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1

AUMAITRE, L. A. "Les aliments issus de plantes génétiquement modifiées : équivalence, efficacité et sécurité chez les animaux de ferme." INRAE Productions Animales 15, no. 2 (April 12, 2002): 97–108. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.2.3690.

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Abstract:
On affirme, même sans preuve avérée, que les aliments issus de la transformation génétique des plantes présentent des risques pour l’homme et les animaux. On reconnaît seulement les avantages agronomiques des plantes génétiquement modifiées (GM) ayant fait l’objet d’une autorisation de dissémination. L’équivalence en substance (composition chimique), la sécurité et l’innocuité ont pourtant été vérifiées préalablement à leur autorisation. C’est seulement récemment que l’on a démontré chez les animaux de ferme l’équivalence nutritionnelle de ces plantes et de leurs dérivés. Aucun signe de toxicité du soja, du pois, du lupin, du coton, de la pomme de terre chez le rat ou du colza chez le lapin n’ont été observés. De nombreux travaux sur animaux cibles ont été récemment publiés : ils sont récapitulés et interprétés dans cet article. Ainsi, par exemple, 11 tests combinés de tolérance et de valeur alimentaire ont été effectués sur le poulet de chair et 11 tests sur le porc concernent le maïs grain, ou le soja résistant aux herbicides ou aux insectes. Les fourrages à base de plantes entières, les graines de coton , de soja GM ont fait l’objet de 17 publications de résultats observés sur les ruminants, vaches laitières et bovins à l’engrais, sur des durées allant de 21 à 246 jours. Ces essais montrent l’équivalence alimentaire des plantes GM par rapport aux plantes parentales ; aucun effet n’a été observé sur la composition et les propriétés technologiques du lait. La recherche de résidus de l’ADN transformant dans les muscles du poulet ou dans le lait des vaches s’est toujours avérée négative. Par ailleurs, la résistance aux insectes chez le maïs s’accompagne d’une réduction substantielle de la teneur en mycotoxines (trichotécènes, fumonisine B1) dans le maïs grain. Enfin, la réduction du taux de phosphore phytique dans le maïs permet de réduire considérablement les rejets de phosphore dans les effluents des élevages d’animaux monogastriques.
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2

Singh, A. L., P. K. Singh, and P. L. Singh. "Effects of different herbicides on theAzollaand blue—green algal biofertilization of rice." Journal of Agricultural Science 111, no. 3 (December 1988): 451–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0021859600083623.

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Abstract:
SummaryPre-emergence herbicides applied at field recommended doses, 3 days after transplanting (DAT) rice plants, inhibited growth and N2-fixation ofAzolla pinnata(Bangkok) and BGA (blue-green algae) inoculated 10 DAT. This inhibition was up to 15 DAT inAzollaand up to 20 DAT in BGA. Butachlor and Oxadiazon resulted in higher toxicity toAzollaand BGA than Benthiocarb and Pendimethalin. The application of 0·5 kg/ha active ingredient of 2,4-DNa did not inhibit growth ofAzollabut inhibited BGA growth. However, 2,4-DEE, a post-emergence herbicide, applied 30 DAT showed inhibitory effects on the growth and N2-fixation of bothAzollaand BGA. Inoculation of 2·0 t/ha of freshAzolla10 DAT produced maximum biomass within 20–25 days of herbicide treatments, depending upon the season. The inoculation of 10 kg/ha of a dry mixture of BGA 10 DAT could produce the maximum biomass 60 and 80 DAT in control and herbicide treated plots, respectively. The biomass and nitrogen produced byAzollarecorded at maximum mat formation were similar in both herbicide treated and untreated plots, but in BGA these were higher in controls than those of herbicide treated plots.The useof Azollaand BGA biofertilizers along with herbicides increased the grain and straw yields, and panicle number and nitrogen uptake, by rice over noAzollaor BGA treatments. TheAzollaand BGA treatments even without weeding increased rice yield up to that of herbicide and biofertilizer treatments.
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3

Lautenschlager, R. A., and Thomas P. Sullivan. "Effects of herbicide treatments on biotic components in regenerating northern forests." Forestry Chronicle 78, no. 5 (October 1, 2002): 695–731. http://dx.doi.org/10.5558/tfc78695-5.

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Abstract:
We reviewed literature, primarily since 1990, that documents effects of herbicide treatments on major biotic components in northern forested ecosystems. Vegetation changes are responsible for changes in all other biotic components. Non-conifer vegetation is commonly reduced for two to five years following broadcast herbicide treatments. Fungal components, however, seem relatively unaffected. Short-term vegetation reductions in cover, density, and related biomass, if they occur, are species and/or vegetation group specific; longer-term changes are linked to conifer stocking, site quality, and the ability of conifers to dominate treated sites. Herbicide treatments do not reduce, and may increase, stand- and landscape-level plant species richness. Those treatments seldom produce monocultures when used by foresters for boreal or boreal mixedwood management. The active ingredients in the herbicide products used in forestry in northern ecosystems have no direct effect on the general health (survival, growth, reproduction) of animals in treated areas. Specific, stand-level forest management practices, particularly effects of site preparation and conifer release, must be examined in relation to the landscape mosaic and the desired future forest conditions. At broad scales, across boreal and boreal mixedwood ecosystems, conifers have been consistently replaced by hardwoods since Europeans began harvesting timber from those ecosystems. Herbicides provide a safe, effective tool for restoring conifers in previously conifer-dominated ecosystems. Forest scientists presently have a reasonable understanding of effects of a variety of herbicide treatments on conifer growth and a variety of environmental components. However, they need to continually update that understanding relative to treatments (replicates, chemicals, combinations, or timing) that may be used in the future. Key words: amphibians, conifer release, deer, disturbance, environment, glyphosate, herbicides, invertebrates, landscape, moose, reptiles, site preparation, small mammals, songbirds, snowshoe hare, triclopyr, vegetation
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4

Cots Vicente, Montserrat, and María D. Vivero García. "Procedimientos de humor en Théâtre sans animaux de Jean-Michel Ribes." Çédille 11 (April 1, 2015): 155. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v11i.5588.

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Abstract:
Nous étudions les pièces du recueil Théâtre sans animaux sous l’angle de l’humour. Méthodologiquement, nous définissons deux procédés qui jouent sur les effets d’incohérence: l’insolite et l’absurde. Nous étudions ensuite ces deux procédés et les effets qu’ils produisent dans le texte de Jean-Michel Ribes. Il est mis en évidence la spécificité de l’humour de Ribes qui articule l’insolite à l’absurde.
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FARRUGGIA, A., B. MARTIN, R. BAUMONT, S. PRACHE, M. DOREAU, H. HOSTE, and D. DURAND. "Quels intérêts de la diversité floristique des prairies permanentes pour les ruminants et les produits animaux ?" INRAE Productions Animales 21, no. 2 (June 23, 2008): 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.2.3391.

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Abstract:
Les prairies permanentes occupent environ un tiers de la surface agricole utile et présentent un grand potentiel de diversité biologique. L’élevage a de ce fait un rôle majeur à jouer dans la préservation de la biodiversité sur le territoire français. L’objectif de cette synthèse est d’aborder la question de la diversité floristique des prairies et de l’élevage en s’interrogeant sur l’intérêt de cette diversité construite par les éleveurs, pour les ruminants et les produits animaux. Une seule composante de la diversité biologique des prairies est prise en compte : la diversité floristique. Il est réalisé dans cette synthèse un état des connaissances pluridisciplinaires des effets de cette diversité sur la valeur nutritive des fourrages, l’ingestion des animaux, les caractéristiques sensorielles et nutritionnelles des produits laitiers et carnés, enfin sur deux aspects de la santé animale, la lutte contre les infestations par les strongles digestifs et la prévention des processus de peroxydation. Dans chacune des thématiques abordées, des effets liés à la composition botanique des prairies ont été mis en évidence, mais sans qu’il puisse être toujours fait la part entre les effets liés à la présence d’un grand nombre d’espèces dans la parcelle, les effets liés à la présence de certaines espèces et les effets liés au stade phénologique. Le rôle probable important des dicotylédones et notamment des légumineuses a été souligné à plusieurs reprises, en particulier du fait de leur plus grande teneur en métabolites secondaires que les graminées. Enfin, l’intérêt de fournir aux animaux des sources d’alimentation diversifiées a également été évoqué en particulier sur les aspects liés à l’ingestion et à la santé animale.
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6

Mondémé, Chloé. "Comment parle-t-on aux animaux ? Formes et effets pragmatiques de l’adresse aux animaux de compagnie." Langage et société 163, no. 1 (2018): 77. http://dx.doi.org/10.3917/ls.163.0077.

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INGRAND, S. "Comportement alimentaire, quantités ingérées et performances des bovins conduits en groupe." INRAE Productions Animales 13, no. 3 (June 18, 2000): 151–63. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.3.3777.

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Abstract:
La hiérarchie sociale et les effets d’entraînement sont deux composantes importantes du comportement social qui influencent fortement le niveau d’ingestion et le comportement alimentaire des bovins conduits en groupe. Cet effet se traduit pour des animaux à besoins nutritionnels élevés (animaux laitiers ou en croissance) par des niveaux d’ingestion supérieurs et une moindre efficacité alimentaire par rapport à des situations où les animaux sont alimentés individuellement (à l’attache ou en box individuel). Les caractéristiques des groupes (compétition alimentaire, densité, nombre d’auges, effectif, stabilité dans le temps, caractéristiques des animaux) ont également des effets que nous avons cherché à quantifier. L’augmentation de la densité, la réduction de la largeur d’auge ou du temps d’accès à l’auge engendrent une diminution de la durée quotidienne d’ingestion et de la synchronisation de l’activité alimentaire, associée à une augmentation de la vitesse d’ingestion pouvant permettre le maintien du niveau d’ingestion, même lorsque le niveau de compétition est élevé. La taille du groupe a peu d’effet sur les composantes de l’ingestion des bovins et elle détermine surtout la vitesse à laquelle s’établit la hiérarchie sociale au sein du groupe. Les animaux aux besoins nutritionnels élevés ingèrent davantage, plus vite et plus longtemps que ceux aux besoins plus faibles, mais l’effet de l’hétérogénéité de ces besoins au sein d’un même groupe n’a pas été mesuré. Les études en fermes montrent pourtant que les lots gérés par les éleveurs de vaches allaitantes ne sont pas en majorité homogènes sur le plan des besoins nutritionnels, y compris durant la période des vêlages. Cela pose la question du risque d’altération des performances de ces animaux conduits en groupes hétérogènes.
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MULLER, A., D. MICOL, J. R. PECCATTE, and D. DOZIAS. "Choix de l’âge à la castration en production de viande bovine semi-intensive." INRAE Productions Animales 4, no. 4 (October 2, 1991): 287–95. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.4.4342.

