait par étapes, surtout quand son modèle est en mauvais état ou bien qu'il n'existe pas un modèle propre à la circonstance (cf. Actes de Docheiariou, app. III).</p> <p>Parmi les méthodes les plus caractéristiques que le faussaire emploie pour donner une apparence d'authenticité à son faux, nous notons celle où l'on fait ratifier le document falsifié par une autorité, ecclésiastique d'habitude, qui, ne connaissant pas les critères d'authenticité, le certifie, de bonne foi, ou plus encore il le fait introduire dans son propre document. Tel fut le cas du faux chrysobulle de Manuel II Paléologue (1407), en faveur du couvent de Kastamonitou, fabriqué au 16e siècle et ratifié par le patriarche Jéremie II en 1579, qui l'a fait introduire dans son gramma dont une copie confirmée par l'Hiéra Koinotès du Mont Athos fut par la suite ratifiée par le patriarche Callinique IV vers 1803 (Actes de Kastamonitou, Ιγ). Mais le cas le plus frappant est celui des deux faux chrysobulles en faveur du couvent de Xéropotamou, attribués l'un à l'empereur Théodose II (427), conservé en "copie conforme" (ίσον άπαράλλακτον) du métropolite d'Adrinople Nicéphore (1774-1780), et l'autre à Romain 1er Lécapène (924) (!!); tous les deux, pleins de fautes diplomatiques et d'anachronismes historiques, furent fabriqués probablement à la première moitié du 18e siècle, pour soutenir l'ancienneté du couvent et certifier la possession précieuse d'un morceau de la Sainte Croix. Le faux de Romain 1er fut traduit en valaque (déjà en 1759), italien, latin et français (Actes de Xéropotamou, Ια et Iß). Nos recherches nous ont permis de soutenir que ce faux fut employé par les moines de Xéropotamou pour leur quête (ζητεία) surtout aux Principautés Danubiennes (depuis 1761) au profit de leur couvent qui se trouvait alors en grande pénurie; ce qui explique le motif de la fabrication et de la traduction en valaque.</p> <p>En terminant, nous signalons que la plupart de documents faux dont la date falsifiée se rapporte à Byzance ou aux pays Balkaniques sont fabriqués durant la domination ottomane, quand la situation politique et économique ainsi que les cadres administratifs avaient totalement changés et que les couvents et autres fondations avaient perdu leur revenus et leurs privilèges. Le fait que les autorités d'alors ignoraient les critères d'authenticité des documents facilitait cette entreprise.</p> <p>Nous signalons enfin que les documents falsifiés, tout en étant faux du point devue diplomatique, ont une certaine valeur en tant que sources historiques, car il peuvent, sous certaines conditions, nous fournir des renseignements utiles, diplomatiques et historiques.</p><p> </p><br />
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Frobert, Ludovic. "N. Zemon Davis, Essai sur le don dans la France du 16e siècle." Astérion, no. 1 (June 1, 2003). http://dx.doi.org/10.4000/asterion.20.

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Dissertations / Theses on the topic "Amitié – France – 16e siècle"

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Chin, Man-Yi. "Amitié féminine et écriture épistolaire au XVIIIe siècles." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0045.

