To see the other types of publications on this topic, follow the link: Animalité (philosophie) Homme.

Dissertations / Theses on the topic 'Animalité (philosophie) Homme'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 18 dissertations / theses for your research on the topic 'Animalité (philosophie) Homme.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse dissertations / theses on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Zaietta, Lucia. "Une parenté étrange : repenser l'animalité avec la philosophie de Merleau-Ponty." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H227.

Full text
Abstract:
Notre thèse de doctorat approfondit le thème de l’animalité à partir de Merleau-Ponty. La recherche est structurée en trois parties, qui suivent respectivement trois pôles de recherche : sujet-monde-intersubjectivité. La première partie s’interroge sur la possibilité de définir l’animal comme un véritable sujet. La phénoménologie de Merleau-Ponty reformule la notion de subjectivité et nous conduit à une définition de l’animal comme une existence incarnée, ouverte sur le monde et caractérisée par une conduite signifiante. Pourtant, il faudra s’interroger sur le statut d’une telle subjectivité. La deuxième partie de notre travail est consacrée à la notion d’espace. En particulier, nous nous interrogerons sur les espaces animaux, c’est-à-dire sur la notion de milieu. Enfin, le dernier chapitre de cette partie approfondit la différence entre milieu et monde. La troisième et dernière partie de notre travail prend en charge la question de l’intersubjectivité qui s’établit dans la relation entre l’animal et l’homme, dans leur spécificité et dans leur différence. Loin de proposer une sorte d’égalitarisme entre les deux, le véritable défi est de définir une notion de différence qui, d’une part, n’efface pas l’essence spécifique de l’être humain et qui, d’autre part, ne le détache pas de la continuité du monde naturel. Dans ce cadre, l’animal est reconnu selon son être-au-monde spécifique, alors que l’homme se profile comme une nouvelle dimension, sans perdre la parenté avec les autres vivants
This study examines the notion of animality in relation to the phenomenology of Maurice Merleau-Ponty. It is composed of three parts, which take up three main issues: subject – world – intersubjectivity. The first part explores the possibility of defining animals as subjects. Merleau-Ponty’s phenomenology, in fact, has deeply reformulated the notion of subjectivity and led to a definition of animal being as an embodied existence, open to the world and characterised by meaningful conduct. Even so, it will be necessary to question the nature of such subjectivity. The second part of the thesis concerns spatiality, and in particular, the notion of milieu. Lastly, the last chapter elaborates on the difference between milieu and world. The third and final part deepens the intersubjectivity established in the relationship between animal and human being, in their specificity and difference. Far from proposing a kind of egalitarianism between the two, the challenge is to establish a notion of difference which, on the one hand, does not negate the uniqueness of human essence and, on the other, does not separate the human being from the continuity of the natural world. We will see that, in Merleau-Ponty’s approach, the animal being is recognised in accordance to its specific being in the world, while the human being is recognised in a new dimension, without losing its kinship and connection with other living beings
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Delage, Pierre-Jérôme. "La condition animale : essai juridique sur les justes places de l'Homme et de l'animal." Limoges, 2013. http://aurore.unilim.fr/theses/nxfile/default/0cc9467a-18a5-4d01-ba72-a0164429f6c2/blobholder:0/2013LIMO1006.pdf.

Full text
Abstract:
La tradition occidentale a édifié une intangible frontière entre l'Homme et l'animal : le premier a été dit un individu supérieur, le second un individu inférieur. Le Droit s'est fait le relais de ce dualisme : il a institué l'Homme en tant que personne et sujet de dignité ; il a installé l'animal dans la catégorie des choses, et lui a assigné une valeur seulement utilitaire. Des contestations, cependant, s'élèvent : certains courants de pensée veulent humaniser l'animal, aligner sa condition sur celle de l' Homme ; ils désirent que soient attribués à la bête la personnalité juridique et droits humains, et plus encore ce qui les fonde : la dignité. Cette proposition humanisante, toutefois, doit être recusée, car porteuse du risque de l'animalisation de l' Homme : à égaliser les conditions de l' humain et de l'animal, on risque en effet, plutôt que de traiter la bête comme un Homme, de traiter l' humain comme une bête, de lui faire une condition animale. Il faut donc maintenir la frontière Homme / animal, mais le faire moins au motif de la supériorité de l' Homme sur la bête qu' à raison de la conscience de la vulnérabilité humaine, du risque qui est celui de l' humain d'être exposé à la déshumanisation. Cependant, l'animal (sensible) est lui aussi un être vulnérable qui peut faire l'objet de traitements contraires à son essence même - une essence qu'il est proposé d' appeler son esséité. Une esséité qui, n'interdisant pas l' institution de la bête en tant que chose juridique, prohiberait, en revanche (et de manière catégorique) tous agissements via lesquels l'animal serait ramené au rang de matière inerte et insensible, rabaissé à la condition de chose pure
Western tradition has built an intangible barrier between humans and animals : humas have been described as superior beings, and animal as inferior. Civil law has relieved this dualism : humans are legal persons, subjects of dignity ; animals are legal things, with no intrinsic value. But some philosophers and lawyers criticize this dichotomy and want animals to be "humanised", to be given human rights and legal personhood (and their foundation : dignity). This argument has to be rejected, since it risks the dehumanization of humans : humans are vulnerable, and the humanization of animals (i. E. The abolition ot the frontier between humans and animals) could lead to the animalization of humans. It is therefore necessary to maintain humans as the only subjects of dignity and of the status of natural persons. However, animals (at least, sentient animals) are also vulnerable beings : they can be (and are often) treated as lifeless bodies, mere things, pure things. This vulnerability , shared with humans, means that animals possess an intrinsic value (proposed to be called "esséité" - the value of sentient being) : a value that does not allow the removal of animals from the category of legal things, but which gives all sentient animals an absolute legal protection, in order to protect them from the possible reduction to the condition of pure thing
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Devienne, Philippe. "Une approche analytique de la philosophie des droits de l’animal." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040202.

