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Journal articles on the topic 'Approche fonctionnaliste'

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Chiriac, Dragos. "Fonctionnalisme technologique en musique." Articles 35, no. 1 (February 14, 2017): 3–26. http://dx.doi.org/10.7202/1038942ar.

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Abstract:
Dans le jargon philosophique habituel, un jugement de type « universel » est un concept toujours valide dans toutes les situations / époques, qui s’applique à tous les individus qu’il a la prétention de catégoriser. Au cours de cet article, nous suggérons que l’ébauche d’une quelconque définition « universelle » de l’art doit se heurter à des problèmes ontologiques (l’essence de l’art) sérieux. Nous proposons qu’il soit plus prudent de s’abstenir de faire de tels jugements en ayant une approche fonctionnaliste pour décrire sans définir le processus créatif ainsi que les oeuvres qui y aboutissent. Nous faisons la démonstration de cette approche construite sur un refus conscient de définir l’art, en analysant (avec les catégories des fins et des moyens) le rapport à la technologie du pianiste Glenn Gould. Il s’agit, en quelque sorte, d’un dialogue ouvert avec le lecteur. Finalement, nous aboutissons à la conclusion qu’il peut être pertinent pour le chercheur-créateur (un mélange entre le théoricien et l’artiste qui cherche à valider son art) d’opter pour une esthétique singulière ou d’essayer de constituer une théorie universelle de l’art en attaquant le problème ontologique par le biais de la linguistique (une suggestion, sans garanties). En dehors de notre approche fonctionnaliste, qui par rigueur intellectuelle peut tendre vers un relativisme insatisfaisant, il s’agit des seuls choix prometteurs qui ne se limitent pas aux analyses historiques ou aux analyses d’oeuvres individuelles (le paradigme actuel de l’enseignement théorique universitaire en musique) auxquels nous avons pensé.
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2

Nicolas, Serge. "Une approche fonctionnaliste de la lecture et de la mémoire des textes." L'année psychologique 98, no. 1 (1998): 127–65. http://dx.doi.org/10.3406/psy.1998.28615.

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3

Andújar Moreno, Gemma. "Texte et paratexte dans la traduction assermentée des documents universitaires : une approche contrastive français-espagnol." Meta 58, no. 1 (March 12, 2014): 66–86. http://dx.doi.org/10.7202/1023810ar.

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Abstract:
À partir de l’étude contrastive d’un corpus de documents universitaires français et leurs traductions assermentées en espagnol, l’objectif du présent travail est d’analyser, d’un point de vue fonctionnaliste, les techniques de traduction appliquées dans le processus de transfert textuel. Grâce aux concepts de méthode de traduction et de technique de traduction, l’analyse contrastive permet d’examiner non seulement les aspects textuels de la traduction assermentée, mais aussi la dimension paratextuelle de cette modalité de traduction spécialisée. Les résultats mettent en évidence la tension entre adéquation et acceptabilité que sous-tend toujours le processus de traduction et le rôle essentiel que joue la culture de départ dans la détermination de la méthode de traduction globale.
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Fokou, Éric. "La notion d’économie du contrat en droit français et québécois." Revue générale de droit 46, no. 2 (January 11, 2017): 343–77. http://dx.doi.org/10.7202/1038621ar.

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Abstract:
Pour la doctrine française, l’économie du contrat constitue l’une des notions prétoriennes les plus influentes en droit contemporain des contrats. Notion à géométrie variable, née en jurisprudence française en 1894, l’économie du contrat fut reprise dès 1919 par les juridictions québécoises. Son essor reste cependant plus significatif en droit français où elle a reçu, depuis lors, une stature constitutionnelle. Cette étude propose, dans une approche systématico-fonctionnaliste, d’examiner les contours et les solutions que la notion inspire à travers le prisme du droit comparé, et présente dès lors un grand intérêt pour la doctrine québécoise où elle demeure encore peu connue.
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Deshpande, Rohit, and Frederick E. Webster. "Culture d'organisation et marketing: Une liste des priorités pour la recherche." Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 4, no. 4 (December 1989): 25–49. http://dx.doi.org/10.1177/076737018900400402.

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Abstract:
Les travaux actuels portant sur le marketing management sont fondés implicitement sur une perspective contingente ou structurelle/fonctionnaliste des organisations. Néanmoins, le champ de recherche sur le comportement organisationnel, dont découle une telle approche, s'est fortement développé à partir de la modélisation théorique et de la recherche empirique sur la culture d'organisation. Les auteurs procèdent à une revue de cette littérature émergente sur la culture d'organisation, l'intègrent dans un cadre conceptuel, pour ensuite dégager les priorités de la recherche marketing qui s'appuie sur les cinq paradigmes culturels que sont: le management comparatif, le management contingent, l'approche cognitive, le symbolisme organisationnel et l'analyse structurelle/psychodynamique.
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Clavien, Christine. "Comment comprendre les émotions morales." Dialogue 48, no. 3 (September 2009): 601–18. http://dx.doi.org/10.1017/s001221730999014x.

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Abstract:
RÉSUMÉ : Cet article a pour objet de questionner la possibilité de l’existence des émotions morales et d’en déchiffrer la notion. Je commence par relever brièvement les faiblesses de différentes lectures philosophiques des émotions morales avant de poursuivre sur une voie à première vue prometteuse qui consiste à en fournir une explication fonctionnaliste évolutionnaire : les émotions morales auraient pour fonction évolutive de soutenir les relations sociales coopératives. Après analyse, il apparaît cependant que cette approche présente également d’importantes faiblesses. En fin de compte, je propose d’abandonner l’idée d’émotion intrinsèquement morale au profit d’une solution «minimale» : la «moralité» est une appellation attribuée aux émotions (ou plus justement aux épisodes émotionnels) lorsqu’elles apparaissent dans des contextes moralement pertinents.
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Cazenave, Caroline. "Utilisation raisonnée des mini-implants d’ancrage dans la correction des classes II subdivisions pour une approche globale." Revue d'Orthopédie Dento-Faciale 55, no. 2 (May 2021): 223–59. http://dx.doi.org/10.1051/odf/2021015.

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Abstract:
La classe II subdivision est une malocclusion complexe d’origine multifactorielle, beaucoup mieux définie depuis quelques années avec l’imagerie 3D. Moins de la moitié des classes II subdivision prend son origine dans une déviation d’une des deux arcades, maxillaire ou mandibulaire, le restant mettant en jeu des mécanismes de mise en place fonctionnels beaucoup plus complexes. Les mécaniques de distalisation sur ancrage squelettique ont apporté une réponse évidente aux besoins de symétrisation des arcades. Mais les mini-implants d’ancrage ont également largement démontré leur intérêt dans le contrôle tridimensionnel des arcades. Ainsi, par le biais du plan d’occlusion, la croissance peut être réorientée, la mandibule repositionnée. Le cone-beam permet désormais de cibler notre action en nous offrant une meilleure lecture des phénomènes de bascule et de torsion d’arcade rencontrés. Cet article a pour objectif de proposer une approche globale des classes II subdivision, mécano-occluso-fonctionnaliste.
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CAËT, STÉPHANIE. "Développement de la référence à soi chez une enfant de 1;05 à 3;00: de l'influence de l'input à la reconstruction du système." Journal of French Language Studies 22, no. 1 (January 24, 2012): 77–93. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269511000597.

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Abstract:
ABSTRACTCette étude adopte une approche à la fois fonctionnaliste et usage-based de l'acquisition du langage pour rendre compte des formes non conventionnelles de référence à soi en position sujet chez une enfant francophone, Anaé, entre 1;05 et 3;00. D'une part, nos analyses quantitatives et qualitatives révèlent la présence, après 2 ans, d'un paradigme de verbes à valeur modale pour lesquels la référence à soi en position sujet peut être implicite. Pour ces verbes, comme pour tous les verbes avant 2 ans, un sujet grammatical est essentiellement produit dans des situations où l'enfant exprime un positionnement intersubjectif. D'autre part, la production de formes non conventionnelles met en évidence la création d'associations entre des formes et des contextes interactionnels spécifiques. L'analyse du langage adressé à l'enfant suggère que ces associations trouvent notamment leur origine dans le langage de la mère.
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DANDURAND, Pierre, and Émile OLLIVIER. "Les paradigmes perdus." Sociologie et sociétés 19, no. 2 (September 30, 2002): 87–102. http://dx.doi.org/10.7202/001164ar.

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Abstract:
Résumé Ce texte présente une tentative de périodisation des quarante dernières années de recherche en sociologie de l'éducation, quarante années au cours desquelles on a vu la sociologie de l'éducation au gré de la conjoncture historique et politique s'institutionnaliser dans le cadre d'une vision fonctionnaliste et économiste de l'école, se radicaliser en développant un regard critique sur ¡es rapports École et Société et finalement opérer un déplacement vers une approche plus interne, plus axée sur le sujet et les savoirs véhiculés à l'intérieur des systèmes d'enseignement. En mettant en relief les textes majeurs qui fondent Sociologie de l'Éducation, au moins dans trois espaces géographiques, les USA, la France, la Grande-Bretagne, cet article rend compte des écoles de pensée, des moments de tension qui marquent non seulement la sociologie de l'éducation mais aussi les conjonctures théoriques du champ de la sociologie en général. En bout de piste, les auteurs n'hésitent pas à constater l'éclatement des paradigmes jusqu'ici dominants et à poser des interrogations indiquant dans quel sens sont susceptibles de s'orienter les recherches et pratiques à venir.
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Popineau, Joëlle. "(Re)penser l’enseignement de la traduction professionnelle dans un master français : l’exemple des zones d’incertitudes en traduction médicale." Meta 61, no. 1 (June 28, 2016): 78–103. http://dx.doi.org/10.7202/1036984ar.

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Abstract:
La traduction médicale hautement technique et rigoureuse occupe une place à part dans l’enseignement de la traduction (Balliu 2005) et demande une formation spécifique des apprenants et de leurs formateurs. Dans le master français de traduction de l’Université de Lorraine, cette formation prend appui sur les connaissances linguistiques et grammaticales acquises par nos apprenants dans les cursus de traduction générale. Les premières traductions médicales proposées portent sur la fiche médicament. Nous constatons que la première source d’incertitudes porte sur le vocabulaire spécialisé médical et que la seconde est liée à l’expression de la modalité, phénomène linguistique général. Les théories de la traduction traditionnellement enseignées en France dans les cursus universitaires généraux en langues (Vinay et Darbelnet 1958 ; Chuquet et Paillard 1989 ; Quivy 2010) sont appliquées à la traduction d’énoncés médicaux contenant des modaux et du lexique médical ; et il apparaît que ces zones d’incertitude persistent. Au-delà de la dimension linguistique incontournable dans l’enseignement de la traduction, les dimensions extralinguistiques, telles la recherche documentaire, la dimension communicative et la phraséologie médicale, jouent un rôle dans ce type de traduction professionnelle. Fortement réglementée dans sa rédaction, la fiche médicament est un document informatif, contenant des éléments scientifiques attestés par le milieu médical et s’adressant à un lectorat très large, quelquefois profane. L’approche fonctionnaliste (Nord 1997/2008) intègre ces dimensions et développe une stratégie traductionnelle basée sur la notion centrale de fonction du texte cible. Étudiée par les formateurs et enseignée à nos apprenants, cette approche particulièrement adaptée à la traduction médicale (Montalt et Gonzáles Davies 2007) permet de faire disparaître les incertitudes rencontrées en vocabulaire spécialisé médical et dans des énoncés contenant des modaux.
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Feuillard, Colette. "Dik et Martinet, deux approches du fonctionnalisme." La linguistique 48, no. 2 (2012): 27. http://dx.doi.org/10.3917/ling.482.0027.

