Academic literature on the topic 'Archéologie préhistorique – Méthodologie'

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Journal articles on the topic "Archéologie préhistorique – Méthodologie"

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Samaan, Mariam, Marc Pierrot-Deseilligny, Raphaële Héno, Cyril Montoya, and Sylvain Rassat. "La Photogrammétrie rapprochée pour la modélisation en 4D d'une structure archéologique." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 207 (July 6, 2014): 59–70. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2014.15.

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Abstract:
Depuis plusieurs années, la photogrammétrie numérique est devenue un outil important dans le domaine de l'archéologie. Les spécialistes de ce domaine reconnaissent que cette technique permet d'enregistrer et de documenter les structures archéologiques ou à plus grande échelle l'intégralité d'un chantier de fouille, de manière rapide, fiable et précise. Pour les sites préhistoriques notamment, il est très important d'enregistrer et de maitriser les différents niveaux de décapage de la fouille. Dans cet article, nous décrivons une méthodologie complète pour effectuer la numérisation photogrammétrique de structures archéologiques par un outil léger et à faible coût.La recherche expérimentale spécifique a eu lieu dans le cadre de la fouille programmée du site du Paléolithique supérieur de plein air "Le Colombier" à Chézy-sur-Marne (Aisne, France) dirigé par un des auteurs (C.M.). L'expérience s'est déroulée sur un foyer aménagé qui a été photographié à neuf étapes différentes du processus de décapage de la fouille. Des orthoimages à chaque étape ont été créées dans le but de produire un modèle 4D (intégrant le temps à la description photogrammétrique). En outre, des images numériques ont été acquises pour créer le modèle 3D complet.Des logiciels open source (Apéro / MicMac) ont été utilisés pour le géoréférencement et la corrélation dense. Ces procédures relativement standards conduisent à des cartes de profondeur, qui peuvent être représentées soit comme nuages de points 3D soit sous forme d'images en relief ombragé.En premier lieu, nous abordons une brève description du site, les outils et méthodes mises en œuvre. Dans un second temps, nous faisons le point sur les résultats obtenus avant de conclure sur les perspectives.
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Auger, Reginald, and Allison Bain. "Anthropologie et archéologie." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Abstract:
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.
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Dissertations / Theses on the topic "Archéologie préhistorique – Méthodologie"

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March, Ramiro Javier. "Méthodes physiques et chimiques appliquées à l'étude des structures de combustion préhistoriques : l'approche par la chimie organiques." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010611.

