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Journal articles on the topic 'Arabe (langue) – Possessifs (linguistique)'

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Alhamid, Sofyan. "La glottopolitique du contact linguistique hébreu-arabe en Palestine." Language Problems and Language Planning 35, no. 3 (December 31, 2011): 241–59. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.35.3.03alh.

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Abstract:
La question principale se pose ainsi : vis-à-vis de la coexistence linguistique hébro-arabe en Palestine, comment l’Etat israélien et l’Autorité palestinienne se comportent-ils du point de vue glottopolitique ? Et quels sont les enjeux de leurs politiques linguistiques ? Ainsi, chacun pour sa part, Palestiniens et Israéliens ne reconnaissent que leur propre langue, affichant partant leur volonté d’ignorer et marginaliser la langue de l’autre. Dans cette compétition linguistique, la glottopolitique de chaque partie croyant avoir des titres à revendiquer fonctionne dans une dimension différente de l’autre, regardant chacune en direction d’une autre période du passé et vivant dans un autre présent, bien qu’exactement au même endroit.
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Castonguay, Charles. "L’orientation linguistique des allophones à Montréal." Articles 21, no. 2 (March 25, 2004): 95–118. http://dx.doi.org/10.7202/010123ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Selon le recensement de 1986, l'anglais maintient sa place comme première langue d'assimilation des Montréalais d'une autre langue que l'anglais ou le français. Cette constance recouvre toutefois des mouvements divergents. Si les allophones nés à Montréal s'anglicisent nettement plus qu'en 1971, le français progresse d'autant parmi les immigrés : il y a cependant un léger regain de l'anglais chez les derniers arrivés. Le progrès de la francisation paraît lié surtout au développement de l'immigration créole, espagnole, arabe et vietnamienne. La scolarisation en français semble aussi orienter assez fermement les enfants des nouveaux immigrants vers la francisation. Depuis la conjoncture socio-politique de 1976-1980, particulièrement favorable au français, le regain de l'anglais paraît traduire le retour à un certain Québec bilingue. L'attrait de l'anglais semble également s'accroître avec la durée de séjour à Montréal.
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Sidarus, Adel Y. "Le modèle arabe en grammaire copte. Une approche des muqaddimāt copto-arabes du moyen âge." Histoire Epistémologie Langage 42, no. 1 (2020): 59–72. http://dx.doi.org/10.1051/hel/2020007.

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Abstract:
Quand, vers le milieu du XIIIe siècle, les grammaires coptes apparurent pour la première fois, leurs auteurs ne pouvaient recourir qu’au modèle linguistique arabe dominant : terminologie et catégories grammaticales. La langue copte n’appartient pourtant pas à la même famille que l’arabe ; elle était par ailleurs en voie de disparaître comme langue vivante. À partir de quelques exemples typiques, ayant trait à l’écriture, à la phonologie et à la morphologie, nous essayons de donner une idée de la méthode suivie pour appliquer ou adapter les outils conceptuels et terminologiques arabes dans la description de l’ancienne langue égyptienne à sa dernière phase et de démontrer que, d’une manière générale, les philologues coptes du Moyen Âge ont bien mené leur tâche. Si l’on peut relever des lacunes, celles-ci ne sont pas nécessairement imputables à la tradition linguistique qui a servi de modèle, mais plutôt aux conditionnements externes qui ont présidé au labeur intellectuel des protagonistes.
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Hardane, Jarjoura. "La formation du traducteur arabe : le cas de la mise à niveau linguistique." Meta 45, no. 3 (October 2, 2002): 475–79. http://dx.doi.org/10.7202/003025ar.

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Abstract:
Résumé Le degré de maîtrise des langues seconde et troisième chez les étudiants arabes n'est pas l'unique obstacle que ceux-ci affrontent lors de leur formation en traduction ou en interprétation: l'arabe classique est également une difficulté de taille. Pour la surmonter, les étudiants devraient prendre, dans les trois langues, des cours qui leur permettraient de structurer leurs habiletés cognitives et d'améliorer leur langue. On admet que, tout au long de sa carrière, le traducteur doit absolument travailler à atteindre une excellente compétence linguistique.
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Kavwahirehi, Kesereka. "Ombre sultane d’Assia DJebar et les « Forces de la littérature »." Études littéraires 33, no. 3 (April 12, 2005): 51–64. http://dx.doi.org/10.7202/501306ar.

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Abstract:
À travers Ombre sultane d'Assia Djebar, la présente étude entend montrer les enjeux et les mécanismes de domination qui sont propres à l'utilisation d'une langue et partant, selon la leçon de Barthes, aux effets subséquents de son fascisme. Car Djebar écrit en une autre langue que celle qui lui est propre et qui est propre à ce qu'elle décrit, met en scène, dont elle fait fiction. Mais ce déplacement linguistique est le premier signe d'une levée des voiles qui en retour, fait de la langue et de son usage - le français, ici - un combat. Il s'agira donc de faire voir comment par le passage de la signification au sens se lèvent, se relèvent, la femme arabe, les réminiscences du passé colonial, la langue qui est souffle de cette levée et non plus entrave. Ainsi passe-t-on du fascisme à l'être-au-monde par la langue qui devait initialement y condamner.
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Gharbia, Abdeljabbar Ben. "LA COORDINATION DANS LA TRADITION GRAMMATICALE ARABE." Arabica 50, no. 4 (2003): 419–46. http://dx.doi.org/10.1163/157005803322616894.

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Abstract:
AbstractNous avons essayé dans cet article de voir comment la Tradition Grammaticale Arabe a situé la coordination dans le système linguistique conçu pour rendre compte de l'architecture de la langue arabe. Nous avons montré comment l'emprise de la déclinaison, la division tripartite des parties du discours et la structure de constituance que les grammairiens arabes ont adoptées les ont conduits à marginaliser la coordination inter-phrastique, à s'intéresser essentiellement à la coordination des termes constituants de la phrase, notamment à celle des nominaux, et à étudier certains aspects de cette structure dans les chapitres consacrés aux particules et aux expansions du groupe nominal. En revanche, l'examen de certains aspects relatifs à la structure et à la sémantique de la coordination les ont amenés à soumettre la coordonnabilité des expressions à deux conditions fondamentales, à savoir l'homogénéité syntaxique et la compatibilité sémantique des conjoints. Ils ont, en outre, soulevé des questions intéressantes qui restent d'actualité, et qui concernent en particulier les coordonnants et la catégorisation.
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Kindt, Kristian Takvam, Jacob Høigilt, and Tewodros Aragie Kebede. "Writing Change: Diglossia and Popular Writing Practices in Egypt." Arabica 63, no. 3-4 (May 26, 2016): 324–76. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341405.

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Abstract:
Arabic is considered a paradigmatic case of diglossia, where written language is regarded as largely the domain of fuṣḥā. Presenting the results of a large-scale survey of language attitudes and practices in Cairo, we argue that this view should be reconsidered. A representative majority of Cairo’s literate population in fact report writing predominantly in the vernacular (ʿāmmiyya), and also regard it as a legitimate written variety, contradicting common assumptions about popular language attitudes. At the same time, fuṣḥā retains its position as an idealized prestigious variety. These surprising results are explained by rising levels of literacy and the growth of computer-mediated communication. The results encourage a rethinking of the language situation in the Arab world, supporting the view that diglossia is a social and cultural resource rather than a problem. L’arabe est considéré comme un cas paradigmatique de diglossie, dans lequel la langue écrite est largement perçue comme le domaine de la fuṣḥā, ou arabe standard moderne. En présentant les résultats d’une enquête à grande échelle sur les attitudes et pratiques langagières au Caire, nous estimons que ce point de vue devrait être reconsidéré. Une majorité représentative de la population éduquée du Caire écrit principalement en langue vernaculaire (ʿāmmiyya) pour rapporter des informations, et perçoit cette langue comme une variante légitime d’écrit, contredisant les affirmations sur les attitudes populaires vis-à-vis de la langue. Dans le même temps, le fuṣḥā garde sa position de variante prestigieuse et idéalisée. Ces résultats s’expliquent par différents niveaux d’alphabétisation et par le développement de la communication informatique. Les résultats invitent à repenser la situation linguistique du monde arabe, en soutenant l’idée que la diglossie est une richesse sociale et culturelle plutôt qu’un problème. This article is in French.
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Chetrit, Joseph. "Rénovation linguistique et resémiotisation du monde : la presse judéo-arabe d’Afrique du Nord en quête d’une langue journalistique." Cahiers de la Méditerranée, no. 85 (December 15, 2012): 147–68. http://dx.doi.org/10.4000/cdlm.6718.

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Aziz, Yowell Y. "Explicit and Implicit Reference in Arabic-English Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 39, no. 3 (January 1, 1993): 129–50. http://dx.doi.org/10.1075/babel.39.3.02azi.

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Abstract:
La référence explicite et implicite dans la traduction de l'arabe en anglais Le terme 'référence' désigne la relation qui existe entre une expression nominale et un individu ou un objet du monde extérieur, réel ou fictif. Cette relation est créée par rénonciation de l'expression nominale au sein d'une phrase à une occasion donnée. Une expression (et donc sa référence) est dite explicite dans la mesure où elle répond à deux conditions: (1°) elle doit être détaillée, claire et fournir une information qui permettra d'identifier le référant visé; (2°) la référence d'une expression doit être directe. Toute référence indirecte constitue une référence de 'deuxième rang' et est donc implicite. Le caractère explicite des expressions de référence se présente toutefois comme une gamme allant des expressions les plus explicites que sont les noms propres, aux moins explicites, les pronoms, en passant par les propositions contenant un nom commun. Entre la première et la dernière catégorie d'expressions de référence — les noms propres et les propositions nominales — on distingue toute une série de sous-catégories dont le caractère explicite est plus ou moins marqué. Dans le présent article, l'auteur défend l'hypothèse selon laquelle la référence explicite-implicite diffère d'une langue à l'autre. Il compare des traductions de textes équivalents en arabe et en anglais et analyse les choix qui s'opèrent au niveau du caractère explicite dont il est question plus haut. Les résultats indiquent que les textes rédigés en arabe et en anglais diffèrent par l'usage qu'ils font de diverses expressions de référence. Dans l'ensemble, les textes anglais ont tendance à présenter un caractère explicite plus marqué dans le domaine des noms propres, tandis que les textes arabes préfèrent souligner le caractère explicite en utilisant des propositions nominales comprenant l'article défini et les adjectifs possessifs et démonstratifs.
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El-Yasin, Mohammed K., and Mahmud Husein Salih. "The Translatability of Arabic Greetings into English." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 41, no. 3 (January 1, 1995): 140–48. http://dx.doi.org/10.1075/babel.41.3.03ely.

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Abstract:
Dans le présent article, l'auteur se demande dans quelle mesure les formules de politesse utilisées en arabe officiel (Standard Arabic, SA) sont traduisibles en anglais. Ces formules de politesse relèvent de la fonction phatique et ont un caractère culturel. Selon Newmark (1988:43), elles doivent être "rendues par des équivalents standards qui ne sont pas des traductions littérales". Par conséquent, cet article tente de répondre aux questions suivantes. Premièrement, les formules de politesse en SA peuvent-elles être traduites en anglais? Secundo, le traducteur est-il confronté à des difficultés au moment de traduire ces formules dans la langue d'arrivée? Et enfin, quels sont les facteurs dont le traducteur devra tenir compte pour traduire ces formules correctement et d'une manière satisfaisante? L'article démontre que la traduction en anglais de ces formules de politesse n'est ni aisée ni réalisable sans détours. En partie, ceci est dû au fait que le SA utilise une gamme d'expressions beaucoup plus étendue que l'anglais et que cette gamme plus étendue ne permet pas au traducteur d'exercer sur son audience un effet similaire à celui qu'exerce sur l'audience d'origine le texte d'origine. Ces formules de politesse n'ont donc pas d'équivalents dans la langue d'arrivée. De plus, nous avons remarqué que les formules de politesse en SA sont associées à des valeurs et à des fonctions sémantiques qui ne peuvent pour ainsi dire pas être couvertes par un type quelconque d'équivalence reconnu par la théorie de la traduction. Pour terminer, cet article avance des arguments en faveur de la thèse de Nida (1964:156) selon laquelle aucun système linguistique n'est pareil à un autre. Ceci revient à dire "qu'une traduction parfaitement exacte n'existe pas".
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Salih, Mahmud Husein, and Naser Al-Hassan Athamneh. "Silence in Arabic-English Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 41, no. 4 (January 1, 1995): 216–33. http://dx.doi.org/10.1075/babel.41.4.04sal.

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Abstract:
La traduction -le processus de communication qui s'opère entre des langues différentes - doit délivrer un message donné tant du point de vue linguistique que paralinguistique. Le traducteur doit maîtriser le code linguistique mais aussi la signification des moyens paralinguistiques mis en oeuvre, comme le silence, qui, très souvent, accompagne les signes linguistiques. Le silence exprime une série de fonctions dont l'insuffisance des expressions verbales, la politesse, l'hésitation, la réflexion, la triste obligation d'accepter l'autorité, et le refus de coopérer. Le présent article aborde donc la traduction arabe-anglais du silence dans le roman de Salih, Season of Migration to the North. L'auteur y démontre le rendu erroné, par le traducteur, Johnson-Davies, du silence et de tout ce qu'il reflète: l'incapacité à trouver des termes appropriés, la confusion d'esprit, l'amertume et le mystère. De plus, la traduction de Johnson-Davies semble porter atteinte à une fonction rhétorique que de Waard et Nida (1986:83) intitulent la "progression logique". Celle-ci traite de conséquences et de relations, telles que les rapports de cause à effet et de condition à effet. Par conséquent, la traduction sépare plutôt qu'elle ne relie les événements du roman et déforme leur signification. Enfin, l'auteur de l'article présente plusieurs aspects théoriques ayant une incidence sur la science de la traduction; tout traducteur devrait être conscient que l'usage de points de suspension ou que l'absence de mots pour marquer le silence n'impliquent pas nécessairement l'absence de discours ou de pensées. Les significations exprimées par le biais de la paralinguistique ne peuvent donc pas être considérées comme périphériques ni être négligées dans la traduction. D'autre part, en traduction, la maîtrise du système de la langue d'origine ne suffit pas, elle doit être accompagnée d'une connaissance parallèle des fonctions des mécanismes paralinguistiques, comme le silence.
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Sahib Mehdi Ali, Abdul. "A study of antonymous and synonymous couplings in Arabic with reference to translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 50, no. 4 (December 31, 2004): 346–60. http://dx.doi.org/10.1075/babel.50.4.05sah.

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Abstract:
Abstract This paper discusses a particular type of Arabic word combinations, where basically two words, either antonyms or synonyms, are coordinated in fixed phrases or ‘coup lings’ that are of frequent occurrence in the language. Depending on whether the semantic relationship between the component parts of a given coupling is one of antonymy or synonymy, the study identifies two subtypes of these phrases, namely ‘Antonymous Couplings’ and ‘Synonymous Couplings’, respectively. Both types of couplings are here subjected to a close examination with a view to pointing out their main characteristics and identifying the various types of constraints governing the positioning of their components in relation to each other. The study also sheds light on some cross-linguistic similarities and differences of these couplings, their relevance to human experience, and their translatability from one language into another. It is concluded: (i) that both types of couplings are characterized by brevity, forcefulness, symbolism, and structural harmony; (ii) that the particular order in which the two components of a given coupling are arranged is not haphazard; rather it is governed by one or more of a number of considerations; (iii) that both types of couplings lend themselves well to functional and dynamic translation due to the fact that the pairing of words in such couplings is a linguistic universal, which in turn is attributable to the similarity of human experience. Résumé Cet article traite d’un type particulier de combinaisons de mots en arabe, dans lesquelles deux mots, soit antonymes, soit synonymes, sont associes dans des phrases fixes ou jonctions., qui apparaissent frequemment dans la langue. Selon que la relation semantique entre les composants d’une jonction donnee est du type antonyme ou synonyme, l’etude identifie deux sous-types de phrases, a savoir respectivement, les jonctions d’antonymes. et les .jonctions de synonymes. Les deux types de jonctions font ici l’objet d’un examen approfondi, en vue de montrer leurs caracteristiques principales et d’identifier les differents types de contraintes qui regissent la position de leurs composants les uns par rapport aux autres. L’etude eclaire egalement certaines similitudes et differences inter-linguistiques de ces jonctions, leur rapport avec l’experience humaine et leur traductibilite d’une langue a l’autre. Elle conclut en disant que: (i) les deux types de jonctions se caracterisent par la concision, la vigueur, le symbolisme et l’harmonie structurelle ; (ii) l’ordre particulier dans lequel se trouvent les deux composants d’une jonction donnee n’est pas du au hasard, mais il est plutot determine par une ou plusieurs considerations; (iii) les deux types de jonctions se pretent bien a la traduction fonctionnelle et dynamique, en raison du fait que le groupement de mots dans ces jonctions est un univers linguistique qui, a son tour, est attribuable a la similitude de l’experience humaine.
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Owens, Jonathan. "Idiomatic Structure and the Theory of Genetic Relationship." Diachronica 13, no. 2 (January 1, 1996): 283–318. http://dx.doi.org/10.1075/dia.13.2.05owe.

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Abstract:
SUMMARY It has been an assumption of many practitioners of comparative linguistics that genetic relations are defined between languages as holistic entities. A recent explicit expression of this position is Thomason &Kaufman (1988). An alternative viewpoint, probably a minority position, is that expressed (inter alia) by Allen (1953), which defines genetic relations in terms of linguistic components. Assuming the correctness of the first position, which is the more stringent one, I examine one aspect of linguistic structure in Nigerian Arabic, idiomatic expressions, showing that Nigerian Arabic belongs to what I term a Lake Chad Basin areal type, which is quite distinct from Arabic of the Middle East. On the other hand, the Arabic heritage is unmistakeably dominant in its phonology, morphology, lexicon, and syntax. It follows from this comparative study that either the second, componential conception of linguistic relatedness must be adopted, or language families of the world will need to be radically rethought. RÉSUMÉ On suppose généralement que la notion de parenté génétique s'applique aux langues, définies comme entités indivisibles (voir, par exemple, Thoma-son et Kaufman 1988). Un autre point de vue, minoritaire, soutient que la parenté génétique doit plutôt s'établir entre les diverses composantes linguistiques (voir, entre autres, Allen 1953). Partant de l'hypothèse que le premier des deux points de vue est le bon, on examine une composante linguistique — les expression idiomatiques — de l'arabe nigérian. On constate que cette langue se rattache au type des langues du bassin du Lac Tchad, fort différent de celui de l'arabe du Proche-Orient. Par contre, la phonologie, la morphologie, le lexique et la syntaxe relèvent nettement du type arabe. Deux conclusions possibles s'offrent à nous: ou bien le second des points de vue, qui traite de composantes linguistiques, est le bon, ou alors il faut revoir au complet la classification des langues du monde. ZUSAMMENFASSUNG Normalerweise wird angenommen, daß genetische Verhältnisse auf der Basis von Sprachen als gesamte Einheiten zu definiëren sind (z. B. Thomason &Kaufman 1988). Eine andere wohl weniger verbreitete Meinung behauptet dagegen, daB nicht gesamte Sprache sondera deren einzelne linguistische Komponenten (z.B. Morphologie) die zu vergleichenden Einheiten darstellen (Allen 1953). Beide Ansichten werden an Hand von idiomatischen Aus-drücken im Arabischen vom Tschad-See-Gebiet erörtert. Einerseits wird ge-zeigt, daB sich diese Varietät des Arabischen in ihrer idiomatischen Struktur an andere Sprachen des Gebiets angepaBt hat, andererseits allerdings, daB sie in anderen linguistischen Komponenten (Phonologie, Morphologie, Lexikon, Syntax) eine Varietät des Arabischen ist. Als SchluBfolgerung ist daraus zu ziehen, daB entweder ein komponentielles Modell der genetischen Verwandt-schaft anzuwenden wäre oder die Sprachfamilien der Welt radikal umgedacht werden müßten.
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Arthur, Jo. "Language at the margins." Language Problems and Language Planning 28, no. 3 (November 5, 2004): 217–40. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.28.3.01art.

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Abstract:
Drawing on a recent ethnographic research project conducted in an urban neighbourhood of Liverpool, England, this paper focuses on Somali speakers, relating the experience of members of this minority language community to the local linguistic and cultural ecology of the city. The community forms part of a Somali diaspora created largely as a consequence of civil war in Somalia towards the end of the twentieth century. The paper opens with an account of the context of the languages and cultures of Liverpool, going on to explore the communicative roles of languages and literacies — Somali, English and Arabic — in the lives of members of the Somali community. Also reported are insights, gained in interviews, into the symbolic values which these languages and literacies hold for them. These data indicate unresolved tensions felt by the interviewees in relation to issues both of cultural identity and of social and educational aspirations — tensions which are closely linked to widespread concern in the community over what is perceived as inter-generational language shift, from Somali to English. This concern has led to the setting up of Somali literacy teaching for young people in the community, and the study included observation of these classes. The paper considers the contribution of such affirmative action to the maintenance and valorisation of Somali, as the language of community heritage, before concluding with discussion of the implications of the Somali community experience in Liverpool — of both marginalisation and resistance — for the management of multilingualism in this modern city. Sommaire Les langues dans la marge: Le cas du somalien à Liverpool Cet article se concentre sur les locuteurs somaliens. Les informations obtenues se rapportent à l’expérience des membres de cette communauté linguistique minoritaire et s’inspirent des conclusions d’une étude ethnographique menée dans un quartier urbain de Liverpool, en Angleterre. La communauté fait partie de la diaspora somalienne, créée principalement à la suite de la guerre civile en Somalie vers la fin du 20ème siècle. L’article présente le contexte des langues et cultures de Liverpool ainsi que les rôles de communication des langues et des taux d’alphabétisation pour les langues — somalien, anglais, arabe — dans la vie des membres de la communauté somalienne. En s’appuyant sur des entretiens effectués, cet article donne aussi un aperçu des valeurs symboliques que représentent pour eux ces langues et leur taux d’alphabétisation. Ces données révèlent les tensions irrésolues ressenties par les personnes interviewées en ce qui concerne les questions à la fois de culture identitaire et d’aspirations sociales et en matière d’éducation. Ces tensions sont intimement liées à une inquiétude répandue parmi la communauté en ce qui concerne les changements qui semblent intervenir au niveau du somalien et de l’anglais entre les générations. Cette inquiétude a mené à la création d’un enseignement du somalien pour les jeunes de la communauté et cette étude inclus les observations de ces classes. L’article prend en considération la contribution d’une action si affirmative pour le maintien et la valorisation du somalien, en qualité de langue du patrimoine de la communauté, et termine en conclusion par une discussion des implications — à la fois de la marginalisation et de la résistance de la communauté somalienne à Liverpool — en ce qui concerne la gestion du multilinguisme de cette ville moderne. [Cette étude se base sur des recherches effectuées en 2001–2002 avec le soutien du Leverhulme Trust. L’auteur remercie l’aide de Cabdillaahi Cawed Cige, Mariam Salah et Samsam Saleh.] Resumo Lingvo marĝena: La kazo de la somalia en Liverpool Surbaze de lastatempa etnografia esplorprojekto farita en urba kvartalo de Liverpool, Anglio, tiu ĉi artikolo fokusiĝas je somaliparolantoj, ligante la sperton de anoj de tiu ĉi lingvominoritata komunumo al la kultura ekologio de la urbo. La komunumo formas parton de somalia diasporo kreita plejparte rezulte de la civila milito en Somalio fine de la dudeka jarcento. La artikolo komenciĝas per prezento de la lingva kaj kultura kunteksto de Liverpool, kaj poste esploras la komunikajn rolojn de lingvoj kaj leg- kaj skribkapabloj — somaliaj, anglaj kaj arabaj — en la vivoj de anoj de la somalia komunumo. Oni ankaŭ raportas pri perceptoj, gajnitaj el intervjuoj, pri ilia sento de la simbolaj valoroj entenataj en tiuj lingvoj kaj kapabloj. Tiuj datenoj indikas, ke la intervjuatoj sentis nesolvitajn streĉitecojn rilate demandojn kaj de kultura identeco kaj de sociaj kaj edukaj aspiroj — streĉitecojn proksime ligitajn al disvastiĝinta maltrankvilo en la komunumo pri tio, kion oni perceptas kiel intergeneracian lingvoŝoviĝon de la somalia al la angla. Tiu maltrankvilo kondukis al starigo de somalia alfabetiga instruado por komunumaj gejunuloj, kaj la studo enhavis ankaŭ observadon de tiuj klasoj. La artikolo konsideras la kontribuon de tia pozitiva agado al konservado kaj valorigo de la somalia, kiel la lingvo de la komuna heredaĵo. La artikolo finiĝas per diskuto de la implicoj de la spertoj de la somalia komunumo en Liverpool — spertoj kaj de marĝenigo kaj de rezistado — por la mastrumado de multlingvismo en tiu moderna urbo. [La studo baziĝas sur esploroj subtenataj en 2001–2 de Leverhulme Trust. La aŭtoro danke rekonas la helpon de Cabdillaahi Cawed Cige, Mariam Salah kaj Samsam Saleh.]
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Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
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