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Racine, Luc, and Gilbert Renaud. "De la crise des sciences sociales aux pratiques d’une socialité silencieuse." II. Connaissance et action : de nouvelles incertitudes, no. 15 (January 13, 2016): 77–84. http://dx.doi.org/10.7202/1034437ar.

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Abstract:
Limites du causalisme, échec du positivisme et effondrement des grandes approches théoriques que furent le marxisme et le structuro-fonctionnalisme : autant de facettes de la présente « crise » épistémologique et éthique des sciences sociales. Dans une pareille situation, l’adoption d’un point de vue relativiste et acritique représente une solution plus qu’honorable. Cette démarche s’accompagne d’une prise en compte de l’importance du rapport à l’autre, et d’une perspective compréhensive plutôt qu’explicative. Une telle approche peut s’avérer féconde pour une éventuelle réorientation du travail social. En ce domaine, l’imaginaire du Progrès et de sa critique pourrait bientôt céder le pas à celui d’une socialité silencieuse et délinquante, à la fois créatrice et passionnée.
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Liberge, Gwenaëlle, Stéphane Lebrun, Axel Couture, and Pierre Grandclaudon. "Approche synthétique efficace pour l’assemblage d’α-méthylène-γ-butyrolactones diversement fonctionnalisées." Comptes Rendus Chimie 14, no. 10 (October 2011): 916–26. http://dx.doi.org/10.1016/j.crci.2011.03.006.

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Cosinschi, M. "Cartographie et géographie : approche épistémologique ternaire." Geographica Helvetica 63, no. 4 (December 31, 2008): 245–52. http://dx.doi.org/10.5194/gh-63-245-2008.

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Abstract:
Abstract. Cet article prend pour objet le statut épistémologique de la carte géographique. Le but de la réflexion est de proposer un modèle épistémologique ternaire explicite applicable à la cartographie et la géographie. Une intuition topologique originale faite d’horizontalité| verticalité/diagonalité est à la base de cette logique ternaire s’appliquant aux concepts et non aux propositions. Elle permet d’énoncer et de préciser les enjeux du passage du binaire au ternaire, d’éclairer sous un angle nouveau des méta-concepts fondamentaux, tels ceux d’ordre|hiérarchie/organisation, de transparence|miroitement/translucide-diaphane pour le statut de la carte, d’échelle|légende/implantation pour la structure de la carte ou d’information|signification/ communication pour sa fonctionnalité et d’expliciter les prémisses conceptuelles du discours sur la carte et la géographie dans une logique de médiation.
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Hassenteufel, Patrick, and Bruno Palier. "Le social sans frontières ? Vers une analyse transnationaliste de la protection sociale." I Les frontières du social : Convergence ou divergence ?, no. 45 (February 26, 2008): 13–27. http://dx.doi.org/10.7202/009396ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les travaux, aujourd'hui assez nombreux, sur le lien entre la globalisation (ou la mondialisation) et les changements récents des systèmes de protection sociale peuvent faire l'objet d'une double critique. Les approches qui reposent sur une analyse unilatérale de l'impact de la globalisation ont, en premier lieu, pour défaut d'opposer de façon cloisonnée dimension interne (nationale) et dimension externe (internationale). En second lieu, elles sont fortement teintées de fonctionnalisme, qu'il soit économique ou institutionnel. Il est, au contraire, nécessaire d'articuler dimension interne et dimension externe afin de différencier non seulement les effets de la globalisation sur les États-providences, mais aussi la globalisation en elle-même. C'est par l'introduction d'une perspective comparative qu'il est possible d'opérationnaliser une approche transnationaliste de la protection sociale partant des acteurs internationaux comme acteurs de transferts de politiques sociales faisant l'objet d'adaptations nationales variées.
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PICHÉ, Victor. "La démographie sociale au Québec : un premier bilan." Sociologie et sociétés 19, no. 1 (September 30, 2002): 9–24. http://dx.doi.org/10.7202/001554ar.

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Abstract:
Résumé L'objectif de cet article est de passer en revue les modèles explicatifs qui dominent la démographie sociale au Québec. Il suit le découpage classique en démographie, découpage qui fait appel aux trois composantes de la reproduction démographique, la fécondité, la migration et la mortalité. Une dernière partie porte sur le concept de "régime démographique" qui vise à réunir les trois composantes dans une théorie globale de la reproduction démographique. L'article montre que si pendant très longtemps, la tradition fonctionnaliste et empiriste (surtout américaine) a dominé le champ démographique, les approches féministes et matérialistes ont récemment fait leur apparition dans l'interprétation des faits démographiques.
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PICHÉ, Victor, and Jean POIRIER. "Les théories de la transition démographique : vers une certaine convergence?" Sociologie et sociétés 22, no. 1 (September 30, 2002): 179–92. http://dx.doi.org/10.7202/001555ar.

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Abstract:
Résumé Cet article a pour but de présenter dans leur convergence et leurs oppositions les principaux courants théoriques développés autour du concept de transition démographique tel qu'appliqué aux pays du Tiers-Monde. Quatre courants sont identifiés : le structure-fonctionnalisme, le culturalisme. le marxisme et le féminisme. Les auteurs dégagent deux grandes tendances dans les débats récents autour de la question de la transition en démographie : d'une part, une convergence des approches macrostructurelles et. d'autre part, une opposition grandissante entre ces dernières et celles qui privilégient les facteurs culturels.
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Bolaji, A. I., T. O. Ojebode, O. S. Adekanye, and A. O. Bolaji. "Influence of Family Structure and Functionality on Immunization Status of Infants Attending GOPC of BMC Saki." Research Journal of Health Sciences 8, no. 3 (October 9, 2020): 163–74. http://dx.doi.org/10.4314/rejhs.v8i3.2.

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Abstract:
Introduction: Vaccine-preventable diseases are endemic in Nigeria, and contribute greatly to childhood morbidities and mortalities. Good family structure has been reported to improve children's wellbeing, health and eating habit, but the contribution of family structure together with family functionality on immunization status has not been documented. Overall, the goal of the research was to determine the level of immunization status in the study population, assess their knowledge of immunization and determine what influence family structure and functionality have on children's immunization status.Methods: A cross-sectional descriptive study was conducted in 2016 in the General outpatient clinic (GOPC) of Baptist Medical Centre (BMC), Saki, Oyo State. Family APGAR Scale and self-design questionnaire were used to collect data from 299 respondents using systematic sampling technique. A SPSS (version 21) was used for the analysis.Results: Our results showed that 82.9% of the respondents were fully immunized and 98% had knowledge about Immunization. Majority of the respondents came from functional families, accounting for 85.6% of cases. The following factors were found to be statistically significantly associated with immunization status: family functionality (X2 = 101.694, P = 0.000), family type (p value =0.000), family size (p value = 0.000), ethnic group (p value = 0.000) and number of children (P value = 0.000)Conclusion: Our findings showed that there is an adequate knowledge of immunization in the study population, and that a child's immunization status is significantly influenced by the family structure and functionality. However, given the fact that this is a single, hospital-based study, several multi-center studies would have to be employed not just to validate this conclusion but also to inform policy making. Keywords: Immunization status, family structure, family functionality, vaccine, health facility, Nigeria French Title: Influence de la structure familiale et de la fonctionnalité sur le statut de vaccination des nourrissons assistant au GOPC de BMC, Saki Les morts évitables par la vaccination restent endémiques et contribuent de manière significative à la morbidité infantile au Nigéria et il a été reconnu qu'une bonne structure familiale améliore le bien-être, la santé et les habitudes alimentaires des enfants, mais la contribution de la structure et de la fonctionnalité de la famille au statut vaccinal n'est pas encore établie. Le but de cette étude est de déterminer le niveau d'immunisation des répondants, d'évaluer leurs connaissances en matière d'immunisation et de déterminer l'influence de la structure et de la fonctionnalité de la famille sur l'état de vaccination. Méthode de l'étude: Une étude descriptive transversale a été menée en 2016 dans la clinique externe générale (GOPC) du Baptist Medical Center (BMC), Saki, dans l'état d'Oyo. L'échelle familiale APGAR et le questionnaire d'auto-conception ont été employés pour recueillir des données auprès de 299 répondants à l'aide d'une technique d'échantillonnage systématique. Un SPSS (version 21) a été utilisé pour l'analyse. Résultats de l'étude: Les résultats ont révélé que la majorité (82,9%) des répondants était entièrement immunisée et que 98% avaient des connaissances sur la vaccination. La majorité des répondants (85,6%) étaient issus de familles fonctionnelles. La fonctionnalité de la famille était statistiquement significative sur le statut vaccinal (X2 = 101,694, P = 0,000) ainsi que sur certaines composantes de la structure familiale: type de famille (P = 0,000), taille de la famille (P = 0,000), groupe ethnique (P = 0,000), et nombre d'enfants (P = 0,000)Conclusion: Les répondants avaient une connaissance adéquate de la vaccination. De plus, la fonctionnalité familiale et la structure familiale influencent le statut vaccinal des nourrissons. Par conséquent, d'autres études devraient être menées sur l'influence de la fonctionnalité et de la structure de la famille sur le statut vaccinal en utilisant une approche multicentrique. Mots-clés: Immunisation, fonctionnalité familiale, structure familiale, vaccine
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Boungou Bazika, Jean-Christophe. "Essai de définition et fonctionnalité de l’entreprise familiale dans une perspective africaine." Revue internationale P.M.E. 18, no. 3-4 (February 16, 2012): 11–30. http://dx.doi.org/10.7202/1008480ar.

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Abstract:
L’entreprise familiale n’est pas facile à définir, surtout en partant des réalités africaines. L’objectif du présent article est de souligner les difficultés méthodologiques qu’une telle définition soulève et d’indiquer les fonctions importantes que remplit l’entreprise familiale africaine. La méthodologie utilisée est basée sur une approche comparative Afrique / Occident, entreprise familiale / entreprise individuelle. L’analyse conclut que l’individualisation croissante de la société en Afrique tend à limiter la création d’entreprises familiales au profit d’entreprises individuelles.
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Martouzet, Denis, Hélène Bailleul, Benoît Feildel, and Lise Gaignard. "Dossier « Approches urbaines insolites » – La carte : fonctionnalité transitionnelle et dépassement du récit de vie." Natures Sciences Sociétés 18, no. 2 (April 2010): 158–70. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2010020.

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Bastin, Georges L. "Aventures et mésaventures de la créativité chez les débutants." Meta 48, no. 3 (February 4, 2004): 347–60. http://dx.doi.org/10.7202/007595ar.

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Abstract:
Résumé Dans le cadre du cours d’initiation à la traduction professionnelle à l’Université de Montréal, avec pour fondement la théorie fonctionnelle de Nord (1991, 1997), nous nous sommes donné comme objectif général d’apprentissage l’affranchissement de la littéralité et comme stratégie d’enseignement la stimulation de la créativité. Afin d’évaluer les résultats de cette approche « créative », nous avons comparé les performances d’une quarantaine d’étudiants en début d’apprentissage et à l’issue de 45 heures d’enseignement. L’analyse d’erreurs a révélé, comme il était somme toute normal de s’y attendre, un nombre de fautes de langue et de sens considérablement moindre dans l’exercice de fin de cours. Toutefois, des fautes d’un nouvel ordre apparaissent comme conséquence de l’application de certains principes théoriques fonctionnalistes. La présente étude examine et illustre les tenants et les aboutissants de l’adoption d’une approche théorique comme la nôtre dans un cours d’initiation à la traduction professionnelle.
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Heiskala, Risto. "Economy and society: from Parsons through Habermas to semiotic institutionalism." Social Science Information 46, no. 2 (June 2007): 243–72. http://dx.doi.org/10.1177/0539018407076648.

