Academic literature on the topic 'Anthropologie politique – Niger'

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Journal articles on the topic "Anthropologie politique – Niger"

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Saint-Germain, Michel, and Olivier Meunier. "Bilan d'un siecle de politiques educatives au Niger." Canadian Journal of African Studies / Revue Canadienne des Études Africaines 35, no. 2 (2001): 407. http://dx.doi.org/10.2307/486139.

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Thiongane, Oumy. "Anthropologie de la méningite au Niger. Espaces épidémiques, mobilisations politiques et conceptions de la maladie." Bulletin Amades, no. 87 (July 18, 2013). http://dx.doi.org/10.4000/amades.1528.

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3

Martig, Alexis. "Esclavage contemporain." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.085.

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Abstract:
Depuis la fin du XXe siècle, on assiste à un usage récurrent et de plus en plus fréquent de la notion d’esclavage moderne par tout un ensemble d’acteurs sociaux et politiques : organisations non gouvernementales, associations, organisations internationales, médias, gouvernements nationaux… Selon l’Organisation internationale du Travail, il s’agit d’un phénomène touchant plus de 25 millions de personnes et qui génère 150 milliards de dollars de profits annuels illégaux. Face à ce constat, un certain nombre de disciplines (sociologie, économie politique, études des migrations, droit, histoire) en ont fait un objet propre, tentant quelquefois de le définir (Bales 1999) et, parlant d’esclavage moderne ou d’esclavage contemporain, certains ont été jusqu’à évoquer l’émergence d’un nouveau champ d’études : lesContemporary Slavery Studies (Brysk et Choi-Fitzpatrick 2012). Comment expliquer le fait que l’anthropologie contemporaine a quant à elle jusqu’alors produit peu de réflexions sur le sujet ? Le premier élément de réponse a trait à la nature même de l’analyse anthropologique, qui la distingue des autres disciplines des sciences humaines et sociales, et qui considère avant tout les notions émiques mobilisées par les sujets. Dans le cas de l’esclavage moderne, on est face à une notion éminemment politisée et utilisée avant tout par des acteurs associatifs, institutionnels ou médiatiques pour décrire les conditions de travail ou d’exploitation d’autres sujets souvent associés au passage au registre des « victimes ». Ce n’est que depuis très récemment qu’on assiste à l’usage de la notion par les sujets eux-mêmes pour dénoncer leurs conditions de travail, sans doute sous l’effet de sa banalisation dans les discours des acteurs de la lutte contre l’esclavage moderne. L’apparition et la dissémination de cette notion chez les acteurs sociaux et politiques ne sont cependant pas sans intérêt pour l’anthropologie. Elles sont notamment révélatrices de ce que Didier Fassin a qualifié d’« économie morale de notre temps » et de « nouvel ordre moral » mondial (2005) : il s’agit de cette économie morale globale constituée autour de nouveaux intolérables moraux inhérents aux droits de l’homme et à l’invention de la catégorie anthropologie d’humanité dans le contexte postérieur à la Seconde Guerre mondiale. La condamnation morale globale de l’esclavage moderne en est un exemple parfait. Les discours qui la constituent expriment et visent à générer une indignation, tout en ayant fréquemment recours aux registres des « victimes », de la « vulnérabilité » et de « la traite » avec pour effet de nier l’agencéité des sujets en faisant disparaître leurs trajectoires de vie et leurs motivations spécifiques. Comme l’a montré l’anthropologue américaine Alicia Peters (2015), si politisée que soit cette notion, rien n’empêche l’anthropologie de s’en saisir comme objet en étudiant notamment les jeux d’acteurs au cœur des plans de lutte qui en découlent. Peters a ainsi montré comment, aux États-Unis, la moralisation du travail du sexe et de la prostitution forcée a eu pour effet de rendre invisibles ou illégitimes la majorité des cas de traite humaine qui touchent d’autres secteurs : agriculture, usines, restaurants, sphère domestique… Cette moralisation et surreprésentation du travail du sexe et de la prostitution forcée dans la lutte contre l’esclavage moderne, assimilée à la traite d’êtres humains (human trafficking), est caractéristique des pays développés. Le deuxième élément de réponse touche au caractère fourre-tout d’une notion générique qui renvoie à tout un ensemble de situations hétérogènes situées dans des contextes sociaux, historiques et