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Abstract:
La production de bovins à viande à partir de ressources herbagères utilise essentiellement des animaux mâles castrés. Le fait que l’animal entier présente un potentiel de croissance supérieur a conduit à recommander, pour cette production, un âge à la castration tardif au risque de pénaliser fortement l’animal, lors de cette opération, s’il atteint un développement déjà important. Le but des études conduites au Domaine INRA du Pin au Haras a été de préciser les effets d’une castration à 9 ou à 13 mois sur la production de boeufs à partir d’herbe. Ce facteur a été étudié en interrelation avec d’autres facteurs d’élevage au cours de trois essais consécutifs : précocité des génotypes des animaux, niveau d’alimentation au cours de l’hiver, âge à l’abattage. Il ressort globalement que l’âge à la castration dans la plage étudiée modifie assez peu les caractéristiques finales des animaux. De nombreuses interactions avec les autres facteurs étudiés et des compensations entre les diverses périodes de la vie productive semblent réduire les effets attendus de l’âge à la castration. Cependant les carcasses des animaux castrés les plus tard semblent présenter un état d’engraissement moindre à l’abattage. En définitive, au sein des élevages, le choix de l’âge à la castration aux environs d’un an dépendra surtout de la faisabilité et de la pénibilité de l’opération pour l’animal.
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CHILLIARD, Y., D. BAUCHART, M. LESSIRE, P. SCHMIDELY, and J. MOUROT. "Qualité des produits : modulation par l’alimentation des animaux de la composition en acides gras du lait et de la viande." INRAE Productions Animales 21, no. 1 (March 20, 2008): 95–106. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3380.

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Abstract:
La composition en Acides Gras (AG) du lait et de la viande est une composante importante de leur qualité nutritionnelle pour l’Homme, qui est fortement modulable à court terme par l’alimentation des animaux d’élevage. Cet article résume les grands axes de recherche et les principaux résultats obtenus à l’INRA sur ce sujet au cours des 10 dernières années. Chez le porc, le poulet et le lapin, les recherches ont principalement porté sur le transfert des AG polyinsaturés, en particulier le 18:3 n-3 du lin, de l’aliment à la viande (muscle et tissu adipeux) et ses conséquences sur la qualité des carcasses. Chez les ruminants, on a étudié les effets des principaux types de fourrages (herbe pâturée, foins, ensilages d’herbe ou de maïs) et de concentrés (céréales, oléagineux), et leurs interactions, sur les AG du lait et de la viande bovine, notamment les AG saturés et insaturés (oléique, trans, conjugués et 18:3 n-3). Des différences marquées existent entre les réponses des AG du lait de la vache et de la chèvre laitière. Des études en cours évaluent les éventuels effets secondaires des pratiques alimentaires sur la qualité sensorielle des produits et la santé des animaux, et sur une possible utilisation du profil en AG pour tracer l’origine des produits. Les études futures devront aussi intégrer l’avancée attendue des connaissances en nutrition humaine sur les effets potentiels des différents AG majeurs et mineurs des produits animaux standards ou enrichis.
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Ben-Meir, Orna. "Zoom sur zone zoologique." Protée 27, no. 1 (April 12, 2005): 69–74. http://dx.doi.org/10.7202/030544ar.

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Abstract:
Cet article s’intéresse à deux personnages intrigants qui apparaissent dans la vidéo minimaliste de Robert Wilson, La Mort de Molière. Bien que le renard, joué par un acteur, et le scarabée, qui est un simple accessoire de théâtre, soient les seuls animaux présents comme personnages dans cette oeuvre, d’autres représentations animales peuvent être retrouvées : des « animaux acoustiques » sont animés par des effets sonores, des «animaux verbaux» sont mentionnés dans le texte de Müller. À la lumière de cet usage régulier d’un bestiaire animal dans l’oeuvre de Wilson, l’article explore les contextes visuels et verbaux de la symbolique animale présente dans La Mort de Molière, de façon entre autres à suggérer des pistes d’interprétation.
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MAGNIN, Michel, A. TRAVEL, J. D. BAILLY, and P. GUERRE. "Effets des mycotoxines sur la santé et les performances des volailles." INRA Productions Animales 29, no. 3 (December 12, 2019): 217–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.3.2961.

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Abstract:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires produits par des champignons, qui peuvent être présents sur une large variété de cultures et en particulier les céréales. Leur maitrise est considérée comme un enjeu majeur dans le monde agricole en raison de leurs effets nocifs sur la santé des Hommes et des animaux. Bien que plus de 400 mycotoxines aient été identifiées, seules quelques-unes sont préoccupantes en production avicole. L’Union Européenne applique ou recommande des teneurs maximales pour certaines mycotoxines dans les matières premières et les aliments pour volailles, afin de protéger les animaux et le consommateur humain. L’objectif de cette revue, est de présenter les effets d’expositions aiguës ou réitérées aux mycotoxines, sur la santé et les performances dans les principales espèces avicoles. Cette analyse est notamment réalisée, lorsque cela a été possible, en comparant les effets observés lors d’études récentes aux seuils réglementés/recommandés au niveau européen. Une attention particulière a été portée sur l’importance des facteurs d’espèces et stades de productions, quant à la sensibilité aux différentes toxines. Le dernier paragraphe est consacré à l’analyse des données disponibles en cas de multi-contaminations en termes d’effets additifs, synergiques ou antagonistes.
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Bókony, Veronika, Zsanett Mikó, Ágnes M. Móricz, Dániel Krüzselyi, and Attila Hettyey. "Chronic exposure to a glyphosate-based herbicide makes toad larvae more toxic." Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences 284, no. 1858 (July 5, 2017): 20170493. http://dx.doi.org/10.1098/rspb.2017.0493.

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Abstract:
Chemical pollutants can exert various sublethal effects on wildlife, leading to complex fitness consequences. Many animals use defensive chemicals as protection from predators and diseases, yet the effects of chemical contaminants on this important fitness component are poorly known. Understanding such effects is especially relevant for amphibians, the globally most threatened group of vertebrates, because they are particularly vulnerable to chemical pollution. We conducted two experiments to investigate how exposure to glyphosate-based herbicides, the most widespread agrochemicals worldwide, affects the production of bufadienolides, the main compounds of chemical defence in common toads ( Bufo bufo ). In both experiments, herbicide exposure increased the amount of bufadienolides in toad tadpoles. In the laboratory, individuals exposed to 4 mg a.e./L glyphosate throughout their larval development had higher bufadienolide content at metamorphosis than non-exposed tadpoles, whereas exposure for 9 days to the same concentration or to 2 mg a.e./L throughout larval development or for 9 days had no detectable effect. In outdoor mesocosms, tadpoles from 16 populations exhibited elevated bufadienolide content after three-weeks exposure to both concentrations of the herbicide. These results show that pesticide exposure can have unexpected effects on non-target organisms, with potential consequences for the conservation management of toxin-producing species and their predators.
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Galon, Leandro, Clevison Luis Giacobbo, André Ricardo Zeist, Marlon Ouriques Bastiani, Doralice Lobato de Oliveira Fischer, Ketholly Nayara Henrique Domingos, and Cesar Tiago Forte. "Damage to lemon tree caused by simulated drift of herbicides." Revista de Ciências Agroveterinárias 19, no. 3 (September 30, 2020): 319–28. http://dx.doi.org/10.5965/223811711932020319.

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Abstract:
The use of herbicides, in particular clomazone and glyphosate, applied in isolation or in a tank mix, is very common in rice, soybeans, corn and sugarcane fields and the drift of these herbicides can cause damage in sensitive species grown nearby. The purpose of this work was to evaluate the effects of the simulated drift of clomazone and glyphosate applied in an isolated way or mixed in a spray on lemon tree plants. The experiment was installed in a greenhouse in pots with a capacity of 15 L containing sieved soil and an experimental design of randomized blocks was adopted, arranged in a 3 x 5 factorial scheme, with four replications. Plants with two years of development were used. The treatments tested were, clomazone, glyphosate and both mixed, and the decreasing doses of the recommended commercial product: 100, 75, 50, 25 and 0% to simulate herbicide drift. Was evaluated variables, phytotoxicity at 14, 28, 46 and 100 days after application of treatments; plant height, crown volume, the trunk diameter of the rootstock, trunk diameter of the graft and trunk diameter at the grafting point at 0 and 100 days after application of treatments; and liquid assimilation of CO2 at 10 and 60 days after application of treatments. Among the tested herbicides, the one that presented the highest phytotoxicity and the lowest liquid assimilation of CO2 in lemon tree plants was the glyphosate + clomazone mixture. Increases in trunk diameter of the rootstock, grafting point, graft and crown volume did not show significant effects with simulated drift. The plant height presented a greater reduction with the increase of the herbicide doses, mainly glyphosate. That there are considerable losses in lemon tree plants when herbicide drift occurs, mainly by glyphosate and its mixture with clomazone.
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Roy, Vincent, Philippe Leroux, Arnaud Arabo, Stéphane Marret, and Bruno Gonzalez. "Modèles animaux de la prématurité : mesures comportementales des effets des lésions cérébrales." Enfance 2013, no. 01 (March 2013): 77–94. http://dx.doi.org/10.4074/s0013754513001080.

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Duru, Michel, Claire Le Bras, and Myriam Grillot. "Une approche holistique de l’élevage, au cœur des enjeux de santé animale, humaine et environnementale." Cahiers Agricultures 30 (2021): 26. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2021013.

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Abstract:
Dans les pays occidentaux, les interrogations sur les systèmes d’élevage et la consommation des produits animaux sont de plus en plus nombreuses. Repenser la consommation globale de produits animaux parallèlement à un dimensionnement et une réorientation des élevages devient nécessaire pour des raisons sanitaires et environnementales. Dans ce contexte, nous proposons une approche holistique pour faire émerger des pistes de solutions qui tiennent compte des effets d’interdépendance entre la santé des êtres vivants et de leur environnement et de la diversité des situations. Nous montrons que la réduction de la surconsommation actuelle de produits animaux est nécessaire, en particulier pour la viande. Toutefois, les produits animaux apportent des nutriments d’intérêt pour la santé humaine, et certains systèmes d’élevage agroécologiques contribuent à réduire les impacts ou à fournir des externalités positives. Il s’agit de faire évoluer les modes de consommation tout en reconfigurant et réorientant les systèmes d’élevage. Cela implique, entre autres, une prise en compte des échanges internationaux et une évolution des filières pour différentes productions et races animales ou pour les légumineuses par exemple. Pour finir, nous soulignons l’importance du rôle des politiques publiques pour stimuler la mise en place de ces changements, jusque dans l’assiette du consommateur.
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Berard, A., and T. Pelte. "Les herbicides inhibateurs du photosystème II, effets sur les communautés algales et leur dynamique." Revue des sciences de l'eau 12, no. 2 (April 12, 2005): 333–61. http://dx.doi.org/10.7202/705355ar.

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Abstract:
Nous présentons une revue bibliographique à propos des effets des herbicides inhibiteurs du Photosystème II (PS II) sur les communautés algales. Ces herbicides sont abondamment utilisés dans les pratiques phytosanitaires. Ils sont susceptibles de contaminer les milieux aquatiques et, étant donné leur mode d'action inhibitrice de la photosynthèse, ils peuvent agir directement sur les algues. De nombreuses études ont été réalisées afin d'évaluer l'impact des contaminations par ces herbicides sur les microphytes, en particulier leur effet sur la croissance et la physiologie de certaines algues (monocultures en laboratoire). D'autres études expérimentales et quelques rares in situ, ont porté sur l'impact des herbicides inhibiteurs de la photosynthèse sur la structure des peuplements algaux. Certaines tendances ont pu être ainsi dégagées quant à la sensibilité et la résistance aux herbicides des différentes espèces étudiées soit isolément, soit au sein des peuplements. Les herbicides inhibiteurs du PS II perturbent effectivement la structure des peuplements phytoplanctoniques de façon plus ou moins marquée. L'impact des herbicides sur les algues est variable selon la structure des peuplements (liée aux successions) et les paramètres environnementaux, notamment liés à la saison. Nous devons donc développer nos connaissances à propos des interactions entre toxiques et facteurs environnementaux sur des pas de temps correspondant non seulement aux rythmes des contaminations mais aussi aux rythmes des succesions alagles, car ces interactions sont susceptibles de réduire ou d'amplifier les conséquences d'une pollution par ces toxiques dans les milieux aquatiques.
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Ben Kaab, Sofiene, Laurence Lins, Marwa Hanafi, Iness Bettaieb Rebey, Magali Deleu, Marie-Laure Fauconnier, Riadh Ksouri, M. Haissam Jijakli, and Caroline De Clerck. "Cynara cardunculus Crude Extract as a Powerful Natural Herbicide and Insight into the Mode of Action of Its Bioactive Molecules." Biomolecules 10, no. 2 (January 31, 2020): 209. http://dx.doi.org/10.3390/biom10020209.

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Abstract:
The use of chemical herbicides could not only potentially induce negative impacts on the environment, animals, and human health, but also increase the weed resistance to herbicides. In this context, the use of plant extracts could be an interesting and natural alternative to chemical products. It is important to understand the mode of action of their bioactive compounds. This is why we have studied the herbicidal effect of Cynara cardunculus crude extract in terms of inhibition of weeds’ seedling growth and its impact on physiological parameters of treated plantlets, like conductivity, dry weight, and fluorescence, and biochemical parameters linked to oxidative stress. We have observed that C. cardunculus crude extract induces oxidative stress in the treated plants and consequently disturbs the physiological and biochemical functions of the plant cells. We have investigated the herbicidal activity of three bioactive compounds, naringenin, myricitrin, and quercetin, from the C. cardunculus crude extract. In both pre- and post-emergence trials, naringenin and myricitrin were significantly more phytotoxic than quercetin. We suggest that their differential initial interaction with the plant’s plasma membrane could be one of the main signals for electrolyte leakage and production of high levels of phenoxyl radicals.
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RIGALMA, K., C. DUVAUX-PONTER, F. GALLOUIN, and S. ROUSSEL. "Les courants électriques parasites en élevage." INRAE Productions Animales 22, no. 4 (June 20, 2009): 291–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.4.3355.

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Abstract:
L’élevage des animaux de rente implique une utilisation croissante d’équipements électriques et électroniques ainsi que le recours à du matériel et à des structures métalliques qui sont autant de facteurs favorisant l’apparition des courants électriques parasites. Les tensions à l’origine de ces courants, généralement inférieures à 10 volts, sont dues principalement à un défaut de mise à la terre et à une mauvaise équipotentialité des masses métalliques. Les animaux, en raison d’une faible résistance électrique, sont sensibles à ces faibles tensions électriques. Le contact direct du nez (mufle, groin) et des pattes avec le milieu humide diminue leur résistance au courant électrique alors que, chez l’homme, le port d’équipements de protection comme les bottes en caoutchouc augmente cette résistance. En élevage, les tensions électriques parasites sont parfois mises en cause lorsque des modifications comportementales, une dégradation de l’état sanitaire ou des baisses de production sont observées chez les animaux. Cependant, les expérimentations menées en milieu contrôlé montrent rarement un effet direct des tensions électriques parasites sur les paramètres zootechniques bien que des modifications comportementales et physiologiques, probablement liées à la présence d’un stress, soient parfois mises en évidence. La grande variabilité de réponse des animaux et le caractère imprévisible des tensions électriques parasites expliquent les difficultés à les diagnostiquer et à caractériser leurs effets sur les animaux en élevage.
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Boatman, N. D. "Effects of herbicide use, fungicide use and position in the field on the yield and yield components of spring barley." Journal of Agricultural Science 118, no. 1 (February 1992): 17–28. http://dx.doi.org/10.1017/s0021859600067964.

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Abstract:
SUMMARYSix experiments were carried out over 2 years (1985 and 1986) in commercial spring barley crops on calcareous soils in Hampshire. Herbicides increased grain yield by 0·05–1·21 t/ha, and fungicides by 0·01–0·68 t/ha. Herbicide use affected each of the yield components ears/plant, grains/ear, 1000-grain weight and harvest index in one or more cases but the effects were not consistent between experiments or consistently related to yield increases. Fungicide use had little effect on yield components other than 1000-grain weight, which was significantly increased in all experiments. There were no significant herbicide × fungicide interactions. Large differences in yield were recorded between field edge (headland) and midfield plots, with headland plots outyielding the midfield in two of the three experiments where this effect was considered.The effects of fungicide use were accounted for by associated increases in the green lamina area of the flag leaf and second leaf at the late milk stage of grain development. This is consistent with previous work. Differences in yield response to herbicide between sites were linearly related both to weed numbers early in the season and to weed biomass at harvest. Weeds did not always directly replace crop biomass; in some experiments the combined dry matter production was greater when herbicide was not used. However, the results indicate that, where a diverse weed flora composed of species of moderate to low competitive ability is present, simple weed counts may provide a useful indication of potential yield loss.It is concluded that headland areas can often be as productive as the rest of the field, but a greater understanding of the factors involved is needed if this potential is to be realized.
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DUCROCQ, V. "Les bases de la génétique quantitative : Du modèle génétique au modèle statistique." INRAE Productions Animales 5, HS (December 29, 1992): 75–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4266.

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Abstract:
L’étape préliminaire à l’étude d’un caractère quantitatif est la modélisation statistique des observations, c’est-à-dire la représentation mathématique d’une réalité biologique, cohérente avec le modèle génétique. Ce modèle décrit très généralement chaque observation comme étant la somme d’effets du milieu et d’effets génétiques. Différentes façons de modéliser chacune de ces parties sont possibles en fonction des objectifs de l’étude, et ont des conséquences diverses sur les hypothèses requises pour l’obtention de résultats fiables. Ainsi, il est essentiel d’inclure dans l’analyse uniquement les facteurs du milieu ayant un effet important sur la performance observée, mais sans en omettre aucun. On peut ne faire intervenir dans la partie génétique du modèle que des animaux apparentés aux animaux "auteurs" des observations. Des simplifications importantes notamment calculatoires peuvent en découler, mais les résultats peuvent alors être fortement biaisés si certaines hypothèses qu’il faut faire ne sont pas vérifiées. Enfin, selon qu’une connaissance a priori des caractéristiques statistiques des effets est disponible et utilisée, il est possible de distinguer trois types de modèles (à effets fixés, aléatoires ou mixtes) auxquels correspondent des méthodes différentes d’estimation des paramètres étudiés.
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DUPONT, J., R. J. SCARAMUZZI, and P. FROMENT. "Nutrition et métabolisme : quel lien avec le développement folliculaire et embryonnaire ches les mammifères ?" INRA Productions Animales 29, no. 2 (July 9, 2019): 103–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2520.