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Abstract:
English The great transformation to modernity made the economy the major organizing factor of the social synthesis, thus bringing forth the issue of the economy/society relationship as the central problem of modern social theory. This article deals with two broad approaches to this problem: Parsons's and Habermas's variants of structural-functionalism, on the one hand, and various currents of (neo)institutionalism, on the other. An attempt to synthesize the benefits of these conflicting approaches is made from the point of view of semiotic institutionalism. What emerges is a general theoretical framework, which is better equipped than the original structural-functionalist and institutionalist conceptions for the analysis of the economy/society relationship. French Les grandes transformations vers la modernité ont fait de l'économie le principal facteur organisateur de la synthèse sociale, portant sur le devant de la scène la question de la relation économie/société en tant que question centrale de la théorie sociale moderne. L'article s'intéresse à deux grandes approches de cette question: les variantes structuro-fonctionnalistes de Parsons et Habermas d'une part, et divers courants du (néo)institutionnalisme de l'autre. L'auteur s'efforce de faire la synthèse des points forts de ces deux approches conflictuelles du point de vue de l'institutionnalisme sémiotique. Il en émerge un cadre théorique général plus adapté que les conceptions structurofonctionnalistes et institutionnalistes à l'analyse de la relation économie/société.
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Beausoleil, Jocelyn R. "À quoi peut bien servir la notion d’égalité si elle n’est ni vraiment heuristique ni simplement éristique?" Égalité, justice et différence 11, no. 1 (January 9, 2007): 137–55. http://dx.doi.org/10.7202/203246ar.

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Abstract:
Résumé Je resitue tout d'abord la notion d'égalité dans le contexte historique de la société industrielle moderne, afin d'en retracer la genèse. Cette approche vise à introduire le lecteur au problème de la saisie conceptuelle de la notion d'égalité et de la détermination de son contenu. C'est l'occasion de discuter si cette notion peut répondre à une fonction heuristique ou bien si elle n'a qu'un rôle éristique. L'hypothèse développée est qu'une telle notion constitue plutôt une représentation schématique de celle de justice. La vacuité principielle du schème d'égalité a, par ailleurs, toujours pour effet de nous reconduire en définitive à l'examen de sa fonctionnalité opérationnelle.
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Karazivan, Noura. "Le fédéralisme coopératif entre territorialité et fonctionnalité : le cas des valeurs mobilières." Revue générale de droit 46, no. 2 (January 11, 2017): 419–72. http://dx.doi.org/10.7202/1038623ar.

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Abstract:
L’histoire constitutionnelle canadienne, et le fédéralisme en particulier, oscillent traditionnellement entre deux horizons analytiques contrastés : le premier, issu d’une approche territoriale ou dualiste, considère les compétences exclusives comme un terrain à morceler; le second repose sur une interprétation fonctionnelle des chefs de compétence et rejette l’étanchéité du partage des compétences que suppose le dualisme. Celui-ci alimente les écrits de juristes soucieux de préserver une fédération centralisée, où le palier fédéral aurait les coudées franches pour adopter des politiques législatives uniformes et efficaces à travers le pays. De ces deux visions contrastées, le fédéralisme coopératif est l’héritier, un peu désorienté, un peu en quête d’identité. Même s’il est fréquemment associé à une conception plus fonctionnelle du partage des compétences, il demeure balisé, voire astreint, par les limites imposées par le dualisme. Chacune de ces visions sera explorée dans la première partie de cet article, à travers les écrits de deux figures de proue de l’histoire constitutionnelle canadienne, les juges, doyens et auteurs Jean Beetz et Bora Laskin. Une attention particulière sera portée à la manière dont chacun de ces auteurs a entrevu le fédéralisme coopératif, ses potentialités, ses risques. La seconde partie de ce texte étudie les divers usages du fédéralisme coopératif dans la jurisprudence constitutionnelle canadienne, en distinguant le recours au fédéralisme coopératif dans l’assouplissement de doctrines interprétatives, d’une part, et le recours à ce même principe en présence de régimes coopératifs intégrés, d’autre part. La troisième partie prend le litige des valeurs mobilières pour point d’ancrage, en effectuant, d’abord, un retour sur le Renvoi relatif à la Loi sur les valeurs mobilières, et en anticipant le rôle potentiel que le fédéralisme coopératif pourrait jouer dans le second renvoi, qui s’est amorcé, à l’automne 2016, devant la Cour d’appel du Québec.
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Bertoldi, Nicola. "Existe-t-il un paradigme darwinien ? Pour une ontologie historique de la théorie de l’évolution." Lato Sensu: Revue de la Société de philosophie des sciences 5, no. 1 (September 27, 2018): 50–60. http://dx.doi.org/10.20416/lsrsps.v5i1.8.

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Abstract:
La théorie de Darwin est considérée par de nombreux historiens comme une véritable révolution scientifique, raison pour laquelle l’objectif de cet article est précisément de rendre compte des caractères révolutionnaires de cette théorie, dans le cadre d’une conception des révolutions scientifiques empruntée à l’œuvre de Thomas Kuhn. Cela implique, notamment, la définition d’un « paradigme darwinien », à la fois comme matrice disciplinaire et comme solution exemplaire à un problème donné. Dans un tel but, nous définirons la structure et le contenu de la théorie de Darwin, afin de mettre au jour la problématique qui pourrait être à la base d’un « paradigme darwinien », c’est-à-dire le problème de la complexité adaptative du vivant. Nous identifierons ensuite ce qui distinguerait ce paradigme des autres, si bien que le problème de la complexité ne saurait être posé et résolu que dans son cadre. Pour ce faire, nous nous concentrerons sur deux dichotomies : d’une part, celle entre fonctionnalisme et formalisme, d’autre part, celle entre naturalisme et idéalisme. En conclusion, nous mettrons au jour les limites de l’épistémologie kuhnienne pour l’analyse de la théorie de l’évolution, ce qui nous amènera à equisser les contours d’une approche alternative, que nous appellerons « ontologie historique ».
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Jeon, Mi-Yeon, and Annie Brisset. "La notion de culture dans les manuels de traduction." Meta 51, no. 2 (August 14, 2006): 389–409. http://dx.doi.org/10.7202/013264ar.

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Abstract:
Résumé Reconnaître que la traduction est une activité de médiation culturelle engage à intégrer l’interculturalité à la formation des traducteurs. On étudie depuis longtemps l’interdépendance des langues et des cultures et son incidence sur la traduction: les approches varient selon l’idée qu’on se fait de la culture et de la traduction, et selon les disciplines mobilisées. En examinant comment la notion de culture est abordée dans des manuels de traduction qui ont marqué la formation des traducteurs dans les dernières décennies, on relève que la culture est principalement envisagée comme un obstacle qui se matérialise dans des problèmes d’ordre surtout linguistique. Sans négliger le rôle des interlocuteurs et du contexte, les approches didactiques privilégient les aspects lexico-syntaxiques, sans beaucoup d’égards pour les dimensions discursives de la textualité proprement dite. Même si le fonctionnalisme a ouvert la formation aux aspects pragmatiques de la traduction, ceux-ci restent subordonnés à une conception logico-grammaticale du texte et ils touchent principalement le rapport implicite/explicite. On note l’absence notoire d’une définition de la culture partout où l’on reconnaît pourtant qu’elle détermine de façon plus englobante la production et l’interprétation du sens. La culture est abordée le plus souvent de façon programmatique. Sur ce point, la didactique de la traduction apparaît donc en net retrait par rapport à la critique traductologique marquée par le tournant culturel des années 1990.
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Cesko, Enver. "Transkulturelle Psychotherapie." Psychotherapie-Wissenschaft 8, no. 2 (October 2018): 51–56. http://dx.doi.org/10.30820/8243.09.

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Abstract:
Dieser Artikel zeigt die Funktionsweise der Positiven und Transkulturellen Psychotherapie in verschiedenen transkulturellen Umgebungen auf. In diesem Artikel werden die psychodynamischen, humanistischen und integrativen Herangehensweisen in Situationen vorgestellt, in denen transkulturelle Fragen im Mittelpunkt stehen. Der Artikel legt dar, wie ein Psychotherapeut, obwohl er tief in der orientalischen, osmanischen Kultur verwurzelt ist, das Wissen und die Erfahrung, die aus dieser orientalischen Umgebung stammen, mit den wissenschaftlichen Fortschritten des Okzidents verbinden kann, um diese Probleme zu lösen. Arbeiten aus diesen beiden kulturellen Traditionen werden zitiert und veranschaulicht. Psychothérapie transculturelle. De nouvelles perspectives dans l’application clinique Cet article démontrera la fonctionnalité de la Psychothérapie Positive et transculturelle dans différents environnements transculturels. Cet article présentera les approches psychodynamiques, humanistes et intégratives dans des situations dans lesquelles les questions transculturelles sont la question en débat. L’article montrera comment un psychothérapeute, bien que profondément ancré dans la culture orientale, ottomane, peut fusionner la connaissance et l’expérience recueillie dans cet environnement oriental avec les avancées scientifiques de l’occident pour résoudre ces problèmes. Des travaux de ces deux traditions culturelles seront cités et illustrés.
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Bonnaud-Le Roux, Sophie. "L’engouement du marketing pour la confiance : quelle place pour l’éthique ?" Revue Communication & professionnalisation, no. 6 (July 9, 2018): 78–99. http://dx.doi.org/10.14428/rcompro.v0i6.3453.

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Abstract:
On observe depuis quelques années un engouement pour la notion de confiance parmi les discours marketing, qui est emblématique d’un déplacement des catégories réflexives d’un marketing dit transactionnel vers un marketing dit relationnel. Une analyse socio-sémiotique d’un corpus de sources professionnelles montre que la confiance des consommateurs vis-à-vis des marques y est pensée comme la résultante de comportements stratégiques empreints d’un savoir-être relationnel. Celui-ci se coache et se construit suivant un système de codes, supposément empruntés à la sphère interpersonnelle. Le projet de cet article ne vise pas à préjuger de la qualité éthique des démarches professionnelles, mais à questionner l’approche fonctionnaliste et technicisante de la confiance marque-consommateurs, en interrogeant le lien entre d’une part les démarches communicationnelles préconisées et mises en place au sein de la fonction marketing et d’autre part les aspects éthiques de la confiance. Marketing shifted from a transactional to a mainly relational approach over the last few years. This article displays the results of a socio-semiotic analysis based on book chapters and articles written by professionals, all of them mentioning trust between brands and customers. This analysis shows that brand-customer trust is thought of as the result of a relational know-how using the codes of human relationships. This article questions this technicizing and functionalist representation of trust as well as both strategic and ethical dimensions of “customer relationship” in marketing representations.
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Vera, Julie, Anne-Catherine Brulez, Elise Contraires, Mathieu Larochette, Stéphane Valette, and Stéphane Benayoun. "Synthèse bibliographique : micro-texturation et microinjection de thermoplastiques." Matériaux & Techniques 105, no. 3 (2017): 303. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2017034.

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Abstract:
La fonctionnalisation de surface des matériaux et notamment des polymères fait l'objet de recherches intenses dans de nombreux secteurs tels que l'industrie du biomédical ou du transport afin de conférer aux pièces des propriétés spécifiques comme l'antibuée, la réduction du frottement ou le dégivrage… Dans le cas d'une production en grande série de pièces polymères fonctionnalisées, il est préférable, pour des questions de coûts, de générer des textures, au moyen d'une technique de reproduction d'empreinte comme l'injection plastique. Toutefois les fonctions requises nécessitent parfois la reproduction de dimensions microniques voire submicroniques poussant à ses limites la maîtrise du procédé conventionnel, avec les caractéristiques de l'injection de micro-pièces, mais aussi des spécificités propres à la micro-texturation. L'objet de cette revue bibliographique est de couvrir le large spectre des problèmes techniques et scientifiques associés à la micro-texturation des pièces plastiques. Les techniques d'usinage de ces micro-motifs sur les outillages et le rôle des revêtements est particulièrement décrit ainsi que le besoin de mettre en œuvre des approches spécifiques de caractérisation topographique des textures. L'influence des paramètres du procédé d'injection est aussi discutée, soulignant la nécessité d'appréhender la micro-texturation des pièces plastiques avec une nouvelle grille de lecture de la microinjection.
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Yuefang, Wang. "Exploring Cultural Transmission and Translation Strategies in the Perspective of Functionalist Approaches: A case study of the two English versions of Hongloumeng." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 58, no. 4 (December 31, 2012): 471–87. http://dx.doi.org/10.1075/babel.58.4.07wan.

