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Marceau, Gabrielle, and Alain Richer. "La première année de l’Organe de règlement des différends de l’Organisation mondiale du commerce." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 33 (1996): 223–55. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800006081.

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Abstract:
SommaireLa première année de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) fut un grand succès. Les Membres de l’OMC ont notamment mis en place tout le nouveau système de notification préalable et de révision des législations nationales, et mis sur pied les nouveaux comités sur l’environnement, sur les arrangements régionaux et sur les pays les moins avancés. En plus d’assurer l’achèvement des activités GATT 1947 et la transition formelle en faveur de l’OMC, les Membres ont également procédé à la nomination des présidents de plusieurs comités et des “juges” du nouvel organe d’appel. L’élément peutêtre le plus impressionnant du départ de cette nouvelle organisation est la participation particulièrement active des pays en développement au nouveau système obligatoire de règlement des différends; la moitié des vingt-cinq requêtes pour consultation ont été initiées par ceux-d. Quel changement alors qu’entre 1948 et 1994, les pays en développement n’avaient initié que onze des 126 différends. En fait l’OMC a déclenché un nouveau processus pour lequel il n’y a pas de marche arrière possible.
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Guilcher, André. "Cryoplanation littorale et cordons glaciels de basse mer dans la région de Rimouski, côte sud de l’estuaire du Saint-Laurent, Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 2 (February 1, 2011): 155–69. http://dx.doi.org/10.7202/1000434ar.

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Abstract:
Des plates-formes de cryoplanation développées dans des schistes ordoviciens dans la région de Rimouski sont décrites. La cryoplanation, étroitement liée à l’action de la glace de mer pendant le long hiver, est active dans les parties supérieure et moyenne de l’estran rocheux, notamment à la pointe à la Cive, au promontoire de l’Orignal, au cap du Caribou, à la pointe aux Cenelles, et, à un moindre degré, à la pointe Mitis. La nature et le pendage vertical des schistes constituent des facteurs favorables. Une cryoplanation littorale s’est également exercée au cours de l’Holocène au droit de la terrasse Mic Mac, alias Mitis, sise en arrière du rivage actuel. Elle a succédé à des agents de planation antérieurs qui ont tronqué des parties de crêtes appalachiennes sur les rives de l’estuaire du Saint-Laurent, et est remplacée par des processus marins azonaux au niveau de basse mer. Là où elle a été observée, c’est certainement un puissant facteur d’érosion. Des cordons de gros blocs rencontrés au niveau des basses mers sont décrits dans la seconde partie. Le site principal, à Sacré-Coeur-de-Rimouski, est décrit en détail et sert de point de référence pour les autres sites de la côte sud. Des observations faites à l’époque de la débâcle montrent que ces cordons de basse mer sont dus à des apports de cailloux par radeaux de glace échoués à ce niveau parce qu’ils ne peuvent atteindre le haut de l’estran alors occupé par un pied de glace résiduel. Cette explication diffère de celle proposée pour expliquer les cordons glaciels de basse mer le long de la côte du Labrador.
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Harvey, Fernand. "La politique culturelle d'Athanase David, 1919-1936." Tradition et modernité dans la culture québécoise au XXe siècle, no. 57 (February 29, 2012): 31–83. http://dx.doi.org/10.7202/1008103ar.

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Abstract:
Athanase David fut secrétaire de la province de Québec de 1919 à 1936 à l'époque du gouvernement libéral dirigé par Louis-Alexandre Taschereau. Dès son arrivée à la tête de ce ministère, David fait adopter une série de lois dans le but de favoriser le développement culturel du Québec: création des Bourses d'Europe pour favoriser le perfectionnement des diplômés universitaires et des artistes en France, bonification des Prix d'Europe pour les musiciens, développement d'un service d'archives provinciales, création d'une Commission des monuments historiques, construction du Musée du Québec, mise sur pied d'un enseignement supérieur des beaux-arts à Québec et à Montréal, institutionnalisation des Prix David pour les plus méritants, aide ponctuelle à la vie musicale et à divers organismes culturels et soutien à la création d'une émission de radio éducative et culturelle, « L'heure provinciale ». Profitant d'une conjoncture économique favorable au cours des années 1920 et malgré les difficultés de la crise économique des années 1930, David s'est employé durant 15 ans à soutenir l'émergence de nouvelles élites culturelles et à mettre sur pied les premières institutions culturelles d'État. Il a encouragé l'émergence d'une littérature et d'un art canadien, tout en puisant dans l'expertise française.
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Letendre, Robert, and Monique Panaccio. "Solidarité-psychiatrie : une réponse alternative à la folie." Travailler le social, no. 7 (February 3, 2016): 155–58. http://dx.doi.org/10.7202/1035023ar.

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Abstract:
La mise sur pied du groupe Solidarité-psychiatrie, projet autonome orienté et géré par ses membres, guidé par des balises psychanalytiques et fondé sur l’idée d’« institution éclatée » est une recherche d’alternative au traitement de la souffrance mentale par l’institution psychiatrique. Il regroupe des personnes désireuses de constituer un réseau où l’entraide côtoie la recherche et où la folie est envisagée sous ses angles psychologiques, socio-économiques et culturels. Solidarité-psychiatrie représente pour ses membres une manière de prendre sa folie en main, un réseau de vie où l’on utilise les éléments curatifs de la vie quotidienne pour en arriver à un mieux-être individuel et collectif. Il est aussi un collectif qui dénonce les faiblesses, irrégularités et injustices des « traitements » psychiatriques.
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Bonvalet, Catherine, and Jim Ogg. "Stratégies résidentielles et projets de retraite : le cas de Paris et d’une ville de banlieue." Diversité urbaine 11, no. 1 (February 8, 2012): 81–102. http://dx.doi.org/10.7202/1007745ar.

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Abstract:
À la fin du vingtième siècle, la qualité du parc de logements s’est dégradée en France, et les cohortes courantes de personnes âgées ont été les principales victimes. Majoritairement propriétaires de leur résidence principale, et pour près d’une sur quatre, d’une résidence secondaire, elles ont une faible mobilité résidentielle comparativement aux plus jeunes. Leur arrivée à l’âge de la retraite ou du veuvage entraîne toutefois de nouvelles formes de mobilité résidentielle, bien que toujours selon l’évolution du marché immobilier et leurs préférences résidentielles (préserver un pied-à-terre en ville et un accès aux services, mais profiter aussi d’une résidence secondaire). L’article, basé sur les données de diverses enquêtes, montre comment les choix résidentiels à la retraite sont liés aux trajectoires de vie et aux configurations familiales et interagissent avec les tendances socioéconomiques des environnements urbains.
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Lanoue, François. "Joseph Michaud, c.s.v. (1822-1902), architecte." Sessions d'étude - Société canadienne d'histoire de l'Église catholique 54 (December 19, 2011): 10–38. http://dx.doi.org/10.7202/1006960ar.

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Abstract:
En 1848, du lointain Kamouraska arrive au tout neuf noviciat des Clercs de Saint-Viateur de L’Industrie (Joliette), un jeune homme de 26 ans : cours classique, expérience d’enseignement, profonde piété, talents pour les sciences et l’architecture. La communauté lui permet de développer ses dons. À L’Industrie, à Chambly, à Rigaud, à Victoria. 1868, Mgr Bourget l’envoie lever les plans de Saint-Pierre de Rome qu’il veut reproduire en petit à Montréal. C’est la maquette de Joseph Michaud qui fera décider la construction de la cathédrale de Montréal. Sa notoriété gagnera toute la province : églises, couvents, maisons privées, laboratoires, musée, collections, etc. Qui donc est ce clerc du bas-relief du monument de Mgr Bourget devant la cathédrale de Montréal, déployant des plans devant l’évêque en présence de quelques personnages dont l’un (Victor Bourgeau) a les bras croisés? Qui donc est ce jeune homme de 26 ans qui, en 1848, descend du « steamboat » de Lanoraie et arrive, peut-être à pied - car il en est capable - à L’Industrie (premier nom de Joliette), où le reçoit une communauté religieuse qui vient à peine de s’installer en terre canadienne? Qui donc est ce jeune homme « extrêmement timide » toute sa vie, qui nous arrive, mystérieusement dirait-on, de l’une des aînées de nos paroisses canadiennes-françaises, Kamouraska? C’est Joseph Michaud.
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Cadieux, Rita. "LA LOI CANADIENNE SUR LES DROITS DE LA PERSONNE ET SA MISE EN APPLICATION PAR LA COMMISSION." Droits de la personne 12, no. 2 (May 6, 2019): 323–33. http://dx.doi.org/10.7202/1059404ar.

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Abstract:
La Loi canadienne sur les droits de la personne interdit la discrimination sous neuf motifs qui sont la race, l’origine nationale ou ethnique, la couleur, la religion, l’âge, le sexe, la situation de famille, l’état de personne graciée et, en matière d’emploi, le handicap physique. De plus, la partie IV de la Loi assure la protection des renseignements personnels. La Commission canadienne des droits de la personne, qui administre la Loi, est une agence fédérale indépendante qui se rapporte au Parlement par l’intermédiaire du Ministre de la Justice. Le mandat qui est donné à la Commission dans la Loi comprend, entre autres, l’instruction des plaintes de discrimination, l’information et l’éducation du public dans le domaine des droits de la personne et la mise sur pied de programmes de recherches dans ce même domaine. La Commission fait enquête sur les plaintes de discrimination qu’elle reçoit. Si la plainte est fondée, la Commission tente d’en arriver à un règlement par voie de conciliation. Lorsque cela est impossible, la Commission peut mettre sur pied un Tribunal des droits de la personne chargé d’examiner la plainte. D’ailleurs, la Commission peut, à toute étape postérieure au dépôt de la plainte, constituer un tel tribunal si elle le juge à propos. Les articles 10, 11 et 15, qui permettent à la Commission d’aller plus loin dans son action que l’instruction de plaintes individuelles de discrimination, sont explicités dans le texte. Ces articles touchent la discrimination systémique, la parité salariale entre les hommes et les femmes qui exécutent des fonctions équivalentes et la possibilité de mettre en oeuvre des programmes d’action positive.
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Ross, John. "Data is power: resistance is futile." CJEM 2, no. 01 (January 2000): 27–28. http://dx.doi.org/10.1017/s1481803500004395.