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Abstract:
L’influence du poids et des apports énergétiques sur la fertilité chez les animaux, mais aussi chez l’Homme est reconnue depuis très longtemps. Les animaux ou individus en mauvaise condition, ou perdant du poids, ont généralement des performances reproductives décevantes. Les pertes économiques associées à l’infertilité sont parfois importantes, et dépassent chez le bovin largement le coût de l’insémination et de la semence. De nombreux arguments suggèrent que l’influence de la nutrition sur la reproduction s’exerce par l’intermédiaire des composants du régime alimentaire comme les lipides, le glucose, les acides aminés et les minéraux au niveau de l’axe hypothalamo-hypophysaire et aussi directement au niveau des gonades. Ces effets nutritionnels peuvent aussi s’exercer par une modulation des hormones du métabolisme comme l’insuline, l’insulin-like growth factor 1, l’hormone de croissance, la ghréline, les hormones thyroïdiennes ou encore les hormones produites et secrétées par le tissu adipeux blanc. Dans cette revue nous rapportons les effets connus de ces nutriments et hormones métaboliques sur le développement folliculaire, les cellules ovariennes, la qualité ovocytaire ainsi que sur le développement embryonnaire précoce en prenant l’exemple de différentes espèces de mammifères.
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Milhaud, Cl. "Modèles animaux et étude des effets de la microgravité I. Intérêt des modèles." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 4 (1987): 435. http://dx.doi.org/10.4267/2042/64900.

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Milhaud, Cl. "Modèles animaux et étude des effets de la microgravité II. Programmes de recherche." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 4 (1987): 501. http://dx.doi.org/10.4267/2042/64911.

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Mahé, Inès, Christian Gauvrit, Frédérique Angevin, and Bruno Chauvel. "Quels enseignements tirer du retrait de l’atrazine dans le cadre de l’interdiction prévue du glyphosate ?" Cahiers Agricultures 29 (2020): 29. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020026.

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Abstract:
Au cours de ces 70 dernières années, certaines substances actives herbicides ont acquis le statut de molécules « pilier » dans la gestion des communautés adventices. En France, jusqu’en 2003, l’atrazine a joué un rôle central dans le désherbage du maïs. Depuis 1974, le glyphosate est devenu la molécule la plus utilisée dans la gestion de l’interculture, au point d’être considéré comme indispensable en agriculture de conservation. Une excellente efficacité et un faible coût ont placé ces deux molécules parmi celles les plus utilisées au monde. Mais dans les deux cas, une utilisation trop importante a conduit à la contamination des eaux et à l’émergence de questionnements sur de possibles effets négatifs sur l’environnement. Une comparaison de l’interdiction de l’atrazine et du glyphosate, d’un point de vue agronomique, économique et social, montre des inquiétudes similaires sur la gestion de la flore adventice de la part de la profession agricole. Si le retrait de l’atrazine a pu engendrer une augmentation des coûts de désherbage du maïs, la flore adventice a su être correctement maîtrisée via la mobilisation d’autres leviers, principalement chimiques. L’interdiction potentielle du glyphosate, prévue en France dans un futur proche, pourrait avoir des conséquences fortes sur la gestion de la flore adventice et plus globalement sur les exploitations agricoles. Le principal levier disponible pour se passer de glyphosate est le recours au travail du sol, mais d’autres leviers agronomiques doivent venir en complément pour assurer une gestion efficace. Bien que séparé de 15 années, le retrait de ces deux substances actives est l’occasion de prendre conscience des conséquences que peut avoir l’utilisation prédominante d’une unique substance active sur l’environnement, mais aussi sur la capacité d’adaptation des systèmes agricoles.
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Farabaugh, N. F., and A. J. Nowakowski. "Behavioral responses of the Strawberry Poison Frog (Oophaga pumilio) to herbicide olfactory cues: possible implications for habitat selection and movement in altered landscapes." Canadian Journal of Zoology 92, no. 11 (November 2014): 979–84. http://dx.doi.org/10.1139/cjz-2014-0111.

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Abstract:
Recent research has focused on the importance of behavior in mediating the effects of landscape change on amphibian populations and communities. Factors such as chemical contaminants may affect habitat selection and movement of amphibians in human-altered habitats and contribute to landscape-level patterns of distribution and abundance. The objective of this study was to determine if the Strawberry Poison Frog (Oophaga pumilio (Schmidt, 1857)) can use olfactory cues to detect and avoid the glyphosate-based herbicide Roundup™. Fifty frogs were captured in the field in Costa Rica and tested in experimental arenas where they were given a choice between a control and an herbicide treatment. Analysis of time spent in treatment areas revealed a significant interaction between sex and treatment. Analyses of choice at the start and end of the trials indicated that sex and cardinal direction were important factors influencing orientation behavior. These results suggest that males and females differed in their behavioral responses, and that male O. pumilio may use olfactory cues to detect and avoid areas treated with glyphosate-based herbicide. However, the sampled population was male-biased, which resulted in a lower sample size and lower power to detect an effect for females. Further work is needed to better understand amphibian behavioral responses to herbicides, as well as the role of sex and individual variation in modifying these responses.
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AGABRIEL, C., J. B. COULON, G. MARTY, B. BONAÏTI, and P. BONIFACE. "Effets respectifs de la génétique et du milieu sur la production et la composition du lait de vache. Etude en exploitations." INRAE Productions Animales 6, no. 3 (June 28, 2020): 213–23. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.3.4202.

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Abstract:
Soixante-trois exploitations laitières du Massif Central adhérentes au Contrôle Laitier et élevant des vaches Holstein ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, la qualité des fourrages utilisés (y compris leur composition chimique), les pratiques alimentaires hivernales et estivales et les caractéristiques génétiques des animaux (index et effet troupeau pour le lait, le taux butyreux et le taux protéique). L’état corporel et le tour thoracique des animaux ont par ailleurs été mesurés. Ces données ont permis d’analyser conjointement les variations de la production et de la composition chimique du lait d’une exploitation à l’autre, et de préciser certains facteurs du milieu responsables de ces variations. La production moyenne par vache et par an a varié de 5040 à 8330 kg, le taux butyreux de 36,5 à 42,9 g/kg et le taux protéique de 28,1 à 32,4 g/kg. Ces écarts sont principalement liés aux facteurs du milieu. Les performances les plus faibles sont rencontrées dans les exploitations où les pratiques alimentaires sont les moins favorables : une alimentation énergétique insuffisante chez les génisses puis chez les vaches en production, se traduisant par un état corporel médiocre et un faible développement corporel des animaux est associée aux productions laitières et aux taux protéiques les plus faibles. L’absence de liaison significative entre les effets troupeau taux protéique et lait, qui conduit à observer les taux protéiques les plus élevés dans des exploitations où la production laitière est moyenne est discutée. En particulier, le rôle de la nature des aliments (valeur laitière de la ration), de l’état corporel des animaux et de leur état sanitaire est mis en évidence. Les variations du taux butyreux du lait sont d’abord liées à la nature de la ration de base (présence ou non d’ensilage de maïs).
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RENAUDEAU, D., N. MANDONNET, M. TIXIER-BOICHARD, J. NOBLET, and J. P. BIDANEL. "Atténuer les effets de la chaleur sur les performances des porcs : la voie génétique." INRAE Productions Animales 17, no. 2 (March 20, 2004): 93–108. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.1.3556.

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Abstract:
La température ambiante est l’un des principaux facteurs climatiques affectant les performances des porcs en période estivale dans les régions tempérées et toute l’année dans les régions tropicales. Les températures ambiantes élevées ont des effets directs principalement sur les fonctions de reproduction du mâle ou de la femelle ou indirectement via une réduction de l’ingestion alimentaire sur les performances de lactation et de croissance. Après avoir brièvement rappelé les principes de la thermorégulation chez le porc et les effets de la chaleur sur leurs performances en fonction du stade physiologique, cet article fait le point sur les solutions utilisables pour atténuer les effets négatifs du climat chaud, en particulier, sur la possibilité de sélectionner des animaux thermotolérants. Cette approche consiste à produire des animaux moins sensibles au stress thermique et/ou ayant une thermorégulation plus efficace. Une des principales difficultés est de comprendre les mécanismes physiologiques impliqués dans l’adaptation à la chaleur et la nature des antagonismes entre les caractères de production et d’adaptation. Cette étape préliminaire conditionne le choix des critères mais également de la meilleure méthode de sélection. Comparativement aux autres espèces (volaille et ruminant), la variabilité génétique de la tolérance à la chaleur et les critères physiologiques ou zootechniques utilisables dans une démarche de sélection chez le porc sont assez peu connus. Cependant, des indicateurs de la sensibilité à la chaleur (Heat Shock Protein), de la thermogenèse (consommation résiduelle, protéines découplantes) ou de la thermolyse (rythme respiratoire, conductivité thermique cutanée) pourraient être des bons critères à considérer pour l’obtention d’une lignée thermotolérante.
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Martin, P., MH Thiébot, and AJ Puech. "Modèles animaux sensibles aux antidépresseurs: implication des systèmes sérotoninergiques et noradrénergiques centraux." Psychiatry and Psychobiology 5, no. 3 (1990): 209–17. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003515.

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Abstract:
RésuméTenter de vouloir modéliser chez l’animal une pathologie psychiatrique peut sembler tout à fait illusoire. Il est en revanche plus aisé d’analyser «les grandes fonctions» qui modulent le comportement, ainsi que les systèmes neurobiologiques impliqués dans leur régulation. À travers deux tests comportementaux sensibles aux antidépresseurs: le modèle de «Learned Helplessness» ou «renoncement appris» et le test du labyrinthe en T, mesurant une capacité à attendre; nous avons voulu montrer que les effets de substances antidépressives pouvaient agir sur deux dimensions différentes et de quelle(s) manière(s) pouvaient être impliqués les systèmes sérotoninergiques.
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BAUMONT, R. "Palatabilité et comportement alimentaire chez les ruminants." INRAE Productions Animales 9, no. 5 (October 20, 1996): 349–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4074.