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Abstract:
Cette thèse sur l'amitié féminine telle qu'elle a pu être vécue au XVIIIe siècle dans son rapport avec l'écriture épistolaire se présente comme une contribution à la fois à l'histoire de l'amitié et à l'histoire des pratiques d'écriture et de lecture. Elle propose d'envisager les femmes du siècle des Lumières, celles du moins pour lesquelles nous disposons de traces écrites, comme des usagers et des acteurs de la culture écrite, en l'occurence à travers l'usage qu'elles ont fait de la notion d'amitié dans leurs pratiques relationnelles et dans leur construction de l'identité culturelle, leur appropriation de la memoria de l'"amitié savante", leurs écrits romanesques mettant en scène la correspondance amicale féminine et leurs échanges épistolaires dans le cadre d'une amitié de longue durée. Cette memoria, dans notre travail, a ainsi établi un concept central pour l'étude de l'amitié en tant que patrimoine commun constitué par des hommes lettrés mais où d'autres ont pu venir puiser
This thesis on women's friendship such it could be lived at the XVIIIth century in its connection with epistolary writing practice. It proposes to consider the women of the Enlightenment, for those at least for which we still do have written works, like users and actors of the written culture, in this case through their use of the friendship notion in their relations practices and their construction of cultural identity, their appropriation of the memoria of "learned friendship", their romantic writtings bringing into play the women's friendship correspondence and their epistolary exchanges within a long time friendship. Thus this memoria, in our work, establish a central concept for the friendship study as a common inheritance set up by well-read men but where others could have come to draw
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Kühner, Christian. "L' amitié nobiliaire en France au XVIIe siècle : représentations et pratiques d'un lien social." Paris, EHESS, 2011. http://www.theses.fr/2011EHES0123.

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Abstract:
L'objectif de la thèse est de décrire l'amitié comme lien social dans la société aristocratique du Grand siècle, avec une emphase particulière sur le milieu de la cour et le rôle de l'amitié dans ses dynamiques politiques. Les sources qui ont été utilisées comprennent des lettres qui se trouvent dans les fonds des archives Condé à Chantilly, qui ont été combinés avec des sources imprimées, surtout mémoires et autobiographies, du Grand Siècle. Outre la sémantique des mots «ami » et «amitié », les représentations de l'amitié sont analysées; pour cela, les racines anciennes et médiévales du discours de l'époque moderne sur l'amitié sont décrites. La thèse traite aussi des langages de l'amitié, décrivant le vocabulaire et la rhétorique utilisés dans les relations amicales. Ensuite, les pratiques de l'amitié -ses rituels et ses gestes -sont examinées, ainsi que les objets qui peuvent devenir des symboles de l'amitié, et aussi les services entre amis, surtout dans les domaines de la politique, de l'entraide matérielle et de l'entraide dans des conflits armés. Les résultats de cette analyse sont insérés dans une perspective de longue durée, qui trace l'évolution du phénomène amical de la Renaissance jusqu'à l'époque contemporaine, en insistant en particulier sur les changements qui ont eu lieu à l'époque des Lumières et du Romantisme; ces mouvements insistaient sur une amitié privée, non politique, basée sur la sincérité, tandis qu'à l'époque moderne, l'entraide et la loyauté étaient les éléments clés de l'amitié. Il faut donc -ce que l'étude essaye de faire -historiciser le concept même de l'amitié pour éviter de mesurer l'amitié moderne à l'aune du concept romantique
The objective of the thesis is to describe friendship as a social bond in the aristocratic society of the "Grand Siècle", with a particular emphasis on the milieu of the court and the role of friendship in its political dynamics. The sources comprise letters that are conserved in the Condé archives in Chantilly, and which have been combined with printed sources, mainly memoirs and autobiographies, of the Grand siècle. Besides the semantics of the words "ami" and "amitié", the representations of friendship are analyzed; to this end, the ancient and medieval roots of the early modem friendship discourse are described. The thesis also discusses the language of friendship, describing the vocabulary and rhetoric used in friendship relations. After that, the practices of friendship -its rituals and gestures -are examined, as well as the objects that can become symbols of friendship, and also the services among friends, notably in the fields of politics, of mutual material help and of mutual help in armed conflicts. The results of this analysis are embedded in a "longue durée" perspective, which outlines the evolution of friendship, which traces the evolution of friendship from the Renaissance to the modem era, with a particular emphasis on the changes during the Enlightenment and the period of Romanticism; this movements insisted on the idea of a private, non-political friendship, which should be based on sincerity, whereas in the early modem period, mutual help and loyalty were the key elements of friendship. It is thus necessary to historicize the concept of friendship itself in order to avoid applying the standard of the romantic concept to early modem friendship
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Carsalade, Céline. "La prudence, un concept utilisé par Loisel pour retrouver l'amitié dans l'ordre juridique." Paris 2, 2010. http://www.theses.fr/2010PA020051.

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Abstract:
Juriste de renom, avocat du roi pendant la période troublée des guerres de religions, Loisel s'est attaché à établir un ordre juridique juste, là où la loi se révélait peu à peu impuissante à restaurer l'amitié perdue entre les individus vivant dans le Royaume de France. Loisel décide donc d'ordonner le droit existant, afin de lui redonner une certaine cohérence en distinguant les bonnes coutumes et les mauvaises. L'oeuvre du jurisconsulte est une oeuvre qui a pour objectif de "faire tenir debout" le droit, comme son nom l'indique : Loisel a choisi de l'intituler "Institutes coutumières", le terme "institutes" venant du latin "stare" faire tenir debout, tenir debout. Dans cette oeuvre, Loisel attribue à chacun sa part dans la sphère privée, comme dans la sphère publique.
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Haan, Bertrand. "Les relations diplomatiques entre Charles Quint, Philippe II et la France au temps de la paix du Cateau-Cambrésis (1555-1570) : l'expérience de l'"amitié"." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2006. http://www.theses.fr/2006VERS009S.

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Abstract:
Ce travail a pour objet de contribuer à une redéfinition de la nature des relations entre souverains sous l’Ancien Régime – volontiers assimilées aux relations internationales contemporaines –, par l’étude des formes que prend un rapprochement diplomatique. Un terme, qui n’a guère suscité d’intérêt, désigne en effet les liens entre princes lorsqu’ils sont alliés : l’« amitié ». Seule une analyse minutieuse du langage et des pratiques politiques anciennes, fondée sur les correspondances diplomatiques, permet de révéler toutes les facettes de cette notion. Dans un domaine où le pragmatisme prévaut, on a privilégié une étude de cas pratique à une approche purement théorique, en considérant la réconciliation puis l’alliance d’une décennie entre des souverains qui apparaissent comme des rivaux irréductibles, les rois d’Espagne et de France. Tels qu’ils se révèlent au milieu du XVIe siècle, les liens d’« amitié » présentent un fort caractère familial et personnel, nécessitant un engagement constamment renouvelé. L’« amitié » a aussi ses règles propres. Les sentiments qu’elle suppose doivent être affichés avec effusion et les obligations auxquelles elle engage, remplies à la lettre. Elle comporte, en effet, le respect d’un code de conduite fondé sur l’entraide et la réciprocité. Conseiller, informer de ses intentions, fournir une aide militaire, s’abstenir de tout acte ouvertement hostile : voilà les principaux témoignages que fournissent les deux alliés de leur volonté de préserver des relations privilégiées au cours des années 1560. Enfin, l’« amitié » ouvre la voie à la réalisation des idéaux propres à la chrétienté médiévale et moderne : l’instauration d’une paix générale et le rétablissement de l’unité de la foi. Même si elle a, dans la pratique, un impact limité et ne peut subsister que si les deux parties y trouvent leur intérêt, l’« amitié » entre princes est donc, dans l’esprit, subtilement mais fondamentalement différente d’une alliance entre États
The main purpose of this thesis is to contribute to a new definition of the nature of relationship between sovereigns during Modern Europe – usually considered as contemporary international relationship – through study of forms taken by diplomatic alliances. One term refers to links between princes when they are allied : “friendship”. A thorough analysis of language and political practice, based on diplomatic letters, is the best way to show all the aspects of this notion. When pragmatism gets first, a practical study was prefered to a purely theorical approach, considering reconciliation, then alliance during a decade between sovereigns who appear as out-and-out rivals, the Kings of Spain of France. As it appears in the middle of the 16th century, the friendship link is strongly familial and personal, which needs a permanently renewed engagement. “Friendship” has also its own rules. It supposes feelings must appear sincere and its engagement, honoured, as it is founded on a principle of reciprocity. Advising, giving information, affording military help, commiting no frontly hostile act, these are evidences mainly given by the two allies for they will to preserve the special relationship during the 1560’. In the end, “friendship” opens way to realizing ideals of medieval and modern Christendom : instauring global peace and restauring unity of faithThough it has a virtually limited impact and can’t exist without any interest of both parts, “friendship” between princes, in its principle, in a subtle but fundamental way is not an alliance between States
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Asklund, Frédérique. "Maxime Du Camp et Gustave Flaubert, deux écrivains au miroir de leur amitié (1840-1893)." Orléans, 2006. http://www.theses.fr/2006ORLE1071.