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Abstract:
RÉSUMÉ: Le mouvement d’ACQ (amélioration continue de la qualité), avec l’aide d’Intel et de Microsoft, fera de la prochaine décennie l’ère des données. Les départements d’urgence à travers le pays travaillent présentement à mettre sur pied des systèmes de collecte de données pour surveiller les profils de gravité des cas des patients, les temps d’attente, les durées de séjours à l’urgence, les habitudes de demandes d’épreuves, les pourcentages de demandes de consultation, l’utilisation des lits et les taux d’hospitalisation, et ce, pour chaque médecin. Mais ces données sont-elles fiables? Ou valables? Comment seront-elles utilisées pour juger le travail des médecins? Quelle sera la pénalité pour le médecin si sa surface sous la courbe tend à remonter? Peut-on quantifier les soins aux patients à l’aide d’un graphique? Et y a-t-il une corrélation directe ou une corrélation inverse entre la rapidité du médecin et la qualité des soins? L’ère de l’information est arrivée, mais les données feront-elles de nous de meilleurs médecins?
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Hardwick, Peter. "Formarrhoea." Psychiatric Bulletin 27, no. 10 (October 2003): 388–89. http://dx.doi.org/10.1017/s0955603600003196.

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Abstract:
The epidemic of formarrhoea blighting adult mental health services is spreading to child and adolescent mental health. Threatening to arrive all about the same time are forms to do with risk assessment, care programme approach, outcome and activity recording, Commission for Health Improvement, child protection, assessment of trainees … and more. They will likely cause an avalanche when added to the mountain of existing forms and Government circulars already piled up on my desk. Forms are increasingly governing all aspects of clinical practice. They threaten to get in the way of doing the job.
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Hardwick, Peter. "Formarrhoea." Psychiatric Bulletin 27, no. 10 (October 2003): 388–89. http://dx.doi.org/10.1192/pb.27.10.388.

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Abstract:
The epidemic of formarrhoea blighting adult mental health services is spreading to child and adolescent mental health. Threatening to arrive all about the same time are forms to do with risk assessment, care programme approach, outcome and activity recording, Commission for Health Improvement, child protection, assessment of trainees … and more. They will likely cause an avalanche when added to the mountain of existing forms and Government circulars already piled up on my desk. Forms are increasingly governing all aspects of clinical practice. They threaten to get in the way of doing the job.
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Zenti, Maria Grazia. "La LDL-aferesi nella PAD." Giornale di Clinica Nefrologica e Dialisi 25, no. 4_suppl (July 23, 2013): S37—S40. http://dx.doi.org/10.33393/gcnd.2013.1089.

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Abstract:
La vasculopatia periferica (PAD) rappresenta una delle manifestazioni cliniche della malattia arteriosclerotica sistemica. I fattori di rischio per la PAD sono gli stessi della malattia coronarica (CAD): età, sesso maschile, fumo di sigaretta, dislipidemia e ipertensione arteriosa. Le comuni tecniche di rivascolarizzazione risultano inefficaci in una larga porzione di pazienti diabetici e in pazienti in trattamento emodialitico cronico. Inoltre, l'associazione di macro e microangiopatia con la neuropatia del paziente diabetico favorisce lo sviluppo di ulcere (piede diabetico). La LDL-aferesi (LA) oltre alla riduzione del colesterolo determina anche una serie di effetti pleiotropici (riduzione di sostanze protrombotiche e pro-inflammatorie, modificazioni Teologiche, miglioramento della funzione endoteliale), che promuovono la funzione del microcircolo con un aumento della perfusione dei tessuti periferici oltre che del microcircolo coronarico. In alcuni studi osservazionali e case-report la LA è stata utilizzata come opzione terapeutica nei pazienti con PAD. Tuttavia, le attuali evidenze non ci permettono di arrivare a conclusioni definitive sul ruolo della LA nella PAD, essendo necessari studi clinici con una maggiore casistica, con precisi criteri di inclusione e con un adeguato follow -up. Lo Studio Italiano, Randomizzato, Controllato, Multicentrico e Prospettico: “La LDL-aferesi nel trattamento del Piede Diabetico Ischemico Error! Hyperlink reference not valid. Identifier: NCT01518205; HELP-Apheresis in Diabetic Ischemic Foot Treatment, HADIF) si propone di definire se la LA possa essere una valida opzione terapeutica in questi pazienti a elevato rischio di amputazione.
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Cherwinski, W. J. C. "Wooden Horses and Rubber Cows: Training British Agricultural Labour for the Canadian Prairies, 1890‑1930." Historical Papers 15, no. 1 (April 26, 2006): 133–54. http://dx.doi.org/10.7202/030854ar.

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Abstract:
Résumé A cause du développement de l'agriculture dans les Prairies pendant les années 1890 à 1930, la demande pour une main-d'oeuvre qualifiée excédait grandement ce que la population locale était en mesure d'offrir. Il fallait donc recourir à l'immigration et l'on vit arriver de nombreux ouvriers d'Europe centrale qui, dans l'ensemble, se sont fort bien acquittés de leur tâche. Toutefois, les fermiers de l'ouest voyaient d'un mauvais oeil l'arrivée de tous ces étrangers et, de plus en plus, on manifesta le désir de recourir à une main-d'oeuvre d'origine britannique. Plusieurs centres d'entraînement furent donc mis sur pied pour préparer les jeunes Britanniques au travail agricole tel qu'il se pratiquait dans l'ouest canadien. Il semble bien, selon l'auteur, que le système ait eu plus de succès avant la guerre parce que les chances d'obtenir du travail étaient beaucoup plus grandes. Après la guerre, et ce, malgré le fait que plusieurs centres étaient nettement mieux organisés que ceux qui les avaient précédés, le système n'eut pas les résultats escomptés. Bien souvent, les jeunes Britanniques étaient des citadins n'ayant aucune disposition pour l'agriculture et, bien souvent aussi, les fermiers d'après la guerre n'avaient ni le besoin, ni les moyens d'employer une main-d'oeuvre supplémentaire à longueur d'année. Enfin, les Prairies se tournaient de plus en plus vers une agriculture spécialisée qui rendait désuet l'entraînement subi dans les divers centres de formation.
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Houde, Nicolas. "La gouvernance territoriale contemporaine du Nitaskinan." Recherches amérindiennes au Québec 44, no. 1 (December 17, 2014): 23–33. http://dx.doi.org/10.7202/1027877ar.

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Abstract:
La Nation atikamekw (Québec, Canada) est présentement engagée dans des négociations avec les gouvernements fédéral et provincial dans le but à la fois d’accroître son accès aux ressources naturelles et de transformer le système de gouvernance territoriale sur le Nitaskinan, le territoire ancestral nehirowisiw. Un enjeu central de cette redéfinition de la gouvernance est la revalorisation du rôle traditionnel et central du chef de territoire (ka nikaniwitc) dans ses décisions. Cet article montre que les Atikamekw Nehirowisiwok mettent présentement sur pied un système de gouvernance auquel ils s’identifient, ancré dans leurs traditions, centré sur le ka nikaniwitc et la famille, mais en même temps tourné vers l’avenir, évolutif et différent de sa forme originale. Dans ce système, le ka nikaniwitc se positionne comme un catalyseur par lequel passe et s’organise l’information concernant le territoire, afin de produire des décisions compatibles avec les valeurs nehirowisiwok et ayant des effets tant localement que régionalement. À la lumière des résultats présentés dans l’article, il est possible d’affirmer que, pour que la transformation de la gouvernance territoriale sur le Nitaskinan soit un succès du point de vue nehirowisiw, il est nécessaire d’en arriver à une entente de cogestion qui soit assez flexible pour inclure la vision évolutive des traditions et des institutions qu’épousent les Nehirowisiwok. Ce qui ne peut être réalisé que si la gestion partagée du territoire est vue comme un exercice flexible de construction et de révision, en continu, des institutions et des savoirs environnementaux, au rythme des transformations sociales autochtones.
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Couture, Claude. "CANADA: MODÈLE D’ÉTAT MULTICULTUREL POUR LE MONDE?" Constitutional Forum / Forum constitutionnel 13 (July 26, 2011): 2005. http://dx.doi.org/10.21991/c92q16.

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Abstract:
Après l’échec de l’Accord du Lac Meech1 en 1990, le gouvernement conservateur de l’époque mit sur pied une vaste consultation populaire pour mieux comprendre l’opinion des Canadiens au sujet des réformes constitutionnelles. Le Forum des citoyens2, présidé par Keith Spicer, rencontra près de 400 000 Canadiens, visita 42 universités et collèges, reçut 10 000 lettres et 75 000 appels téléphoniques. Au Québec, lancée en décembre 1990, la commission Bélanger-Campeau reçut 200 mémoires et 600 soumissions3. D’autres formes de consultations furent organisées. Par exemple, toujours en décembre 1990, le sous-comité conjoint Sénat-Chambre des communes sur la formule d’amendement à la Constitution commença ses travaux un mois avant la présentation du rapport Allaire au Québec en janvier 1991. En septembre de la même année, le Comité parlementaire sur la Constitution de Dorothy Dobbie et Claude Castonguay (remplacé par Gérard Beaudoin) fut aussi formé et soumis un rapport le 28 février 19924. Toutes ces consultations menèrent aux longues négociations de 1992 et finalement à l’Accord de Charlottetown5 de juillet–août 1992. D’une certaine façon, aucun autre pays du monde occidental ne fut ainsi mobilisé de façon démocratique et non violente pour en arriver à un nouveau contrat constitutionnel. Les principales dimensions de ces discussions de 1990 à 1992 avaient été la question des relations anglophones- francophones, la reconnaissance des Premières Nations et la place du multiculturalisme. Aussi, aucun autre pays du monde occidental n’a été aussi loin dans la représentation symbolique de ces dimensions dans ses institutions constitutionnelles. En ce sens, le multiculturalisme canadien, qui ne peut être séparé des autres dimensions, est unique. Pour expliquer ce phénomène, nous proposons un texte en trois parties : d’abord un rappel du contexte créé pour les institutions de l’ère Trudeau; ensuite un résumé des débats américains et canadiens sur les origines idéologiques du Canada et, en particulier, l’apport récent dans ce débat de l’historien Gérard Bouchard; enfin, selon la perspective de ces débats, il sera proposé une interprétation du processus menant à Charlottetown et de la clause Canada de l’accord de 1992, deux indices qui montrent le caractère unique de la reconnaissance de la diversité au Canada.
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Andromeda, Vega F., and I. Made Wahyu S. Putra. "PENYELESAIAN CLEARANCE DENGAN SISTEM INAPORTNET GUNA MEMPERLANCAR ESTIMATED TIME DEPARTURE." Jurnal Transportasi 20, no. 2 (August 13, 2020): 115–24. http://dx.doi.org/10.26593/jtrans.v20i2.4113.115-124.

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Abstract:
Abstract There is still a delay time of up to 86% and utilization of the pier that has not been optimal causing inefficiency in ports in Indonesia. Idle time that occurs at the port is due to the slow processing of ships and goods documents. The implementation of the Inaportnet system is expected to accelerate clearance completion in an effort to expedite the Estimated Time of Departure. This research was conducted at PT Dharma Lautan Utama Tanjung Perak Surabaya Branch using a descriptive qualitative research method. The results showed that the process of completing ship clearance at PT Dharma Lautan Utama Surabaya Branch has changed using the online system or using the Inaportnet system, but this system is still constrained by inadequate internet connections. The number of vessel documents that must be completed, the checking system for expired date of ship certificates is still manual, the ups and downs, and the length of time waiting for the cargo to arrive at the port also causes the length of the clearance process at Tanjung Perak Port. Keywords: delay time; clearance; Inaportnet system; Estimated Time of Departure; ship. Abstrak Masih adanya delay time hingga 86% serta belum optimalnya utilisasi dermaga yang belum optimal menyebab-kan ketidakefisienan pelabuhan di Indonesia. Idle time yang terjadi di pelabuhan disebabkan karena waktu pengurusan dokumen kapal dan barang yang masih lambat. Penerapan sistem Inaportnet diharapkan dapat mempercepat penyelesaian clearance dalam upaya memperlancar Estimated Time of Departure. Penelitian ini dilaksanakan pada PT Dharma Lautan Utama Cabang Tanjung Perak Surabaya menggunakan metode penelitian deskriptif kualitatif. Hasil penelitian menunjukkan bahwa proses penyelesaian clearance kapal pada PT Dharma Lautan Utama Cabang Surabaya telah berubah menggunakan sistem online atau menggunakan sistem Inaportnet, tetapi sistem ini masih terkendala oleh koneksi internet yang kurang memadai. Banyaknya dokumen kapal yang harus diselesaikan, sistem pengecekan expired date sertifikat kapal masih manual, terjadinya pasang surut, dan lamanya menunggu muatan tiba pelabuhan juga menyebabkan lamanya proses clearance di Pelabuhan Tanjung Perak. Kata-kata kunci: delay time; clearance; sistem Inaportnet; Estimated Time of Departure; kapal.
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Wilton, Derek H. C. "Albert Peter Low — The Iron Man of Labrador." Geoscience Canada 45, no. 1 (April 20, 2018): 43–58. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2018.45.130.

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Abstract:
In 1893–1894, Albert Peter Low of the Geological Survey of Canada, along with D.I.V. Eaton and four indigenous assistants explored the Labrador Peninsula, then perceived as one of the last great unexplored wilderness areas of North America. The expedition left Lake St. John (now Lac St. Jean) on June 17, 1893, canoeing across the northeastern edge of the North American continent, arriving at Fort Chimo (now Kuujjuaq) on August 27, 1893. They departed Fort Chimo by steamer for Rigolet on the Labrador coast and the Hudson Bay Company post at North West River in the fall of 1893. On March 6, 1894 the party started up the Grand (now Churchill) River continuing through large central lakes into the Ashuanipi river system in western Labrador, then out via the Attikonak River to the Romaine River and finally the Saint Jean river system to arrive at Mingan on the north shore of the St. Lawrence River on August 23, 1894. Low described their fifteen-month journey as having covered over 8700 km including 1600 km on foot, over 4700 km in canoe, 800 km by dog team and 1600 km by steamer. The report from the expedition provides a compendium on the natural history of the region as well as the first geological maps. In terms of economic and scientific results, the greatest was documentation of the vast iron ore deposits of western Labrador; a world-class mining district that has been producing for sixty-three years since 1954. Low’s account also provides details on the essence of such an epic journey, which stands as a classic in the annals of Canadian geological surveying.RÉSUMÉEn 1893–1894, Albert Peter Low de la Commission géologique du Canada, accompagné du D.I.V. Eaton et quatre assistants autochtones ont exploré la péninsule du Labrador, alors perçue comme l'une des dernières grandes étendues sauvages inexplorées d’Amérique du Nord. L’équipe a quitté le Lake St. John (aujourd'hui le lac Saint-Jean) le 17 juin 1893, a traversé la bordure nord-est du continent nord-américain en canoë, et est arrivé à Fort Chimo (aujourd'hui Kuujjuaq) le 27 août 1893. À l'automne de 1893, ils ont quitté Fort Chimo à bord d'un vapeur pour Rigolet, sur la côte du Labrador, et le poste de la Compagnie de la Baie d'Hudson sur la rivière North West. Le 6 mars 1894, les membres de l'équipe ont remonté la rivière Grand (aujourd'hui Churchill), puis à travers les grands lacs centraux jusqu'au bassin de la rivière Ashuanipi, dans l'ouest du Labrador, puis, par la rivière Attikonak jusqu' à la rivière Romaine et, enfin, le réseau de la rivière Saint-Jean jusqu’à Mingan, sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent, le 23 août 1894. L’excursion décrite par Low a duré quinze mois et parcouru plus de 8700 km dont 1600 km à pied, plus de 4700 km en canoë, 800 km en attelage de chiens et 1600 km en bateau à vapeur. Le rapport de l'expédition constitue un recueil sur l'histoire naturelle de la région ainsi que des premières cartes géologiques. En ce qui concerne les répercussions économiques et scientifiques, la plus importante en a été la documentation des vastes gisements de minerai de fer de l'ouest du Labrador, un district minier de classe mondiale, en production pendant soixante-trois ans depuis 1954. Le récit de Low fournit également des détails sur le caractère épique d’une telle expédition, laquelle est un classique dans les annales de la Commission géologique du Canada.
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Roy, Jean-Yves. "Médecine : crise et défi." Articles 16, no. 1 (April 12, 2005): 43–67. http://dx.doi.org/10.7202/055674ar.

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Abstract:
Bombe au cobalt. Poignée de main chaleureuse. Accident de la route. Immuno-fluorescence. Accouchement. Greffe du cœur. Appel de nuit. Un enfant de trois ans qui se lamente. Radiothérapie d'une tumeur du lobe limbique. Prothèse électronique pour un jeune phocomèle victime de la thalidomide. Poignée de main chaleureuse. Une épouse qui voudrait revendiquer un petit peu d'attention, mais dont les demandes n'ont pas la dimension de cet appel d'urgence auprès d'un patient comateux. Chirurgie esthétique pour madame la comtesse. Poignée de main chaleureuse. Pontiac ou Cadillac. Comité de citoyens. Cours sur la sexualité pour des jeunes qui se préparent au mariage. La compagnie qui demande de préserver ses intérêts, qui demande d'être sévère dans les examens de routine de ses employés. Pontiac, Cadillac. Un appel en pleine nuit : le petit, chez madame Chose perce ses premières dents. Salle d'urgence. Moniteur cardiaque. Toute une quincaillerie électronique où le patient se sent dépaysé. Épidémie de grippe espagnole. Leçons d'hygiène à cette mère dont on devine, au fond, qu'elle n'a ni le temps ni l'énergie pour s'occuper convenablement de ses tâches ménagères. Cours universitaire sur les ultra-virus. Comité de citoyens. Pontiac ou Cadillac. Un comptable qui veille compulsivement à ce que l'on paie le moins d'impôt possible. Tromper l'impôt... Un comptable qui veut administrer les biens de monsieur le docteur parce que le docteur n'est pas un bon administrateur. Se méfier du comptable... Docteur, mon petit ne dort pas ; il pleure. Pourriez- vous venir tout de suite ? Le représentant pharmaceutique veut vous convaincre d'essayer le dernier produit de sa compagnie. La panacée qui fait tant de miracles, sur le pamphlet publicitaire. Les cours du professeur Untel sur les prostaglandines. Hypertension artérielle. Ampoules aux pieds. Anxiété. Fièvre des foins. J'ai hâte que tu t'occupes un peu de moi, j'en ai un petit peu marre de ces appels de l'hôpital. Ils veulent socialiser la médecine. Il paraît même que la médecine, c'est une affaire de politique. Comité de citoyens. Ils veulent mettre sur pieds un C.L.S.C. Radiothérapie. Chirurgie cardiaque. Psychothérapie à long terme des schizophrènes chroniques. Changer l'asile. L'accès aux soins pour tous. Pontiac ou Mercedes? Le conférencier, l'autre jour, prétendait que la médecine se situait comme une petite entreprise de services... Qui est donc le médecin ? Un petit commerçant qui comme tous les petits commerçants paie de sa personne pour arriver à soutirer de sa petite entreprise le maximum de bénéfices monétaires possibles? Un être dévoué qui a la vocation? Un saint? Un technicien qu'on accuse volontiers de s'être déshumanisé au cours des dernières années? Un spécialiste de la santé, ou de la maladie? Docteur, mon petit pleure. Il a eu cinq selles liquides aujourd'hui. Pontiac ou Cadillac? Ah ! et puis à quoi bon ? La mère Garneau est morte, hier. Un cancer de l'intestin : une saloperie. Je lui ai tenu la main, à ses derniers moments. On ne pouvait plus rien faire. Une saloperie, je te dis... La mère Garneau est morte sans qu'on puisse lui greffer un cœur, un intestin. La mère Garneau a déjoué la médecine. Dans les salles d'urgence des hôpitaux, les gens ne se retrouvent plus, encore plus égarés qu'à l'hypermarché. Un spécialiste pour l'œil gauche. Un psychiatre pour ses émotions. Le médecin de famille n'existe plus. La médecine est en pleine crise. On dit que la médecine est en pleine crise. On l'écrit dans les journaux. Presque partout. Et c'est peut-être vrai. En tout cas, la médecine vit une situation difficile. Une situation dont nous allons tenter un inventaire. Et nous commencerons cet inventaire par un regard, par une considération sur le statut scientifique de la médecine. Car la situation actuelle remet en cause ce statut scientifique lui-même. Nous analyserons également ce qui advient, présentement, du schéma médical classique. Car il nous apparaît que ce schéma subit des modifications majeures, des altérations sensibles. Des transformations que nous devons repérer, cerner, si nous voulons comprendre un tant soit peu ce qui a lieu dans ce champ nouvellement contesté de la médecine. Modestement, nous nous hasarderons à proposer un modèle synthétique de l'exercice médical qui pourrait tenir compte des interrogations récentes, tout en rendant justice à une médecine qui se voudrait « savoir sur l'homme ». Ce projet d'une médecine reformulée n'est pas une solution définitive : il est seulement proposé à la discussion, amené pour « faire progresser la question » comme on dit, non pour bâcler un débat qui, de toute évidence, doit se poursuivre tant dans l'intérêt de la population que de la profession médicale.
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Geistdoerfer, Aliette. "L'évolution techno-économique de la pêche côtière." Articles 11, no. 3 (April 12, 2005): 289–300. http://dx.doi.org/10.7202/055504ar.