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Abstract:
La palatabilité (ou l’ appétibilité) désigne les caractéristiques de l’aliment qui provoquent la réaction des sens de l’animal. Elle est le corollaire de l’appétit de l’animal pour l’aliment. Lorsqu’un seul aliment est disponible, la palatabilité peut être évaluée par la vitesse d’ingestion au début du repas et non par la quantité ingérée qui intègre en partie les effets post-ingestifs. Toutefois certaines techniques expérimentales permettent de séparer les deux phénomènes. Lorsque plusieurs aliments sont proposés, leur palatabilité est généralement évaluée par des tests de préférence. L’étude du comportement permet d’évaluer la motivation pour l’aliment plutôt que son résultat qui est la quantité ingérée. Les procédures de conditionnement opérant montrent comment l’animal maintient son choix pour un aliment préféré lorsqu’il devient de plus en plus difficile à obtenir. Les caractéristiques physiques de l’aliment (taille des particules, résistance à la cassure, teneur en matière sèche, hauteur et densité du couvert végétal...) participent à la réponse des sens. Elles influencent la facilité de préhension et de mastication et les animaux préfèrent généralement les aliments dont la forme physique permet une ingestion rapide. Le goût et l’odeur sont considérés comme des déterminants importants de la palatabilité, mais leurs effets sont difficiles à mesurer car ils dépendent de la technique expérimentale utilisée. La plupart des études sur la palatabilité sont réalisées à court terme (quelques minutes ou quelques heures). A plus long terme (plusieurs jours ou semaines) les préférences alimentaires semblent généralement être associées à des modifications digestives. Les animaux associent par apprentissage les effets post-ingestifs de l’aliment avec ses caractéristiques sensorielles. Les ruminants développent généralement des préférences pour les aliments qui leur permettent d’atteindre rapidement un état de satiété élevé. Ainsi la palatabilité mesurée par la réponse des sens à l’aliment intègre sa valeur nutritive. Cependant, pour une valeur nutritive donnée, les propriétés sensorielles intrinsèques de l’aliment peuvent stimuler plus ou moins un comportement alimentaire de nature hédonique, surtout dans les situations de choix et pour les animaux à faibles niveaux de productions. En première approche, la valeur hédonique de l’aliment peut être assimilée à la différence entre la quantité ingérée observée et celle prévue à partir de sa valeur nutritive.
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Ostera, Juan Manuel, Gabriela Malanga, and Susana Puntarulo. "ACTUALIZACIÓN SOBRE ASPECTOS OXIDATIVOS DEL EFECTO DEL GLIFOSATO EN SISTEMAS BIOLÓGICOS/ AN UPDATE ON THE EFFECTS OF GLYPHOSATE ON THE OXIDATIVE STATE IN BIOLOGICAL SYSTEMS." Biotecnia 18, no. 2 (August 31, 2016): 3–10. http://dx.doi.org/10.18633/bt.v18i2.279.

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Abstract:
El glifosato es un herbicida de amplio espectro que se utiliza para el control de malezas en cultivos de interés agrí- cola; genera la muerte del organismo blanco afectando su capacidad de sintetizar proteínas esenciales para la supervivencia. El glifosato inhibe la enzima 5 enolpiruvilshikimato- 3-fosfato sintasa que forma parte de la vía metabólica de producción de aminoácidos aromáticos, ya que se comporta como un análogo de un sustrato de dicha enzima. Se han presentado evidencias que indican que el glifosato y sus formulaciones comerciales generan situaciones de estrés oxidativo en cianobacterias, microalgas y plantas superiores no blanco de este herbicida. Sin embargo, la verdadera dimensión de la magnitud del efecto oxidativo generado por la exposición al herbicida, aún es materia de deliberación. El objetivo del presente trabajo es resumir la información disponible sobre el metabolismo y la participación del estrés oxidativo en la toxicidad del glifosato en sistemas biológicos. El conocimiento de los riesgos ambientales generados por el uso del glifosato ayudará a evitar daños irrecuperables tanto en plantas como en animales al emplear el herbicida. ABSTRACT Glyphosate is a broad-spectrum herbicide used for weed control in crops of agricultural interest. This herbicide causes the death of the target by affecting their ability to synthesize proteins essential for survival. The activity of the 5-enolpiruvilshikimato-3-phosphate synthase enzyme, which is part of the metabolic pathway for production of aromatic amino acids, is inhibited by the glyphosate that behaves as an analogue of the second substrate (phosphoenolpyruvate). There is evidence that indicate glyphosate (and its formulations) produce oxidative stress in cyanobacteria, microalgae and no-target higher plants. However, the true dimension of the magnitude of the oxidative effect generated by the exposure is still a matter of discussion. The objective of the present study is to summarize the available information on the metabolism and the involvement of oxidative stress in the toxicity of glyphosate on biological systems. Increasing the awareness of the environmental risks generated by the use of glyphosate will help to avoid unrecoverable damage to both, plants and animals during herbicide handling.
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TERLOUW, E. M. C., I. CASSAR-MALEK, B. PICARD, C. BOURGUET, V. DEISS, C. ARNOULD, C. BERRI, E. LE BIHAN-DUVAL, F. LEFÈVRE, and B. LEBRET. "Stress en élevage et à l’abattage : impacts sur les qualités des viandes." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 169–82. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3023.

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Abstract:
On sait depuis longtemps que lorsque les animaux sont stressés pendant la période de l’abattage, le risque de produire des viandes avec des défauts de qualité, notamment les viandes exsudatives et à coupe sombre, augmente. Des études récentes basées sur des approches comportementales, physiologiques et/ou génomiques montrent que des niveaux de stress modérés au cours de l’abattage peuvent également influencer les qualités technologiques et/ou sensorielles des viandes de porc, de bovin, d’ovin, de volaille et des chairs de poisson, expliquant jusqu’à 70% de la variabilité des composantes de qualité entre les animaux. La réactivité au stress d’abattage varie selon les individus et peut être partiellement prédite à partir de leurs réactions lors de tests de réactivité réalisés pendant l’élevage. La réactivité au stress d’un animal dépend en partie de ses expériences antérieures et de son patrimoine génétique. En plus des questions relatives au bien-être animal à l’abattage, il est nécessaire aujourd’hui de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents aux effets négatifs du stress sur les qualités des viandes. L’espèce doit être prise en considération, car les causes de stress à l’abattage et les critères de qualité de viandes optimaux varient selon l’espèce. Les mécanismes biologiques impliqués dans les effets du stress sur la viande et la chair varient également en fonction de l’espèce.
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Frih, Hacène, Réda Djenidi, Bachir Ali Rachedi, Nabila Frih, Abdelkrim Tahraoui, and Abdel Majid Bairi. "Le kétoconazole antagonise les effets immuno-gonadotropes au test de la nage forcée chez le rat mâle Wistar." Canadian Journal of Physiology and Pharmacology 88, no. 7 (July 2010): 733–44. http://dx.doi.org/10.1139/y10-048.

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Abstract:
On a souvent rapporté que la dépression s’installe suite à des perturbations des activités de l’axe corticotrope et du système immunitaire. L’objectif de cette étude était d’explorer les effets du kétoconazole, un dérivé d’imidazole, inhibiteur de la stéroïdogénèse gonadique et surrénalienne, sur les variations du nombre de leucocytes totaux et des pourcentages de sous-populations leucocytaires, au cours de la nage forcée chez le rat (test de Porsolt), un test consiste à tester l’efficacité des antidépresseurs. Des cathéters ont été implantés, sous anesthésie générale, dans la carotide droite, et des prises de sang (0,2 mL) ont été réalisées à des intervalles de 15 min au cours de l’expérimentation, alors que les animaux pouvaient se comporter librement. Les degrés d’anxiété et d’activité locomotrice des rats ont été mesurés au labyrinthe en croix surélevée et au test des champs ouverts. La nage forcée a provoqué des fluctuations du système immunitaire et de la testostéronémie, lesquelles qui ont été inhibées suite au traitement des animaux au kétoconazole. Cet effet a été obtenu également sur le plan comportemental (labyrinthe en croix surélevée, nage forcée) dans le sens d’une amélioration (effets anxiolytique et antidépresseur). Ces résultats suggèrent que les réponses comportementales et physiologiques sont inter-reliées d’une manière multifactorielle et que la corticostérone joue un rôle clé dans la pathogénie des maladies psychiatriques.
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YIANNIKOURIS, A., and J. P. JOUANY. "Les mycotoxines dans les aliments des ruminants, leur devenir et leurs effets chez l’animal." INRAE Productions Animales 15, no. 1 (February 12, 2002): 3–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.1.3683.

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Abstract:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires sécrétés par des moisissures appartenant principalement aux genres Aspergillus, Penicillium et Fusarium. Elles sont produites sur une large variété de denrées alimentaires avant, pendant et après récolte. En raison de la diversité de leurs effets toxiques et de leurs propriétés synergiques, les mycotoxines présentent un risque pour le consommateur d’aliments contaminés. Le métabolisme des mycotoxines est complexe et comprend plusieurs voies de bioactivation et de détoxication régies par des mécanismes de biotransformation résultant de l’action d’enzymes de l’hôte et de la flore microbienne présente dans le tube digestif. Une partie des toxines ou de leurs métabolites peut se fixer dans les tissus biologiques ; la majorité est éliminée par voie urinaire, fécale et lactée. Des différences de sensibilité sont observées entre espèces animales. Chez les ruminants, la toxicité se manifeste généralement par des troubles chroniques légers et n’aboutit que rarement à la mort. Une diminution de l’ingestion et des performances zootechniques est généralement observée. Le problème de la présence éventuelle de résidus toxiques se pose pour les produits animaux destinés à la consommation humaine (lait, viande, abats). La réduction des risques passe par un contrôle de la contamination fongique des végétaux résultant de la maîtrise des méthodes de culture, de récolte et de conservation, par des techniques d’élimination des toxines sur l’aliment contaminé, et par une réduction de leur biodisponibilité dans le tractus digestif des animaux par l’emploi d’adsorbants.
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NICOLAS, J. L., F. J. GATESOUPE, S. FROUEL, E. BACHERE, and Y. GUEGUEN. "Quelles stratégies alternatives aux antibiotiques en aquaculture ?" INRAE Productions Animales 20, no. 3 (September 7, 2007): 253–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.3.3465.

