Academic literature on the topic 'Architecture mycénienne'

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Journal articles on the topic "Architecture mycénienne"

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Jaeger, Mateusz. "The stone fortifications of the settlement at Spišský Štvrtok. A contribution to the discussion on the long-distance contacts of the Otomani-Füzesabony culture." Praehistorische Zeitschrift 89, no. 2 (2014): 291–304. http://dx.doi.org/10.1515/pz-2014-0020.

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Abstract:
Zusammenfassung: In den letzten Jahrzehnten nahm die Siedlung von Spišský Štvrtok eine wichtige Rolle in der Debatte über jene Fernbeziehungen ein, die die Welt der mykenischen Kultur mit Mitteleuropa verbanden. Obwohl die Ergebnisse der Ausgrabungen auf dem Gelände noch immer nicht in ihrer Gesamtheit veröffentlicht sind, postulierte der Ausgräber J. Vladár eine Übereinstimmung der Steinmauern und Bastionen mit solchen mykenischer Architektur und fand für diese Thesen wissenschaftlichen Zuspruch. Im vorliegenden Artikel wird der Annahme jedoch widersprochen. Die Befestigungen von Spišský Štvrtok werden in einem vergleichenden Ansatz diskutiert und Siedlungsstrukturen gegenübergestellt, die aus der Otomani-Füzesabony-Kultur und der mykenischen Kultur bekannt sind. Der Autor zeigt im Vergleich mit weiteren Befunden bronzezeitlicher Verteidigungsarchitektur die Alleinstellung der vorliegenden Anlage. Die dabei sichtbar werdenden Unterschiede rechtfertigen die Notwendigkeit, nach alternativen chronologischen Ansätzen für die steinerne Befestigungsanlage von Spišský Štvrtok zu suchen. Résumé: L’habitat fortifié de Spišský Štvrtok a joué un rôle important au cours des dernières décennies dans le débat sur les relations à longue portée entre le monde de la civilisation mycénienne et l’Europe centrale. Quoique les résultats des fouilles de ce site n’aient pas été entièrement publiés, les opinions de leur auteur, J. Vladár, proposant que les murs et bastions en pierre encerclant le site démontrent des affinités avec l’architecture mycénienne, ont largement été acceptées. L’auteur du présent article conteste cette thèse. Les fortifications de Spišský Štvrtok font ici l’objet d’une approche comparative, les confrontant à d’autres structures d’habitat appartenant à la culture d’Otomani-Füzesabony et à la civilisation mycénienne. L’auteur démontre ainsi le caractère distinct de Spišský Štvrtok par rapport aux modèles courants de l’architecture de l’âge du Bronze. Cette disparité demande un autre modèle pour expliquer la chronologie des fortifications en pierre sur le site en question. Abstract: In recent decades, the settlement at Spišský Štvrtok played an important role in the debate concerning the long-distance relationships linking the world of the Mycenaean civilisation with Central Europe. Although the findings of the excavations at the site have not been published in their entirety, the views of its excavator, J. Vladár, who suggested that the site’s stone walls and bastions bore a similarity to Mycenaean architecture, have been widely accepted. In this article, the author challenges this thesis. The Spišský Štvrtok fortifications are discussed in a comparative approach, set against other settlement structures known from the Otomani-Füzesabony culture and the Mycenaean culture. The author demonstrates the apparent distinctiveness of Spišský Štvrtok when compared with the known models of Bronze Age defensive architecture. The disparity justifies the need to seek an alternative explanation for the chronology of the stone fortifications at the site in question.
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Dissertations / Theses on the topic "Architecture mycénienne"

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Darcque, Pascal. "L'habitat mycénien." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010568.

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Abstract:
Afin de présenter les édifices construits en Grèce continentale à l'époque mycénienne, on a rassemblé toutes les données concernant les 97 sites ou, dans le Péloponnèse, en Grèce centrale et en Thessalie, l'on a fouillé des murs datables de l'helladique récent (15501025 avant J. -C. , selon la chronologie basse). On décrit les dimensions de 183 édifices, de 600 pièces, le mobilier directement associé à chaque pièce, les matériaux et techniques de construction. À partir de ces données, on distingue deux modes de construction. Un mode de construction simple fait appel aux matériaux et aux techniques utilisés en Grèce continentale depuis, au moins, le début de l'âge du bronze. Un mode de construction complexe emprunte certaines techniques aux minoens : préparation du terrain, usage de la pierre de taille, murs et sols revêtus avec des enduits décorés, seuils monolithes, supports et étage. Les traits architecturaux, les aménagements et le mobilier permettent de présenter les principales activités identifiables dans chaque pièce : stockage, entreposage, fabrication, administration, pratiques religieuses, etc. En combinant la répartition des traits architecturaux et du mobilier avec les dimensions et l'aspect des édifices, on peut définir trois familles. Les palais se caractérisent par des dimensions supérieures, par un mode de construction complexe et comportent un noyau architectural stéréotypé. Les maisons, de dimensions modestes, sont construites simplement et fonctionnent comme des abris polyvalents. Des édifices intermédiaires, plus monumentaux et de construction plus complexe que les maisons, et dont le mobilier est souvent comparable à celui trouvé dans les palais, s'inscrivent, à Mycènes, Tirynthe, Pylos et Thèbes, dans la sphère palatiale. Le système palatial mycénien ne semble pas avoir debordé de l'argolide, de la Méssenie et de la Béotie. Les techniques et les formes mycéniennes ne se sont pas diffusées en dehors de la Grèce continentale
In order to present the buildings of continental Greece during the mycenaean period, we have gathered all the information concerning 97 sites where, in the Peloponnese, in central Greece and in Thessaly, datable walls of the late helladic period (1550-1025 bc, according to the lower chronology) have been excavated. We have described the size of 183 buildings, 600 rooms, the archaeological data directly associated with each room, the materials and construction techniques. From this information, we distinguished two types of constructions. The simple type makes use of materials and techniques present in Greece since, at least, the beginning of the bronze age. A more complex construction type borrows certain techniques from the minoans : landscape conditioning, use of ashlar, walls and floors with decorated plaster, monolithic thresholds, supports and upper floors. The architectural characteristics, the floor-plan and the furnishings inform us of the main activities of each room: storage, fabrication, administration, religious activities, etc. By combining the distribution of architectural pecularities and furnishings with the size and aspect of the buildings, three types can be defined. The palaces are characterized by larger dimensions, a complex mode of construction and a stereotyped architectural nucleus. Houses, of modest dimensions, are simply built and operate as polyvalent shelters. Intermediate buildings, which are more monumental and of more complex construction than houses, with furnishings often comparable to that of the palaces, are associated, at Mycenae, Tiryns, Pylos and Thebes, with the palatial sphere. The Mycenaean palatial system does not seem to have extended beyond the Argolid, Messenia and Boeotia. Mycenaean techniques and shapes are not diffused outside of continental Greece
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Lamaze, Jérémy. "Les édifices à foyer central en Egée, à Chypre et au Levant de la fin de l'âge du bronze à l'Archaïsme (XIIe-VIe s. av. J.C.) : I, Texte." Thesis, Strasbourg, 2012. http://www.theses.fr/2012STRAG023.

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Abstract:
Cette étude vise à analyser une série d’édifices connus sous le nom de « temples à foyer central » en Égée, à Chypre et au Levant, de la fin de l'Âge du Bronze à l'Archaïsme. Il s'agit essentiellement d' une étude architecturale et artefactuelle portant sur un type de construction souvent interprété comme l'habitat des élites durant la période dite des « Âges obscurs ». La présence d'un foyer-autel, comme point focal du culte, au sein de ces constructions, invite à considérer qu'ils ont un rôle non négligeable dans la genèse du temple grec. D’un bout à l’autre de notre cadre d’étude, ces édifices témoignent de salles de banquets destinées aux rituels des élites, dont l’action centrale réside dans la pratique du sacrifice animal. Ces pièces, souvent multifonctionnelles à plus d’un titre, donnent naissance aux premiers « temples des citoyens » dans le contexte des poleis crétoises. Ces testimonia se trouvent ici répertoriés dans un catalogue exhaustif, prenant en compte également les objets qui y étaient associés. La réflexion s’organise autour d’une première partie qui permet de remettre en question la nomenclature qui sert à l’analyse de ces monuments, avant de traiter la question des antécédents de cette forme architecturale à la fin de l’Âge du bronze pour chaque aire géographique concernée. Le chapitre suivant examine la dimension symbolique du feu dans ces civilisations, incarné dans l’Antiquité grecque par Hestia, la déesse du foyer, ainsi que son rôle sur le plan des institutions politiques (andreia, prytanées, etc.). La question des phénomènes d’influences, de syncrétismes religieux entre ces différentes régions de la Méditerranée est explorée dans le chapitre suivant, tant sur le plan de la culture matérielle (exotica, influences architecturales) que des croyances religieuses. Enfin un chapitre synthétise l’ensemble des données et des problématiques architecturales liées à ces édifices, auquel correspond une série de tableaux
The aim of this study is to investigate a series of edifices found in the Aegean, on Cyprus and in the East dating from the end of the Bronze Age through to the Archaic Period and collectively referred to as ‘Hearth Temples’. The study is centered on an evaluation of the architecture and artefacts relating to a type of building often thought to have constituted elite housing from the so- called Dark Ages. The presence of a hearth/altar in the centre of these constructions, which served as a religious focal point, suggests that they played a significant role in the genesis of the Greek temple. Within the timeframe of this study, these buildings display banquet halls designed for elite rituals and in which the main activity was the practice of animal sacrifice. These rooms, often serving multiple functions, gave rise to the first ‘citizen temples’ within the context of Cretan poleis. The relevant testimonia are listed here in an exhaustive catalogue that also takes into account relevant object finds. The first part of the study concerns itself with a re- evaluation of the nomenclature associated with these monuments, before analyzing the antecedents to this type of architecture at the end of the Bronze Age and for each of the geographical regions in question. The following chapter questions the symbolic dimension of fire in these civilizations, incarnated in Greek antiquity by Hestia, the goddess of the hearth, as well as by her role in political institutions (andreia, prytaneis etc.). In the next chapter, the mutual influence these different Mediterranean regions had on each other is explored, both in terms of material culture (exotica, architectural influence) and in terms of religious beliefs (religious syncretism). The final chapter brings together all of the findings and summarizes the architectural problems associated with these buildings, for which a series of tables is also included
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Dandrau, Alain. "La construction en terre dans le monde égéen protohistorique : les matériaux et leurs propriétés." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010615.

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Abstract:
La majorité des sites égéens protohistoriques nous a livré une masse considérable d'éléments d'architecture en terre (briques, éléments de torchis, enduits de murs ou de sols,. . . ). La plupart du temps ignorés des archéologues. Le plus souvent, leur conservation n'est due qu'à leur cuisson accidentelle, ce qui rend leur étude difficile à effectuer. Malgré tout, ce travail -à l'interface entre archéologie et archéométrie- s'efforce de démontrer ce que l'étude de ces matériaux de construction peut apporter à la connaissance des sociétés du passé. Le matériel étudié provient principalement des sites de Dikili Tash en Macédoine grecque (5e millénaire avant notre ère) et de Malia en Crète (-2000-1100 ). . . Les produits transformés tels que la terre à bâtir ou les matériaux carbonates nous informent sur les structures architecturales et les différentes technologies, mais aussi sur l'environnement dans lequel évoluaient les hommes et les liens qu'ils entretenaient avec leur milieu. Les analyses montrent qu'il existait bien une notion de choix concernant la terre destinée à la construction. Il apparaît que les matériaux de construction utilisés possédaient, en théorie et pour autant que l'on puisse en juger, des propriétés adaptées à l'usage que l'on a voulu en faire : "terres" imperméables pour les toits ou les sols, plastiques et cohésives pour les murs. . . On ne peut plus ignorer aujourd'hui ce que l'étude physico-chimique des enduits, que l'on a l'habitude de n'aborder que du seul point de vue de l'esthétique, peut apporter à l'archéologue. Elle représente en effet un complément indispensable à la connaissance de la peinture murale au sens large du terme, au même titre que l'iconographie. L'établissement d'une typologie applicable à l'ensemble de la Crète minoenne, basée à la fois sur la fonction et la composition, le montre, sur le plan technologique et chronologique
The most part of the protohistoric aegean sites has given a lot of pieces of earth architecture (pieces of bricks or daub, wall or floor-plasters. . . ). These are usually ignored by the archaeologist. This work, placed between archaeology and archaeometry, want to demonstrate that these construction materials can serve as a source of information of the past societies. The archaeological fragments came from Dikili Tash in Macedonian Greece (5th millenium bc), and from Malia in Crete (2000-1100 bc). The materials used give us informations about architectural structures, technics of building and relations between men and the environment. The analysis have proven that the clay was choosen because of special physical characteristics (waterproof properties for roofs and floors, cohesive earth for walls. . . ). For wall-plasters, physico-chemical analysis were indispensable complements for stylistic and iconographic studies. A typology of plasters, based on function and composition, bring up technological and chronological informations
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Books on the topic "Architecture mycénienne"

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L' habitat mycénien: Formes et fonctions de l'espace bâti en Grèce continentale à la fin du IIe millénaire avant J.-C. Ecole française d'Athènes, 2005.

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Fields, Nic. Mycenaean Citadels c. 1350-1200 BC (Fortress). Osprey Publishing, 2004.

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