culturels extrêmement différents et dont la complexité, les spécificités et les nuances sont reléguées au second plan dans les discours politiques. En fonction des acteurs, l’esclavage moderne désigne des cas de : mariage forcé, travail forcé, travail infantile, enfants soldats, camps de travail, exploitation sexuelle… et ce, sur toute la planète… Mais pour saisir les spécificités et la complexité des cas étudiés, il faut aussi considérer les formes socioculturelles légitimatrices de la servitude ou de l’esclavage, de son acceptation ou de sa tolérance et les formes de régulation de la domination inhérentes : formes de parrainage, dettes, processus d’altérisation infériorisants… Si les situations dénoncées ont émergé ou ont évolué à partir de formes passées dans un contexte global de précarisation des conditions de travail, et en ce sens sont bien des phénomènes contemporains, il est pour autant impossible de les penser en faisant abstraction de la mémoire des régimes d’esclavages précédents et notamment de l’esclavage transatlantique. Il faut à ce titre distinguer les réflexions sur l’esclavage moderne, du grand nombre d’études anthropologiques sur les descendants d’esclaves, la mémoire de l’esclavage ou les problématiques de réparation. Comme l’a fait remarquer Roger Botte (2005), l’esclavage a toujours été pluriel. Il faut cependant reconnaître que l’une des caractéristiques de l’époque contemporaine est bien celle de la disparition progressive, depuis les abolitions de l’esclavage en tant que statut officiel. C’est en ce sens qu’Alain Morice, au sujet de travailleurs temporaires marocains en France, a utilisé l’expression d’« esclavage métaphorique » (2005), en opposition à l’esclavage historique. Derrière cette distinction s’en cache une autre qu’il est capital de saisir pour comprendre les enjeux des situations qualifiées d’esclavage moderne et leur analyse anthropologique : celle des conditions d’esclavageet dustatut d’esclave. Dans une analyse très intéressante entre un cas d’esclavage domestique en France en 2013 avec un cas d’esclavage datant du début du XIXe siècle, l’historienne Rebecca Scott (2013) attire l’attention sur le fait que, statut officiel ou non, les conditions des situations dénoncées sous l’expression d’esclavage moderne peuvent être identiques à celles de régimes d’esclavage passés. L’attention portée à la nature des conditions est intéressante car elle vient souligner que, s’il est important de conserver une distance face à un discours institutionnel et politisé, il n’en demeure pas moins que dans certains cas l’esclavage n’est pas que métaphorique… Une autre caractéristique liée à la disparition du statut est le fait que les situations observées sont très souvent temporaires, pour des raisons de coûts économiques et dans le but d’éviter de possibles contrôles. Plusieurs auteurs ont, de manière distincte, mis en avant que l’esclavage moderne n’est pas fondé de manière absolue sur des critères raciaux, mais sur des critères inscrits dans des rapports de production (Botte 2005 ; Bales 1999). Comme le fait justement remarquer Julia O’Connell Davidson (2015), si cela est pertinent, il ne faut pas pour autant perdre de vue que la majorité des populations concernées se trouvent dans d’anciennes colonies ou émigrent de celles-ci vers les pays développés. Si la race n’est donc pas l’élément premier à l’origine des formes d’exploitation, celles-ci s’inscrivent pour autant dans une division internationale du travail racialisée et genrée telle que décrite par la sociologie décoloniale, et Ramon Grosfoguel (2014) notamment. À ce sujet, il est intéressant de souligner certaines dynamiques de cette division internationale du travail qui distinguent les formes d’esclavage moderne dans les pays développés et les pays en développement. Dans les premiers, les cas concernent principalement des migrants légaux ou illégaux confrontés à des politiques migratoires qui les vulnérabilisent structurellement. Dans les pays en développement, il s’agit majoritairement et massivement de citoyens nationaux, protégés normalement par ailleurs par les droits associés à leur citoyenneté. La question de l’esclavage moderne se pose alors en termes d’anthropologie des droits associés à la citoyenneté, et de leur performativité, en s’intéressant aux manières dont les critères symboliques à la base de la construction de ces citoyens en tant qu’alter inégaux ont tendance à normaliser la négation de leurs droits comme dans le cas des travailleurs ruraux au Brésil, ou encore des intouchables en Inde, etc. S’ajoutent à cela les exclus des nations issues de la colonisation – là où d’anciens empires ont laissé la place à des nations aux frontières dessinées par les colons –qui constituent une main-d’œuvre potentielle, comme dans la zone située entre la Thaïlande et la Birmanie (Ivanoff, Chantavanich et Boutry 2017). L’un des enjeux spécifiques de la réflexion anthropologiques touche à la méthode d’investigation de la discipline : l’enquête de terrain. Pour la plupart des cas, ou du moins les plus extrêmes, il est quasiment impossible d’accéder aux terrains en question pour y pratiquer une forme d’observation participante. Les difficultés d’accès s’apparentent à celles des terrains de guerre, de combats, de prostitution, de camps de travail forcé, etc. Les recherches de terrain consistent donc le plus souvent à rencontrer et accompagner les sujets postérieurement aux situations pour réaliser avec eux des entretiens. Quand cela est possible, car comme le souligne l’anthropologue Denise Brennan, auteurede Life Interrupted: Trafficking into Forced Labour in the United States, s’entretenir au sujet d’une expérience souvent traumatisante n’est pas non plus sans difficultés ou sans poser de questions quant au rôle de l’anthropologue et de la nature de sa relation avec les sujets du terrain (Brennan 2014). L’un des autres enjeux des analyses anthropologiques, dans des contextes prononcés de vulnérabilité structurelle et face aux processus de subalternisation des sujets par le biais des discours institutionnels, est de faire ressortir l’agencéité des sujets. L’anthropologie, dans sa tendance à replacer les situations étudiées dans les trajectoires de vie des sujets et à donner la parole à ces derniers, possède un avantage certain sur d’autres disciplines pour donner à voir leur agencéité sans perdre de vue pour autant les contraintes structurelles auxquelles ceux-ci font face. L’engagement volontaire de sujets dans la prostitution, de manière temporaire (ou non), pour améliorer leur quotidien matériel, d’enfants au travail malgré leur âge mineur, la migration illégale volontaire par l’intermédiaire de passeurs, la fuite, l’usage des compétences linguistiques ou une volonté de travailler plus dur que les autres, etc., sont autant d’exemples d’agencéité des sujets. Plutôt que de négliger de prendre en considération l’esclavage moderne à cause de son caractère institutionnalisé et sa nature protéiforme, il me semble que l’anthropologie et son regard critique ont un rôle à jouer pour mettre en lumière la complexité des différentes dimensions de ce phénomène et leur enchevêtrement : une économie morale globale, une économie néolibérale précarisant les conditions de travail et une division internationale du travail racialisée, genrée et hiérarchisée entre les pays développés et en développement. Pour ce faire, et apporter une plus-value heuristique, les analyses anthropologiques sur l’esclavage moderne devront s’ancrer dans le contemporain et repenser des catégories analytiques dichotomiques héritées du début des sciences sociales qui ne parviennent plus à rendre compte des situations étudiées : esclavage, liberté, travail libre et travail non libre, etc. Ces catégories ne permettent pas de penser le continuum de situations (allant de libres à non libres) de travail dans lequel les sujets évoluent dans le temps et l’espace, et dont les conditions peuvent, à une extrémité du continuum, être similaires à des régimes passés d’esclavage. C’est dans cet esprit qu’une des voies pour saisir la complexité du social et les dynamiques de ce phénomène si actuel est celle des « situations contemporaines de servitude et d’esclavage » (Martig et Saillant 2017). La notion de « situations » permet en effet de garder à l’esprit que l’objet étudié relève localement des spécificités sociohistoriques et culturelles considérées tout en se « situant » aussi dans le contexte économique, moral, politique et historique plus global : c’est l’articulation de ces différentes dimensions qui permettent de saisir la complexité du social. Enfin, penser en termes de situation a pour avantage de replacer l’expérience liée à l’esclavage moderne dans la trajectoire de vie plus large des sujets, et de saisir ainsi plus facilement leur agencéité. Il s’agit d’une proposition. D’autres voies verront sûrement le jour pour analyser un phénomène complexe qui, loin de disparaître, donne à voir les limites des mythes du travail libre et de la performativité des droits des sociétés démocratiques libérales contemporaines, et en appelle du coup à une anthropologie du contemporain.
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Dissertations / Theses on the topic "Anthropologie politique – Niger"

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Smirnova, Tatiana. "L'action publique saisie par des mouvements étudiants et scolaires : l'enseignement supérieur, la vie politique et l'expérience militante au Niger (1960-2010)." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0679.

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Abstract:
A l'intersection de la sociologie des mouvements sociaux et des politiques publiques, cette recherche étudie, à partir de l'enseignement supérieur au Niger, le processus de la régulation politique et s'intéresse au rôle de la contestation dans les interactions entre politics et policies. Le travail s'appuie sur les documents concernant le développement du système d'enseignement supérieur au Niger, la littérature militante, journaux, rapports ainsi que sur soixante-quinze entretiens semi-directifs. La thèse examine l'action publique à travers les mobilisations des scolaires et étudiants nigériens depuis les années 1960 et jusqu'à l'année 2010. Elle étudie l'histoire mal connue mais importante de l'Union des Scolaires Nigériens: les paradoxes de son émergence et de son renforcement dans le contexte des régimes de Diori Hamani et de Seyni Kountché, peu propices à la contestation, ainsi que son rôle dans l'avènement de la Conférence Nationale en 1991 et dans la vie politique du Niger par la suite. La recherche propose de saisir l'action publique en matière de l'enseignement supérieur à partir de l'analyse des rapports entre les autorités et les mouvements de contestation. Elle montre une continuité entre l'époque considérée comme "autoritaire" et la période "démocratique" en termes de production des politiques publiques lesquelles reposent sur la routinisation de la répression, de la rétribution, de la redistribution et du contrôle dans un contexte de réformes néolibérales. La recherche s'interroge par ailleurs sur les pratiques de violence au sein des structures militantes, utilisées par elles comme une stratégie de subversion de l'ordre politique dominant
Located at the intersection of the sociology of social movements, higher education studies and public policy scholarship, this research focuses on the issues of political regulation embedded in the relationship between political authorities and student protest which co-produce policies and politics in higher education in Niger. Covering fifty years of regime change and successions of coups d'état (1960-2010), the research is grounded in a historical approach. Based on extensive material provided by three periods of fieldwork in Niger, it draws on seventy-five semi-structured interviews with former activists, many of whom were high-ranking officials, as well as on a wide range of activist and state archives, documents concerning the development of Niger's education system, local newspapers and reports of international organizations. Focusing on historical sociology of higher education in Niger, the research shows that the process of political regulation expresses itself via socialization of political and social elites through their activist experience. This finally contributes to the reinforcement of mutual dependance between students and the authorities while the latter concert politics into policies and vice versa by reallocating and redistributing ressources as well as by suppressing and controlling students
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Salifou, Bertrand Weiss Pierre. "Les chefs traditionnels et leur participation au pouvoir politique en Afrique les cas du Burkina Faso et du Niger /." Reims : [s.n.], 2006. http://scdurca.univ-reims.fr/exl-doc/GED00000355.pdf.

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Thiongane, Oumy Baala. "Anthropologie de la méningite au Niger : espaces épidémiques, mobilisations scientifiques & conceptions de la maladie." Paris, EHESS, 2013. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00874154.

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Abstract:
La méningite épidémique est un problème de santé publique historiquement ancré dans la société nigérienne. La rapidité d'évolution de la maladie et le caractère massif du phénomène épidémique condamnant à mort le malade en l'espace de 24 heures, en fait l'une des maladies les plus redoutées. En 1960, sous l'instigation de l'Organisation Mondiale de la Santé, un médecin militaire français, Léon Lapeyssonnie, en dégageant les séquences temporelles des épidémies de méningite sur un demi siècle, aura réussi à faire de la maladie "un problème spécifiquement africain", mais aussi une maladie tropicalisée c'est à dire cantonnée au sein d'un espace écologique coupable s'étendant de l'Ouest à l'Est de l'Afrique avec des coordonnées géographiques précises qui permettent d'associer les épidémies à un espace social. Que peut nous apprendre l'anthropologie sur la construction d'un phénomène pathologique aussi complexe que la méningite qui lie écologie, médecine et société ? Cette thèse au croisement de l'anthropologie de la santé et de la sociologie des sciences, se propose de voir de quelle manière, la méningite a été construite comme un problème de santé publique au Niger. Il s’agira d’analyser un paradoxe: la gestion d'une "maladie courante" comme un problème urgent. L'objet d'étude a été appréhendé à travers trois terrains spécifiques: un laboratoire scientifique, un ministère de la santé et une zone rurale en milieu Haoussa. L’analyse montre que la réponse apportée au problème épidémique constitue le principal problème à côté des enjeux tels que l’économie de la pénurie, le mode de gouvernement par l’aide internationale et l’accès aux ressources telles que les vaccins
The epidemic of meningitis is a public health problem historically rooted in Nigerian society. The large number of people infected as well as the fast spreading of the disease condemning to death the patient just 24 hours after it's onset, makes it one of the most dreaded diseases. In the early 1960's, the World Health Organization sent a French military doctor called Léon Lapeyssonnie who identified sequential outbreaks of meningitis over half a century. Lapeyssonnie had succeeded in making meningitis not only a "specifically African problem" but also a tropicalized disease, that is to say, confined within a "guilty ecological space" extending from West to East Africa, assigning geographic coordinates to a social space. What can anthropology teach us on the construction of a pathological phenomenon as complex as meningitis, linking together ecology, medicine and society ? This thesis at the junction of medical anthropology and the sociology of science shows how meningitis is built up as a public health problem in Niger. A paradox is analyzed: the management of a "common disease" as an urgent problem. The analysis of this particular object is conducted through three fields in Niger: a scientific laboratory, a department of Niger health service and a rural Hausa town. The analysis shows that the response bring to meningitis epidemic is the main issue near stakes like the economy of shortage, the government by aid policy and resources access like vaccines
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Ousseini, Abdoulaye. "Les politiques publiques de financement de l'accès aux soins : la fabrication et la mise en oeuvre d'une exemption de paiement dans le système de recouvrement des coûts au Niger." Paris, EHESS, 2014. http://www.theses.fr/2014EHES0583.

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Abstract:
Cette thèse porte sur une politique publique de santé au Niger, les exemptions de paiement. Elle s'interroge sur les processus de son élaboration et de sa mise en oeuvre, sur les conditions de sa légitimité, sur les pratiques et représentations des divers acteurs concernés, et sur les nouvelles structures ad-hoc de pilotage qui se créent et se transforment. Cette réflexion se fonde en premier lieu sur une approche socio-anthropologique qui privilégie les données empiriques, au plus près du réel, issues du discours des acteurs et de l'observation in situ. La démarche s'inscrit aussi dans une perspective complémentaire combinant les deux approches, par en haut et par en bas, d'analyse des politiques publiques. L'analyse de l'introduction de la gratuité des soins révèle le caractère impréparé et précipité des actions publiques de santé. Les incohérences des décisions et les écarts énormes entre les engagements politiques et la mise en oeuvre concrète sur le terrain ainsi que les pratiques quotidiennes du personnel de santé et des usagers sont analysés comme des défis qui se poent à l'accès équitable aux services de santé au Niger. Cette thèse ouvre une réféxion sur les conditions de mise en place des actions publiques de santé en vue de tendre vers une couverture santé universelle au Niger
This thesis focuses on a specific public health policy in Niger, namely the fee exemption. It examines the design and the implementation of the policy, the reasons put forward to legitimizeit, the practices and representations of the actors involved in the process, and the new ad-hoc intitutional arrangements that are set up to lead the process. The study is grounded in a socio-anthropological approach that relies heavily on empirical data gathered from the views of the actors involved and observation in situ. It combines two approaches to public policies - from below and from abnove - that complement each other. A closer look at the introduction of the policy shows both hastiness and unpreparedness in the formulation of public health policies. The inconsistencies and significant gaps between the political commitment and the actual implementation in addition to the daily practices of health services and their users are understood as some of the challenges to equal access to health care in Niger. This thesis introduces a debate on the implementation of health care policies as they aim to achieve universal coverage in Niger
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Bako-Arifari, Nassirou. "Dynamiques et formes de pouvoir politique en milieu rural ouest-africain : étude comparée sur le Bénin et le Niger : une anthropologie politique de "l'État joueur" et de "l'État négocié" dans les arènes locales du pouvoir : cas des cantons de Gaya au Niger et de Gomparou au Bénin." Paris, EHESS, 1999. http://www.theses.fr/1999EHESA036.

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Abstract:
Le propos central de la thèse est l'étude du changement politique dans les sociétés africaines vu sous l'angle des relations entre l'Etat et les collectivités locales à partir de la notion « d'arène >>. Il s'agit d'une étude socio anthropologique, diachronique et comparative des changements ayant affecté les arènes locales de pouvoir en milieu rural au Nord-Bénin et au sud-ouest du Niger (des années 1930 à aujourd'hui) à partir de deux cantons. Les interactions entre le national et le local sont analysées en fonction des changements successifs des politiques gouvernementales à l'égard du pouvoir local et des stratégies d'acteurs ainsi que les configurations successives des arènes locales qui en découlent. Contrairement aux analyses structuralistes courantes sur les relations Etat-milieu rural en Afrique qui perçoivent l'Etat comme un acteur toujours hégémonique, cette thèse montre que dans son projet hégémonique, l'Etat apparaît comme un "acteur-négociateur" parmi tant d'autres et qu'il n'est pas toujours celui qui est le mieux armé face aux autres dans le jeu politique local. L'approche micropolitique fine des processus politiques locaux et l'analyse du fonctionnement quotidien des arènes locales de pouvoir montrent que les arènes locales de pouvoir sont un niveau d'analyse pertinent des processus de construction de l'Etat et d'étude du politique en général, du fait des multiples interférences et chevauchements entre les enjeux, les ressources et les stratégies de pouvoir entre les niveaux local et national ainsi que du fait de la multi appartenance "arénique" des acteurs concernes. Ces hypothèses ont été développées sur onze chapitres a partir d'entrées thématiques transversales aux deux terrains (chefferie, pouvoirs élus, formes de visibilité locale de l'Etat, foncier, intervention des cadres ressortissants, pluralisme institutionnel, cultures politiques locales, etc. ) avec des analyses monographiques sur les aspects spécifiques des sites étudiés.
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Issaley, Nana Aïchatou. "L'élevage dans un contexte de communalisation au Niger : entre enjeux économiques et enjeux politiques : cas du département de Gouré et des éleveurs peuls." Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0471.

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Abstract:
Ce travail se propose de décrire et d'analyser les relations entre les communes et les éleveurs peuls dans le nouveau contexte de décentralisation au Niger. Il s'intéresse au secteur de l'élevage qui constitue un gisement fiscal important (et même le premier) pour les finances locales. La problématique centrale est que l'élevage et les éleveurs peuls sont confrontés à des enjeux économiques, institutionnels et politiques auxquels ils essaient de s'adapter et de s'imposer. Les communes font face à un manque patent de moyens et les fonds prévus par l'Etat ne sont pas toujours versés. Les défis sont nombreux tant sur le plan de l'accès aux services publics que sur celui de la mobilisation des moyens. L'élevage devient ainsi la ressource fiscale "sûre", bien que la contrepartie délivrée reste faible, voire inexistante. Les éleveurs peuls, considérés auparavant comme des "laissés-pour-compte", en dépit de l'importance de l'élevage, tentent de plus en plus à se positionner pour accéder aux biens et services publics ainsi qu'aux hautes sphères locales des responsabilités politiques. Ce qu'ils réussissent de fait de leur poids économique, politique et de l'influence de leurs réseaux sociaux. Par ailleurs ils arrivent aussi à faire fléchir les communes en leur imposant un boycott des marchés dénommé dangol pulaaku
This work focus on livestock in a communalization context in Niger, this study highlights the economic and political stakes for both a commune and a social group. With the establishment of the communes, livestock became the primary source of funding for local budget. The communes rely on the taxes levied on the cattle to fund their activities. As a result, in pastoral area, a livestock market conditions not only how well some communes are managed, but also their own existence. While Peullivestock holders provide the communes with significant resources, what are they receiving in return? Peul pastoralists now believe that entering the political arena is the most efficient way to have access to public resources, be heard by the communes and even the state. This renewed interest in politics translated into the involvment of peul in local politics, illustrating how a social minority emerges in the political arena. In addition to this involvment in politics and as they try to influence the communes, the Peul of Goure use a social and economic resistance, a form of market boycott they refer to as dangol pulaaku
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