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Abstract:
Malgré des réglementations contraignantes, l’usage des antibiotiques en préventif est encore répandu en aquaculture, particulièrement pendant les phases critiques (stades précoces, métamorphose, transferts d’animaux), mais aussi chez des animaux en croissance. En plus des améliorations que l’on peut encore apporter en matière de zootechnie et de prophylaxie traditionnelle, des méthodes alternatives sont maintenant disponibles ou en développement. Les préparations microbiennes commercialisées pour les élevages terrestres sont de plus en plus utilisées pour les élevages de crevettes et de poissons, mais chaque espèce ou élevage demanderait des expérimentations particulières pour déterminer les produits et les doses les plus efficaces. En effet, les réponses des animaux à l’ajout des probiotiques peuvent être variables et l’absence de données fiables freine leur application en routine. Les probiotiques d’origine terrestre contenant des Lactobacillus, des Bacillus ou d’autres bactéries de genres connexes, ou bien encore des levures, ne conviennent pas pour les mollusques bivalves comme les huîtres, les coquilles St Jacques, les palourdes. Seules quelques bactéries marines sélectionnées protègent les larves de bivalves contre les infections bactériennes. Cependant, l’utilisation pratique de ces bactéries gram (-) pose de nombreux problèmes d’autorisation légale, de production, de conservation et de distribution. L’intérêt des probiotiques réside dans leurs effets multiples, qui associent à des activités antibactériennes, des effets sur l’hôte telles que la stimulation de la réponse immunitaire ou celle de la croissance, bien que les mécanismes d’action ne soient pas clairement identifiés. Par contre ils n’ont pas la même efficacité que les antibiotiques pour stopper une infection. Les prébiotiques comme les fructo-oligosaccharides constituent une autre possibilité d’améliorer la santé des animaux, et des essais ont montré leur efficacité chez les alevins de turbot par exemple. Une troisième alternative est représentée par les peptides antimicrobiens. Ces molécules ont un large spectre d’activité antimicrobienne. Ils peuvent tuer des bactéries gram (-) et gram (+), des champignons ou des virus enveloppés. Plusieurs de ces peptides viennent d’être découverts chez les invertébrés marins (crevettes et huîtres), où ils sont un élément essentiel de la défense de ces animaux sans immunité acquise. Ils pourraient remplacer avantageusement les antibiotiques à terme. Ils devraient générer moins de résistances chez les microorganismes cibles, car ils agissent sur les membranes cellulaires et ils devraient être plus vite dégradés sans produire de résidus.
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Tizhe, Emmanuel Vandi, Najume Dogon-Giginya Ibrahim, Mohammed Yakasai Fatihu, Suleiman Folorunsho Ambali, Ikechukwu Onyebuchi Igbokwe, and Ussa Delia Tizhe. "Effect of zinc supplementation on chronic hepatorenal toxicity following oral exposure to glyphosate-based herbicide (Bushfire®) in rats." Journal of International Medical Research 48, no. 8 (August 2020): 030006052092534. http://dx.doi.org/10.1177/0300060520925343.

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Abstract:
Objectives To assess the effects of zinc pretreatment on hepatorenal toxicity following chronic exposure to glyphosate-based herbicides in male rats. Methods Following zinc pretreatment (50 mg/kg and 100 mg/kg), 14.4 to 750 mg/kg of oral glyphosate (Bushfire® herbicide) was administered daily for 36 weeks. Thereafter, serum samples were obtained following jugular venipuncture. Liver and kidney samples were processed for histopathological examination. Results Serum aspartate aminotransferase, alanine aminotransferase, and alkaline phosphatase activity as well as levels of bicarbonate, calcium, creatinine were significantly increased following chronic exposure to Bushfire®. Serum levels of sodium, potassium, chloride, total protein, albumin, globulin and urea were unchanged. Moderate to severe coagulative necrosis of hepatocytes as well as glomerular and renal tubular necrosis were observed in herbicide-treated rats. Zinc pretreatment reduced the elevation of serum enzymes associated with hepatobiliary lesions, abrogated hypercalcemia and metabolic alkalosis, and mitigated serum accumulation of creatinine following Bushfire® exposure, but was ineffective in completely preventing histological lesions. Conclusion Chronic Bushfire® exposure in rats caused hepatorenal toxicity. The effects of exposure on serum parameters were ameliorated by zinc pretreatment, but the histopathological changes associated with toxicity persisted in milder forms in zinc-pretreated animals.
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MESCHY, F., S. DUVAL, and P. CAMUS. "Effets d’une surcharge en aluminium sur les bilans minéraux (Ca, P et Mg) chez l’agneau." INRAE Productions Animales 1, no. 5 (December 12, 1988): 339–43. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.5.4469.

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Abstract:
Dans certains cas, l’excès d’aluminium est évoqué pour expliquer des troubles sanitaires observés sur des animaux recevant des rations riches en pulpes de betteraves, le sulfate d’aluminium étant parfois utilisé comme adjuvant de surpressage. L’objectif de cette étude était d’évaluer les effets d’une surcharge aluminique sur les bilans minéraux (P, Ca et Mg) d’agneaux en croissance. Les animaux ont reçu des régimes contenant 70 % de pulpes de betteraves enrichies ou non en aluminium. L’absorption du phosphore diminue fortement (de 33 à 62 %) avec l’incorporation d’aluminium, mais il convient de souligner que c’est la fraction soluble d’aluminium qui est responsable de cet effet ; le seul dosage de l’aluminium total ne permet donc pas d’évaluer le risque d’interaction Al/P avec une précision suffisante, et l’éleveur devrait être informé de la teneur moyenne en aluminium soluble des pulpes qu’il utilise. Nous ne retenons pas le seuil de toxicité de 1000 ppm d’aluminium soluble du NRC américain puisque dans nos essais nous observons une diminution marquée de l’absorption du phosphore à des teneurs beaucoup plus faibles (242 ppm). Les effets de la surcharge en aluminium sur l’utilisation par l’animal du calcium et du magnésium sont plus difficiles à interpréter, mais l’éventualité d’une interaction AI/ Mg, observée dans un des essais, n’est pas à exclure et mériterait d’être précisée. Ces résultats confirment que le sulfate d’alumine, utilisé à forte dose comme adjuvant de surpressage des pulpes de betteraves, est susceptible d’induire une carence en phosphore.
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Llitjos, J. F., and A. Cariou. "Effets de l’hyperoxie sur le pronostic après un arrêt cardiaque." Médecine Intensive Réanimation 27, no. 2 (March 2018): 133–42. http://dx.doi.org/10.3166/rea-2018-0003.

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Abstract:
Un effet toxique de l’oxygène est aujourd’hui suspecté chez les patients pris en charge pour un arrêt cardiaque. Indispensable pendant la réanimation cardiopulmonaire (RCP), l’administration d’oxygène en quantité trop importante pourrait cependant majorer les lésions provoquées par le syndrome d’ischémie–reperfusion globale. Expérimentalement, l’exposition des animaux à une hyperoxie pendant et après la RCP augmente les phénomènes en rapport avec le stress oxydatif et semble responsable d’une aggravation du pronostic, au travers notamment des lésions cérébrales. Cependant, la transposition clinique de ces observations est incertaine : chez l’homme, les résultats de certaines études rétrospectives suggèrent un effet délétère de l’hyperoxie post-arrêt cardiaque, mais ces études sont entachées de nombreux biais méthodologiques, et leurs conclusions ont été en partie remises en question dans des études ultérieures. En attendant les résultats des investigations cliniques en cours, les recommandations internationales actuelles préconisent de titrer dès que possible l’oxygène administré pendant et après la RCP pour maintenir une saturation de l’oxygène entre 94 et 98 %.
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Lagrue, Emmanuelle, Claude Cancès, and Juliette Ropars. "Micro/mini-dystrophines et dystrophie musculaire de Duchenne : entre espoirs et défis." Les Cahiers de Myologie, no. 23 (July 2021): 12–17. http://dx.doi.org/10.1051/myolog/202123004.

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Abstract:
Les nombreux travaux précliniques de thérapie génique (TG) mis en œuvre afin de modifier l’histoire naturelle de la dystrophie musculaire de Duchenne (DMD), ont aujourd’hui abouti à la mise en place d’essais cliniques évaluant la sécurité et l’efficacité de l’administration de mini- ou micro-dystrophines chez l’enfant, et à terme peut-être chez l’adulte. Nous reprendrons dans cet article le principe général de la TG, les modèles animaux étudiés, les essais cliniques avec mini- ou micro-dystrophine actuellement en cours, et enfin les limites et effets indésirables possibles de ce type de thérapeutique innovante.
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Ahmed, A. B., and J. A. Onyiah. "Effets résiduels d’un antiparasitiaire, le benzoate de benzyle testé sur Glossina p.palpalis Robineau Desvoidy (Diptera : Glossinidae)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 1 (January 1, 1994): 104–6. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9120.

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Abstract:
Les effets d'un antiparasitaire, le benzoate de benzyle (BP), ont été évalués en laboratoire sur la survie et les performances de reproduction de Glossina p. palpalis en utilisant des lapins comme hôtes nourriciers, afin de déterminer la marge de sécurité post-thérapeutique. Les résultats obtenus montrent une amélioration avec le temps de la réponse alimentaire et de la productivité des glossines après application du traitement. Ainsi il convient d'observer la durée minimale de sécurité de 3 semaines avant de nourrir les glossines sur des animaux traités au benzoate de benzyle sans craindre d'effets résiduels.
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GUINARD-FLAMENT, J., P. G. MARNET, I. VERDIER-METZ, C. HURTAUD, M. C. MONTEL, K. STELWAGEN, and D. POMIÈS. "La traite, un outil de pilotage du troupeau et de maîtrise de la qualité du lait en élevage bovin laitier." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 17, 2013): 193–206. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3147.

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Abstract:
Cette synthèse fait le point sur les effets directs et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Les effets recherchés répondent à des besoins de pilotage du troupeau ou de maîtrise de la qualité du lait. Ils visent à ajuster le niveau de production laitière sur l’exploitation, optimiser la qualité chimique, structurelle et microbienne du lait et piloter la conduite du troupeau. Les moyens pour intervenir sont variés allant de modifications de fréquence/intervalles de traite, à l’optimisation de la conception et des réglages de la machine à traire et des systèmes de stockage/réfrigération du lait en passant par les pratiques de traite. Il ressort de cette synthèse que la modulation de la fréquence de traite est un outil efficace pour moduler la production de lait et la durée de la lactation, et qu’elle peut contribuer à améliorer les performances de reproduction, gérer les réserves corporelles des vaches et dans certains cas limiter l’apparition de boiteries. Les choix de matériel de traite et de stockage/refroidissement du lait ainsi que les réglages de la machine à traire permettent d’optimiser l’extraction du lait, la durée de la traite et de collecter et conserver un lait d’une qualité maîtrisée sans nuire à la santé de la mamelle. Enfin, l’entretien de la machine à traire, les pratiques de traite et la peau des trayons des animaux semblent jouer un rôle primordial sur la richesse des laits crus en germes d’intérêt pour l’industrie laitière, les équilibres microbiens résultant d’une combinaison de pratiques de production dont la hiérarchisation reste encore difficile.
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VIGNON, X., Y. HEYMAN, P. CHAVATTE-PALMER, and J. P. RENARD. "Biotechnologies de la reproduction : le clonage des animaux d’élevage." INRAE Productions Animales 21, no. 1 (March 20, 2008): 33–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3373.

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Abstract:
La reproduction d’espèces domestiques par clonage remonte à plus de 20 ans. Les premières techniques reposent sur la bissection d’embryons puis sur l’usage de cellules embryonnaires pour générer des animaux clonés par transfert de noyau. Avec l’apparition du clonage somatique, qui permet la préservation et l’obtention de descendants de génotypes de haute valeur, l’intérêt pour cette technologie s’est considérablement accru. Un retour sur ces 20 dernières années montre comment l’INRA s’est impliqué dans la mise au point méthodologique du clonage animal et a acquis une expertise reconnue, non seulement dans la production et l’analyse de clones d’animaux domestiques, mais également dans l’étude du rôle des altérations génétiques et épigénétiques dans le développement embryonnaire, foetal et postnatal chez ces animaux. Le clonage reste en effet peu efficace pour la production d’individus viables en comparaison d’autres techniques de reproduction assistée. Une meilleure compréhension de la reprogrammation épigénétique des noyaux de cellules somatiques et de ses effets sur le déroulement des gestations est nécessaire pour rendre cette technologie éthiquement et économiquement acceptable. L’acceptation des produits de clones dans l’alimentation dépend maintenant de l’approbation des agences d’évaluation. Celle-ci est basée sur l’acquisition de données scientifiques concernant la sécurité et l’équivalence des produits avec ceux qui sont issus d’animaux reproduits par fécondation. Cette synthèse fait le point sur les principales connaissances fondamentales sur le clonage somatique, depuis la cellule donneuse, jusqu’au descendant cloné, et leurs liens avec la santé, la viabilité, les caractéristiques quantitatives et de reproduction des individus clonés.
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VANDEPUTTE, M., and P. PRUNET. "Génétique et adaptation chez les poissons : domestication, résistance au stress et adaptation aux conditions de milieu." INRAE Productions Animales 15, no. 5 (December 15, 2002): 365–71. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.5.3716.

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Abstract:
Les variations génétiques de l’adaptation au milieu d’élevage chez les poissons sont un objet d’étude important dans le cadre des problématiques liées au bien-être en élevage. Trois aspects principaux sont distingués. Tout d’abord la question de la domestication, importante car encore en cours ou à faire sur beaucoup d’espèces : les poissons domestiqués se montrent mieux adaptés à l’élevage (plus aptes à se nourrir, moins stressables), mais perdent des comportements utiles en milieu naturel (fuite devant les prédateurs). Ensuite la sélection pour la résistance aux conditions stressantes : cette sélection est efficace et semble avoir au moins pour partie des effets comparables à la domestication. Enfin, l’adaptation aux conditions de milieu et d’élevage, dont la composante génétique semble relativement importante. Il semble possible d’après l’ensemble de ces données de sélectionner des animaux qui seront mieux adaptés à leur milieu d’élevage. Cependant, la sensibilité des poissons à leur milieu et la variabilité de ces milieux impliquent des approches intégrant les interactions génotype-milieu dans l’étude de l’effet des pratiques d’élevage sur l’adaptation des animaux.
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Hounzangbe-Adote, M. Sylvie, F. E. Zinsou, K. J. Affognon, B. Koutinhouin, M. Adamou N'Diaye, and K. Moutairou. "Efficacité antiparasitaire de la poudre de graines de papaye (Carica papaya) sur les strongles gastro-intestinaux des moutons Djallonké au sud du Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 3-4 (March 1, 2001): 225. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9778.

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Abstract:
L’efficacité antiparasitaire des graines de papaye (Carica papaya) a été testée sur les strongles gastro-intestinaux. L’étude a porté sur 80 moutons répartis en cinq lots de 16 animaux (dix brebis et six agneaux) : un lot témoin, un lot témoin traité avec de l’albendazole à la dose de 5 mg/kg et trois lots ayant reçu de la poudre de graines de papaye séchées au soleil ou à l’étuve à des doses de 100, 200 ou 400 mg/kg de poids vif. Les taux d’infestation par les strongles gastrointestinaux des ovins ont varié en fonction du temps d’un lot à l’autre. L’efficacité des graines de papaye a été optimale à la dose de 200 mg/kg de poids vif avec un taux d’efficacité supérieur à 80 p. 100 sur les strongles, dix jours après le traitement. L’hématocrite est resté stable chez tous les animaux traités à l’albendazole ou aux graines de papaye. Il semble qu’un traitement avec des graines séchées à l’étuve, traitement plus efficace que lorsque les graines sont séchées au soleil, protège les ovins des effets anémiants des nématodes.
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Dalla Bernardina, Sergio. "Amours sans frontières." Anthropologie et Sociétés 39, no. 1-2 (May 25, 2015): 103–20. http://dx.doi.org/10.7202/1030841ar.

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Abstract:
Consécutivement aux avancées de l’éthologie (l’animal pense, souffre, se projette même dans le futur), aux données de l’anthropologie (l’animal, dans de nombreuses sociétés, est considéré comme un sujet à part entière) et aux déductions de la philosophie (s’il est un sujet, il a donc des droits), nous assistons aujourd’hui à une révision de la frontière homme/animal. Cette remise en cause, illustrée par des ouvrages comme Animal liberation (1975) de Peter Singer, a des effets collatéraux : en « libérant » les animaux elle dédouane aussi, et rend donc représentable, toute une série de fantasmes liés à la sexualité entre espèces différentes. Concevable sur un plan logique, cette révolution pose des problèmes d’ordre symbolique. Les rumeurs rattachées aux pratiques zoophiles, avec leur cortège de traumatismes, de maladies et autres « sanctions » (naturelles et surnaturelles) nous rappellent que l’abolition des différences, sur le plan de l’imaginaire, a des effets catastrophiques : loin d’assurer la paix, elle engendre le désordre et alimente les conflits.
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RYCHEN, G., and C. SIMOES NUNES. "Effets des flores lactiques des produits laitiers fermentés : une base scientifique pour l’étude des probiotiques microbiens dans l’espèce porcine." INRAE Productions Animales 8, no. 2 (April 22, 1995): 97–104. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4116.

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Abstract:
Les probiotiques microbiens sont des additifs alimentaires composés de micro-organismes vivants (genres "Lactobacillus, Streptococcus" ou "Bacillus"), incorporés aux aliments à raison de 1000 ppm. Les hypothèses sur leurs modes d’action ont souvent été empruntées aux résultats obtenus avec les flores lactiques des produits laitiers fermentés. Durant le transit intestinal, celles-ci exercent des effets de régulation de la microflore intestinale, des effets nutritionnels (stimulation de la digestion du lactose par exemple) ou encore des effets sur les fonctions immunitaires par le biais d’une stimulation de la production d’immunoglobulines ou d’interféron. Les probiotiques microbiens, dont les mécanismes d’action n’ont jamais été clairement démontrés, ont fait l’objet de nombreux tests zootechniques chez le porcelet en post-sevrage dont l’équilibre microbien est particulièrement fragile. Toutefois, leurs effets sur les performances de croissance des jeunes animaux se sont révélés variables : une absence d’effets des probiotiques a été observée dans de nombreux essais zootechniques publiés. Il apparaît donc indispensable d’envisager de nouvelles expérimentations physiologiques, microbiologiques ou immunologiques afin de pouvoir proposer un fondement moins empirique à ces nouveaux additifs alimentaires. Chez le porc, cette démarche a été initiée par quelques auteurs qui ont mis en évidence l’influence favorable des bactéries du genre "Lactobacillus" sur l’équilibre microbien intestinal, les effets d’un probiotique composé des espèces "Lactobacillus acidophilus", "Lactobacillus plantarum" et "Streptococcus faecium" ou d’un probiotique composé de germes "Sporolactobacillus" 44 sur certaines fonctions digestives dans le tube digestif, ou encore l’effet d’un probiotique à base de "Lactobacillus case" et "Lactobacillus bulgaricus" sur les fonctions immunitaires intestinales.
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PIACERE, A., and J. M. ELSEN. "Les objectifs et les critères de sélection : Aptitude fromagère du lait et polymorphisme des protéines : perspectives d’utilisation en sélection." INRAE Productions Animales 5, HS (December 2, 1992): 123–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4274.