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Abstract:
Si nous avons choisi les Îles-de-la-Madeleine comme terrain d'une enquête sur la pêche de type traditionnel au Québec c'est que les techniques de pêche côtière n'y avaient jamais été étudiées ethnologiquement dans leur ensemble et que s'y trouvaient réunies en un seul territoire plusieurs pêches traditionnelles gardant encore aujourd'hui une importance économique assez élevée pour ne pas être relayées au rang de survivances. La pêche côtière y occupe en effet 27% d'une population active de 3,361 personnes. Pour que la pêche ait pris une telle importance aux Iles-de-la-Madeleine, il fallait que certaines conditions particulièrement favorables y soient réunies. Les Iles présentent trois types de côtes. Si les hautes falaises de schiste ou de grès rouge sont inabordables, les très nombreuses plages ont rendu les côtes hospitalières et sont devenues presque toutes de petits havres de pêche : certaines ont été aménagées de quais, de plans de halage et de treuils mécaniques. Les lagunes comprises entre de longues flèches de sable servirent de port jusqu'à ce que leur ensablement les rendent inutilisables. En effet, exception faite pour le Havre-Aubert, les autres Iles ne possèdent aucun port naturel. Les plages ne valent comme anses de pêche que parce que les pêcheurs halent leurs bateaux chaque soir à terre. Mais quand le tonnage des bateaux augmente, comme c'est le cas aujourd'hui, 1 la question du port se pose continuellement et avec acuité, car celui de Havre-Aubert s'ensable régulièrement, le port artificiel de Cap-aux-Meules est trop petit et mal abrité et celui de l'Étang-du-Nord se trouve dans une zone de faible profondeur d'eau. Les havres de pêche se répartissent à peu près également autour des Iles, suivant en cela le territoire de pêche: celui-ci dans sa plus grande étendue, est compris à l'intérieur d'une cote de profondeur d'eau de 20 brasses, cote qui se situe à 15 milles au large des Iles. La différence d'inclinaison de ce plateau, forte au sud et au nord où elle est de 90 pieds au mille, faible sur les façades est et nord-est, en particulier dans la baie de Plaisance, a déterminé une première spécialisation géographique des types de pêche. Les ports du nord et du sud, zones où les grands fonds sont proches de la côte, se consacrent à la pêche de la morue alors que ceux de la Baie de Plaisance sont spécialisés dans celle du hareng et du maquereau. Les fonds à homards, par contre, se répartissent aussi bien au nord qu'au sud, mais uniquement là où les fonds sont rocheux. Les eaux qui baignent les Iles offrent des conditions hydrologiques et biologiques constituant non seulement un habitat propice aux homards, mais aussi un milieu favorable au passage de bancs de différentes espèces de poissons. En effet l'organisation des pêches madelinoises est déterminée d'une part par l'alternance des saisons et principalement par l'arrivée et le départ des glaces, mais aussi par le cycle écologique constitué par les passages et séjours successifs des différentes espèces de poissons dans les eaux madelinoises. Les Madelinots ne pèchent donc que lorsque les bancs de poissons viennent très près des côtes: nous avons vu que leur territoire de pêche ne dépassait pas 15 milles à la ronde. Cette soumission aux migrations des poissons présente cependant plusieurs inconvénients. Les dates de passage de ces bancs ne sont que plus ou moins prévisibles et, parfois, le hareng arrive plus tôt que d'habitude, ne reste que quelques jours aux Iles et les quitte avant que les trappes aient pu être mouillées. Si les conditions ne sont pas favorables en faible profondeur, le poisson se maintient en grande eau et la pêche est nulle pour les Madelinots. L'automne, il y a de grandes migrations de hareng au large des Iles : aujourd'hui seuls les seineurs modernes peuvent en profiter alors qu'autrefois cette richesse était inexploitée. La pêche côtière s'est donc modernisée mais son organisation continue d'adhérer au cycle écologique. Nous allons voir maintenant comment les Madelinots en ont développé les différents types et, surtout, quelles ont été les grandes transformations techno-économiques qui sont à la base du système actuel.
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Wu, Danfeng. "Why *if or not but ✓whether or not." Linguistic Inquiry, October 7, 2020, 1–19. http://dx.doi.org/10.1162/ling_a_00410.

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Abstract:
This squib provides an account of a contrast between whether and if in English, manifested in the contrast between the grammaticality of I don't know whether or not Pat will arrive and the ungrammaticality of I don't know if or not Pat will arrive. I argue that this contrast can be explained if we assume that whether can pied-pipe, but there is no pied-piping in if-questions. Strikingly, once we eliminate the pied-piping parse for whether, it behaves like if. Then I show that this contrast exists cross-linguistically: Polish alternative questions behave like whether-questions because pied-piping is possible, and Bengali alternative questions behave like if-questions because of the unavailability of pied-piping.
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Pellegrino, Vincenza. "L’università situata: un nuovo modello di insegnamento è possibile." Ricerca Psicoanalitica 31, no. 2 (October 16, 2020). http://dx.doi.org/10.4081/rp.2020.307.

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Abstract:
Vorrei proporvi un viaggio dentro aule universitarie inaspettate, in cui persone senza tetto insegnano le politiche sociali, insegnano cosa succede di notte nelle città, quali sono le soglie della resistenza, cioè quei posti dove puoi stare senza ricevere violenza, dove sono le persone che rispondono quando suoni all’una di notte e quali sono quelle che non lo fanno assolutamente. Oppure aule in cui in un corso di politiche sociali i detenuti insegnano quale sia il senso della pena dentro la condanna all’ergastolo ostativo,1 come intendere la rieducazione, come intendere la riparazione. Oppure, ancora, vorrei proporvi un viaggio dentro un corso di sociologia della globalizzazione che ospita come docenti migranti che hanno appena attraversato il deserto e il Mediterraneo a piedi: ci insegnano che cos’è il debito in migrazione, come si contrae un debito di trentamila euro per arrivare dalla Nigeria all’Italia a piedi e soprattutto come lo si restituisce, o infine, lo stesso corso di globalizzazione in cui donne migranti insegnano un mondo post-coloniale in cui l’unico punto di arrivo non è la donna occidentale e la declinazione del concetto di emancipazione diviene plurale e più ricca.
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Tchazi, Lines Mipo, Nadine Yemelong Temgoua, and Martin Kuete. "Problématique de l’apport des Migrants Internationaux au Développement Local de Batoufam à l’Ouest-Cameroun." European Scientific Journal ESJ 17, no. 6 (February 28, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n6p88.

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Abstract:
L’étude portant sur « la problématique de l’apport des migrants internationaux au développement local de Batoufam à l’Ouest-Cameroun», s’inscrit dans la relation migration internationale/développement qui est au cœur de nombreux débats en Sciences Sociales. Plusieurs études ont montré et démontré que nonobstant la distance physique entre leurs pays d’origine et celui d’accueil, les migrants internationaux sont des acteurs du développement local via leurs différentes interventions. Cependant, la politique actuelle d’intervention des migrants internationaux souffre de nombreuses faiblesses. Cette étude a pour objectif d’analyser ces différentes faiblesses. Elle s’appuie sur des enquêtes par questionnaires auprès de 50 migrants internationaux, 226 personnes pour la population locale, des entretiens avec les administrateurs locaux et l’observation directe. Comme résultats, plusieurs interventions des migrants ne sont toujours pas en adéquation avec les besoins prioritaires de la population locale. 47% de la population locale interrogée affirment qu’il y a inadéquation entre les projets de développement initiés par les migrants et leurs attentes ponctuelles. 41% affirment que l’adéquation est partielle. Cette population locale pense que l’inadéquation est due au fait qu’elle soit marginalisée dans la mise sur pied des projets de développement. Non seulement elle n’est pas consultée avant l’initiation d’un projet, mais aussi elle n’y participe presque pas. Il arrive parfois que les interventions des migrants soient une source de conflits entre les migrants et les autres acteurs locaux du développement local. L’implication des migrants en zone de départ est très souvent aussi la source de nouveaux besoins pour la population locale (dépossessions foncières). L’on note également la dépendance financière et matérielle des bénéficiaires vis-à-vis des donneurs. Ceci entraine des répercussions sur la production nationale. Toutes ces faiblesses conduisent à une faible appréciation des interventions des migrants et une faible visibilité du migrant comme acteur à part entier du développement local.
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Tomotani, Barbara M., Phillip Gienapp, Iván de la Hera, Martijn Terpstra, Francisco Pulido, and Marcel E. Visser. "Integrating Causal and Evolutionary Analysis of Life-History Evolution: Arrival Date in a Long-Distant Migrant." Frontiers in Ecology and Evolution 9 (February 22, 2021). http://dx.doi.org/10.3389/fevo.2021.630823.

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Abstract:
In migratory species, the timing of arrival at the breeding grounds is a life-history trait with major fitness consequences. The optimal arrival date varies from year-to-year, and animals use cues to adjust their arrival dates to match this annual variation. However, which cues they use to time their arrival and whether these cues actually predict the annual optimal arrival date is largely unknown. Here, we integrate causal and evolutionary analysis by identifying the environmental variables used by a migratory songbird to time its arrival dates and testing whether these environmental variables also predicted the optimal time to arrive. We used 11 years of male arrival data of a pied flycatcher population. Specifically, we tested whether temperature and normalized difference vegetation index (NDVI) values from their breeding grounds in the Netherlands and from their wintering grounds in Ivory Coast explained the variation in arrival date, and whether these variables correlated with the position of the annual fitness peak at the breeding grounds. We found that temperature and NDVI, both from the wintering and the breeding grounds, explained the annual variation in arrival date, but did not correlate with the optimal arrival date. We explore three alternative explanations for this lack of correlation. Firstly, the date of the fitness peak may have been incorrectly estimated because a potentially important component of fitness (i.e., migration date dependent mortality en route or directly upon arrival) could not be measured. Secondly, we focused on male timing but the fitness landscape is also likely to be shaped by female timing. Finally, the correlation has recently disappeared because climate change disrupted the predictive value of the cues that the birds use to time their migration. In the latter case, birds may adapt by altering their sensitivity to temperature and NDVI.
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Dunoyer, Christiane. "Monde alpin." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.101.

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Abstract:
Après avoir été peint et décrit avec des traits plus pittoresques qu’objectifs par les premiers voyageurs et chercheurs qui traversaient les Alpes, mus tantôt par l’idée d’un primitivisme dont la difformité et la misère étaient l’expression la plus évidente, tantôt par la nostalgie du paradis perdu, le monde alpin a attiré le regard curieux des folkloristes à la recherche des survivances du passé, des anciennes coutumes, des proverbes et des objets disparus dans nombre de régions d’Europe. Au début du XXe siècle, Karl Felix Wolff (1913) s’inspire de la tradition des frères Grimm et collecte un nombre consistant de légendes ladines, avec l’objectif de redonner une nouvelle vie à un patrimoine voué à l’oubli. Tout comme les botanistes et les zoologues, les folkloristes voient le monde alpin comme un « merveilleux conservatoire » (Hertz 1913 : 177). Un des élèves les plus brillants de Durkheim, Robert Hertz, analyse finement ces « formes élémentaires de la vie religieuse » en étudiant le pèlerinage de Saint Besse, qui rassemble chaque année les populations de Cogne (Vallée d’Aoste) et du Val Soana (Piémont) dans un sanctuaire à la montagne situé à plus de 2000 mètres d’altitude. Après avoir observé et questionné la population locale s’adonnant à ce culte populaire, dont il complète l’analyse par des recherches bibliographiques, il rédige un article exemplaire (Hertz 1913) qui ouvre la voie à l’anthropologie alpine. Entre 1910 et 1920, Eugénie Goldstern mène ses enquêtes dans différentes régions de l’arc alpin à cheval entre la France, la Suisse et l’Italie : ses riches données de terrain lui permettent de réaliser le travail comparatif le plus complet qui ait été réalisé dans la région (Goldstern 2007). Une partie de sa recherche a été effectuée avec la supervision de l’un des fondateurs de l’anthropologie française et l’un des plus grands experts de folklore en Europe, Arnold Van Gennep. Pour ce dernier, le monde alpin constitue un espace de prédilection, mais aussi un terrain d’expérimentation et de validation de certaines hypothèses scientifiques. « Dans tous les pays de montagne, qui ont été bien étudiés du point de vue folklorique […] on constate que les hautes altitudes ne constituent pas un obstacle à la diffusion des coutumes. En Savoie, le report sur cartes des plus typiques d’entre elles montre une répartition nord-sud passant par-dessus les montagnes et les rivières et non pas conditionnée par elles » (Van Gennep 1990 : 30-31). L’objectif de Van Gennep est de comprendre de l’intérieur la « psychologie populaire », à savoir la complexité des faits sociaux et leur variation. Sa méthode consiste à « parler en égal avec un berger » (Van Gennep 1938 : 158), c’est-à-dire non pas tellement parler sa langue au sens propre, mais s’inscrire dans une logique d’échange actif pour accéder aux représentations de son interlocuteur. Quant aux nombreuses langues non officielles présentes sur le territoire, quand elles n’auraient pas une fonction de langue véhiculaire dans le cadre de l’enquête, elles ont été étudiées par les dialectologues, qui complétaient parfois leurs analyses des structures linguistiques avec des informations d’ordre ethnologique : les enseignements de Karl Jaberg et de Jakob Jud (1928) visaient à associer la langue à la civilisation (Wörter und Sachen). Dans le domaine des études sur les walsers, Paul Zinsli nous a légué une synthèse monumentale depuis la Suisse au Voralberg en passant par l’Italie du nord et le Liechtenstein (Zinsli 1976). Comme Van Gennep, Charles Joisten (1955, 1978, 1980) travaille sur les traditions populaires en réalisant la plus grande collecte de récits de croyance pour le monde alpin, entre les Hautes-Alpes et la Savoie. En 1973, il fonde la revue Le monde alpin et rhodanien (qui paraîtra de 1973 à 2006 en tant que revue, avant de devenir la collection thématique du Musée Dauphinois de Grenoble). Si dans l’après-guerre le monde alpin est encore toujours perçu d’une manière valorisante comme le reliquaire d’anciens us et coutumes, il est aussi soumis à la pensée évolutionniste qui le définit comme un monde arriéré parce que marginalisé. C’est dans cette contradiction que se situe l’intérêt que les anthropologues découvrent au sein du monde alpin : il est un observatoire privilégié à la fois du passé de l’humanité dont il ne reste aucune trace ailleurs en Europe et de la transition de la société traditionnelle à la société modernisée. En effet, au début des années 1960, pour de nombreux anthropologues britanniques partant à la découverte des vallées alpines le constat est flagrant : les mœurs ont changé rapidement, suite à la deuxième guerre mondiale. Cette mutation catalyse l’attention des chercheurs, notamment l’analyse des relations entre milieu physique et organisation sociale. Même les pionniers, s’ils s’intéressent aux survivances culturelles, ils se situent dans un axe dynamique : Honigmann (1964, 1970) entend démentir la théorie de la marginalité géographique et du conservatisme des populations alpines. Burns (1961, 1963) se propose d’illustrer la relation existant entre l’évolution socioculturelle d’une communauté et l’environnement. Le monde alpin est alors étudié à travers le prisme de l’écologie culturelle qui a pour but de déterminer dans quelle mesure les caractéristiques du milieu peuvent modeler les modes de subsistance et plus généralement les formes d’organisation sociale. Un changement important a lieu avec l’introduction du concept d’écosystème qui s’impose à partir des années 1960 auprès des anthropologues penchés sur les questions écologiques. C’est ainsi que le village alpin est analysé comme un écosystème, à savoir l’ensemble complexe et organisé, compréhensif d’une communauté biotique et du milieu dans lequel celle-ci évolue. Tel était l’objectif de départ de l’étude de John Friedl sur Kippel (1974), un village situé dans l’une des vallées des Alpes suisses que la communauté scientifique considérait parmi les plus traditionnelles. Mais à son arrivée, il découvre une réalité en pleine transformation qui l’oblige à recentrer son étude sur la mutation sociale et économique. Si le cas de Kippel est représentatif des changements des dernières décennies, les différences peuvent varier considérablement selon les régions ou selon les localités. Les recherches d’Arnold Niederer (1980) vont dans ce sens : il analyse les Alpes sous l’angle des mutations culturelles, par le biais d’une approche interculturelle et comparative de la Suisse à la France, à l’Italie, à l’Autriche et à la Slovénie. John Cole et Eric Wolf (1974) mettent l’accent sur la notion de communauté travaillée par des forces externes, en analysant, les deux communautés voisines de St. Felix et Tret, l’une de culture germanique, l’autre de culture romane, séparées par une frontière ethnique qui fait des deux villages deux modèles culturels distincts. Forts de leur bagage d’expériences accumulées dans les enquêtes de terrain auprès des sociétés primitives, les anthropologues de cette période savent analyser le fonctionnement social de ces petites communautés, mais leurs conclusions trop tributaires de leur terrain d’enquête exotique ne sont pas toujours à l’abri des généralisations. En outre, en abordant les communautés alpines, une réflexion sur l’anthropologie native ou de proximité se développe : le recours à la méthode ethnographique et au comparatisme permettent le rétablissement de la distance nécessaire entre l’observateur et l’observé, ainsi qu’une mise en perspective des phénomènes étudiés. Avec d’autres anthropologues comme Daniela Weinberg (1975) et Adriana Destro (1984), qui tout en étudiant des sociétés en pleine transformation en soulignent les éléments de continuité, nous nous dirigeons vers une remise en cause de la relation entre mutation démographique et mutation structurale de la communauté. Robert Netting (1976) crée le paradigme du village alpin, en menant une étude exemplaire sur le village de Törbel, qui correspondait à l’image canonique de la communauté de montagne qu’avait construite l’anthropologie alpine. Pier Paolo Viazzo (1989) critique ce modèle de la communauté alpine en insistant sur l’existence de cas emblématiques pouvant démontrer que d’autres villages étaient beaucoup moins isolés et marginaux que Törbel. Néanmoins, l’étude de Netting joue un rôle important dans le panorama de l’anthropologie alpine, car elle propose un nouvel éclairage sur les stratégies démographiques locales, considérées jusque-là primitives. En outre, sur le plan méthodologique, Netting désenclave l’anthropologie alpine en associant l’ethnographie aux recherches d’archives et à la démographie historique (Netting 1981) pour compléter les données de terrain. La description des interactions écologiques est devenue plus sophistiquée et la variable démographique devient cruciale, notamment la relation entre la capacité de réguler la consistance numérique d’une communauté et la stabilité des ressources locales. Berthoud (1967, 1972) identifie l’unité de l’aire alpine dans la spécificité du processus historique et des différentes trajectoires du développement culturel, tout en reconnaissant l’importance de l’environnement. C’est-à-dire qu’il démontre que le mode de production « traditionnel » observé dans les Alpes n’est pas déterminé par les contraintes du milieu, mais il dérive de la combinaison d’éléments institutionnels compatibles avec les conditions naturelles (1972 : 119-120). Berthoud et Kilani (1984) analysent l’équilibre entre tradition et modernité dans l’agriculture de montagne dans un contexte fortement influencé par le tourisme d’hiver. Dans une reconstruction et analyse des représentations de la montagne alpine depuis la moitié du XVIIIe siècle à nos jours, Kilani (1984) illustre comment la vision du monde alpin se dégrade entre 1850 et 1950, au fur et à mesure de son insertion dans la société globale dans la dégradation des conditions de vie : il explique ainsi la naissance dans l’imaginaire collectif d’une population primitive arriérée au cœur de l’Europe. Cependant, à une analyse comparative de l’habitat (Weiss 1959 : 274-296 ; Wolf 1962 ; Cole & Wolf 1974), de la dévolution patrimoniale (Bailey 1971 ; Lichtenberger 1975) ou de l’organisation des alpages (Arbos 1922 ; Parain 1969), le monde alpin se caractérise par une surprenante variation, difficilement modélisable. Les situations de contact sont multiples, ce qui est très évident sur le plan linguistique avec des frontières très fragmentées, mais de nombreuses autres frontières culturelles européennes traversent les Alpes, en faisant du monde alpin une entité plurielle, un réseau plus ou moins interconnecté de « upland communities » (Viazzo 1989), où les éléments culturels priment sur les contraintes liées à l’environnement. Aux alentours de 1990, la réflexion des anthropologues autour des traditions alpines, sous l’impulsion de la notion d’invention de la tradition, commence à s’orienter vers l’étude des phénomènes de revitalisation (Boissevain 1992), voire de relance de pratiques ayant subi une transformation ou une rupture dans la transmission. Cette thèse qui a alimenté un riche filon de recherches a pourtant été contestée par Jeremy MacClancy (1997) qui met en avant les éléments de continuité dans le culte de Saint Besse, presqu’un siècle après l’enquête de Robert Hertz. La question de la revitalisation et de la continuité reste donc ouverte et le débat se poursuit dans le cadre des discussions qui accompagnent l’inscription des traditions vivantes dans les listes du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
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Karlstrom, Karl, and Laura Crossey. "Classic Rock Tours 3. Grand Canyon Geology, One Hundred and Fifty Years after John Wesley Powell: A Geology Guide for Visiting the South Rim of Grand Canyon National Park." Geoscience Canada, December 18, 2019, 163–93. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2019.46.153.

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Abstract:
The year 2019 is the 150th anniversary of John Wesley Powell’s epic exploration of the Colorado River through Grand Canyon and the 100th anniversary of the establishment of Grand Canyon National Park. This is an excellent moment to look back 150 years to think about where we have come from as a science and society, and look forward 100 years towards the accelerated change we expect in the future. For historians, archaeologists, geologists and astronomers, of course, this century-long time scale is short compared to other perspectives. They might choose also to celebrate the 479th anniversary of the first sighting of Grand Canyon by Europeans in 1540, the 1000th anniversary of Ancestral Puebloan farmers in Grand Canyon, the 12,000th anniversary of the arrival of humans migrating south from the Bering Land Bridge, the 5 millionth anniversary of the integration of the Colorado River through Grand Canyon to the Gulf of California, the 4.6 billionth anniversary of the formation of Earth, or the 13.75 billionth anniversary of the Big Bang and the formation of our Universe. Geology is all about time, and knowing some geology helps with the difficult endeavour of placing human timeframes into perspectives of deep time. This guide is for geology students of all levels and types visiting the South Rim of Grand Canyon. It is designed as a 3-day field trip and introduction to the rocks and landscapes. The term ‘students’ in our view also includes visitors who want to know about the basics of Grand Canyon geology while taking scenic hikes to see the geology first-hand. It is organized as if you enter the Park at its East entrance, near Cameron, and exit the Park at the South entrance, towards Flagstaff, but the three activities can be done in any order. As an introduction, we present a brief summary of the history of geologic maps and stratigraphic columns, and the geologists who made them. The maps and depictions of Grand Canyon geology over the past 160 years record a visual progression of how geoscience knowledge in general has developed and matured. The first sixty years, before the Park was founded, may have been the greatest in terms of the rapid growth that merged geology, art and public outreach. The second fifty years (to about 1969) saw important advances in stratigraphy and paleontology and solid efforts by the Park to apply and interpret Grand Canyon geology for the public. The most recent 50 years have seen major advances in regional geological mapping, dating of rocks, plate tectonics, and improved geoscience interpretation. The next 100 years will hopefully see additional innovative efforts to use the iconic field laboratory of Grand Canyon rocks and landscapes to resolve global geoscience debates, inform resource sustainability imperatives and contribute to science literacy for an international public. The three activities described are as follows: Activity 1 (an hour or two) is an overview from Lipan Point. This is a vehicle pull-out on the East Rim drive and serves as an introduction for those entering the Park, or a recap for those who are leaving. Activity 2 (most of a day) is a day hike on the South Rim with visits to Yavapai Geology Museum and the Trail of Time Exhibit. The Trail of Time is a geology timeline trail laid out at a scale of one metre = 1 million years along the Rim Trail. It is a great family hike, fully accessible, with magnificent views of Grand Canyon. The rocks were collected along the river and have been placed at their ‘birthdays’ along the Trail for you to see and touch and sketch. If you walk the entire 4.56 km (2.8 mile) Trail of Time, a long way, you get a visceral feeling for the age of the Earth and you also go through historic Grand Canyon Village for lunch and shops. Activity 3 (all day) is a hike to Plateau Point along the Bright Angel Trail. One has not really seen and appreciated Grand Canyon geology until you delve its depths. You can go any distance down, but if you do the entire 19 km (12 mile) hike, you descend through a 1 km (3300 foot) thick set of Paleozoic rock layers to a spectacular vista where you feel like you can touch the Colorado River as well as the Grand Canyon Supergroup and Vishnu basement rocks of the inner Granite Gorge. The Plateau Point Trail takes off at Indian Gardens, or alternatively, this guide describes some good geology stops a short way down Garden Creek. The Bright Angel Trail continues to the Colorado River and to Phantom Ranch at the bottom of the canyon, but this is generally done as an overnight endeavour. You can get campground reservations (https://www.nps.gov/grca/planyourvisit/campsite-information.htm) or reservations at Phantom Ranch well in advance through a lottery (https://www.grandcanyonlodges.com/lodging/lottery/). RÉSUMÉL’année 2019 marque le 150e anniversaire de l’exploration épique du fleuve Colorado par John Wesley Powell à travers le Grand Canyon ainsi que le 100e anniversaire de la création du parc national du Grand Canyon. C’est un excellent moment pour regarder 150 ans en arrière et se rappeler le chemin parcouru par la science et la société, et envisager le changement accéléré auquel nous nous attendons pour les 100 prochaines années. Pour les historiens, les archéologues, les géologues et les astronomes, bien sûr, cette échelle d'un siècle est courte par rapport à d'autres perspectives. Ils pourraient également choisir de célébrer le 479e anniversaire de la première observation du Grand Canyon par les Européens en 1540, le 1000e anniversaire des agriculteurs Pueblo ancestraux dans le Grand Canyon, le 12 000e anniversaire de l'arrivée d'humains migrant depuis l'isthme de Béring vers le sud, le 5 millionième anniversaire de l'intégration du fleuve Colorado à travers le Grand Canyon jusqu'au golfe de Californie, le 4,6 milliardième anniversaire de la formation de la Terre ou le 13,75 milliardième anniversaire du Big Bang et de la formation de notre univers. La géologie est une question de temps, et connaître un peu de géologie facilite la tâche difficile qui consiste à placer l’échelle de temps humaine dans le contexte du « temps profond ». Ce guide est destiné aux étudiants en géologie de tous niveaux et de tous types qui visitent le South Rim du Grand Canyon. Il est conçu comme une excursion de trois jours et une initiation aux roches et aux paysages. Selon nous, le terme « étudiants » inclut également les visiteurs qui souhaitent en savoir plus sur la géologie de base du Grand Canyon tout en faisant des randonnées panoramiques pour observer la géologie. Il est organisé comme si vous entrez dans le parc par son entrée est, près de Cameron, et quittez le parc par l’entrée sud, en direction de Flagstaff, mais les trois activités peuvent être effectuées dans n’importe quel ordre. En guise d'introduction, nous présentons un bref résumé de l'histoire des cartes géologiques et des colonnes stratigraphiques, ainsi que les géologues qui les ont réalisées. Les cartes et les représentations de la géologie du Grand Canyon au cours des 160 dernières années montrent une progression visuelle de l'évolution et de la maturation des connaissances géoscientifiques en général. Les soixante premières années, avant la création du parc, ont peut-être été les meilleures en termes de croissance rapide résultant de la fusion de la géologie, de l’art et de la vulgarisation. Les cinquante années suivantes (jusqu’en 1969 environ) ont été marquées par d’importants progrès en stratigraphie et paléontologie et par les efforts soutenus du parc pour permettre au public d'accéder à l’application et l’interprétation de la géologie du Grand Canyon. Au cours des 50 dernières années, la cartographie géologique régionale, la datation des roches, la tectonique des plaques et l'amélioration de l'interprétation géoscientifique ont considérablement progressé. Espérons que les 100 prochaines années verront des efforts novateurs supplémentaires visant à utiliser l’emblématique laboratoire des roches et du paysages du Grand Canyon pour résoudre les débats géoscientifiques mondiaux, informer sur les impératifs de durabilité des ressources et contribuer à la culture scientifique d’un public international. Les trois activités décrites sont les suivantes. L’activité 1 (une heure ou deux) est une vue d’ensemble de Lipan Point. Il s’agit d’une sortie en véhicule sur East Rim Drive et sert d’introduction pour ceux qui entrent dans le parc ou de récapitulation pour ceux qui en partent. L'activité 2 (presque une journée) est une randonnée d'une journée sur le South Rim avec la visite du musée de géologie de Yavapai et de l'exposition « Trail of Time ». Le « Trail of Time » est un sentier chronologique géologique tracé à une échelle d'un mètre pour un million d'années le long de Rim Trail. C'est une excellente randonnée en famille, entièrement accessible, avec des vues magnifiques sur le Grand Canyon. Les roches ont été collectées le long de la rivière et ont été placées à leurs « anniversaires » le long du sentier pour que le public puisse les voir, les toucher et les dessiner. Le parcours entier du « Trail of Time » sur 4,56 km (2,8 miles) offre une représentation intuitive de l'âge de la Terre et permet de passer également par le village historique du Grand Canyon pour déjeuner et faire les boutiques. L'activité 3 (toute la journée) consiste en une randonnée vers Plateau Point, le long de Bright Angel Trail. On n'a pas vraiment vu et apprécié la géologie du Grand Canyon tant qu’on n’en a pas exploré les profondeurs. N'importe quelle distance peut être parcourue, mais en arpentant les 19 km (12 milles) de la randonnée entière, on descend à travers un ensemble de couches de roches paléozoïques épaisses de 1 km (3 300 pieds) jusqu'à une vue spectaculaire où on a l’impression de pouvoir toucher le fleuve Colorado ainsi que le super-groupe du Grand Canyon et les roches du socle de Vishnu de la gorge granitique intérieure. Le Plateau Point Trail commence à Indian Gardens mais ce guide propose d’autres points de départ avec une géologie intéressante non loin de Garden Creek. Le Bright Angel Trail continue vers le fleuve Colorado et le Phantom Ranch au fond du canyon, mais cela se fait généralement de manière nocturne. Des emplacements aux terrains de camping peuvent être réservés (https://www.nps.gov/grca/planyourvisit/campsite-information.htm) ou des réservations au Phantom Ranch peuvent être obtenues bien à l’avance par le biais d’une loterie (https://www.grandcanyonlodges.com/lodging/lottery/).
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Brien, Donna Lee. "A Taste of Singapore: Singapore Food Writing and Culinary Tourism." M/C Journal 17, no. 1 (March 16, 2014). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.767.