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Abstract:
Le sujet de cette thèse est la caractérisation des structures de combustion à partir de l'analyse de leur contenu en substances organiques, principalement les lipides, acides gras stéroïdes et alcanes. L'étude quali-quantitative de ces substances réalisée à partir des techniques d'extraction chimiques de la chromatographie gazeuse et de la spectrométrie de masse contribue à la compréhension des histoires respectives de chaque structure de combustion analysée et particulièrement à la définition des fonctions de chacune d'entre elles. Cette approche est complété par la caractérisât ion du contenu minérale des différents facies sédimentaires conformant les structures étudiées à partir de la spectrométrie d'absorption atomique, la fluorescence et la diffraction de rayons "x". Les structures de combustion analysées proviennent des divers sites archéologiques appartenant à des divers périodes et écosystèmes. Il s'agit du site de tunel I, site des chasseurs cueilleurs d'altitude de La Puna de Junin en Argentine, et des sites de chasseurs magdaléniens de Fontgrasse (vers-Pont du Gard), Etiolles (Essonne) et Pincevent (Seine et Marne) en France. Dans ces sites ont été développés diverses problématiques d'ordre diachronique ou synchronique d'analyse du contexte archéologiques mais toujours liées au problème de la relation entre forme et fonction des structures de combustion ainsi dans certains de ces sites l'analyse des structures de combustion est accompagné par l'analyse approfondi du contenu organique des sols d'habitat. Ce travail a permis de déterminer un certain nombre de signatures chimiques d'origine anthropique ou naturelle que permettent de définir l'origine animale et végétale ainsi que l'état de thermoaltération des substances naturelles contenues dans des foyers préhistoriques. On a déterminé aussi des phénomènes de conservation différentielle liées aux niches écologiques dans lesquels les sites étudiés s'inscrivent
The subject of this dissertation deals with the characterization of prehistoric fire structures by analysing of their organic substance, principally lipids, namely fatty acids, steroids and hydrocarbons. The qualitative and quantitative characterization of these substances by gaz chromatography and mass spectrometry contributes to the comprehension of the history of each fire structure and particularly to the definition of their fonctions. This approach is completed by the identification and characterization of different sedimentary facies contained into the fire structures by atomic absorption spectrometry, and x ray diffraction and fluorescence. The fire structures studied here stem from various archeological sites of different periods and ecosystems : tunel i, a marine hunter-gatherer site from the northern coast of the beagle channel and tomayoc, an altitude seasonary herders'site at the Puna of Junin, both in aArgentina and finally Fontgrasse (vers-Pont du Gard), etiolles (Essone) and Pincevent (Seine et Marne), magdalenian sites in France. In these sites one developped various problematics concerning synchronic or diachronic aspects of archeological sites but one specially stressed on the relations between form and fonction of fire structures. In some cases the study of fire structures is accompanied by the study of contemporary archeological soils, for instance Pincevent and Fontgrasse. This work allows us to define anthropic or natural chemical signatures which permit to identify animal or vegetal origine of natural substances
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Crabtree, Stefani Allison. "Trade, territoriality, alliances and conflict : complexity science approaches to the archaeological record of the U.S. southwest with a case study from Languedoc, France." Thesis, Besançon, 2016. http://www.theses.fr/2016BESA1021/document.

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Abstract:
Ce projet utilise l’analyse de réseaux et la modélisation à base d’agents pour examiner des sujets classiquement traités mais qui peuvent maintenant être abordés, grâce aux riches données rencontrées dans le sud-ouest du Colorado et en France méridionale : comment les Gaules et les marchands méditerranéens établissaient leurs partenariats économiques, comment la violence a pu façonner le développement de niveaux divers de leadership, et comment les premiers agriculteurs interagissaient avec leur environnement. Pour écrire cette thèse composée de trois études de cas différents, deux dans le Sud-Ouest des États-Unis et un en France méridionale, nous utilisons des outils élaborés par les sciences de la complexité pour mieux aborder comment les individus de la préhistoire surmontaient les défis liés à l’acquisition de ressources. La modélisation à base d’agents et l’analyse de réseaux (sociaux et trophiques) nous permettront de décrire les processus décisionnels et d’analyser comment le partage de stratégies au sein du groupe peut entraîner une plus grande aptitude des individus à agir au sein du groupe
This project utilizes network analysis and agent-based modeling to examine long-standing questions that can only now be asked with the rich data provided in southwestern Coloradoand southern France: how Gauls and colonists established economic partnerships, how violence may have shaped the development of multiple levels of leadership, and how earlyf armers interacted with their environments. Writing a dissertation composed of three distinct case studies, two from the U.S. Southwest and one from the south of France, I use tools developed in complexity science to better address how people in the past dealt with challenges related to resource acquisition. Agent-based modeling and network analysis (both social network analysis and trophic network analysis) will allow me to characterize human decision making processes and discuss how sharing of strategies within a group can lead to greater fitness of those in the in-group
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Murail, Pascal. "Biologie et pratiques funéraires des populations d'époque historique : une démarche méthodologique appliquée à la nécropole gallo-romaine de Chantambre (Essonne, France)." Phd thesis, Bordeaux 1, 1996. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00453414.

