Journal articles: 'Art pariétal'

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Rigal, Gwenn. "Art pariétal, nouvelles hypothèses." Les Grands Dossiers des Sciences Humaines N° 52, no. 9 (September 1, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.3917/gdsh.052.0003.

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Bruxelles, Laurent, Marc Jarry, Jean-Yves Bigot, François Bon, Grégory Dandurand, and Céline Pallier. "La biocorrosion, un nouveau paramètre à prendre en compte pour interpréter la répartition des oeuvres pariétales : l’exemple de la grotte du Mas d’Azil en Ariège." Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique 68, no. 1 (2016): 21–30. https://doi.org/10.3406/karst.2016.3104.

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Abstract:

Des observations récentes montrent que les chauves-souris ont un impact important sur les morphologies pariétales de très nombreuses grottes dans le monde. L’état de surface et les formes associées attestent de la fréquence et de l’ampleur du phénomène de biocorrosion, les parois ayant pu reculer par dissolution de quelques millimètres à plusieurs décimètres voire mètres. Si ces retouches post-karstogéniques impliquent une révision de certains processus invoqués dans le creusement ou la réutilisation de conduits karstiques, elles ont également des conséquences sur l’art pariétal en grotte. Ainsi, il est envisageable que dans les cavités où vivent des colonies de chauves-souris, les oeuvres d’art, qu’elles soient peintes ou gravées, ont disparu avec la dissolution de leur support. En fonction de la géométrie, de la morphologie et de l’aérologie d’une cavité, ses parois ont pu être affectées par l’altération et notamment la biocorrosion. Il en résulte une répartition de l’art pariétal visible qui n’est pas uniquement due au choix des hommes préhistoriques mais aussi à un processus taphonomique. Ce processus peut affecter les zones profondes de grottes, habituellement les mieux protégées : il devient donc important de savoir en identifier les stigmates et d’en évaluer l’ampleur avant d’interpréter la répartition spatiale de l’art pariétal d’une grotte. La grotte du Mas d’Azil (Ariège) présente une véritable opposition entre les parties ornées, où l’on observe encore les formes de creusement initiales, et celles sans art, où les formes de biocorrosion sont manifestes.

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Monney, Julien. "L’art pariétal paléolithique de la grotte aux Points d’Aiguèze : définition d’un dispositif pariétal singulier et discussion de ses implications." Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique 72, no. 1 (2018): 45–60. https://doi.org/10.3406/karst.2018.3173.

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Abstract:

Points cave palaeolithic rock art : discussing its spatial organization and its implications Located in the middle of the Ardèche river gorges (southern France), Points cave contains some rock art attributed to the Upper Palaeolithic, including : series of large dots, animals’ representations, bilobed signs, and an angular sign. An in-depth description and analysis of the rock art and its iconographic and technic characteristics is given here, along with a thorough examination of the structural links that may exist between the different pieces of rock art. Through a discussion of the formal homogeneity vs. diversity of this rock art assemblage, it gives the opportunity to tackle the issues of spatial organization and chronocultural identity. This article concludes to the strong cultural association between palm-dots and bilobed signs and to the presence of a very similar rock art assemblage in some specific sectors of Chauvet cave. Using the concept of “iconographic project” it points out the inner chronocultural consistence of Points cave rock art, but the possible coexistence of, at least, two different iconographic projects in Chauvet cave, eventually leading to question the chronocultural homogeneity of its rock art.

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Jaubert, Jacques. "L’« art » pariétal gravettien en France : éléments pour un bilan chronologique." Paléo, no. 20 (December 1, 2008): 439–74. http://dx.doi.org/10.4000/paleo.1635.

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Foucher, Pascal, and Cristina San Juan. "La Grotte de Roquecourbère (Betchat, Ariège) : ses industries lithiques solutréennes et la révision critique de son art pariétal." Bulletin de la Société préhistorique française 97, no. 2 (2000): 199–210. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2000.11087.

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Nowell, April. "Michel Lorblanchet. Art pariétal: grottes ornées du Quercy. 448 pages, numerous colour & b&w illustrations, tables. 2010. Paris: Rouergue; 978-2-8126-0164-4 hardback € 49." Antiquity 86, no. 332 (June 2012): 573–74. http://dx.doi.org/10.1017/s0003598x00063018.

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J. Conard, Nicholas, and Harald Floss. "Une pierre peinte du Hohle Fels ( Baden-Württemberg , Allemagne) et la question de l' art pariétal paléolithique en Europe centrale/A painted stone from Hohle Fels cave (Baden-Württemberg, Germany) and the question of paleolithic parietal art in Central Europe/Ein bemalter Stein vom Hohle Fels (Baden-Württemberg, Deutschland) und die Frage nach paläolithischer Höhlenkunst in Mitteleuropa." Paléo 11, no. 1 (1999): 167–76. http://dx.doi.org/10.3406/pal.1999.1252.

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Delluc, Brigitte, and Gilles Delluc. "Art paléolithique en Périgord. Les représentations humaines pariétales." L'Anthropologie 113, no. 3-4 (July 2009): 629–61. http://dx.doi.org/10.1016/j.anthro.2009.09.009.

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Monney, Julien, and Stéphane Jaillet. "Fréquentations humaines, ornementation pariétale et processus naturels : mise en place d’un cadre chronologique pour la grotte aux Points d’Aiguèze." Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique 73, no. 1 (2019): 49–62. https://doi.org/10.3406/karst.2019.3199.

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Abstract:

A first chronological framework for points cave : integrating human uses of the site, rock art production and natural processes. Between 2011 and 2015, the “Cave Art Dating” project (in French : Projet “Datation Grottes Ornées” (DGO) undertook archaeological research at Points Cave (Gard, France). This research has provided chronological data regarding natural processes as well as human uses of the site and rock art production. Compiling a list of chronological data coming from all fields of research in the form of Harris matrices gives the opportunity to draw up a first chronological framework for the events that took place in the cave. This framework shows the consistency of all relative sequences recorded in the cave. The few discrepancies are discussed in terms of chronological heterogeneity (e. g., charcoal marks), and/ or of long duration of the phenomena in question (e. g., rock polish by animals, wall spalling). In the end, different high points separated by more or less important hiatus emerge from this scenario : a period of cave bear occupation possibly until the end of MIS 3 (ca. 24-25 ky) ; some human uses of the site, including rock art production, during the Upper Palaeolithic (Gravettian and Solutrean) ; then a first historical or prehistorical phase of sheepfold, and a time during which the soil of the cave was excavated at large scale for unknown reasons ; followed at last by other historical uses of the cave, including a sheepfold during the second half of the 19th century. Using data coming from other sites, this article then discusses the age of each of these high points and their chronological implications at a wider scale.

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Gros, Pierre, and Dinu Theodorescu. "Le mur nord du Forum d'Assise [Ornementation pariétale et spécialisation des espaces]." Mélanges de l’École française de Rome. Antiquité 97, no. 2 (1985): 879–98. http://dx.doi.org/10.3406/mefr.1985.1481.

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Gogny, Anne, and Emmanuel Topie. "La vasectomie chez le chien." Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline 15, no. 70 (2018): 48–50. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/70048.

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Abstract:

La vasectomie est une technique qui consiste à ligaturer et à sectionner les canaux déférents afin d’induire une stérilité sans altérer la sécrétion des hormones sexuelles mâles. L’azoospermie apparaît généralement en 1 semaine bien que la présence de spermatozoïdes ait été rapportée 3 semaines après l’intervention. Les caractères sexuels secondaires et le comportement du chien (dont fugues, agressions et marquage urinaire) ne sont pas altérés du fait de la persistance des androgènes. Les indications sont la stérilisation d’un chien sans s’exposer aux inconvénients à long terme de la castration, et la prévention de la reproduction des chiens qui présentent une cryptorchidie unilatérale et chez lequel la castration n’est pas souhaitée. Après incision entre l’anneau inguinal et le scrotum en regard du cordon spermatique, puis incision de la tunique vaginale pariétale, le canal déférent est isolé et séparé délicatement des vaisseaux testiculaires. Deux ligatures sont posées avec du fil résorbable sur le canal déférent et une portion de 1 à 2 cm est sectionnée entre les deux ligatures. Le canal et les vaisseaux sont réintégrés dans la tunique vaginale. Celle-ci est suturée avant fermeture classique de la plaie opératoire. Outre les complications chirurgicales classiques à court terme (douleur, risque anesthésique, hémorragie), un inconfort (chez l’homme) et des dermatites scrotales récidivantes (chez le chien) sont décrits à long terme.

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Pigeaud, Romain, Hélène Valladas, Maurice Arnold, and Hélène Cachier. "Deux datations carbone 14 en spectrométrie de masse par accélérateur (SMA) pour une représentation pariétale de la grotte Mayenne-Sciences (Thorigné-en-Charnie, Mayenne) : émergence d’un art gravettien en France septentrionale ?" Comptes Rendus Palevol 2, no. 2 (March 2003): 161–68. http://dx.doi.org/10.1016/s1631-0683(03)00014-9.

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Sieveking, Ann. "L'Art Pariétal Archaïque en Aquitaine. By Brigitte Delluc and Gilles Delluc. 300mm. Pp. ix + 392, 235 figs., 5 tables. Paris: Editions du Centre National de la Recherche Scientifique, XXVIII sup. à Gallia Préhistoire, 1991. ISBN 2-222-04600-9." Antiquaries Journal 73 (September 1993): 197–98. http://dx.doi.org/10.1017/s0003581500071857.

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Lawson, Andrew J. "Rock art in the old world. Edited by M. Lorblanchet. 583 pp. New Delhi, India: Indira Gandhi National Centre for the Arts, 1992. ISBN 81 85503 00 1. Rs 750.0 (in India), $50 (overseas). - L'art pariétal Paléolithique; techniques et methodes d'etude. Ministère De l'enseignement supérieur et de la recherche. 420 pp. 1993. Paris, France: Editions du Comité des Travaux historiques et scientifiques. ISBN 2 7355 0286 4. 320 FF. - La protección y conservación del arte rupestre paleolitíco. Edited by F. J. Fortea Perez. 191 pp. Spain: Consejeria de Educación, Cultura, Desportes y Juventud, Principado de Asturias, Oviedo, 1994. ISBN 84 7847 198 7. - La grotte chauvet. By J.-M. Chauvet, E. B. Deschamps, and C. Hillaire. 117 pp., 94 pls. Paris, France: Editions du Seuil, 1995. ISBN 2 950 7656 2 9. 195 FF." Proceedings of the Prehistoric Society 61 (1995): 463–65. http://dx.doi.org/10.1017/s0079497x00003182.

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Pinçon, Geneviève. "Art mobilier et art pariétal du roc-aux-sorciers (Angles-sur-l’Anglin, Vienne, France) : disparités ou significations communes ?" Palethnologie, no. 5 (January 30, 2013). http://dx.doi.org/10.4000/palethnologie.5057.

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Brusa-Zappellini, Gabriella. "Mental Imagery and Iconic Imagery: The Art of the Origins between Neuropsychology and Shamanism." IRIS, no. 39 (December 15, 2019). http://dx.doi.org/10.35562/iris.978.

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Abstract:

L’art pariétal du Paléolithique supérieur présente, à côté d’un extraordinaire répertoire animalier bien diversifié, un grand nombre de signes qui ne trouvent pas d’équivalents dans la perception de la réalité sensible. Tandis que les images des humains ou des créatures mi-humaines mi-animales sont très rares, ces formes aniconiques, souvent géométrisantes et aisément classifiables, sont globalement plus nombreuses que les animaux. Si saisir l’intentionnalité qui a poussé les premiers artistes à peindre sur les parois représente un défi pour nos compétences interprétatives, les « signes » constituent l’aspect le plus énigmatique de ce défi. Il y a trente ans, en 1988, dans la revue Current Anthropology, a été publié un article de James D. Lewis-Williams et Thomas A. Dowson, « The Signs of All Times. Entoptic Phenomena in Upper Paleolithic Art », ouvrant une nouvelle perspective sur l’origine des signes. En appliquant le modèle neuropsychologique à l’imagerie bidimensionnelle de l’art des grottes, il est possible d’identifier à des signes à valeur universelle, selon les auteurs, les apparitions entoptiques présentes, avec leurs diverses modalités combinatoires, dans l’art rupestre de « tous les temps ». Cette interprétation de l’art des sociétés préhistoriques, qui resitue la naissance des images dans les territoires visionnaires des cultures chamaniques, a soulevé en France des perplexités et des polémiques innombrables, parfois acerbes. Il est prioritaire alors de voir si le modèle neuropsychologique est effectivement en mesure d’offrir un cadre explicatif des données archéologiques des grottes ornées et de ses « constructions symboliques », en mesure d’intégrer tous les indices disponibles dans une construction théorique cohérente.

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Brusa-Zappellini, Gabriella. "Mental Imagery and Iconic Imagery: The Art of the Origins between Neuropsychology and Shamanism." IRIS, no. 39 (December 15, 2019). http://dx.doi.org/10.35562/iris.978.

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Abstract:

L’art pariétal du Paléolithique supérieur présente, à côté d’un extraordinaire répertoire animalier bien diversifié, un grand nombre de signes qui ne trouvent pas d’équivalents dans la perception de la réalité sensible. Tandis que les images des humains ou des créatures mi-humaines mi-animales sont très rares, ces formes aniconiques, souvent géométrisantes et aisément classifiables, sont globalement plus nombreuses que les animaux. Si saisir l’intentionnalité qui a poussé les premiers artistes à peindre sur les parois représente un défi pour nos compétences interprétatives, les « signes » constituent l’aspect le plus énigmatique de ce défi. Il y a trente ans, en 1988, dans la revue Current Anthropology, a été publié un article de James D. Lewis-Williams et Thomas A. Dowson, « The Signs of All Times. Entoptic Phenomena in Upper Paleolithic Art », ouvrant une nouvelle perspective sur l’origine des signes. En appliquant le modèle neuropsychologique à l’imagerie bidimensionnelle de l’art des grottes, il est possible d’identifier à des signes à valeur universelle, selon les auteurs, les apparitions entoptiques présentes, avec leurs diverses modalités combinatoires, dans l’art rupestre de « tous les temps ». Cette interprétation de l’art des sociétés préhistoriques, qui resitue la naissance des images dans les territoires visionnaires des cultures chamaniques, a soulevé en France des perplexités et des polémiques innombrables, parfois acerbes. Il est prioritaire alors de voir si le modèle neuropsychologique est effectivement en mesure d’offrir un cadre explicatif des données archéologiques des grottes ornées et de ses « constructions symboliques », en mesure d’intégrer tous les indices disponibles dans une construction théorique cohérente.

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