Full text
Abstract:
Introduction Many destinations promote culinary encounters. Foods and beverages, and especially how these will taste in situ, are being marketed as niche travel motivators and used in destination brand building across the globe. While initial usage of the term culinary tourism focused on experiencing exotic cultures of foreign destinations by sampling unfamiliar food and drinks, the term has expanded to embrace a range of leisure travel experiences where the aim is to locate and taste local specialities as part of a pleasurable, and hopefully notable, culinary encounter (Wolf). Long’s foundational work was central in developing the idea of culinary tourism as an active endeavor, suggesting that via consumption, individuals construct unique experiences. Ignatov and Smith’s literature review-inspired definition confirms the nature of activity as participatory, and adds consuming food production skills—from observing agriculture and local processors to visiting food markets and attending cooking schools—to culinary purchases. Despite importing almost all of its foodstuffs and beverages, including some of its water, Singapore is an acknowledged global leader in culinary tourism. Horng and Tsai note that culinary tourism conceptually implies that a transferal of “local or special knowledge and information that represent local culture and identities” (41) occurs via these experiences. This article adds the act of reading to these participatory activities and suggests that, because food writing forms an important component of Singapore’s suite of culinary tourism offerings, taste contributes to the cultural experience offered to both visitors and locals. While Singapore foodways have attracted significant scholarship (see, for instance, work by Bishop; Duruz; Huat & Rajah; Tarulevicz, Eating), Singapore food writing, like many artefacts of popular culture, has attracted less notice. Yet, this writing is an increasingly visible component of cultural production of, and about, Singapore, and performs a range of functions for locals, tourists and visitors before they arrive. Although many languages are spoken in Singapore, English is the national language (Alsagoff) and this study focuses on food writing in English. Background Tourism comprises a major part of Singapore’s economy, with recent figures detailing that food and beverage sales contribute over 10 per cent of this revenue, with spend on culinary tours and cookery classes, home wares such as tea-sets and cookbooks, food magazines and food memoirs additional to this (Singapore Government). This may be related to the fact that Singapore not only promotes food as a tourist attraction, but also actively promotes itself as an exceptional culinary destination. The Singapore Tourism Board (STB) includes food in its general information brochures and websites, and its print, television and cinema commercials (Huat and Rajah). It also mounts information-rich campaigns both abroad and inside Singapore. The 2007 ‘Singapore Seasons’ campaign, for instance, promoted Singaporean cuisine alongside films, design, books and other cultural products in London, New York and Beijing. Touring cities identified as key tourist markets in 2011, the ‘Singapore Takeout’ pop-up restaurant brought the taste of Singaporean foods into closer focus. Singaporean chefs worked with high profile locals in its kitchen in a custom-fabricated shipping container to create and demonstrate Singaporean dishes, attracting public and media interest. In country, the STB similarly actively promotes the tastes of Singaporean foods, hosting the annual World Gourmet Summit (Chaney and Ryan) and Pacific Food Expo, both attracting international culinary professionals to work alongside local leaders. The Singapore Food Festival each July is marketed to both locals and visitors. In these ways, the STB, as well as providing events for visitors, is actively urging Singaporeans to proud of their food culture and heritage, so that each Singaporean becomes a proactive ambassador of their cuisine. Singapore Food Writing Popular print guidebooks and online guides to Singapore pay significantly more attention to Singaporean food than they do for many other destinations. Sections on food in such publications discuss at relative length the taste of Singaporean food (always delicious) as well as how varied, authentic, hygienic and suited-to-all-budgets it is. These texts also recommend hawker stalls and food courts alongside cafés and restaurants (Henderson et al.), and a range of other culinary experiences such as city and farm food tours and cookery classes. This writing describes not only what can be seen or learned during these experiences, but also what foods can be sampled, and how these might taste. This focus on taste is reflected in the printed materials that greet the in-bound tourist at the airport. On a visit in October 2013, arrival banners featuring mouth-watering images of local specialities such as chicken rice and chilli crab marked the route from arrival to immigration and baggage collection. Even advertising for a bank was illustrated with photographs of luscious-looking fruits. The free maps and guidebooks available featured food-focused tours and restaurant locations, and there were also substantial free booklets dedicated solely to discussing local delicacies and their flavours, plus recommended locations to sample them. A website and free mobile app were available that contain practical information about dishes, ingredients, cookery methods, and places to eat, as well as historical and cultural information. These resources are also freely distributed to many hotels and popular tourist destinations. Alongside organising food walks, bus tours and cookery classes, the STB also recommends the work of a number of Singaporean food writers—principally prominent Singapore food bloggers, reviewers and a number of memoirists—as authentic guides to what are described as unique Singaporean flavours. The strategies at the heart of this promotion are linking advertising to useful information. At a number of food centres, for instance, STB information panels provide details about both specific dishes and Singapore’s food culture more generally (Henderson et al.). This focus is apparent at many tourist destinations, many of which are also popular local attractions. In historic Fort Canning Park, for instance, there is a recreation of Raffles’ experimental garden, established in 1822, where he grew the nutmeg, clove and other plants that were intended to form the foundation for spice plantations but were largely unsuccessful (Reisz). Today, information panels not only indicate the food plants’ names and how to grow them, but also their culinary and medicinal uses, recipes featuring them and the related food memories of famous Singaporeans. The Singapore Botanic Gardens similarly houses the Ginger Garden displaying several hundred species of ginger and information, and an Eco(-nomic/logical) Garden featuring many food plants and their stories. In Chinatown, panels mounted outside prominent heritage brands (often still quite small shops) add content to the shopping experience. A number of museums profile Singapore’s food culture in more depth. The National Museum of Singapore has a permanent Living History gallery that focuses on Singapore’s street food from the 1950s to 1970s. This display includes food-related artefacts, interactive aromatic displays of spices, films of dishes being made and eaten, and oral histories about food vendors, all supported by text panels and booklets. Here food is used to convey messages about the value of Singapore’s ethnic diversity and cross-cultural exchanges. Versions of some of these dishes can then be sampled in the museum café (Time Out Singapore). The Peranakan Museum—which profiles the unique hybrid culture of the descendants of the Chinese and South Indian traders who married local Malay women—shares this focus, with reconstructed kitchens and dining rooms, exhibits of cooking and eating utensils and displays on food’s ceremonial role in weddings and funerals all supported with significant textual information. The Chinatown Heritage Centre not only recreates food preparation areas as a vivid indicator of poor Chinese immigrants’ living conditions, but also houses The National Restaurant of Singapore, which translates this research directly into meals that recreate the heritage kopi tiam (traditional coffee shop) cuisine of Singapore in the 1930s, purposefully bringing taste into the service of education, as its descriptive menu states, “educationally delighting the palate” (Chinatown Heritage Centre). These museums recognise that shopping is a core tourist activity in Singapore (Chang; Yeung et al.). Their gift- and bookshops cater to the culinary tourist by featuring quality culinary products for sale (including, for instance, teapots and cups, teas, spices and traditional sweets, and other foods) many of which are accompanied by informative tags or brochures. At the centre of these curated, purchasable collections are a range written materials: culinary magazines, cookbooks, food histories and memoirs, as well as postcards and stationery printed with recipes. Food Magazines Locally produced food magazines cater to a range of readerships and serve to extend the culinary experience both in, and outside, Singapore. These include high-end gourmet, luxury lifestyle publications like venerable monthly Wine & Dine: The Art of Good Living, which, in in print for almost thirty years, targets an affluent readership (Wine & Dine). The magazine runs features on local dining, gourmet products and trends, as well as international epicurean locations and products. Beautifully illustrated recipes also feature, as the magazine declares, “we’ve recognised that sharing more recipes should be in the DNA of Wine & Dine’s editorial” (Wine & Dine). Appetite magazine, launched in 2006, targets the “new and emerging generation of gourmets—foodies with a discerning and cosmopolitan outlook, broad horizons and a insatiable appetite” (Edipresse Asia) and is reminiscent in much of its styling of New Zealand’s award-winning Cuisine magazine. Its focus is to present a fresh approach to both cooking at home and dining out, as readers are invited to “Whip up the perfect soufflé or feast with us at the finest restaurants in Singapore and around the region” (Edipresse Asia). Chefs from leading local restaurants are interviewed, and the voices of “fellow foodies and industry watchers” offer an “insider track” on food-related news: “what’s good and what’s new” (Edipresse Asia). In between these publications sits Epicure: Life’s Refinements, which features local dishes, chefs, and restaurants as well as an overseas travel section and a food memories column by a featured author. Locally available ingredients are also highlighted, such as abalone (Cheng) and an interesting range of mushrooms (Epicure). While there is a focus on an epicurean experience, this is presented slightly more casually than in Wine & Dine. Food & Travel focuses more on home cookery, but each issue also includes reviews of Singapore restaurants. The bimonthly bilingual (Chinese and English) Gourmet Living features recipes alongside a notable focus on food culture—with food history columns, restaurant reviews and profiles of celebrated chefs. An extensive range of imported international food magazines are also available, with those from nearby Malaysia and Indonesia regularly including articles on Singapore. Cookbooks These magazines all include reviews of cookery books including Singaporean examples – and some feature other food writing such as food histories, memoirs and blogs. These reviews draw attention to how many Singaporean cookbooks include a focus on food history alongside recipes. Cookery teacher Yee Soo Leong’s 1976 Singaporean Cooking was an early example of cookbook as heritage preservation. This 1976 book takes an unusual view of ‘Singaporean’ flavours. Beginning with sweet foods—Nonya/Singaporean and western cakes, biscuits, pies, pastries, bread, desserts and icings—it also focuses on both Singaporean and Western dishes. This text is also unusual as there are only 6 lines of direct authorial address in the author’s acknowledgements section. Expatriate food writer Wendy Hutton’s Singapore Food, first published in 1979, reprinted many times after and revised in 2007, has long been recognised as one of the most authoritative titles on Singapore’s food heritage. Providing an socio-historical map of Singapore’s culinary traditions, some one third of the first edition was devoted to information about Singaporean multi-cultural food history, including detailed profiles of a number of home cooks alongside its recipes. Published in 1980, Kenneth Mitchell’s A Taste of Singapore is clearly aimed at a foreign readership, noting the variety of foods available due to the racial origins of its inhabitants. The more modest, but equally educational in intent, Hawkers Flavour: A Guide to Hawkers Gourmet in Malaysia and Singapore (in its fourth printing in 1998) contains a detailed introductory essay outlining local food culture, favourite foods and drinks and times these might be served, festivals and festive foods, Indian, Indian Muslim, Chinese, Nyonya (Chinese-Malay), Malay and Halal foods and customs, followed with a selection of recipes from each. More contemporary examples of such information-rich cookbooks, such as those published in the frequently reprinted Periplus Mini Cookbook series, are sold at tourist attractions. Each of these modestly priced, 64-page, mouthwateringly illustrated booklets offer framing information, such as about a specific food culture as in the Nonya kitchen in Nonya Favourites (Boi), and explanatory glossaries of ingredients, as in Homestyle Malay Cooking (Jelani). Most recipes include a boxed paragraph detailing cookery or ingredient information that adds cultural nuance, as well as trying to describe tastes that the (obviously foreign) intended reader may not have encountered. Malaysian-born Violet Oon, who has been called the Julia Child of Singapore (Bergman), writes for both local and visiting readers. The FOOD Paper, published monthly for a decade from January 1987 was, she has stated, then “Singapore’s only monthly publication dedicated to the CSF—Certified Singapore Foodie” (Oon, Violet Oon Cooks 7). Under its auspices, Oon promoted her version of Singaporean cuisine to both locals and visitors, as well as running cookery classes and culinary events, hosting her own television cooking series on the Singapore Broadcasting Corporation, and touring internationally for the STB as a ‘Singapore Food Ambassador’ (Ahmad; Kraal). Taking this representation of flavor further, Oon has also produced a branded range of curry powders, spices, and biscuits, and set up a number of food outlets. Her first cookbook, World Peranakan Cookbook, was published in 1978. Her Singapore: 101 Meals of 1986 was commissioned by the STB, then known as the Singapore Tourist Promotion Board. Violet Oon Cooks, a compilation of recipes from The FOOD Paper, published in 1992, attracted a range of major international as well as Singaporean food sponsors, and her Timeless Recipes, published in 1997, similarly aimed to show how manufactured products could be incorporated into classic Singaporean dishes cooked at home. In 1998, Oon produced A Singapore Family Cookbook featuring 100 dishes. Many were from Nonya cuisine and her following books continued to focus on preserving heritage Singaporean recipes, as do a number of other nationally-cuisine focused collections such as Joyceline Tully and Christopher Tan’s Heritage Feasts: A Collection of Singapore Family Recipes. Sylvia Tan’s Singapore Heritage Food: Yesterday’s Recipes for Today’s Cooks, published in 2004, provides “a tentative account of Singapore’s food history” (5). It does this by mapping the various taste profiles of six thematically-arranged chronologically-overlapping sections, from the heritage of British colonialism, to the uptake of American and Russia foods in the Snackbar era of the 1960s and the use of convenience flavoring ingredients such as curry pastes, sauces, dried and frozen supermarket products from the 1970s. Other Volumes Other food-themed volumes focus on specific historical periods. Cecilia Leong-Salobir’s Food Culture in Colonial Asia: A Taste of Empire discusses the “unique hybrid” (1) cuisine of British expatriates in Singapore from 1858 to 1963. In 2009, the National Museum of Singapore produced the moving Wong Hong Suen’s Wartime Kitchen: Food and Eating in Singapore 1942–1950. This details the resilience and adaptability of both diners and cooks during the Japanese Occupation and in post-war Singapore, when shortages stimulated creativity. There is a centenary history of the Cold Storage company which shipped frozen foods all over south east Asia (Boon) and location-based studies such as Annette Tan’s Savour Chinatown: Stories Memories & Recipes. Tan interviewed hawkers, chefs and restaurant owners, working from this information to write both the book’s recipes and reflect on Chinatown’s culinary history. Food culture also features in (although it is not the main focus) more general book-length studies such as educational texts such as Chew Yen Fook’s The Magic of Singapore and Melanie Guile’s Culture in Singapore (2000). Works that navigate both spaces (of Singaporean culture more generally and its foodways) such Lily Kong’s Singapore Hawker Centres: People, Places, Food, provide an consistent narrative of food in Singapore, stressing its multicultural flavours that can be enjoyed from eateries ranging from hawker stalls to high-end restaurants that, interestingly, that agrees with that promulgated in the food writing discussed above. Food Memoirs and Blogs Many of these narratives include personal material, drawing on the author’s own food experiences and taste memories. This approach is fully developed in the food memoir, a growing sub-genre of Singapore food writing. While memoirs by expatriate Singaporeans such as Cheryl Lu-Lien Tan’s A Tiger in the Kitchen: A Memoir of Food and Family, produced by major publisher Hyperion in New York, has attracted considerable international attention, it presents a story of Singapore cuisine that agrees with such locally produced texts as television chef and food writer Terry Tan’s Stir-fried and Not Shaken: A Nostalgic Trip Down Singapore’s Memory Lane and the food memoir of the Singaporean chef credited with introducing fine Malay dining to Singapore, Aziza Ali’s Sambal Days, Kampong Cuisine, published in Singapore in 2013 with the support of the National Heritage Board. All these memoirs are currently available in Singapore in both bookshops and a number of museums and other attractions. While underscoring the historical and cultural value of these foods, all describe the unique flavours of Singaporean cuisine and its deliciousness. A number of prominent Singapore food bloggers are featured in general guidebooks and promoted by the STB as useful resources to dining out in Singapore. One of the most prominent of these is Leslie Tay, a medical doctor and “passionate foodie” (Knipp) whose awardwinning ieatŸishootŸipost is currently attracting some 90,000 unique visitors every month and has had over 20,000 million hits since its launch in 2006. An online diary of Tay’s visits to hundreds of Singaporean hawker stalls, it includes descriptions and photographs of meals consumed, creating accumulative oral culinary histories of these dishes and those who prepared them. These narratives have been reorganised and reshaped in Tay’s first book The End of Char Kway Teow and Other Hawker Mysteries, where each chapter tells the story of one particular dish, including recommended hawker stalls where it can be enjoyed. Ladyironchef.com is a popular food and travel site that began as a blog in 2007. An edited collection of reviews of eateries and travel information, many by the editor himself, the site features lists of, for example, the best cafes (LadyIronChef “Best Cafes”), eateries at the airport (LadyIronChef “Guide to Dining”), and hawker stalls (Lim). While attesting to the cultural value of these foods, many articles also discuss flavour, as in Lim’s musings on: ‘how good can chicken on rice taste? … The glistening grains of rice perfumed by fresh chicken stock and a whiff of ginger is so good you can even eat it on its own’. Conclusion Recent Singapore food publishing reflects this focus on taste. Tay’s publisher, Epigram, growing Singaporean food list includes the recently released Heritage Cookbooks Series. This highlights specialist Singaporean recipes and cookery techniques, with the stated aim of preserving tastes and foodways that continue to influence Singaporean food culture today. Volumes published to date on Peranakan, South Indian, Cantonese, Eurasian, and Teochew (from the Chaoshan region in the east of China’s Guangdong province) cuisines offer both cultural and practical guides to the quintessential dishes and flavours of each cuisine, featuring simple family dishes alongside more elaborate special occasion meals. In common with the food writing discussed above, the books in this series, although dealing with very different styles of cookery, contribute to an overall impression of the taste of Singapore food that is highly consistent and extremely persuasive. This food writing narrates that Singapore has a delicious as well as distinctive and interesting food culture that plays a significant role in Singaporean life both currently and historically. It also posits that this food culture is, at the same time, easily accessible and also worthy of detailed consideration and discussion. In this way, this food writing makes a contribution to both local and visitors’ appreciation of Singaporean food culture. References Ahmad, Nureza. “Violet Oon.” Singapore Infopedia: An Electronic Encyclopedia on Singapore’s History, Culture, People and Events (2004). 22 Nov. 2013 ‹http://infopedia.nl.sg/articles/SIP_459_2005-01-14.html?s=Violet%20Oon›.Ali, Aziza. Sambal Days, Kampong Cuisine. Singapore: Ate Ideas, 2013. Alsagoff, Lubna. “English in Singapore: Culture, capital and identity in linguistic variation”. World Englishes 29.3 (2010): 336–48.Bergman, Justin. “Restaurant Report: Violet Oon’s Kitchen in Singapore.” New York Times (13 March 2013). 21 Nov. 2013 ‹http://www.nytimes.com/2013/03/17/travel/violet-oons-kitchen-singapore-restaurant-report.html?_r=0›. Bishop, Peter. “Eating in the Contact Zone: Singapore Foodscape and Cosmopolitan Timespace.” Continuum: Journal of Media & Cultural Studies 25.5 (2011): 637–652. Boi, Lee Geok. Nonya Favourites. 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Acknowledgements Research to complete this article was supported by Central Queensland University, Australia, under its Outside Studies Program (OSPRO) and Learning and Teaching Education Research Centre (LTERC). An earlier version of part of this article was presented at the 2nd Australasian Regional Food Networks and Cultures Conference, in the Barossa Valley in South Australia, Australia, 11–14 November 2012. The delegates of that conference and expert reviewers of this article offered some excellent suggestions regarding strengthening this article and their advice was much appreciated. All errors are, of course, my own.
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