Academic literature on the topic 'Art et morale – 19e siècle'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Art et morale – 19e siècle.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Art et morale – 19e siècle"

1

Soubiran-Paillet, Francine. "Dépénalisation, association professionnelle et personne morale au 19e siècle en droit français." Revue interdisciplinaire d'études juridiques 35, no. 2 (1995): 95. http://dx.doi.org/10.3917/riej.035.0095.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Khapaeva, Dina. "L'Occident Sera Demain." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no. 6 (December 1995): 1259–70. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279430.

Full text
Abstract:
La chute du système soviétique s'est accompagnée de l'idéalisation de l'Occident. L'image de l'Occident est une vague représentation de la société, libre de tous les défauts du système soviétique et, donc une incarnation de la perfection morale et esthétique de l'existence et des rapports humains. Dans la vision russe de l'Occident, l'idéalisation actuelle marque une toute nouvelle étape. La « nouvelle occidentalophilie » est séparée de celle du 19e siècle par une rupture qui a duré presque un demi-siècle.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Suso López, Javier. "Littérature française et formation esthétique et morale dans les manuels de français de la fin du 19e siècle." Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, no. 24 (December 1, 1999): 205–21. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.3025.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Belley, Jean-Guy. "Paradigmes et innovation: les professeurs de droit et l'avenir des professions juridiques." Canadian journal of law and society 9, no. 2 (1994): 163–79. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100003690.

Full text
Abstract:
RésuméLa thèse soutenue par l'auteur est que le paradigme du positivisme juridique qui a assuré le succès professionnel des juristes depuis le milieu du 19e siècle est devenu préjudiciable à leur capacité d'innover. Un processus de changement de paradigme se manifeste à trovers trois évolutions majeures: la spécialisation croissante des juristes universitaires et praticiens; le brouillage dialectique de la séparation entre le droit, la politique et la morale; le déclin de l'autonomie intellectuelle de la science du droit au contact des technosciences. La segmentation des intérêts et le conflit de classes qui oppose les nouvelles générations à leurs prédécesseurs annoncent peut-être la fin du corporatisme professionnel comme mode officiel de représentation et d'organisation de la communauté juridique. Les professeurs de droit et, de façon privilégiée, les spécialistes des rapports entre le droit et la société peuvent jouer un role névralgique en produisant une meilleure connaissance de la transition actuelle vers un nouveau paradigme du droit.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Lohrey, Ivana. "« Le Roi-grenouille ou Henri-de-Fer»: désexualisation (?) et illustrations artistiques contemporaines." Ondina - Ondine, no. 1 (April 11, 2018): 182–96. http://dx.doi.org/10.26754/ojs_ondina/ond.201812254.

Full text
Abstract:
Depuis la première publication du « Roi-Grenouille ou Henri-de-Fer » dans les « Kinder- und Hausmärchen » du 19e siècle, on se heurte à l’aspect érotique du conte, à commencer par la scène de la fontaine, lieu de transition et de promesse. En l’occurrence, on oscille entre une « désexualisation » et une « re-sexualisation » non seulement du texte, mais également de sa représentation picturale. Comment les artistes contemporains ont-ils abordé cet érotisme ancré dans le conte lui-même ? Jadis comme naguère, ils ont trouvé leur propre piste d’interprétation. Mots clés: Contes, Frères Grimm, Le roi-Grenouille, « Désexualisation », Art contemporain
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Dmitrieva, Ekaterina. "Les prémisses du transfert culturel dans les sciences humaines russes du XXe siècle: la contribution de Vladimir Stasov." Jangada: crítica | literatura | artes 1, no. 17 (August 6, 2021): 270–90. http://dx.doi.org/10.35921/jangada.v1i17.402.

Full text
Abstract:
En Russie, la « poétique historique », qui est étroitement liée au nom d'Alexandre Veselovski (1838-1906), a profondément façonné l'histoire de la littérature comparée. La puissante figure de Veselovski a en même temps remis dans l’ombre les activités de ses prédécesseurs et de savants partageant les mêmes idées, dont le critique d`art Vladimir Stasov. Celui-ci, jouissant d'une autorité incontestable dans des domaines très éloignés de la théorie de l'emprunt, fut également auteur d`un certain nombre d` études, semi-oubliées aujourd'hui, dans lesquelles, tout en défendant l`idée de l'art national, il tente en même temps de prouver la continuité de l'art russe par rapport à l'art asiatique. La question est de savoir comment l'exigence d'identité (samobytnost1) dont Stasov se montre un grand adepte, pouvait être liée dans son esprit à la conviction de la composante orientale de cette identité. Comment l'idée cosmopolite et l'idée nationale peuvent-elles être corrélées ? et quelles sont les composantes étrangères qui sous-tendent l'identité nationale ? Cette dernière question nous amène à nous demander sur les prémisses lointaines de la théorie des transferts culturels qui sont à chercher, par ailleurs, en Russie du 19e siècle.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

O'Brien, Anne. "Creating the Aboriginal Pauper: Missionary Ideas in Early 19th Century Australia." Social Sciences and Missions 21, no. 1 (2008): 6–30. http://dx.doi.org/10.1163/187489408x308019.