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Abstract:
L'amitié littéraire de Maxime Du Camp et de Gustave Flaubert se développe sur la toile de fond bousculée de la seconde moitié du XIXe siècle. Cette époque de triomphe des valeurs bourgeoises met à mal l'image glorieuse de l'écrivain romantique alors que le monde littéraire, dans ses structures comme dans son fonctionnement, évolue en transformant les formes du travail de l'homme de plume. Du Camp et Flaubert, comme les lettrés de leur génération, n'ont d'autre choix que de repenser leur condition. Ils apportent de manière différente, voire opposée, leurs réponses à travers un dialogue approfondi développé sur près de quarante années. Avec en fin de compte la question fondamentale : qu'est-ce qu'un écrivain ? La critique a généralement regardé la relation entre Flaubert et Du Camp de manière abrupte, opposant le premier, parangon de l'artiste pur, au second ramené au rang d'arriviste cynique et envieux. Afin de réviser ce constat hâtif et non exempt de parti pris, nous analyserons tout d'abord leur correspondance, témoignage premier de personnalités dont les contours se dessinent progressivement, et révélatrice d'une double quête d'identité littéraire. Or, ce qui fait le caractère exceptionnel de cette amitié difficile, qui voit se confronter deux figures d'écrivains, ce sont les prolongements qu'il est possible de discerner dans leurs oeuvres. Ce sera notre second niveau d'analyse. Au bout du compte, c'est autour de la question de la (re)création de l'oeuvre littéraire que se scelle l'histoire d'une relation dont notre étude chronologique mettra en valeur la part de réalité et de réécriture, de vérité et de fantasme, d'épanchement sincère et d'éventuelle mauvaise foi
The literary friendship between Maxime Du Camp and Gustave Flaubert developed against the tumultuous second half of the 19th Century. Those times of triumphant middle class values dealt a harsh blow to the glorious image of the romantic writer In the meantime, the literary world evolves both in its structure and its way of functioning by changing the work of the writer. Du Camp and Flaubert, like other men of letters of their generation, had no other choice but to reconsider their condition. They brought their answers in a different, even an opposing fashion, through an extensive dialogue which developed over almost forty years - ultimately raising the fundamental question : what is a writer ? Critics generally too hastily regarded the relation between Flaubert and Du Camp, opposing the former, seen as a model of the true artist, with the latter, who was reduced to the rank of cynical and envious social climber. To revise this somewhat prejudiced judgement, initially we wil analyse their correspondence which gives us a first insight into two personalities that take form progressively, and which reveals a dual quest for literary identity. For in fact, the exceptional aspect of this difficult friendship which confronted two literary figures, are the ramifications which can be seen in their works. This will be our second level of analysis. Finally, we will consider how the matter of (re)creation of literary works is embedded in the story of this relation. Our chronological study wil highlight the degree of reality and rewriting, of truth and fantasy, of sincere outpourings and possible insincerity in this relationship
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Lissalde, Corinne. "Théodore Aubanel et Ludovic Legré : histoire d'une amitié littéraire : édition de leur correspondance." Pau, 2010. http://www.theses.fr/2010PAUU1000.

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Abstract:
Théodore Aubanel, le félibre de la Mióugrano, est un représentant éminent du félibrige provençal, aux côtés de Frédéric Mistral. Sa correspondance est extrêmement riche, puisqu’il a été en relation avec plus de six cents correspondants. Parmi eux, Ludovic Legré a une place prépondérante. Cet avocat marseillais a en effet échangé pendant trente ans avec Théodore Aubanel, de façon régulière, de 1856 à 1886. Leurs lettres, qui se trouvent désormais à Avignon, aux Archives départementales de Vaucluse, et à Marseille, au Museum d’histoire naturelle, ont été utilisées dans un grand nombre d’études consacrées à Aubanel ou au félibrige. Mais elles n’étaient jusqu’à présent connues que de façon lacunaire et parfois erronée. Ces 849 lettres sont désormais éditées, nous permettant d’avoir des informations sur la Provence du XIXème siècle et plus précisément sur le développement du félibrige qui, dans les premières années de cette correspondance, n’est pas encore structuré. Or, Théodore Aubanel et Ludovic Legré ont tous deux joué un rôle important dans son développement, l’un en publiant tout d’abord l’Armana prouvençau puis son recueil de poèmes La Mióugrano entre-duberto, l’autre en accompagnant à Paris Frédéric Mistral venu présenter Mirèio. Ces deux hommes, témoins et acteurs de la renaissance de la littérature provençale, commentent année après année l’évolution du félibrige, passant de l’enthousiasme à une certaine désillusion. Ces courriers permettent également de suivre l’écriture d’un grand nombre d’œuvres d’Aubanel, de découvrir la personnalité de deux hommes qui se sont livrés au travers d’une correspondance qui n’avait pas vocation à être lue par d’autres qu’eux-mêmes
Theodore Aubanel, the mióugrano's félibre, is an eminent representative of the Provençal félibrige, beside Frederic Mistral. His correspondence is extremely rich, as he was in contact with more than six hundred correspondents. Ludovic Legré has a dominant position among them ; indeed, this lawyer, born in Marseilles, regularly exchanged letters with Theodore Aubanel, for thirty years, from 1856 to 1886. Their letters, which can now be consulted in Avignon, in the local archives of Vaucluse, and in Marseilles, in the natural history museum, have been used in many studies devoted to Theodore Aubanel or to the félibrige. But until now, these letters were only known in a lacunary and sometimes erroneous way. These 849 letters are now published, allowing us to have information about the 19th century Provence, and more accurately about the félibrige's development, which in the first years of this correspondence was not structured yet. Besides, Theodore Aubanel and Ludovic Legré both played a great role in its evolution; the first publishing his Armana prouvençau and the poetry anthology La Mióugrano entre-duberto, the other going to Paris with Frederic Mistral, who went there to present Mirèio. These two men, witnesses and actors of the rebirth provençale literature, commented the evolution of the félibrige on years after years, first with of enthusiasm but later with some disillusion. These letters also allow us to follow the writing of many of Aubanel's works, and to discover the personality of two men who confided in each other in a correspondence which was not supposed to be read by anyone else but themselves
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Prevost, Aurelie. "L’amitié aux XVIe et XVIIe siècles en France : normes, réalités et représentations." Thesis, Lyon 2, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO20110/document.

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Abstract:
La thèse s’intéresse au duo amical entre hommes en France aux XVIe et XVIIe siècles. Le corpus, aux sources très diverses, écarte à la fois les femmes, les clercs et les intellectuels. Il s’agit d’étudier la réception des idées philosophiques, le regard porté sur la norme et la pratique de l’amitié. Après avoir retracé l’apport antique, patristique et médiéval, le cadre social est défini, notamment en ce qui concerne la place de la famille. Puis, les dictionnaires offrent un bon aperçu des différentes connotations des termes « amitié » et « ami ». Enfin, le travail s’attache à suivre le cours d’une amitié, de sa genèse à sa mort. L’importance du choix de l’ami et sa vertu transcendent le discours des XVIe et XVIIe siècles. Les gestes de l’amitié sont recherchés et presque codés. La peur de l’abandon ou de la trahison est très présente. On s’interroge beaucoup sur la possibilité, voire l’obligation, de la transgression des règles sociales. Les contemporains recherchent un équilibre, toujours difficile à obtenir et à garder. Concorde et Charité sont les deux notions non pas tant concurrentes que connexes à l’amitié. L’amitié-duo se vit en effet dans une société où l’amitié est omniprésente. Enfin, la mort ne scelle pas, en théorie, la fin d’une amitié. Le second tome de ce travail présente la méthodologie suivie pour l’élaboration du corpus ainsi que les raisons de la mise à l’écart des femmes. Les sources et la bibliographie sont également présentées dans ce dernier volume
The purpose of this dissertation is to study the influences of the norm on the representations of friendship and its practice in France during the 16th and the 17th centuries. The corpus draws aside both intellectuals and women to focus on the non-enclosed people. How two individuals are able to make friends with each other in the 16th and 17th centuries within a society itself thought in terms of friendship? This dissertation divides in two volumes. The first one is devoted to the study itself. The philosophical inheritance is presented, along with considerations on bonds linking the friend, the society, the couple and the family during the Modern Times. Questions of linguistics are also raised. The evolution of a friendship between two men is followed step by step from birth to death, as if it were a genuine living organism. Gestures and tokens of friendship are the bases of friendship. The latter is always endangered by the fragile balance between the social demands and the requirements of friendship. In the second volume are presented the methodology used to gather the documentary corpus, as well as our historical sources and bibliography. Reasons why women were excluded from our research work make the core of a specific chapter
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Mallick, Oliver. "Spiritus intus agit. Le système de patronage d’Anne d’Autriche. Recherches sur la stratégie de représentation, la tenue de cour et la rhétorique d’amitié d’une reine (1643-1666)." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040076.

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Abstract:
Dans cette thèse il s’agit de montrer et d’examiner les différentes formes de patronage d’Anne d’Autriche dans les domaines (1) « représentation », (2) « cour » et (3) « amitié », de 1643, quand elle a pris la régence, jusqu’à sa mort en 1666. Par conséquent, les recherches prennent une approche méthodique et conceptuelle qui reflète la vaste signification du mot « patronage » aux temps modernes. L’objectif de la thèse consiste donc à présenter pour la première fois une étude détaillée sur le système de patronage de la reine en exploitant en grande partie les sources et la littérature secondaire. Ainsi, il était possible de modifier et de réfuter en partie l’image encore existante d’Anne d’Autriche en sa qualité d’une reine politiquement incompétente, totalement dépendante de son premier ministre, cardinal Mazarin, et sans influence dans ses dernières années. En revanche, Anne d’Autriche se révèle être une reine apte et louvoyante qui a établi et maintenu avec succès un système de patronage durable (1) en forçant son image d’une reine idéale, (2) en développant à la cour une juste équilibre entre foi et splendeur, et (3) en se servant d’une rhétorique d’amitié pour fortifier ses liens de clientèle
This thesis is about the different forms of patronage of Anne of Austria in the fields of (1) “representation”, (2) “court”, and (3) “friendship” between 1643, when she took over the regency, and her death in 1666. Accordingly, the research takes a methodical and conceptual approach which reflects in turn the broad notion of the word “patronage” in Early Modern Europe. So, the thesis purpose consists in presenting for the first time at all a detailed study about the patronage system of the queen by evaluating on a grand scale sources and secondary literature. In this way it was possible to modify and to refute to some extent the still existent image of Anne of Austria as a queen who was politically incompetent, totally depending on her prime minister, cardinal Mazarin, and without any influence during her last years. In contrast, Anne of Austria reveals herself as a competent queen and a good tactician who established and maintained a successful and durable patronage system (1) by strengthening her image as an ideal queen, (2) by finding a balance at court between faith and glamour, and (3) by using a rhetoric of friendship to consolidate her clientele relations
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Bureaux, Guillaume. "Union et désunion de la noblesse en parade. Le rôle des Pas d'armes dans l'entretien des rivalités chevaleresques entre cours princières occidentales, XVe-XVIe siècles (Anjou, Bourgogne, France, Saint-Empire)." Thesis, Normandie, 2018. http://www.theses.fr/2018NORMR142/document.

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Abstract:
Apparus en 1428 en Espagne, le Pas d’armes est un parfait exemple de l’indéniable intérêt porté par la noblesse, de la fin du Moyen Âge et du début de la Renaissance, aux arts martiaux, littéraires et théâtraux. Il s’agit, en réalité, d’une évolution de la joute et du tournoi au cours duquel un ou plusieurs chevaliers est volontaire pour garder un carrefour, une porte ou tout autre lieux symbolique. Pour différencier ces exercices des joutes, les organisateurs publient des chapitres, ou lettres d’armes, plusieurs mois en avance. Ils sont souvent constitués de deux parties, la première venant placer les chevaliers assaillants et défenseurs dans un univers magique et fantastique, le seconde présentant les règles du jeu. Notons également que la majeure partie des Pas plonge les chevaliers dans un monde fictionnel, en particulier inspire de la légende arthurienne, grâce aux chapitres, aux décors et, naturellement, aux costumes. Témoignages des contacts transculturels existent entre les cours d’Anjou et de Bourgogne avec celles d’Espagne, les Pas d’armes sont organisés à des moments décisifs pour les cours, qu’il s’agisse de mariages, de traités de paix ou d’un temps d’après-guerre ; et tous remplissent un rôle commun : mettre en lumière l’unité chevaleresque autour du Prince et de son pouvoir. Invariablement, c’est le Prince qui sort vainqueur des événements qui ont lieux au sein de sa cour. Il s’agit essentiellement pour le prince de mettre en scène son pouvoir dans ce « jeu-mimique » où l’important n’est pas tant le combat que le spectacle et la mise en lumière du pouvoir princier, tant culturel, financier que militaire
Appearing in 1428 in Spain, the Pas d’Armes are a real example of the undeniable interest held by the nobility of the end of the Middle Ages and the beginning of the Renaissance in the arts of warfare, in literature, and theater. It is in reality an evolution of the joust and tournament in which one or several knights volunteer to keep a crossroad, a door or another symbolic place. To differ from the joust, the organizers publish chapters, or letters of weapons, several months in advance. They consisted of two parts, the first one coming to place the knights defenders and aggressors in a magic and fantastic universe, the second containing rules to be followed. It is also necessary to note that the great majority of Pas place the knights in a fictional world, in particular regarding Arthurian legend, by means of chapters, present scenery around the lists and, naturally, costumes. Testimonies of transcultural contacts between the Valois ‘courts of Anjou and Burgundy and Spanish courts, the Pas d’armes are organized at courtly decisive moments like marriages, treaties of peace or just after a war, all the Pas d’armes had a common role : to highlight the unity of knighthood around the Prince and his power. On each occasion is the Prince who emerges victorious from all the entertainment organized at his court. Essentially, it is a way for the prince to dramatize his power in this “game – mimicry” where the important thing was not so much the fighting but the scenery and the highlighting of cultural, financial and military power of the court
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Sottejeau, Céline. "L' Evolution du traitement et des représentations de l'amitié au moment de la montée de la crise révolutionnaire : de 1770 à la Révolution française." Orléans, 2006. http://www.theses.fr/2006ORLE1074.

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Abstract:
En 1770 paraît "Les Deux amis de Bourbonne" de Denis Diderot. Ce conte, écrit en réponse à trois oeuvres sur les "deux amis" publiées la même année, a pour ambition de venger une amitié qui aurait été bafouée. Cette controverse intrigue : d'où viennent ce goût pour l'amitié et cette affliction à la voir malmenée ? Le sentiment amical a vivement intéressé les lettrés de la fin du XVIIe siècle et ceux du XVIIIe siècle. Un grand nombre de traités sur le sujet l'atteste. L'admiration portée aux auteurs et aux idées de l'Antiquité n'y est sans doute pas étrangère. Nous nous situons avec cette étude entre tradition et rupture. Les philosophes des Lumières se réapproprient le concept de philia si cher à Aristote. Ils en font le héraut de leur idéal de morale laïque. Toutefois, l'amitié est aussi un thème littéraire. Les inquiétudes de Diderot quant à son traitement dans la littérature semblent fondées. La place occupée par l'amitié dans la production romanesque, théâtrale et poétique devient moindre, les images des amis changent. Certains acteurs de la Révolution vont lui redonner, pour un temps, ses lettres de noblesse. Dans une société qui ne cesse de réfléchir à la valeur de l'individu et à la façon d'organiser les rapports entre les hommes, l'amitié apparaît comme une vertu sociale capable de créer une cohésion entre les citoyens. Amitié et fraternité vont ainsi longtemps cohabiter. Les deux termes si proches ne sont pourtant pas tout à fait porteurs des mêmes significations. La devise républicaine de 1848 retiendra la fraternité. Pouvons-nous entrevoir les raisons d'un tel choix durant les années où se joue la Révolution ? Cette étude n'analyse pas les pratiques amicales, elle reste dans le domaine de l'idéalisation. Elle tente de présenter l'amitié telle que les hommes du XVIIIe siècle la rêvaient et non telle qu'ils la vivaient. A travers ce thème, l'évolution des mentalités d'un siècle riche en remises en cause et événements se perçoit en filigranes
"Les Deux amis de Bourbonne" by Denis Diderot is released in 1770. This tale, published as a response to three works on "two friends" published the same year, intends to avenge a supposedly scorned friendship. This controversy is puzzling : how come this taste for friendship and this affliction to see it ill-treated ? Friendly feelings deeply interested scholars at the end of the 17th and during the 18th century. This is evidenced by a large number of treatises. The admiration for the authors and ideas of Antiquity is probably not foreign to it. Our study is clearly situated between tradition and rupture. Enlightenment philosophers take over the philia concept so dear to Aristotle. They turn it into the herald of their ideal of secular morals. Yet friendship is also a literary theme. Diderot's worries concerning its treatment in literature seem grounded. The room for friendship in novels, theatre and poetry gets smaller, friends get a different image. Because of some Revolution figures, friendship will regain its patent of nobility for a while. In a society which constantly speculates on individual value and how to organize relations between men, friendship appears as a social virtue able to create a bond between citizens. Friendship and fraternity will stand together for a long time. So close as they are, the two words do not quite convey the same meaning though. The republican motto of 1848 will only retain fraternity. Can we make out the reasons for this choice in the years when Revolution is at stake ? This study does not analyze friendship in practice, it remains in the field of idealization. It aims at showing friendship as 18th century men saw it in their dreams, not as they experencied in their lives. Through this theme loom beneath the surface the changes in mentalities, in a century full of questionings and events
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More sources

Books on the topic "Amitié – France – 16e siècle"

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Le Protestantisme belge au 16e siècle: Belgique, Nord de la France, Refuge. Carrières-sous-Poissy, France: La Cause, 1999.

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2

Early modern France, 1560-1715. 2nd ed. Oxford: Oxford University Press, 1998.

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3

Société historique du Val de Sèvre, ed. Dictionnaire des familles de Saint-Maixent: Selon les registres des paroisses Saint-Saturnin et Saint-Léger, du 16e siècle à 1802. [Saint-Maixent-L'Ecole]: Société historique du Val de Sèvre, 2002.

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4

sais-je?, Que, and Hubert Méthivier. L'Ancien Régime. Presses Universitaires de France - PUF, 1997.

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5

sais-je?, Que, and Hubert Méthivier. L'Ancien Régime. Presses Universitaires de France - PUF, 2002.

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6

Briggs and Robin Briggs. Early Modern France 1560-1715. Oxford University Press, 1986.

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Book chapters on the topic "Amitié – France – 16e siècle"

1

Kolk, Caroline zum. "« Tout paix et amitié ». La maison des enfants d’Henri II et Catherine de Médicis." In Naissance et petite enfance à la cour de France (Moyen-Âge - xixe siècle), 79–96. Presses universitaires du Septentrion, 2016. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.10754.

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Houbre, Gabrielle. "Les influences religieuses sur l’éducation sentimentale des jeunes filles dans la première moitié du XIXe siècle (France et pays anglo-saxons ou germaniques)." In Foi, Fidélité, Amitié en Europe à la période moderne, 341–54. Presses universitaires François-Rabelais, 1995. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufr.19363.

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