Academic literature on the topic 'Arabe marocain (dialecte) – Langues'

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Journal articles on the topic "Arabe marocain (dialecte) – Langues"

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Houssaini, Adil Araqu, Rime Ibn Moufti, Nada Benkirane, Hicham Elotmani, Bouchra Elmoutawakil, Mohamed Abdoh Rafai, and Ilham Slassi Sennou. "Normes de dénomination d’une banque d’images pour le dialecte arabe marocain." Revue Neurologique 168 (April 2012): A21. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2012.01.049.

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M’barek, Mohamed Nait, and David Sankoff. "Le discours mixte arabe/français: emprunts ou alternances de langue?" Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 33, no. 2 (June 1988): 143–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100012810.

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Abstract:
Nous présentons les résultats d’une étude empirique du discours mixte arabe marocain/français dont le but est de situer ce discours par rapport aux théories de l’emprunt et de l’alternance. Nous nous basons en grande partie sur l’analyse quantitative de la distribution des contextes syntaxiques où se juxtaposent des éléments des deux langues.
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Belhabib, Assia. "Trois K marocains de la modernité comme nécessité." Études littéraires 43, no. 1 (February 14, 2013): 73–81. http://dx.doi.org/10.7202/1014060ar.

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Abstract:
À y regarder de près, les ouvrages des écrivains marocains Mohammed Khaïr-Eddine (1941-1995), Abdelkébir Khatibi (1938-2009) et Abdelfattah Kilito (né en 1945) se déterminent sous le signe de la modernité nécessaire tant sur le plan de l’écriture que du point de vue de la singularité de chacun des auteurs dans les thématiques abordées et dans le mélange des genres littéraires. Oeuvres complexes, denses, pluridisciplinaires dans lesquelles les écrivains pratiquent une expérience limite du langage. Cette habilité, des années durant, à puiser dans la bibliothèque du monde et à découper des plans de cultures, est tendue par le souci de dire autrement la littérature. Khaïr-Eddine a consacré toute sa vie à la dissidence linguistique, chassant sur la page d’écriture la langue du colonisateur et créant son propre dialecte pour dénoncer toute forme d’aliénation et de servitude. Khatibi exalte dans ses récits la force du voyageur professionnel comme promesse de dialogue et d’aimance. Kilito revisite les poètes arabes anciens à la lumière des littératures européennes et renouvelle la lecture des Mille et une nuits, oeuvre intemporelle, universelle et inachevée. C’est à ces questions, plus philosophiques que simplement rhétoriques, que nous convient ces auteurs qui tentent d’inscrire la modernité au-delà d’une géographie, d’une époque ou d’une culture à partir d’une langue d’écriture : le français.
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Ben Loubir, D., Z. Serhier, I. Lembachar, S. Housbane, M. Agoub, and M. Bennani Othmani. "Validation de l’échelle de mesure du stress « Perceived Stress Scale » en dialecte arabe Marocain, Casablanca-Maroc." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 62 (September 2014): S236. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2014.06.210.

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Ibrahim Khalil, A., K. Bendahhou, R. Saile, H. Mestaghanmi, and A. Benider. "Validation de l’échelle de la qualité de vie WHOQOL–Bref en arabe dialecte marocain chez les patientes atteint du cancer du sein." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 65 (May 2017): S80—S81. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2017.03.071.

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Bechraoui, Mohamed-Fadhel. "Une traduction arabe de la grammaire de Lhomond (1857)." Historiographia Linguistica 28, no. 3 (December 31, 2001): 365–400. http://dx.doi.org/10.1075/hl.28.3.04bec.

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Abstract:
Résumé Le succès de la grammaire scolaire dans la France du XIXe siècle avait favorisé la traduction de certains de ses manuels, comme le Lhomond ou le Noël et Chapsal, pour servir de méthodes d’apprentissage aux étrangers. Le Lhomond tout particulièrement, après la traduction anglaise de Longfellow (1830) avait connu une traduction arabe, publiée à Paris en 1857 par un Tunisien du nom de Soliman al-Haraïri (1824–1877). Il y développe en fait, une double traduction: traduction libre et traduction littérale. Cette dernière, très paradoxalement, constitue le noyau d’une méthode présentée par l’auteur comme une invention didactique à laquelle il n’a jamais été précédé. L’effort de traduction y est considérable par rapport à ce que l’on trouve dans l’ouvrage anglais. La langue arabe, ainsi que la grammatisation autochtone qui s’y rapporte sont tellement éloignées du français et de sa grammatisation que le traducteur est amené à faire œuvre de linguiste et non de simple traducteur. La traduction de la terminologie, comme celle des exemples et des paradigmes, nécessite en effet une grande connaissance de l’arabe et de sa grammaire. Le recours au dialecte marque d’ailleurs l’épuisement des ressources de l’arabe classique. La transcription s’y ajoute pour faire encore reculer l’écart, au-delà de la grammaire et du système phonologique, jusqu’à l’écriture elle-même. Les éléments d’une recherche contrastive viennent, en outre, accompagner la traduction littérale comme pour en retracer les limites et révéler les irréductibles difficultés de l’apprentissage. Mais la correspondance entre les deux langues, incarnée dans cette traduction, a été expressément exagérée pour gagner plus de terrain dans le rapprochement du Lhomond, dans sa langue originale, à l’élève arabe. L’objectif étant de le mettre immédiatement en contact avec la langue française, via ce pré-texte qu’est la traduction littérale. Quant à la traduction libre, elle est considérée comme superflue, ne pouvant profiter qu’à l’élève français censé y trouver un ‘guide de bien traduire’.
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Azzi, Siham, and Souad El Yazidi. "Le reconditionnement de la perception dans un processus audio-phonatoire corrigeant le segmental par le suprasegmental : cas de la correction du son [y] chez l’apprenant marocain du fle." SHS Web of Conferences 78 (2020): 09005. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207809005.

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Abstract:
Qualifiées « Cendrillon » (Pistorius & Bettina, 2011, p. 6) et faisant figure de « parent pauvre » de l’enseignement et de l’apprentissage des langues étrangères, la phonétique et la phonologie sont, aujourd’hui, de plus en plus marginalisées aussi bien dans le champ didactique que dans les pratiques de classe. Il en est de même pour la correction phonétique. Amener un apprenant à la production et la réalisation d’un son donné de la langue étrangère n’est pas toujours aisé pour l’enseignant. Jusqu’il n’y a guère, la plupart des enseignants de langue étrangère/seconde fondaient leur enseignement sur le postulat selon lequel l’apprenant prononce mal les sons étrangers parce que son appareil phonateur n’est pas habitué à les produire dans sa langue maternelle. La correction de la prononciation dans l'apprentissage d'une langue étrangère fait désormais consensus : faudrait-il rééduquer les organes articulatoires ou reconditionner la perception de l’apprenant (Alazard, 2013) afin de corriger ses déficiences de prononciation ? Un dilemme de causalité des erreurs phonétiques qui rejoint celui de « l’oeuf ou la poule » ? La présente étude expose les résultats de deux expérimentations portant sur la perception et la production de la voyelle orale [y] du français par des apprenants-enfants marocains commençant à apprendre cette langue à l’âge de 7 à 8 ans dans une école publique. Les tests de diagnostic conçus montrent que la voyelle antérieure arrondie [y] , n’étant pas attestée ni en arabe marocain ni en arabe classique, pose majoritairement des problèmes de production aux apprenants marocains. Les résultats mettent en valeur l’efficience du reconditionnement perceptif sur les performances perceptive et productive des apprenants. Ils confirment que, généralement, un bon reconditionnement de la perception des sons étrangers est une nécessité préalable à une production optimale. Ces données obtenues suggèrent qu’un entraînement basé sur la correction perceptive par la prosodie sensibilise les apprenants aux liens existant entre le respect de la structure prosodique et la bonne perception et production des sons. Cela mène à conclure qu’une surveillance de la bonne maîtrise de la structure suprasegmentale dans l’expression orale, dès le début de l’apprentissage du français langue étrangère/seconde, pourrait garantir une meilleure performance chez l’apprenant.
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Perko, Gregor. "Présentation." Linguistica 51, no. 1 (December 31, 2011): 3–4. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.51.1.3-4.