Full text
Abstract:
AbstractThis article examines the relationship between nineteenth century English poor law discourse and missionary work in colonial Australia. The text analyses key sites of Christian missionary philanthropy in New South Wales (NSW) and Victoria in the period 1813-1849. It looks at changes in the ethos of one benevolent institution set up for poor whites, the Benevolent Society of New South Wales. Activated by Christian paternalism at its foundation in 1813 the ethos of this institution became dominated by the language of moral reform by the 1830s. The article also examines the first institution established for Indigenous people, the Native Institution at Parramatta, NSW, founded in 1814. Its aims and character will be compared and contrasted with those of the Female and Male Orphan schools for white children. The text considers also how Christian philanthropic visions for the improvement of Indigenous people were affected by factors such as accelerating pastoral expansion, loss of Indigenous food sources and retaliatory violence. Cet article examine la relation entre le discours relatif aux lois sur les pauvres au 19e siècle en Angleterre et le travail missionnaire en Australie coloniale, en se penchant sur les sites clés de la philanthropie chrétienne dans le New South Wales et Victoria durant les années 1813 à 1849. Ainsi, le texte analyse les transformations de l'éthos d'une institution bénévole créée pour s'occuper des pauvres blancs, la Société Bénévole de New South Wales. Alors qu'il était un produit du paternalisme chrétien à sa fondation en 1813, l'ethos de l'institution fut marqué par le langage de la réforme morale vers les années 1830. Le regard se porte également sur la première institution pour les peuples indigènes, la Native Institution at Parramatta, fondée en 1814. Ses buts et son caractère sont comparés et contrastés avec ceux des orphelinats pour filles et garçons blancs. Le texte considère enfin comment les vues philanthropiques chrétiennes pour l'amélioration des peuples indigènes ont été affectées par des facteurs tels que l'expansion pastorale croissante, la perte de nourriture indigène et la violence de représailles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

De Courcelles, Dominique. "Amour et mort, vie de sainteté dans la littérature et la spiritualité à València au XVème siècle: de saint Vicent Ferrer à Sor Isabel de Villena." SCRIPTA. Revista Internacional de Literatura i Cultura Medieval i Moderna 14 (December 26, 2019): 276. http://dx.doi.org/10.7203/scripta.0.16370.

Full text
Abstract:
Résumé: Le Royaume de València, au XVème siècle, tient une place majeure dans l’histoire de la littérature et de la spiritualité et dans l’histoire religieuse de la péninsule Ibérique, cependant que s’achève la Reconquista et que s’unifient les Espagnes. Une même quête de réforme morale et d’élévation spirituelle s’exprime aussi bien dans les sermons du dominicain Fra Vicent Ferrer que dans les traductions d’auteurs classiques et de la Renaissance effectuées par un autre dominicain, Fra Antoni Canals. La spiritualité valencienne est militante : elle veut convaincre, séduire, donner et parfois imposer ce qu’elle reconnait comme indispensable à la perfection et au salut. Les héros valenciens du XVème siècle sont des chevaliers et des religieux, des saints et des saintes. Ils manient l’épée ou la parole, ou les deux, pour défendre les valeurs du christianisme, l’art d’aimer et de mourir chrétiennement, la vérité, la justice, la paix. C’est ainsi que l’anonyme roman de Curial e Güelfa ou le Cant espiritual du chevalier Ausiàs March témoignent de la jonction entre chevalerie et théologie, cependant que Joanot Martorell, chevalier auteur du roman de Tirant lo Blanc, et Sor Isabel de Villena, abbesse des clarisses de la Trinité, auteur d’une Vita Christi, désignent, chacun à sa mesure, une ouverture spirituelle de l’histoire, une nécessaire conversion intérieure. Des joutes poétiques et théologiques réunissent clercs et chevaliers, entrelaçant sainteté et amour sensible et permettant l’élaboration des goigs, célèbres prières chantées qui prendront toute leur importance dans la vie spirituelle des fidèles après le concile de Trente. Mots clef: Chevalerie, Joutes, poétiques, Littérature, Spiritualité, Théologie Abstract: The Kingdom of Valencia, in the 15th century, holds a major place in the history of literature and spirituality and in the religious history of the Iberian Peninsula, while the Reconquista is completed and the Spanish are united. The same quest for moral reform and spiritual elevation is expressed in the sermons of the Dominican fra Vicent Ferrer as well as in the translations of classical and Renaissance writers by another Dominican, Fra Antoni Canals. Valencian spirituality is militant: it wants to convince, seduce, give and sometimes impose what it recognizes as indispensable to perfection and salvation. Valencian heroes of the 15th century are knights and religious and saints. They wield the sword or the word, or both, to defend the values of Christianity, the art of loving and dying Christianity, truth, justice, peace. Thus the anonymous novel by Curial e Güelfa or the Cant espiritual of the knight Ausiàs March testify to the junction between chivalry and theology, while Joanot Martorell, knight author of the novel of Tirant lo Blanc, and Sor Isabel de Villena, Abbess of the clares of the Trinity, author of a Vita Christi, designate, each to its own measure, a spiritual opening of history, a necessary interior conversion. Poetic and theological games bring together clergy and knights, intertwining holiness and sensitive love and allowing the development of goigs, famous sung prayers that will take all their importance in the spiritual life of the faithful after the Council of Trent.Keywords: Chivalry ,Poetic, Jousting, Literature, Spirituality, Theology.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Blais, Louise. "Biopolitique." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.105.

Full text
Abstract:
On doit à Michel Foucault la notion de biopolitique, proposée dès 1974, et dont il en attribuera l’héritage à son maitre, Georges Canguilhem. Depuis, la notion de biopolitique occupe une place non négligeable dans des domaines et disciplines aussi variés que le « management » privé ou public, la santé et les services sociaux, le commerce ou les sciences humaines et sociales (littérature, philosophie, sociologie, anthropologie….). La biopolitique est au cœur des processus de normalisation et de contrôle social. Citons d’emblée Foucault : « Le contrôle de la société sur les individus ne s’effectue pas seulement par la conscience ou par l’idéologie, mais aussi dans le corps et avec le corps. Le corps est une réalité biopolitique ; la médecine est une stratégie biopolitique » (Foucault, 1994 : 210). La biopolitique, soutient Foucault, est une stratégie politique de la gouvernance qu’il faut situer dans le cadre qui l’a vu naitre : l’émergence du libéralisme (Foucault, 2004). La biopolitique désigne le nouvel objet de gouvernance des sociétés libérales depuis deux siècles: la population comme ensemble des gouvernés dans leur existence biologique (Gros et al, 2013). La biopolitique est tout à la fois stratégie politique, outil de savoir/pouvoir et pratique gouvernementale/institutionnelle. Sa tâche, sa responsabilité, son mandat est de s’occuper de la « santé » des populations: natalité, mortalité, morbidité, hygiène, alimentation, sexualité, pollution, pauvreté, comportements… l’air, l’eau, les constructions, les égouts …. Le champ de la santé s’étend alors à l’infini, à travers un panoptique, c’est à dire, ce dispositif qui rend possible l’idée d’un regard englobant portant sur chacun des individus (Foucault, 1994 : 261). C’est en ce sens que, pour Foucault, la médecine ne se réduit pas à la seule figure du médecin; elle est une « stratégie biopolitique » qui se déploie et s’incarne dans un dispositif institutionnel et professionnel indispensable à la gouvernance des sociétés (néo)libérales (Foucault, 1994 : 210). C’est aussi en ce sens que Guillaume le Blanc (2006 :154) soutiendra que : « La médicalisation de la vie humaine est l’évènement majeur de la biopolitique ». De ce point de vue, les études populationnelles et épidémiologiques, dont les premières remontent au 19e siècle (Blais, 2006) prennent toute leur importance comme outils de la gouvernance. D’une part, elles nourrissent les choix et décisions des gouvernants concernant les populations à gouverner, choix et décisions qui sont à la fois d’ordre politique, économique, social et culturel, et qui s’inscrivent dans des rapports de pouvoir. D’autre part, elles modélisent les représentations des populations (des gouvernés) dans leur existence biologique et sociale. La biopolitique est en ce sens un mode de connaissance, à la fois des populations en tant qu’agrégats d’individus, et de soi en tant qu’individu dans la collectivité. La biopolitique est, chez Foucault, un outil qui forge les normes, outil essentiel à la gouvernance et ses instances de pratiques : la justice, bien sûr, mais aussi, et notamment, les institutions de la santé, des services sociaux, de l’éducation, du travail… Elle établit des normes visuelles (les apparences, les comportements, les performances, les existences biologiques…) et discursives (les manières de nommer les choses, de les dire, le dicible, ce qui est recevable, la parole, l’expression, l’argumentation…). Elle modélise les représentations faites de la norme, des représentations autant de l’autre, du différent, de la non-norme, que de soi en tant qu’individu(s) par rapport et en rapport(s) à autrui et sa place dans la collectivité. Comme le souligne le Blanc (2006 :9), chez Foucault la vie est qualifiée par des normes qui sont tout à la fois des normes de savoir et des normes de pouvoir. Toutefois, le contrôle social n’est pas que processus unidirectionnel, hiérarchique ou « top-down », ce qui serait inadéquat pour rendre compte de la complexité de son mode opératoire. Judith Revel (2008 : 28) résume ainsi le fonctionnement de la biopolitique néolibérale et ce qui en fait l’efficacité dans la pensée de Foucault, efficacité dans le sens de « comment ça marche ». Le contrôle social, dit-elle, est « une économie du pouvoir qui gère la société en fonction de modèles normatifs » de l’appareil d’État et ses institutions. En même temps, pour qu’il ne soit pas que répression autoritaire, le contrôle social opère par l’intériorisation de la norme chez les individus, une « pénétration fine du pouvoir dans les mailles de la vie », que Foucault appelait le « pouvoir capillaire ». En tant que mode de connaissance, la biopolitique produit du savoir et donc, selon la formule consacrée, du pouvoir. D’une part, il y a le(s) savoir(s) qui alimente(nt) les gouvernants dans l’exercice du pouvoir. Les classifications et catégories toujours plus différenciées de la biopolitique produisent des individus objectivés d’une population à gérer, l’individu-objet sur lequel agissent les institutions de la gouvernance (Blais 2006). Sur ce point, Foucault rejoint des auteurs comme Illich (1975), Goffman (1968) et Castel (1981, 1979, 1977) qui ont analysé et exposé les effets contreproductifs, stigmatisants, assujettissants ou normalisants de la pensée et des pratiques classificatrices dès lors qu’elles enferment les individus dans des catégories. D’autre part, il y a le(s) savoir(s) qui alimente(nt) aussi les gouvernés dans leur rapport à la norme, dans les manières de l’intérioriser à travers les choix, décisions et pratiques qui tissent toute vie au quotidien. Un savoir qui produit ainsi un individu-sujet, un sujet pensant et agissant. En d’autres termes, le sujet émerge à travers les catégories qui le définissent. La biopolitique renvoie inévitablement à la question de la manière (ou l’art, dirait Foucault) de gouverner (Gros et al, 2013 : 6). À l’ère du numérique, du Big Data, des algorithmes, qui connaissent un essor global depuis la mort de Foucault en 1984, la notion de biopolitique est-t-elle encore un outil d’analyse efficace des modalités de contrôle et de gouvernement des populations? Pour certains, dont Pierre Dardot et Christian Laval (2016), ce passage du gouvernement des corps, c’est à dire à une forme de pouvoir qui s’exerce sur les corps par une surveillance individualisée, au gouvernement de soi-même implique un nouveau mode de gouvernance. Celui qui se met en place s’appuierait moins, argüent-ils, sur les normes et contrôles de la biopolitique, que sur l’idée de la liberté des sujets qu’il s’agit de gouverner par des incitations et mesures les laissant en apparence libres d’agir, en canalisant, voire en manipulant les intérêts des individus et des populations. C’est ce que Foucault appelait la « conduite des conduites ». Dardot et Laval donnent comme exemple de telles mesures celui du code de la route où la liberté est celle du « choix » du chemin et de la destination, mais selon les règles de la route (vitesse, permis, etc). D’autres diront que le pouvoir d’accumulation de masses de données par les Facebook, Google et autres grands joueurs de l’internet dessine un nouvel art de la gouvernance où la surveillance a cédé au profilage. D’un régime de normalisation on passe à un régime de neutralisation, soutient Antoinette Rouvroy (2018 : 63). Et pour Mondher Kilani, la biopolitique détient désormais un « … pouvoir démultiplié de surveillance et d’engloutissement des individus et des conscience,… » (Kilani, 2018 : 292). Il s’agit alors d’étudier les biopolitiques contemporaines là où elles se redéfinissent en permanence (Fassin, 2006 : 40). Si les catégories de la biopolitique ont tendance à objectiver les individus, elles contiennent aussi une source de re-subjectivation. Chez Foucault, le processus de re-subjectivation ne se réduit pas à l’individu : se défaire des marques objectivantes de la pensée et de la pratique classificatrice ne se fait pas seul. La création de nouvelles pratiques arrivent aussi par le bas, comme en témoigne l’impact des mouvements féministes, écologistes, homosexuels, transgenres, de personnes psychiatrisées….. C’est pourquoi Foucault s’intéressait aux micro-pratiques (dans les prisons, les milieux psychiatriques, etc) comme pratiques de liberté et lieux de dé-assujettissement. D’où l’importance pour les sciences humaines et sociales d’étudier et d’exposer les nouveaux modes opératoires de la biopolitique, mais aussi les micro-pratiques de résistance, de liberté, les contre-pouvoirs qui se créent dans les interstices de la société. Car la «vie politique» est constituée d’un débat permanent entre gouvernés et gouvernants (Gros et al, 2013 : 7).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Art et morale – 19e siècle"

1

Fartas, Nadia. "Modernité et simplicité : l'art de la nuance. Littérature et arts visuels en France dans la seconde moitié du XIXe siècle." Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0162.

Full text
Abstract:
Le propre de la modernité est d'inclure la critique dans ses fondements et de permettre les questionnements autant que le développement des savoirs. La modernité est donc indissociable du mouvement et du changement. Elle implique de nouvelles relations sociales, politiques et culturelles entre le singulier et le collectif, le particulier et l'universel, une complexité dont la littérature du XIXe siècle a su témoigner. Il est néanmoins remarquable que la notion de simplicité soit au centre des préoccupations d'auteurs fondateurs de la modernité littéraire et artistique. Dans les œuvres de Flaubert qui portent sur la modernité, dans les écrits sur l'art de Baudelaire et dans certaines vues urbaines et architecturales, tant littéraires que picturales, dont la série de La Cathédrale de Rouen de Monet, les formes de la simplicité et les notions afférentes permettent de mettre en évidence les formes du changement, afin de composer une esthétique de la modernité fondée sur la nuance plutôt que sur la binarité ou le dogmatisme. Si la simplicité désigne l'indécomposable, la nuance se caractérise en effet par des différences de degrés quasiment indiscernables. L'art de la nuance qui procède d'une réévaluation moderne de la simplicité fait tenir ensemble la défense du beau, la singularité de l'œuvre d'art, l'attention portée au réel, aux savoirs et aux nouvelles temporalités, afin d'éloigner l'esthétisation, c'est-à-dire une conception du beau qui lisse les traits de la modernité. La nuance témoigne ainsi d'une relation inédite entre le visuel et le verbal, le texte et l'image, qui permet de mettre au jour les nouages entre poétique, esthétique et politique au coeur de la modernité
The peculiarity of modernity is to integrate criticism in its foundations and to allow questions as well as knowledge development. Therefore, modernity cannot be dissociated from movement and change. Thus, it implies a new kind of social, political and cultural relationship beween the singular and the collective, the particular and the universal, a complexity which XlXth literature managed to testify. However, it is noteworhy that the notion of simplicity is at the centre of the preoccupations of founder authors of artistic and literary modernity. In Flaubert's works dealing with modernity, Baudelaire's written works on arts and in urban views, either literary, pictorial or architectural ones, for instance Monet's series of The Rouen Cathedral, the simplicity forms and meanings which are associated to them make it possible to put the forms of change in a conspicuous position in order to make up an aesthetics of modernity based on shade instead of on binarism or dogmatism. If simplicity refers to what cannot be broken down, the main features of shade are, indeed, grade differences which can hardly be detected. The art of shade which originates in a modern revaluation of simplicity holds together the defence of the beautiful, the singularity of the work of art, the attention to reality, knowledge and new temporalities in order to thwart aesthetization, in other words a conception of the beautiful that covers the features of modernity. Thus, shade shows a new relationship between the visual and the verbal, the text and the image, which brings up to date the knotting between poetics, aesthetics and politics at the heart of modernity
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Ferreira, Liliane. "Oscar Wilde : Esthétique et philosophie de la provocation." Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100007.

Full text
Abstract:
Les sur-déterminations éthiques et esthétiques d’Oscar Wilde qui masquaient l’invisible de son œuvre et de son être, nous ont contraints à nous installer dans le visible de sa photographie pour descendre peu à peu dans les cercles voilés de ses décisions provocatrices. Ces décisions vont se positionner en premier lieu dans un pressenti : les enjeux philosophiques, esthétiques et politiques structurés dans tous ses écrits, annoncent une détermination aux accents libertaires et tragiques. Porté par une mélancolie lancinante, Wilde va tisser une œuvre que la Philosophie doit désormais aborder, non seulement pour la qualité de ses suggestions esthétiques, mais tout autant pour avoir, à lui seul, dit et fait ce que tout être peut désormais imaginer et réaliser : la transformation de soi par soi à force de provocations abouties. Quand l’être-même se bouscule pour interroger la violence d’un système social dans toutes les contradictions et les limites de ses instances, quand il s’y livre corps et âme jusqu’à ce que sa mort porte son sens de la beauté, de l’exigence d’être-au monde individuel et altruiste dans le même mouvement, alors il fallait dérouler le fil d’Ariane. Celui qui nous amènera à révéler le tragédien Wilde, le libre-penseur qui a intuitionné son devenir, c’est-à-dire qui a souterrainement posé les conditions de sa vie d’artiste, de ses exigences esthétiques pour les vivre en adéquation totale avec ses théories et son imaginaire prodigieux. Il était tragédien, il est mort tragiquement, mais c’était son projet. Oscar Wilde est né une seconde fois le 30 novembre 1900, en saluant Nietzsche au passage
The ethical and aesthetic overdeterminations about Oscar Wilde, that blocked off the invisible of his work and being, compelled us to settle in the visible of his photograph in order to move gradually down the veiled circles of his troublemaking decisions. These decisions first take position in a feeling: the philosophical, esthetical and political propositions at stake in all his writings announce a determination of the will with libertarian and tragical mood. Led by a haunting melancholy, Wilde weaves a work that philosophy has yet to tackle, not only because of the quality of his esthetical suggestions, but also because he, by himself, said and made what every being may yet imagine and realize: the selftransformation of the self by the means of accomplished provocations. When the very being turns himself upside down in order to question the violence of a social system in all the contradictions and boundaries of the same system, when he abandons himself to it until his death wears his meaning of beauty, so then had we to unwind the Ariane's thread. The thread that brings us to reveal Wilde the tragedian, the freethinker who intuitioned his becoming, i. E. Who laid underground the conditions of his life as an artist and his esthetical demands in order to live them appropriately to his theories and extraordinary imagination. He who was a tragedian died tragically, but he did it on purpose. Oscar Wilde was born again on November the 30th 1900, waving to Nietzsche by the way
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Dumaire, Sophie. "La technique du conte dans les dernières années du XVIIIe siècle." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040213.

Full text
Abstract:
Que devient le conte au moment où les Lumières sont absorbées par la Révolution ? Quels sont les thèmes abordés par ce genre dit mineur, alors que s'impose l'histoire et que sont contestés les cadres de vie traditionnels ? Dans cette tourmente, loin de disparaître, le conte survit et il est, à la fin du XVIIIe siècle, un genre toujours vivace et protéiforme : en vers ou en prose, d'inspirations diverses, empruntant à l'Orient merveilleux comme à la morale la plus convenue, les contes, dans une sorte de métamorphose interne, s'imprègnent des préoccupations morales du moment
How is tale getting on when the Enlightenment is absorbed by the French Revolution? Which topics are used by this minor genre as it is called, whereas history asserts itself and the traditional environment is contested? In this storm, far from disappearing, tale survives and at the end of this century, is still, a long-lived and protean genre : in verse or in prose, with various inspirations like the marvellous East or the most conventional moral, tales are impregnated with the moral concerns of the moment, in a kind of internal metamorphosis
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Stanić, Milovan. "La pensée morale de l'art : de Poussin au Bernin." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010745.

Full text
Abstract:
L'étude porte sur deux oeuvres capitales de Nicolas Poussin (l'autoportrait et les bergers d'arcadie), et sur les projets du Bernin pour le Louvre de Louis XIV en 1665, oeuvres et faits dont le sens et la portée historique sont restitués. La première partie fonde les méthodes d'investigation dans l'esthétique, entendue comme travail hermeneutique particulier. Le constant souci éthique de la pensée de l'art est dégagé qui peut être saisi comme le horizon du sens donné à l'art dans un contexte historique, et qui permet d'approfondir la compréhension des oeuvres et des processus creatifs. Les oeuvres de Poussin sont interprétées en accord avec l'analyse de l'idée de l'art du peintre, Nicolas Poussin, idée morale conciliant le don individuel et le travail méthodique et rationnel de la représentation. La troisième partie rouvre le dossier des plans du Bernin pour le Louvre rejetés au profit de l'actuelle colonnade. La base des investigations est constituée par l'édition critique du journal de Chantelou à laquelle est joint un nombre important de documents d'archives ( en annexe). L'interprétation concentre les aspects multiples de l'affaire Bernin sur le divorce entre le génie artistique et le decorum princier. À travers l'échec de l'artiste, l'idée d'une autonomie morale de l'art s'est trouvée singulièrement affirmée
The study concerns essentially two paintings of n. Poussin (the self-portrait and the arcadian shepherds), and the architectural projects of Bernini for the louvre in the reign of louis XIV (1665), a new approach restoring the sense and the historical importance of this works. The first part of the study intends to found the methods of its enquiries on the aesthetics, philosophical discipline which is supposed to be preceeding in this case as a particular hermeneutics. Constant ethical solicitudes for the thought concerning art are elucitated, solicitudes which are recognised in the study as horizons of sens attributed to art in particular historical contexts and which allow to go further in the comprehension of the works of art as well as of processes of creation. The paintings of poussin are thus interpreted according to the painter's conception of art, a moral conception which reconciles his personal, individual talent, and his rational work on the pictorial representation. The third part of the study deals with bernini's plans for the louvre, plans finally rejected and replaced by the present colonnade. The enquiry is based upon a new (critical) edition of chantelou's diary, and upon an important number of archive documents (edited in annex). The interpretation of facts and projects is focused on the esential gulf introduced between the genius of the artist and the decorum of the prince
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Leroux, Serge. "L'Ancien Régime et la Révolution : de la morale naturelle à la morale républicaine (1750-1799)." Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010517.

Full text
Abstract:
Notre thèse comporte quatre partie qui correspondent aux diverses catégories de l'histoire intellectuelle telle que définit par R. Darnton. Dans la première partie, nous esquissons l'"aire" de la morale telle que nous la percevons dans les œuvres, opinions, polémiques des philosophes et des moralistes. Nous démontrons comment une morale chrétienne, fondée sur la révélation, se substitue peu à peu une morale naturelle, les deux étant d'ailleurs en relation de dépendance et d'emprunts réciproques. La seconde partie consiste à analyser l'idée de morale dans l'opinion des révolutionnaires. Les mêmes thèmes seront repris et étudiés dans le contexte propre à la révolution, pour en saisir l'évolution et les interrelations qu'ils supposent. Nous démontrons que, de la morale naturelle à la morale républicaine, ce qui change n'est pas la définition de l'idée mais ses modalités de diffusion et d'application. Dans la troisième partie, nous abordons la question de la diffusion de la morale dans la société française par le biais des diverses institutions créées par les révolutionnaires, alors que la quatrième partie analyse les processus d'appropriation et de réception du discours par les classes populaires
Our thesis consists of four sections that correspond to the different categories of intellectual history as defined by r. Darnton. In the first section, we outlined the "field" of ethics as we perceive it through the works, opinions, polemics of philosophers an moralists. We show how the christian ethic based on the revelation is gradually eroded by the idea of natural ethics, the two being mutually and reciprocally dependend. The second section analyses the ethical idea according to the opinions of the revolutionaries. The same themes are taken up again and studied in the context of the revolution in order to fully grasp the evolution and the interrelations that they imply. We demonstrate that from natural ethics to republican ethics, it is not the definition of the ethical idea that changes but rather its modalities of distribution and application. In the third section, we deal with the question of the distribution of the ethical idea in the french society through the various institutions created by the revolutionaries, while the fourth section analyses the processes of appropriation and reception of the message by the popular classes
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Lemos, Maya Suemi. "Du discours moral au discours musical : le thème de la vanité dans la musique italienne post-tridentine." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040103.

Full text
Abstract:
Le thème de la vanité est sous-jacent à toute l’épistémè des XVIe et XVIIe siècles : véritable discours sur la fugacité de la vie, sur le caractère éphémère et vain de toute chose terrestre, il affecte alors tous les domaines représentatifs – les arts plastiques, la littérature, mais aussi la musique. En effet, les représentations musicales du thème de la vanité foisonnent dans l’Italie post-tridentine, où elles nous apparaissent comme une catégorie à part entière à l’intérieur de l’ensemble de la musique dévotionnelle. S’appropriant à peu près tous les genres musicaux en usage – des genres sacrés aux genres profanes, des genres sérieux et savants aux formes légères –, elles se déclinent en des modalités discursives et opératoires diverses. Cette variété témoigne de la nécessité d’étendre le discours moral qu’elles portent à tous les secteurs sociaux : les Vanités, fussent-elles picturales, littéraires ou musicales, semblent matérialiser, dans leur condensé de significations, le code moral de l’époque. Donnant forme à celui-là elles l’affirment et le diffusent, sans doute, ne contribuant pas moins, pourtant, à l’abolir
The theme of vanity underlies the entire episteme of the sixteenth and seventeenth centuries: veritable discourse on the transience of life, on the ephemeral and vain character of all earthly things, it affects all the domains of artistic expression - literature, the visual arts, but also music. The musical representations on the theme of vanity abound in Post-Tridentine Italy, where they constitute an autonomous category within the ensemble of devotional music. Through the appropriation of almost every musical genre of the time - the sacred and the secular, the serious and learned but also the lighter forms - they take various discursive and operational paths. This variety testifies of the necessity to extend the moral discourse to all parts of society: the Vanities - be they pictorial, literal or musical - seem to materialize, in their condensation of meaning, the moral code of the time. Giving form to it, they affirm it and spread it, but can't, nevertheless, avoid to exhaust it
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Buttay, Florence. "Fortuna : Usages politiques d'une allégorie morale (Italie et France, v.1460-70 - v.1600)." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040026.

Full text
Abstract:
Pourquoi de si nombreux souverains, mais aussi tant de capitaines et d'hommes d'Etat ont choisi la fortune pour emblème à la Renaissance ? Ce travail analyse comment une allégorie forgée pour l'édification des fidèles devient un élément du vocabulaire politique. La " renaissance " de l'Antiquité se révèle davantage adaptation de la culture médiévale à de nouveaux besoins, en particulier au développement des formes de communication politique. En dépit des tentatives de censure dont elle est davantage l'objet à partir de 1530, l'allégorie de la fortune continue sa carrière et trouve place dans les discours et les images de combat que multiplient catholiques et protestants
Why have so many sovereigns, just as so numerous captains and statesmen chosen it as their emblem at this period? This work analyses how an allegory, created for the edification of the faithful, becomes part of the political vocabulary. The “Renaissance of Antiquity” appears to be more the recovery and the adaptation of medieval culture to new needs, in particular to the development of political communication forms. Its expressions differ according to the types of documents considered. A pluridisciplinary approach of much varied sources anables us to bring out the specificity of each one of its uses. Censorship increases from 1530 onwards, Catholics and Protestants still use the allegory of Fortune in their rhetorical fighting through words and images
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Cosnet, Bertrand. "L'imagerie morale italienne (v.1315 - v.1415) : figurer et personnifier les vertus selon les ordres mendiants et les communes toscanes." Thesis, Tours, 2011. http://www.theses.fr/2011TOUR2018.