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Abstract:
L’aptitude fromagère d’un lait s’exprime à travers son rendement fromager, la composition du produit final qui doit respecter des normes précises, et la qualité organoleptique du fromage obtenu. La composition du lait, et particulièrement sa teneur en caséines et matière grasse détermine principalement son aptitude fromagère. Depuis plusieurs années la sélection des races laitières porte à la fois sur la quantité et la composition du lait. Jusqu’à présent ces caractères, considérés comme polygéniques, ont donné lieu à une indexation permettant de prédire la valeur génétique des animaux d’après leurs performances, et de choisir les meilleurs reproducteurs pour engendrer la génération suivante. L’étude du polymorphisme des protéines du lait vient remettre en cause ce fonctionnement, dans la mesure où on a pu déterminer le génotype des animaux à des loci "caséines" particuliers, et mettre en évidence que certains allèles améliorent la composition et la valeur fromagère du lait. Utiliser cette information, directement "lue" sur l’animal candidat à la sélection paraît séduisant. Mais il convient d’évaluer les risques aussi bien que l’intérêt de ces nouvelles possibilités d’actions offertes par les techniques de laboratoire. Les effets des différents allèles doivent être recherchés ; cela nécessite des expériences afin de comparer des animaux de différents génotypes. En outre des simulations permettront de choisir une méthode de sélection adaptée à la population, qui favorise les allèles intéressants sans réduire la variabilité génétique. Ces différentes questions sont abordées actuellement à l’INRA, en particulier à travers l’étude des caséines des races caprines françaises.
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MELCION, J. P. "Emploi des liants pour le pressage des aliments des animaux : aspects technologiques et nutritionnels." INRAE Productions Animales 8, no. 2 (April 22, 1995): 83–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4115.

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Abstract:
Les liants (ou adjuvants de pressage) sont des additifs généralement dépourvus de valeur alimentaire qui sont incorporées à faible taux (0,5 à 2,5 %) dans les aliments composés dans le seul but d’augmenter le rendement des presses et la cohésion des granulés. Ces substances peuvent être d’origine organique ou minérale. Parmi les substances organiques, les lignosulfites sont des sous-produits de l’industrie papetière. Les substances minérales appartiennent essentiellement à la famille des argiles. D’autres additifs tels que les polysaccharides peuvent être utilisés dans l’élaboration des aliments pour les animaux aquatiques. Il existe des tests de laboratoire susceptibles d’évaluer l’aptitude liante ou lubrifiante de ces adjuvants de pressage, en fonction principalement de l’humidité et du type de matière première. Les essais à échelle pilote montrent généralement une influence positive de l’addition des lignosulfites sur les propriétés mécaniques des agglomérés et une tendance à une réduction de l’énergie consommée par la presse dans le cas de mélanges riches en céréales (et en amidon). L’effet des substances minérales est assez variable en regard des conditions de pressage. A échelle industrielle, les petites différences observées peuvent être masquées par les variations aléatoires liées aux essais en usine. Les adjuvants de pressage n’ont pas de valeur nutritionnelle en soi. Les lignosulfites et autres composés organiques peuvent faire exception en raison de leur teneur - bien que limitée - en sucres simples. Les liants minéraux sont considérés usuellement comme des diluants de la ration. Les effets indirects constatés sur l’indice de consommation peuvent être dûs à une augmentation de dureté des granulés. Un effet de tannage des protéines de l’aliment est possible avec les lignosulfites. Cependant, la structure et le comportement physique des argiles (bentonite, sépiolite) peuvent expliquer certains effets sur la digestibilité de l’énergie chez le monogastrique, par une modification de la rétention d’eau et de la durée de transit dans l’intestin de l’animal, et sur l’utilisation de l’azote chez le ruminant.
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Choisis, Jean-Philippe, Norma P. Cervantes, and Philippe Lhoste. "Effets saisonniers sur certains paramètres de la production bovine dans les élevages mixtes de l'Etat de Colima au Mexique." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 1 (January 1, 1990): 97–104. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8904.

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Abstract:
Dans le cadre d'un programme de coopération franco-mexicain, les auteurs ont effectué pendant deux ans le suivi de 15 élevages bovins du système mixte dans l'Etat de Colima au Mexique. Dans cette région tropicale de la côte Pacifique, il apparaît que l'alternance saisonnière détermine dans une large mesure les conditions d'alimentation des animaux et influence donc considérablement les performances zootechniques enregistrées : paramètres de la reproduction, croissance, production laitière, etc. Après une présentation rapide des actions de développement déjà amorcées dans ce domaine, une réflexion est conduite sur les perspectives d'innovation dans les élevages les moins avancés pour tenter notamment de réduire les effets saisonniers défavorables sur la production bovine.
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Thompson, Dean G., Douglas G. Pitt, Bozena Staznik, Nicholas J. Payne, David Jaipersaid, R. A. Lautenschlager, and F. Wayne Bell. "On-target deposit and vertical distribution of aerially released herbicides." Forestry Chronicle 73, no. 1 (February 1, 1997): 47–59. http://dx.doi.org/10.5558/tfc73047-1.

Full text
Abstract:
As a component of the Fallingsnow Ecosystem Project, glyphosate and triclopyr herbicides (Vision®, Release®) were each applied to four experimental spray plots at nominal rates of 1.5 and 1.9 kg a.e. ha−1 respectively. Empirical studies were undertaken on these plots with the objectives of; a) quantifying mean on-target deposit and variability b) assessing the vertical distribution of active ingredient deposits through the vegetative complex and c) comparing herbicide deposit estimates on excised natural foliage with those on proximal 2-dimensional (2D) and 3-dimensional (3D) collectors. Experimental conditions were representative of difficult aerial application scenarios since the spray plots were small (4.9 to 10.4 ha), with irregular boundaries of mature timber, and in some cases substantial topographical relief. Deposit analysis confirmed that, in some circumstances, locations well within target areas were missed completely owing to inappropriate track spacing or swath offset. Excluding these points from the data analysis, results demonstrated overall mean deposition (mean ± SE) of glyphosate and triclopyr on aspen foliage equating to 68.45 ± 6.13 and 50.28 ± 6.01% of the nominal application rates (1.5 and 1.9 kg ha−1), respectively. A high degree of variation in deposit both within and between plots demonstrate that variation in operational parameters (e.g. track spacing, offset, release height and aircraft speed) as influenced by local site factors (e.g. proximity of standing timber, topographical relief) can be important determinants in uniformity and accuracy of herbicide deposit. A consistent trend (P < 0.001) in the deposition profile through tiered vegetative canopies was observed, with greatest impingement of the spray in the upper target canopy as noted above, and average 25% and 12% in the shrub and ground-level tiers respectively. Results suggest that for sites characterized by complex canopies, differential vertical deposition may be an important factor constraining the potential use of lower herbicide application rates, particularly where shrub or groundcover species are important competitors. In contrast, given that only a small proportion of the spray cloud penetrates and impinges in the lower vegetative tiers, animals foraging or living therein may receive substantially reduced exposures, mitigating against any potential direct effects. In general, poor correlations (r = 0.22 to 0.78) in deposit estimates based on either two-dimensional or three-dimensional artificial collectors as compared to excised natural foliage were observed. Significant differences (P < 0.05) also were detected among deposit estimates with no consistent trend in relation to herbicide treatment, sampler type or sampling height. These comparisons suggest that none of the artificial collector types tested accurately or consistently estimated true foliar deposit. Key words: alternative conifer release treatments, Fallingsnow Ecosystem Project, glyphosate, herbicides, herbicide deposit, tending, triclopyr, vegetation management, vertical distribution
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SAUVANT, D., F. MESCHY, and D. MERTENS. "Les composantes de l’acidose ruminale et les effets acidogènes des rations." INRAE Productions Animales 12, no. 1 (February 23, 1999): 49–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.1.3854.

Full text
Abstract:
L’état d’acidose ruminale latente constitue une des préoccupations majeures de la nutrition moderne des animaux ruminants. En effet, l’accroissement des potentiels de production a entraîné l’apport de rations plus concentrées en énergie. De ce fait, le rumen de ces animaux doit traiter des quantités accrues de matières organiques fermentescibles et les fermentations plus intenses consécutives entraînent un état d’acidose aux effets zootechniques défavorables : interactions digestives négatives, dégradation du taux butyreux du lait, pathologies digestives et métaboliques... L’état d’acidose est également atteint car la sécrétion salivaire qui recycle les tampons ruminaux est insuffisante par rapport aux acides organiques produits par les fermentations. L’état d’acidose est apprécié à travers la mesure du pH de la panse. On estime que le pH moyen au cours d’une journée ne doit pas être inférieur à une valeur approximative de 6,25. Les recherches ont permis de montrer que de nombreuses caractéristiques des rations présentaient une influence sur le pH ruminal. Si on se réfère à la valeur seuil moyenne minimale de 6,25, il est possible de définir des limites pour les différentes caractéristiques mesurées sur les rations. Certaines limites recommandées se présentent sous forme de minima&nbsp;; ainsi on estime qu’il faut au minimum 35 % de NDF/MS, 25 % de NDF de fourrage/MS, 2,5 mm de taille moyenne des particules de la ration ou 40 % de la MS sous forme de particules de taille supérieure à 2 mm. On sait en outre que l’indice de mastication de la ration doit être supérieur à 40 min/kg MS ingérée. Il existe également des recommandations de seuil maximum à ne pas dépasser. Ainsi la proportion d’aliments concentrés doit rester inférieure à environ 45 %/MS, celle d’amidon à 25 %/MS et celle d’amidon dégradable dans le rumen à 20 %/MS. D’autre part, il est connu que les niveaux élevés d’ingestion vont de pair avec un transit plus rapide et un pH plus faible, ainsi le pH moyen passe en dessous du seuil de 6,25 lorsque la MS ingérée excède environ 2,5 % du poids vif. Enfin les rations peu mastiquées sont ingérées rapidement et sont, de ce fait, acidogènes. On estime ainsi que chez le bovin la vitesse moyenne d’ingestion doit être inférieure à 50 g/min pour que les fermentations ruminales soient normales. En cas de risque avéré d’acidose, il est recommandé d’apporter des substances tampons à la ration, à une dose de l’ordre de 1 à 2 % de la MS ingérée. En conclusion, il est important de chercher à mieux caractériser les rations et aliments offerts aux ruminants en prenant en compte des critères " sécuritaires " en plus des paramètres classiques de valeur nutritive. Un exemple de méthode de prévision du pH à partir de tels critères est présenté.
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