Academic literature on the topic 'Arabe (langue) Arabe (langue) Économie politique'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Arabe (langue) Arabe (langue) Économie politique.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Arabe (langue) Arabe (langue) Économie politique"

1

Salam, Rita. "Le roman politique des écrivains algériens de langue arabe." Mots 54, no. 1 (1998): 96–110. http://dx.doi.org/10.3406/mots.1998.2330.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Hoffman, Katherine E., and Catherine Broué. "Pratiques juridiques et idéologies langagières dans un tribunal non officiellement multilingue." Anthropologie et Sociétés 39, no. 3 (January 22, 2016): 29–50. http://dx.doi.org/10.7202/1034758ar.

Full text
Abstract:
Au Maroc, les tribunaux demeurent le Saint Graal des militants amazighs qui souhaitent la légitimation institutionnelle du tamazight (langue berbère ou langue amazighe) et cherchent à mettre fin aux discriminations linguistiques et à la domination arabe dans les administrations. Les pratiques juridiques en langue vernaculaire tamazight ne sont régies par aucune politique étatique officielle, et c’est plutôt la langue arabe qui domine les affaires judiciaires. Pourtant, comme je le soutiens dans le présent article, l’ « État » emploie des individus, en particulier des juges et des officiers d’état civil, dont certains utilisent des variétés régionales de tamazight dans le cadre de leur travail, notamment pour enregistrer les mariages dans le cadre de tribunaux coutumiers ambulants, procédures qui ont fait l’objet de mes enquêtes sur le terrain et d’entrevues. Les pratiques et les idéologies langagières des juges méritent l’attention de quiconque souhaite étudier l’économie de la langue dans la politique marocaine, notamment en raison du statut élevé de ces représentants de l’État et du respect dont ils sont auréolés. Le personnel juridique obéit aux nécessités politiques en fonction de contraintes et de possibilités locales – notamment linguistiques – et, ce faisant, contribue à modeler l’ensemble des choix politiques en matière de langue au Maroc.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Castonguay, Charles. "L’orientation linguistique des allophones à Montréal." Articles 21, no. 2 (March 25, 2004): 95–118. http://dx.doi.org/10.7202/010123ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Selon le recensement de 1986, l'anglais maintient sa place comme première langue d'assimilation des Montréalais d'une autre langue que l'anglais ou le français. Cette constance recouvre toutefois des mouvements divergents. Si les allophones nés à Montréal s'anglicisent nettement plus qu'en 1971, le français progresse d'autant parmi les immigrés : il y a cependant un léger regain de l'anglais chez les derniers arrivés. Le progrès de la francisation paraît lié surtout au développement de l'immigration créole, espagnole, arabe et vietnamienne. La scolarisation en français semble aussi orienter assez fermement les enfants des nouveaux immigrants vers la francisation. Depuis la conjoncture socio-politique de 1976-1980, particulièrement favorable au français, le regain de l'anglais paraît traduire le retour à un certain Québec bilingue. L'attrait de l'anglais semble également s'accroître avec la durée de séjour à Montréal.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Aman, Yasser K. R. "Nizar Qabbani’s “Balqis”." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 7, no. 2 (October 1, 2009): 1–33. http://dx.doi.org/10.1075/forum.7.2.01ama.

Full text
Abstract:
Cet article montre l'importance d'adapter les différentes théories littéraires de traduction ainsi que de mettre la traduction donnée dans son contexte approprié. L'introduction vise à fournir au lecteur de langue cible avec une meilleure compréhension du poème traduit "Belqis", un poème politique célèbre par Un poète arabe a appelé Nizar Qabbani. La première section traite de l'introduction aux théories de la traduction avec référence particulière aux «Belqis." Je soutiens que l'approche de crédit correspond à la traduction de la poésie depuis la traduction des approches différentes peuvent pas supporter séparément pour répondre aux exigences de la traduction littéraire. Le second présente à la fois une esquisse biographique du poète, ce qui reflète une forte corrélation entre sa vie et de pensées comme on le voit dans sa poésie, et fournit au lecteur un contexte politique qui donne un éclairage sur le contexte culturel et intertextuel de la traduction. Le poème, mais un chant funèbre sur la femme morte, découvre peu à peu les mauvaises pratiques politiques arabes. les implications politiques de l'image de la femme sont un rappel de les territoires occupés. En fait, le poème se lamente tous les peuples arabes qui souffrent de leurs dirigeants. Par conséquent, je soutiens que le poème est le cri du Qabbani pour réveiller les gens partout dans le monde arabe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

Full text
Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Botéa, Bianca. "Espace-frontière." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.008.

Full text
Abstract:
L’anthropologie des espaces frontaliers et des espaces-frontières est un champ relativement récent, développé dans la littérature anglo-saxonne dans les années 1990 en lien avec la problématique de la construction des nations et des États. La visibilité de ce champ thématique dans l’anthropologie francophone est plus tardive (années 2000), restant principalement investi par les géographes. Si le travail de Fredrik Barth est pionnier sur la question des frontières (boundaries) identitaires posant les bases d’une perspective non-essentialiste des groupes (Barth 1969), une anthropologie des espaces-frontières va au-delà des frontières symboliques et culturelles afin de considérer ensemble les deux sens de la notion de frontière : d’une part, les frontières physiques (borders, frontiers), établies généralement par des pouvoirs et, d’autre part, les frontières sociales, symboliques (boundaries) traduisant un rapport à l’espace matériel. La spécificité d’une étude anthropologique des frontières repose sur une approche ethnographique des pratiques ordinaires des individus et des « communautés locales situées aux frontières étatiques », sur une attention focalisée sur les constructions culturelles, matérielles et symboliques qui donnent sens à ces frontières (Wilson et Donnan 1998), autrement dit sur les négociations et les constructions « par le bas ». Ces travaux rappellent que les entités politiques « sont faites par les individus et non seulement par les images et les imaginaires construits sur ces individus via les représentants de l’État, les médias, les scientifiques » (Wilson et Donnan 1998 : 4). L’une des implications de cette orientation dans le champ d’études sur les frontières a été l’idée, omniprésente dans les travaux ultérieurs, que les frontières sont avant tout des espaces avant d’être des lignes et, qu’au-delà des ruptures instituées par les dispositifs de marquage et de contrôle de l’espace, ces frontières sont tout autant des espaces-ressources où se déploient des solidarités, des opportunités économiques et sociales. Parmi ces travaux nous pouvons signaler les contributions réunies par Bromberger et Morel (2001), ou par les numéros thématiques sur les frontières de la revue « Cultures et conflits » (2008, 2009). Au-delà de leur fonction d’espace-ressource, les zones-frontières sont des lieux de production et de négociation des cohabitations et des voisinages, dans des situations de vie multilinguistiques, multiconfessionnels et plus largement multiculturels. (Berdhal 1999 ; Botea 2013 a). C’est notamment dans les contextes de changement (crise politique ou économique, changement de frontières étatiques, etc.) que les espaces-frontières se montrent des haut-analyseurs des transformations vécues par les sociétés. Il convient de noter une évolution à plusieurs titres du champ d’études anthropologiques sur la frontière. Tout d’abord, le champ thématique s’agrandit, de la problématique des constructions nationales et étatiques et des pratiques de mobilité à des ritualités et des politiques identitaires (confessionnelles, linguistiques, de genre, de sexualité), à des problématiques environnementales et de développement, à des questions patrimoniales et mémorielles, etc. D’autres dynamiques au sein des études sur la frontière sont également à signaler. Selon Wilson et Donnan, une certaine conception « localiste, territoriale et particulariste de la frontière », tributaire d’une approche localiste de la culture et du travail de terrain (2012 : 8), persisterait dans les travaux des années 1990. On passe ainsi d’une frontière considérée comme contexte − une frontière qui définit le cadre social et géographique de l’enquête, la recherche se focalisant sur les expériences de la « communauté » vivant à la frontière − à une frontière vue comme objet d’étude, relevant des dynamiques comparables ailleurs. On s’oriente aussi vers des approches « multisites », vers des analyses des expériences des individus des différents côtés (sites) d’une frontière. En outre, une des mutations des plus importantes est l’intérêt grandissant pour considérer la frontière comme un processus, les analyses mettant l’accent sur les pratiques de faire frontière (bordering). Situées à l’opposé d’une approche qui considère le caractère « donné » ou territorialisé de la frontière (donnée politique ou naturelle), les pratiques ethnographiques tentent d’identifier les lieux (et les sites), les pratiques sociales à travers lesquelles des frontières adviennent et sont vécues dans des multiples sens : non seulement par des limites tracées par des dispositifs de marquage et de contrôle mais aussi par des objets plus incertains, performant des frontières tout aussi vives, comme l’usage d’une langue, une pratique confessionnelle, des savoir-faire, une pratique touristique, etc. Une perspective attentive à la frontière comme processus peut s’affranchir d’une approche territorialisée de la frontière qui associe celle-ci à des lieux géographiques précis, généralement à des marges et des confins. La frontière est mobile, changeante, elle peut produire des effets qui se localisent ailleurs, voire même dans des zones de centralité géographique. Alors que des territoires qui ne se trouvent pas aux confins peuvent fonctionner comme des espaces -frontières (dans le sens d’espaces négociés ou contestés, jouant des ambivalences ouverture/fermeture), les espaces-frontaliers peuvent ne pas entrer dans cette catégorie (Kotek 2001). C’est aussi vers des questions méthodologiques et épistémologiques que ce tournant pragmatiste dans les approches de la frontière nous amène (perspective qui considère cette dernière comme un effet de pratique), avec tout d’abord l’idée qu’une ethnographie (multisite) en contexte frontalier n’est pas forcément une ethnographie menée de part et d’autre de cette frontière comme nous pourrions le penser habituellement. Cela traduirait une approche toujours localiste du terrain frontalier, déplacée cette fois-ci à l’échelle transfrontalière. Nous avons par exemple des territoires frontaliers qui ne produisent pas d’espaces sociaux de voisinage dans le transfrontalier proche, mais qui agissent comme des commutateurs importants opérant des liens avec des territoires plus lointains (Botea 2013 b). Par conséquent, ce sont les réseaux de sites constitués par les différentes pratiques de connexion entre les individus, lesquels se déploient sur des espaces-temps mobiles (par forcément situés dans le voisinage proche), qui forment les contours du « terrain ». Les crises politiques actuelles dans le monde arabe et les manifestations du problème des réfugiées et de sa gestion dans les différentes sociétés européennes montrent bien les reterritorialisations permanentes des dispositifs politiques voire civils de « faire frontière », ainsi que les espaces sociaux mobiles créés afin de les contourner. Cette double qualité de la frontière, d’une part comme frontière-mur d’autre part comme frontière traversée et poreuse, caractérise le régime sous lequel fonctionne toute frontière, aussi bien au niveau des pratiques ordinaires des individus que comme mode de gouvernance. Enfin, les études sur les frontières amènent leurs auteurs à se questionner sur les frontières des disciplines qui investissent ce champ, elles-mêmes traversées (pensons ici au seul exemple de la démarche ethnographique adoptée de plus en plus par la sociologie, la géographie, etc.). Nous assistons désormais à la constitution des travaux qui montrent une volonté de réunir et faire converger les points de vue disciplinaires (Anteby-Yemini et al. 2014 ; Chavarochette et al. 2015), certains auteurs pionniers dans cette perspective (Donnan et Wilson 2012) s’interrogeant sur la constitution d’un champ pluridisciplinaire, voire postdisciplinaire, du Border Studies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Dominguez, Virginia. "Anthropologie israélienne." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.130.

Full text
Abstract:
Israël est un pays complexe et les anthropologues qui en font l’étude le savent bien (Dominguez 1989; Marx 1980; Motzafi-Haller 2018). La plus grande partie de l’anthropologie en Israël a jusqu’à présent été réalisée par des anthropologues juifs, hommes et femmes, ashkénazes (principalement d’ascendance européenne du nord et de l’est d’Europe) et mizrachi (principalement d’origine nord-africaine, ibérique et du Moyen-Orient). Les juifs ashkénazes ont largement prédominé dans les domaines politique, universitaire, économique et artistique au cours des premières décennies qui ont suivi la création de l'État d'Israël, ce pays qui vient de fêter ses 70 ans. Il n'est donc pas surprenant qu’on y retrouve beaucoup plus d'anthropologues juifs ashkénazes que d’anthropologues juifs Mizrachim ou d’anthropologues palestiniens. La plupart des anthropologues en Israël sont des anthropologues sociaux ou socioculturels (Abuhav 2015). Certains d’entre eux sont des anthropologues praticiens / appliqués qui travaillent dans les ministères de l’éducation, de la santé et de l’absorption des immigrants juifs et qui ont font partie d’une association d’anthropologie appliquée. Mais beaucoup n’adhèrent à aucune association. L'archéologie, partie des quatre champs de l’anthropologie selon la conception américaine de cette dernière, n'est pas considérée comme une carrière anthropologique en Israël, même si elle y est considérée comme une discipline visible et importante. On trouve la présence d’anthropologues médicaux et biologiques en Israël, mais ils ne sont certainement pas la majorité et ils sont rarement embauchés par les départements de l'université ou du collège dans lesquels travaillent la plupart des anthropologues universitaires. Jusqu'à récemment, tous ces départements étaient dans les faits des départements de sociologie et d'anthropologie, composés d’une majorité de sociologues. Ce n'est que depuis 5 ans qu'un département entièrement composé d’anthropologues a vu le jour, soit le département de l'Université de Haïfa qui se consacre au niveaux supérieurs de formation. L’association d’anthropologie d’Israël ((HaAguda HaAntropologit HaYisraelit)) remonte au début des années 1970 et n’a compté jusqu’à présent que des anthropologues juifs comme chefs ou présidents. Des efforts ont été faits pour changer cette situation au fil des ans, car tous les membres de l’Association ne sont pas juifs et certains d’entre eux croient fermement qu’ils ne doivent pas tous être juifs. Cette question demeure délicate pour certains des membres les plus en vue de la communauté anthropologique en Israël, citoyens d’Israël mais également Palestiniens (Kanaaneh 2002; Sa’ar 2016). Alors que l’association d’anthropologie d’Israël s'oppose largement à l'occupation de la Cisjordanie et à toute forme de discrimination à l'encontre des Palestiniens, en particulier de ses concitoyens, cette organisation est toujours israélienne et a toujours été une association fortement juive. En fait, ce n’est que récemment que la plupart des départements universitaires israéliens ont engagé des Arabes, des Palestiniens, voire des musulmans, en tant que membres du corps enseignant. Pour les quelques Palestiniens qui occupent actuellement ces postes dans des universités ou des collèges israéliens, les postes de direction de l'association anthropologique israélienne les laisseraient ouverts à la critique selon lesquelles ils seraient simplement des collaborateurs ou des complices des sionistes israéliens qui considèrent Israël comme un pays réservé aux juifs et un pays réalisé par les juifs dont les valeurs morales l'obligent à être tolérant envers les non-Juifs parmi eux. Ainsi, une nouvelle association appelée Insaniyyat a simplement été créée ces dernières années pour et par des anthropologues palestiniens Pendant des années et avant la date de la fondation de l’association (1973) l’anthropologie a été enseignée aux niveaux universitaire dans toutes les grandes universités israéliennes et les étudiants ont obtenu un baccalauréat en sociologie et en anthropologie, une maîtrise en anthropologie et un doctorat en anthropologie en Israël. Le corps professoral et les étudiants israéliens font des recherches, présentent leurs travaux lors de conférences et pratiquent périodiquement des activités d'anthropologie engagée ou de plaidoyer. La qualité de leurs recherches et de leurs publications est généralement élevée, et les universités s'attendent à de nombreuses publications dans des revues savantes internationales de haute qualité destinées à toute personne considérée pour une promotion et une permanence. Pendant des années aussi, l'anglais a été fortement enseigné et fortement favorisé à la fois dans la communauté universitaire en général en Israël et dans la communauté anthropologique israélienne en particulier. En fait, la publication en hébreu dans des revues israéliennes n'a pas autant de valeur que celle dans des revues de langue anglaise au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Australie ou au Canada. Une partie de cette tendance est valable pour les universités israéliennes en général, mais une autre est spécifique à l'anthropologie en Israël. Au fil des ans, plusieurs influences ont marqué l'anthropologie en Israël. Le regretté professeur Shmuel Eisenstadt (1967), qui a marqué la sociologie et l'anthropologie en Israël, en particulier dans son département d'origine à l'Université hébraïque de Jérusalem, compte parmi celles-la. Pendant bon nombre d'années, ce professeur a été nommé à Harvard (pendant six mois) alors qu'il était également à l'Université hébraïque de Jérusalem. Ce professeur se croyait autant anthropologue que sociologue et considérait l'anthropologie comme une branche de la sociologie, cela bien que ce n’était généralement pas l’opinion des anthropologues qu’il était disposé à engager comme professeurs dans ce même département. Sa connexion à Harvard était importante. C’est vers les États-Unis qu’il s’est tourné en ses qualités de sociologue et d’anthropologue, mais aussi que sur l’organisation de l’enseignement supérieur en Israël. Ce n’était pas l’Allemagne, la Pologne, la France, l’Italie ou tout autre pays imaginable. Ce n’est donc pas un hasard si ce chercheur a privilégié les publications en anglais et plus particulièrement aux États-Unis. La deuxième influence importante qui a marqué l’anthropologie israélienne a été celle de la Manchester School dirigée par Max Gluckman, un juif sud-africain émigré en Angleterre à l’origine de ce puissant département d'anthropologie à l'Université de Manchester en Angleterre. Gluckman a formé des anthropologues à Manchester pour effectuer des travaux d'anthropologie sociale en Israël, et certains de ses plus importants étudiants sont restés en Israël et y sont devenus professeurs d'anthropologie sociale. Une troisième influence sur le développement de l'anthropologie en Israël fut le sionisme travailliste lui-même. Des juifs d'autres pays sont venus s'installer en Israël pour participer au développement d'un Israël à tendance socialiste dans les années 1950 et 1960. Certains d'entre eux étaient des anthropologues titulaires d'un doctorat de pays anglophones (ou dominants anglophones), comme les États-Unis, le Royaume-Uni, Canada, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande. Pendant de nombreuses années, peu de postes de professeur d’anthropologie dans des universités israéliennes ont été occupés par des Israéliens nés dans le pays, et certainement pas par des anthropologues n’ayant jamais étudié dans un pays anglophone, suivi une formation postuniversitaire dans un pays anglophone ou encore terminé au moins un postdoc dans un pays anglophone. Quand des collègues qui sont des rédacteurs de revues anglophones en anthropologie aux États-Unis, au Royaume-Uni ou au Canada font une remarque sur le nombre de manuscrits qu’ils reçoivent d’anthropologues israéliens et sur leur qualité, je souris. Les anthropologues israéliens publient en dehors d’Israël parce que leur université accorde plus d’importance, en particulier dans les articles de revues, et que leurs textes sont bons (c’est-à-dire que leurs problèmes sont familiers et qu’ils respectent les normes des articles de journaux aux États-Unis), car ils ont en grande partie été formés et par des anthropologues anglophones. Une génération plus jeune est maintenant moins à l'aise de publier ou de présenter ses recherches en anglais, parce que l'anglais n'est pas la langue maternelle des anthropologues israéliens, mais le fait demeure qu'ils lisent des livres et des articles en anglais tout au long de leurs études universitaires. Il faut mentionner que peu de livres ou d'articles académiques sont traduits de l’anglais vers l’hébreu. Quoi que les conférences et conversations universitaires soient en hébreu, de nombreux livres et articles qu'ils sont censés lire sont en anglais. Quels sont les champs et thèmes de recherche privilégiés par ces anthropologues ? Sans surprise, ils travaillent sur une variétés de sujets, mais aussi, sans surprise, on note quelques changements au fil des ans (Feldman 2008; Levy et Weingrod 2004; Markowitz 2013). Les premières vagues d'anthropologues en Israël avaient tendance à travailler sur des groupes d'immigrants juifs non ashkénazes en Israël ou sur des communautés non juives vivant en Israël. Pour la plupart, ils ont étudié les kibboutzim et les moshavim ou villes de développement en Israël. Cette tendance s’est partiellement modifiée dans les années 1980 et 1990, mais la plupart des anthropologues israéliens travaillent encore largement sur le terrain en Israël et non en dehors d’Israël. L'adaptation et l'intégration des nouveaux arrivants ne sont plus des thèmes dominants. D’autres thèmes de recherche apparaissent tels que les LGBTQ, les New Agers en Israël, certains se penchent sur la science et la technologie en Israël, d’autres sur la reproduction et sa politique en Israël, sur le néolibéralisme en Israël ou encore les tribunaux de conversion en Israël. Les autres sujets prédominants sont l'anthropologie médicale et psychologique, la jeunesse, le féminisme et le genre, et ainsi que les études environnementales. L'anthropologie israélienne interroge de nombreux aspects de la vie en Israël. Elle se considérait de gauche dans les premières décennies d’Israël (quand Israël avait un gouvernement à tendance socialiste) comme c’est toujours le cas aujourd’hui (malgré le mouvement connu d’Israël vers la droite) (voir Lomsky-Feder et Ben-Ari 2000). L'anthropologie israélienne a longtemps été influencée par l'anthropologie dans le monde anglophone et aucun signe n’indique que cela soit en train de changer. L’anthropologie israélienne a longtemps été centrée sur la vie en Israël (juive et arabe) ; bien que les thèmes de recherche aient tendance à se diversifier, et encore là tout indique que cette tendance se poursuit, même si davantage d’anthropologues israéliens travaillent dorénavant sur terrains en dehors d’Israël. Les anthropologues israéliens ont reçu une formation rigoureuse à tous les niveaux de leurs études universitaires, et je vois que cela continue. Reste à savoir si les juifs et les palestiniens trouveront davantage de collaborations que ce que l’on constate aujourd’hui. Lorsque la communauté anthropologique américaine a sérieusement envisagé le mouvement BDS (mouvement britannique de boycott, désinvestissement et sanction face à Israël) (voir Redden 2016) les anthropologues israéliens se sont préparés au boycott qu'ils attendaient des départements, revues et maisons d'édition anthropologiques américains. Ils ont également subi un peu de pression (de leurs universités et de leurs collègues) pour combattre le BDS. Beaucoup s'inquiètent de l'impact du BDS sur la communauté anthropologique israélienne. Rétrospectivement, c’est un signe vraiment visible de la manière dont la communauté anthropologique israélienne a été liée - et continue de l’être - à la communauté anthropologique américaine. Certains[DVR1] [DVR2] [DVR3] [DVR4] anthropologues israéliens de la première génération craignent que la jeune génération ne fasse plus de travail sur le terrain en immersion totale et, partant, que l'anthropologie disparaisse bientôt de la vie et du monde universitaire israéliens, mais je vois des continuités tout autant que des changements dans l'anthropologie israélienne, et je ne pense pas que l'anthropologie est susceptible de disparaître en Israël.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Arabe (langue) Arabe (langue) Économie politique"

1

Rebhan, Helga. "Geschichte und Funktion einiger politischer Termini im Arabischen des 19. Jahrhunderts, 1798-1882 /." Wiesbaden : O.Harrassowitz, 1986. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34925136c.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Tahiri, El-Hassane. "Lexique économique arabe des trois premiers siècle de l'Hégire (VIIe-IXe) à partir de Kitâb al-Amwâl d'Abû ʿUbayd al-Qâsim b. Sallâm (154-224/770-837)." Paris 3, 1999. http://www.theses.fr/1999PA030038.

Full text
Abstract:
Ce travail qui s'inscrit dans une optique lexicographique, s'assigne l'objectif d'elaborer un inventaire des termes et notions relevant du domaine de l'economie. Afin de repondre a ce but, nous nous sommes bases pour la l'essentiel sur kitab al-amwal d'abu 'ubayd. Ce dernier a ete, certes, a la base de notre investigation, mais point un corpus limitatif. Ainsi, avions-nous ressenti le necessite de recourir a d'autres sources de la meme epoque. D'autant que l'exigence de la mise au point d'un releve aussi representatif que possible des termes et notions "economiques, s'est averee eclairante aussi bien pour la comprehension du kitab al-amwal que pour l'apprehension globale des termes "economiques" des trois premiers siecles de l'hegire. Le moyen problematique qui a anime notre recherche estde mettre en evidence la correlation existante entre le lexique et son environnement materiel et culturel. Autrement dit, etudier la langue dont le lexique est une dimension, non pas en tant que systeme clos, mais au contraire, comme etant un univers ouvert sur la dimension historique. Il est donc question d'une contribution a l'elaboration du dictionnaire historique de la langue arabe qui devrait partir du depouillement des uvres anciens et en degager des inventaires lexicaux relatifs a chaque domaine
This thesis is dealt with in a lexicographic scope ; its objective is to elaborate an inventory of terms and notions relevant to the domain of economics. To fulfil this purpose, we have focused our interest on kitab al-amwal by abu 'ubayd. This book constitutes the basis of our investigation but we have not limited our research to its corpus. We have then made recourse to other references contemporary to the author and his work under study. It has thus been required to come out with a set as representative as possible of "economic" terms and notions, which has enabled us both to understand kitab al-amwal and to apprehend global "economic" terms of the first three centuries of hegira period. The problematic core which incited our research is to bring into light the existing correlation between the lexicon and its cultural and material environment. That is, studying language and its lexicon is a wide view, not simply as a restricted system but as a canal viewing the historical dimension. It is necessary to contribute in the elaboration of a historical dictionary of arabic which should help in understanding ancient writings in order to bring out lexical inventory related to each discipline
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Plonka, Arkadiusz. "L'idée de langue libanaise d'après Saʻīd ʻAql." Paris : Geuthner, 2004. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39219480x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Tahiri, El Hassane Reig Daniel. "Lexique économique arabe des trois premiers siècles de l'Hegire (VIIe-IXe) à partir de Kitāb al-Amwāl d'Abū ʻUbayd al-Qāsim b. Sallām (154-224/770-837) /." Lille : Atelier national de reproduction des thèses, 2007. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb411538373.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Ngainyo, Gisele. "L'enseignement des langues et l'intégration sociale et politique au Cameroun : le cas de la langue arabe dans l'Adamaoua (Nord-Cameroun) : 1960-2006." Perpignan, 2009. http://www.theses.fr/2009PERP0949.

Full text
Abstract:
Cette thèse aborde l’enseignement des langues en général, celui de la langue arabe en particulier et l’intégration sociale et politique au Cameroun. L’enseignement de la langue arabe depuis 1960 évolue dans l’anarchie que ce soit au niveau administratif, pédagogique, ou financier. Toute chose qui pose un véritable problème d’intégration sociale et politique des arabisants aujourd’hui au Cameroun. L’enseignement privé islamique en général et celui de la langue arabe en particulier, a été longtemps laissé à la charge des autorités religieuses et des marabouts ou maitres coraniques. La langue semble avoir perdu sa capacité à être un outil d’intégration, d’unité nationale, de cohésion sociale. L’école en général et l’école franco-arabe en particulier peut elle être au Cameroun le creuset d’une république multiculturelle et multilingue ?
This thesis is talking about the teaching of languages in general an arabic language in particular in Adamaoua (Nord-Cameroon) since 1960 to 2006. Since 1960 islamics schools in general and the teaching of arabic language in particular is confronted to many problems : administrative, pedagogic, and financial. All these problems don’t facilitate the social and political integration of arabics students in Cameroon. Can franco-arabics schools contributed to the national integration of those who learn arabic language in multicultural and multilingual society? What is did by the government to resolve these problems?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Hissouf, Abdellatif. "Paramètres de la réexpression en traduction spécialisée : application à la traduction économique français/arabe." Paris 3, 2004. http://www.theses.fr/2004PA030102.

Full text
Abstract:
La réexpression, comme nous la concevons, est un acte d’écriture qui vise à créer un nouveau texte équivalent à l’original par son contenu, sa fonction et son effet, mais qui est aussi adapté aux exigences de la langue, du domaine socioprofessionnel et de la culture d’arrivée. Nous croyons qu’il est très important aujourd’hui d’avoir une vision très large de la réexpression en traduction spécialisée, une vision qui intègre différentes dimensions : linguistique, cognitive, affective et culturelle. Notre recherche vient approfondir la réflexion sur la phase de réexpression en traduction écrite, et ce dans le domaine spécialisé et plus particulièrement dans le domaine économique : en montrant les liens entre cette phase (aboutissement du processus traductif) et les autres phases de l'opération de traduction : compréhension et déverbalisation. En déterminant les différents paramètres qui sous-tendent cette phase : « Le domaine de savoir », « la méthode adoptée », « Le rapport des langues-cultures », « L'apport du traducteur » et « La prise en compte du destinataire »
The re-expression as we conceive it, is an act of writing that initially creates a new text equivalent to the original in its content, function and its impact. In the mean time, it also has to be adaptable to the requirements of the target language, the socioprofessional domain and the target culture. We believe that it’s very important today to have a large vision of the re-expression in specialized translation. A vision that integrates different dimensions: linguistic, cognitive, emotional and cultural. Our research comes to deepen the reflection on reexpressive phase regarding written translation especially in the economic domain : by showing the links between this phase (the attainment of the process of translation) and the other phases of translation: comprehension and ‘’deverbalization’’. By determining the different parameters that direct this phase: “The knowledge domain”, “The method adopted”, “The languages-cultures relationship”, “The translator’s contribution” and “Taking into consideration the recipient
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Alshammari, Yacoub. "Relativité linguistique et problématiques de la catégorisation : domaines notionnels du vocabulaire politique entre langue française et arabe." Thesis, Montpellier 3, 2011. http://www.theses.fr/2011MON30042.

Full text
Abstract:
La réflexion aborde d’abord les problématiques philosophiques, anthropologiques et linguistiques qui ont pris en charge la relativité linguistique, et qui ont été conduites aux interrogations sur la catégorisation. Cette première approche envisage deux perspectives. L’une « archéologique » privilégie l’historicité socio-culturelle inscrite dans les termes ; la seconde la fonction « idéologique » de ceux-ci comme balisage et canalisation des conduites sociopolitiques. Un second volet s’applique à dégager une problématique de recherche ne portant plus sur l’analyse classique en CNS des champs sémantiques et des champs lexicaux, mais sur celle des domaines notionnels dans un cadre prototypicaliste. La troisième et dernière partie explore des domaines notionnels dans une démarche comparative entre les notions qui organisent les constitutions du Koweit et de la France, puis sur la notion de liberté dans le vocabulaire politique dans ces deux pays. Les sciences cognitives dont les propositions sont encore trop générales pour autoriser une application en analyse du discours sont évoquées comme une possibilité pour un prolongement ultérieur
The thought first approaches the philosophical, anthropological and linguistic problems which have supported the linguistic relativity, and who were led to questions about categorization. This first approach is considering two perspectives. One "archaeological" emphasizes the socio-cultural historicity engraved in the terms; the second one their "ideological" function as a markup and a channeling of the socio-political behaviors. A second branch applies to identify a research problem no more concerned by a classical “CNS” analysis of semantic and lexical fields, but by the notional areas within a prototypical framework. The third and final part explores notional domains in a comparative approach between the concepts who organize the Kuwaiti and French constitutions, and then the concept of freedom in the political vocabulary in these two countries. Cognitive sciences whose proposals are still too general to enable an application in the discourse analysis are mentioned as a possible later extension
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Ghouali, Habib. "La politique d'arabisation face à la situation bilingue et diglossique de l'Algérie." Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA082128.

Full text
Abstract:
L'objet de ce travail est double. Il s'agit de l'analyse de la problématique de l'arabisation d'un côté et d'un autre côté de l'analyse du paysage linguistique algérien. Le caractère unitaire de la langue arabe qui réside dans le fait qu'elle n'est pas liée à un seul pays, mais considérée comme une expression commune à tout le monde arabe, nous a amené d'un côté à interroger l'histoire de la langue arabe, et d'un autre côté, à analyser cette problématique d'une manière plus vaste. Nous avons aussi mené une enquête de terrain limitée aux élèves, aux enseignants et aux parents d'un établissement scolaire
The object of the present study is twofold: On one hand It refers to the analysis of the paradigm of arabisation and on the other to the analysis of the field of algerian linguistics. The unitarian character of the arabian language which lies in the fact that it is not spoken only by one country but is considered to be a common expression of all the arabic world, lead us on one hand to question the history of the arabic language and on the other to analyse this approach in a more vast and general manner; that is, we are not limited solely to our field, that of Algeria. We have also led a limited field research on students, teachers and parents of a school of a middle-sized city
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Kerzazi, Hocine. "Enseigner la langue arabe aux musulmans francophones : entre héritage mythique et défis de la modernité." Thesis, Strasbourg, 2019. http://www.theses.fr/2019STRAK008.

Full text
Abstract:
Cette thèse examine le discours des supports islamiques d’enseignement de la langue arabe commercialisés en France, en usage dans les milieux confessionnels et sur internet, et affirme qu’il est le vecteur d’un discours religieux plus ou moins explicite. De ce fait, nous explorons les projets éditoriaux et les contenus didactiques tant de manuels papiers que de sites en ligne afin d’analyser la proportion et la typologie du discours religieux qui s'y déploie. Au croisement d’approches historiques et sociologiques, nous apprécions aux échelles locale, nationale et transnationale la mesure dans laquelle les idées des concepteurs des manuels et méthodes transparaissent à travers ces contenus, établissant ainsi que les concepteurs se sont emparés de doctrines islamistes, les ont orientées en direction des minorités musulmanes d’Occident et ont ainsi façonné une identité musulmane bien spécifique
This thesis examines the discourse of islamic teaching aids of the arabic language marketed in France, used in religious circles and on the internet, and affirms that it is the vector of a more or less explicit religious discourse. As a result, we are exploring editorial projects and didactic content for both textbooks and online sites in order to analyze the proportion and typology of religious discourse that unfolds there. At the crossroads of historical and sociological approaches, we appreciate at the local, national and transnational scales the extent to which the ideas of textbook designers and methods are reflected in these contents, thus establishing that the designers have seized islamist doctrines, have them oriented towards Muslim minorities in the West and thus shaped a very specific muslim identity
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Rizgalla, Abdelmahmoud. "Approche contrastive de la traduction économique spécialisée : le cas du dictionnaire des sciences économiques." Thesis, Université de Lorraine, 2015. http://www.theses.fr/2015LORR0339/document.

Full text
Abstract:
Cette recherche, ayant comme cadre expérimental général la traduction économique spécialisée, tente de réduire l’écart entre la théorie et la pratique en matière de traduction entre le français et l’arabe. Nous y consacrons une place importante aux termes économiques couramment utilisés, leur traduction, leur analyse, leurs équivalents et leur épistémologie. L’objectif de base de cette démarche est de savoir où en est le traducteur soudanais dont la langue maternelle est l’arabe, la première langue étrangère est l’anglais et la deuxième langue étrangère est le français, et d’observer comment chacune de ces trois langues l’influence. En effet, cette étude est basée sur un constat général selon lequel nombreux sont les problèmes auxquels se heurtent certains traducteurs lors de la traduction. Ces problèmes sont d’ordre linguistique, textuel, contextuel, interculturel, etc. Il nous semble primordial de montrer que la compréhension du texte/contexte est une étape cruciale dans l’acte de traduction. Il s’agit d’une compréhension globale ainsi que d’une compréhension séquentielle de l’énoncé traité. Or, pour traduire, il faut d’abord comprendre. Il ne s’agit pas pour les apprenants d’apprendre des formules et d’expressions traduites de LD en LA. Il s’agit en effet de leur apprendre toute une gamme de procédures, de techniques et de savoirs faire leur permettant non seulement un entrainement et une pratique méthodique mais aussi une expérience basée sur un apprentissage réfléchi de la traduction. Deux méthodes d’analyse ont été suivies dans cette recherche. La première méthode est élaborée par J.- P. Vinay et J. Darbelnet dans leur ouvrage Stylistique comparée du français et de l’anglais, qui s’adresse à un public varié. La deuxième méthode d’analyse est une méthode qui a fait ses preuves dans des travaux reconnus, initiée par Michel Ballard dans La traduction de l’anglais au français, et s’adressant à ceux qui souhaitent s’initier et s’entraîner de manière raisonnée à la pratique de la traduction. Pour mieux réussir dans le domaine de la traduction au Soudan, soit générale soit spécialisée, il faut mettre en place une planification spécifique de la traduction à travers des mesures comme : mobiliser la motivation des apprenants vers l’apprentissage des langues étrangères, former les enseignants des langues étrangères dans des pays où celles-ci sont les premiers idiomes de communication, fournir des dictionnaires spécialisés monolingues, bilingues et trilingues, formuler des cursus largement attrayants pour l’étude théorique de la traduction et s’intéresser, comme pour les langues étrangères, au perfectionnement de la langue maternelle
This research, having as a general experimental framework the specialized economic translation, tries to reduce the gap between the theory and the practice regarding translation between French and Arabic. We dedicate an important place for the usually used economic terms, their translation, their analysis, their equivalents and their epistemology. The basic objective of this approach is to know what position adopted by the Sudanese translator whose mother tongue is Arabic, the first foreign language is English and the second foreign language is French, and to observe how each of these three languages can have an influence upon him. Indeed, this study is based on a general statement according to which numerous are the problems encountered by certain translators while translating. These problems are linguistic, textual, contextual or intercultural. It is essential for us to show that the understanding of the text / context is a crucial stage in translation. This concerns a global as well as sequential understanding of the text dealt with. However, to translate, it is necessary to understand at first. This does not mean that the learners can only learn formulae and expressions translated from source language to target language. It is indeed a question of teaching them a whole range of procedures, techniques and knowledge allowing them not only a methodical training and practice but also an experience based on a thoughtful learning of the translation. Two methods of analysis were followed in this research. The first method is elaborated by J.-P. Vinay and J. Darbelnet in their book entitled Stylistique comparée du français et de l’anglais, which addresses a varied public. The second method of analysis is a tried-and-tested method in recognized works, introduced by Michel Ballard in the book entitled La traduction de l’anglais au français, and addressing those who wish to learn the practice of translation in a reflexive way. To better succeed in the field of translation in Sudan, it is necessary to set up a specific planning of the translation through measures as: mobilize the motivation of the learners towards the learning of foreign languages, train the teachers of foreign languages in countries where these ones are the first idioms of communication, supply monolingual, bilingual and trilingual specialized dictionaries, set up widely attractive programs for the theoretical study of the translation and be interested, as for the foreign languages, in the improvement of the mother tongue
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Arabe (langue) Arabe (langue) Économie politique"

1

Idleh, Djama Omar. La politique gouvernementale de promotion de la langue arabe en République de Djibouti: Mémoire de diplôme d'études approfondies. [Bordeaux, France: s.n., 1991.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Merkaz Dayan le-ḥeḳer ha-Mizraḥ ha-tikhon ṿe-Afriḳah (Universiṭat Tel-Aviv), ed. Language and change in the Arab Middle East: The evolution of modern political discourse. New York: Oxford University Press, 1987.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography