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Lamy, Laurent, and Alexis Nouss. "L’abandon du traducteur." TTR : traduction, terminologie, rédaction 10, no. 2 (March 16, 2007): 13–69. http://dx.doi.org/10.7202/037299ar.

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Abstract:
Résumé L'abandon du traducteur — Un des jalons majeurs pour la traductologie contemporaine, l'essai sur la traduction de Walter Benjamin est aussi un texte central dans son oeuvre et dans la pensée moderne par ses liens à la philosophie du langage et à la philosophie de l'histoire. C'est dans cet éclairage que L. Lamy et A. Nouss proposent cette nouvelle traduction enrichie d'un important appareil de notes destiné à la fois à en faciliter la compréhension et à lui restituer toute sa densité conceptuelle.
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Ruiz Molina, Belén. "Traducción como red colaborativa hacia la subalternidad (Benítez, Ortese y Macciocchi: un caso de empoderamiento y affidamento en traducción)." Meta 56, no. 3 (March 6, 2012): 610–30. http://dx.doi.org/10.7202/1008336ar.

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Abstract:
La multidisciplinarité de la traductologie nous permet d’aborder, selon différentes perspectives théoriques, les phénomènes qui se produisent dans la pratique de la traduction. Les dernières tendances idéologiques envisagent la relation entre traduction et genre. Dans ce cadre, nous nous intéressons à l’engagement manifesté, par certaines traductrices, à l’égard de la traduction de la littérature féminine ainsi que des relations qui s’établissent entre auteure et traductrice. À partir des définitions d’autonomisation (empoderamiento) dans le domaine de la coopération et du développement, et des travaux sur la responsabilisation (affidamento) et la traduction, la présente étude se concentre sur le travail d’Esther Benítez, traductrice d’Anna María Ortese et de Maria Antonietta Macciocchi, et sur sa pratique de la traduction comme réseau de collaboration. De la relation entre les deux écrivaines italiennes et du contact qu’elles ont toutes deux maintenu avec Benítez, nous tenterons de mettre en lumière des nouvelles dimensions des concepts de subalternité (subalternidad), d’autonomisation et de responsabilisation. Esther Benítez, traductrice très réputée du français et de l’italien (ce qui lui a valu le Premio Nacional de Traducción en 1992, en reconnaissance de toute son oeuvre) en espagnol, a produit en parallèle un riche appareil critique (articles, préfaces, ateliers…), autant de sources paratextuelles dont nous extrayons les données traductologiques qui fondent notre étude.
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Rooryck, Guy, and Lieve Jooken. "Le péritexte des traductions anglaises du Discours sur les Sciences et les Arts de Jean-Jacques Rousseau : la voix énarrative du traducteur." Meta 58, no. 3 (May 9, 2014): 589–606. http://dx.doi.org/10.7202/1025053ar.

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Abstract:
Des échanges et des transferts entre les nations européennes naît au xviiiesiècle la conceptualisation d’un monde nouveau où la traduction joue un rôle médiateur indispensable. Recourant à l’appareil critique genettien, cette étude tente spécifiquement de définir une typologie des fonctions assumées par la voix du traducteur qui laisse une trace explicite ou implicite dans le discours traduit. Cette voix assume, dans l’appropriation du texte original, une fonction herméneutique définie ici comme « énarrative ». Le cas étudié est celui duDiscours sur les Sciences et les Arts(1751), qui a propulsé Rousseau sur l’avant-scène de la République des Lettres et qui a connu pas moins de quatre traductions anglaises du vivant de l’auteur. Séduits par l’éloquence qu’il s’agit d’égaler et par la hardiesse du propos, traducteurs et commentateurs expriment tantôt leur perplexité, tantôt leur fascination. Les traductions de Bowyer (1751), Wynne (1752), d’un auteur anonyme (1760) et de Kenrick (1767) contiennent dans leur appareil péritextuel de précieuses indications sur la réception des idées qu’elles propagent. Les traducteurs font ainsi entendre leur voixénarrativetant dans l’appareil titulaire que dans des préfaces originales en anglais, assumant ainsi les fonctionsméta-discursive,évaluative,argumentativeetextra-diégétiqueque cet article contribue à définir.
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Abi Rached, Naoum. "Poésie, paroles, sens." Hawliyat 12 (November 19, 2018): 59–74. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v12i0.217.

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Abstract:
Traduire les sciences ou les connaissances afférentes aux objets d'utilisation quotidienne comme les appareils ménagers, le téléphone portable ou l'ordinateur, obéit à un impératif économique. Dans ce cas de figure, l'inexactitude que com- mettrait un traducteur serait préjudiciable dans la mesure où elle fausserait les don- nées au point d'entraîner un mauvais fonctionnement de I 'appareil pouvant, dans des cas extrêmes, occasionner une catastrophe. Ici, l'opération traduisante se limite à une question terminologique où la marge de confusion, ou d'erreur de traduction de terme à terme, se trouve excessivement réduite, car, pour un même signifié, à un signifiant (x) dans une langue correspond un signifiant (y) dans une autre langue, quel que soit le degré de son expressivité pourvu qu'il soit unanimement compris, accepté ou consacré par l'usage. L 'observation prouve que la préférence va souvent pour l'utilisation d'un terme expressif et/ou imagé, surtout lorsque la chose signifiée n'a pas d'existence dans la langue d'arrivée. Dans cette dernière perspective, il arrive que même l'idée de traduire un terme soit bannie de l'esprit, en particulier dans le domaine alimentaire, comme pour: pizza, couscous ou paella etc. D'autre part, quel problème cela susciterait-il si le mot poubelle se disait en arabe sallat muhmalât, qumâmiyya ou zibâliyya ou autre... pourvu qu'il y ait acceptation, consensus, appropriation, utilisation de l'un ou de l'autre terme? Cette étude n'a pas la prétention de traiter la question de la traduction dans sa globalité, ni de l'épuiser. Beaucoup plus restrictive, elle vise la traduction poétique du français vers l'arabe et inversement, alliant la théorie à la pratique. Aussi, les problématiques, que cette traduction poétique sous-tend, dépassent- elles l'ordre général développé plus haut, sans se démarquer de lui, car elles se limitent à une branche spéciale de la littérature caractérisée par un écheveau de structures tropiques particulières.
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Beauvieux, Marie-Noëlle. "Akutagawa Ryûnosuke, Jambes de cheval, traduction et appareil critique Catherine Ancelot, postface Ninomiya Masayuki." Ebisu, no. 52 (September 20, 2015): 325–31. http://dx.doi.org/10.4000/ebisu.1742.

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Dion, Robert, and Frances Fortier. "Péculat biographique et enchevêtrement générique." Protée 31, no. 1 (June 10, 2004): 51–64. http://dx.doi.org/10.7202/008501ar.

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Abstract:
Résumé Cette étude examine les divers phénomènes de transposition qui se trouvent au principe de l’ouvrage de Thomas De Quincey intitulé Les Derniers Jours d’Emmanuel Kant (1827). La première partie révèle la singularité essentielle de ce texte qui a longtemps été attribué à De Quincey lui-même alors qu’il n’était, de fait, que la reprise intégrale, en traduction, d’Immanuel Kant in seinen letzten Lebensjahren (1804), œuvre du secrétaire de Kant, Wasianski. Ce matériau biographique se voit transposé par l’ajout d’un appareil de notes qui vient gauchir le statut proprement factuel du texte et lui donner une tonalité ironique ; les diverses traductions françaises du texte de De Quincey viendront d’ailleurs encore épaissir le palimpseste. La seconde partie de l’étude met en lumière, à partir de traits textuels majeurs (brouillage énonciatif, télescopage des temps, etc.), toute une série de transpositions proprement génériques qui interfèrent avec les genres mineurs, en vogue à l’époque, du recueil d’anecdotes, des mémoires et du tombeau. En fin de compte, Les Derniers Jours d’Emmanuel Kant apparaissent comme le détournement délibéré, sur les plans diégétique, discursif et axiologique, des traits prototypiques de la biographie.
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7

Shields, Kathleen. "Qui a peur de traduire Virginia Woolf?" Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 44, no. 1 (January 1, 1998): 15–28. http://dx.doi.org/10.1075/babel.44.1.02shi.

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Abstract:
Abstract A quarrel broke out in 1993 in the French literary press concerning the respective merits of two French translations of The Waves (1931). The first translation was by Yourcenar (1937) and the second by Wajsbrot (1993). Two contrasting conceptions of translating are apparent in the critics' positions, and also in the theory and practice (whether explicit or implicit) of the two translators. For Yourcenar, Woolf's text is part of an English literary system which is to be introduced to the French system. As a translator and author her role is to introduce Woolf to a French public. Wajsbrot, on the other hand, considers Woolf as an outstanding artist representative of the genius of the English language. The corollary is that the translator should make himself or herself invisible. These two positions can be related to two conceptions of the translator, the formalist and the romantic, respectively. From 1937 to 1993, the metaphors used indicate the decline of a formalist conception of translation in favour of an idea of the role of the translator which dates from romanticism. Which conception produces the better translation? Résumé En 1993 une querelle a agité la presse littéraire française concernant la valeur des deux traductions de The Waves (1931), celle de Yourcenar (1937) et celle de Wajsbrot (1993). Deux conceptions opposées de la traduction se manifestent dans les arguments dont se servent les critiques ainsi que dans la pratique et la théorie (que cette théorie soit explicite ou implicite) des deux traducteurs. Pour Yourcenar le texte de Woolf fait partie d'un système littéraire anglais qu'il faut introduire dans le système littéraire français. Comme traductrice et auteur, son rôle est donc d'introduire Woolf à un public français. Wajsbrot considère Woolf comme artiste extraordinaire qui représente le génie de la langue anglaise et devant qui la traductrice doit s'effacer. Ces deux conceptions de la traduction peuvent être rapprochées d'une part, d'une position formaliste, d'autre part d'une position romantique. De 1937 à 1993, les métaphores employées par les deux traductrices, et par les critiques, marquent le recul d'une conception formaliste de la traduction en faveur d'une conception du rôle du traducteur qui date du romantisme. Quelle conception produit la meilleure traduction?
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Lee, Tong King. "Translation and Language Power Relations in Heterolingual Anthologies of Literature." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 58, no. 4 (December 31, 2012): 443–56. http://dx.doi.org/10.1075/babel.58.4.05lee.

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Abstract:
This paper proposes a few models that describe the translational relationship among competing languages in a plurilingual society, using the heterolingual literary anthology as the material context for discussion. It argues that the heterolingual literary anthology is a powerful instrument with which we can gauge the power relations among various languages in a plurilingual society. In the making of such an anthology, translation is a central mechanism through which languages engage one another in symmetric or asymmetric exchanges. Specifically, translation constructs, moderates and negotiates language power relations by affording or depriving languages and their literatures of certain discursive properties, among which ‘visibility’ and ‘voice’ are prominent. A language is accorded visibility when it appears in an anthology, either as the source or the target language or both; it assumes a voice of its own when it translates other languages, as opposed to being translated by another language. The translational perspective thus throws light on the ideological constitution of an anthology by revealing the asymmetricities at work, enabling us to hypothesize on the state of language power relations in a plurilingual society, both synchronically and diachronically. Résumé Cet article propose quelques modeles qui decrivent la relation traductive entre des langues en concurrence dans une societe multilingue, en utilisant l’anthologie litteraire heterolingue comme contexte de discussion materiel. Il soutient que l’anthologie litteraire heterolingue est un instrument puissant avec lequel nous pouvons mesurer les relations de pouvoir entre differentes langues dans une societe multilingue. En realisant une telle anthologie, la traduction est un mecanisme central par lequel des langues s’engagent dans des echanges symetriques et asymetriques. En particulier, la traduction construit, modere et negocie les relations de pouvoir linguistiques en donnant a des langues et a leurs litteratures ou en les privant de certaines proprietes discursives, dont les principales sont la ‘visibilite’ et la ‘voix’. Une visibilite est donnee a une langue quand celle-ci apparait dans une anthologie, soit comme langue source, soit comme langue cible, soit les deux ; elle adopte une voix qui lui est propre quand elle traduit d’autres langues, par opposition au fait d’etre traduite dans une autre langue. Par consequent, la perspective traductive eclaire la constitution ideologique d’une anthologie en revelant les asymetries en jeu, en nous permettant de former des hypotheses sur l’etat des relations de pouvoir linguistiques dans une societe multilingue, de facon tant synchronique que diachronique.
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Buzelin, Hélène. "The Lonely Londoners en français : l’épreuve du métissage." TTR : traduction, terminologie, rédaction 13, no. 2 (March 19, 2007): 203–43. http://dx.doi.org/10.7202/037417ar.

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Abstract:
Résumé The Lonely Londoners en français : l'épreuve du métissage ߞ En 1956, l'écrivain trinidadien Sam Selvon (1923-1994) publiait The Lonely Londoners, un roman rédigé intégralement dans une variété de langue jusque là stigmatisée et confinée au domaine dialogal : le vernaculaire créole trinidadien. Bien qu'il fasse aujourd'hui partie des « classiques » de la littérature anglo-caribéenne, ce roman n'a toujours pas été traduit en français. À partir d'une étude de la matérialité puis des fonctions textuelles de cette représentation, l'essai révèle que si The Lonely Londoners offre un exemple original de créolisation littéraire, sa traduction suppose quant à elle la représentation d'un français créolisé qui, en conflit apparent avec les normes du polysystème cible et les projets politico-linguistiques des élites franco-antillaises, n'a pas encore eu droit de cité dans le littéraire. Constatant l'existence d'équivalents micro-textuels aux marqueurs de créolisation présents dans l'original, l'auteure suggère que les enjeux sous-tendant la traduction d'un tel roman ne peuvent se définir en termes d'authenticité ou bien de choix entre une stratégie traductionnelle de résistance ou de transparence. En effet, s'inspirant à la fois des langues-cultures trinidadienne et britannique, The Lonely Londoners oblige à sortir des dichotomies traditionnelles et à penser la traduction comme un processus tripartite entre langues-cultures française-anglaise-antillaise. Loin de remplacer une dialectique étrangère (Angleterre-Caraïbes) par une dialectique domestique (France-Antilles), ou de remodeler l'étranger à traduire en fonction des termes du débat dans le contexte cible, la traduction vient en quelque sorte perturber ce débat et proposer de nouvelles avenues en matière de créolisation littéraire.
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Doubinsky, Sebastien, and Merete Birkelund. "L'intraduisible et l'implicite. Frontières ou zones de contact en traduction ?" Bergen Language and Linguistics Studies 10, no. 1 (November 7, 2019): 11. http://dx.doi.org/10.15845/bells.v10i1.1414.

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Abstract:
The untranslatable and the implicit often represent the two limits of translation - the untranslatable by what can be expressed in only one language, and the implicit by what is not expressed in one language. Phenomena in a constant margin, phenomena in a liminary position (see Jacques Derrida), they overlap several territories, ranging from cultural to linguistic. Between the "nothing is translatable" and the "everything is translatable" delimited by Susan Apter, and the possible or impossible equivalences of Eugene Nida, these two notions are always troublesome, or at least, in motion. Indeed, the definitions themselves are sometimes blurred. What is untranslatable? Does "intraductible" mean inexplicable, unpredictable or incomprehensible? And how can we determine the implicit, since it is, above all, an absence, a meaning that lies beyond or below the text? However, despite this apparent absence, the transfer of the unsaid can be translated, but often by other linguistic means than those used in the source language. Since languages (in this context French and Danish) are not isomorphic, translation remains intimately linked to this reality. The task of the translator is to know how to transmit the combination of the implicit and the explicit, but also to try to explain what at first sight seems untranslatable in order to respect the (implicit) intention of the discourse of the language source.
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Gile, Daniel. "L’enseignement de la traduction japonais-français : une formation à l’analyse." Meta 33, no. 1 (September 30, 2002): 13–21. http://dx.doi.org/10.7202/002911ar.

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Abstract:
Summary Most Western translators of Japanese do not have quite a perfect understanding of the language. Some linguistic features of the Japanese language and its use by the Japanese also make it more difficult to translate than most other languages : its elliptic nature, its less than explicit logic, its grammar which provides few indications as to relations between nouns and noun clauses and few indications regarding time, its rapidly changing vocabulary and the rather loose way in which the Japanese tend to pose problems in translation . A third major problem for translators working from Japanese in the West is the lack of Japanese documentation and the difficulties encountered whenever they try to find Japanese resource persons to help them out with difficulties. Consequently, analysis is a must in translation from Japanese. Lexical analysis is mainly morphological in the case ofKango and phonological in the case of Gairaigo. Logical analysis of texts is necessary in testing meaning hypotheses, as the apparent "linguistic" meaning of text segments may be quite different from their true meaning. For complex, long or seemingly "agrammatical" or "illogical" sentences, the so-called "block analysis", which consists in identifying "blocks" encompassing noun phrases, identifying relationships between them, then streamlining sentences structurally and semantically until problems are pinpointed or solved, is an efficient analysis tool.
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Rocha, Delmiro. "Latidos de un poeta robot." Tropelías: Revista de Teoría de la Literatura y Literatura Comparada, no. 19 (May 27, 2013): 60. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_tropelias/tropelias.201319716.

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Abstract:
El poema en traducción del saber, su suspensión, como su contrapaso, aparece aquí como el resto del saber, en suma, el saber mismo que ya no sabe. A-identitario, a-poietico y a-humano/animal, el poema deja latir su corazón robotizado y pone en jaque, antes que al saber absoluto, al poema mismo. Le poème en traduction du savoir, sa suspension, en tant que son contrepas, apparait ici en tant que le reste du savoir, en somme, le savoir même qui ne sait plus. A-identitaire, a-poïétique, a-humain/animal, le poème laisse déjà battre son cœur robotique de même qu’il tient en échec d’abord le poème lui-même, puis le savoir absolu.
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Lamy, Laurent. "LA TRANSLATION DES RESTES :." Belas Infiéis 4, no. 1 (August 19, 2015): 111–58. http://dx.doi.org/10.26512/belasinfieis.v4.n1.2015.11316.

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Abstract:
Cet article présente la brève introduction et le premier chapitre d’un travail en chantier qui porte sur la chaîne de transmission du corpus aristotélicien à la faveur d’un réseau très ramifié de traductions du grec vers le pehlvi, le syriaque, l’arabe et le latin. Cette intervention vise à démonter et à rectifier quantité de distorsions délibérément induites par l’ouvrage d’un historien qui, sous couvert d’une entreprise à prétention scientifique, n’est qu’un brûlot pamphlétaire destiné à discréditer et à réduire à une « peau de chagrin » l’apport indéniable, avéré par une masse critique concluante de résultats obtenus par les chercheurs les plus chevronnés, de la culture savante arabo-musulmane qui a connu son apogée et s’est maintenue avec vigueur et constance comme source créatrice du VIIIe au XIVe siècle de notre ère. La « pièce à conviction » de ce procès avorté, qui est mise en évidence de façon quasi anecdotique dans la structure de l’ouvrage, est un agrégat assez mince de traductions du corpus aristotélicien effectuées directement du grec et exécutées avec divers degrés de félicité par les soins d’un clerc et canoniste d’expression latine, Jacques de Venise, qui aurait séjourné, rien de sûr, à l’Abbaye du Mont Saint-Michel au milieu du XIIe siècle. Sur cette base passablement friable l’A. infère que seule la culture judéo-chrétienne latine européenne peut être désignée comme l’héritière légitime du legs imposant de la culture grecque et hellénistique. Compte tenu de l’ampleur de ce chantier et de la qualité des équipes de chercheurs à pied d’oeuvre autour du legs arabo-musulman médiéval, cette insinuation est tout à fait aberrante. Dans la partie du travail ici présentée je fais simplement état du parti frauduleux que l’on peut tirer d’un appareil de références tronqué, hautement sélectif et conçu ad hoc pour masquer, voire oblitérer les sources les plus éloquentes et les plus pertinentes. Ce genre de manoeuvre porte atteinte à l’ethos qui ne peut manquer de gouverner toute recherche scientifique digne de ce nom. Il nous incombait donc de pulvériser cette chimère.
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Rabot, Cécile. "Rééditer l’Odyssée au xxie siècle." Articles 9, no. 1 (February 1, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1043120ar.

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Abstract:
L’article analyse le rôle de l’éditeur dans la traduction d’un classique, c’est-à-dire à la fois dans le choix d’une traduction du texte, mais aussi dans sa traduction en livre. Il s’appuie sur le cas des rééditions ou adaptations de l’Odysséed’Homère en langue française, publiées en France depuis 2000. Valeur culturelle et économique sûre, le classique, traduit dans toutes les langues, est aussi infiniment réédité en une multitude de versions, qui perpétuent et infléchissent le texte. Chaque version prend appui sur le capital symbolique du « grand auteur » et contribue à redistribuer l’auctorialité entre celui-ci et ceux qui le traduisent, l’adaptent, l’illustrent ou le commentent. La matérialité de l’objet et le paratexte (couverture, iconographie, préface, notice biographique, appareil pédagogique, glossaire, note sur la traduction, etc.) adressent le livre à des catégories de destinataires, l’orientent vers des usages (esthétiques, didactiques, éthiques, ou d’évasion) et, plus généralement, déterminent la manière dont il est perçu et lu.
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Wu, Hui, and C. Jan Swearingen. "Interality as a Key to Deciphering Guiguzi: A Challenge to Critics." Canadian Journal of Communication 41, no. 3 (July 25, 2016). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2016v41n3a3187.

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Abstract:
This article applies interality as a hermeneutic to a reassessment of Chinese rhetorical practice influenced by Guiguzi, China’s earliest treatise on the art of persuasion. Continuing controversy in Western studies and translations surrounds both Chinese rhetoric and the rhetorical value of Guiguzi. Using an ancient model for persuasion allegedly exemplifying the rhetorical principles in Guiguzi, this study proposes that Guigucian rhetoric requires critics to revise their understanding of relational rationality in several interalial interactions: among rhetorical contexts, as manifest in non-linear but nonetheless interrelated components of discourse, as reflected in an explicit awareness of change and space, and as an emphasis on human relationships in Master Guigu’s forms of logic and teaching of persuasion.Cet article utilise l’intéralité comme herméneutique pour la révision des pratiques rhétoriques chinoises influencées par Guiguzi, à savoir par le traité le plus ancient de la Chine sur l’art de persuader. La controverse est évidente dans les travaux de recherche occidentaux et les traductions qui accompagnent la rhétorique chinoise, en particulier celle de Guiguzi. Par l’utilisation d’un modèle de persuasion ancien similaire aux modèles rhétoriques du Guiguzi, cet article oblige la critique littéraire à reconsidérer son raisonnement au sein de plusieurs échanges interaliés: dans les contextes rhétoriques, dans les parties de discours non-linéaires mais cependant reliées, dans la conscience explicite du changement et de l’espace, et le côté humain apparent dans la formation de la logique par le Maître Guigu, ainsi que sa façon d’enseigner l’art de la persuasion.
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Fernández Delgado, José Antonio. "Alain Lernould. Plutarque. Le visage qui apparaît dans le disque de la lune / De facie quae in orbe lunae apparet. Texte grec, traduction, notes et trois études de synthèse. Villeneuve d’Ascq: Presses Universitaires du Septentrion, 2013, 148 pp. ISBN 978-." Exemplaria Classica 19 (November 25, 2015). http://dx.doi.org/10.33776/ec.v19i0.2675.

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Bühler, Nolwenn. "Procréation médicalement assistée." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.043.

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Abstract:
L’expression « procréation médicalement assistée (PMA) » est utilisée pour désigner les techniques médicales permettant la manipulation des gamètes – ovules et sperme – hors du corps humain dans le but d’engendrer un nouvel être humain, et, par extension, le domaine de la médecine qui a pour but de traiter l’infertilité. Les techniques de base comprennent l’insémination de sperme, la fécondation in vitro (FIV), ainsi que la congélation de gamètes ou d’embryons. En ouvrant les processus biologiques de la procréation à l’intervention médicale et à la contribution biologique de tiers – par exemple dans le don de sperme, d’ovules ou la grossesse pour autrui (GPA) – elles ouvrent des possibilités inédites de division du travail reproductif. On parle également de Nouvelles Techniques de Reproduction (NTR) (Tain 2015) ou de Techniques de Reproduction Assistée (TRA) en référence au terme anglais Assisted Reproductive Technologies (ART) (Courduriès et Herbrand 2014) pour désigner ces techniques. Depuis la naissance du premier « bébé éprouvette » en 1978 en Grande-Bretagne, leur liste ne cesse de s’étendre, marquant ainsi une technologisation croissante des processus de création de la vie humaine, mais également sa normalisation et standardisation (Franklin 2013a), ainsi que son inscription dans un marché globalisé de la procréation en pleine expansion (Waldby et Mitchell 2006). Dès ses débuts, l’anthropologie s’est intéressée aux différentes représentations qui entourent la création de la vie, ainsi qu’à son organisation sociale et à sa régulation. Cet intérêt s’est manifesté dans l’étude de la parenté, domaine ayant occupé une place centrale dans la discipline au point qu’il en est devenu un emblème. Dès les travaux de Lewis Henry Morgan (1871) sur les systèmes de parenté et la distinction qu’il établit entre systèmes classificatoires et descriptifs, on trouve les traces d’un questionnement sur ce qui fonde les liens de parenté et la place des liens de sang. Comment comprendre, toutefois, que la contribution physiologique masculine à la procréation n’apparaisse pas comme nécessaire au fondement de la paternité chez les Trobriandais étudiés par Malinowski (2010) ? Cette question qui a généré un débat de plusieurs décennies sur l’« immaculée conception (virgin birth) » et la supposée ignorance des peuples dits « primitifs » quant aux « faits de la vie (facts of life) » (Delaney 1986 ; Franklin 1997) montre à quel point l’étude de la parenté s’est construite sur une distinction implicite entre les faits biologiques de la procréation et les catégories sociales et culturelles de la parenté. Cette distinction se retrouve également au cœur de la célèbre analyse de Levi-Strauss (1949) sur les interdits et prescriptions qui régulent le choix de partenaires reproductifs et qui marqueraient le passage même de la nature à la culture. L’anthropologue américain Schneider (1984) a critiqué la distinction implicite entre parenté sociale et biologique qui sous-tend l’étude classique de la parenté, en montrant à quel point elle est façonnée par le modèle de parenté prévalant aux États-Unis. Cependant, l’apport majeur des travaux anthropologiques plus anciens à l’étude de la procréation médicalement assistée est de montrer que le biologique n’est jamais suffisant à faire des enfants, ou en d’autres termes que la procréation est toujours assistée, et que les systèmes de parenté et l’institution du mariage figurent parmi les premières techniques de reproduction permettant de diriger la transmission de la substance reproductive (Franklin 2013a). En suivant la critique de Schneider et sous l’impulsion des études féministes qui se développent dans les années 1970, les études de la parenté prennent alors une nouvelle orientation plus critique, en se rapprochant des études sur le genre, et en mettant la reproduction au cœur de la recherche anthropologique. L’essor de la procréation médicalement assistée auquel on assiste dans les années 1980 contribue grandement à ce renouvellement en raison des questions qu’elle pose pour ces domaines d’études. On distingue généralement deux grandes phases dans l’orientation des recherches sur la PMA (Thompson 2005). Ces techniques ont, dans une première phase qui couvre grosso modo les années 1980 et le début des années 1990, suscité beaucoup de débats. Elles ont été fortement critiquées tant dans les milieux féministes français (Testard 1990 ; Lesterpt et Doat 1989), qu’anglo-saxons (Spallone et Steinberg 1987). La critique produite dans cette première phase peut se lire à la lumière des débats générés par le mouvement féministe des années 1970 sur les inégalités entre les hommes et les femmes, la problématique médicalisation du corps des femmes et plus généralement l’invisibilisation de leur travail reproductif (Tabet 1985). Elle met notamment en avant le risque d’exploitation et de contrôle du corps des femmes soumises à l’injonction normative à la maternité (Rouch 2002). Elle vise également la fausse promesse faite par la PMA d’apporter une réponse médicale à l’infertilité, tout en dissimulant des taux de succès très bas et en parlant d’infertilité « de couple », alors que toutes les interventions ont lieu sur le corps des femmes (Van der Ploeg 1999). Si la critique féministe demeure présente, une attention croissante à la complexité de la PMA et de son vécu se développe dans une deuxième phase qui couvre grosso modo la deuxième moitié des années 1990 et les années 2000. En effet, alors que le recours à la PMA s’est de plus en plus normalisé, ces techniques ne cessent d’interroger les catégories de parenté et les représentations de la création de la vie qui semblent le plus tenues pour acquises. Ce qui est mis en avant c’est la dimension paradoxale de la PMA, notamment en raison de sa capacité à reproduire du même et imiter la nature, tout en produisant de l’entièrement nouveau (Franklin 2013b ; McKinnon 2015). Par exemple, ces techniques sont mises au service de la parenté génétique, et tendent à la naturaliser, mais la dénaturalisent également en mettant en lumière le travail nécessaire à sa réalisation (Thompson 2005). Ce faisant, elles déplacent et brouillent les frontières entre nature et culture, privé et public, local et global, passivité et agentivité, offrant ainsi un terrain fertile au développement de la réflexion anthropologique. Actuellement, deux grandes lignes de recherche se développent. La première – les New Kinship Studies ou Nouvelles Études de la Parenté – poursuit le questionnement de l’anthropologie de la parenté. Ces études cherchent, d’une part, à comprendre comment les techniques de procréation médicalement assistée troublent la distinction entre nature et culture et contribuent à transformer la notion même du biologique (Strathern 1992 ; Franklin 2013a). Elles investiguent, d’autre part, l’émergence de nouvelles configurations familiales rendues possibles par ces techniques. Elles s’interrogent notamment sur les transformations des conceptions de la maternité, de la paternité, et du modèle familial bilatéral, en se penchant sur les expériences vécues des couples ou sur les appareils juridiques qui les encadrent (Porqueres i Gené 2009). La division de la maternité entre ses dimensions éducative, gestationnelle et génétique, rendue possible par le don d’ovules et la GPA, est particulièrement discutée (Kirkmann 2008). La question de l’anonymat des donneurs de sperme et donneuses d’ovules (Konrad 2005) et de la ressemblance (Becker et al. 2005) font aussi l’objet d’analyses socio-anthropologiques, ainsi que, de manière émergente, les communautés de « frères » et « sœurs » qui peuvent se constituer autour d’un même donneur (Edwards 2015). De plus, tout un pan de la recherche s’intéresse aux manières de faire famille dans les couples gays, lesbiens, et trans, et à la manière dont le modèle de famille hétéronormatif est renforcé ou au contraire, contesté et transformé (Mamo 2007 ; Herbrand 2012). Une deuxième lignée de recherche – l’étude sociale de la reproduction – se focalise plutôt sur la médicalisation de l’expérience reproductive et de l’infertilité et sur ses conséquences pour les femmes. Elle s’interroge sur sa stratification (Ginsburg et Rapp 1991) et met en lumière l’imbrication de processus situés à différents niveaux allant du corporel – niveau cellulaire, génétique – au culturel, historique et structurel – comprenant par exemple l’État, le marché, et la religion (Almeling 2015). Adoptant une perspective globale et sortant du cadre national, tout un pan de recherche s’intéresse à la circulation des gamètes, des donneurs et donneuses, des couples en recherche d’enfants et à la constitution d’un marché et d’un « tourisme » de la reproduction (Waldby et Mitchell 2006 ; Kroløkke 2012). Cherchant à remédier à la focalisation générale des études sur les femmes, un nombre croissant de recherches se penche sur les expériences masculines de l’infertilité et de la PMA (Inhorn 2004). Finalement, suivant le développement récent de techniques permettant de congeler des ovules, d’anticiper la baisse de la réserve ovarienne et de préserver la possibilité d’avoir un enfant génétique dans le futur, on assiste à l’émergence d’études focalisant sur la biomédicalisation de l’infertilité liée à l’âge (Martin 2010 ; Baldwin et al. 2014 ; Bühler 2014 ; Waldby 2015). Alors que la technologisation de la procréation ne cesse de s’étendre, comme le montre la récente naissance d’un bébé conçu grâce à une technique de transfert mitochondrial, appelée couramment « FIV à trois parents » (génétiques) (Couzin-Frankel 2016), elle continue à aiguiser la réflexion anthropologique en offrant un « miroir au travers duquel nous pouvons nous regarder » (traduction de la citation en épigraphe, Franklin 2013a :1).
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