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Abstract:
La nécropole rurale gallo-romaine de Chantambre (Essonne) est un espace funéraire utilisé en continu de la fin du Ier siècle au début du Ve siècle A.C., dont la fouille exhaustive a livré près de 500 structures funéraires. Les rites de l'incinération et de l'inhumation coexistent au début de l'utilisation du site, l'inhumation devenant le rite exclusif par la suite. Ce travail a pour objectif de révéler certains aspects de la palethnologie funéraire et de la biologie de cette population à partir d'une analyse globale incluant les données archéologiques et l'analyse des vestiges osseux. Il comprend aussi une réflexion méthodologique portant sur la diagnose sexuelle et l'analyse de la répartition par âge des populations archéologiques. La structure par âge et par sexe de la population archéologique est assimilable à celle d'une population «naturelle», pouvant correspondre à l'ensemble d'une population vivante d'effectif estimé entre 50 et 80 personnes. Des pratiques funéraires liées à l'âge ont pu être mises en évidence, différenciant trois groupes (nouveaux-nés, enfants et adultes ― adolescents). Certaines pratiques funéraires évoluent au cours du temps, de manière progressive. Les analyses métriques, morphologiques et paléopathologiques ont apporté, outre des indications descriptives, des éléments en faveur d'une forte homogénéité de la population tout au long de l'utilisation de l'espace funéraire. L'ensemble des résultats obtenus contribue sensiblement à la connaissance du fonctionnement et de l'organisation des ensembles funéraires dans les campagnes gallo-romaines et apporte des éléments de discussion d'ordre historique sur les populations rurales du Haut et du Bas Empire
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Plutniak, Sébastien. "L’opération archéologique. Sociologie historique d’une discipline aux prises avec l’automatique et les mathématiques. France, Espagne, Italie, 2e moitié du XXe siècle." Thesis, Paris, EHESS, 2017. http://www.theses.fr/2017EHES0045.

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Abstract:
La seconde moitié du XXe siècle donna lieu à un accroissement des tentatives de redéfinir en termes opérationnels divers domaines de l'activité sociale tant scientifique, militaire, administratif ou industriel. Ces tentatives tirèrent parti des innovations scientifiques et techniques de la Deuxième Guerre mondiale, puis de la généralisation de l'automatique. Cette thèse en propose une sociologie historique, menée à partir du cas particulier de l’archéologie. Ce domaine scientifique fait alors l’objet d’efforts accrus de disciplinarisation et de professionnalisation. C’est également le cas des mathématiques appliquées puis de l’informatique : cette étude porte précisément sur les rapports établis à l’intersection de ces trois domaines. En France, au cours des années 1950 et 1960, les innovations méthodologiques et conceptuelles y ont été particulièrement importantes. Pourtant, par la suite, leur réception s’est révélée relativement mineure. En archéologie, les innovations relatives aux mathématiques appliquées, à la formalisation du langage et à l’automatique n’ont pas donné lieu au développement d’une spécialité fondée sur le calcul. Cette situation contraste avec celle d’autres disciplines ou d’autres pays, et ceci alors même que les redéfinitions théoriques et méthodologiques de la « New Archaeology » anglophone se diffusaient à l’échelle internationale. La thèse explore les cas de trois entreprises collectives, menées respectivement autour de Georges Laplace, Jean-Claude Gardin et Jean Lesage, entre France, Espagne et Italie. Ces cas sont complétés par ceux d’un ensemble d’acteurs ayant été à la fois ingénieurs et archéologues. D’un point de vue général, cette étude porte sur les statuts cognitifs et sociaux des contributions méthodologiques dans l’activité scientifique. Trois modèles de relations entre spécialistes d’un domaine scientifique et spécialistes des sciences formelles sont identifiés et décrits. Les transformations entraînées par l’introduction des mathématiques et de l’automatique dans la division du travail et la distribution des formes de reconnaissance sont analysées. La réception de ces propositions méthodologiques est discutée à l’aune de différents facteurs et modèles de l’innovation scientifique. Ce sont, au final, des éclairages nouveaux sur le développement de l’archéologie de sauvetage puis préventive et sur la genèse des recours aux technologies « numériques » en sciences de l'homme qui sont proposés.L’analyse tire parti de 82 entretiens, 23 fonds d’archives et de plusieurs jeux de données bibliométriques (pré-existants ou constitués pour cette étude). En écho aux travaux pris pour objets, cette thèse entend également être une proposition et une illustration d’un usage possible de la formalisation et de l’informatique en sciences sociales. Fondées sur l’emploi d’un wiki et les principes de la programmation lettrée et de la reproductibilité des analyses, les architectures documentaire et démonstrative de cette étude font elles-mêmes l’objet d’une analyse
During the second half of the 20th century, attempts were made to operationally redefine various social activities, including those related to science, the military, administration and industry. These attempts were aided by scientific and technical innovations developed in the Second World War, and subsequently by the increase in use of automation in various domains. This Ph.D. thesis addresses these attempts from a sociohistorical perspective, focusing on the specific case of archaeology. During this period, the domain of archaeology underwent a process of disciplinarisation and professionalisation. The same occurred in applied mathematics and then computer science: this thesis focuses on the relationships between these three domains. In France, during the 1950's and 1960's, there were significant methodological and conceptual innovations. Their subsequent scientific recognition, was, however, relatively minor. In archaeology, innovations related to applied mathematics and automatics did not lead to the emergence of an archaeological speciality based on computation. This situation was in striking contrast to what happened in other scientific domains and in archaeology in other countries, where new theoretical and methodological Anglophone definitions in ‘New Archaeology’ were spreading worldwide.This thesis explores three collective attempts to redefine the conceptual and methodological basis of archaeology, led by Georges Laplace, Jean-Claude Gardin and Jean Lesage, across France, Spain and Italy. These cases are completed by other people who had significant careers in both engineering and archaeology. In general, this thesis studies a scientific activity by investigating the cognitive and social aspects of peoples’ methodological contributions. Three models of the relationships between experts in a scientific domain and experts in an applied science (here mathematics and computing) are empirically identified and described. The effects of introducing mathematical and automation procedures on the division of labour and the distribution of recognition are analysed. The success or failure of the methodological propositions are discussed with reference to several factors and models of scientific innovation. This thesis generates new information on the development of rescue and preventive archaeology and on the use of digital technologies in human sciences.The analysis draws on 82 interviews, 23 archives and several bibliometric datasets (extracted from pre-existing databases or constructed for the purpose of this research). Mirroring the archaeological propositions under study, this research also intends to illustrate the possible use of computing and formalised procedures in social sciences. The documentation and demonstrative principles underlying this work, implemented by using Wiki, the methods of literate programming and reproducible research, are themselves analysed
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Chabot, Jacques. "Étude des artéfacts en pierre taillée découverts à tell 'Atij et Tell Gudeda en Mésopotamie septentrionale (Syrie du nord-est, âge du bronze ancien : 3000-2500 av. J.-C.)." Doctoral thesis, Université Laval, 1998. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28495.

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Solazzo, Caroline. "Archéologie biomoléculaire : des lipides aux protéines, approche méthodologique et étude de cas : la protéomique comme nouvelle méthode d'investigation des protéines archéologiques." Lille 1, 2007. https://pepite-depot.univ-lille.fr/RESTREINT/Th_Num/2007/50376-2007-335.pdf.

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Abstract:
L'archéologie biomoléculaire est une discipline qui cherche à étudier les molécules anciennes par les moyens de chimie analytique et de biochimie afin d'apporter une meilleure compréhension des objets et matériaux du passé. En visant les biomolécules, les méthodes employées permettent de remonter aux espèces animales utilisées en contexte archéologique. Deux thèmes de recherche ont été abordés dans cette étude: (i) l'analyse de résidus organiques archéologiques provenant de tessons de céramiques et autres objets de culture Esquimaude et Inuit, venant essentiellement des côtes de l'Alaska Arctique et Subarctique, (ii) l'identification de fibres textiles retrouvées en association avec deux objets de bronze (~100 AD) en Mongolie. Les analyses lipidiques ont été effectuées dans le cas (i) et bien qu'elles ont montré leurs limitations lors de l'identification précise des espèces, ces analyses permettent une évaluation de la composition des résidus, leur origine, utilisation et état de préservation. Les analyses protéomiques ont été réalisées dans les cas (i) et (ii) et ont permis: (i) le séquençage de peptides dans une céramique Ifiupiat pour la première fois grâce à l'utilisation combinée de la chromatographie liquide à faible débit, d'une source nanoElectrospray à faible flux et de la cellule ICR (nanoLC nanoESI-hQh-FT-ICR MS/MS) permettant une détection à très haute résolution en masse des peptides, identifiant sans ambiguité la présence de myoglobine de phoque et de sérum albumine dans l'extrait protéique obtenu par broyage d'un tesson de céramique; et (ii) l'identification des espèces (chèvre/mouton, chameau) utilisées dans la confection d'une laine vieille de 2000 ans révélée par une empreinte peptidique très intense (par MALDI-TOF-MS) et des marqueurs caractéristiques de l'espèce, même dans un état de dégradation très avancée des fibres textiles.
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Lemort, Sophie. "Analyse spatiale intrasite de l'habitat : méthodologie, procédures et études de cas : les sites protohistohistoriques de Bucy-le-Long "la Foselle" 'Aisne, Néolithique ancien), et de Changis-sur-Marne "les Pétreaux" (Seine-et-Marne, Âges du Bronze et du Fer)." Thesis, Paris 1, 2018. http://www.theses.fr/2018PA01H079.

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Abstract:
L’analyse spatiale intrasite de l’habitat ne permet pas de recourir à un modèle général d’étude, applicable à n’importe quel site archéologique. Pourtant, plusieurs d’entre eux ont des profils semblables d’implantation de l’habitat. Peut-on donc envisager de rechercher des protocoles d’analyse qui soient transposables sur des sites d’habitat couramment rencontrés ? C’est l’objet de la présente étude à partir d’une démarche exploratoire, sur deux sites d’habitat protohistoriques. Sur le site rubané de Bucy-le-Long « la Fosselle », l’analyse se concentre sur la distribution spatiale des vestiges mobiliers au sein d’unités architecturales comparables. L’analyse des données est employée pour déterminer les différents paramètres d’étude. Le potentiel informatif des unités d’habitation, établi selon des critères morphologiques et taphonomiques, est évalué et confronté au potentiel archéologique, déterminé à partir de la richesse du mobilier et des différentes catégories d’artefacts. L’analyse globale intrasite est envisagée en regroupant les mobiliers par catégorie fonctionnelle et pour mettre en évidence des assemblages significatifs de vestiges selon les habitations. Ils permettent ainsi de caractériser et sectoriser les ensembles signifiants d’activités vivrières et d’activités techniques à l’échelle du site, à partir d’un partitionnement des maisons. Le site de Changis-sur-Marne « les Pétreaux » connaît une longue occupation du Bronze final à la Tène ancienne, ce qui rend la lecture des implantations difficiles à démêler. L’analyse spatiale est tout d’abord tentée sur des groupes de structures établies lors des travaux de terrain. Puis, la répartition du mobilier est étudiée à plusieurs échelles d’observation. Cependant, il apparaît que ces premiers découpages ne reflètent pas des groupements d’établissements ruraux significatifs. Un partitionnement des structures au sein d’entités spatiales plus restreintes est alors envisagé à partir de la recherche d’agrégats, mis en évidence par l’analyse spatiale de semis de points. La dynamique d’occupation du site est de ce fait plus aisément perceptible. Les deux études de cas sont pour finir confrontées à d’autres études spatiales menées sur des sites d’habitat. Il apparaît qu’aux côtés des vestiges mobiliers très régulièrement pris pour référence dans l’analyse spatiale intrasite de l’habitat, les vestiges immobiliers trouvent toutes leurs places
Intra-site spatial analysis of settlement does not allow use of general model applicable to any archaeological site. However some items have similar habitat settlement profiles. Can we consider looking for protocols transposable to usual settlement sites? The purpose of this study is based on an exploratory approach, on two protohistoric settlements. On the Bandkeramik site of Bucy-le-Long "la Fosselle", the analysis focuses on spatial distribution of the material remains within comparable architectural units. Data analysis is used to determine different study parameters. The informative potential of housing units, established according to morphological and taphonomic criteria, is evaluated and compared with the archaeological potential, determined from the richness of the furniture and the different categories of artifacts. The global intra-site analysis is made by grouping the furniture by functional category, to highlight significant assemblages of vestiges according to the dwellings. They allow to characterize and to segment the significant sets of food and technical activities at the site scale, based on houses partitioning. The site of Changis-sur-Marne "les Pétreaux" having suffered a long occupation from the Late bronze to the Early la Tène period, lead to a difficult reading of the settlements. During excavation spatial analysis is tried on structures groups. Then, the distribution of furniture is studied at various observation scales. However, those first divisions do not reflect groups of obvious rural settlements. A partitioning of the structures within smaller spatial entities is then engaged starting from the search for aggregates, highlighted by the space-time hot spot analysis. The dynamic of occupation of the site is thus more easily perceptible. Two case studies are finally challenged with other spatial studies about settlement sites. In addition to the material remains commonly seen as reference in the intra-site spatial analysis of settlement, archaeological structures find all their places
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Papageorgiou, Paraskevi. "La conservation-restauration en archéologie : stratégie et gestion du mobilier." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010605.

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Abstract:
Ce travail a pour objectif d' élaborer une démarche stratégique pour la conservation-restauration du mobilier archéologique. Il propose une méthodologie et l'applique. La problématique se dégage des caractéristiques du fait patrimonial, du caractère et des valeurs du matériel archéologique et des spécificités de la conservation-restauration. La méthodologie proposée identifie trois axes de données nécessaires : les valeurs du mobilier, son état et ses conditions de conservation, et les ressources et impératifs des projets archéologiques. Le processus se déroule par étapes d'évaluations et de hiérarchisations, et des paliers cumulatifs d'interventions sont définis. Ils fondent les choix stratégiques qui sont modulables selon les ressources des projets. L'application de cette méthodologie à deux études de cas grecques, le mobilier des fouilles de Pousi Ledi et de Dispilio, montre comment les stratégies de conservation-restauration peuvent être mises en place et évaluées.
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Jordana, Fabienne. "Fracturation sur os frais ou sur os sec de la voûte crânienne : approche méthodologique et application archéologique." Thesis, Bordeaux 1, 2010. http://www.theses.fr/2010BOR13984.

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Abstract:
Etablir le diagnostic différentiel entre des fractures réalisées sur os frais de celles produites sur os sec permet, quelle que soit la période chronologique considérée, une approche interprétative relative à l’attitude comportementale humaine qu’ils s’agissent des relations au sein d’un groupe ou face à une autre population, ainsi que les gestes réservés aux morts. Ainsi peuvent être envisagés le cannibalisme, des comportements de violence, ou des pratiques funéraires originales. Si certaines méthodes analytiques existaient pour le squelette infracrânien, aucun référentiel permettant de différentier les fractures sur os frais (intentionnelles ou non) des cassures sur os secs n’est actuellement disponible pour le squelette crânien. Notre objectif de recherche s’est donc concentré sur un essai de détermination des critères statistiquement valides de distinction du moment de fracturation sur os fossiles. Une partie importante de ce travail est consacrée aux études expérimentales menées pour tenter de distinguer une différence de comportement mécanique entre une fracture réalisée sur os frais de celle réalisée sur os sec (essais mécaniques, rugosimétrie confocale, microtomographie ou numérisation des pièces osseuses). Puis, les critères de la médecine légale sont discutés à partir d’échantillons osseux provenant de séries archéologiques différentes d’un point de vue chronologique et géographique et relevant de problématiques différentes. Il ressort de ce travail que très peu de critères pris individuellement sont suffisamment pertinents pour différencier fracturation sur os frais et fracturation sur os sec (décollement de la lame corticale). Ils doivent toujours être discutés à l’échelle d’une série archéologique et non sur un échantillon isolé, seul ou sorti de son contexte. Dans le meilleur des cas, ils nous permettent de proposer des hypothèses (cannibalisme, pression des sédiments…) qui devront être corroborées en fonction du contexte archéologique et anthropologique par une analyse interdisciplinaire
Establishing a differential diagnosis between fresh bone fractures and dry bone fractures allows, whatever the chronological period considered, an interpretative approach relating to the human behaviours within a group or another population, as well as the deaths gestures. Thus, cannibalism, violent behaviours, or original funerary practices can be considered. If some analytical methods existed for the infracranial skeleton, no references allowing for the differentiation between fresh bone fractures (intentional or not) and dry bone breaks were available for the cranial skeleton. Thus, our research objective concentrated on a determination trial of statistically valid criteria that distinguished the fracturing moment on fossil bones. An important part of our work concerned experimental studies undertaken to distinguish a mechanical behavioural difference between fresh bone fractures and dry bone fractures (mechanical tests, rugosimetry, microtomography, or bone pieces digitalization). Forensic medicine criteria was also discussed with osseous samples coming from different archeological series that were taken from chronological and geographical points of view and used to represent each different problem. It appears that there exist very few criteria taken individually that are sufficiently relevant to differentiate fracturing on fresh bone and fracturing on dry bone (delamination). They must always be discussed on an archeological series scale and not on an isolated sample, either alone or taken out of context. In the best of the cases, they enable us to propose assumptions (cannibalism, pressure of the sediments…) that will have to be corroborated according to the archaeological and anthropological context by an interdisciplinary analysis
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Dupont-Delaleuf, Armance. "Styles techniques des céramiques de la protohistoire en Asie centrale : méthodologie et études de cas." Thesis, Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100190/document.

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Abstract:
L’Asie centrale constitue géographiquement et historiquement un vaste ensemble injustement méconnu. Il s’agit pourtant d’un territoire immense autrefois encadré par les brillantes civilisations de l’Indus et de la Mésopotamie. Depuis le Néolithique, cette région a été au centre de migrations de populations et elle a servi de carrefour pour la circulation des objets finis et des matières premières. La poterie constitue à sa manière un autre ensemble tout aussi vaste. Elle est devenue le témoin de référence des archéologues travaillant sur des périodes sans écriture. Par l’analyse des formes, des décors, des pâtes et des techniques, ils en ont fait le plus loquace des artefacts. Depuis de nombreuses années, l’analyse des données techniques s’est fortement développée grâce à l’élaboration des référentiels actualistes que sont l’ethnographie ou l’expérimentation. Cependant, l’approche technologique n’a que peu eu l’occasion de franchir la frontière mouvante de l’Asie centrale. Ce travail constitue donc une première rencontre entre ces deux titans. Ulug-Depe est un site important dans la mesure où il a livré la plus longue chrono-stratigraphie d’Asie centrale, allant du Chalcolithique à l’âge du Fer. Ce site est devenu prétexte à une étude technologique sur le temps long, étude à laquelle se mêle naturellement le regard du potier. La question de l’émergence et du développement des méthodes faisant intervenir le mouvement rotatif trouve ici un terrain favorable pour aborder ces questions sur le temps long et pour effleurer les implications sociales et anthropologiques de cette innovation
Central Asia is geographically and historically a large area unfairly overlooked. Yet, it is a huge territory formerly framed by the brilliant civilisations of the Indus and Mesopotamia. Since Neolithic, this region was the centre of population migrations and was a crossroad for the circulation of finished artefacts and raw materials.The pottery is in its way another set equally wide. It has become the reference artefact archaeologists working on for the periods without writing. For the analysis of forms, sets, clay and techniques, they constitutedthe artefact the most talkative.For many years, the techniques analysis strongly developed through the development of actualist frame of referencesuch as ethnography and experimentation. However, the technological approach has had a little opportunity to cross the Central Asia moving border. This work is the first meeting between those two giants. Ulug-Depe is an important site since it delivered the longest chrono-stratigraphy of Central Asia, from the Chalcolithic to the Iron Age. This site has become a pretext for a technological study on the long term, study that naturally blends the look of the potter. The question of the emergence and development of methods involving the rotary motion found here a fertile ground to address these issues in the long term and touch the social and anthropological implications of this innovation
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Books on the topic "Archéologie préhistorique – Méthodologie"

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Prehension and hafting traces on flint tools: A methodology. Leuven: Leuven University Press, 2010.

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C, Anderson Patricia, ed. Traces et fonction: Les gestes retrouvés : actes du colloque international de Liège, 8-9-10 décembre 1990. Liège: Service de préhistoire, Université de Liège, 1993.

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