Full text
Abstract:
L’animal a un rôle social, économique et affectif essentiel dans les sociétés humaines. Néanmoins, l’animal a-t-il des droits dans une société qui l’élève dans des conditions industrielles, qui expérimente sur lui, qui le consomme sans état d’âme, qui autorise les corridas ? L’auteur propose de montrer à partir des thèses de Wittgenstein, d’Austin, de Cavell et de Putnam que, lorsque les protagonistes du droit de l’animal et leurs détracteurs utilisent la science, la technique ou la métaphysique, ils ne peuvent non seulement parler pour l’animal, mais, en fait, ils parlent pour « moi ». Un examen de l’histoire de la philosophie des droits de l’animal révèle que bien des chemins humains de la pensée philosophique sur l’animal, avec leurs représentations et constructions conceptuelles humaines, s’égarent puisque ces chemins ne retiennent qu’un aspect de l’animal qui nous fait perdre le lien que nous avons avec lui. La philosophie du langage ordinaire décrit au contraire l’intimité de nos mots dans notre relation à l’animal, révélant non seulement une relation connaissante, mais aussi notre engagement envers lui dans notre société humaine, avec notre dimension humaine. Poursuivant dans ce chemin autour de la question de l’accord et du désaccord de nos mots dans le langage, deux approches politiques sont retenues, celle d’un accord sur le langage qui montre à quel point la pensée peut se désenclaver dans une position pragmatiste sur l’animal, et celle d’un accord dans le langage, celui dans lequel je (chacun de nous) suis le lien entre l’animal et ma société. Ces deux positions débouchent sur une éthique de l’altérité envers l’animal
Animals play an essential social, economic, affective role in human societies. Nevertheless, do animals have rights in a society which breeds them in industrial conditions, experiments on them, eats them without qualms, and allows bullfights? The author’s purpose is to show that, from the theses of Wittgenstein, Austin, Cavell and Putnam, when the protagonists of animal rights and their opponents use science, technical subjects or metaphysics, they don’t only speak for the animal, but in fact they speak for “me”. The considerations of the history of the philosophy of animal rights reveal that the process of human philosophical thought about animals, with there human representations and conceptual frames about animals, go astray since these processes retain only one aspect of the animal, which causes us to loose the bond we have with them. On the contrary, the Philosophy of Ordinary Language describes the intimacy of our words in our relation with the animal, revealing not only a relation of knowledge, but our commitment to them in our human society within our “size”. Pursuing the question of whether we agree or disagree on which ordinary words to use, two political approaches are held: firstly, an agreement on language showing at which point our thinking can clear up into a pragmatist stance towards the animal, and secondly, the agreement in language, in which I (each one of us) am the bond between the animal and my society. These two approaches bring us to the ethics of the otherness with animals
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Seyedin, Marjan. "L'animal et l'animalité dans l'art actuel : recherches sur les fondements et les aspects d'une idée." Thesis, Strasbourg, 2017. http://www.theses.fr/2017STRAC001/document.

Full text
Abstract:
Prenant pour point de départ l’omniprésence de l’animal dans l’art actuel, notre recherche s’attache à comprendre comment la question de l’altérité, souvent explicite dans le discours des artistes contemporains qui utilisent le thème de l’animal, se pose à travers ce dernier. En effet depuis le romantisme et suite à une crise propre à la modernité, l’homme, accablé par une mélancolie et la nostalgie de l’Harmonie et de l’Unité perdue, cherche à combler le fossé qui le sépare de « l’absolu ». C’est dans cette tentative de réconciliation que l’animal en tant qu’altérité prend une place importante. Ainsi dès le milieu du XVIIIe siècle l’attention de l’homme européen se tourne vers ces autres qui sont les « sauvages », les enfants et les animaux. Un nouveau type de rapport entre l’homme et l’animal s’instaure alors. Nous étudions ce changement de rapport en commençant avec Goya et sa descente aux enfers qui interroge la vérité de l’homme. Ensuite nous cherchons à comprendre comment se manifeste l’attrait pour l’« exotisme » chez les romantiques, peu à peu remplacé par la question de l’« éthique », pour enfin aboutir à une certaine forme d’ « animalisme »
By taking into account the omnipresence of the animal in present art as a point of departure, our research seeks to conceive how the question of otherness, often explicitly articulated in the discourse of those contemporary artists who use the animal theme, has been put forward through it. In effect, since the romanticism and its successors have posed a real crisis to the modernity, the man, overwhelmed by melancholy and nostalgia of the past harmony and its lost unity, seeks to bridge the gap that separates her from the “Absolute.” It is in this endeavour of reconciliation that the animal as otherness holds an important position. Since the eighteenth century, the attention of the European man has turned to these forms of “others,” as the “wild,” the children and the animals. Then a new kind of relation has been developed between the Man and the Animal. Here we study this change of relation, inaugurated by Goya, and its descent into hell that queries the truth about Man. Afterwards we seek to understand how the attraction of “exoticism” among the romantics has been manifested, while gradually replaced by the question of “ethics,” that finally lead to a certain form of “animalism.”
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Guichet, Jean-Luc. "Rousseau et la réflexion philosophique sur l'animal au dix-huitième siècle (l'animalité dans l'horizon anthropologique de son œuvre)." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040222.

Full text
Abstract:
Aux 17eme et 18eme siècles, depuis Descartes, l'animal a acquis une importance nouvelle en philosophie. Il est devenu comme un drapeau que les cartésiens, néo-péripatéticiens, puis empiristes et matérialistes, ont tenté de s'arracher, les derniers ayant fini par globalement l'emporter. Rousseau, de façon plus distante, va manifester une amé chez les bêtes, essentiellement sur la base de l'expérience de la pitié. Cette âme sera spirituelle mais associée à un corps de manière à faire de l'animal une véritable machine animée. Ce faisant, Rousseau se différencie aussi bien du matérialisme de Diderot et d'Helvétius ou du sensualisme de Condillac que de Descartes dont Buffon reprend l'inspiration. Mais l'essentiel consiste dans l'apport décisif que l'animal fournit à l'anthropologie. L'originalité de Rousseau ici est de montrer que l'homme ne se définit pas seulement en opposition à l'animal mais aussi en assumant de façon réflexive des éléments qui leur sont communs. Enfin, l'animal est au centre de la réflexions rousseauiste sur le droit et les valeurs, laquelle renouvelle ces notions en les fondant non plus exclusivement sur la raison mais aussi la sensibilité. Investi de façon personnelle par la passion d'apprivoisement qui habite Rousseau depuis toujours, l'animal, ainsi, est pour lui également l'instrument et la fin d'une réflexion philosophique majeure.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Gontier, Thierry. "De l'homme à l'animal : les discours traditionnels et les paradoxes des modernes sur la nature des animaux /." [Paris?] : T. Gontier, 1996. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35835158v.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Messaoudi, Baya. "Bêtes et bêtise : l'animalité dans l'oeuvre de Sartre." Thesis, Paris 8, 2015. http://www.theses.fr/2015PA080030/document.

Full text
Abstract:
Étudier l’animalité dans l’œuvre de Sartre, c’est rencontrer l’auteur là où nous ne l’attendions pas. C’est aussi découvrir sa philosophie hors d’elle-même, c’est-à-dire dans des sujets considérés depuis longtemps comme minoritaires, tels que ceux qui se rapportent à l’animal. À vrai dire, Sartre ne pose pas dans des termes clairs le problème de l’animalité, que ce soit en philosophie ou en littérature. Cette question accompagne plutôt le discours fondamental que le philosophe porte sur l’homme et la liberté. S’attachant à définir l’homme dans sa relation à l’autre, Sartre ne cesse de toucher, de près ou de loin, à la place que l’animal domestique occupe auprès de son maître. L’animal est-il alors une force symbolique, donc une question qui n’est posée que de biais, ou peut-il se concevoir comme un thème philosophique sérieux ? Nous pouvons effectivement mettre l’animalité à l’épreuve de la pensée sartrienne. Pour dire les choses plus clairement, cette recherche consiste à démontrer que l’animal est un être lié de façon complexe à l’homme et suscite des interrogations existentielles
Studying the animal in Sartre's work is meeting the author where we were not expecting. It was also discovered his philosophy out of itself, that is to say, in subjects long considered a minority, such as those relating to the animal. Indeed, Sartre does not arise in clear terms the problem of the animal, either in philosophy or literature. This question rather accompanies the fundamental discourse that the philosopher is about rights and freedom. Endeavoring to define man in his relationship to the other, Sartre continues to touch, directly or indirectly, in the place that occupies the pet to his master. The animal then it is a symbolic strength, so a question that is asked only obliquely, or can it be seen as a serious philosophical theme? We can actually put the animal to the test of Sartre's thought. To put it more clearly, this research is to demonstrate that the animal is to be intricately linked to man and raises existential questions
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Dittmar, Pierre-Olivier. "Naissance de la bestialité : une anthropologie du rapport homme-animal dans les années 1300." Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0117.

Full text
Abstract:
Le rapport à l'animal dans le contexte chrétien est paradoxal. Alors qu'il se trouve pour la première fois totalement exclu du sacré légitime (abandon du sacrifice antique, des interdits alimentaires juifs), l'animal est extrêmement présent dans la littérature et l'art médiéval. Autour des années 1300, son exploitation symbolique, au même titre que son usage alimentaire ou matériel s'inscrit dans un rapport de domination de l'homme sur le monde naturel dont Adam nommant les animaux fournit le modèle. Dans les mêmes années, la conception de l'animal est profondément bouleversée. Depuis Augustin, le monde animal était structuré par l'opposition entre pecus et bestia, entre des animaux herbivores soumis à l'homme et des animaux carnivores sauvages, les premiers étant comestibles, les seconds frappés d'un interdit alimentaire informel. Avec l'émergence d'une littérature en langue vernaculaire et la redécouverte d'Aristote, cette division s'estompe pour laisser place à une conception nouvelle de l'animal, compris désormais dans un sens excluant l'homme, et regroupant l'ensemble des autres créatures animées. On parlera à ce titre d'une naissance de l'animal au sens moderne et naturaliste du terme. Cette invention de l'animal modifie en profondeur les conceptions de la personne, en donnant naissance au concept de bestialité, qui recouvre petit à petit l'ensemble des comportements humains échappant à la raison. Dans ce processus, l’image joue un rôle prépondérant, devançant la formalisation théorique, et impose par le biais de représentations d’hybrides mi-homme mi-bête une compréhension nouvelle de l'animalité de l'homme et de la continuité des existants au sein du monde créé
The medieval Christian approach to the animal was paradoxical. For the first time, the animal was largely excluded from official ritual: animal sacrifice was a thing of the pagan past, and Jewish dietary restrictions limited the consumption of certain creatures. But the animal figured prominently in medieval art and literature, and by the advent of the XIV th century, the animal's symbolic exploitation, along with its use as a source of food and material, followed the model of man's domination over the natural world, established by the Biblical precedence of Adam naming the animals. During the 1300s the conception of the animal underwent a profound change. Since Augustine, the animal world was structured by an opposition between 'pecus' and 'bestia', between grazing herbivores in the service of mankind and wild carnivores. While the former were considered edible, the consumption of the latter was informally forbidden. But with the emergence of literature in the vernacular and the rediscovery of Aristotle, this division gave way to a new conception of the animal that grouped together ail animate creatures -with the notable exception of man. Thus was born the modern sense of the term 'animal'. The invention of the animal profoundly changed how the individual was conceived, giving birth to the concept of 'bestialité', which gradually came to include any human behaviour deemed irrational. Images (i. E. The representations of hybrids, half-men, half-beasts) played a crucial role in the conceptual development of man's beastliness : they did not merely illustrate, but anticipate the work of theoreticians in shaping the concept of man's animality
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Lepin, Franck. "L'animalité dans l'art contemporain." Rennes 2, 2002. http://www.theses.fr/2002REN20031.

Full text
Abstract:
A une période où les valeurs prises par l'animalité ont été l'objet de profonds bouleversements, cette thèse offre une première étude de sa place et de son rôle dans l'art contemporain, depuis 1960 jusqu'à la fin des années quatre-vingt-dix. A partir d'une recherche historique et théorique inédite, elle analyse les pratiques engagées par une trentaine d'artistes parmi lesquels Joseph Beuys, Jannis Kounellis, Rebecca Horn et Rosemarie Trockel. Plusieurs axes de réflexion sont proposés à partir d'un plan thématique. Nous montrons d'abord comment certains artistes sont passés par l'animalité pour interroger la nature humaine, ses fondements et ses limites. Puis nous étudions l'usage de l'animalité dans des oeuvres questionnant l'art et la création. Plusieurs aspects de l'identité humaine sont ensuite abordés, au travers de la question de l'altérité, puis de celle de l'identité sexuée et de l'identité sociale du sujet. Enfin, cette étude s'intéresse à des oeuvres proposant, une nouvelle expérience du vivant par l'animalité, et à d'autres dans lesquelles il est question de notre rapport à la nature
At a time in which issues of animality have been the subject of many changes, this thesis provides a first study of his place and his part in contemporary art fro 1960 until the end of the nineties. From an unpublished historical and theoretical research, it analyses the work of about thirty artists among Joseph Beuys, Jannis Kounellis, Rebecca Horn and Rosemarie Trockel. Several topics are examined according to a thematic plan. It shows first how some artists have used animality to question human nature, his foundations and his boundaries. Then it explores the use of animality in works discussing art and creation. Several aspects of human identity are expanded afterwards, through the question of otherness, and next through gender identity and social identity. Finally, these survey comments on works offering a new experience of living and on others in which it is about our link to nature
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Chanvallon, Stéphanie. "Anthropologie des relations de l’Homme à la Nature : la Nature vécue entre peur destructrice et communion intime." Rennes 2, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00458244/fr/.

Full text
Abstract:
Comment comprendre les relations de l’Homme à la Nature ? Cette étude, menée autour d’enquêtés sensibles, s’appuie sur de l’anthropologie qualitative et réflexive, nourrie, entre autres, de paléoanthropologie, d’anthropozoologie et d’éthologie, de symbolique et d’imaginaire. Si l’Homme a peur de la Nature, comment le manifeste-t-il ? La Nature désacralisée, dominée, maîtrisée, « mise en boîte », polluée, détruite, recréée en ersatz et simulacres, interroge l’Homme, ses peurs multiformes et complexes, ses paradoxes. Et l’Homme en quête de Nature dans le quotidien ou dans des situations extrêmes, que recherche-t-il ? La Nature est alors vécue comme un incontournable besoin, une source d’exploration des sens, parfois un refuge pour un « repos social ». Elle permet un retour sur soi, s’apparente à une épreuve, et renvoie parfois à sa propre animalité. Ces relations sont ambivalentes : entre peur destructrice et communion intime, elles dévoilent autant de représentations, de comportements et d’engagements qu’il y a d’individus. Et les relations avec la vie sauvage, comment sont-elles vécues et pour quoi ? Elles se révèlent être la possibilité pour l’Homme de se (re)découvrir en découvrant l’Autre, l’animal, et offrent la richesse de compréhensions différentes face à cet inconnu qui accepte d’entrer en contact, d’échanger. La Nature offre de multiples nourritures : corporelles, sensorielles, émotionnelles, affectives, cognitives, psychiques, spirituelles. L’Homme accède ainsi à une évolution, une transformation intérieure
How to understand Man’s relationship with Nature ? This study, achieved with sensitive surveys, is a qualitative and reflexive anthropology. It uses anthrozoology, palaeoanthropology and ethology, symbolism and imagination. If Man is afraid of Nature, how does he manifest it? Nature without mystique, dominated, controled, “boxed”, polluted, destroyed, re-created in artificial situations, Nature makes us examine Man, his complex fears, paradoxes. And Man’s exploration of Nature in daily life or in extreme circumstances, what is he looking for? Nature is an essential need, for well-being, a means of exploring one’s own senses, a source of renewal, a method of escaping society’s pressures. Man’s inner problems are reflected in Nature. It affords him a resting view of himself. It mirrors the animal side of Man. These relationships are ambivalent: between destructive fear and sympathetic interaction, they have as many aspects, facets and reactions as each individual has. Relationships with wildlife, how are they experienced and why? They offer the possibility of (re)discovering oneself whilst discovering the Other, they offer a richness of understanding faced with the natural unknown which wants to be in contact. Nature offers multifaceted enrichment: for the body, senses, emotions, feelings, self-knowledge, mind and spirituality. Thus, Man may experience an inner transformation
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Le, Goff Anne. "L'être humain comme animal rationnel : l'idée de seconde nature de John McDowell." Amiens, 2013. http://www.theses.fr/2013AMIE0010.

Full text
Abstract:
Comment penser l'être humain comme un animal rationnel ? Le philosophe américain contemporain John McDowell cherche dans l'idée aristolicienne une alternative aux multiples tentatives contemporaines de naturalisation des proriétés normatives par réduction de celles-ci à des propriétés physiques et biologiques. Il faut en effet penser l'être humain comme un être naturel, sans renoncer cependant à la conception de la raison selon laquelle elle constitue un espace autonome irréductible. Il faut pour cela élargir le concept de la nature au delà du domaine des sciences : la nature peut aussi être "seconde nature", c'est-à-dire à la fois naturelle et rationnelle. Dans ce travail, nous explicitons d'abord l'idée de seconde nature telle qu'elle apparaît dans l'oeuvre de McDowell. Elle désigne la naturalité des capacités rationnelles acquises par le biais d'une éducation humaine. Elle constitue la base d'un naturalisme non réducteur, qui se présente comme un réalisme. Dans un second temps, nous élaborons la critique à laquelle fait face ce naturalisme. Le naturalisme de McDowell maintient deux concepts hétérogènes de nature : la seconde nature rationnelle obéit à un principe d'intelligibilité différent de celui de la nature au sens général, définie comme domaine des sciences naturelles. Nous soutenons que, pour défendre un naturalisme non réducteur, il faut dépasser cette dichotomie, de sorte que le développement de la raison puisse être pensé au sein de la nature conçue en un sens unique. L'éthologie contemporaine ainsi que des philosophes comme Cora Diamond nous indiquent une voie en ce sens. C'est à ce prix que l'on évitera le dualisme entre nature et raison
How can the human being be conceveid as a rational animal ? The contemporary philosopher John McDowel seeks to revive this Aristotelian idea in order to offer a non-reductive naturalism. The human being needs to be thought of as natural being, yet it does not imply to renounce a strong conception of reason as autonomous (in a Kantian way). The only thing we need is to enlarge our concept of naturebeyond the realm of natural science : nature can also be "second nature", that is both genuinely rational and natural. It first explain McDowell's idea of second nature. Second nature means that rational capacities acquired through human education are natural. This idea is the basic for a non-reductive naturalism that also is a rationalism. Then, I offer a criticism of McDowell's conception. The chief difficulty is that he maintains two heterogeneous concepts of nature : the rational second nature is notintelligible in the same way than nature in general, defined by McDowell as the realm of natural science. I suggest that a consistent non-reductive naturalism needs to overcome this duality of natures, so that reason's development can be conceveid as taking place within nature. It is the only way that a dualismbetween reason and nature can be avoided, as McDowell wishes. Contemporary trends in ethology as well as philosophers like Cora Diamond show possible ways to develop this idea
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Bouchard, Sébastien. "Humanimalité et indignation : Apports de la fiction romanesque à la question philosophique du rôle de l’animalité dans le devenir humain de l’homme après Darwin." Rouen, 2016. http://www.theses.fr/2016ROUEL041.

Full text
Abstract:
Depuis la théorie de l’évolution de Darwin, la science ne représente plus l’homme au-dessus du règne animal, elle l’y inscrit : c’est un animal, de la classe des mammifères, de l’ordre des primates, de la famille des hominidés, du genre homo et de l’espèce sapiens. Pour nommer cette nouvelle fraternité entre l’homme et l’animal, nous proposons le néologisme d’hmanimalité, qui postule, par sa graphie même, un lien indéfectible entre humanité et animalité. De L’étrange cas du Dr Jekyll et de M. Hyde de Robert Louis Stevenson (1886) à La planète des singes de Pierre Boulle (1963), en passant par Les racines du ciel de Romain Gary (1956) – où le mot « écologie » apparaît pour la première fois dans un roman -, des romanciers ont exploré cette nouvelle fraternité. Dans la série des quinze romans réunis ici, qui composent le corpus à l’étude, une « voix », celle du narrateur ou du protagoniste, invite le lecteur à s’indigner du fait que l’hominisation ne se soit jamais complétée par une humanisation. Si l’ancêtre animal de l’homme est effectivement devenu homo faber, erectus, puis sapiens, il est toutefois douteux de croire qu’il soit parvenu jusqu’à l’homo humanus (l’homme authentiquement humain). En fait, au regard de la barbarie du XXe siècle, cet homo humanus pourrait très bien n’avoir jamais été autre chose qu’une simple « fiction », une histoire que l’humanité se racontait sur elle-même et dont elle a été dupe. Seul gage d’espoir, cette faculté que l’homme a de s’indigner contre ce qui outrage cette fiction d’une espèce appelée à devenir plus humaine
Since Darwin’s theory of evolution, science no longer represents man as being above the animal reign, it includes him in it : man is an animal, of the class of mammals, of order of primates, of the family of hominids, of the genus homo and of the species sapiens. In order to name this new fraternity between man and animal, we propose the neologism humanimality, which postulates, by its written form, an indefectible link between humanity and animality. From Robert Louis Stevenson’s The Strange Case of Dr. Jekyll and Mr. Hyde (1886) to Pierre Boulle’s Planet of the Apas (1963), through Romain Gary’s The Roots of Heaven (1956) – where the word “ecology” appears for the first time in a novel-, several novelists have explored this new fraternity. In the series of fifteen novels put together here, which form the studied corpus, a “voice”, belonging to the narrator of the protagonist, invites the reader to become indignant over the fact that hominization has never led to z humanization. If the animal ancestor of man has indeed become homo faber, erectus, then sapiens, it is nevertheless doubtful to believe that he has succeeses in becoming homo humanus (the authentically human man). In fact, when considering the barbarity of the 20th century, homo humanus may turn out to have been a mere “fiction”, a story which humanity told about itself and by which it has been cruelly fooled. The only token of hope is human being’s ability to become indignant against what offends this fiction of a species called upon to always become more human
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Bouchard, Sébastien, and Sébastien Bouchard. "Humanimalité et indignation : apports de la fiction romanesque à la question philosophique du rôle de l'animalité dans le devenir humain de l'homme après Darwin." Doctoral thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37801.

Full text
Abstract:
Thèse en cotutelle, Doctorat en études littéraires, Université Laval Québec, Canada et Université de Rouen Mont-Saint-Aignan, France.
Thèse en cotutelle, Doctorat en études littéraires, Université Laval Québec, Canada et Université de Rouen Mont-Saint-Aignan, France.
Depuis la théorie de l’évolution de Darwin, la science ne représente plus l’homme au-dessus du règne animal, elle l’y inscrit : c’est un animal, de la classe des mammifères, de l’ordre des primates, de la famille des hominidés, du genre homo et de l’espèce sapiens. Pour nommer cette nouvelle fraternité entre l’homme et l’animal, nous proposons le néologisme d’humanimalité, qui postule, par sa graphie même, un lien indéfectible entre humanité et animalité. De L’étrange cas du Dr Jekyll et M. Hyde de Robert Louis Stevenson (1886) à La planète des singes de Pierre Boulle (1963), en passant par Les racines du ciel de Romain Gary (1956) — où le mot « écologie » apparaît pour la première fois dans un roman —, les romanciers explorent cette nouvelle fraternité en mettant en scène des êtres, des créatures et des situations qui n’existent pas dans la réalité. Ce faisant, ils déploient des perspectives de réflexion que la réalité ne met pas toujours à notre portée. Dans la série des quinze romans réunis ici, qui composent le corpus à l’étude, une « voix », celle du narrateur ou du protagoniste, invite le lecteur à s’indigner du fait que l’hominisation ne se soit jamais complétée par une humanisation. Si l’ancêtre animal de l’homme est effectivement devenu homo faber, erectus, puis sapiens, il est toutefois douteux de croire qu’il soit parvenu jusqu’à l’homo humanus (l’homme authentiquement humain). Les raisons de cet écueil s’articulent toutes autour du thème de l’« animalité », qui renvoie tantôt à la part animale en l’homme, tantôt aux rapports que l’homme entretient avec les animaux. Aborder, ainsi que nous le faisons, les romans retenus dans l’ordre chronologique de leur publication permet d’esquisser une petite histoire de l’évolution du thème de l’animalité dans la littérature européenne, de découvrir que, passé le choc de la « hantise des origines » suscitée par la théorie de Darwin, les romanciers nous encouragent à nous réconcilier avec notre propre animalité et à reconnaître la dignité des animaux. En un siècle où l’homme est responsable de deux guerres mondiales, la barbarie ne peut plus être pensée comme la marque d’une « bête » en l’homme, mais plutôt comme l’un de ses propres : l’homme, un animal inhumain. Des romanciers suggèrent même que l’homo humanus ne serait pas l’une des prochaines étapes de l’évolution de sapiens, mais une simple « fiction », une histoire que l’humanité se raconte sur elle-même et qui n’aura jamais d’incarnation réelle en ce monde. Seul gage d’espoir, cette faculté que nous avons de nous indigner contre ce qui outrage cette fiction d’une espèce appelée à devenir plus humaine. Romans analysés : L’étrange cas du Dr Jekyll et M. Hyde de Robert Louis Stevenson (1886), La Machine à explorer le temps et L’île du docteur Moreau de Herbert George Wells (1895 et 1896), L’étalon de David Herbert Lawrence (1925), Le loup des steppes de Hermann Hesse (1927), Morwyn de John Cowper Powys (1937), Kaputt de Malaparte (1944), 1984 d’Orwell (1949), Molloy de Samuel Beckett (1951), La peau et les os (1949) et Le wagon à vaches de Georges Hyvernaud (1953), Sa Majesté des Mouches de William Golding (1954), Les racines du ciel de Romain Gary (1956), Sylva de Vercors (1961) et La planète des singes de Pierre Boulle (1963).
Depuis la théorie de l’évolution de Darwin, la science ne représente plus l’homme au-dessus du règne animal, elle l’y inscrit : c’est un animal, de la classe des mammifères, de l’ordre des primates, de la famille des hominidés, du genre homo et de l’espèce sapiens. Pour nommer cette nouvelle fraternité entre l’homme et l’animal, nous proposons le néologisme d’humanimalité, qui postule, par sa graphie même, un lien indéfectible entre humanité et animalité. De L’étrange cas du Dr Jekyll et M. Hyde de Robert Louis Stevenson (1886) à La planète des singes de Pierre Boulle (1963), en passant par Les racines du ciel de Romain Gary (1956) — où le mot « écologie » apparaît pour la première fois dans un roman —, les romanciers explorent cette nouvelle fraternité en mettant en scène des êtres, des créatures et des situations qui n’existent pas dans la réalité. Ce faisant, ils déploient des perspectives de réflexion que la réalité ne met pas toujours à notre portée. Dans la série des quinze romans réunis ici, qui composent le corpus à l’étude, une « voix », celle du narrateur ou du protagoniste, invite le lecteur à s’indigner du fait que l’hominisation ne se soit jamais complétée par une humanisation. Si l’ancêtre animal de l’homme est effectivement devenu homo faber, erectus, puis sapiens, il est toutefois douteux de croire qu’il soit parvenu jusqu’à l’homo humanus (l’homme authentiquement humain). Les raisons de cet écueil s’articulent toutes autour du thème de l’« animalité », qui renvoie tantôt à la part animale en l’homme, tantôt aux rapports que l’homme entretient avec les animaux. Aborder, ainsi que nous le faisons, les romans retenus dans l’ordre chronologique de leur publication permet d’esquisser une petite histoire de l’évolution du thème de l’animalité dans la littérature européenne, de découvrir que, passé le choc de la « hantise des origines » suscitée par la théorie de Darwin, les romanciers nous encouragent à nous réconcilier avec notre propre animalité et à reconnaître la dignité des animaux. En un siècle où l’homme est responsable de deux guerres mondiales, la barbarie ne peut plus être pensée comme la marque d’une « bête » en l’homme, mais plutôt comme l’un de ses propres : l’homme, un animal inhumain. Des romanciers suggèrent même que l’homo humanus ne serait pas l’une des prochaines étapes de l’évolution de sapiens, mais une simple « fiction », une histoire que l’humanité se raconte sur elle-même et qui n’aura jamais d’incarnation réelle en ce monde. Seul gage d’espoir, cette faculté que nous avons de nous indigner contre ce qui outrage cette fiction d’une espèce appelée à devenir plus humaine. Romans analysés : L’étrange cas du Dr Jekyll et M. Hyde de Robert Louis Stevenson (1886), La Machine à explorer le temps et L’île du docteur Moreau de Herbert George Wells (1895 et 1896), L’étalon de David Herbert Lawrence (1925), Le loup des steppes de Hermann Hesse (1927), Morwyn de John Cowper Powys (1937), Kaputt de Malaparte (1944), 1984 d’Orwell (1949), Molloy de Samuel Beckett (1951), La peau et les os (1949) et Le wagon à vaches de Georges Hyvernaud (1953), Sa Majesté des Mouches de William Golding (1954), Les racines du ciel de Romain Gary (1956), Sylva de Vercors (1961) et La planète des singes de Pierre Boulle (1963).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Vincent, Manon. "Les animaux dans la littérature hellénistique." Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040225.

Full text
Abstract:
Notre étude porte sur les animaux dans la littérature hellénistique. Nous avons volontairement choisi de travailler sur un vaste corpus afin de mettre en lumière les multiples représentations de l’animal apparaissant dans les textes de la période. La première partie de cette étude est consacrée à l’imagerie animale à travers laquelle les auteurs décrivent les caractères et les qualités de l’homme, exposant, dans une moindre mesure, les rapports analogiques entre les animaux. La deuxième partie s’attache à montrer les relations existantes, symboliques ou réelles, entre l’homme et l’animal. La mise en scène des animaux dans le récit traduit les pratiques et les modes de pensée de la société hellénistique vis-à-vis de l’animal. Quant à la dernière partie de cette étude, elle présente les tentatives d’objectiver les comportements et les qualités de l’animal. En ce sens, elle met en avant l’essor des écoles philosophiques et des sciences de la période par l’approche philosophique et didactique de la nature animale. Au fil des textes, la pensée hellénistique révèle la tension continuelle entre croyance et connaissance, entre représentations culturelles et « données scientifiques » sur l’animal. Si les auteurs conçoivent l’homme comme appartenant au continuum biologique animal, ils s’en démarquent par l’affirmation de sa supériorité d’un point de vue intellectif
Our study focuses on animals in Hellenistic literature. We deliberately chose to work on a large text corpus in order to highlight the multiple representations of the animal appearing in the texts of the period. The first part of this study is devoted to animal imagery through which the authors describe the characters and human qualities, exposing, to a lesser extent, the analogue relationship between animals. The second part aims to show existing relationships, symbolic or real, between man and animal. The staging of the animals in the story reflects thepractices and ways of thinking of the Hellenistic society towards the animal. The last part of this study presents the attempts to objectify the behaviours and qualities of the animal. In that sense, it shows the rise of philosophical schools and sciences of the period by the philosophical and didactic approach to animal nature. In texts, Hellenistic thought reveals the continual tension between belief and knowledge, between cultural representations and "scientific data" of the animal. If the authors conceive man as belonging to the animal biological continuum, they stand out by the assertion of their superiority in an intellective perspective
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Veinstein, Léa. "Penser la métamorphose : quatre lectures de Kafka dans la philosophie allemande : (Walter Benjamin, Theodor W. Adorno, Hannah Arendt, Günther Anders)." Thesis, Strasbourg, 2014. http://www.theses.fr/2014STRAC035.

Full text
Abstract:
Ce travail vise à scruter quatre lectures de Kafka dans la philosophie allemande. Pourquoi ces philosophes ont-ils rencontré et interprété Kafka ? La première hypothèse est d’ordre biographique : leurs découvertes de Kafka sont marquées par le sentiment d’une proximité personnelle à l’égard ce qu’il donne à lire. Kafka est l’écrivain d’un certain moment, où le rapport à la langue ne va pas de soi, où l’expérience de l’exil prédomine, et où les mutations historiques rendent les contours de la subjectivité flous. La seconde hypothèse est philosophique : leurs lectures se fondent sur la nécessité de philosopher autrement, afin d’intégrer ces mutations. On ne peut plus penser selon les catégories du sens, de l’identité, de la conscience - mais il faut accepter que le sujet découvre en lui un étranger. Le défi que Kafka dresse devant ces philosophes serait donc de pouvoir « penser la métamorphose ». Celle du sujet, mais aussi celle que subit la philosophie au contact de la littérature. Et enfin, celle que Kafka invente dans l’ensemble de son œuvre, dont nous montrons qu’elle est irriguée par le « devenir-animal »
We are focusing on studying four readings of Kafka in german philosophy. Why have these philosophers met and interpreted Kafka ? Our first hypothesis is a biographical one : their reading of Kafka’s books are influenced by the feeling of a proximity between his life and their experiences. Kafka represents a crisis : in his work, the language is not innate anymore, experiencing exile is prevailing, the historical mutations affect the concept of subjectivity. The second hypothesis concerns the philosophy itself : because of these mutations, the traditional metaphysical categories of sense or consiousness are obsolete ideas. The subject is becoming a stranger. Kafka is challenging philosophers to « think out the metamorphosis », the subject’s metamorphosis, the philosophy’s metamorphosis, and finally, the one Kafka invented, which is everpresent in his works, the notion of a « becoming-animal »
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Martin, Emmanuel. "La proie, l’animal personne ou l’ennemi des hommes : nommer, classer, penser et se nourrir d’animaux sur le haut-Maroni des Wayana (Guyane française)." Thesis, Paris 10, 2014. http://www.theses.fr/2014PA100169/document.

Full text
Abstract:
Ce travail de thèse est une exploration ethnologique des propriétés générales et des vérités fondamentales que les Indiens Wayana de Guyane française (Amazonie), de langue karib, reconnaissent aux animaux, entre autres non-humains, ainsi qu’une étude des différentes formes de relations entre les humains et ces non-humains, en particulier la relation de prédation, lorsque les uns tuent et mangent les autres. Ce travail expose tout d’abord les différents non-humains qui peuplent le monde wayana, dont l’animal est une des formes. Puis, à partir d’outils théoriques et par une étude lexicale, la thèse étudie la nomenclature et la classification des entités non-humaines du point de vue wayana. Face aux impasses révélées par cette approche, la thèse expose les propriétés ontologiques des entités non-humaines, pour reconnaître une conception animiste des non-humains. Ce modèle, anthropocentré, au perspectivisme absent, s’avère mettre l’accent sur une équivalence réelle des rapports au sein des différentes bulles d’existants. Par l’étude des différentes positions de consanguinité et d’affinité dans leurs interactions avec les non-humains, ce travail révèle que, dans la relation de prédation avec l’animal, cet autre est avant tout un affin potentiel. On noue avec lui une relation d'ennemi à ennemi qui fonctionne par soustraction et sans institution d’arbitrage. Par l’étude des techniques de prédation, la thèse démontre que les Wayana mettent en œuvre des moyens de prédation les plus efficaces possibles. Si les Wayana cherchent un rendement optimal, il ne s’agit pas de maximiser les gains, mais de minimiser les risques dans une relation de prédation avec un ennemi
This thesis is an ethnographic exploration of the general properties and fundamental truths that Indians Wayanas of French Guiana (Amazon), karib, recognize to animals, among other non-human beings, and a study of different forms of relationships between humans and non-humans, in particular the relationship of predation, when the ones kill and eat the others. First of all, this work presents the various non-human inhabitants of the Wayana world, of which the animal is one of the forms. Then, from theoretical tools and a lexical study, the thesis examines the nomenclature and classification of non-human entities from Wayana perspective. With the impasse revealed by this approach, the thesis presents the ontological properties of non-human entities to recognize an animistic conception of non-humans. This model, anthropocentric, without perspectivism, appears to focus on a real equivalence on relationships inside each boxes of beings. By studying the different positions of consanguinity and affinity in their interactions with non-humans, this work shows that in the relationship of predation with the animal, the other is primarily a potential affine. Is tied with him, an enemy to enemy relationship, working by subtraction without arbitration institution. By studying the techniques of predation, the thesis demonstrates that Wayanas implement means of predation the most effective. If Wayana are seeking for optimum performance, it is not so much to maximize the gains, but is to minimize the risks in a relationship of predation with an enemy
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Lacoste, Frédéric. "L'oiseau dans la poésie de Saint-John Perse, Kenneth White et Philippe Jaccottet : une pensée analogique au service du mystère." Bordeaux 3, 2006. https://extranet.u-bordeaux-montaigne.fr/memoires/diffusion.php?nnt=2006BOR30021.

Full text
Abstract:
La question de l'oiseau dans la poésie contemporaine se pose avec une certaine évidence. Impossible, semble-t-il, d'ouvrir un recueil de poèmes sans tomber à de nombreuses reprises sur des références explicites à l'oiseau : à son vol bien sûr, mais aussi à son chant, à sa présence discrète mais permanente. Comment expliquer cette re��currence dans la production contemporaine ? Et qu'est-ce qui constitue la singularité de l'oiseau dans le règne animal ? Après avoir justifié le rapprochement des trois poètes de notre corpus, nous avons fondé notre travail selon des perspectives analogiques et transdisciplinaires. Renouant à un certain degré avec la mystique médiévale, la poésie cherche les frontières de l'homme dans l'univers-macrocosme. L'oiseau, qui semble une limite ultime pour le psychisme humain, nous permet de redéfinir l'animalité selon un principe de "consanguinité" (Saint-John Perse). Contre la propension moderne à l'émiettement, au dispersé, au catalogique, cette pensée analogique à l'œuvre dans la production poétique de nos auteurs, cherche à reconstituer la trame et à "recoudre l'univers". La dimension métaphysique, souvent non revendiquée chez nos poètes, reste ainsi constamment sous-jacente. Au-delà d'une lecture du réel qui s'appuie sur la précision de la science, une "autre dimension", proche de l'Ouvert rilkéen, imprègne leurs œuvres. L'oiseau, à travers les motifs du vol et du chant, dessine alors les contours d'une poétique liée à la modernité esthétique
The question of the bird in contemporary poetry seems to be obvious. It's really impossible to open a collection of poems without seeing lots of explicit references to the bird : his fly, his singing, and his discreet but permanent presence. How to explain this recurrence in contemporary production ? And what's the foundation of the bird's particularity in the animal kingdom ? After justifying the connection of the three poets of our corpus, we based our work on analogical and transdiciplinary viewpoints. Reviving the medieval mysticism, poetry looks for the limits of human nature in the world-macrocosm. The bird, that seems the last limit for the human psychism, allows us to redefine animality in accordance with a principle of "consanguinity" (Saint-John Perse). Against the modern proclivity to dispersion and catalogue, this analogical thought circulating in the poems of our authors, wants to reconstruct the weft, to "sew up the universe". The metaphysical dimension, that is not often clearly claimed by our poets, is always underlying. Beyond a description of the real world, that is leaning on the precision of the science, another dimension, verging on rilkean "Ouvert", impregnates their works. The bird, through the patterns of the flight and the singing, draws the lines of poetics linked by aesthetic modernity
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Doucet-Dufresne, Karine. "Des chevaux et des hommes : le développement d'une éthique animale dans la littérature du XIXe siècle à travers l'étude de la représentation du cheval dans l'oeuvre de trois auteurs : Anna Sewell, Léon Tolstoï et Émile Zola." Thèse, 2017. http://constellation.uqac.ca/4233/1/DoucetDufresne_uqac_0862N_10324.pdf.

Full text
Abstract:
Avant et même après l’arrivée de la machinerie et de l’industrialisation, le cheval se retrouve dans plusieurs domaines (transport, agriculture, travaux lourds, distraction, etc.). Son exploitation soulève un questionnement éthique important, abordé dans la littérature et notamment, dans la littérature du XIXe siècle. La façon dont sont traités les chevaux par les personnages révèle l'éthique animale et humaine mise de l’avant dans les textes. Black Beauty d'Anna Sewell, roman animalier dont le narrateur est un cheval, est mis en parallèle avec la nouvelle « Le cheval » de Léon Tolstoï afin de faire ressortir les enjeux éthiques liés à la représentation du cheval-narrateur. Enfin, dans l'oeuvre de Zola, le traitement du cheval et sa considération morale, ainsi que le rang social qu'il confère à l'homme, sont des éléments déterminants du récit qui illustrent le déploiement d’une éthique animale et humaine chez cet auteur important. Sur le plan théorique, cette recherche s’inspire des animal studies ou études animales qui s’intéressent surtout à la question éthique soulevée par l’exploitation de l’animal et sa survie, aux droits qu’il possède et à la question d'anthropomorphisme et de zoomorphisme. Cette recherche s'appuie principalement sur les ouvrages Histoire de la culture équestre, XVIe–XIXe siècle et Anthologie de la littérature équestre afin de dresser un portrait historique, social et culturel du cheval. Puis, ce portrait est mis en lien avec Black Beauty et « Le cheval », et enfin, avec les romans de Zola (Nana, La Débâcle, Germinal et Le docteur Pascal) afin de réfléchir à la condition animale en général et à celle du cheval en particulier, ainsi qu'aux enjeux historiques et sociaux qui y sont liés. L'étude de la représentation du cheval dans les oeuvres littéraires choisies permet surtout de faire ressortir l'éthique animale et humaine de ces textes du dix-neuvième siècle, mais aussi, de montrer que l'animal peut jouer un rôle à part entière dans le récit.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography