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Journal articles on the topic 'Arbres et arbustes'

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Kanzila, Muzinga. "La prospection des ligneux fourragers dans la Communauté économique des Pays des Grands Lacs (Burundi, Rwanda, Zaïre)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 4 (April 1, 1994): 415–24. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9082.

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Abstract:
Les prospections faites auprès des éleveurs et bouviers des grandes régions d'élevage du Burundi, du Rwanda et du Zaïre, ont permis d'inventorier 242 espèces d'arbres et arbustes indigènes consommés par les bovins, caprins et ovins. Ces espèces sont réparties dans 53 familles botaniques. Tous les ruminants domestiques des régions prospectées s'adonnent au brout à l'une ou l'autre époque de l'année, selon la disponibilité en herbes fourragères et surtout selon l'espèce animale à laquelle ils appartiennent. L'époque de prélèvement maximal reste la saison sèche. L'éleveur traditionnel a une bonne connaissance des arbres et arbustes fourragers indigènes mais les principaux usages qu'il leur reconnaît sont ceux de tout arbre. L'usage fourrager est simplement observé, ce qui explique que les arbres et arbustes fourragers ne font pas l'objet d'un traitement particulier. L'analyse chimique de quelques espèces a été effectuée et s'est révélée intéressante avec une moyenne en matières azotées de 18,5 % de la matière sèche en saison des pluies et 17,6 %en saison sèche.
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Hepper, F. N., and Nathalie Baum. "Arbres et arbustes de l'Egypte ancienne." Kew Bulletin 46, no. 2 (1991): 361. http://dx.doi.org/10.2307/4110614.

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3

Pinon, Jean. "Les peintres russes : forêt, arbres et arbustes." Revue Forestière Française, no. 1 (2018): 43. http://dx.doi.org/10.4267/2042/68714.

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4

Le Houerou, H. N. "Arbres et Arbustes du Sahel, Leurs caractéristiques et leurs utilisations." Journal of Arid Environments 10, no. 3 (May 1986): 243–44. http://dx.doi.org/10.1016/s0140-1963(18)31247-3.

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5

Zaafouri, Mohamed Sghaïer, and Mohamed Chaïeb. "Arbres et arbustes de la Tunisie méridionale menacés de disparition." Acta Botanica Gallica 146, no. 4 (January 1999): 361–73. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.1999.10515823.

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6

Filion, Louise. "Analyse macrofossile et pollinique de paléosols de dunes en Hudsonie, Québec nordique." Géographie physique et Quaternaire 38, no. 2 (November 29, 2007): 113–22. http://dx.doi.org/10.7202/032546ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les analyses macrofossile et pollinique de paléosols de dunes ont permis de reconstituer l'histoire de la végétation dans trois stations de l'Hudsonie. Dans les sites étudiés (lac Burton, grande rivière de la Baleine et Poste-de-la-Baleine), les spectres polliniques révèlent l'existence d'une phase d'afforestation d'une durée approximative de 1200-1300 ans, caractérisés par l'abondance de grains de pollen d'espèces arbustives. L'aulne vert domine les spectres associés à cette période dans les deux stations continentales et le bouleau glanduleux, ceux de la station de Poste-de-la-Baleine (milieu maritime). La présence de macrorestes d'épinettes dans tous les horizons humifères met en évidence la coexistence des arbres et des arbustes pionniers pendant cette phase d'afforestation. Pendant la phase forestière, ce sont les mêmes espèces arborescentes qui ont colonisé les dunes après chaque épisode éolien. L'abondance relative du pollen de Pinus et de Picea est restée à peu près constante. Certaines augmentations dans la représentation pollinique du bouleau glanduleux, des Ericaceoe et des Onagraceoe pourraient refléter l'influence déterminante des feux de forêt, laquelle s'exprime à travers une modification du rapport entre les milieux forestiers et les milieux arbustifs.
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Beentje, H., and L. Pauwels. "Nzayilu N'ti. Guide des arbres et arbustes de la region de Kinshasa-Brazzaville." Kew Bulletin 50, no. 1 (1995): 185. http://dx.doi.org/10.2307/4114633.

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Montagnini, Florencia, Muhammad Ibrahim, and Enrique Murgueitio Restrepo. "Systèmes silvopastoraux et atténuation du changement climatique en Amérique latine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20528.

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Abstract:
La production de bétail fait partie de la culture des peuples et est importante pour la nutrition et le bien-être humain. Cependant, le bétail d'élevage conventionnel est une source de gaz à effet de serre (Ges). La séquestration du carbone dans la végétation et les sols peut être améliorée tandis que les émissions de Ges peuvent diminuer avec le pâturage contrôlé, des espèces fourragères appropriées, et l'utilisation de systèmes sylvopastoraux (Sps) combinant arbres, arbustes et pâturages. En outre, les Sps favorisent l'adaptation au changement climatique avec les effets améliorateurs des arbres sur les températures de l'air qui limitent le dessèchement des pâturages et améliorent le bien-être et la productivité des animaux. Plusieurs types de Sps sont très répandus dans les paysages agricoles de l'Amérique latine. Dans les Sps intensifs (Isps), comprenant des banques de fourrage avec des espèces ligneuses plantées à haute densité, les rendements sont supérieurs à l'élevage conventionnel, en raison d'une plus grande densité de bétail et du gain de poids plus élevé des animaux. Les recherches en Colombie, au Nicaragua et au Costa Rica montrent que les Sps ont plus de carbone dans la biomasse aérienne et dans les sols que dans les pâturages dégradés. Dans les Sps, le bois des arbres fruitiers, plantés ou de régénération naturelle, augmente les stocks de carbone et les taux de séquestration. Les espèces arborées locales peuvent être utilisées dans les Sps avec de bons résultats en termes de productivité, de restauration des sols, de séquestration du carbone et de conservation de la biodiversité. L'utilisation de Sps contribue à la séquestration du carbone dans les arbres et dans les sols, tandis que l'établissement des plantations forestières et la conservation des forêts secondaires augmentent la séquestration et le stockage du carbone à l'échelle du paysage. Les Sps et surtout les Isps peuvent contribuer à atténuer le changement climatique car ils peuvent avoir un bilan Ges positif. En Amérique latine, les Isps aux résultats positifs ont été adaptés à des niveaux régionaux. Des mesures incitatives telles que le paiement des services environnementaux ainsi que l'assistance technique peuvent stimuler l'adoption des Sps contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique tout en préservant les moyens de subsistance en milieu rural.
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BARBERO, M. "Caractérisation de quelques structures et architectures forestières des arbres et arbustes à feuilles persistantes de l'étage méditerranéen." Revue Forestière Française, no. 5 (1988): 371. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25904.

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Corniaux, Christian, Hubert Guérin, and H. Steingass. "Composition chimique et dégradabilité enzymatique et in vitro d'espèces ligneuses arbustives utilisables par les ruminants dans les parcours extensifs de la Nouvelle-Calédonie. II. Equation de prédiction de la dégradabilité enzymatique et in vitro de la m." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 2 (February 1, 1996): 158–66. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9534.

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Abstract:
En Nouvelle-Calédonie, comme dans de nombreux autres pays, il n'est pas envisageable à court terme de mettre en oeuvre toutes les méthodes d'évaluation des fourrages. Par ailleurs, la valeur alimentaire des arbustes fourragers est relativement méconnue comparativement à celle des herbacées. Aussi cette étude établit-elle des équations de prédiction de quelques facteurs liés à la valeur nutritive des ligneux tropicaux récoltés sur les zones de parcours néo-calédoniens. II s'agit, d'une part de critères déterminés par les méthodes enzymatiques: dégradabilité enzymatique de la matière organique (SMO) et des matières azotées dégradées par la pronase (MApro); et, d'autre part, par la méthode in vitro: dégradabilité in vitro de la matière organique (dMOgt) et des matières azotées (MAgt) par la méthode de production des gaz. Cette étude montre notamment la difficulté de déterminer ces équations à partir de critères chimiques simples (MAT, NDF, ADF) couramment utilisés pour les espèces herbacées. Leur teneur généralement élevée en lignines, la distribution de leurs matières azotées partiellement bloquées au niveau des parois indigestibles et la présence de tanins rendent nécessaire l'emploi de critères chimiques tels qu'ADL, MAadf et MAnadf (matières azotées liées ou non à l'ADF) dans le cas des arbres et arbustes fourragers. La précision des équations est néanmoins acceptable notamment pour la dMOgt et pour la famille des Fabacées. En revanche, les équations ne sont pas applicables pour MApro (sauf pour les Fabacées).
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Onana, Joseph. "Les ligneux fourragers du Nord-Cameroun. I. Inventaire et phénologie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 48, no. 2 (February 1, 1995): 213–19. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9474.

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Abstract:
Une soixantaine d'espèces ligneuses ont été inventoriées dans les savanes du Nord-Cameroun comme entrant dans l'alimentation des ruminants domestiques. La phénologie de certaines d'entre elles a été suivie tant sur parcours naturels qu'en plantation pendant 4 ans. De cette étude, il ressort que les arbres et arbustes les plus exploités sont par ordre de préférence : Ficus sycomorus, Daniellia oliveri, Afzelia africana pour ce qui est du feuillage, Acacia albida, Dichrostachys cinerea, Prosopis africana pour ce qui est des fruits. Les fleurs de Daniellia oliveri, Pterocarpus erinaceus, Bombax costatum sont également très appréciées. Ficus sycomorus, Pericopsis laxiflora, Daniellia oliveri et Detarium microcarpum présentent en outre une phénologie en milieu naturel compatible avec une exploitation optimale du feuillage pendant la période de soudure alimentaire.
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Catinot, René, and Ilona Bossanyi. "Tropical silviculture in dense African forests (Part 2)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31611.

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Abstract:
Dans la deuxième partie de l’article, l’auteur expose les méthodes sylvicoles employées dans la forêt dense d’Afrique à l’aide d’une régénération artificielle. La méthode « Taunguya » n’est pas très répandue dans les zones forestières. La méthode « Limba », employée au Congo, sert à établir une plantation de stumps (souches de jeunes plants) de limba (Terminalia superba) à intervalles de 6 à 9 m ou 12 à 14 m dans une forêt naturelle complètement détruite. Avec la méthode « Okoumé », utilisée au Gabon sur 16 000 ha, les arbres sont plantés à intervalles de 4 à 5 m par semis direct ou plantation de jeunes plants, ou après déforestation. La méthode « Martineau », utilisée en Côte d’Ivoire dans les années 1930, implique une plantation serrée (2 500 très jeunes plants par hectare) en forêt naturelle, avec une ouverture progressive lente de la canopée. La méthode des « Layons » est très extensive, et produit un enrichissement des peuplements par l’introduction de jeunes plants dans les layons par éclaircies de la forêt naturelle à 25 m d’intervalle (13 000 ha en Côte d’Ivoire). La méthode des « Placeaux » introduit de jeunes plants très serrés dans des carrés de forêt naturelle. Les arbustes concurrents et les arbres de la canopée sont progressivement et lentement éliminés.
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Nielsen, Ivan. "Pauwels, L. 1993. Nzayilu N‘ ti. Guide des arbres et arbustes de la région de Kinshasa - Brazzaville." Nordic Journal of Botany 14, no. 5 (December 1994): 490. http://dx.doi.org/10.1111/j.1756-1051.1994.tb00640.x.

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Koffi, AA, FA Kouassi, SBK N'Goran, and D. Soro. "Les Loranthaceae, parasites des arbres et arbustes : cas du département de Katiola, au nord de la Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 8, no. 6 (May 8, 2015): 2552. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v8i6.17.

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Benchelah, A. C., H. Bouziane, and M. Maka. "Fleurs du Sahara, arbres et arbustes, voyage au c?ur de leurs usages avec les Touaregs du Tassili." Phytoth�rapie 2, no. 6 (November 2004): 191–97. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-004-0052-z.

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Ritchie, James C. "Comparaison entre la végétation du Mackenzie et du Nord québécois à l’Holocène." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 153–60. http://dx.doi.org/10.7202/032672ar.

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Abstract:
RÉSUMÉLe Québec-Labrador et la région de la vallée inférieure du Mackenzie ont en commun quelques traits phytogéographiques, mais leur histoire végétale postglaciaire est largement différente. Les caractéristiques structurales et floristiques de la toundra arbustive, de la toundra forestière et de la taïga se ressemblent fortement. On trouve aussi des clones disjoints et isolés de Populus balsamifera dans les deux régions. Les bioclimats sont différents sous quelques rapports, notamment les précipitations annuelles, les caractéristiques de la couverture de neige, le régime annuel des températures et la saison de croissance. Toutefois, le déroulement et la chronologie de la déglaciation ont été les facteurs qui ont déterminé les différences les plus importantes entre les deux régions en ce qui a trait à l'histoire de la végétation. La région occidentale, libérée des glaces vers 15 000 BP, a été dominé par une toundra herbeuse pendant les deux millénaires qui ont suivi. Vers 13 000-12 000 BP, les toundras arbustives (Betula glandulosa, Ericales, Salix) se sont étendues, puis les forêts de Populus, d'abord, et de Picea, ensuite, se sont succédé de 10 000 à 9000 BP. Au début de l'Holocène, la moyenne de rayonnement solaire estival a atteint son maximum et la limite septentrionale de la zone forestière s'est déplacée au nord. Par la suite, vers 6000-4000 BP, l'aulne (Alnus) s'est établi et la pessière a laissé place à une toundra arbustive, et ce, jusqu'à nos jours. Par contre, la partie centrale du Nouveau-Québec est demeurée englacée jusque vers 6500 BP et la colonisation initiale a été remplacée par les arbres (Picea, Larix) et les arbustes (Alnus). Les différences entre les deux régions s'expliquent par l'âge de la déglaciation, l'influence de la calotte résiduelle sur le climat, la proximité du stock floristique disponible et les voies de migration des plantes.
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Savignac, Carl, and Marc Bélisle. "Habitat de nidification du faucon pèlerin dans le sud du Québec : comparaison entre les carrières industrielles et les parois naturelles." Oiseaux de proie diurnes 139, no. 1 (December 3, 2014): 44–53. http://dx.doi.org/10.7202/1027670ar.

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Abstract:
Occupant historiquement des parois naturelles pour la nidification, le faucon pèlerin (Falco peregrinus anatum/tundrius) du sud du Québec utilise maintenant aussi les parois des carrières industrielles. Aucune étude récente n’a encore décrit l’habitat naturel de nidification ou comparé les 2 types d’habitat. À l’aide de données provenant de photographies et d’observations sur le terrain, nous avons comparé plusieurs caractéristiques de l’habitat de nidification de 25 carrières et de 39 sites naturels occupés entre 1995 et 2013 dans le sud du Québec. Les parois de carrières utilisées par les faucons pèlerins diffèrent des parois naturelles principalement par une orientation générale des nids vers le nord et le nord-ouest, contrairement au sud dans les milieux naturels, par une plus faible couverture en arbres et arbustes sur la surface des parois, par des plateformes de nidification situées plus haut sur les parois, par une plus faible proportion de surplombs rocheux au-dessus des nids et par une plus grande proximité des nids à un plan d’eau. De plus, dans les 2 types d’habitat, le tiers des nids de faucon pèlerin était d’anciens nids de grands corbeaux (Corvus corax). L’importance biologique de ces différences pour la nidification du faucon pèlerin est discutée.
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Richard, Pierre J. H., Alayn Larouche, and Michel A. Bouchard. "Âge de la déglaciation finale et histoire postglaciaire de la végétation dans la partie centrale du Nouveau-Québec." Géographie physique et Quaternaire 36, no. 1-2 (November 29, 2007): 63–90. http://dx.doi.org/10.7202/032470ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'analyse poliinique, l'analyse macrofossile, ainsi que la datation au radiocarbone de quatre carottes de sédiments lacustres postglaciaires, ont permis d'établir l'âge minimal de la déglaciation et l'histoire postglaciaire de la végétation dans la partie centrale du Nouveau-Québec, où ont persisté quelques-uns des derniers lambeaux de la calotte glaciaire wisconsinienne au Québec. La déglaciation s'est échelonnée entre 6200 ans BP, qui représente l'amorce de la stagnation finale au sud-ouest de la ligne de partage glaciaire terminale, et 5600 ans BP, qui représente l'âge minimal de la fusion finale de la glace, en terre haute, au nord-est de la ligne de partage. Le délai entre la disparition de la glace et l'accumulation des premiers sédiments organiques datables dans les petits lacs a été très court. La colonisation végétale fut immédiate, relativement massive, tant par les arbres et les arbustes que par les plantes herbacées. L'aulne crispé (Alnus crispa) et le mélèze (Larix laricina) dominèrent au début, mais toutes les autres espèces d'arbres étaient déjà présentes. Une taïga à épi-nette noire (Picea mariana) beaucoup plus dense qu'aujourd'hui a occupé le paysage entre 5500 et 4400 ans BP environ. Le principal trait de l'histoire postglaciaire de la végétation est l'ouverture généralisée de la couverture arbo-réenne et arbustive, qui s'amorce vers 4700 à 4300 ans BP reflétant sans doute l'avènement d'un climat plus froid. La seule indication d'une éventuelle fluctuation climatique est représentée par deux périodes de plus grande abondance du bouleau blanc, entre 5750 et 4750 ans et entre 3600 et 2500 ans enregistrées en un site de la région.
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Dionne, Jean-Claude. "Le glaciel en Jamésie et en Hudsonie, Québec subarctique." Géographie physique et Quaternaire 32, no. 1 (January 17, 2011): 3–70. http://dx.doi.org/10.7202/1000288ar.

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Abstract:
Formes, sédiments et processus glaciels sont variés et largement répandus en Jamésie et en Hudsonie, dans le Québec subarctique. Les glaces flottantes exercent une action morpho-sédimentologique importante dans les trois principaux milieux de sédimentation : littoral et marin, fluviatile et estuarien, et lacustre. En milieu littoral et marin, elles affouillent les fonds meubles, prélèvent des sédiments de toutes tailles, creusent des rainures et arrachent des plaques de gazon dans les marais littoraux. Elles pertubent intensément la sédimentation dans les slikkes y creusant des dépressions superficielles et y déformant les couches, abandonnent des tonnes de cailloux partout sur le rivage et en particulier dans les slikkes et les schorres, construisent des champs, des cordons et des dallages de blocs, et même des crêtes de poussée. Sur les plages, elles édifient parfois des micro-reliefs chaotiques. En milieu fluviatile et estuarien, elles érodent le fond et les rives, construisant de belles crêtes de poussée qui atteignent jusqu’à 12 m de hauteur, abandonnent à la surface des basses terrasses une masse considérable de sédiments, creusent des rainures ou aplanissent la surface des bancs sableux, et détruisent fréquemment la végétation (arbres et arbustes) des rives. En milieu lacustre, elles édifient des crêtes de poussée atteignant 6-7 m de hauteur, déplacent des cailloux sur le fond créant ainsi des faisceaux de rainures superficielles, ou réalisent des cordons et des dallages de blocs sur le rivage. Le glaciel relique caractérise les terrains émergés qui furent jadis recouverts par les eaux de la mer de Tyrrell et du lac Ojibouai. Par ailleurs, la protection offerte par la couverture glacielle se révèle efficace, puisqu’elle stoppe durant la moitié de l’année l’action érosive des vagues et des courants.
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Devineau, Jean-Louis. "Seasonal rhythms and phenological plasticity of savanna woody species in a fallow farming system (south-west Burkina Faso)." Journal of Tropical Ecology 15, no. 4 (July 1999): 497–513. http://dx.doi.org/10.1017/s0266467499000978.

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Abstract:
Leafing, flowering and fruiting of the 24 most representative species of trees and shrubs in Sudanian savannas and fallows near Bondoukuy (Burkina Faso) were studied for 2 y (May 1992 to June 1994). The period of defoliation was generally brief, and leaf flushing, flowering and fruiting occurred mostly in the dry season. The phenological behaviour varied nonetheless across species and individuals. A classification taking into account synchrony/asynchrony and duration in foliation, flowering, fruit ripening and seed dispersal phases allowed comparison of species' phenological plasticity. Species were distributed along a scale of increasing plasticity, from trees to shrubs. Along this scale, species of the Leguminosae appeared to be separated from those of the Combretaceae, the latter being generally considered as characterising fallow farming systems. These results provide new evidence about the effect of phylogenetic constraints on the phenological behaviour of the woody species of the Sudanian savannas.RÉSUMÉ. La feuillaison, la floraison et la fructification des 24 espèces d'arbres et d'arbustes les plus représentatives des jachères et savanes soudaniennes de la région de Bondoukuy (Burkina Faso), ont été étudiées pendant 2 ans (mai 1992 à juin 1994). La défeuillaison est généralement brève et l'émergence des feuilles, la floraison et la fructification se produisent principalement pendant la saison sèche. Les comportements phénologiques varient cependant entre les individus et entre les espèces. Une classification prenant en compte le degré de synchronisme ainsi que la durée de la feuillaison, de la floraison, de la maturation des fruits et de la dispersion des graines a permis de comparer la plasticité phénologique des espèces. Celles-ci sont distribuées selon un gradient de plasticité croissante des arbres aux arbustes. Sur ce gradient les Légumineuses se dissocient des Combrétacées, espèces qui sont par ailleurs généralement considérées comme caractéristiques des jachères. Ces résultats sont une nouvelle illustration de l'effet des contraintes phylogénétiques sur le comportement phénologique des espèces ligneuses des savanes soudaniennes.
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Garba, Amadou, Abdou Amani, Soumana Douma, Abdoul Kader Soumaila Sina, and Ali Mahamane. "Structure des populations de Tamarindus indica L. dans la zone Sud-Ouest du Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 1 (April 3, 2020): 126–42. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i1.11.

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Abstract:
L’état des populations de Tamarindus indica L. des zones sud-ouest du Niger a été établi à travers l’analyse de leur structure demographiques. L’étude a été conduite dans les communes rurales du département de Torodi, région de Tillabéry et de Bana et Tanda du département de Gaya, région de Dosso. Les données ont été collectées au moyen des relevés floristiques et des mesures de diamètres à 1,30 m pour les arbres et à 20 cm pour les arbustes et par le comptage des individus ayant un diamètre inférieur à 5 cm (d > 5 cm). Les résultats obtenus montrent que les densités de l’espèce au niveau des trois sites sont faibles et comprises entre 1 à 10 individus /ha, avec un taux de régénération nul. Les distributions observées des structures en diamètres et en hauteur s’ajustent avec les distributions théoriques de Weibull. Les valeurs du paramètre de forme C, supérieures à 3,6 (C > 3,6) pour les structures en diamètres, caractérisent une distribution asymétrique négative ou asymétrique gauche, caractéristique des peuplements monospécifiques à prédominance d’individus âgés. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Mots clés: Tamarinsus indica, structure, populations, Niger English Title: Demographical structure of the Tamarindus indica L. in southwest of Niger (north Soudan) English Abstract The status of Tamarindus indica populations in southwestern Niger has been established through the analysis of their population structure. The current study was conducted in the rural district of Torodi province, Tillabéry Region and the rural district of Bana and Tanda of Gaya province, Dosso Region. Data have been collected by means of floristic sampling, and measuring diameters of 1.3 meter for trees and 20 centimeters for shrubs, and counting species with less than five centimer diameters (d > 5 cm). The results have revealed that the density of the species at the three sites is lower and between 1 to 10 species per acre. The structure distributions observed in terms of diameter and height are in lign with Weibull theoretical distributions. The form C parameter is superior than 3.6 (C > 3.6) for the diameter structures, characterize a negative asymmetric or left asymmetric distribution, characteristic of monospecific stands with a predominance of older individual. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Keywords: Tamarindus indica, structure, populations, Niger
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Saïdi, Slim, Dominique Louppe, and Sébastien Le Bel. "Approcher la densité des ligneux par l’indice perpendiculaire de végétation : cas d’une savane arborée au nord de la Tanzanie." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 337 (November 26, 2018): 39. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.337.a31629.

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Abstract:
Le domaine de Namalok (4 500 ha), situé au nord-est de la Tanzanie, a été protégé par TPC Limited, une société sucrière privée, pour en faire une réserve privée de faune et de flore. La végétation locale est constituée de savanes arbustives à Salvadora persica, de fourrés de Suaeda monoica et de savanes arborées plus au moins denses à Acacia xanthophloea, Faidherbia albida et Acacia tortilis. Afin de répondre à un objectif de gestion suite à la réintroduction de grands herbivores, la composition floristique de ces formations ligneuses a été étudiée en association avec une approche cartographique du degré d’accessibilité des formations ligneuses par les herbivores, exprimé en classes de densité établies selon l’indice perpendiculaire de végétation (IPV). Les résultats révèlent tout d’abord une corrélation très élevée entre la densité calculée des ligneux et l’IPV (r2 = 0,96) et confirment l’intérêt de l’approche proposée d’analyse d’images satellitaires. Dans une perspective plus locale, ils montrent aussi que, sur le plan floristique, les niveaux successifs des densités cartographiées sont composés de 70 espèces végétales et relèvent d’un fond floristique d’espèces pantropicales. Ces savanes montrent également une distribution spécifique relativement équitable et très diverse, avec des fréquences spécifiques voisines les unes des autres. Les savanes arborées représentent 38 % de la surface du domaine. Par ordre croissant de densité, les savanes de moins de 100 arbres/ha couvrent 836 ha, celles comptant 100 à 200 arbres/ha occupent 654 ha et celles ayant des densités de 200 à 300 arbres/ha sont assez peu importantes et n’occupent que 206 ha. Les savanes de densité supérieure à 300 arbres/ha représentent des étendues beaucoup moins vastes, soit seulement 22 ha.
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A. Dahounom, Aboudou,, and Koffi Koudouvo. "Enquête Ethnobotanique Sur Les Plantes Médicinales Utilisées Dans La Prise En Charge Traditionnelle Des Maladies Infectieuses Dans La Région Sanitaire Lomé-Commune Du Togo." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 21 (June 30, 2021): 46. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p46.

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Abstract:
Afin de promouvoir la Médecine traditionnelle togolaise (MTT), préserver/conserver des savoirs et savoir-faire endogènes, une enquête ethnobotanique a été menée de Mai 2018 à Juillet 2019 pour recenser les recettes de plantes aux propriétés anti-infectieuses vendues dans les marchés de la Région Sanitaire Lomé-Commune du Togo. ATRM(Achat en Triplet de Recettes Médicinales) a été la méthode de collecte des données. Les données recueillies qui portent sur les caractéristiques ethnopharmacologiques de ces recettes, ont été traitées et analysées avec des logiciels ethnobotaniques et statistiques appropriés afin de sélectionner quelques plantes pour de futurs tests de laboratoire. Cent deux (102) recettes d’association de plantes constituées par 68 espèces appartenant à 37 familles, ont été recensées. Annonaceae et Leguminosae-Caesalpinioideae (5 espèces chacune), Apocynaceae, Euphorbiaceae, et Leguminosae-Papilionoideae (4 espèces chacune), ont été les familles les plus représentées. Anacardiaceae, Euphorbiaceae, et Leguminosae-Mimosoideae, avec respectivement 129, 75 et 63 citations, ont été les familles dont les espèces sont plus citées. Arbres (39,71%), herbes (38,24%), arbustes (14,7%), lianes (2,94%), arbrisseaux (2,94%) et palmiers (1,47%) ont été les types biologiques d’appartenance de ces espèces. Suivant les valeurs usuelles (VU), Lannea kerstingii (VU=2,29), Bridelia ferruginea(VU=2,00) et Zanthoxylum xanthoxyloides(VU=1,82) ont été les espèces plus usuelles. Ecorce de tronc (53,57%), racine (16,13%), tige feuillée (6,9%), plante entière (6,65%), fruit (6,28%), et écorce de racine (6,04%) ont été les parties les plus utilisées des espèces recensées qui sont préparées par décoction (93.14%) et macération (6,86%) puis administrées exclusivement par voie orale. Bridelia ferrugiea et Chamaechrista rotundifolia ont été sélectionnées pour de futurs tests antimicrobiens. Ces résultats illustrent la richesse de la MTT en connaissances endogènes sur les plantes aux propriétés anti-infectieuses. In order to promote traditional Togolese medicine, to preserve and conserve endogenous knowledge and expertise, an ethnobotanical survey was carried out from May 2018 to July 2019 to record the recipes of plants with anti-infectious properties sold in the markets of the Lomé-Commune Health Region of Togo. ATRM (Achat en Triplet de Recettes Médicinales) was the data collection method. The data collected about the ethnopharmacological ethnobotanical and statistical software for selection some plants for future laboratory tests. One hundred and two associations of plant’s recipes composited by 68 species belonging to 37 families were identified. Annonaceae and Leguminosae-Caesalpinioideae(5 species each), Apocynaceae, Euphorbiaceae, and Leguminosae-Papilionoideae(4 specie each) were the most represented families while Anacardiaceae(129 citations), Euphorbiaceae(75 citations) and Leguminosae-Mimosoideae(63 citations) were family of the most cited species. Trees(39.71%), grasses(38.24%), shrubs(14.7%), lianas(2.94%), bushes(2.94%) and palms(1.47%) were the different biological types to which these species belonged. According to the Used value(UV) Lannea kerstingii(UV=2.29), Bridelia ferruginea(UV=2.00) and Zanthoxylum xanthoxyloides(UV=1.82) were the most usual species. Stem bark(53.57%), root(16.13%), leafy stem(6.9%), whole plant(6.65%), fruit(6.28%), and root bark(6.04%) were the most commonly used parts of the listed species. These recipes which are prepared by decoction (93.14%) and maceration(6.86%) are administered exclusively by oral route. Bridelia ferrugiea and Chamaechrista rotundifolia were selected for laboratory tests to evaluate their antimicrobial activities in future. Conclusion: These results illustrate the richness of traditional Togolese medicine in endogenous knowledge about anti-infectious’ medicinal plants.
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Truszkowska, Wanda. "Niektóre Pyrenomycetes znalezione na drzewach i krzewach [Quelques Pyrenomycetes observés sur les arbres et arbusteis]." Monographiae Botanicae 10, no. 2 (July 1, 2018): 49–63. http://dx.doi.org/10.5586/mb.1960.006.

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May, Thomas. "EFFETS CONTRASTÉS DES PRÉLÈVEMENTS DE BOIS SUR LA VÉGÉTATION DE FORÊT SÈCHE EN ZONE FRONTALIÈRE DOMINICO-HAÏTIENNE : COMMENT LES INTERPRÉTER ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 326, no. 326 (December 18, 2015): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.326.a31279.

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Abstract:
En Haïti, le bois de feu et le charbon végétal sont des sources importantes d’énergie domestique, et le prélèvement de bois à des fins énergétiques repré- sente un facteur de dégradation de la forêt sèche, en plus du parcours d’ani- maux domestiques (chèvres et vaches). En République dominicaine limitrophe, tandis qu’il y a trois décennies la situa- tion était similaire, les conditions ont aujourd’hui changé et les forêts sèches montrent des signes de régénération. Dans l’extrême sud de la ligne de fron- tière entre les deux pays, près d’Anse- à-Pitre et Pedernales, l’opportunité se présente de comparer l’état de la forêt sèche des deux côtés, dans des condi- tions géologiques et climatiques très semblables. Notre étude montre que le couvert des individus arbustifs et arborés et la hauteur des arbres sont plus élevés en République dominicaine, tandis que le nombre d’individus multicaules issus de régénération végétative est plus élevé en Haïti. En général, la composition spé- cifique est similaire des deux côtés de la frontière, mais des différences significa- tives apparaissent dans les fréquences et les valeurs d’abondance-dominance. Acacia scleroxylon, Amyris elemifera, Bursera simarouba, Capparis ferruginea et Guaiacum sanctum sont plus fréquents en République dominicaine, et Acacia macracantha, Senna atomaria, Phyllosty- lon brasiliense et les deux cactacées Pilo- socereus polygonus et Opuntia sp. sont au contraire plus fréquents en Haïti. Ces différences sont imputables à l’autécolo- gie des espèces (ex. : capacité de colo- niser les terrains perturbés, capacité de régénération végétative) plutôt qu’à des préférences dans leur utilisation comme bois de feu ou de charbon.
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Labelle, Claude, and Pierre J. H. Richard. "Végétation tardiglaciaire et postglaciaire au sud-est du parc des Laurentides, Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 3 (February 2, 2011): 345–59. http://dx.doi.org/10.7202/1000544ar.

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Abstract:
L’analyse pollinique des sédiments de trois lacs situés au sud-est du parc des Laurentides a permis de retracer les étapes de la recolonisation végétale post-wisconsinienne. Celle-ci s’est effectuée selon un schéma assez constant à travers le secteur à l’étude. Au début, la végétation était très ouverte, mais tout de même relativement riche en taxons herbacés et arbustifs. Cette phase initiale de végétation (sous-zone la) fut suivie, après une période de transition (sous-zone 1b), par une végétation luxuriante de type toundra (sous-zone 1c). Celle-ci fut à son tour remplacée par une végétation de type toundra arbustive (sous-zone 1d) où l’on voit s’accroître l’importance de Betula glandulosa et d’autres éléments arbustifs. Avec un certain métachronisme entre les sites, l’afforestation s’est amorcée par l’installation du Populus cf. tremuloïdes (sous-zone 2a) et s’est poursuivie par l’arrivée de Picea mariana (fin de la sous-zone 2a) puis, par celle d’une série d’arbres tels Betula papyrifera, Pinus cf. divaricata, Abies balsamea, Picea glauca et Larix laricina (sous-zone 2b). Pendant cette dernière phase de l’afforestation, l’abondance du pollen d’Alnus cf. crispa dans les spectres est maximale. Il semble qu’au moins mille ans se soient écoulés avant l’arrivée des arbres autres que le Populus cf. tremuloïdes. Par la suite, l’histoire de la végétation forestière (zone 3) a été plutôt monotone. Bien que les diagrammes révèlent des périodes de plus grande abondance de certains taxons (Pinus strobus, Picea mariana, Pinus et. divaricata), la majorité des arbres, présents actuellement dans la région, ont migré très tôt à l’Holocène.
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Rejeb, A., K. Allaf, and L. Hamrouni. "Notes physiologiques, ethnobotaniques et ethnophamacologiques sur Arbutus unedo (L.)." Phytothérapie 19, no. 3 (June 2021): 184–89. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2021-0269.

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Abstract:
Arbutus unedo, appelé aussi arbousier, est un arbuste à feuilles persistantes, très apprécié dans la région méditerranéenne, bien qu’il reste considéré jusqu’à présent comme un arbre fruitier sous-exploité. Grâce à ses nombreux intérêts, les ethnobotanistes, chimistes, nutritionnistes et anthropologistes s’y intéressent de plus en plus. Il s’agit d’une espèce de la famille des Erecaceae abondante surtout sur le pourtour du bassin méditerranéen, ainsi que dans les régions ayant un été chaud et un hiver doux et pluvieux. Dans une étude bibliographique ethnobotanique, nous présenterons brièvement l’espèce, puis nous exposerons les propriétés pharmacologiques de ses différentes parties ainsi que ses possibles domaines d’exploitation. En médecine traditionnelle, les fruits sont utilisés comme antiseptiques, diurétiques et laxatifs, tandis que les feuilles sont utilisées pour leurs propriétés diurétiques, antiseptiques urinaires, antidiarrhéiques, astringentes, dépuratives et antihypertensives. Le potentiel pharmacologique élevé a été démontré grâce aux analyses des différents extraits d’Arbutus unedo, lui conférant des pouvoirs : antifongique, antiparasitaire, antiagrégant, antidiabétique, antihypertenseur, anti-inflammatoire, antitumoral et antioxydant. En fait, la composition des fruits, des feuilles et des racines de cet arbuste révèle une espèce prometteuse pour l’industrie phytopharmacologique et devrait inciter les chercheurs à approfondir les études pour en créer de nouveaux médicaments.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Secondary Forests in Equatorial Africa Côte d’Ivoire - Cameroon - F. E. A." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31241.

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Abstract:
La « brousse secondaire » s’oppose à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Montagnini, Florencia, Beatriz Eibl, and Sara R. Barth. "Yerba maté biologique : un système agroforestier en phase avec l'environnement et l'économie sociale et financière." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20475.

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Abstract:
Le commerce de la yerba maté, Ilex paraguariensis Saint-Hilaire, est un négoce lucratif en Argentine, au Paraguay et au Brésil. Ses feuilles sont consommées comme du thé avec un marché en croissance aux États-Unis, en Europe et en Asie, car elles contiennent des antioxydants, sont énergisantes et constituent ainsi une alternative au café. Environ 5% de la superficie de la province de Misiones en Argentine sont consacrés à la production de la yerba maté. Beaucoup de paysans n'atteignent pas les rendements escomptés faute de techniques appropriées. La yerba maté en culture organique (sans intrants agrochimiques) peut atteindre un prix plus élevé pour les coopératives qui en font un de leurs produits. Tradition nel lement gérée en monoculture, son exploitation peut entraîner l'érosion et l'épuisement des sols. Toutefois, la yerba maté pousse en forêt subtropicale et tolère l'ombrage ce qui permet de la cultiver dans des systèmes agroforestiers (SAF). Cette étude examine les SAF avec la yerba maté en culture organique à l'aide d'interviews semi-structurées auprès des paysans de la province de Misiones, y compris les fermes familiales, les grandes fermes, les compagnies privées et les réserves. Un grand nombre d'espèces naturelles poussant en association avec la yerba maté ont été identifiées. Le travail supplémentaire requis par les pratiques de la culture organique est compensé par un meilleur prix de vente. Les SAF, associant yerba mate et arbres, améliorent la fertilité des sols sans recourir aux fertilisants tout en procurant des revenus supplémentaires. Pour cette association l'étude recommande les espèces locales suivantes: Balfourodendron riedelianum, Cordia trichotoma, Nectandra lanceolata, Bastardiopsis densiflora, Cedrela fissillis, Jacaranda micrantha, Araucaria angustifolia, et Ocotea puberula, du fait de leur développement monopodial et de leur capacité d'auto-élagage; ainsi que Tabebuia heptaphylla, Enterolobium contortisiliquum, Peltophorum dubium, Parapiptadenia rigida et Anadenanthera macrocarpa avec une couronne plus large; toutes ont une bonne croissance et un bois de qualité. Il est aussi suggéré d'introduire d'autres espèces arborées, herbacées et arbustives de valeur fruitière, médicinale ou ornementale, diversifiant les produits fermiers. Finalement, cette agroforesterie associant yerba maté et espèces locales va promouvoir la diffusion de cette plante en culture organique et diversifier les revenus en Argentine et ailleurs. (Résumé d'auteur)
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Dumont, André, Jean-Pierre Ouellet, Michel Crête, and Jean Huot. "Caractéristiques des peuplements forestiers recherchés par le cerf de Virginie en hiver à la limite nord de son aire de répartition." Canadian Journal of Zoology 76, no. 6 (June 1, 1998): 1024–36. http://dx.doi.org/10.1139/z98-030.

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Abstract:
Nous avons étudié les préférences hivernales d’habitat chez le Cerf de Virginie (Odocoileus virginianus) dans l'est du Québec. Dans ces conditions limites d'environnement, la mortalité hivernale par inanition peut dépasser 40% lors d’hivers rigoureux. Afin d'identifier les paramètres du milieu reliés à la répartition des cerfs, nous avons analysé la répartition des fèces et du broutement à partir d'inventaires réalisés aux printemps 1994 et 1995. Une analyse de régression multiple a retenules variables explicatives suivantes : le type de peuplement, le couvert en conifères (relation positive), la quantité de tiges arbustives feuillues disponibles (relation positive), le diamètre moyen des arbres d'espèces décidues (relation négative). Parallèlement, l'évolution de la fréquentation des peuplements par les cerfs durant l’hiver a été suivie par des relevés des pistes dans la neige. Les cerfs ont utilisé tous les types de peuplement au début de l'hiver mais ont préféré les peuplements mélangés à dominance de conifères et évité les peuplements de feuillus lorsque les conditions d'enneigement sont devenues plus contraignantes. Nous suggérons un aménagement de la forêt visant à favoriser la venue de peuplements mixtes destructure inéquienne possédant un couvert en conifères compris entre 50 et 80%, ce qui permettrait aux cerfs de trouver, au même endroit, abri et nourriture.
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Caballé, Guy. "Le port autoportant des lianes tropicales : une synthèse des stratégies de croissance." Canadian Journal of Botany 76, no. 10 (October 1, 1998): 1703–16. http://dx.doi.org/10.1139/b98-127.

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Abstract:
Les lianes sont des végétaux ligneux grimpants et non autoportants. Mais les lianes sont capables d'autoportance dans les trois situations suivantes : (i) sous conditions de milieu limitantes (lumineuses surtout); (ii) en phase juvénile du développement morphogénétique; (iii) lors des épisodes d'expansion, de renouvellement ou de restauration morphologique. L'autoportance peut concerner tout ou partie du système aérien, l'ensemble des tiges ou quelques tiges seulement. En général, lorsque l'autoportance et la non autoportance affectent plusieurs tiges d'un même système aérien, ces dernières s'opposent aussi par les fonctions biologiques qu'elles exerçent : asexuée et sexuée, sans accrochage et avec accrochage, établissement et exploration. Lorsque l'ensemble du système aérien est autoportant (situations (i) et (ii)), la liane a un mode de vie comparable à celui d'un petit arbre ou d'un arbuste. Une synthèse des données d'architecture anatomique et de stratégie de croissance est présentée. Elle porte sur quelque 40 sites forestiers d'Afrique, d'Amérique et de l'Océan Indien et plus de 400 espèces d'angiospermes tropicales lianescentes. Le polymorphisme des lianes, révélateur des contrastes de vie en milieu tropical, trouve son expression la plus accomplie dans l'opposition des deux modes de vie, autoportant et non autoportant. Sur un plan évolutif, les lianes pourraient représenter une forme ligneuse originale qui aurait conservé ou acquis ces deux modes de vie. Les contraintes de l'environnement et (ou) du développement morphogénétique stimuleraient selon les cas l'organisation autoportante ou non.Mots clés : liane, autoportance, non autoportance, architecture anatomique, mode de vie, polymorphisme.
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Mbayngone, Elisée, Serge Mélom, Ali Brahim Béchir, and Pierre Marie Mapongmetsem. "Structure et productivité en gomme des peuplements à Acacia senegal (L) Willd. et Acacia seyal Del. de Massenya au Tchad." Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 20 (December 20, 2017): 3–11. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.20.49.

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Abstract:
La connaissance du potentiel et de la productivité d'une ressource est une donnée nécessaire à l'élaboration d'une bonne politique de sa gestion. La structure et la productivité des peuplements à Acacia seyal Del. et à Acacia senegal (L) Willd.ont été étudiées dans les formations naturelles de Massenya au Tchad. Sur la base de 32 placeaux de 900 m2, le diameter et la hauteur de tous les individus d’espèces ligneuses ont été mesurés. Pour des espèces adultes à port arbustif, le diameter est mesuré à 50 cm du sol. Les individus juvéniles sont simplement comptés et ranges en classe de hauteur. L’étude de la structure des peuplements et de deux espèces d’Acacia a été réalisée à travers le nombre de tiges à l’hectare et les classes de diamètre. L’Indice de Valeur d’Importance (IVI) a été utilisée pour apprécier la prédominance des espèces sur le site. La productivité des peuplements en gomme a été évaluée en fonction de la production moyenne d’un arbre qui était de 250 g. Les peuplements à Acacia de Massenya sont très denses (619 ± 269 tiges/ha), mais à surface terrière faible (7,10 ± 1,20 m²/ha) due à un grand nombre d’individus de petit diamètre (11,1 ± 2,2 cm). Ce sont des peuplements généralement arbustif (hauteur de 5,2 ± 0,9 m) avec un bon potentiel de juvéniles (408 ± 267 tiges/ha) pouvant se régénérer naturellement. Toutefois, Acacia seyal semble plus apte à coloniser d’autres milieux qu’Acacia senegal. Sur les sept espèces qui prédominent sur le site, Acacia seyal et Acacia senegal réalisent des IVI plus élevés (respectivement 79 et 54). Les espèces à bon potentiel de régénération sont Acacia seyal (65 ± 8 juv./ha), Acacia senegal (58 ± 10 juv./ha) et Guiera senegalensis (51 ± 8 juv./ha). La production annuelle de gomme est estimée à 56 ± 6 kg/ha de gomme friable (à Acacia seyal) et 41 ± 5 kg/ha de gomme dure (à A. senegal).
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Richard, Pierre J. H., Alayn C. Larouche, and Guy Lortie. "Paléophytogéographie et paléoclimats postglaciaires dans l’ouest du Bas-Saint-Laurent, Québec." Géographie physique et Quaternaire 46, no. 2 (November 28, 2007): 151–72. http://dx.doi.org/10.7202/032900ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'analyse pollinique des sédiments de quatre lacs du Bas-Saint-Laurent et de la Côte-du-Sud permet de retracer l'existence d'une phase initiale de toundra s'étendant sur une durée estimée à 500-1000 ans, après à la déglaciation. Cette toundra montre un développement progressif à partir d'un quasi-désert jusqu'à un stade arbustif à bouleau glanduleux, en passant par un stade herbacé riche en plantes arctiques-alpines dont la présence est confirmée par l'analyse macrofossile. L'accumulation organique dans les lacs ne survient que vers 9500-9200 BP, soit plus de 2000 ans après la déglaciation, et correspond à l'arrivée des premiers arbres, d'après les macrorestes. Le tardiglaciaire régional paraît donc avoir été climatiquement très rigoureux par rapport aux régions sises au sud-ouest et au sud, dans les Appalaches. Les forêts sont restées ouvertes jusque vers 8000 BP, constituées surtout de l'épinette noire, des peupliers, du mélèze et du bouleau blanc. La zone pollinique correspondante est dominée par l'aulne crispé, qui a dû jouer un rôle important dans le couvert végétal durant une période caractérisée par une forte incidence des feux. Par la suite, la végétation moderne s'est établie, soit une mosaïque de sapinières et d'érablières avec sensiblement les mêmes séquences physiographiques et les mêmes gradients phytogéographiques régionaux que ceux actuellement constatés dans ce secteur des Appalaches. Les cédrières tourbeuses et les sapinières humides à thuya répandues actuellement dans les basses terres estuariennes et à la marge nord du plateau appalachien ne se sont toutefois développées que vers 3600 ans avant l'actuel. L'Optimum climatique holocene n'est clairement marqué que par une plus grande abondance du pin blanc de 7000 à 3600 ans BP, notamment à la marge nord du plateau appalachien.
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MAILLARD, D., and J. B. CASANOVA. "Appétence du cerf de Corse (Cervus elaphus corsicanus) pour des arbres, arbustes et arbrisseaux méditerranéens." Mammalia 58, no. 3 (1994). http://dx.doi.org/10.1515/mamm.1994.58.3.371.

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Sikuzani, Yannick Useni. "Analyse spatio-temporelle des dynamiques d’anthropisation paysagère le long du gradient urbain-rural de la ville de Lubumbashi (Haut-Katanga, République démocratique du Congo)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 342 (November 15, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.342.a31725.

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Abstract:
Depuis le début des années 2000, la ville de Lubumbashi, au sud-est de la République démocratique du Congo, connaît une importante croissance démographique qui n'est malheureusement pas contrôlée. Il en résulte une expansion spatiale urbaine rapide et anarchique, tandis que les besoins alimentaires et énergétiques sont insuffisamment satisfaits. Comme corollaire, une importante détérioration de l’environnement est manifeste dans la région de Lubumbashi. À partir de la télédétection couplée aux outils d’analyse paysagère et de l’approche du gradient urbain-rural, la présente thèse a été initiée en vue de cerner la situation actuelle de la croissance spatiale urbaine à Lubumbashi et d’évaluer les impacts écologiques négatifs qui en résultent à multiples échelles spatiales. Les résultats ont révélé une nette progression du tissu urbain à toutes les échelles spatiales étudiées (plaine de Lubumbashi, ville et communes). Une périurbanisation importante de la ville a été relevée, mais aussi une densification du bâti entre 0 et 8 km du centre-ville. Dans la zone rurale, l’impact négatif de l’urbanisation s’est matérialisé par une importante diminution de l’aire de la forêt claire de miombo, dont l’ampleur augmente sur des courtes distances à la ville. Au sein de la zone (péri)urbaine, l’expansion du bâti a entraîné la dissection, la fragmentation et la suppression des espaces verts, entre autres les forêts (péri)urbaines. La création d’espaces verts boisés (péri)urbains n’a pas compensé l’ensemble de la perte enregistrée sur toute la période étudiée (1989-2014). Le long du gradient urbain-rural, l’aire des lambeaux d’espaces verts augmente de la zone urbaine vers la zone périurbaine, parallèlement à la diminution de leur nombre. Sur l’ensemble des espaces verts résiduels et créés, les espèces végétales exotiques – certaines étant invasives – demeurent dominantes, ce qui constituerait une menace pour la conservation de la flore indigène. Cependant, s’agissant des espaces verts boisés de la zone (péri)urbaine, ce sont les arbres et arbustes de la forêt claire du miombo qui restent dominants. La présence de ces arbres et arbustes est considérée comme une preuve d'un certain degré d’intégrité ou de régénération de certaines taches originelles de la forêt claire de miombo.
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Ibrahima, A., and C. Abib Fanta. "Estimation du stock de carbone dans les faciès arborés et arbustifs des savanes soudano-guinéennes de Ngaoundéré, Cameroun." Cameroon Journal of Experimental Biology 4, no. 1 (July 15, 2008). http://dx.doi.org/10.4314/cajeb.v4i1.37970.

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