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Abstract:
Au cours des dernières décennies où l’on assiste à une refondation de la morphologie, la discipline s’intéresse de plus en plus à des phénomènes « périphériques », « marginaux », « irréguliers » ou « extragrammaticaux », à des phénomènes n’appartenant pas aux « régions nodales » de la morphologie. Le présent numéro de Linguistica, premier numéro thématique de notre revue, réunit des études qui s’intéres- sent aux frontières internes et externes de la morphologie. La diversité et la richesse des thèmes abordés et des approches proposées témoignent d’un intérêt croissant que les linguistes, non pas uniquement les morphologues, portent à cette thématique.Les articles proposés s’articulent autour de cinq axes majeurs.Un premier axe rassemble les articles qui étudient les frontières entre différentes composantes de la morphologie. L’étude de Michel Roché examine les contraintes lexicales et morphophonologiques sur le paradigme des dérivés en –aie. Les résultats de son analyse remettent en question la notion de « règle de construction des lexèmes ». Irena Stramljič Breznik et Ines Voršič se penchent sur les néologismes de sport en slovène et essaient d’évaluer la productivité ou la créativité des procédés morphologiques en jeu. Dans une étude d’inspiration cognitiviste, Alexandra Bagasheva aborde l’hétérogénéité des verbes composés en anglais. En s’appuyant sur les données fournies par les para- digmes verbaux du maltais, Maris Camilleri examine la complexité du phénomène de classes flexionnelles basées sur les radicaux. Trois travaux concernent des procédés typiquement « extragrammaticaux » servant à former le plus souvent des occasionnalismes: Arnaud Léturgie tente de dégager des propriétés prototypiques de l’amalgamation lexicale en français, notamment celles de la création des mots-valises; Silvia Cacchiani analyse, à l’intérieur du cadre de la morphologie naturelle, les mots-valises formés à partir de noms propres et de substantifs, phénomène relativement récent en ita- lien ; Thomas Schwaiger, se fondant sur les données tirées de la base « Graz Database on Reduplication », traite des constructions rédupliquées dans une perspective universelle. Deux articles adoptent une perspective contrastive: celui d’Eva Sicherl et Andreja Žele étudie la productivité des diminutifs nominaux en slovène et en anglais ; celui de Marie-Anne Berron et Marie Mouton propose une analyse détaillée de l’importance quantificative et qualificative des procédés de la morphologie marginale dans le slam en France et en Allemagne. Géraldine Walther présente un nouveau modèle général, inscrit dans une approche réalisationnelle, qui permet d’évaluer et de formaliser la (non-)canonicité de phénomènes flexionnels.Un deuxième axe se situe sur la frontière séparant la morphologie dérivationnelle de la morphologie flexionnelle. Tatjana Marvin se penche sur le problème de la préservation de l’accent dans les dérivés anglais, mettant en comparaison les approches de Chomsky et de Marantz avec celle de la théorie de l’Optimalité. L’article de Patrizia Cordin explore la façon dont les constructions locatives verbales dans les langues et les dialectes romans, notamment dans le dialecte trentin, ont perdu en partie leur sens spatial au profit d’un sens grammatical plus abstrait (aspect, résultat, intensité etc.). Se focalisant sur la langue indigène d’Australie kayerdild, Erich Round insiste sur l’utilité de la notion de « morphome » qui permet d’instaurer un niveau de représentation linguistique intermédiaire entre les niveaux lexical, morphosyntaxique et morphophonologique. La contribution de Varja Cvetko Orešnik, qui adopte le cadre théorique de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, apporte quelques données nouvelles sur la morphophonologie et la morphosyntaxe du verbe en ancien indien.Les deux articles suivants examinent des questions d’ordre morphologique aux- quelles se heurtent les langues entrant en contact : Georgia Zellou traite du cas du cir- confixe /ta...-t/ que l’arabe marocain a emprunté au berbère, tandis que Chikako Shigemori Bučar analyse le sort réservé aux emprunts japonais en slovène.L’axe diachronique est exploré principalement par les articles de Douglas Lightfoot, de Javier E. Díaz Vera et de Metka Furlan. D. Lightfoot examine la perti- nence de la notion d’affixoïde et evalue la « suffixoïdité » de l’élément germanique « -mann ». J. E. Díaz Vera décrit la lexicalisation, voire la grammaticalisation des verbes causatifs en ancien anglais. Metka Furlan se penche sur une relation « morpho- logique » archaïque rattachant le nom protoslave pol’e à l’adjectif hittite palhi-.Autour du dernier axe se réunissent les contributions qui examinent la frontière entre la morphologie et les disciplines linguistiques voisines, telles que la phonologie ou la syntaxe. Marc Plénat étudie en détail les contraintes morphologiques, syntaxiques et phonologiques pesant sur la liaison de l’adjectif au masculin singulier sur le nom en français. Janez Orešnik, fondateur de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, explore le comportement morphologique de l’impératif dans une perspective universelle. Mojca Schlamberger Brezar propose une étude contrastive, à partir des don- nées tirées de corpus monolingues et parallèles, de la grammaticalisation du gérondif et du participe en français et en slovène. L’article de Gašper Ilc applique la notionde« cycle de Jespersen » à la négation dans le slovène standard et dans les dialectes pannoniens. Mojca Smolej propose une étude fouillée de l’émergence des articles défini et indéfini dans le slovène parlé spontané.
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Dissertations / Theses on the topic "Arabe marocain (dialecte) – Langues"

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Hamdi, Rym. "La variation rythmique dans les dialectes arabes." Lyon 2, 2007. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2007/hamdi_r.

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Abstract:
Ce travail s’inscrit dans le cadre de la phonétique acoustique expérimentale. À partir de la description des structures syllabiques observées en parole, nous proposons une analyse contrastive de l’organisation temporelle et rythmique de différents parlers arabes. L’objectif principal de cette étude est de décrire le continuum linguistique de l'espace arabophone à partir d’éléments prosodiques relatifs à la structuration temporelle et rythmique propre à chaque parler. Les travaux de recherches antérieurs qui se sont intéressés au rythme de la parole en arabe, ont toujours catégorisés les parlers arabes comme accentuels (stress-timed) par opposition à d’autres langues et/ou dialectes décrits comme syllabiques (syllable-timed) ou moraïques (mora-timed). Ces classifications, qui découlent essentiellement d'expériences psycho-acoustiques, soulignent le fait que la perception des différents types de rythme correspond à certaines propriétés phonologiques des langues telles que la structure syllabique, la réduction vocalique et le type d'accent. Plusieurs modèles ont tenté de trouver les corrélats acoustiques pour quantifier ces propriétés phonologiques et, par la suite, pour mesurer le rythme des langues. Ramus & al. (1999) et Grabe & al. (2000, 2002) ont montré que les classes du rythme perçu, peuvent être appréhendées à partir de certaines mesures instrumentales réalisées sur le signal (i. E. ΔC, ΔV, %V, rPVI, nPVI). Nous avons appliqué le modèle de Ramus et celui de Grabe sur un corpus de parole spontanée représentant six variétés dialectales arabes : marocain, algérien, tunisien, égyptien, libanais et jordaniens. Trois autres langues appartenant à des catégories rythmiques différentes ont également été étudiées : l’anglais, le français et le catalan. Les résultats obtenus à l’issue de cette étude comparative révèlent d’une part que les parlers arabes peuvent être discriminés sur la base de leurs propriétés rythmiques, ce qui va dans le sens de la notion de continuum rythmique ; et d’autre part qu’il existe une forte corrélation entre réduction vocalique et poids syllabique. Les valeurs observées permettent ainsi d’établir une distinction entre trois grandes zones dialectales : le Maghreb, le Moyen-Orient et une zone intermédiaire regroupant la Tunisie et l’Égypte. Enfin, bien que les résultats obtenus pour les trois autres langues, semblent rendre compte des classes de rythme décrites dans la littérature, les valeurs observées pour les différents parlers arabes semblent constituer une remise en question pertinente aux approches considérant les catégories rythmiques comme des ensembles discrets et absolus. Par ailleurs, l'approche phonologique du rythme prédit qu'une analyse de la complexité syllabique d'une langue devrait permettre de déterminer sa classe rythmique. Nous avons donc mis en place une étude typologique préliminaire visant à décrire les différentes structures syllabiques dans trois variétés dialectales arabes à partir d’un corpus de parole spontanée. Les résultats confirment une opposition pertinente entre les parlers maghrébins (i. E. Arabe marocain) privilégiant les structures syllabiques complexes et les parlers orientaux (i. E. Arabe libanais) préférant des structures simples et une syllabation ouverte. L'existence des valeurs intermédiaires pour le parler tunisien soutient l'idée que les dialectes arabes forment un continuum. Ces derniers résultats corroborent la notion de sous-classes rythmiques
This work, based on experimental phonetics (i. E. Acoustics), aims at addressing the Arabic linguistic continuum in the light of prosodic parameters. More precisely, we put forward a comparative analysis of temporal and rhythmic organization in several Arabic dialects. Previous studies dealing with speech rhythm consistently categorized Arabic dialects as stress-timed languages as opposed to syllable-timed and/or mora-timed languages. These classifications, developed on the basis of perceptual experiments, consider that the perception of these different rhythms rests on the treatment of some phonological properties such as syllabic structure, vowel reduction and/or stress pattern. Several models tried to find out acoustic correlates for rhythm in order to quantify these phonological properties and thus, to measure the rhythm of language. Within this frame, Ramus (1999) and Grabe (2000, 2002) suggested different variables (i. E. ΔC, ΔV, %V, rPVI, nPVI). In this work, we applied these two models to a corpus of spontaneous speech in six different Arabic dialects (i. E. Moroccan, Algerian, Tunisian, Egyptian, Lebanese and Jordanian) as well as in three non-Afro-Asiatic languages that are: French, English and Catalan. Our results show that syllable structures, syllabic weight and vocalic reduction can be used as reliable cues to elaborate a typology of Arabic dialects on the basis of their prosodic characteristics and to discriminate between different varieties of Arabic. We were thus able to distinguish between three different dialectal areas: Western vs. Eastern vs. Intermediate. The fact that geographically intermediate dialects such as Tunisian and/or Egyptian Arabic exhibit intermediate values for the parameters investigated provides further support for the suggestion that Arabic dialects form a continuum with regard to rhythmic patterns. Finally, though the distribution of French, English and Catalan along the rhythmic continuum confirms the existence of different rhythmic categories, the differentiated distribution of our six Arabic dialects along the same scale brings into question the notion of discrete and absolute categories for rhythm
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Slaoui, Hadia. "Problèmes de transition de langues posés par le discours bilingue arabe-marocain - français." Paris 7, 1986. http://www.theses.fr/1986PA070017.

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Abstract:
Ce travail s'est proposé de faire une description de la transition de langues, c'est-à-dire, du passage d'une langue à une autre, appréhendée dans le discours bilingue arabe-marocain - français. Cette description se base sur un corpus d'interaction verbale non-formelle, et non-provoquée (donné en annexe). La thèse est faite en deux parties : 1) La transition de langues dans le discours du locuteur ; A) Analyse syntaxique de la phrase bilingue, B) Transition de langues inter-énoncés, C) Transition de langues dans le discours bilingue. 2) La transition de langues dans la conversation : A) Le changement de langue accompagné d'un changement de locuteurs, B) Le mécanisme de sélection du locuteur et de l'interlocuteur et la transition de langues, C) Le couple question réponse et la transition de langues. Les analyses de chaque niveau concerné laissent croire que la transition de langues est sous-tendue par trois phénomènes récurrents (car non-spécifique à un niveau d'analse), et qui sont : 1) l'emploi d'expressions idiomatiques exclusivement en arabe-marocain, ce qui n'empêche pas la suite du discours de se faire indifféremment en arabe-marocain, en français, ou bien dans les deux langues, 2) l'utilisation quasi-systématique du verbe G A L , "dire", pour introduire un discours-rapporté, et ceci quelle que soit la langue du discours-rapporté, 3) le phénomène de la reprise ou de la quasi-répétition, phénomène très fréquent dans des situations de langues en contact
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El, Habib Adam. "Les langues et les variétés de langues parlées dans la région du Gharb au Maroc : Cas d'étude : Kénitra, Mehdia, Haddada, Chlihat." Paris, INALCO, 2008. http://www.theses.fr/2008INAL0007.

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Abstract:
Tous les dialectologues et les sociolinguistes, marocains ou étrangers se mettent d'accord sur une seule réalite : que le Maroc est une mosaïque linguistique ou se rencontrent différentes langues et variétés de langues. Avec ses différentes régions, le Maroc présente un champ fertile pour une étude des langues, surtout l'Arabe marocain, l'Arabe standard, le Berbère et le Français. Cette thèse porte sur l'étude des langues parlées dans la région du Gharb, le rôle de ces langues, leur utilisation, etc. Par une approche sociolinguistique ce travail contribue entre autres à faire connaitre la région du gharb et sa situation linguistique hétérogène
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Sabri, El Hassane. "Le combat pour le prestige : dynamique sociolinguistique et rapports aux langues au Maroc." Paris 5, 1996. http://www.theses.fr/1996PA05H040.

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Abstract:
Notre thèse se veut une approche globale des mécanismes qui régissent les rapports des langues et le changement sociolinguistique au Maroc. L'hypothèse générale qui la sous-tend est que le combat pour le prestige est une variable importante qui détermine les rapports aux langues particulièrement dans les situations plurilingues. La première partie présente les facteurs qui régissent la diffusion des langues au Maroc : le commerce, la ville, la migration, la religion, les medias, le système scolaire, le voisinage. L'autre face de la diffusion est le déclin des langues minoritaires, et nous avons vu ce qu'il en est des dialectes berbères au Maroc. Ensuite, nous avons étudié ce qu'est le prestige, sa définition et ses critères, et surtout son rôle dans les rapports des langues notamment au Maroc. Nous avons également montré l'homologie entre la stratification sociale et les pratiques linguistiques (diglossie et langues des élites). Nous avons complété notre étude de la diffusion et du prestige par un chapitre consacre à la domination linguistique, surtout en ce qui concerne le code-switching et l'emprunt. Dans la deuxième partie, nous avons travaillé sur les questions d'identité et de communauté linguistique et leur importance dans les rapports aux langues au Maroc : nous avons parlé de la communauté, des frontières ethniques, de l'umma, de la nation, de la segmentarité et des réseaux sociolinguistiques. Nous avons montré que l'identité se présente comme un entrelacs et se trouve souvent liée à des facteurs comme le prestige. Dans la troisième partie, nous nous sommes intéressés à la gestion politique des langues, c'est-à-dire à l'intervention du pouvoir dans les questions linguistiques. Nous avons vu que toute politique linguistique dépend d'une double exigence (modernisation de l'outil linguistique et unification linguistique du pays) et bute souvent sur le problème des droits linguistiques des minorités (revendications berbéristes dans le cas du Maroc. )
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Gouma, Taoufik. "L'emphase en arabe marocain : vers une analyse autosegmentale." Paris 8, 2013. http://octaviana.fr/document/179728830#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
La présente thèse est dédiée à l’étude de la phonologie de l’emphase en arabe marocain (AM), un des phénomènes linguistiques les plus complexes de la langue arabe de par son statut controversé et très ambigu, qui change d’une langue à l’autre, d’un dialecte à l’autre, voire parfois d’une région à l’autre au sein d’un même dialecte. Nous nous intéressons dans un premier temps à la phonétique de l’emphase et nous montrons, à travers une comparaison des études des grammairiens arabes, puis de celles des orientalistes pour finir avec celles des linguistes contemporains, que la caractéristique articulatoire principale des consonnes emphatiques, par rapport à leurs contreparties non emphatiques, est le recul de la racine de la langue, appelé pharyngalisation. Ceci se reflète acoustiquement dans l’élévation du F1 et l’abaissement du F2 des voyelles adjacentes. Dans la partie phonologique, nous nous intéressons d’abord à l’évolution de cette classe de segments, qui dérivent de glottalisées, afin de montrer que les paramètres définis par nos prédécesseurs, à savoir le lieu d’articulation coronal commun aux emphatiques classiques (/tˤ, dˤ, sˤ, ðˤ/), l’emphatisation des segments adjacents, la directionnalité et le blocage de l’emphase sont à reformuler. Nous étudions ensuite les différentes hypothèses sur le site phonologique de l’emphase, à savoir le site consonantique et le site vocalique, et nous montrons leurs limites. Nous proposons par la suite notre propre hypothèse, l’hypothèse autosegmentale, selon laquelle le site phonologique de l’emphase a évolué, en passant d’un site consonantique, spécifique aux coronales, à un autosegment indépendant. Cette hypothèse est confirmée par les données de l’AM, mais aussi par celles d’autres variétés arabes comme l’arabe classique, qui montrent que certains mots qui ne contiennent aucune emphatique classique, ni même de coronale, s’opposent à d’autres mots sur la seule base de l’emphase, comme en AM, [bˤabˤa] ‘papa’ vs. [baba] ‘mie de pain’. Nous montrons dans la dernière partie de la thèse que la directionnalité de cette harmonie est, contrairement à ce que stipulent les études précédentes, toujours unidirectionnelle, et que les palatales /i, j, ʒ, ʃ/ ne jouent aucun rôle dans son blocage. Enfin, nous montrons aussi que la racine constitue le domaine morphologique de l’emphase
This thesis is dedicated to the study of the phonology of emphasis in Moroccan Arabic (MA), due to its controversial and very ambiguous status which changes from one language to another, from one dialect to another and sometimes from one region to another within the same dialect. We focus initially on the phonetics of emphasis and we show, through a comparative study of the analysis of Arab grammarians, then that of Orientalists, to finish with that of contemporary linguists, that the main articulatory characteristic of emphatics, compared to their non-emphatic cognates, is the retraction of the tongue root, called pharyngealization. This is reflected acoustically in the rise of F1 and lowering of F2 of the adjacent vowels. In the phonological part, we focus first on the evolution of this class of segments, which were glottalized, to show that the parameters set by our predecessors, namely the unique coronal articulation of all emphatic, the emphatisation of adjacent segments, its directionality and its blocking, are no longer valid for the current treatment of emphasis. We then study the different assumptions about the phonological site of emphasis, namely the consonantal and the vocalic site and we show their limits. We propose thereafter our own hypothesis, the ‘autosegmental hypothesis’, in which we consider that the phonological site of emphasis has evolved, passing from a coronal consonant-specific site to an autosegmental root-specific independent one. This hypothesis is supported by data from MA and also those of other Arabic varieties, such as classical Arabic, which show that some words that do not contain any classical emphatic (/tˤ, dˤ, sˤ ,ðˤ/), nor even a coronal, form minimal pairs where the only difference is at the level of emphasis, as in MA [bˤabˤa ] ‘father’ vs. [baba] ‘bread crust’. We show in the last part of the thesis that the directionality of this harmony process is, contrary to the previous studies, always unidirectional and that the palatals /i, j, ʒ, ʃ/ play no role in its blocking
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El, Khattabi Khadija Rouveret Alain. "La structure de la proposition et la syntaxe de la négation en arabe standard et en arabe marocain /." Lille : Atelier national de reproduction des thèses, 1998. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41153863n.

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Embarki, Mohamed. "Le discours spontané en arabe marocain : mise en évidence de stratégies discursives individuelles dans l'interaction." Besançon, 1996. http://www.theses.fr/1996BESA1008.

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Abstract:
Pour mettre en évidence la stratégie prosodique de chaque locuteur dans le discours spontané en arabe marocain, nous avons eu recours aux notions d'échange et de paragraphe sonore. La relation temps de réaction acte de discours dans l'échange nous a permis de montrer que chaque locuteur possède une stratégie discursive individuelle à court terme. Le temps de réaction peut être négatif, nul ou positif, mais sa variation est conditionnée par la nature de l'acte de discours, il est aussi l'annonce de ce dernier. A moyen terme, la stratégie discursive individuelle se définit dans les données temporelles et mélodiques du paragraphe sonore. Si les données temporelles laissent apparaitre une relative hétérogénéité inter locuteurs, les données mélodiques présentent des constantes remarquables. Le niveau mélodique de la finale définitive signifie que le thème traite est épuisé. Ce niveau se place toujours plus bas que celui des finales provisoires. De ce fait, la finale définitive acquiert une place fondamentale dans le paragraphe sonore, ce qui lui confère une fonction structurale. Ainsi, le paragraphe sonore devient un ensemble cohérent au niveau prosodique. Nous remarquons encore que chaque locuteur finit ses paragraphes à la même hauteur. Pour atteindre nos buts, nous avons été amenés à redéfinir, dans la partie théorique, les aspects prosodiques du discours spontané en arabe marocain, idiome qui a été replacé dans ses contextes socio-historique et sociolinguistique.
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Sahel, Said. "Agrammatismus im Deutschen und im marokkanischen Arabisch : eine kontrastive Analyse /." Wiesbaden : Dt. Univ.-Verl, 2004. http://www.gbv.de/dms/bs/toc/470549688.pdf.

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Nissabouri, Abdelfattah. "Le français tel qu'on le prononce à Casablanca : reflet des tendances actuelles de l'arabe marocain sur la prononciation du français." Rennes 2, 1994. http://www.theses.fr/1994REN20024.

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Abstract:
Notre but dans ce travail est d'étudier le phénomène linguistique connu sous le nom d'accent étranger chez des arabophones marocains parlant français. Dans le domaine de l'arabe marocain, la complexité de l'histoire du pays liée à la non moins grande complexité du terrain linguistique oriente d'une certaine manière l'évolution des parlers. Cette évolution se manifeste dans la dichotomie traditionnelle citadin bédouin qui, depuis la deuxième moitié du vingtième siècle, est remise en cause par des phénomènes extralinguistiques tel l'exode rural et le "basculement" du Maroc intérieur vers le littoral. Pour mener à bien cette recherche, nous avons procédé en premier lieu à une analyse phonologique du français parlé par un informateur principal natif de Casablanca, vocalisme d'abord et consonantisme ensuite. Cette analyse a révélé deux types d'interférences phoniques : celles que font les arabophones en général et celles liées à la dichotomie en question. La deuxième grande partie de ce travail se veut résolument dynamique. Elle comprend deux mises au point : la première précise l'état de la recherche en phonologie de l'arabe marocain et permet d'esquisser le profil d'un dénominateur commun des parlers les plus connus (citadins). Dans un deuxième temps, nous avons tenté de circonscrire dans le domaine dialectologique les marquages de type citadin et de type bédouin. Ensuite, nous avons cherche à repérer ces marquages chez des informateurs arabophones citadins et ruraux, issus de régions différentes du Maroc, en les invitant à répondre à un questionnaire phonétique bilingue pour constater que l'atténuation des caractéristiques phoniques respectives de leurs parlers peut se manifester dans leur prononciation du français
Our objective here is to try to examine the linguistic phenomenon known as foreign accent with Arab-speaking French-speakers. With regard to Moroccan Arab, the complex nature of the country's history relating to the equally considerable complexity of the linguistic field determines in some way changes in speaking. The changes or developments are shown in the traditional way of opposing the city-dwellers to the Bedouins. Since the beginning of the second half of the 20th century, however, certain extra-linguistic phenomena such as the drift from the land and the massive migration of the interior Moroccan inhabitants towards the coastal regions, are calling the issue into question. To carry out successfully the research work, we have first of all done a phonological analysis -the vowel system first, and then the consonant system, afterwards- of French spoken by a major informant, born in Casablanca. This analysis has brought to light two types of phonic interference : those of Arab-speakers in general and those relating to the (city-dweller Bedouin) opposition in question. The second main part of the research is resolutely dynamic. It comprises two main settings, the first of which specifies the nature of the research in Moroccan Arab phonology and enables us to outline the profile of a common denominator of the best-known speakings (i. E. , those of city-dwellers). Secondly, we have tried to explore, through dialectology, the typical characteristics of the city-dweller and those of the Bedouin. Further, we have tried to identify these characteristics with the city-dwelling as well as the rural
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Boutmgharine, Najet. "Emprunts et alternance codique dans la presse marocaine d'expression française." Paris 7, 2014. http://www.theses.fr/2014PA070120.

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Abstract:
Cette thèse s'inscrit dans la recherche sur les effets du contact des langues en contexte plurilingue. Nous sommes partie de l'hypothèse selon laquelle la langue française en présence utilisée au Maroc est sujette à l'influence de l'anglais, à l'instar du français de France. Nous avons également supposé que la langue française pratiquée dans le contexte sociolinguistique marocain subit l'influence des langues locales. Notre recherche vise à démontrer et illustrer les interactions linguistiques qui caractérisent une situation sociolinguistique complexe, ainsi que la tendance générale d'emprunt à la langue anglaise. Nous avons associé les méthodes de la linguistique de corpus, de la sociolinguistique ainsi que celle de l'étude des emprunts pour former un cadre méthodologique approprié à cette recherche. En nous fondant sur un corpus d'une année d'un quotidien d'expression française, nous avons mis en évidence que les influences se manifestent sous la forme d'emprunts et d'alternance codique. L'examen du corpus révèle les parts détenues par l'anglais, l'arabe standard et l'arabe dialectal marocain dans le français d'usage au Maroc. Nous y analysons la façon dont les journalistes empruntent et alternent avec les langues citées. Les résultats tirés du corpus nous ont permis de dresser une typologie et une analyse de l'intégration morphosyntaxique et discursive des emprunts et des manifestations d'alternance codique en français. Est traitée, par ailleurs, la question des motivations du recours aux procédés d'emprunts et d'alternance codique : nous démontrons que les choix de langue constituent souvent des stratégies communicatives, notamment lors de l'alternance français-arabe marocain. Les résultats confirment ce que les chercheurs sur le bilinguisme ont constaté, concernant le mélange des langues induit par l'état de bilinguisme. Nous observons que les journalistes font figurer à la fois le « local », par l'emploi d'arabismes et l'alternance codique avec l'arabe, et « l'international », à travers les nombreux anglicismes qu'ils utilisent
The present research work is set in the context of language contact in a multilingual environment. Our basic assumption was that the French language in Morocco is influenced by English, as it is in France, but it was also assumed that the French language in Morocco is influenced by local languages. This research aims to demonstrate and illustrate the linguistic interactions in a complex sociolinguistic context, along with the general tendency to borrow lexical material from English. Corpus linguistic, sociolinguistic and borrowing studies methods were drawn on to form an appropriate methodological framework to achieve this objective. The study is based on a large corpus composed of all the articles from one year of a French-language Moroccan newspaper. Borrowings and codeswitching were focused on as traces of linguistic influences in this corpus. The analysis of the corpus shows the quantitative impact of English, standard Arabic and Moroccan Arabic on French as used in Morocco, highlighting the way journalists borrow words and switch between these languages. This analysis was then used to draw up a typology to study the integration of borrowings and codeswitching on the grammatical and discourse level. The question of the reasons for using borrowings and codeswitching was also addressed. It is shown that communicative strategies can be achieved by making specific language choices, especially when the journalist uses French-Moroccan Arabic codeswitching The corpus data confirm the findings of research on bilingualism, about language mixing related to a bilingual situation. More precisely, it is observed that the journalists use "local" words and expressions, through arabisms and codeswitching with Arabic, while the high number of anglicisms indicates the presence of "international" items
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