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Abstract:
This paper attempts to apply the functionalist approaches to a comparative study of the two English versions of Hongloumeng in terms of the translation of culture-specific items. The author tries to explore the important role the translation skopos and translation brief play in the choice of translation strategies and offers some comments on the legitimacy of these strategies employed. The analysis of the translation of culture-specific items is conducted in the following five subcultures: ecology, material culture, social culture, religious culture and linguistic culture. Through both a qualitative analysis and quantitative data in which 190 samples covering five cultural categories are collected randomly from the first 80 chapters, the research reveals that the two translators of Hongloumeng employ different strategies in most cases, namely, the Yangs mostly adopt foreignization in order to introduce the Chinese cultural heritage, while Hawkes employs domestication with a purpose of reaching out to the target reader. Résumé Cet article cherche a appliquer les approches fonctionnalistes a une etude comparative des deux versions anglaises de Hongloumeng pour ce qui concerne la traduction d’elements specifiques a la culture. L’ auteure cherche a explorer le role important que le skopos et le briefing de la traduction jouent dans le choix des strategies traductionnelles et enonce certains commentaires sur la legitimite de ces strategies utilisees. L’ analyse de la traduction d’elements specifiques a la culture est menee dans les cinq souscultures suivantes : ecologie, culture materielle, culture sociale, culture religieuse et culture linguistique. Grace a une analyse qualitative et a des donnees quantitatives dans lesquelles 190 echantillons couvrant cinq categories culturelles sont tires au hasard des 80 premiers chapitres, la recherche revele que les deux traducteurs de Hongloumeng emploient des strategies differentes dans la plupart des cas : les Yang adoptent le plus souvent une etrangeisation pour presenter l’heritage culturel chinois alors que Hawkes a recours a une domestication pour etablir un contact avec le lecteur cible.
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Renaud, P., H. Wahab, L. Bontoux, M. Dauty, I. Richard, and C. Brégeon. "Prothèse totale inversée de l’épaule et insuffisance de la coiffe des rotateurs : évaluation et approche de paramètres anatomiques prédictifs d’une bonne fonctionnalité à propos de 21 cas." Annales de Réadaptation et de Médecine Physique 44, no. 5 (June 2001): 273–80. http://dx.doi.org/10.1016/s0168-6054(01)00102-7.

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Adanhounme, Armel Brice. "Le transfert des pratiques de flexibilisation de l’emploi dans une firme multinationale : le rôle charnière des acteurs locaux des filiales." Articles 71, no. 2 (June 9, 2016): 274–98. http://dx.doi.org/10.7202/1036610ar.

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Abstract:
Summary À contre-courant des approches fonctionnaliste, culturaliste et, dans une moindre mesure, constructiviste sur le transfert transnational des pratiques organisationnelles dans les firmes multinationales (MNC), qui insistent toutes sur le rôle primordial des gestionnaires supposés faire le pont entre la maison-mère et les filiales, cet article recourt aux processus de négociation sociale dudit transfert par les acteurs locaux plutôt intéressés par ce qu’ils y gagnent. Pour mieux comprendre les raisons de la réussite (ou de l’échec) du transfert des pratiques de flexibilisation qu’une MNC nord-américaine cherche à implanter dans sa filiale au Ghana et qu’elle a mises en pratique au Canada, l’article propose un modèle analytique de deux facteurs capables d’en influencer l’issue : les mécanismes de gouvernance locale et l’agence micropolitique. Le premier facteur souligne la finalité économique du transfert et traduit les arrangements institutionnels initiés par les gestionnaires des filiales, notamment avec l’exécutif syndical au Canada et la communauté locale au Ghana. Cette gouvernance locale produit une segmentation à l’intérieur du marché de travail au Canada (les permanents vs les temporaires) et à l’extérieur dans la communauté au Ghana (les travailleurs vs la communauté). Quant au second facteur, le rôle politique des acteurs, il reflète les enjeux locaux en termes de survie de l’usine, dans un cas, et de préservation des traditions socio-ethniques, dans l’autre. Ces acteurs locaux qui contrôlent la segmentation des pratiques de flexibilisation de l’emploi dans leur filiale respective jouent ainsi un rôle charnière dans le processus du transfert dont ils conditionnent la réussite. L’article conclut qu’il y a une négociation sociale nécessaire des pratiques organisationnelles que la maison-mère cherche à transférer aux filiales et que la réussite ou l’échec du transfert est fonction de la portée du consensus négocié avec les acteurs touchés par les enjeux, et pas seulement de la finalité économique recherchée par les politiques d’hybridation.
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Guimberteau, J. C., B. Panconi, R. Boileau, J. Sentucq, and J. Baccach. "17 Le glissement des tendons fléchisseurs de la main. approche nouvelle par introduction de la microanatomie et du dessin en 3D. Redéfinition des termes traditionnels, proposition de concepts plus fonctionnalistes et holistiques." Chirurgie de la Main 19, no. 6 (December 2000): 319. http://dx.doi.org/10.1016/s1297-3203(00)73514-1.

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Milton, Jack, Renaud Fortuner, and Jim Diederich. "Genisys and computer-assisted identification of nematodes." Nematology 2, no. 1 (2000): 17–30. http://dx.doi.org/10.1163/156854100508863.

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Abstract:
AbstractIdentification of species for the study of biodiversity in the phylum Nemata is defined as being able to identify any of the 12 000 described species of nematodes, and being able to recognise when the specimen under study belongs to a species unknown to science. Moreover, this large-scale identification must be done by biologists who are not expert taxonomists. It is argued that printed identification aids are too rigid and unreliable, and molecular identification aid is too limited, to be used in this context. Only computer identification tools are flexible, reliable, and general enough to give a non-taxonomist the possibility to identify any species. However, a review of existing tools and approaches shows that they fall short of reaching this objective. The functionality of a general identification system that could overcome the problems and difficulties encountered in the use of computerised tools is then described. This system (which has been described by the authors in several articles under the name of Genisys) would include a general database with all the characters from all the published descriptions of nematodes species and a set of integrated identification tools. Some of these tools would export the data into formats usable by existing identification and systematics tools. Other tools would have to be developed to support new approaches. A guidance tool would help the non-expert user by suggesting the successive computerised tools to be used during an identification session or by directing the user to other approaches, such as molecular identification in the case of heteroderids or some Meloidogyne species. L’identification des espèces pour l’étude de la biodiversité dans le phylum Nemata est définie comme la possibilité d’identifier n’importe laquelle des 12 000 espèces décrites du groupe et d’être capable de reconnaître que le spécimen étudié appartient à une espèce non encore décrite. En outre, ce type d’identification à grande échelle doit pouvoir être pratiqué par des biologistes qui ne sont pas des taxinomistes. Il est montré que les aides imprimées à l’identification sont trop rigides et trop peu fiables et que l’identification moléculaire est encore de portée trop limitée pour être utilisables dans ce contexte. Seuls les outils d’identification assistée par ordinateur sont suffisamment flexibles, fiables et généraux pour permettre à un non taxinomiste d’accomplir les identifications définies plus haut. Pourtant, une revue des outils existants et des approches utilisées montre qu’ils sont incapables d’atteindre l’objectif fixé. La fonctionnalité d’un système d’identification général capable de résoudre les problèmes soulevés par l’utilisation d’outils informatisés est ensuite décrite. Ce système (décrit par les auteurs du présent article sous le nom de Genisys) doit comprendre une base de données avec tous les caractères inclus dans les descriptions publiées des espèces connues et un ensemble d’outils d’identification intégrés. L’un de ces outils devrait permettre d’exporter les données sous des formats utilisables par les outils existants d’identification et de systématique. D’autres outils devraient être développés pour mettre en œuvre de nouvelles approches. Un outil de guidage aiderait le non-spécialiste en lui suggérant les outils informatiques à utiliser successivement dans le cadre d’une session d’identification ou en le dirigeant vers d’autres approches telles que l’identification moléculaire dans le cas de certains Hétérodérides et d’espèces de Meloidogyne.
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Hesketh, John E., and Stéphane Villette. "Intracellular trafficking of micronutrients: from gene regulation to nutrient requirements." Proceedings of the Nutrition Society 61, no. 4 (November 2002): 405–14. http://dx.doi.org/10.1079/pns2002176.

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Abstract:
RésuméLa distribution intracellulaire des micronutriments ainsi que leur absorption sont importantes pour les fonctions cellulaires. Dans certains cas la distribution des micronutriments ou des protéines associées est déterminée par des mécanismes liés à l'expression des gènes. La région 3' non traduite (3'UTR) de l'ARNm de la métallothioneine-1 détermine la localisation de ce message et, par conséquent, la localisation intracellulaire de la protéine qu'il code. En utilisant des cellules transfectées nous avons montré que la métallothioneine-1 est transportée vers le noyau ou elle exerce un rôle dans la protection contre le stress oxydant et les dommages causés à l'ADN. Quand l'apport nutritionnel en Se est limité, l'expression des sélénoproteines est altérée. Toutefois celle-ci n'est pas affectée de fac¸on identique pour toutes les sélénoproteines; le Se disponible étant utilisé de fac¸on prioritaire pour la synthèse de certaines d'entre elles. Cet ordre de priorité met en jeu des différences dans la traduction et la stabilité de leur ARNm qui sont sous le controle de séquences dans la région 3' non traduite. Potentiellement, des variations génétiques affectant ces mécanismes régulateurs peuvent moduler les besoins en nutriments. Des polymorphismes génétiques ont été décrits dans le 3'UTR des ARNm de deux sélénoproteines; l'un d'entre eux affectant la synthèse de la sélénoproteine correspondante. Ces exemples illustrent comment des approches moléculaires peuvent contribuer à accroître notre compréhension du métabolisme et des besoins en nutriments à différents niveaux. Premièrement, elles permettent d'étudier les effets régulateurs des gènes et de leurs produits. Ensuite, la compréhension de ces effets peut fournir un modèle pour étudier le métabolisme des nutriments au niveau cellulaire. Ainsi, lorsque des effets essentiels sont identifiés, la connaissance du génome humain et les bases de données sur les polymorphismes génétiques constituent des outils complémentaires pour définir l'étendue de la variation génétique des gènes revêtant une importance nutritionnelle. Enfin, la fonctionnalité de ces variations peut être définie et des sous-groupes de la population, possédant des besoins nutritionnels différents, peuvent etre identifiés.
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Van Den Auweele, Dirk. "Rechtshistorisch Onderzoek in België: 75 Jaar Canonistiek." Tijdschrift voor Rechtsgeschiedenis / Revue d'Histoire du Droit / The Legal History Review 61, no. 3 (1993): 349–65. http://dx.doi.org/10.1163/157181993x00204.

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Abstract:
AbstractL'étude de l'histoire du droit canonique en Belgique (1918-1993) est portée, essentiellement, par les facultés de droit canonique de l'université de Louvain. Jusqu'en 1968 l'Université Catholique de Louvain (U. C.L. et K.U. Leuven) était dotée d'une faculté unitaire de droit canonique (Faculté de Droit canonique / Faculteit Kerkelijk Recht). En 1968, à l'occasion du "splitsing", deux facultés autonomes et indépendantes furent creées: une Faculté de Droit canonique à l' U. C.L. (Louvain-la-Neuve), qui s'intégrait très rapidement dans la Faculté de Théologie et qui perdait ainsi très vite sa spécificité - on vient d'ailleurs de la suspendre -; une Faculteit Kerkelijk Recht à la K. U. Leuven (Leuven) dotée d'un statut spécial et particulier ("bijzondere faculteit"), qui connaît une expansion toute relative (e.a. grâce à son orientation anglo-américaine). Evidemment, la position actuelle du droit canonique positif se caractérise par un rétrécissement grandissant, dû à la position de l'Eglise en tant qu'institution (la séparation de l'Eglise et de l'Etat) et, à l'intérieur de l'Eglise, à une perte certaine de sa fonctionnalité en faveur d'une approche théologique. Ces conditions particulières ne favorisent pas l'étude de l'histoire du droit canonique. Deux chercheurs éminents d'une renommée internationale, issus de ces facultés, ont déterminé l'étude du droit canonique: Monseigneur A. Van Hove (1872-1947) et le Chanoine Gérard Fransen (°1915). Van Hove doit sa renommée à ses études sur les rapports juridiques concernant la principauté de Liège, sur l'histoire de l'université de Louvain en général et, en particulier, sur la faculté de droit canonique et sur la doctrine médiévale, mais, avant tout, à ses Prolegomena. Parmi ces élèves on compte, e.a., H. Wagnon et W. Onclin. G. Fransen s'est concentré et se concentre davantage sur l'étude des manuscrits canoniques (analyses, stemmata codicum) et les sources canoniques (éditions critiques et approche typologique). On lui doit, e.a., une édition modèle de la Summa 'Elegantius in iure divino'seu Coloniensis, des contributions approfondies sur les collections canoniques, les décrétales et les collections de décrétales, les questiones et la doctrine canonique médiévale. Il compte parmi ses élèves, e.a., C. Van de Wiel, E. Van Balberghe et D. van den Auweele. Monseigneur H. Wagnon (1906-1983) et Monseigneur W. Onclin (1905-1989) ont largement contribué à l'étude de l'histoire de droit canonique. Wagnon était un spécialiste reconnu de relations entre l'Eglise et l'Etat au XIXe siècle. Le nom de Onclin, promoteur de Fransen, est associé à Vaticanum II et au nouveau Code de droit canonique (1983). L'étude de l'histoire du droit canonique ne se limite pas à ces facultés ni, d'ailleurs, à l'université de Louvain. Signalons, à titre d'exemple, les études de J. Warichez (Etienne de Tournai), M. Nuttinck (Zeger-Bernard Van Espen), de J. Roegiers, D. van den Auweele, W. Prevenier, P.C. Boeren, e.a. A l'université de Gand deux élèves de R.C. van Caenegem, à savoir D. Lambrecht et M. Vleeschouwers-Van Melkebeek, ont examiné la pratique judiciaire (la synode paroissiale, les officialités). L'avenir de l'histoire du droit canonique se situe dans la grande tradition instaurée par H. Kantorowicz, S. Kuttner, E. Kantorowicz, P. Legendre, G. Fransen, P. Landau (la genèse et la généalogie du droit canonique à partir du XIe-XIIe siècles, tout en conservant son approche érudite et scientifique classique (S. Kuttner, G. Fransen) et en s'alignant sur la voie tracée par P. Landau (la perspective de l'élaboration d'un droit européen).
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Segal, Eyal. "L’école de Tel Aviv, une approche rhétorique et fonctionnaliste du récit." Cahiers de Narratologie, no. 28 (October 30, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/narratologie.7289.

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Landon, Jason, Katie Palmer Du Preez, Maria Bellringer, Max Abbott, and Amanda Roberts. "On the Feasibility of In-Venue Observations of Electronic Gaming Machine Gamblers and Game Characteristics." Journal of Gambling Issues, no. 36 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2017.36.9.

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Abstract:
Detailed observational studies of undisturbed gambler behaviour in venues are rare, especially when the focus is on continuous gambling such as electronic gaming machines (EGMs). EGMs are the main source of harmful gambling in New Zealand and all EGMs in New Zealand now include a mandatory pop-up message feature. The present study reports on 48 hours of in situ observations of EGM gamblers in casino and non-casino (pub) venues in New Zealand. We sought to establish whether relatively detailed observations of EGM features and gambler behaviour in venues were possible. The EGM feature that we focused on were pop-up messages, given their harm-minimization potential and the relative ease with which they can be observed. However, other EGM features were also documented, along with descriptive accounts of associated gambler behaviour. The results establish that relatively detailed (quantitative or qualitative) observational data can be collected in venues by using smart phones. The data showed that pop-up messages were generally attended to, but had little observable effect on gambler behaviour in venues. Direct in situ observation of gamblers can provide ecologically valid information to complement more common experimental and survey-based approaches. Suggestions are made for developing the procedure.Les études d’observation détaillée in situ sur le comportement non perturbé de joueurs sont rares, surtout si on met l’accent sur le jeu continu, comme avec les appareils de jeux électroniques. En Nouvelle-Zélande, ces appareils sont la principale source de jeux compulsifs, et tous les appareils dans ce pays incluent dorénavant une fonctionnalité obligatoire de message contextuel. La présente étude fait état de 48 heures d’observation in situ de joueurs sur appareils dans des casinos ou d’autres lieux (bars) en Nouvelle-Zélande, et on a cherché à déterminer s’il était possible de faire des observations relativement détaillées des caractéristiques et du comportement de joueurs dans ces lieux. On a mis l’accent sur la fonctionnalité des messages contextuels pour analyser leur potentiel de diminuer des méfaits et leur relative facilité à les observer. On a aussi consigné d’autres fonctionnalités d’appareils de jeu, ainsi que des comptes-rendus descriptifs du comportement des joueurs associés. Les résultats montrent que l’on peut recueillir des données d’observation in situ relativement détaillées (quantitatives ou qualitatives) à l’aide de téléphones intelligents. Les données montrent que les messages contextuels ont généralement été pris en compte, mais qu’ils ont eu peu d’effet observable sur le comportement des joueurs. L’observation directe de joueurs peut fournir des informations écologiquement valables pour appuyer les approches expérimentales communes par sondage. On y fait aussi quelques suggestions pour mettre en œuvre une procédure.
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Landon, Jason, Katie Palmer Du Preez, Maria Bellringer, Max Abbott, and Amanda Roberts. "On the Feasibility of In-Venue Observations of Electronic Gaming Machine Gamblers and Game Characteristics." Journal of Gambling Issues, no. 36 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i36.3982.

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Abstract:
Detailed observational studies of undisturbed gambler behaviour in venues are rare, especially when the focus is on continuous gambling such as electronic gaming machines (EGMs). EGMs are the main source of harmful gambling in New Zealand and all EGMs in New Zealand now include a mandatory pop-up message feature. The present study reports on 48 hours of in situ observations of EGM gamblers in casino and non-casino (pub) venues in New Zealand. We sought to establish whether relatively detailed observations of EGM features and gambler behaviour in venues were possible. The EGM feature that we focused on were pop-up messages, given their harm-minimization potential and the relative ease with which they can be observed. However, other EGM features were also documented, along with descriptive accounts of associated gambler behaviour. The results establish that relatively detailed (quantitative or qualitative) observational data can be collected in venues by using smart phones. The data showed that pop-up messages were generally attended to, but had little observable effect on gambler behaviour in venues. Direct in situ observation of gamblers can provide ecologically valid information to complement more common experimental and survey-based approaches. Suggestions are made for developing the procedure.Les études d’observation détaillée in situ sur le comportement non perturbé de joueurs sont rares, surtout si on met l’accent sur le jeu continu, comme avec les appareils de jeux électroniques. En Nouvelle-Zélande, ces appareils sont la principale source de jeux compulsifs, et tous les appareils dans ce pays incluent dorénavant une fonctionnalité obligatoire de message contextuel. La présente étude fait état de 48 heures d’observation in situ de joueurs sur appareils dans des casinos ou d’autres lieux (bars) en Nouvelle-Zélande, et on a cherché à déterminer s’il était possible de faire des observations relativement détaillées des caractéristiques et du comportement de joueurs dans ces lieux. On a mis l’accent sur la fonctionnalité des messages contextuels pour analyser leur potentiel de diminuer des méfaits et leur relative facilité à les observer. On a aussi consigné d’autres fonctionnalités d’appareils de jeu, ainsi que des comptes-rendus descriptifs du comportement des joueurs associés. Les résultats montrent que l’on peut recueillir des données d’observation in situ relativement détaillées (quantitatives ou qualitatives) à l’aide de téléphones intelligents. Les données montrent que les messages contextuels ont généralement été pris en compte, mais qu’ils ont eu peu d’effet observable sur le comportement des joueurs. L’observation directe de joueurs peut fournir des informations écologiquement valables pour appuyer les approches expérimentales communes par sondage. On y fait aussi quelques suggestions pour mettre en œuvre une procédure.
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Iwaszko, Ida, Patricia Lojkine, Christine Evain, and Christopher de Marco. "LE LIVRE NUMÉRIQUE ENRICHI EZOOMBOOK ET SES APPLICATIONS DANS LE CHAMP SCOLAIRE." Revue de recherches en littératie médiatique multimodale 8 (August 20, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1050940ar.

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Les nouvelles technologies constituent un défi que notre école se doit de relever. Dans le cadre de notre projet eZoomBook (eZB), nous créons des livres numériques enrichis, grâce au format eZB, à partir de textes du patrimoine. Ce format de livre numérique permet d’intégrer plusieurs onglets et documents (versions dans différentes langues, résumés, images, documents audio, vidéo, etc.) accessibles de manière quasi instantanée grâce à la fonctionnalité « zoom » du format eZB. Notre objectif relève d’une transmission de patrimoine littéraire en adéquation avec la mission que Hannah Arendt assigne à l’école en inscrivant l’apprenant dans un monde nécessairement plus ancien que lui. En proposant aux élèves l’outil numérique eZB, nous leur donnons, de manière concrète, « les moyens de comprendre et d’organiser la complexité » (Becchetti-Bizot, 2012) et d’intégrer des OSS (Objets Sémiotiques Secondaires) à une construction collaborative. Nos travaux, en collaboration avec l’Académie de Nantes, rendent compte de l’intérêt d’eZB pour des enseignants du cycle 3 et livrent les résultats de notre expérimentation dans une classe de primaire : l’eZB permet, dans une approche multimodale, de rassembler, d’organiser et de valoriser l’ensemble des activités menées aucours du semestre, tout en préservant la liberté des enseignants qui souhaitent avoir la liberté d’improviser en se fiant à leur intuition de pédagogue (Gladwell,2005).
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Stuhl, Andy Kelleher. "Acoustic Infrastructure: The Sounds and Politics of Radio Tests in American Emergency Broadcasting." Canadian Journal of Communication 46, no. 2 (June 21, 2021). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2021v46n2a3783.

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Abstract:
Background: The Emergency Alert System (EAS) is an emergency broadcasting infrastructure that originated in American radio and serves as the basis for systems in newer media and in Canada. Its design of self-propagating acoustic signals anticipates a nation-scale catastrophe but also subordinates smaller crises. Analysis: Adopting theory from infrastructural media studies, this article examines the reasoning and functionality evident in regulatory proceedings, broadcaster and media researcher assessments, and the sonic structure of test and warning signals. Conclusion and implications: A machinic approach to addressing media publics took shape in the acoustic operations of the EAS. Tied to a deregulatory drive that has eroded radio’s emergency function, the EAS produces a suspended temporality that must be understood as a combined effect of the infrastructure, its content, and its context. Contexte : L’Emergency Alert System (EAS) est un système de radiodiffusion d’urgence qui a pris naissance dans la radio américaine et qui a servi de base pour des systèmes adaptés à des médias plus récents ainsi que pour des systèmes canadiens. Conçu sous forme de signaux acoustiques qui s’autopropagent, il peut prévoir une catastrophe à l’échelle nationale mais en même temps il subordonne de plus petites crises. Analyse : Cet article emprunte certaines théories des études sur les infrastructures médiatiques pour examiner le raisonnement et la fonctionnalité présentes dans les procédures réglementaires, les évaluations par les radiodiffuseurs et par les chercheurs en médias, et la structure sonique de signaux d’essai et d’avertissement. Conclusion et implications : Les opérations acoustiques de l’EAS ont permis le développement d’une approche machinique pour s’adresser aux publics médiatiques. Dans le contexte d’un élan de déréglementation qui a diminué la fonction d’urgence de la radio, l’EAS produit une temporalité suspendue qu’il faut comprendre comme étant l’effet cumulatif de l’infrastructure, de son contenu et de son contexte.
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Gagné, Natacha. "Anthropologie et histoire." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.060.

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Abstract:
On a longtemps vu l’histoire et l’anthropologie comme deux disciplines très distinctes n’ayant pas grand-chose en partage. Jusqu’au début du XXe siècle, l’histoire fut essentiellement celle des « civilisés », des Européens et donc des colonisateurs. Si les colonisés n’étaient pas complètement absents du tableau, ils étaient, au mieux, des participants mineurs. L’anthropologie, pour sa part, s’est instituée en ayant pour objet la compréhension des populations lointaines, les « petites sociétés », autochtones et colonisées, ces populations vues comme hors du temps et de l’histoire. Cette situation était le produit d’une division traditionnelle (Harkin 2010 : 114) – et coloniale (Naepels 2010 : 878) – du travail entre histoire et anthropologie. Celle-ci se prolongeait dans le choix des méthodes : les historiens travaillaient en archives alors que les anthropologues s’intéressaient aux témoignages oraux et donc, s’adonnaient à l’enquête de terrain. Les deux disciplines divergeaient également quant à la temporalité : « Pour l’histoire, (…) le temps est une sorte de matière première. Les actes s’inscrivent dans le temps, modifient les choses tout autant qu’ils les répètent. (…) Pour l’anthropologue, s’il n’y prend garde, le temps passe en arrière-plan, au profit d’une saisie des phénomènes en synchronie » (Bensa 2010 : 42). Ces distinctions ne sont plus aujourd’hui essentielles, en particulier pour « l’anthropologie historique », champ de recherche dont se revendiquent tant les historiens que les anthropologues, mais il n’en fut pas de tout temps ainsi. Après s’être d’abord intéressés à l’histoire des civilisations dans une perspective évolutionniste et spéculative, au tournant du siècle dernier, les pères de l’anthropologie, tant en France (Émile Durkheim, Marcel Mauss), aux États-Unis (Franz Boas), qu’en Angleterre (Bronislaw Malinowski, Alfred Radcliffe-Brown), prendront fermement leur distance avec cette histoire. Les questions de méthode, comme le développement de l’observation participante, et l’essor de concepts qui devinrent centraux à la discipline tels que « culture » et « fonction » furent déterminants pour sortir de l’idéologie évolutionniste en privilégiant la synchronie plutôt que la diachronie et les généalogies. On se détourna alors des faits uniques pour se concentrer sur ceux qui se répètent (Bensa 2010 : 43). On s’intéressa moins à l’accidentel, à l’individuel pour s’attacher au régulier, au social et au culturel. Sans être nécessairement antihistoriques, ces précepteurs furent largement ahistoriques (Evans-Pritchard 1962 : 172), une exception ayant été Franz Boas – et certains de ses étudiants, tels Robert Lowie ou Melville J. Herskovits – avec son intérêt pour les contacts culturels et les particularismes historiques. Du côté de l’histoire, on priorisait la politique, l’événement et les grands hommes, ce qui donnait lieu à des récits plutôt factuels et athéoriques (Krech 1991 : 349) basés sur les événements « vrais » et uniques qui se démarquaient de la vie « ordinaire ». Les premiers essais pour réformer l’histoire eurent lieu en France, du côté des historiens qui seront associés aux « Annales », un nom qui réfère à la fois à une revue scientifique fondée en 1929 par Marc Bloch et Lucien Febvre et à une École d’historiens français qui renouvela la façon de penser et d’écrire l’histoire, en particulier après la Seconde Guerre mondiale (Krech 1991; Schöttler 2010). L’anthropologie et la sociologie naissantes suscitèrent alors l’intérêt chez ce groupe d’historiens à cause de la variété de leurs domaines d’enquête, mais également par leur capacité à enrichir une histoire qui n’est plus conçue comme un tableau ou un simple inventaire. Les fondateurs de la nouvelle École française des Annales décrivent leur approche comme une « histoire totale », expression qui renvoie à l’idée de totalité développée par les durkheimiens, mais également à l’idée de synthèse du philosophe et historien Henry Berr (Schöttler 2010: 34-37). L’histoire fut dès lors envisagée comme une science sociale à part entière, s’intéressant aux tendances sociales qui orientent les singularités. L’ouvrage fondateur de Marc Bloch, Les rois thaumaturges (1983 [1924]), pose les jalons de ce dépassement du conjoncturel. Il utilise notamment la comparaison avec d’autres formes d’expériences humaines décrites notamment dans Le Rameau d’Or (1998 [1924; 1890 pour l’édition originale en anglais]) de James G. Frazer et explore le folklore européen pour dévoiler les arcanes religieux du pouvoir royal en France et en Angleterre (Bensa 2010; Goody 1997). Il s’agit alors de faire l’histoire des « mentalités », notion qui se rapproche de celle de « représentation collective » chère à Durkheim et Mauss (sur ce rapprochement entre les deux notions et la critique qui en a été faite, voir Lloyd 1994). Les travaux de la deuxième génération des historiens des Annales, marqués par la publication de l’ouvrage de Fernand Braudel La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II en 1949 et de son arrivée en 1956 à la direction de la revue, peuvent encore une fois mieux se comprendre dans l’horizon du dialogue avec l’anthropologie, d’une part, et avec les area studiesqui se développèrent aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, de l’autre (Braudel 1958). Le projet est de rapporter « la spécificité des acteurs singuliers, des dates et des événements à des considérations plus vastes sur la transformation lente des mœurs et des représentations. Le travail ne consiste pas seulement à capter au projet de l’histoire des rubriques chères à l’anthropologie, mais aussi à caractériser une époque [et une région] par sa façon de percevoir et de penser le monde » (Bensa 2010 : 46). Il s’agit alors de faire l’histoire des structures, des conjonctures et des mentalités (Schöttler 2010 : 38). Les travaux de cette deuxième génération des Annales s’inscrivent dans un vif débat avec l’anthropologie structuraliste de Claude Lévi-Strauss. Si tant Braudel que Lévi-Strauss voulaient considérer les choses de façon globale, Lévi-Strauss situait la globalité dans un temps des sociétés des origines, comme si tout s’était joué au départ et comme si l’histoire n’en serait qu’un développement insignifiant. Pour sa part, Braudel, qui s’intéressait à l’histoire sérielle et à la longue durée, situait plutôt la globalité dans un passé qui sert à comprendre le présent et, jusqu’à un certain point, à prévoir ce qui peut se passer dans le futur. Ce qui constitue le fond de leur opposition est que l’un s’intéresse à l’histoire immobile alors que l’autre s’intéresse à l’histoire de longue durée, soit l’histoire quasi immobile selon laquelle, derrière les apparences de la reproduction à l’identique, se produisent toujours des changements, même très minimes. Dans les deux cas, l’ « événementiel » ou ce qui se passe à la « surface » sont à l’opposé de leur intérêt pour la structure et la profondeur, même si ces dernières ne sont pas saisies de la même façon. Pour Braudel, la structure est pleinement dans l’histoire ; elle est réalité concrète et observable qui se décèle notamment dans les réseaux de relations, de marchandises et de capitaux qui se déploient dans l’espace et qui commandent les autres faits dans la longue durée (Dosse 1986 : 89). Les travaux de Braudel et son concept d’ « économie-monde » inspireront plusieurs anthropologues dont un Marshall Sahlins et un Jonathan Friedman à partir du tournant des années 1980. Pour Lévi-Strauss, la structure profonde, celle qui correspond aux enceintes mentales humaines, « ne s’assimile pas à la structure empirique, mais aux modèles construits à partir de celle-ci » (Dosse 1986 : 85). Elle est donc hors de l’histoire. Comme le rappelait François Hartog (2014 [2004] : 287), Lévi-Strauss a souvent dit « rien ne m’intéresse plus que l’histoire. Et depuis fort longtemps! » (1988 : 168; voir d’ailleurs notamment Lévi-Strauss 1958, 1983), tout en ajoutant « l’histoire mène à tout, mais à condition d’en sortir » (Lévi-Strauss 1962 : 348) ! Parallèlement à l’entreprise déhistoricisante de Lévi-Strauss, d’autres anthropologues insistent au contraire à la même époque sur l’importance de réinsérer les institutions étudiées dans le mouvement du temps. Ainsi, Edward E. Evans-Pritchard, dans sa célèbre conférence Marett de 1950 qui sera publiée en 1962 sous le titre « Anthropology and history », dénonce le fait que les généralisations en anthropologie autour des structures sociales, de la religion, de la parenté soient devenues tellement généralisées qu’elles perdent toute valeur. Il insiste sur la nécessité de faire ressortir le caractère unique de toute formation sociale. C’est pour cette raison qu’il souligne l’importance de l’histoire pour l’anthropologie, non pas comme succession d’événements, mais comme liens entre eux dans un contexte où on s’intéresse aux mouvements de masse et aux grands changements sociaux. En invitant notamment les anthropologues à faire un usage critique des sources documentaires et à une prise en considération des traditions orales pour comprendre le passé et donc la nature des institutions étudiées, Evans-Pritchard (1962 : 189) en appelle à une combinaison des points de vue historique et fonctionnaliste. Il faut s’intéresser à l’histoire pour éclairer le présent et comment les institutions en sont venues à être ce qu’elles sont. Les deux disciplines auraient donc été pour lui indissociables (Evans-Pritchard 1962 : 191). Au milieu du XXe siècle, d’autres anthropologues s’intéressaient aux changements sociaux et à une conception dynamique des situations sociales étudiées, ce qui entraîna un intérêt pour l’histoire, tels que ceux de l’École de Manchester, Max Gluckman (1940) en tête. En France, inspiré notamment par ce dernier, Georges Balandier (1951) insista sur la nécessité de penser dans une perspective historique les situations sociales rencontrées par les anthropologues, ce qui inaugura l’étude des situations coloniales puis postcoloniales, mais aussi de l’urbanisation et du développement. Cette importance accordée à l’histoire se retrouva chez les anthropologues africanistes de la génération suivante tels que Jean Bazin, Michel Izard et Emmanuel Terray (Naepels 2010 : 876). Le dialogue entre anthropologie et histoire s’est développé vers la même époque aux États-Unis. Après le passage de l’Indian Claims Commission Act en 1946, qui établit une commission chargée d’examiner les revendications à l’encontre de l’État américain en vue de compensations financières pour des territoires perdus par les nations autochtones à la suite de la violation de traités fédéraux, on assista au développement d’un nouveau champ de recherche, l’ethnohistoire, qui se dota d’une revue en 1954, Ethnohistory. Ce nouveau champ fut surtout investi par des anthropologues qui se familiarisèrent avec les techniques de l’historiographie. La recherche, du moins à ses débuts, avait une orientation empirique et pragmatique puisque les chercheurs étaient amenés à témoigner au tribunal pour ou contre les revendications autochtones (Harkin 2010). Les ethnohistoriens apprirent d’ailleurs à ce moment à travailler pour et avec les autochtones. Les recherches visaient une compréhension plus juste et plus holiste de l’histoire des peuples autochtones et des changements dont ils firent l’expérience. Elles ne manquèrent cependant pas de provoquer un certain scepticisme parmi les anthropologues « de terrain » pour qui rien ne valait la réalité du contact et les sources orales et pour qui les archives, parce qu’étant celles du colonisateur, étaient truffées de mensonges et d’incompréhensions (Trigger 1982 : 5). Ce scepticisme s’estompa à mesure que l’on prit conscience de l’importance d’une compréhension du contexte historique et de l’histoire coloniale plus générale pour pouvoir faire sens des données ethnologiques et archéologiques. L’ethnohistoire a particulièrement fleuri en Amérique du Nord, mais très peu en Europe (Harkin 2010; Trigger 1982). On retrouve une tradition importante d’ethnohistoriens au Québec, qu’on pense aux Bruce Trigger, Toby Morantz, Rémi Savard, François Trudel, Sylvie Vincent. L’idée est de combiner des données d’archives et des données archéologiques avec l’abondante ethnographie. Il s’agit également de prendre au sérieux l’histoire ou la tradition orale et de confronter les analyses historiques à l’interprétation qu’ont les acteurs de l’histoire coloniale et de son impact sur leurs vies. La perspective se fit de plus en plus émique au fil du temps, une attention de plus en plus grande étant portée aux sujets. Le champ de recherche attira graduellement plus d’historiens. La fin des années 1960 fut le moment de la grande rencontre entre l’anthropologie et l’histoire avec la naissance, en France, de l’« anthropologie historique » ou « nouvelle histoire » et, aux États-Unis, de la « New Cutural History ». L’attention passa des structures et des processus aux cultures et aux expériences de vie des gens ordinaires. La troisième génération des Annales fut au cœur de ce rapprochement : tout en prenant ses distances avec la « religion structuraliste » (Burguière 1999), la fascination pour l’anthropologie était toujours présente, produisant un déplacement d’une histoire économique et démographique vers une histoire culturelle et ethnographique. Burguière (1999) décrivait cette histoire comme celle des comportements et des habitudes, marquant un retour au concept de « mentalité » de Bloch. Les inspirations pour élargir le champ des problèmes posés furent multiples, en particulier dans les champs de l’anthropologie de l’imaginaire et de l’idéologique, de la parenté et des mythes (pensons aux travaux de Louis Dumont et de Maurice Godelier, de Claude Lévi-Strauss et de Françoise Héritier). Quant à la méthode, la description dense mise en avant par Clifford Geertz (1973), la microhistoire dans les traces de Carlo Ginzburg (1983) et l’histoire comparée des cultures sous l’influence de Jack Goody (1979 [1977]) permirent un retour de l’événement et du sujet, une attention aux détails qui rejoignit celle qu’y accordait l’ethnographie, une conception plus dynamique des rapports sociaux et une réinterrogation des généralisations sur le long terme (Bensa 2010 : 49 ; Schmitt 2008). Aux États-Unis, la « New Culturel History » qui s’inscrit dans les mêmes tendances inclut les travaux d’historiens comme Robert Darnon, Natalie Zemon Davis, Dominick La Capra (Iggers 1997; Krech 1991; Harkin 2010). L’association de l’histoire et de l’anthropologie est souvent vue comme ayant été pratiquée de manière exemplaire par Nathan Wachtel, historien au sens plein du terme, mais également formé à l’anthropologie, ayant suivi les séminaires de Claude Lévi-Strauss et de Maurice Godelier (Poloni-Simard et Bernand 2014 : 7). Son ouvrage La Vision des vaincus : les Indiens du Pérou devant la Conquête espagnole 1530-1570 qui parut en 1971 est le résultat d’un va-et-vient entre passé et présent, la combinaison d’un travail en archives avec des matériaux peu exploités jusque-là, comme les archives des juges de l’Inquisition et les archives administratives coloniales, et de l’enquête de terrain ethnographique. Cet ouvrage met particulièrement en valeur la capacité d’agir des Autochtones dans leur rapport avec les institutions et la culture du colonisateur. Pour se faire, il appliqua la méthode régressive mise en avant par Marc Bloch, laquelle consiste à « lire l’histoire à rebours », c’est-à-dire à « aller du mieux au moins bien connu » (Bloch 1931 : XII). Du côté des anthropologues, l’anthropologie historique est un champ de recherche en effervescence depuis les années 1980 (voir Goody 1997 et Naepels 2010 pour une recension des principaux travaux). Ce renouveau prit son essor notamment en réponse aux critiques à propos de l’essentialisme, du culturalisme, du primitivisme et de l’ahistoricisme (voir Fabian 2006 [1983]; Thomas 1989; Douglas 1998) de la discipline anthropologique aux prises avec une « crise de la représentation » (Said 1989) dans un contexte plus large de décolonisation qui l’engagea dans un « tournant réflexif » (Geertz 1973; Clifford et Marcus 1986; Fisher et Marcus 1986). Certains se tournèrent vers l’histoire en quête de nouvelles avenues de recherche pour renouveler la connaissance acquise par l’ethnographie en s’intéressant, d’un point de vue historique, aux dynamiques sociales internes, aux régimes d’historicité et aux formes sociales de la mémoire propres aux groupes auprès desquels ils travaillaient (Naepels 2010 : 877). Les anthropologues océanistes participèrent grandement à ce renouveau en discutant de la nécessité et des possibilités d’une anthropologie historiquement située (Biersack 1991; Barofsky 2000; Merle et Naepels 2003) et par la publication de plusieurs monographies portant en particulier sur la période des premiers contacts entre sociétés autochtones et Européens et les débuts de la période coloniale (entre autres, Dening 1980; Sahlins 1981, 1985; Valeri 1985; Thomas 1990). L’ouvrage maintenant classique de Marshall Sahlins, Islands of History (1985), suscita des débats vigoureux qui marquèrent l’histoire de la discipline anthropologique à propos du relativisme en anthropologie, de l’anthropologie comme acteur historique, de l’autorité ethnographique, de la critique des sources archivistiques, des conflits d’interprétation et du traitement de la capacité d’agir des populations autochtones au moment des premiers contacts avec les Européens et, plus largement, dans l’histoire (pour une synthèse, voir Kuper 2000). Pour ce qui est de la situation coloniale, le 50e anniversaire de la publication du texte fondateur de Balandier de 1951, au début des années 2000, fut l’occasion de rétablir, approfondir et, dans certains cas, renouveler le dialogue non seulement entre anthropologues et historiens, mais également, entre chercheurs français et américains. Les nouvelles études coloniales qui sont en plein essor invitent à une analyse méticuleuse des situations coloniales d’un point de vue local de façon à en révéler les complexités concrètes. On y insiste aussi sur l’importance de questionner les dichotomies strictes et souvent artificielles entre colonisateur et colonisé, Occident et Orient, Nord et Sud. Une attention est aussi portée aux convergences d’un théâtre colonial à un autre, ce qui donne une nouvelle impulsion aux analyses comparatives des colonisations (Sibeud 2004: 94) ainsi qu’au besoin de varier les échelles d’analyse en établissant des distinctions entre les dimensions coloniale et impériale (Bayart et Bertrand 2006; Cooper et Stoler 1997; Singaravélou 2013; Stoler, McGranahn et Perdue 2007) et en insérant les histoires locales dans les processus de globalisation, notamment économique et financière, comme l’ont par exemple pratiqué les anthropologues Jean et John Comaroff (2010) sur leur terrain sud-africain. Ce « jeu d’échelles », représente un défi important puisqu’il force les analystes à constamment franchir les divisions persistantes entre aires culturelles (Sibeud 2004: 95). Ce renouveau a également stimulé une réflexion déjà amorcée sur l’usage des archives coloniales ainsi que sur le contexte de production et de conservation d’une archive (Naepels 2011; Stoler 2009), mais également sur les legs coloniaux dans les mondes actuels (Bayart et Bertrand 2006; De l’Estoile 2008; Stoler 2016)
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Moussaoui, Abderrahmane. "Violence extrême." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.134.

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Abstract:
Même si la guerre, comme destruction de masse, a été très tôt au centre des intérêts de la discipline, l’anthropologie ne l’a jamais caractérisée comme une « violence extrême ». Ce qui pose d’emblée la question en termes autres que quantitatifs. L’extrême dans la violence n’est pas forcément dans l’importance du nombre de ses victimes. Il faut y ajouter d’autres dimensions comme l’inanité de l’acte, sa gratuité, son degré de cruauté et le non-respect des règles et normes partagées. Celles de la guerre, par exemple, imposent de ne s’attaquer qu’à l’ennemi armé et d’épargner les civils, de soigner le blessé etc. La violence extrême passe outre toutes ces normes et règles ; et s’exerce avec une cruauté démesurée. La première guerre mondiale constitue aux yeux des défenseurs de cette thèse, le moment inaugural dans le franchissement d’un tel seuil. Car, c’est dans cette guerre que fut utilisé pour la première fois le bombardement aérien, lié à l’ère industrielle, exterminant de nombreuses populations civiles non armées. Associée aux affrontements et insurrections débordant les cadres étatiques, l’expression peut désormais inclure également des faits commis dans le cadre des guerres conduites par des États. La violence extrême est une agression physique et une transgression outrancière d’une éthique partagée. Qu’elle s’exerce lors d’une guerre ou dans le cadre d’une institution (violence institutionnelle) elle est une violence extrême dès lors qu’elle use de moyens estimés inappropriés selon les codes communs et les sensibilités partagées. Les manières et les moyens d’agir doivent être proportionnels à l’objectif visé ; et toute outrance délégitime l’acte de violence, quand bien même celui-ci relèverait de « la violence légitime » monopole de l’Etat. Le qualificatif extrême vient donc spécifier un type de violence qui atteint ce point invisible ou imprévisible, en bafouant l’ordre éthique et conventionnel. Aller à l’extrême c’est aller au-delà du connu et de l’imaginable. La violence extrême est celle donc qui dépasse une limite se situant elle même au-delà des limites connues ou considérées comme impossibles à franchir. Elle renvoie à ce qui dépasse l’entendement par son ampleur ou par sa « gratuité » ; car, ce sont ses finalités qui rationalisent la guerre et toute autre forme de violence. Dépourvue de toute fonctionnalité, la violence extrême n’a d’autres buts qu’elle-même (Wolfgang Sofsky (1993). En d’autres termes, la violence extrême est ce qui oblitère le sens en rendant vaines (ou du moins imperceptibles) les logiques d’un acte jusque-là appréhendé en termes d’utilité, de fonctionnalité et d’efficacité. La violence est extrême quand elle parait démesurée par le nombre de ses victimes (génocide, nettoyage ethnique, meurtres et assassinat de masse) ; mais elle l’est d’autant plus, et le plus souvent, quand elle est accompagnée d’un traitement cruel, froid et gratuit : dépeçage, brûlure, énucléation, viols et mutilations sexuelles. Outrepassant l’habituel et l’admissible, par la démesure du nombre de ses victimes et le degré de cruauté dans l’exécution de l’acte, la violence extrême se situe dans un « au-delà », dont le seuil est une ligne mouvante et difficilement repérable. Son « objectivation » dépend à la fois du bourreau, de la victime et du témoin ; tous façonnés par des constructions culturelles informées par les contextes historiques et produisant des sensibilités et des « esthétiques de réception » subjectives et changeantes. La violence extrême est, nécessairement, d’abord une question de sensibilité. Or, celle-ci est non seulement une subjectivation mais aussi une construction historiquement déterminée. Pendant longtemps et jusqu’au siècle des lumières, le châtiment corporel fut, pour la justice, la norme dans toute l’Europe. Les organes fautifs des coupables sont maltraités publiquement. On exhibait les femmes adultères nues et on leur coupait les seins ; on coupait les langues des blasphémateurs et les mains des voleurs. Le bûcher était réservé aux sodomites, aux hérétiques et aux sorcières. On crevait les yeux (avec un tisonnier incandescent) du traître. Les voleurs de grands chemins subissaient le châtiment d’être rompus vifs. On écartelait et on démembrait le régicide. La foule se dépêchait pour assister à ces spectacles et à ceux des supplices de la roue, des pendaisons, de la décollation par le sabre etc. Placidement et consciencieusement, les bourreaux ont appliqué la « terreur du supplice » jusqu’au milieu du XVIIIe siècle (Meyran, 2006). Il a fallu attendre les lumières pour remplacer le corps violenté par le corps incarcéré. Aujourd’hui insupportables, aux yeux du citoyen occidental, certains de ces châtiments corporels administrés avec une violence extrême sont encore en usage dans d’autres sociétés. Après les massacres collectifs qui ont marqué la fin du XXe siècle, les travaux de Véronique Nahoum-Grappe portant sur le conflit de l’ex-Yougoslavie vont contribuer à relancer le débat sur la notion de « violence extrême » comme elle le rappellera plus tard : « Nous avions utilisé la notion de « violence extrême » à propos de la guerre en ex-Yougoslavie pour désigner « toutes les pratiques de cruauté « exagérée » exercées à l’encontre de civils et non de l’armée « ennemie », qui semblaient dépasser le simple but de vouloir s’emparer d’un territoire et d’un pouvoir. » (Nahoum-Grappe. 2002). Elle expliquera plus loin qu’après dix années de ces premières observations, ce qu’elle tentait de désigner, relève, en fait, d’une catégorie de crimes, graves, usant de cruauté dans l’application d’un programme de « purification ethnique ». Pourtant, quel que soit le critère invoqué, le phénomène n’est pas nouveau et loin d’être historiquement inédit. Si l’on reprend l’argument du nombre et de la gratuité de l’acte, le massacre n’est pas une invention du XXe s ; et ne dépend pas de la technologie contemporaine. On peut remonter assez loin et constater que dans ce domaine, l’homme a fait feu de tout bois, comme le montre El Kenz David dans ses travaux sur les guerres de religion (El Kenz 2010 & 2011). Parce que les sensibilités de l’époque admettaient ou toléraient certaines exactions, aux yeux des contemporains celles-ci ne relevaient pas de la violence extrême. Quant aux cruautés et autres exactions perpétrés à l’encontre des populations civiles, bien avant Auschwitz et l’ex-Yougoslavie, l’humanité en a souffert d’autres. Grâce aux travaux des historiens, certaines sont désormais relativement bien connues comme les atrocités commises lors des colonnes infernales dans la guerre de Vendée ou le massacre de May Lai dans la guerre du Vietnam. D’autres demeurent encore méconnues et insuffisamment étudiées. Les exactions menées lors des guerres coloniales et de conquêtes sont loin d’être toutes recensées. La mise à mort, en juin 1845, par « enfumade » de la tribu des Ouled Riah, dans le massif du Dahra en Algérie par le futur général Pélissier sont un exemple qui commence à peine à être porté à la connaissance en France comme en Algérie (Le Cour Grandmaison, 2005.). Qu’elle soit ethnique ou sociale, qu’elle soit qualifiée de purification ethnique ou d’entreprise génocidaire, cette extermination qui passe par des massacres de masse ne peut être qualifiée autrement que par violence extrême. Qu’elle s’exerce sur un individu ou contre un groupe, la violence extrême se caractérise presque toujours par un traitement cruel, le plus souvent pensé et administré avec une égale froideur ; une sorte d’« esthétisation de la cruauté ». Pour le dire avec les mots de Pierre Mannoni, la violence extrême use d’un certain « maniérisme de l'horreur », ou de ce qu’il appelle « une tératologie symbolique » (Mannoni ,2004, p. 82-83), c‘est à dire l’art de mettre en scène les monstruosités. Motivée par un danger ou une menace extrême justifiant, aux yeux du bourreau, une réponse extrême, cette violence extrême a pu s’exécuter par la machette (Rwanda) ou dans des chambres à gaz, comme par d’autres moyens et armes de destruction massive. C'est l'intégrité du corps social et sa pureté que le bourreau « croit » défendre en recourant à une exérèse… salvatrice. La cruauté fait partie de l’arsenal du combattant qui s’ingénie à inventer le scénario le plus cruel en profanant l’intime et le tabou. Françoise Sironi le montre à propos d’une des expressions de la violence extrême. L’efficacité destructrice de la torture est obtenue entre autres par la transgression de tabous culturels ; et par l’inversion qui rend perméable toutes les limites entre les dedans et les dehors. Réinjecter dans le corps ce qui est censé être expulsé (excréments, urine, vomissures) ; féminiser et exposer les parties intimes ou les pénétrer en dehors de la sphère intime, associer des parties démembrées d’un corps humain à celles d’un animal, sont autant de manières de faire violence extrême. Cette inversion transgressive use du corps de la victime pour terroriser le témoin et le survivant. Outrepassant l’habituel et l’attendu par la manière (égorgement, démembrement, énucléation, émasculation etc.,), les moyens (usage d’armes de destruction massive, d’armes nucléaires bactériologiques ou chimiques) et une certaine rationalité, la « violence extrême » est un dépassement d’horizon. L’acte par sa singularité suggère une sortie de l’humanité de son auteur désensibilisé, déshumanisé ; qui, par son forfait et dans le même mouvement, exclue sa victime de l’humanité. Pour Jacques Semelin, la violence extrême « est l’expression prototypique de la négation de toute humanité ; dans la mesure où ses victimes sont le plus souvent d’abord « animalisées » ou « chosifiées » avant d’être anéanties (Sémelin, 2002). Ajoutons qu’elle n’est pas qu’anéantissement, elle est aussi une affirmation démonstrative d’une surpuissance. Que ce soit par le nombre, la manière ou l’arbitraire, la violence extrême a ponctué l’histoire de l’humanité et continue à la hanter Parmi ses formes contemporaines, le terrorisme est une de ses manifestations les plus spectaculaires ; permettant de comprendre qu’elle est d’abord une théâtralisation. L’image de chaos que renvoient les attentats et autres exactions spectaculaires, est le résultat dument recherché à l’aide d’une organisation minutieuse et de stratégies affinées que cette image chaotique occulte souvent. Il s’agit d’une démarche rationnelle tendant à produire un acte apparemment irrationnel. Les massacres collectifs qui font partie de ce que Stéphane Leman-Langlois qualifie de « mégacrimes » (Leman-Langlois, 2006) constituent une autre forme contemporaine de cette violence extrême ; dont la Bosnie-Herzégovine et le Rwanda demeurent les exemples les plus dramatiques depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En raison de leur ampleur et l’organisation méthodique de leur exécution, ces massacres ont été, à juste titre, souvent qualifié de génocide. C’est le professeur de droit américain d’origine polonaise, Raphael Lemkin qui donnera le nom de génocide à ce que, Winston Churchill, parlant du nazisme, qualifiait de « crime sans nom ». Au terme génocide devenu polémique et idéologique, sera préféré la notion de massacre que Semelin définit comme « forme d’action le plus souvent collective de destruction des non combattants » (Sémelin 2012, p. 21). Dans les faits, il s’agit de la même réalité ; sans être des entreprises génocidaires, ces massacres de masse ont visé l’« extermination » de groupes humains en vue de s’emparer de leur territoire au sens le plus large. La violence extrême agit à la fois sur l'émotionnel et sur l'imaginaire ; en franchissant le seuil du tolérable et de la sensibilité ordinairement admise dans le cadre de représentations sociales. Le caractère extrême de la violence se définit en fonction d’un imaginaire partagé ; qu’elle heurte en allant au-delà de ce qu'il peut concevoir ; et des limites de ce qu'il peut « souffrir ». Il s’agit d’une violence qui franchit le seuil du concevable et ouvre vers un horizon encore difficilement imaginable et donc insupportable parce que non maîtrisable. Qu’est-ce qui motive ce recours à l’extrême ? Nombre d’historiens se sont demandé si les logiques politiques suffisaient à les expliquer. Ne faudrait-il pas les inférer aux dimensions psychologiques ? Plusieurs approches mettent, quelquefois, en rapport violence extrême et ressorts émotionnels (peur, colère et haine et jouissance..). D’autres fois, ce sont les pulsions psychiques qui sont invoquées. Incapables d’expliquer de telles conduites par les logiques sociales ou politiques, ce sont les dimensions psychologiques qui finissent par être mises en avant. L’acte, par son caractère extrême serait à la recherche du plaisir et de la jouissance dans l’excès, devenant ainsi une fin en soi. Il peut également être une manière de tenter de compenser des manques en recherchant du sens dans le non-sens. Cela a pu être expliqué aussi comme une manière de demeurer du côté des hommes en animalisant ou en chosifiant la victime, en la faisant autre. L’auteur de la violence extrême procède à une négation de sa victime pour se (re) construire lui-même. Pure jouissance (Wolfgang Sofsky) délire (Yvon Le Bot, J Semelin) ou conduite fonctionnelle de reconstruction de soi (Primo Levi), sont les trois approches avancées pour expliquer la cruauté comme acte inadmissible et inconcevable (Wierworka, 2004 : p 268). Or, la violence extrême prend la forme d’une cruauté quand ses protagonistes redoublent d’ingéniosité pour inventer le scénario inédit le plus cruel. Car la violence extrême est d’abord un indéchiffrable insupportable qui se trouve par commodité rangé du côté de l’exceptionnalité. Parce qu’inintelligible, elle est inacceptable, elle est extra… ordinaire. Ses auteurs sont des barbares, des bêtes, des monstres ; autrement dit ; des inhumains parce qu’ils accomplissent ce que l’humain est incapable de concevoir. Dans quelle mesure, de telles approches ne sont-elles pas une manière de rassurer la société des humains qui exclue ces « monstres » exceptionnels seuls capables d’actes … inhumains ? Parce qu’inexplicables, ces violences sont quelquefois rangées dans le registre de la folie ; et qualifiées de « barbares » ou de « monstrueuses » ; des qualificatifs qui déshumanisent leurs auteurs et signalent l’impuissance du témoin à comprendre et à agir. En d’autres termes, tant que la violence relève de l’explicable (réciprocité, échange, mimétisme etc.), elle demeure humaine ; et devient extrême quand elle échappe à l‘entendement. Indicible parce qu’injustifiable, la violence extrême est inhumaine. Cependant, aussi inhumaine soit-elle d’un point de vue éthique, la violence extrême demeure du point de vue anthropologique, un acte terriblement humain ; et que l’homme accomplit toujours à partir de déterminants et selon un raisonnement humains. Comme le dit Semelin : « Les deux faces de la violence extrême, sa rationalité et sa démence, ne peuvent se penser l’une sans l’autre. Et rien ne sert de dénoncer la sauvagerie des tueurs en omettant de s’interroger sur leurs buts » (Semelin, 2000). L’auteur de l’acte de violence extrême s’érige en homme-dieu pour dénier toute humanité à la victime qu’il décide d’exclure de la vie, de la déshumaniser en l’expulsant vers l’infra humain.
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Auger, Reginald, and Allison Bain. "Anthropologie et archéologie." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Abstract:
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.
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