Full text
Abstract:
L’imagerie morale connaît un essor considérable dans la péninsule italienne entre 1315 et 1415. Les ordres mendiants, notamment les franciscains, les dominicains et les augustins, sont les principaux promoteurs du renouveau de ce thème. Intégralement tournés vers l’étude et la propagation de la morale, ces trois ordres entrent en concurrence les uns avec les autres sur la question des vertus. Chez les laïcs, les villes mettent en œuvre une imagerie cohérente dressant le portrait de communes vertueuses destinée à légitimer les gouvernements et à dénoncer les régimes tyranniques. À partir d’un corpus iconographique riche (plus de 700 images), l’étude des vertus et des vices se propose de dégager la fonction et la signification des personnifications dans l’art italien à la veille de l’époque moderne. L’analyse des images met à jour les notions qui travaillent les figurations des vertus : les procédés artistiques consistant à figurer des valeurs morales ; la dimension édifiante et mnémonique des personnifications ; les échos et les écarts entre les personnifications et les exemplifications ; le phénomène de vulgarisation de la morale par l’image
The moral imagery knows an exceptional development in the Italian Peninsula between 1315 and 1415. The mendicant orders, in particular the Franciscans, the Dominicans and the Augustinians, are the main instigators of the revival of this theme. Completely turned towards the study and the propagation of morality, these three orders are in competition on the matter of virtues. Among the laymen, cities initiate a coherent imagery drawing the portrait of virtuous communes intended to legitimate the governments and to denounciate the tyrannical systems. From a large iconographic corpus (more than 700 pictures), the study of virtues and vices intends to find the function and the meaning of personifications in the Italian art on the eve of Modern history. The analysis of pictures brings to light the notions that underlie the representation of virtues: the artistic processes consisting in representing moral values; the edifying and mnemonic dimension of personifications; the echos and gaps between personifications and exemplifications; the popularization phenomenon of ethics by the picture
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Rabiller, Carole. "Critique d’art et morale. Une réception critique française et anglaise de la peinture victorienne." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL139.

Full text
Abstract:
En déplaçant les problématiques traditionnelles - celles des analyses strictement nationales - cette thèse propose d'explorer, à l'aide d'une perspective comparative, l'importance donnée au critère moral par la critique, française et anglaise, lors de sa réception de la peinture victorienne. Le corpus de ce travail s'appuie sur l'étude successive des œuvres anglaises présentées tant aux expositions universelles parisiennes (1855, 1867, 1878 et 1889) qu'à la Royal Academy et des commentaires critiques publiés dans la presse spécialisée ou non. Cette démarche révèle la dynamique des échanges interculturels entre les deux pays autour de la question morale et met en évidence l'existence d'une réception nationaliste de l'art par la critique. Dès lors, le jugement porté sur une œuvre par un critique dépend de sa culture, de son goût, mais aussi plus largement du contexte social et des principes propres à sa société. À ce titre, le climat de compétition entre la France et l'Angleterre se retrouve dans les articles et ouvrages publiés de chaque coté de la Manche. De puissants débats critiques mettent en lumière les processus d'appropriation et de rejet participant à la définition des deux cultures artistiques. Ils réunissent art et morale en interrogeant l'existence d'un « grand genre » victorien, l'exposition comme un espace permettant à la critique de circonscrire un art national et de se définir elle-même, ainsi que l'influence moraliste de John Ruskin (1819-1901) sur la société et son art. L'hétérogénéité de la profession de critique d'art associée à la plasticité du mot « morale » permet donc à ce travail de proposer une définition de la peinture victorienne et de ses acteurs
By shifting the traditional issues - those of strictly national analyses - this thesis proposes to explore, using a comparative perspective, the importance given to the moral criterion by critics, French and English, when receiving Victorian painting. The corpus of this work is based on the successive study of English paintings presented at the “Expositions universelles” in Paris (1855, 1867, 1878 and 1889) as well as at the Royal Academy, and of the critical comments published in the press specialized or not. This approach reveals the dynamics of intercultural exchanges between the two countries around the moral issue and highlights the existence of a nationalist reception of art by critics. Consequently, a critic's judgment of a painting depends on their culture, their taste, but also more broadly on the social context and the principles specific to their society. As such, the competitive climate between France and England is reflected in the articles and books published on both sides of the English Channel. Powerful critical debates highlight the processes of appropriation and rejection that contribute to the definition of the two artistic cultures in relation to each other. They bring art and morality together by questioning the existence of a Victorian “grand genre”, the exhibition as a place for critics to circumscribe a national art and define themselves, as well as John Ruskin's (1819-1901) moralist influence on society and the art it produces. The heterogeneity of the art criticism profession associated with the plasticity of the word “moral” therefore allows this work to propose a definition of Victorian painting and its actors
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Daengklom, Sayan. "Érotique et réception de la peinture dans les salons de Diderot." Paris, EHESS, 2000. http://www.theses.fr/2000EHES0118.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Art et morale – 19e siècle"

1

Hodge, Susie. Pourquoi un enfant de 5 ans n'aurait pas pu faire cela: L'art moderne expliqué. Paris: Marabout, 2013.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Loic, Chotard, Guyaux André, and Marchal Sophie, eds. La vie romantique: Hommage à Loïc Chotard. Paris: Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, 2003.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Godbersen, Anna. Envy (Luxe Series, Book 3). HarperCollins, 2009.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography