Academic literature on the topic 'Anarchisme – Grande-Bretagne – 19e siècle'

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Journal articles on the topic "Anarchisme – Grande-Bretagne – 19e siècle"

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Stuart, John, and Ian Welch. "William Henry Fitchett: Methodist, Englishman, Australian, Imperialist." Social Sciences and Missions 21, no. 1 (2008): 57–72. http://dx.doi.org/10.1163/187489408x308037.

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Abstract:
AbstractHistorians of colonial Australia have long been fascinated by the effects of religious change on urban New South Wales and Victoria in the last quarter of the nineteenth century. This period, it is generally acknowledged, was one of evangelical revival amongst Anglicans and nonconformists alike. Well known (and sometimes world-renowned) evangelists from Great Britain and the United States invariably included cities such as Sydney and Melbourne on their international itineraries. But the local evangelical presence was strong; and this article focuses on William Henry Fitchett, a Melbourne-based evangelical Methodist clergyman who has largely escaped the attention of historians of religion. The reason he has done so is because he achieved fame in a rather different field: as a popular author of imperial histories and biographies. His published works sold in the hundreds of thousands. Yet he also wrote many serious works on religious matters. This article places Fitchett in the context of evangelical mission and revival within and beyond Australia, while also paying due attention to the influence of religion on his writing career. Les historiens de l'Australie coloniale ont longtemps été fascinés par les effets des transformations religieuses dans le monde urbain de New South Wales et Victoria durant le dernier quart du 19e siècle. Cette période est généralement considérée comme ayant été celle d'un Réveil évangélique parmi les Anglicans et les non-conformistes. Des évangélistes connus (et parfois mondialement connus) venus de Grande Bretagne et des Etats-Unis incluaient invariablement dans leurs périples internationaux des villes comme Sydney et Melbourne. Mais la présence évangélique locale était aussi forte, et cet article se concentre sur un pasteur de l'Eglise Méthodiste évangélique basé à Melbourne, William Henry Fitchett, qui a largement échappé à l'attention des historiens de la religion. La raison en est qu'il s'est rendu célèbre dans un domaine autre que religieux, à savoir comme auteur populaire d'histoires et biographies impériales. Les travaux qu'il a publiés se sont vendus par centaines de milliers d'exemplaires, mais il a aussi écrit des œuvres sérieuses sur des questions de religion. Le présent article replace Fitchett dans le contexte de la mission évangélique et du Réveil en Australie et au-delà, tout en se penchant sur la question de l'influence de la religion sur sa carrière d'auteur.
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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Dissertations / Theses on the topic "Anarchisme – Grande-Bretagne – 19e siècle"

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Bantman, Constance. "Anarchismes et anarchistes en France et en Grande-Bretagne, 1880-1914 : échanges, représentations, transferts." Paris 13, 2007. http://www.theses.fr/2007PA131010.

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Abstract:
Cette thèse analyse les relations entre les mouvements anarchistes français et britannique de 1880 à 1914. À rebours des travaux ignorant l’internationalisme anarchiste, ou le réduisant à des institutions formelles, les transferts idéologiques et militants entre ces courants sont détaillés. L’existence de réseaux informels rendant possibles ces influences croisées est soulignée. L’importance de cet axe franco-britannique s’observe notamment à travers l’essor de la propagande anarcho-syndicaliste, dans la mise en place de pédagogies libertaires ou de campagnes de protestations internationales. À travers le cas apparemment marginal des anarchistes, cette étude transnationale permet une étude comparée de l’intégration ouvrière en France et en Grande-Bretagne dans les dernières décennies du long XIXe siècle. Elle offre également un angle privilégié pour analyser les sociétés française et britannique à travers le prisme d’un groupe dissident et stigmatisé
This thesis analyses the relations between the French and the British anarchist movements from 1880 to 1914. Against the historiographic prevalence of studies overlooking anarchist internationalism, or reducing it to inefficient formal institutions, it highlights the cross-influences between these movements and the informal networks underpinning them. The importance of this Franco-British connection can be observed through the rise of anarchosyndicalist propaganda, the implementation of libertarian pedagogic ventures, or international protest campaigns. Through the seemingly marginal case of the anarchists, this study also opens new vistas for a comparative study of the workers’ integration in France and Britain in the last decades of the long nineteenth century. The reception of the libertarian movement also allows for a privileged insight into French and British societies at the end of century, through the prism of a stigmatised dissident group
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Kerignard, Sophie. "Les femmes, les mal entendues du discours libertaire ? : de la fin du dix-neuvième siècle à la Grande guerre." Paris 8, 2004. http://www.theses.fr/2004PA082374.

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Abstract:
Le discours anarchiste sur les femmes, de 1880 à 1914, est d'abord analysé avec trois théoriciens : Pierre-Joseph Proudhon, Max Stirner et Michel Bakounine. Deux événements historiques influencent aussi les libertaires : le mouvement nihiliste russe et la Commune de Paris. Ils s'inscrivent alors entre tradition et protection envers les femmes. Ils développent un discours sur les rôles et la place des femmes au sein de la cellule familiale en s'appuyant sur un mythe du matriarcat et en produisant notamment une propagande néo-malthusienne. Les libertaires amorcent aussi une réflexion contradictoire sur l'amour libre, comme l'illustrent les milieux libres et plusieurs couples. Les relations entre le féminisme et l'anarchisme sont enfin étudiées. Deux tendances anarchistes se dégagent : le féminisme libertaire et l'anarcha-féminisme, qu'illustrent Louise Michel, importante figure du mouvement libertaire, et Gabrielle Petit, militante féministe et révolutionnaire
Anarchist discourse about women, from 1880 to 1914, is first analysed with three theorists : Pierre-Joseph Proudhon, Max Stirner and Michel Bakounine. Two historical events also influenced the libertarians : the Russian nihilist movement and Paris Commune. They therefore place themselves somewhere between tradition and the protection of women. They develop a discourse on the role and place of women in the family unit based on a matriarchal myth and in particular producing neo-Malthusian propaganda. The libertarians also initiate contradictory thinking on free love, as illustrated by communities and several couples. Finally, the relationship between feminism and anarchy are studied. Two anarchistic tendencies stand out : libertarian feminism and anarcho-feminism, illustrated by Louis Michel, important figure of the libertarian movement, and Gabrielle Petit, feminist militant and revolutionary
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Golven, Amélie. "La contribution de William Godwin au débat sur l'éducation des pauvres en Angleterre (1783-1831)." Thesis, Paris 3, 2014. http://www.theses.fr/2014PA030137.

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Abstract:
En Angleterre, à la fin du XVIIIe siècle, le débat sur l’éducation des pauvres s’intensifie. La pauvreté, grandissante, est vue comme une menace pour la sécurité publique. L’éducation apparaît alors comme un moyen de la réguler et de résoudre les problèmes moraux qu’elle engendre. William Godwin, écrivain, philosophe et éducateur, prend part à ce débat qui articule éducation, pauvreté et politique. Ce travail se fixe pour objectif de réaliser une lecture de la philosophie politique et éducative de William Godwin à partir des positions qu’il a tenues sur la question de la pauvreté. Bien qu’il n’ait jamais explicitement indiqué que sa pensée éducative et sa pensée politique étaient destinées aussi aux couches défavorisées de la société, nous faisons l’hypothèse qu’une lecture cohérente de son œuvre peut être réalisée si on le suppose. Pour définir sa contribution au débat sur l’éducation des pauvres, réaliser un état des lieux du système éducatif existant a été nécessaire. Dans un second temps, a été menée une analyse du plan d’éducation godwinien qui s’oppose nettement à cette éducation. Axé sur l’égalité naturelle, le potentiel de progrès et le développement des différentes dimensions humaines, un tel projet éducatif permet à chacun d’atteindre l’autonomie et de vivre harmonieusement avec ses semblables. Enfin, éduquer, c’est former de nouveaux hommes capables de vivre dans une nouvelle société. Pour Godwin, la société du futur est une société où les hommes seront suffisamment éduqués et autonomes pour se passer d’État. Au terme de ces analyses, il apparaît légitime d’affirmer qu’il n’y a pas, chez Godwin, une société pour les riches ou une société pour les pauvres ni une éducation pour les riches et une éducation pour les pauvres, mais bien, une éducation et une société pour tous
In England, at the end of the eighteenth century, the debate on the education of the poor gets stronger. Poverty is increasing and it is perceived as a threat to people’s safety. In that context, education appears as a means to regulate and solve the moral problems it triggers. William Godwin, a writer, a philosopher but also an educator takes part in the debate which articulates education, poverty and politics. The present research aims at carrying out a reading of William Godwin’s political and educationnal philosophy from the views he expressed, separately, on the issue of poverty.Though he never clearly mentioned that his educational and political thinking was also meant for the lower ranks of society, we believe that a coherent reading of his work can be performed if we suppose that his thinking was effectively destined for the poor. Defining Godwin’s contribution to the debate on education for all first implies to propose a description of the educational system in Godwin’s time. Then, an analysis of his educational plan that stands in total opposition to the education of his time has been suggested. Based on equality among men, their potential of progress and the developement of all human qualities, it intends to form independent human beings able to live harmoniously with other people. Eventually, educating means forming new men able to live in a new society. To Godwin, the new society is a place where people are educated and autonomous enough to get rid of the state. At the end of our study, it seems legitimate to assert that, in Godwin’s thinking, there is neither a society for rich people or a society for the poor, or an education for the rich and another one for the poor but rather an education and a society for everybody
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Losier, Renée. "L'Architecte et le fer : Grande-Bretagne, XIXe siècle." Paris, EHESS, 1991. http://www.theses.fr/1991EHES0042.

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Abstract:
Le xixe siecle en grande-bretagne vit le plein essor de l'architecture metallique. La premiere partie du travail porte sur les trois facteurs importants qui determinerent l'emploi du fer et de la fonte par les architectes. Le premier fut sa resistance qui s'avera superieure a celle de la pierre et du bois, et qui autorisa de grandes portees. Le second facteur fut sa relative incombustibilite. L'epoque victorienne vit l'apparition d'un foisonnement de planchers, dits incombustibles dans lesquels le fer jouait un role principal. Le troisieme facteur qui incita les architectes a utiliser l'emploi du fer et de la fonte fut leur disponibilite croissance et de ce fait, leur cout relativement peu eleve. La seconde partie du travail se concentre sur l'attitude de l'architecte vis-a-vis de l'utilisation du fer dans l'architecture. Le systeme d'education en vigueur pendant tout le xixe siecle n'incita pas les architectes a faire l'utilisation de materiaux industriels. Les architectes prefererent elaborer plutot des theories esthetiques qui traduisent en fait une attitude souvent ambigue par rapport a l'emploi du fer. Enfin, une etude de cas de cinq batiments avec composantes metalliques a demontre que la conceptio n de la structure etait souvent confie a un ingenieur ou a un metallurgiste
The nineteenth century in great britain saw the full development of iron architecture. Three important factors contributed to the use of iron by architects, which were discussed in the first part of the thesis. The first factor was the strength of iron, which proved to be superior to stone and wood, and which permitted greater spans. The second factor was the relative fireproofing qualities of iron. The victorian age witnessed the development of a myriad of so-called fireproof floors in which iron played an important role. The third factor that determined the use of iron was its growing availability and therefore its lowering cost. The second part of the thesis discussed the attitude of the architect toward the use of industrial materials in architecture. The architect preferred to elaborate aethetic theories concerning iron which in fact express an attitude rather ambiguous. Lastly, a case study of five buildings using iron components showed that the conception of the structure was often left to the engineer or the ironfounder
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Dardenne, Émilie. "Frances Power Cobbe (1822-1904) : militante victorienne : deux causes, un engagement." Rennes 2, 2003. http://www.theses.fr/2003REN20020.

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Abstract:
Polémiste infatigable et aguerrie, la militante victorienne Frances Power Cobbe consacra son énergie à l'extension des droits des femmes et au refus de voir des animaux torturés au nom de la recherche scientifique. Elle y engagea inlassablement sa plume à partir des années 1860 et jusqu'à sa mort en 1904. Comment en est-elle arrivée à s'engager de manière aussi visible et à mettre en regard ces deux questions en apparence étrangères ? L'assujettissement des femmes et la vivisection des animaux présentent en effet dans son discours des similitudes qu'il convient d'explorer, notamment dans la dénonciation de la médecine victorienne qu'elle estime hégémonique, dans l'analyse des codes linguistiques, ainsi que dans l'exaltation des valeurs de justice et de compassion. Fondés sur une dénonciation morale de comportements et de principes jugés rétrogrades, les arguments avancés par Frances Power Cobbe nous frappent à la fois par leur caractère profondément victorien et par leur originalité
Tireless and seasoned controversialist, the Victorian activist Frances Power Cobbe devoted her time and energy to the promotion of women's rights and to the fight against animal experimentation in scientific research. She unflaggingly committed her name and her pen to these two causes from the 1860s up until her death in 1904. How can we explain this involvement ? How did she end up confronting these two apparently unrelated issues ? Indeed, in her discourse, the subjection of women and the vivisection of animals reveal salient similarities which deserve further study ; notably in her exposure of the new Victorian medicine considered hegemonic, in her analysis of linguistic codes, as well as in her exaltation of justice and compassion. Based on the moral denunciation of principles and attitudes which she considers reactionary, the arguments formulated by Frances Power Cobbe strike us by their profoundly Victorian character and by their mere originality
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Tran, Tri. "Les travailleurs du port de Londres au 19e siècle." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1995PA040141.

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Abstract:
Au dix-neuvieme siecle, le port de Londres etait le premier port du monde. Il employait une multitude de travailleurs, qui assuraient des taches variees, comme le dechargement, le chargement, et le transport des marchandises, la construction de navires, l'entretien et la surveillance des installations portuaires. Au cours du dix-neuvieme siecle, la condition de tous ces ouvriers se degrada : les salaires diminuerent, et les conditions de travail devinrent de plus en plus difficiles. En 1889, les dockers se mirent en greve, suivis par la plupart des autres familles de travailleurs. Ils reclamerent des hausses de salaire, pour ameliorer leurs conditions de vie dans les quartiers surpeuples, insalubres, et dangereux de l'est Londonien. Les dockers obtinrent gain de cause, mais ce succes hypothequa l'avenir du port, qui perdit beaucoup de son activite commerciale par la suite
In the nineteenth century, London harbour was the first port in the world. The numerous trades that were established there, employed many workers, who performed a great variety of tasks, such as the handling of goods and cargoes, the building of ships, the maintenance and the policing of the port. During the nineteenth century, the condition of all these labourers declined : their wages were decreased, and the working conditions became worse. In 1889, the dockers went on strike, and were followed by the workers of most of the other trades. They demanded an increase of their wages, in order to improve their living conditions. Indeed, most of then lived in the densely populated districts of the east end of London, which were often unhealthy and dangerous. The dockers obtained their wage increase, but this victory had some negative consequences on the future of the port, which lost much of its trade and commerce, and declined rapidly in the twentieth century
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Hayes, Winifred J. "L'histoire de l'enseignement de la natation en Grande-Bretagne 1846-1901." Tours, 2007. http://www.theses.fr/2007TOUR2018.

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Abstract:
La thèse sur l’évolution de l’enseignement de la natation est en deux parties chronologiques, 1846 – 1869 et 1870 – 1901 et après un chapitre introductif sur le contexte social de l’époque se penche sur les équipements pour la natation, le développement de la natation et l’enseignement de la natation. L’étude est sur l’ensemble de la Grande-Bretagne mais avec une étude de cas sur les situations particulières de quatre grandes villes, deux en Angleterre et deux en Ecosse. Ces études de cas permettent la compréhension du rôle du Parlement et de l’Etat local en Grande-Bretagne. Les chapitres sur les équipements prennent en considération pouvoirs publics et entreprises privées, progrès technologiques et santé publique. Les chapitres sur le développement et l’enseignement de la natation traitent de questions telles que club / association / école, amateur / professionnel, spectacle / compétition, des aspects techniques et l’évolution des « professeurs » de natation. Le texte est agrémenté de très nombreux tableaux et figures, une bibliographie riche en sources primaires et archives et aussi en annexe des extraits de plusieurs textes de lois
The thesis on the evolution of the teaching of swimming is in two chronological sections 1846 – 1869 and 1870 – 1901 and after an introductory chapter on the social context examines swimming facilities, the development of swimming and the teaching of swimming. The study is on the whole of Great Britain but with case studies on the particular situations in four large towns, two in England and two in Scotland. These case studies permit understanding of the role of parliament and of local government in Great Britain. The chapters on the facilities take into consideration public action and private enterprise, technological progress and public health. The chapters on the development and teaching of swimming deal with aspects such as clubs / governing bodies / schools, amateur / professional, spectacle / competition, technical aspects and the evolution of “teachers” of swimming. The text is supplemented with numerous illustrations and tables, a bibliography rich in primary sources and archives and also in the annexe several extracts from the legislation
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Paimboeuf, Françoise. "Les femmes alpinistes anglo-saxonnes à l'époque victorienne (1838-1914)." Paris 7, 1986. http://www.theses.fr/1986PA070107.

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Abstract:
L'alpinisme, aspect limité et spécialisé de l'histoire des femmes, apparaît comme une activité en complète contradiction avec le rôle réservé aux femmes à l'époque victorienne. Cela n'a pas empêché certaines d'entre elles, toutes d'origine bourgeoise, d'être les actrices volontaires et parfois solitaires d'exploits que la mémoire collective a presque entièrement occultés. Si cette recherche ne concerne que le monde anglo-saxon, c'est que les britanniques furent les premiers à "grimper pour grimper". La présence de ces femmes en montagne est directement liée à leur origine sociale, mais l'on trouve dans leur pratique de l'alpinisme la même diversité que dans l'organisation de leur vie privée. Cependant quelle que soit leur expérience individuelle en montagne, leur vécu alpin reste typiquement "féminin" et "victorien". Etant donné le caractère particulier de l'alpinisme, on peut se demander si elles ont considéré cette activité comme une force d'émancipation et si l'on peut la considérer comme telle. En fait, c'est l'indifférence qui domine en ce qui concerne l'émancipation des femmes. Leurs exploits restent dans le domaine privé et ne peuvent être considérés que comme des échappées ponctuelles et individuelles qui n'en révèlent pas moins l'oppression qui pesait sur elles. Mais conscientes ou non de leur attitude subversive, ces femmes alpinistes sont à la fois symboles de rupture et de continuité. Et c'est parce que la société dans son ensemble offre une brèche que l'alpinisme féminin a pu se développer et s'affirmer. Leurs tentatives et leurs réussites sont un démenti aux idées reçues. Mais si elles ont remis en question certains grands principes, elles n'ont pas changé la réalité. Il n'en reste pas moins que dans une perspective globale, l'existence même de ces femmes, leurs entreprises et leurs succès participent, de fait, du débat général sur l'égalité entre les sexes
Mountaineering, limited and specialized episode in the history of women, is concerned with the practice of a passtime completely opposed to the role reserved for women in victorian times. This did not prevent some women, all from a bourgeois background, from being the voluntary and sometimes solitary performers of exploits which collective memory has almost entirely suppressed. If this research has only dealt with the anglo-saxon world, this is because the britons were the first to climb for the sake of climbing. The presence of these women in the mountains is directly linked to their social class, but one finds in their mountaineering the same diversity as in the organization of their private lives. However, whatever the individual experience of each, their lives in the mountains stayed typically "feminin" and "victorian". It is necessary to ask whether these women considered female alpinism as a form of emancipation, and whether one can consider it as such. In fact, indifference is prevailing as to the currents of emancipation. The repression under which these women lived led to escapes which were both strict and individual. At a time of the decline of the british power in the world, these female alpinists are themselves symbols of both continuity and of a break with the past. Their efforts and their successes, were a denial of ideas imposed on them. They disturbed the dominant ideology, but did not change reality. But the women's privileged position in the heart of society allowed them to produce exploits which are a part of the general debate on equality between men and women
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Louvier, Patrick. "La puissance navale et militaire britannique en Méditerranée (1840-1871)." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040087.

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Abstract:
En 1840, la puissance navale et militaire britannique en Méditerranée repose sur deux composantes : une escadre permanente, basée à Malte, et trois forteresses : Gibraltar, La Valette et Corfou. Entre 1841 et 1853, les enseignements de la guerre de Syrie (1840) puis les progrès de la marine de guerre à vapeur française sont l'objet de vifs débats qui entrainent le renforcement de l'escadre, la création d'une hotte mixte, ainsi que la modernisation de l'arsenal de Malte. La réorganisation partielle des fortifications de Gibraltar et de La Valette tente parallèlement de répondre aux défis posés par les progrès de l'artillerie navale et les changements tactiques introduits par la marine à vapeur. La guerre de Crimée impose une modification importante du dispositif naval et militaire anglais en méditerranée. Elle dévoile les limites d'une stratégie amphibie handicapée par l'insuffisance des ressources militaires insulaires et méditerranéennes et l'échec d'une collaboration anglo-ottomane. Ce conflit conduit à une réorganisation des forces navales, il bouleverse la composition des garnisons et dévoile l'importance logistique de Malte. Le processus de modernisation engagé après 1841 est parachevé entre 1856 et 1860 avec la conversion de l'escadre en flotte " tout vapeur " et le réarmement des forteresses. La décennie suivante est marquée par une rapide évolution des données technologique et stratégique. L'introduction après 1860 de canons rayes suscite de vives controverses. La conversion de l'escadre en flotte cuirassée (1863 - 1867) rend impératif un renforcement des capacités logistiques. Alors que l'abandon des iles ioniennes en 1864 libère l’armée d'un fardeau onéreux et inutile, l'adoption de la route de Suez comme voie militaire impériale régulière puis la création d'un réseau télégraphique anglo-indien transméditerranéen consacrent un processus engagé au début des années 1840 et décuplent l'importance géostratégique de la Méditerranée.
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Surjous-Ellis, Magali. "Le jeu d'argent dans la haute société britannique entre 1743 et 1901." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/1999PA040153.

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Abstract:
Cette thèse a pour objectif d'analyser le rôle du jeu d'argent et la place qu'il occupait dans la haute société britannique entre 1743 et 1901. Il était présent dans les soirées, et il était le compagnon des hommes politiques quand ils se réunissaient dans leurs clubs londoniens. La haute société, ainsi appelée parce qu'elle regroupait l'aristocratie et les quelques individus qui étaient parvenus à se hisser dans cette classe à travers le jeu, utilisait le jeu d'argent de façons diverses. Par exemple, le jeu servait à établir une compétition entre les nobles qui pariaient leurs fortunes, mais aussi leur honneur. Le jeu était également un des moyens d'entrer parmi les rangs des aristocrates. Les différentes catégories des jeux servaient à consolider les barrières qui entouraient les classes de la société. Vers la fin de la période étudiée, on peut se rendre compte qu'en parallèle avec l'affaiblissement du pouvoir de l'aristocratie, le jeu d'argent avait abandonné ses frontières. Les jeux qui étaient uniquement réservés aux nobles se retrouvaient parmi les autres classes. Il n'y avait plus de repères fixes. L'évolution du jeu d'argent est très importante car elle suit de près celle de l'aristocratie. Le jeu d'argent a souvent été associé aux pauvres et il a donc une image négative. Cette thèse montre que dans la haute société, le jeu d'argent était respecté comme le divertissement des riches.
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Books on the topic "Anarchisme – Grande-Bretagne – 19e siècle"

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Victorian Feminists. New York: Oxford University Press, 1992.

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Victorian feminists. New York: Oxford University Press, 1992.

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3

de, Saint-Aubin Guillemette, ed. La rose pourpre et le lys. [Paris]: Éd. France loisirs, 2006.

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4

Faber, Michel. La rose pourpre et le lys: Roman. [Montréal]: Boréal, 2005.

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5

Angels and citizens: British women as military nurses, 1854-1914. London: Routledge & Kegan Paul, 1988.

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6

Dooley, Allan C. Author and printer in Victorian England. Charlottesville: University Press of Virginia, 1992.

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7

Meisel, Perry. The myth of the modern: A study in British literature and criticism after 1850. New Haven: Yale University Press, 1987.

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8

The politics of story in Victorian social fiction. Ithaca, N.Y: Cornell University Press, 1988.

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9

Dooley, Allan C. Author and Printer in Victorian England. University of Virginia Press, 2015.

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10

Meisel, Perry. The Myth of the Modern: A Study in British Literature and Criticism after 1850. Yale University Press, 1989.

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