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Journal articles on the topic 'Appropriation de l’espace'

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Ripoll, Fabrice. "S’approprier l’espace… ou contester son appropriation ?" Norois, no. 195 (June 1, 2005): 29–42. http://dx.doi.org/10.4000/norois.489.

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Bergel, Pierre. "Appropriation de l’espace et propriété du sol." Norois, no. 195 (June 1, 2005): 17–27. http://dx.doi.org/10.4000/norois.479.

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Cattan, Nadine, and Stéphane Leroy. "La ville négociée : les homosexuel(le)s dans l’espace public parisien." Cahiers de géographie du Québec 54, no. 151 (September 8, 2010): 9–24. http://dx.doi.org/10.7202/044364ar.

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Abstract:
La ville, espace privilégié de la libération sexuelle, donne à l’homosexualité depuis quelques décennies un droit à la visibilité. L’espace public, en tant que scène de rencontre avec l’altérité, permet de mettre en question avec le plus d’acuité ce droit à la ville pour tous. Cette recherche analyse les pratiques et les représentations de l’espace public des populations homosexuelles dans Paris. L’objectif est de comprendre comment s’expriment et s’acceptent les différentes orientations sexuelles dans l’ensemble de l’espace urbain visible, contribuant aux réflexions théoriques sur les fondements mêmes de l’identité de la ville moderne. Une méthode spécifique est élaborée afin de développer une approche réellement spatiale du phénomène. Notre recherche montre que l’orientation sexuelle participe de l’inégal accès à un espace public hétéronormé et que cette inégalité est « naturalisée » dans les comportements. Elle conduit à affirmer le rôle moteur des quartiers gais dans la construction des identités homosexuelles et l’importance de leur appropriation. Cette appropriation ne signifie pas la privatisation de ces espaces, mais constitue un outil susceptible de renforcer la visibilité d’un groupe stigmatisé et marginalisé à cause de son orientation sexuelle.
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Hadjidj, Djounid. "« Urbanification » et appropriation de l’espace. Le cas de la ville d’Oran." Insaniyat / إنسانيات, no. 16 (April 30, 2002): 237–43. http://dx.doi.org/10.4000/insaniyat.7866.

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Wyvekens, Anne. "Espace public et civilité : réinventer un contrôle social ? Perspectives pour la France." Lien social et Politiques, no. 57 (September 20, 2007): 35–45. http://dx.doi.org/10.7202/016386ar.

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Abstract:
Qu’en est-il, aujourd’hui en France, de la production de sécurité dans l’espace public ? Dans des espaces dits publics, mais largement investis par le privé, et malgré le développement de partenariats divers en matière de sécurité, le modèle français reste à première vue d’inspiration essentiellement étatique. Toutefois, des travaux de recherche réalisés à l’initiative de gestionnaires d’espaces publics préoccupés par la multiplication des incivilités font apparaître un changement de focalisation, dans le diagnostic et dans les réponses, qui n’est pas sans rappeler des travaux américains articulant l’urbain et le « sécuritaire ». La relecture des théories de l’espace défendable et de la « vitre cassée », où la sécurisation de l’espace passe par son appropriation par les usagers, conduit à se demander – d’un point de vue plus prospectif – jusqu’à quel point, en France également, un « autre contrôle social », citoyen, serait susceptible d’émerger, venant interroger le rôle joué par la puissance publique.
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Safar Zitoun, Madani. "Stratégies sociales et appropriation de l’espace : le cas de la ville d’Alger." Insaniyat / إنسانيات, no. 5 (August 31, 1998): 197–200. http://dx.doi.org/10.4000/insaniyat.11922.

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Vigneault, Louise. "Repenser le temps et l’espace, du wampum au selfie." RACAR : Revue d'art canadienne 42, no. 2 (January 25, 2018): 87–99. http://dx.doi.org/10.7202/1042948ar.

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Abstract:
This article considers the way certain Indigenous artists are reviving conceptions of territory and history that are anchored in secular epistemologies and the construction of knowledge. Such conceptions provide a way for these artists to respond to colonial appropriation, reactivate interrupted dialogues, engender new forms of territorialization, and create places of commemoration and memory preservation. Similar to the historiographical deconstruction performed by thinkers and activists such as Vine Deloria Jr. and Taiaiake Alfred, these artists’ works offer a model of autonomy and environmental balance. While some are reviving mnemonic practices, such as the making of wampum, which traditionally preserve memories of alliances and conflicts, others have embraced Internet and selfie technologies as a means of creating new spaces for speech and recognition.
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Pinson, Daniel. "L’habitat, relevé et révélé par le dessin : observer l’espace construit et son appropriation." Espaces et sociétés 164-165, no. 1 (2016): 49. http://dx.doi.org/10.3917/esp.164.0049.

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Morell Meliki, Hugues. "La jeunesse dans la politique des usages de l’espace public urbain au Cameroun." TSANTSA – Journal of the Swiss Anthropological Association 21 (May 1, 2016): 73–85. http://dx.doi.org/10.36950/tsantsa.2016.21.7379.

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Abstract:
This article sheds light on the construction of an inclusive urban policy which grants excluded actors access to central public spaces. It does so by analysing government responses to two forms of appropriation of public space, the furtive schemes of economic activity deployed during daytime and the popular commercial activities developed at night by youths, which both take place under technological and human surveillance.
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Muñan Valencia, Daniel Iván, and Martha Cecilia Miker Palafox. "La apropiación de espacios públicos en contexto de violencia: Ciudad Juárez, Chihuahua, México." Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, no. 12 (February 10, 2020): 138–64. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i12.2585.

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Abstract:
El objetivo de este artículo es describir y analizar las formas de apropiación del espacio público en un contexto de violencia, a través de la teoría de la apropiación del espacio de Pol (1996, 2002) y Vidal y Pol (2005), cómo los actores involucrados se reconocen en el espacio y cómo es su relación y comportamiento en él. Metodológicamente, se basa en un estudio realizado en tres espacios públicos rehabilitados por la estrategia Todos Somos Juárez, fueron analizados a través de dos componentes: la acción transformación y la identificación simbólica. Los hallazgos señalan que en el proceso de transformación los sujetos adoptaron una identificación simbólica al ser parte del diseño y al observar la metamorfosis de dicho lugar. Mientras que los significados se transformaron de “no lugares” a “parques”. Como limitaciones del artículo se tiene que sólo tres espacios públicos fueron estudiados y no la totalidad de la ciudad.Palabras clave: Cohesión social, Apropiación espacios públicos, Ciudad Juárez The appropriation of public areas in the context of violence: Ciudad Juárez, Chihuahua, MexicoSummaryThe objective of this article is to describe and analyze the forms of appropriation of public areas in a context of violence, through the theory of appropriation of the space of Pol (1996, 2002) and Vidal and Pol (2005), how the actors involved recognize themselves as part of a space and how their relationship and behavior in it is. Methodologically, it is based on a study conducted in three public spaces rehabilitated by the Todos Somos Juárez strategy, they were analyzed through two components: the action transformation and the symbolic identification. The findings indicate that in the transformation process the subjects adopted a symbolic identification by being part of the design and observing the metamorphosis of that place. While the meanings were transformed from "no places" to "parks." As limitations of the article, only three public spaces were studied and not the entire city.Keywords: Social cohesion, Appropriation of public spaces, Ciudad Juárez L’appropriation des espaces publics en contexte de violence : Ciudad Juárez, Chihuahua, Mexique.RésuméL’objectif de cet article est celui de décrire et d’analyser les formes d’appropriation de l’espace public dans un contexte de violence à travers la théorie de l’appropriation de l’espace de Pol (1996, 2002) et Vidal et Pol (2005), de comment les acteurs impliqués se reconnaissent dans l’espace et de comment est leur relation et leur comportement à l’intérieur de cet espace. Méthodologiquement, cet article se base dans une étude réalisée dans trois espaces publics restaurés par la stratégie Todos Somos Juárez, ils ont été analysés à travers deux composants : l’action transformation et l’identification symbolique. Les trouvailles signalent que dans le processus de transformation les sujets ont adapté une identification symbolique car ils font partie du schéma et de l’observation de la métamorphose de ce lieu pendant que les significations se sont transformées de « non-lieu » à « parcs ». En tant que limitations dans cet article : Il n’y a que trois espaces publics qui ont été étudiés et pas la totalité de la ville.Mots clés: Cohésion sociale, Appropriation d’espaces publics, Ciudad Juárez
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Copy, Christine. "Structuration de l’espace énonciatif et appropriation du discours stéréotypé dans le conte populaire transcrit." Etudes de stylistique anglaise, no. 1 (December 31, 2010): 73–90. http://dx.doi.org/10.4000/esa.2299.

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Revelle, Anthony. "De l’autre côté de la barrière. Franchir la frontière entre l’homme et l’animal avec le Roman de Renart." Investir la frontière, no. 4 (June 15, 2021): 29–36. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.599.

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Abstract:
Ces dernières années ont vu se développer de manière exponentielle les travaux sur la frontière entre l’homme et l’animal, vieille question désormais soumise au prisme du posthumanisme. Métaphysique, cette frontière est également matérielle, car toute frontière suppose une appropriation humaine de l’espace. Or que se passe-t-il quand c’est l’animal qui franchit la frontière, qui investit les lieux qui lui ont été barrés par la clôture, et quand l’être humain imagine lui aussi ce qui se passe derrière la barrière – dans le territoire sensoriel de la vie animale ? Dans cet article, j’interroge la césure instable entre l’humain et la bête et ses modes de spatialisation, à travers l’investissement croisé de l’humain dans le territoire animal et de l’animal dans l’espace humain. Je pars pour cela du Roman de Renart, qui met en scène une galerie d’animaux anthropomorphisés évoluant alternativement entre territoire sauvage et espaces domestiqués et passant constamment de traits humains à animaliers. Je propose d’aborder des textes théoriques contemporains sur l’animalité sous l’angle de la littérature médiévale et, suivant l’invitation des auteurs du Renart, de voir notre monde par les yeux d’une bête. À rebours d’une démarche d’objectivité surplombante, j’envisage l’écriture de l’animalité non comme dépassement, mais comme réinvestissement de la frontière entre l’humain et l’animal, par imagination et désappropriation de l’espace.
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Pollini, Airton. "Urbanisme régulier, occupation des campagnes et rapports interethniques en Grande-Grèce." Cadernos do LEPAARQ (UFPEL) 15, no. 29 (June 24, 2018): 199. http://dx.doi.org/10.15210/lepaarq.v15i29.11760.

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Abstract:
L’Italie du Sud est probablement la région la mieux connue du monde grec antique. Quelques sources écrites mais surtout des études archéologiques menées depuis longtemps ont permis le développement des recherches sur plusieurs aspects au cœur de la thématique de la colonisation grecque. Ce travail se concentre sur trois aspects essentiels : l’appropriation de l’espace colonial, l’interaction avec les populations indigènes et l’urbanisation des nouvelles installations. The South Italy is probably the best known region of the ancient Greek world. Some written sources but especially archaeological work undertaken for a long time allowed the development of research on several aspects at the heart of the issues of Greek colonization. This paper concentrates on three essential aspects: the appropriation of colonial space, the interaction with the native populations, and the urbanization of new establishments.
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Le Roy, Étienne. "Représentations d’espaces et droits territoriaux autochtones chez les Premières Nations du Canada1." Recherches amérindiennes au Québec 46, no. 2-3 (July 3, 2017): 79–90. http://dx.doi.org/10.7202/1040437ar.

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Abstract:
La participation de l’auteur, depuis une trentaine d’années, à divers programmes canadiens mettant en jeu le rapport au droit en situation coloniale et post-coloniale a débouché sur une invitation à se joindre au programme « Peuples autochtones et gouvernance » pour y travailler sur la question des revendications territoriales des Premières Nations du Canada et tenter de remédier à leur aporie. D’un point de vue anthropologique, les rapports des autochtones aux territoires sont dominés par une représentation de l’espace « odologique », comme science des cheminements privilégiant une appropriation des ressources (fruits au sens juridique) là où le droit civil ou la common law reposent sur une approche « géométrique » et sur la propriété du fonds. Des perspectives judiciaires nouvelles semblent ainsi envisageables. L’auteur présente ici le cadre théorique général de la démarche, laissant à des collègues québécois le loisir d’en apprécier l’applicabilité.
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Bélanger, Hélène. "Pour qui et à qui ce parc ? Gentrification et appropriation de l’espace public dans l’arrondissement du Sud-Ouest de Montréal (Canada)1." Lien social et Politiques, no. 63 (July 22, 2010): 143–54. http://dx.doi.org/10.7202/044156ar.

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Abstract:
Cet article présente les résultats d’une étude exploratoire dans l’arrondissement du Sud-Ouest à Montréal, relative aux effets de la revitalisation des espaces publics sur les transformations physiques et sociales des quartiers avoisinants. Même si l’insertion de nouveaux logements luxueux dans le tissu existant peut paraître statistiquement marginale, les résidants traditionnels ont été et sont témoins de transformations de leur milieu de vie. Ces transformations ont un impact sur leur territoire quotidien. Les résultats de nos enquêtes basées sur une approche méthodologique mixte indiquent une (re)définition du territoire du chez-soi, excluant le parc du canal de Lachine, parmi les résidants traditionnels du secteur.
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Berjola, Giovanni. "Architecture et intimité dans Illuminations d’Arthur Rimbaud." Études littéraires 42, no. 1 (December 22, 2011): 23–35. http://dx.doi.org/10.7202/1007156ar.

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Abstract:
Lorsqu’Arthur Rimbaud écrit les poèmes qui composeront par la suite Illuminations, l’architecture imaginaire n’est pas une nouveauté : les romantiques, avec Hugo, Gautier et Nerval, ont déjà exploré ce thème porteur, que Baudelaire a repris dans son poème intitulé « Rêve parisien ». Ces rêveries se rattachent à une poétique de la voyance que Rimbaud prolonge et renouvelle : l’on serait même tenté de dire que la voyance rimbaldienne trouve son expression la plus accomplie dans ces villes de rêves. Ces visions où architecture et nature se confondent à la faveur d’un style flamboyant ont fait l’objet de nombreux commentaires. De ces analyses il ressort une double ambivalence : l’architecture rimbaldienne apparaît comme un espace à la fois attractif et menaçant, une scène où se joue le drame de la création et de la destruction. L’imaginaire du poète réécrit des mythes tels que l’enfer et le paradis d’une part, la genèse, le déluge et l’apocalypse de l’autre. Ce décor mythique semble renvoyer, sur le plan psychologique, aux désirs et aux angoisses du poète. Ce qui intéresse le poéticien, ce sont non pas les mythes en eux-mêmes, mais leur appropriation par le sujet rimbaldien. L’enjeu de ce travail sera en définitive d’étudier comment l’espace et l’architecture dans Illuminations traduisent les préoccupations intimes du poète.
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Achille, Etienne. "Édouard Louis, écrivain blanc." Contemporary French Civilization 45, no. 3-4 (December 1, 2020): 271–83. http://dx.doi.org/10.3828/cfc.2020.16.

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Abstract:
Étant donné l’image d’auteur engagé contre toute forme de pensée réactionnaire dont bénéficie Édouard Louis dans le champ littéraire et l’espace public français depuis la sortie évènementielle de son premier roman En finir avec Eddy Bellegueule (2014), la teneur du discours proposé par l’écrivain lors de la publication de son second livre, Histoire de la violence (2016), était remarquable. Louis n’a eu de cesse, sachant que l’agression autour de laquelle s’articule le récit implique un homme d’origine kabyle, d’insister sur la peur qu’il avait éprouvée de voir son texte faire l’objet d’une appropriation qui le transformerait en un “objet raciste,” et a systématiquement insisté sur sa volonté de faire du roman, au vu de la nature sensible des thèmes abordés, “un livre profondément antiraciste.” Il s’agira dans cet essai d’interroger les implications de cette angoisse littéraire à travers une réflexion sur la place ambiguë occupée par le facteur racial dans un dispositif narratif qui oscille entre d’un côté le besoin de s’assurer que “la lecture raciste devien[ne] comme impossible,” et de l’autre le souci d’inscrire l’expérience de la violence dans un contexte postcolonial. Histoire de la violence constitue selon nous un cas privilégié permettant de réfléchir à la question de la responsabilité et ce que nous appelons “l’éthique d’engagement des écrivains blancs” dans le contexte de la France contemporaine marqué à la fois par la montée en puissance du discours réactionnaire, et un intérêt croissant pour les récits mettant en scène des personnages postcoloniaux.
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Kendrick, Jeff. "Landscapes and Mindscapes: Mapping Selfhood in a Chanson spirituelle of Marguerite de Navarre." Renaissance and Reformation 36, no. 3 (December 2, 2013): 61–81. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v36i3.20547.

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Abstract:
Les Chansons spirituelles de Marguerite de Navarre (1547) regorgent d’exemples de la façon dont la poétesse construit un soi varié et à plusieurs facettes à travers la confession, qui est à la fois une expérience sociale et intime. La découverte de soi de la poétesse se développe à partir de l’incapacité qu’ont les mots à exprimer ses expériences. Toutefois, la reine suggère qu’il est possible de s’approprier la parole universelle de Dieu pour son usage personnel. À travers cette appropriation, les chansons posent un défi aux notions d’individualité de la Renaissance, qu’elles soient prises d’un point de vue social ou individuel. En particulier, on montre comment les procédés rhétoriques préfigurent ce que plus tard les écrivains désigneront par « le moi fragmenté ». Les paysages ou leur absence sont un moyen d’articuler les aspects intérieurs et extérieurs de sa conception de l’individualité, puisque c’est à travers la représentation de paysages que Marguerite exprime clairement l’expérience de son monde intérieur et son monde extérieur. À travers l’observation des personnages de ses poèmes déambulant dans différentes géographies, se dégage un sentiment d’intériorité exprimé à travers l’espace physique et extérieur. De plus, la poétesse hésite visiblement à établir des limites claires entre son soi intérieur et le monde extérieur de l’expérience. Ces deux aspects entretiennent plutôt un dialogue constant. En personnalisant les paysages de sa poésie, Marguerite induit dans ses chansons un questionnement à propos de la relation entre le sujet littéraire et le soi. Finalement, elle se retrouve piégée entre la position humaniste de l’épanouissement et le devoir évangélique d’abnégation.
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Castro García, María del Mar. "RESEÑA A: LAURENCE MERCURI, RICARDO GONZÁLEZ VILLAESCUSA, FRÉDERIQUE BERTONCELLO (DIRS), IMPLANTATIONS HUMAINES EN MILIEU LITTORAL MÉDITERRANÉEN: FACTEURS D’INSTALLATION ET PROCESSUS DE APPROPRIATION DE L’ESPACE (PRÉHISTOIRE, ANTIQUITÉ, MOYEN ÂGE). ACTES." RIPARIA 1 (2015): 229–34. http://dx.doi.org/10.25267/riparia.2015.v1.08.

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Schetrit, Olivier, and Pierre Schmitt. "Théâtre en langue des signes, théâtre de l’altérité ? Sourds, entendants et interculturalité autour de l’International Visual Theatre." Voix Plurielles 10, no. 2 (November 28, 2013): 110–19. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v10i2.845.

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Abstract:
Fondé en 1976, l’IVT (International Visual Theatre) se définit aujourd’hui comme un carrefour culturel, un espace d’échanges et de découvertes pour les sourds et les entendants. De la recherche d’une culture théâtrale et artistique propre aux sourds à sa diffusion dans l’espace public, de la réception de ses spectacles bilingues à l’entreprise d’enseignement de la langue des signes poursuivie par l’IVT nous proposons ici d’étudier les allers retours complexes entre les altérités croisées que représentent respectivement les identités sourdes et entendantes. Ainsi, à partir du regard d’un chercheur sourd et celui d’un chercheur entendant, nous reviendrons d’une part sur le rôle de l’IVT dans la (re)découverte de l’identité sourde à travers des modes d’expression tels que théâtre, danse et chorégraphie sourds, « chansigne » et « musique visuelle ». D’autre part, nous réfléchirons aux enjeux communs entre la salle de spectacle et les salles de classe, ces deux facettes visant à la promotion de la langue des signes et de la culture sourde auprès des entendants. Il s’agira donc d’analyser et d’exposer comment l’appropriation de « l’espace vide » (Brook, 1968) de la scène par les sourds en a fait un espace (inter)culturel où l’apprentissage d’autres langues et cultures passe par la découverte de soi au travers des autres. Sign Language Theatre, Theatre of the Other? Deaf, hearing and interculturality around the International Visual Theatre Founded in 1976, the IVT (International Visual Theatre) is today defined as a cultural crossroads, a place of exchanges and discoveries for deaf and hearing people. From the search of a theatrical and artistic culture specific to the deaf to its distribution in the public space, from the reception of its bilingual shows to the teaching of sign language pursued by the IVT, we propose here to study the complex back and forth relations between the mirrored otherness that deaf and hearing identities represent to each other. Thus, from the point of views of a deaf researcher and a hearing researcher, on the one hand, we will explore the role of the IVT in the (re)discovery of deaf identity through modes of expression such as deaf theater, dance and choreography, “chansigne” and “visual music”. On the other hand, we will reflect on common issues between the stage and the classroom, these two facets aiming at promoting sign language and deaf culture among the hearing. We will then analyze and explain how the appropriation of the “empty space” (Brook, 1968) provided by the stage has turned it into a (inter) cultural space where learning other languages and cultures implies self-discovery through others.
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Chamoux, Marie-Noëlle. "¿Hacia el indio nuevo? De lo global a lo local y a la inversa en pueblos nahuas del norte de Puebla." Revista Trace, no. 50 (July 10, 2018): 34. http://dx.doi.org/10.22134/trace.50.2006.423.

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Abstract:
La vida cotidiana en las comunidades indígenas ha sufrido muchos cambios desde los años cuarenta del siglo XX. El espacio, tal como los indígenas se lo apropian prácticamente, revela estos cambios. Se usa los conceptos de “mundo rural”, dominado por lo agropecuario, y de “lugares”, espacios con alta densidad de relaciones sociales. Se examina el caso de los nahuas del norte de Puebla (municipio de Huauchinango), señalando el ocaso del etos rural y la dominación ya instalada de valores urbanos. Se constata sin embargo, la permanencia de fuertes solidaridades familiares y el arraigo al pueblo. Pero en cambio se observa la pérdida de sentido del territorio del pueblo, tanto en su uso económico como en su apropiación simbólica y ritual. Casa, pueblo, comarca y “mundo exterior” son los espacios considerados para evaluar los cambios sufridos e imaginar un porvenir ya fuertemente amarrado a la modernidad.Abstract: Daily life in indigenous communities has suffered many changes since the nineteen forties. Space reveals these changes through the manner in which indigenous populations appropriate it. Concepts are employed such as “the rural world”, dominated by agricultural and livestock activity and “places”, spaces containing a high density of social relations. We examine the case of Nahuas in the north of Puebla (municipality of Huauchinango), pointing out a decline in rural ethos and the establishing of a domination of urban values. Nevertheless we verify the permanence of strong family solidarities and attachment to the village. On the other hand we observe the loss of a sense of territory, both in terms of economic use as in symbolic and ritual appropriation. House, village, region and “outside world” are the space taken into consideration to evaluate the changes suffered and to imagine a future firmly tied to modernity.Résumé : La vie quotidienne dans les communautés indigènes a subi de nombreux changements depuis les années quarante du XXe siècle. L’espace, tel que les Indiens se l’approprient dans la pratique, en porte la trace. On utilise les concepts de “milieu rural”, dominé par l’agriculture, et de “lieux”, espaces de haute densité de relations sociales. On examine le cas des Nahuas du nord de Puebla (municipe de Huauchinango), en signalant le déclin d’un etos rural et la domination déjà installée des valeurs urbaines. On constate cependant la permanence de fortes solidarités familiales et l’attachement au village. En revanche on observe la perte de sens du territoire, tant dans ses usages économiques que dans son appropriation symbolique et rituelle. L’habitat, le village, la contrée et le “monde extérieur” sont considérés pour évaluer les changements subis et imaginer un avenir déjà fortement amarré à la modernité.
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O’Connell, Daragh. "Ariosto’s Astute Arrogance: The Construction of the Comic City in La Lena." Renaissance and Reformation 40, no. 1 (July 21, 2017): 37–66. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v40i1.28447.

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Abstract:
This essay interrogates Ludovico Ariosto’s theatrical poetics by charting his developing sense of the theatrical space and his embrace of the contemporary. From an initial appropriation of Roman stage models to a more nuanced appreciation of the comic possibilities afforded through a modernizing use of the contemporary city as more than a mere backdrop, Ariosto inscribed his native Ferrara in comic form, at once a subversive antithesis to the idealized courtly city and a repository for comedic potentialities. This is most evident in two of his comedies: Il Negromante (1520; 1528) and, in particular, La Lena (1528), in which Ferrara (both named and unnamed) assumes an increasingly important role in the construction of the “comic city.” Ultimately, Ariosto’s transformation of theatrical tradition may be located in his interrogation and satirization of the vices and mores of Ferrara, resulting in the creation of one of the finest plays of the Italian Commedia erudite. Cet essai examine la poétique théâtrale de l’Arioste en retraçant le développement du sens de l’espace théâtral dans son oeuvre et la manière dont il est lié à son époque. L’Arioste s’approprie d’abord les modèles romains de décors de scène, pour ensuite en explorer les possibilités comiques par une appréciation plus nuancée de la représentation de la ville, qui dépasse le fond de scène. Ainsi, il inclut sa ville d’origine, Ferrare, dans la forme comique, ce qui en fait à la fois une antithèse subversive de la ville de cour et une source de possibilités pour la comédie. Cet aspect s’observe en particulier dans deux comédies: Il Negromante (1520 et 1528) et, davantage encore, dans La Lena (1528), dans lesquelles Ferrare (nommée ou non) prend une importance croissante dans la construction de la « cité comique ». Enfin, les transformations que fait subir l’Arioste à la tradition théâtrale s’observent dans sa mise en cause et sa satire des moeurs et des vices de Ferrare, ce qui donne le jour aux meilleures pièces de théâtre de la « comédie savante » italienne.
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Cherubini, Bernard. "Les Acadiens en Guyane (1765–1848) : une « société d’habitation » à la marge ou la résistance d’un modèle d’organisation sociale." Deuxième partie : les migrations et transferts culturels de l’Europe à l’Amérique. Migrations et transferts culturels aux XVIIe et XVIIIe siècles, no. 13-14-15 (October 27, 2009): 147–72. http://dx.doi.org/10.7202/038426ar.

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Abstract:
Résumé Très rapidement oubliés par les administrateurs de la colonie dans les savanes de l’ouest, au milieu de leurs troupeaux de bovins et de leurs parcs à tortue, les quelque 40 familles acadiennes, venues de l’Isle-Madame, de Saint-Pierre-du-Nord, de Rivière-du-Moulin-à-Scie, installées en Guyane dans les quartiers de Kourou, de Sinnamary et d’Iracoubo, à la suite du désastre de l’expédition de Kourou de 1764, ont été tenues à l’écart des projets de développement économique de la Guyane qui allaient concerner les Terres-Basses de l’Est, les grands domaines des quartiers les plus proches de Cayenne. Ce désintérêt, devenu pratiquement total à la suite du décès du gouverneur Jacau de Fiedmond en décembre 1781, aura probablement servi leur projet d’installation, sur des bases de rapprochement familial, de mariage des enfants et de remariage rapide des veufs et des veuves, jusqu’aux époques plus troublées de la Révolution française (1789), de la première abolition de l’esclavage (1794), des déportations de révolutionnaires (1794–1798) et de l’occupation portugaise de la Guyane (1809–1817). Une lecture ethnologique des caractéristiques de cette « société d’habitation », fondée sur des éléments d’ethnohistoire et sur des données généalogiques, vient confirmer la capacité des marges à structurer des relations autonomes et originales avec les centres de pouvoir, politiques ou économiques. On peut même se risquer à entrevoir l’influence de pratiques — dont on pourrait abusivement dire qu’elles sont déjà devenues « traditionnelles » en Acadie — dans l’organisation de la pêche à la tortue, de la pêche et de la navigation côtière, dans l’organisation spatiale des habitations le long du littoral, etc. Mais une société parallèle, en marge, se met nécessairement en marge d’un système existant ou en voie de constitution — ici une « société d’habitation » — sur la base d’une appropriation séparée de l’espace, de l’histoire immédiate, de la quotidienneté, que nous avons appelé ailleurs localisme, qui constitue dès lors sa force en cas de besoin de résistance à des pressions extérieures.
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Álvarez Díaz, Andrea. "Violencia doméstica y negociación de conflictos conyugales en comunidades maya-mam de Guatemala." Revista Trace, no. 57 (July 9, 2018): 65. http://dx.doi.org/10.22134/trace.57.2010.385.

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Abstract:
Analizar los conflictos familiares que reproducen la violencia doméstica, en contextos indígenas, implica asumir una posición no idealizada de la cultura, y una valoración y reconocimiento de diferentes formas de relación y construcción de ser mujer y de ser hombre. En este sentido, el artículo busca revisar posiciones esencialistas, sean éstas de género o étnicas, problematizando nociones tales como la de complementariedad de género, y su reapropiación emancipatoria por parte de las mujeres maya. Se revisa entonces elementos conceptuales que sostienen las prácticas socio-culturales en torno al establecimiento del matrimonio y de la familia en la sociedad maya-mam de Guatemala, y los conflictos conyugales que se han descrito tanto en el espacio intra-doméstico como extra-doméstico. En un segundo momento, y asumiendo el enfoque de negociación de conflictos, y de cooperación en las relaciones entre hombres y mujeres (Agarwal), se describen espacios comunitarios situados fuera del ámbito doméstico, que afectarán el poder de negociación de hombres y mujeres al interior del espacio doméstico en la resolución no violenta de los conflictos conyugales.Abstract: In order to analyze family conflicts that reproduce domestic violence, one needs to assume a non-idealized notion of culture, and an assessment and recognition of different forms of relationship and construction of being female and being a male. In this sense, this article intends to revise essentialist stands, whether ethnic or gender, problematizing notions such as gender complementarity, and their emancipatory appropriation by Mayan women. In so doing, conceptual elements that sustain socio-cultural practices of building marriage and family in the Mayan Mam society in Guatemala, are re-examined, as are the marital conflicts that have been described both in inter-domestic and in extra-domestic environments. In a second step, the approach of conflict negotiation and cooperation in men-women relationships is adopted in order to describe community environments beyond the domestic sphere, as they affect the negotiating power of men and women within the domestic space in non-violent resolution of marital conflict.Résumé : Dans les contextes autochtones, l’analyse des conflits familiaux qui reproduisent la violence domestique doit se faire en adoptant une position qui évite le risque d’idéaliser la culture. Il est toutefois nécessaire de valoriser et de reconnaître les différentes formes de relations qui s’établissent entre hommes et femmes dans des contextes culturels différents. Ainsi, cet article a pour objectif la critique de certaines positions essentialistes, qu’elles soient de genre ou d’ethnie, à travers la problématisation de concepts telle la complémentarité de genre, en considérant la réappropriation que les femmes mayas font de cette notion. Nous reprenons donc les éléments conceptuels qui servent d’appui aux pratiques socioculturelles, tel que l’établissement du mariage et de la famille dans la société maya-mam au Guatemala, ainsi que les conflits conjugaux qui ont été décrits dans le domaine intra-domestique et dans le domaine extra-domestique. Ensuite, nous décrivons les espaces communautaires extérieurs à l’espace familial, qui affectent le pouvoir de négociation homme-femme à l’intérieur de l’espace domestique, dans le cadre de la résolution non-violente des conflits conjugaux. À cette fin, nous adoptons une approche de la négociation des conflits et de la coopération dans le cadre des relations de genre (Agarwal).
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Rouleau, Joëlle. "Film: Réflexions sur la Représentation du Handicap Retrouvée dans le Cinéma Québécois." Canadian Journal of Disability Studies 5, no. 3 (October 31, 2016): 57. http://dx.doi.org/10.15353/cjds.v5i3.296.

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Abstract:
Réflexions sur la représentation du handicap retrouvée dans le cinéma québécois est un court- métrage documentaire s’articulant autour de deux questions principales : comment aborder la représentation du handicap telle qu’elle se retrouve dans certains films québécois ; et, dans quelle mesure l’étude critique de cette représentation permet-elle de concevoir le cinéma comme un régime de la représentation (Hall 1997a) québécois articulé autour de certaines normativités (Butler, 2004)? Pour y parvenir, la réalisatrice a entretenu une discussion avec des réalisateurs, réalisatrices, actrices et activistes au sujet de la lutte de pouvoir autour de la représentation (Hall, 1997a; du Gay et al., 1997); celle-ci s’inscrivant dans une lutte plus large concernant des rapports de force dans la société québécoise. Cette discussion prend pour étude de cas le film Prends-moi (2014), court-métrage de fiction réalisé par André Turpin et Anaïs Barbeau- Lavalettte, deux personnes non-handicapées. Le documentaire met de l’avant une analyse critique des représentations capacitiste, explorant l’autoreprésentation comme une réappropriation de l’espace culturel et social de la représentation des personnes handicapées dans le contexte québécois. Réflexions sur la représentation du handicap retrouvée dans le cinéma québécois is a short documentary exploring two core questions: First, how can we approach the portrayal of disability in certain Québec films? And second, how can a critical study of disability facilitate a conceptualization of Québec cinema as part of a « regime of representation » (Hall, 1997) articulated around certain norms (Butler, 2004)? To do so, the director opens up a discussion with film directors, producers, actors and activists concerning the power struggles over representation (Hall, 1997; du Gay et al., 1997) and the broader power relations in Québec society of which they are a part. This discussion focuses on the Quebec film Prends-Moi (2014) directed by non-disabled filmmakers André Turpin and Anaïs Barbeau-Lavalette. The short documentary offers an exploration of cultural representations of disability in Quebec media that allows for a deeper analysis of Quebec’s ableist cultural conceptions as well as a space for self- representation, which can be understood as a form of re-appropriation of media space.
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Semmoud, Bouziane. "Appropriations et usages des espaces urbains en Algérie du Nord." Cahiers de géographie du Québec 53, no. 148 (September 30, 2009): 101–18. http://dx.doi.org/10.7202/038144ar.

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Abstract:
Résumé À partir de l’exemple algérien, cet article se propose d’analyser et d’interpréter les pratiques d’appropriation et d’usage des espaces urbains, avec un intérêt particulier accordé au mode d’habiter et aux rapports entre espace privé et espace public. Ces pratiques se concrétisent par l’adaptation de l’habitat aux besoins des occupants, par des débordements multiples et variés sur l’espace public et, plus généralement, par le contournement des normes officielles. Elles reflètent à la fois des représentations imprégnées de permanences culturelles et des stratégies résidentielles et économiques visant l’accès au modèle urbain dit universel.
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Rougé, Lionel, and Claire Aragau. "Appropriations, partages et fabrications de l’espace public. Vers un périurbain plus convivialiste ?" Revue du MAUSS 54, no. 2 (2019): 307. http://dx.doi.org/10.3917/rdm.054.0307.

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Matasci, Damiano. "FONTAINE (Alexandre), GOUBET (Jean-François) (éd.), « La pédagogie allemande dans l’espace francophone. Appropriations et résistances »." Histoire de l'éducation, no. 149 (June 30, 2018): 164–65. http://dx.doi.org/10.4000/histoire-education.4083.

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Mebirouk, Hayet, Anissa Zeghiche, and Kaddour Boukhemis. "Appropriations de l’espace public dans les ensembles de logements collectifs, forme d’adaptabilité ou contournement de normes ?" Norois, no. 195 (June 1, 2005): 59–77. http://dx.doi.org/10.4000/norois.513.

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Gómez, Antonio Castillo, and Cécile d’Albis. "Entre public et privé: Stratégies de l’écrit dans l’Espagne du Siècle d’Or." Annales. Histoire, Sciences Sociales 56, no. 4-5 (October 2001): 803–29. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2001.279986.

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Abstract:
RésuméL’article se propose d’étudier les pratiques de l’écriture dans l’Espagne de la fin du XVe au milieu du XVIIIe siècle, à travers la relation qui existe entre la fonction des textes et leurs conditions de production, de diffusion et de réception. Les formes de l’écrit résultent des différentes stratégies et objectifs poursuivis, appropriation publique (inscriptions, tables, pamphlets ou graffiti), ou circulation plus restreinte et privée (correspondances, livres de comptes, mémoires, journaux personnels, autobiographies). Cette distinction entre écritures publiques et privées ne doit cependant pas être entendue comme un concept fermé: il importe de mettre en évidence leurs interrelations.
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Gómez, Antonio Castillo, and Cécile d’Albis. "Entre public et privé: Stratégies de l’écrit dans l’Espagne du Siècle d’Or." Annales. Histoire, Sciences Sociales 56, no. 4-5 (October 2001): 803–29. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900033254.

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Abstract:
Résumé L’article se propose d’étudier les pratiques de l’écriture dans l’Espagne de la fin du XVe au milieu du XVIIIe siècle, à travers la relation qui existe entre la fonction des textes et leurs conditions de production, de diffusion et de réception. Les formes de l’écrit résultent des différentes stratégies et objectifs poursuivis, appropriation publique (inscriptions, tables, pamphlets ou graffiti), ou circulation plus restreinte et privée (correspondances, livres de comptes, mémoires, journaux personnels, autobiographies). Cette distinction entre écritures publiques et privées ne doit cependant pas être entendue comme un concept fermé: il importe de mettre en évidence leurs interrelations.
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Sayagh, David. "Le vélo à l’adolescence sous le regard de la santé : révélateur et support des rapports sociaux de sexe, de classe et de territoire." Movement & Sport Sciences - Science & Motricité, no. 110 (2020): 79–93. http://dx.doi.org/10.1051/sm/2020018.

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Abstract:
Face au déclin de l’activité physique des jeunes, les mobilités à vélo représentent un enjeu considérable sur le plan sanitaire. En s’appuyant sur une enquête menée par observations et entretiens semi-directifs (n = 101), cet article vise à identifier − auprès d’un public adolescent – des appropriations différenciées du vélo en regard avec la santé, et à analyser dans quelle mesure celles-ci sont sous-tendues par les rapports sociaux de sexe, dans leurs articulations avec les rapports sociaux de classe, d’âge, et de territoire. Si le vélo peut être approprié pour le bien-être et/ou pour essayer de maigrir et/ou pour rester mince et/ou pour préserver ses qualités physiques et/ou pour les renforcer et/ou pour se protéger des agressions et/ou pour se risquer, ces appropriations sont le plus souvent sexuées, socialement situées et parfois encouragées par le contexte résidentiel. L’analyse démontre ainsi l’importance d’étudier les articulations entre les socialisations urbaines, sportives et mobilitaires des jeunes. Le vélo apparaît à la fois comme un révélateur et un support des rapports sociaux de sexe, de classe et de territoire. S’il est souhaité que sa promotion joue un rôle central sur le plan de la santé, la réduction des inégalités d’accès à l’espace public devrait constituer un objectif prioritaire.
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Dufour, Pascale. "Les forums sociaux locaux comme outils d’action politique pour les personnes en situation de marginalité : des appropriations à échelle variable." Recherche 57, no. 1 (June 3, 2016): 177–202. http://dx.doi.org/10.7202/1036626ar.

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Abstract:
Nous analysons deux expériences de forums sociaux locaux qui partagent la particularité d’avoir été mis en place dans des quartiers marginalisés. L’outil « forum » a été mobilisé et utilisé de manière similaire dans les deux sociétés (Québec et France) pour permettre l’expression publique d’une parole politique jugée confisquée. Néanmoins, ces expériences se distinguent par la manière dont les militants ont construit la portée de leur action collective. Dans un cas (le Québec), l’échelle locale du forum social a répondu à un enjeu défini essentiellement au niveau de l’arrondissement alors qu’en France, les acteurs à l’initiative du forum ont construit une échelle sociétale/nationale à leur forum local. Cet article propose d’expliquer cette différence dans la construction de l’étendue de l’action « forum social », à partir de trois dimensions : 1) un rapport différencié au territoire de la marginalité; 2) des cibles institutionnelles distinctes de revendications; 3) des militants à la base de l’événement occupant une place distincte dans l’espace de la protestation.
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Boillat, Alain. "La « diégèse » dans son acception filmologique. Origine, postérité et productivité d’un concept." Cinémas 19, no. 2-3 (June 29, 2009): 217–45. http://dx.doi.org/10.7202/037554ar.

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Abstract:
Résumé Popularisée par l’usage extensif (et de ce fait quelque peu galvaudé) qu’en fit Gérard Genette en narratologie littéraire, la « diégèse » constitue certes la notion vedette des filmologues, mais elle fut pendant plusieurs décennies le lieu d’une certaine occultation de son champ originel en raison des appropriations non référencées qu’en firent poéticiens et sémiologues. En suivant le fil historiographique des différents emplois et acceptions de cette notion associée à Étienne Souriau dans l’espace francophone, le présent article propose un état des lieux qui, par la petite porte d’une entrée terminologique, entend s’interroger sur les conséquences théoriques des variations que le terme « diégèse » a subies et, plus généralement, sur la question du statut octroyé au courant filmologique. En examinant les différentes implications de la définition première, qu’il s’agit parfois de délester de sens dont on l’a ultérieurement investie, cet article tente de montrer que le cadre dans lequel la diégèse a été conceptualisée contient des potentialités théoriques qui n’ont pas encore été épuisées aujourd’hui, et qui convergent avec certains champs d’études récents (comme celui de la logique des mondes possibles) dont l’application au cinéma n’a probablement jamais été aussi pertinente qu’à l’ère des images de synthèse, des univers virtuels et des environnements de jeux vidéo.
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Choplin, Marie-Astrid, and Vincent Gatin. "L’espace public comme vitrine de la ville marocaine : conceptions et appropriations des places Jemaa El Fna à Marrakech, Boujloud à Fès et Al Mouahidine à Ouarzazate." Norois, no. 214 (May 20, 2010): 23–40. http://dx.doi.org/10.4000/norois.3095.

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Laly, Cecile. "Appropriation de l’espace terrien et aérien par les cerfs-volants." Projets de paysage, no. 23 (December 30, 2020). http://dx.doi.org/10.4000/paysage.13117.

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Naimi, Mohamed. "Mouvement du 20 février et appropriation de l’espace public au Maroc." Les Cahiers d’EMAM, no. 28 (June 21, 2016). http://dx.doi.org/10.4000/emam.1204.

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Gilles, David. "Quand comparaison juridique n’est pas raison politique. Les juristes britanniques et canadiens-français comme analystes des systèmes de common law et de droit civil en amont de l’Acte de Québec (1774)." Clio@Themis, no. 13 (April 19, 2021). http://dx.doi.org/10.35562/cliothemis.865.

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Abstract:
La conquête du Canada par les Britanniques en 1759-1763 ouvre une période d’intenses mutations et d’une certaine fébrilité sur le plan juridique et institutionnel. En l’espace de quinze ans, plusieurs orientations sont prises, obligeant à une évaluation comparatiste des droits français et anglais pour bâtir le futur juridique de la nouvelle colonie britannique. Jusqu’à l’Acte de Québec, les juristes d’origine britannique et française vont analyser, comparer les mérites de ces deux modèles juridiques, se critiquer largement, jusqu’à trouver une solution de compromis, permettant à la fois une adaptation du droit, mais aussi une appropriation identitaire caractéristique de la démarche juridique colonial, identifiant un véritable Legal transplant.
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Leroy, Stéphane. "« Bats-toi ma sœur »1. Appropriation de l’espace public urbain et contestation de la norme par les homosexuels." Métropoles, no. 8 (November 30, 2010). http://dx.doi.org/10.4000/metropoles.4367.

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Ouellet, Annie. "Appropriation de l’espace à Sarlat et Dinan. Prendre, défendre ou laisser sa place dans de petites villes touristiques et patrimoniales." Territoire en mouvement, no. 48-49 (December 18, 2020). http://dx.doi.org/10.4000/tem.7679.

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Fortin, Claude, and Kate Hennessy. "The Appropriation of a Digitally-Augmented Agora: Field Study of the Structuration and Spatialization of an Issue Public in Urban Space." Canadian Journal of Communication 40, no. 4 (November 11, 2015). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2015v40n4a2926.

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Abstract:
In 2013, we conducted a ten-week qualitative field evaluation of an interactive public space art installation. During these three months, we observed a vast array of examples of how the general public appropriated this technological artifact and the public space in which it was deployed. This article draws on Mosco’s political economy of communication framework to examine how one specific issue public—composed of several different groups actively engaged against police misconduct and brutality—creatively made use of Mégaphone in conjunction with online media to self-report, self-represent, and self-publish alternative and oppositional views around incidents of police abuses of power. In doing so, we explore how structuration, spatialization, and commodification might offer critical perspectives on interactive urban technologies.Nous avons effectué en 2013 une étude de terrain pendant dix semaines dans le but d’évaluer une installation numérique interactive déployée en espace public. Lors de cette étude qualitative, nous avons pu observer comment les passants s’appropriaient à la fois la technologie et l’espace. En s’inspirant du cadre théorique de Mosco sur l’économie politique de la communication, cet article analyse comment certains membres d’un public constitué autour du problème de la brutalité policière ont utilisé Mégaphone en relai avec l’Internet pour mettre en exergue, présenter et auto-publier leurs témoignages livrés en opposition et en marge des idées reçues. Ce faisant, cette étude vise à soutenir une réflexion sur l’application empirique de la structuration, la spatialisation et la marchandisation en rapport avec les technologies urbaines interactives.
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Tremblay, Emmanuelle. "En pays d’huronie. Les enfantômes de Réjean Ducharme." No. 85 (August 11, 2008): 99–118. http://dx.doi.org/10.7202/018611ar.

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Abstract:
Résumé Dans cet article, nous examinons les significations symboliques de la figure de l’Indien dans Les enfantômes (1976) de Réjean Ducharme. La fonction narrative de cette figure revêt ici une dimension critique qui se donne à lire dans les représentations romanesques de la marginalité, lesquelles sont constitutives d’une tradition littéraire que la modernité reprend à son compte à travers une écriture caractérisée par une invention rhétorique désignée par Ducharme sous le nom d’« huronie ». L’analyse vise à mettre en évidence la manière dont cette dernière permet de penser une appropriation de l’indianité en raison de la liberté langagière qu’elle autorise, de la déconstruction du lieu commun dont elle procède ainsi que de l’hybridité et de l’altérité qu’elle génère. Il s’agit de montrer en quoi l’huronisation relève d’un principe de médiation entre les différents référents culturels convoqués (sérieux/populaires ; français/québécois/anglo-saxons) en raison du passage de l’un à l’autre qu’elle autorise par le procédé de la traduction, laquelle oscille entre fidélité et trahison, pour ainsi fonder le caractère ambigu de l’appartenance identitaire dans le texte ducharmien, de même que la logique paradoxale qui le sous-tend et qui s’appuie sur le refus de l’espace consensuel. À la lumière d’une complexification de la problématique identitaire mise en jeu par la création romanesque, cette étude tend à renouveler le discours postcolonial par un dépassement de l’opposition « centre/périphérie » qui règle l’interprétation de l’affirmation identitaire dans le contexte des cultures minoritaires.
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Olivieri Godet, Rita. "PARCOURS MEMORIELS AMERINDIENS ET GEOPOETIQUE DES CONFINS - AMERINDIAN MEMORIAL ITINERARIES AND GEOPOETICS OF THE CONFINES." Organon 29, no. 57 (October 27, 2014). http://dx.doi.org/10.22456/2238-8915.48153.

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RESUME : Il s’agit d’interroger les figurations des rapports des Amérindiens au continent américain dans des textes littéraires qui ont recours à la mémoire pour mettre en scène des « territoires lointains » et leurs populations autochtones: les territoires nordiques du Canada (Chants polaires de Jean Morisset, 2002) ; la forêt amazonienne (Yuxin-Alma de Ana Miranda, 2009) ; la Terre de Feu (Luna roja de Leopoldo Brizuela, 2002). De l’extrême-Nord à l’extrême-Sud du continent américain, en passant par la forêt amazonienne, c’est la construction imaginaire de la conception de « confins », renvoyant à la dichotomie entre civilisation et terres sauvages, qu’il nous intéresse d’examiner tout en soulignant les modalités spécifiques d’appropriation des éléments d’une mythologie de l’espace américain mises en place par les différents textes littéraires. MOTS CLES : mémoire, Amérindiens, confins, espace américain ABSTRACT: The representations of American Indians relationship to the American continent are investigated in literary texts that use memory to stage the "distant lands" and their indigenous peoples: the northern territories of Canada (Chants Polaires by Jean Morisset, 2002); the Amazonian forest (Yuxin-Alma by Ana Miranda, 2009); Tierra del Fuego (Luna roja by Leopoldo Brizuela, 2002). From the far north to the far south of the American continent through the Amazon forest, we are interested in the imaginary construction of the conception of "confines", referring to the dichotomy between civilization and wilderness, while emphasizing the specific modalities of appropriation of elements of a mythology of the American space implemented by the various literary texts. KEYWORDS: memory, Amerindians, confines, American space
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HAMIDI, Djamel. "LA CENTRALITÉ LINGUISTIQUE DU FRANÇAIS DANS L’AFFICHAGE PUBLICITAIRE À MÉDÉA EN ALGÉRIE." FRANCISOLA 1, no. 1 (June 30, 2016). http://dx.doi.org/10.17509/francisola.v1i1.2560.

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Abstract:
<p><strong>RÉSUMÉ. </strong>Ce travail s’attache à approcher l’affichage publicitaire de point de vue sociolinguistique. Plus précisément, Il s’agit de voir les langues en présence dans l’espace urbain de Médéa. Pour ce faire, sur le plan théorique, nous avons inscrit notre objet d’étude dans le champ de la sociolinguistique urbaine, discipline qui questionne les pratiques sociolangagières dans leur complexité. Sur le plan méthodologique, nous nous appuyons sur un corpus constitué d’affiches publicitaires. Par le biais de ce corpus, nous focalisons notre attention, d’abord, sur la distribution des langues en contexte urbain ; puis, nous nous intéressons à la place de la langue française dans le paysage graphique urbain. Notre intérêt est donc de vérifier le poids des langues affichées dans la ville de Médéa.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Mots-clés : </strong><em>appropriation, langue, sociolinguistique</em><em>.</em></p><p><em><br /></em></p><p><strong>ABSTRACT. </strong>This work deals with the urban publicity boards from a sociolinguistic point of view. Mainly, it does deal with the languages presented in urban places of Médéa town. For that, theoretically, we have chosen to subscribe our object of study under the urban sociolinguistic field. This later studies sociolinguistic practices with their various complexities. From a methodological side, we have chosen a corpus consists of billboards. Using that corpus, we have focused first on the distribution of the languages on urban spaces, and after that, we have dealt with the place of French in this urban area. So, our objective is to know the value of all the languages in the city of médéa.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Keywords: </strong><em>appropriation<strong>, </strong>language, sociolinguistic.</em><strong></strong></p><p><em><br /></em></p>
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Innis, Liam Robert John, and Gordon R. Osinski. "Igneous Rock Associations 24. Near-Earth Asteroid Resources: A Review." Geoscience Canada, July 9, 2019, 85–100. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2019.46.147.

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The extraction of natural resources located beyond Earth to create products can be described as space resource utilization (SRU). SRU is under active investigation in both the public and private sectors. Near-Earth asteroids (NEAs) are particularly promising early SRU targets due to their relative proximity and enrichments in two key resources: water and platinum group elements (PGEs). Water can be used to create rocket propellant, making it the only resource with significant demand given the current nascent state of the space market. Platinum group elements are valuable enough that their import to the Earth market is potentially economical, making them the other prospective resource in the current embryonic state of SRU. While it is possible to retrieve material from a NEA, doing so on an economical scale will require significant developments in areas such as autonomous robotics and propulsion technology. A parameterization accounting for asteroid size, resource concentration, and accessibility yields just seven and three potentially viable NEA targets in the known population for water and PGEs, respectively. A greater emphasis on spectral observation of asteroids is required to better inform target selection for early prospecting spacecraft. A further complication is the lack of a legal precedent for the sale of extraterrestrial resources. The Outer Space Treaty prohibits the appropriation of celestial bodies but makes no explicit reference to their resources while the U.S.A. and Luxembourg have passed legislation entitling their citizens to own and sell space resources. Whether these laws are a matter of clarification or contradiction is the matter of some debate. RÉSUMÉL'extraction de ressources naturelles situées au-delà de la Terre pour créer des produits peut être décrite comme une utilisation des ressources spatiales (URS). L’URS est actuellement examinée à la fois dans les secteurs public et privé. Les astéroïdes proches de la Terre (NEA) sont des cibles URS particulièrement prometteuses en raison de leur proximité relative et de leur enrichissement en deux ressources clés : l’eau et les éléments du groupe du platine (EGP). L'eau peut être utilisée pour créer des agents de propulsion pour vaisseaux spatiaux, ce qui en fait la seule ressource pour laquelle la demande est importante compte tenu de l’émergence du marché spatial actuel. Les EGP sont suffisamment précieux pour que leur importation sur le marché terrestre soit potentiellement économique, ce qui en fait l’autre ressource potentielle étant donné l’état embryonnaire actuel de l’URS. Bien qu'il soit possible de récupérer des matériaux sur un NEA, le faire à une échelle économique nécessitera des développements importants dans des domaines tels que la robotique autonome et la technologie de propulsion. Un paramétrage tenant compte de la taille des astéroïdes, de la concentration des ressources et de l'accessibilité conduit à seulement sept et trois cibles NEA parmi la population connue, potentiellement exploitables pour l'eau et les EGP, respectivement. Il est nécessaire de mettre davantage l'accent sur l'observation spectrale des astéroïdes afin de mieux documenter la sélection des cibles pour les premiers vaisseaux prospecteurs. L'absence de précédent juridique pour la vente de ressources extraterrestres est une complication supplémentaire. Le Traité sur l’espace interdit l’appropriation des corps célestes mais ne fait aucune référence explicite à leurs ressources, tandis que les États-Unis et le Luxembourg ont adopté une législation autorisant leurs citoyens à posséder et à vendre des ressources spatiales. Que ces lois fassent l’objet de clarification ou de contradiction est sujet à débat.
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Della Sudda, Magali. "Le sexe de l’Homme de la Déclaration des Droits. Contestation et Appropriations par les catholiques italiennes de l’héritage de 1789 (1900-1919)." L’Homme de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen est-il une femme ?, no. 3 (June 24, 2021). http://dx.doi.org/10.35562/cliothemis.1325.

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Qui représentait l’Homme de la Déclaration des Droits de 1789 ? À quels individus de chair et d’os cette catégorie abstraite renvoyait-elle ? Olympe de Gouges et les féministes qui se réclamèrent de l’héritage révolutionnaire apportaient une première réponse pour faire reconnaître le caractère bi-sexué de l’Homme et être inclues dans le corps des citoyens. À côté d’elles, d’autres voix féminines se prononcèrent pour une autre catégorisation du genre de l’Homme. En opérant un double déplacement dans le temps et dans l’espace, cet article propose de lire en creux la représentation de l’Homme de la Déclaration des Droits qui prévalait dans des mouvements féminins catholiques. À partir des écrits de la fondatrice du premier mouvement féminin catholique italien, la figure de la citoyenne catholique émerge comme un sujet politique différent de l’Homme masculin. L’article met en lumière les évolutions dans le discours des associations catholiques qui se rallient après la Grande Guerre à une idée de l’Homme bi-sexué.
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Bénéi, Veronique. "Nationalisme." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.021.

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Abstract:
En 1990, l'historien Eric Hobsbawm prophétisait la fin des nations et nationalismes. Pourtant, jamais autant d'États-nations n’ont vu le jour que dans le dernier quart du vingtième siècle. Leur importance dans le monde contemporain est telle qu’elle évoque un « système mondial ». Plus : nombre de conflits politiques aujourd’hui mobilisent des pulsions nationalistes qui soit président à la fondation d’un État-nation, soit en dérivent. La volonté de (re-)créer une communauté nationale y est portée par une espérance et un désir de vivre ensemble fondé sur la redéfinition de bases communes (langue, religion, etc.). Voici vingt ans, le nationalisme constituait un pré carré de l’histoire et de la science politique. À présent, il occupe une place centrale dans les travaux d’anthropologie politique. « Nationalisme », « national », « nationaliste » – Ajustements sémantiques. Le nationalisme se définit comme principe ou idéologie supposant une correspondance entre unités politique et nationale. La nation n'est cependant pas « chose » mais abstraction, construction idéologique dans laquelle est postulé un lien entre un groupe culturel auto-défini et un État. L’implication émotionnelle qu’elle suscite est, elle, bien concrète. Plus qu’une idéologie, d’aucuns considèrent le nationalisme comme sentiment et mouvement : de colère suscitée par la violation de l'intégrité politique et nationale, ou de satisfaction mû par sa défense.[1] Sentiment et mouvement, le nationalisme produit, entretient et transmet une implication émotionnelle autour de l'abstraction de la nation, potentiellement productrice de violence. La distinction entre « national » et « nationaliste » est ténue, davantage une question de perspective que de science objective. On oppose souvent le « simplement national », entendez « qui relève d’un intérêt légitime pour la nation », au « condamnable nationaliste », à savoir ressort de passions irrationnelles. Or, il s’agit davantage d’une question de point de vue. Importante pour l’analyse anthropologique, cette relativité permet de transcender les distinctions infructueuses entre « nations établies » (censées appartenir à la première catégorie) et « nations plus récentes » (reléguées à la seconde) qui balisent les réflexions les plus éclairées sur le nationalisme. Nationalisme, nationalisation et éducation. Le nationalisme a partie liée avec la nationalisation comme mise en œuvre d’un régime d’identification nationale. Celle-ci fut longtemps associée à des modèles de modernisation où la scolarisation était prépondérante. Le modèle sociologique universaliste d’Ernest Gellner (1983) au début des années 1980 a encadré maints programmes éducatifs, des appareils d’État comme des agences d’aide internationale. Dans cette perspective associant modernisation, industrialisation et nationalisme laïque, opèrent une division industrielle du travail et une culture partagée du nationalisme tenant ensemble les éléments d’une société atomisée par le procès d’industrialisation. Cette culture, homogène, doit être produite par la scolarisation, notamment primaire. Si la perspective gellnérienne est depuis longtemps disputée au vu du nombre de contre-exemples, où nationalisme exacerbé accompagne industrialisation faible ou, inversement, industrialisation poussée voisine avec nationalisme religieux, la plupart des États-nations aujourd’hui retiennent la corrélation entre scolarisation de masse et culture de sentiments d’appartenance nationale. En concevant l’éducation comme stratégie stato-centrée d’ingénierie sociale servant les structures hiérarchiques de la reproduction sociale (Bourdieu et Passeron 1990), cette perspective omet l'agency des citoyens ordinaires, autant que la contextualisation historique des conditions de production des mouvements nationalistes en contexte colonial, d’où sont issus maints État-nation récents. Nationalisme, colonialisme et catégories vernaculaires. Le cas des nations plus récentes appelle clarification concernant le legs des structures politiques européennes. Dans les sociétés autrefois sous le joug colonial, l’émergence d’une conscience nationaliste et la mobilisation contre les dirigeants coloniaux furent des processus concomitants. Citoyenneté et nationalisme furent étroitement associés, puisque la lutte pour l'indépendance assistait celle pour l’acquisition de droits fondamentaux. La conscience d’un sujet national libre s’est forgée de pair avec l'établissement de droits (et devoirs) de citoyen. Elle a aussi nécessité une accommodation vernaculaire de concepts initialement étiques. La sensibilité des anthropologues à l’égard des catégories vernaculaires opérantes dans les idiomes rituels, culturels et linguistiques et les pratiques de socialisation afférentes, contraste fortement avec leur faible investissement, de longues années durant, dans l’étude de sujets entretenant rapport avec une modernité politique, tels nationalisme, société civile ou citoyenneté. Philosophie et science politiques, aux instruments théoriques fondés sur une tradition européenne à valeur universelle, conservèrent longtemps l’exclusive. Or, même les perspectives les plus critiques vis-à-vis des Lumières ont négligé les langues vernaculaires dans leurs réflexions sur les modalités d’accueil en contextes non-européens de ces notions politiques (Kaviraj 1992; Burghart 1998; Rajagopal 2001 sont de notables exceptions). Pourtant, travailler avec les catégories vernaculaires illumine les répertoires sociaux et culturels et leurs négociations locales, favorisant une meilleure intelligibilité des ressorts culturels des processus, formes et modèles d’affects politiques et nationalistes. Ils déplacent aussi la focale, souvent portée sur l’éruption occasionnelle ou répétée de la violence nationaliste, vers l’analyse des procès de « naturalisation quotidienne de la nation ». Nouvelles approches (1) - Nationalisme banal et théologies du nationalisme. Mûris au long cours dans les multiples plis de la vie ordinaire, ces processus alimentent les « sentiments d’appartenance », piliers de l’identité en apparence naturels et évidents, vecteurs de la production journalière du « nationalisme banal ». Empruntée à Michael Billig (1995) en écho aux réflexions d’Hannah Arendt sur la « banalité du mal » (1963), l’expression réfère à l’expérience du nationalisme si parfaitement intégrée à la vie ordinaire qu’elle en passe inaperçue. Documenter la fabrique du nationalisme banal implique d’examiner les processus, d’apparence bénigne et anodine, d’identification nationale et de formation d’un attachement précoce à la nation. Ainsi s’éclairent la constitution de sens-/-timents d’appartenance dans la banalité quotidienne de la nation et la distinction ténue entre nationalisme religieux, sécularisme et patriotisme. Dans tout État-nation, les liturgies nationalistes se déroulant quotidiennement et périodiquement (par exemple, dans l’espace scolaire), sont fondées sur des rituels et procédures participant d’une « théologie du nationalisme ». Celle-ci peut dépendre d’une conception explicite de la fabrique de la nation comme projet théologique. Elle est alors informée par des principes d’adhésion à une doctrine ou à un dogme religieux. Tels sont les projets hindutva de construction nationale en Inde, où les partis d’extrême-droite hindoue prétendent édifier le royaume et le gouvernement du dieu Rama (Ramrajya) sur la base des écritures hindoues anciennes. Mais une théologie du nationalisme peut aussi s’arc-bouter sur des procédures rituelles promues par des idéologues et autres « constructeurs de la nation », nationalisme séculaire inclus. Dans l’après-coup de la Révolution française, par exemple, les parangons du sécularisme dur s’efforcèrent d’installer « une nation laïque » par l’emprunt massif des formes d’un catholicisme populaire (Ozouf 1988). Le cas français, bien qu'extrême, n’est nullement exceptionnel. Il souligne la troisième acception, plus générale, de la notion de théologie nationaliste en insistant sur l'élément sacré sous-jacent à maints projets d’édification nationale. Explicitement conceptualisées comme religieuses ou laïques, les production et sustentation de la nation sont dotées d'une inévitable sacralité (Anderson 1983). Ainsi apparaissent les similitudes habituellement méconnues entre différentes formes de nationalisme, y compris entre sécularisme, nationalisme religieux et confessionnalisme (Hansen 2001, Benei 2008). Nouvelles approches (2) - Sens, sentiments et ressentis d’appartenance nationale/nationaliste. Aujourd’hui, l’intérêt d’une perspective anthropologique sur le nationalisme tient au renouvellement du champ disciplinaire au croisement de recherches sur le corps*, les émotions et le sensible (Benei 2008). Celles-ci montrent comment les programmes nationalistes de formation du soi reposent sur la constitution d’un « sensorium national primaire », notamment dans un contexte national-étatique. À travers son appropriation préemptive de l’univers sensoriel de la population, l’État s’efforce de mobiliser les niveaux des sensoriums développés par les acteurs sociaux —dans l’intimité de la petite enfance, les traditions musicales recomposées, les liturgies dévotionnelles, les transformations culturelles et sensorielles engendrées par les nouvelles technologies et l’industrialisation, etc.— non seulement lors de rencontres périodiques, mais aussi dans l’union quotidienne de différentes couches de stimulations entrant dans la fabrique d’une allégeance nationale. Ces procès sont simultanément liés à une incorporation émotionnelle produite au long cours. Celle-ci repose la question de la « fin des méta-récits » —nationalisme inclus—, prophétisée par Jean-François Lyotard voici trente ans comme la marque distinctive de la postmodernité. L’époque était alors traversée par courants et discours contraires, aux plans régional, international et transnational. Depuis, on l’a vu, l’histoire a eu raison de ces prédictions. La forme « nation » et ses émanations nationalistes se sont manifestées concrètement dans la vie d'un nombre toujours croissant d'acteurs sociaux du monde contemporain. Comment, alors, expliquer le caractère désuet, voire acquis, de la notion aujourd’hui chez maints universitaires? Par la naturalisation de l’attachement national à une mesure sans précédent. Il ne s’agit plus de partager une communauté de nation avec des lecteurs de journaux (Anderson 1983) ou de « signaler banalement » le national (Billig 1995) : la naturalisation de l'idée et de l'expérience de la nation implique son « incorporation ». C'est par l'incorporation de la nation en nous-mêmes en tant que personnes sociales incarnées, sujets et citoyens, que nous entretenons un sentiment d'appartenance nationale, aussi éphémère et vague soit-il parfois. Conclusion : L’incorporation du nationalisme et ses limites. Un avertissement s’impose : loin de subir le projet étatique, les acteurs sociaux sont doués d’agency sociale et politique. Ils exercent plus d’autonomie que généralement concédé dans les analyses du nationalisme. La compréhension et la représentation des acteurs sociaux sont toujours le produit négocié de processus advenant en divers espaces, du foyer familial jusqu’à l’école et d’autres lieux dits « publics ». Par-delà visions et programmes étatiques relayés par des institutions-clés, l’intérêt d’une approche anthropologique faisant la part belle au corps, aux sens et aux émotions est sa mise en lumière de cette négociation toujours fragmentaire. Lesdits processus n’appartiennent pas à une unité d’analyse totale, État, “sphère publique” ou autre. Pour les acteurs sociaux « au ras du sol », l’État-nation n’est pas nécessairement un objet phénoménologiquement cohérent. Ce dont ils font l’expérience et qu’ils négocient, c’est le caractère incomplet et fragmentaire d’un projet politique de formation du soi, adossé à une toile historique et culturelle de « structures de ressenti » (Raymond Williams 1958). Également, les sens-/-timents d’appartenance sont protéiformes jusque dans leur construction dialogique avec les institutions étatiques, mass media et autres lieux de culture publique. Leur incorporation n’est un procès ni exhaustif ni final. Différents moments peuvent être convoqués dans une infinité de situations. Ce caractère labile rend l’issue de tout programme nationaliste imprévisible. Suite à ces constantes tension et incomplétude, aucun processus de nationalisme, pas même étatique, ne peut prévenir l’irruption de l’imprévisible, dans la routine quotidienne comme en des circonstances extra-ordinaires. En définitive, les programmes étatiques les mieux conçus, qui viseraient à capturer les expériences sensorielles et phénoménologiques que font les citoyens des réalités sociales, culturelles et politiques, ne peuvent en maîtriser la nature contingente.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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