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Journal articles on the topic 'Arts et Métiers'

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Diefendorf, Barbara B. "Family Culture, Renaissance Culture." Renaissance Quarterly 40, no. 4 (1987): 661–81. http://dx.doi.org/10.2307/2862447.

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Abstract:
Born in 1960 with the publication of Philippe Ariès's L'enfant et la vie familiale, family history as we know it has been tremendously fertile. Although the succession is disputed, its progeny are legion. It is not my intention here to trace the complex genealogy of Ariès's descendants or to separate dutiful heirs from rebels who have renounced their patrimony. The family tree is too prolific, its internal divisions too complex. I hope rather to focus on two main themes in the history of the family, themes which seem to me particularly fruitful where our understanding of the Renaissance is concerned. The first theme involves the fundamental structures of family life— ties of kinship and patterns of residence. The second is marriage and the role of women in the family. In both cases, I am particularly interested in the cultural values represented by these structures and behaviors.
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Jankovic, Zeljka. "Les relations éducatives entre la Serbie et la France dans la période 1936-1940." Prilozi za knjizevnost, jezik, istoriju i folklor, no. 82 (2016): 119–37. http://dx.doi.org/10.2298/pkjif1682119j.

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Abstract:
Le premier XIXe si?cle met la Serbie en contact plus intense avec la France, berceau des valeurs d?mocratiques et du patrimoine culturel europ?en aux yeux des Serbes subissant l?occupation turque depuis des si?cles. C?est ? partir de cette p?riode que commencent ? se d?velopper les liens culturels, politiques et ?ducatifs plus ?troits entre deux pays, particuli?rement renforc?s pendant la Grande Guerre, o? la France aide les jeunes serbes en leur ouvrant la porte de ses ?coles et universit?s. La Convention sign?e en 1920 en vue de la mise en place de la coop?ration intellectuelle et ?ducative (surtout universitaire) des deux pays pr?voyait ?galement la position privil?gi?e de la langue fran?aise au sein du syst?me ?ducatif serbe : en effet, dans les ann?es 30 du XXe si?cle, celleci sera la mati?re la plus enseign?e apr?s la langue serbe et les math?matiques, et le Minist?re des affaires ?trang?res fran?aises enverra r?guli?rement des livres fran?ais, ainsi que des dipl?mes et m?dailles pour les meilleurs ?l?ves. En raison de la croissance de l?influence politique italienne et surtout allemande dans les Balkans, un Congr?s des clubs fran?ais de Yougoslavie, tenu en 1935, marque le d?but des d?marches coordonn?es visant ? renforcer la pr?sence fran?aise dans tous les domaines de la vie sociale yougoslave. Les responsables du D?partement d??ducation aupr?s de l?Ambassade yougoslave ? Paris (Aleksandar Arnautovic puis Milan Markovic) informaient r?guli?rement Belgrade des activit?s dans la capitale fran?aise et ailleurs. Les boursiers du Gouvernement fran?ais (qui accordait la moiti? de la somme totale du budget aux ?tudiants yougoslaves, dont le nombre variait entre 60 et 100 par an dans la p?riode 1936-1940), du retour dans leur pays, r?pandront l?esprit de la culture fran?aise, ainsi que les connaissances acquises dans tous les domaines. Parmi les personnalit?s importantes qui excelleront dans leur m?tier se trouvent : Dr Vukan Cupic, professeur ? l?Universit? de Belgrade et directeur de l?Institut belgradois pour la m?re et l?enfant (boursier du fonds d?Alexandre de Yougoslavie de la mairie de Marseille 1938-1940), le chimiste Pavle Savic qui collaborait avec Ir?ne Curie, Dr Borisav Arsic qui a soutenu la th?se La Vie ?conomique de la Serbie du Sud au XIX si?cle (Paris, France-Balkans, 1936), Dr Branislav Vojnovic, directeur du Th??tre national, Dr Milos Savkovic qui ?tudiait l?influence de la litt?rature fran?aise sur le roman serbe etc. Les jeunes yougoslaves choisissent surtout la litt?rature, les arts et les sciences humaines. D?autre c?t?, le gouvernement yougoslave finan?ait chaque ann?e cinq ?tudiants fran?ais faisant la recherche au sein des universit?s yougoslaves. De nombreuses conf?rences sont dispens?es par les professeurs yougoslaves et fran?ais ; les ?coles franco-serbes, l?Institut fran?ais, les clubs et les associations de l?amiti? donnent les cours de fran?ais ; l?Association des ?tudiants en langue et litt?rature fran?aises organise les soir?es fran?aises et va r?guli?rement en excursions en France ; le Minist?re d??ducation finance les formations estivales des professeurs de fran?ais. Du c?t? fran?ais, l?Institut slave, la Chaire de serbo-croate ? l??cole de langues vivantes orientales avec des professeurs ?minents tels Andr? Vaillant et Andr? Mazon, le Lectorat serbe ? Paris, Strasbourg, Lyon etc. contribuaient aux ?tudes yougoslaves. La langue serbo-croate a ?t? inscrite sur la liste des langues vivantes que les ?l?ves pouvaient passer au baccalaur?at en 1936. Pourtant, cet ?panouissement sera de nouveau menac? par une p?n?tration politique et ?conomique des forces de l?Axe de plus en plus forte ? la veille de la Deuxi?me guerre mondiale : c?est ainsi que l?allemand devient la langue ?trang?re obligatoire au detriment du fran?ais en 1940, les entreprises fran?aises ferment leurs portes, tandis que de nombreuses activit?s culturelles et d?marches ?ducatives cherchent ? pr?server l??tat privil?gi? dont la France jouissait en Serbie depuis la Grande Guerre.
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3

Kotegawa, Shojiro. "« Le tiers me regarde dans les yeux d’autrui »." Revue internationale Michel Henry, no. 6 (September 13, 2018): 145–59. http://dx.doi.org/10.14428/rimh.v0i6.6813.

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Abstract:
Pour envisager notre société, il y a deux positions majeures : le libéralisme qui affirme la liberté de l’individu comme principe politique suprême, et le communautarisme qui privilégie l’intérêt de la communauté sur celui des individus qui la composent. Chaque approche a sa légitimité, mais en même temps sa difficulté : la première, prenant la société pour la limitation ou plutôt l’expansion de la liberté de l’individu, ne peut traiter que négativement notre rapport aux faibles ; la seconde, concevant la communauté comme « donnée », risque de négliger la manière dont l’individu y adhère. Dans sa réflexion sur le « tiers », Levinas a frayé une troisième voie qui nous délivre de cette antinomie. En refusant de prendre la liberté de l’individu ou la communauté pour « données » et d’accorder à l’une ou l’autre la priorité absolue, Levinas aborde la société à partir de la relation avec autrui, laquelle « précède » la communauté ou la loi universelle mais aussi la « conditionne ».
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Guy, Fleur. "« J’habite… enfin…, je me comprends » : l’appropriation territoriale des adolescents placés en question." Enfances, Familles, Générations, no. 19 (March 12, 2014): 127–44. http://dx.doi.org/10.7202/1023774ar.

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Abstract:
Le rapport à l’espace des adolescents, et plus particulièrement leur mobilité, est souvent appréhendé à travers le prisme de la famille et d’un lieu de résidence unique. Pourtant, certains individus vivent dès l’adolescence des situations de multirésidentialité, en lien notamment avec une prise en charge fondée sur le déplacement géographique. L’analyse des situations résidentielles des enfants placés montre une diversité de configurations, impliquant les parents, mais aussi la famille élargie et l’entourage. L’appropriation territoriale des adolescents intègre alors de multiples espaces : entre le domicile familial et le lieu de placement apparaissent des espaces tiers, révélateurs d’un rapport affectif au territoire.
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Vidal-Naquet, Lucien. "Journal, 15 septembre 1942-29 février 1944." Annales. Histoire, Sciences Sociales 48, no. 3 (June 1993): 513–43. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1993.279150.

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Abstract:
Ce n'est qu'après bien des hésitations, faites autant de pudeur que de paresse, que je me décide à ouvrir ce journal où je me propose — jusqu'à quand ? — de noter, au jour le jour, mes réflexions de spectateur passif et patient, devant le grand drame qui torture le monde depuis tant de mois.L'entreprise m'en paraît si vaine ; pour donner à ce document l'intérêt qu'il pourrait comporter pour les tiers, et pour moi-même, il me faudra faire preuve d'une telle sincérité que je m'en crois difficilement capable. Il y a si loin de la pensée fugitive qui traverse un instant mon esprit, à son expression écrite qui la fige, et risque de donner de moi une idée inexacte — donc négligeable, ou bien trop cruellement vraie, qui n'est pas moins redoutable.
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Blagojevic, Milos. "Zakon gospodina Konstantina i carice Jevdokije." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 44 (2007): 447–58. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0744447b.

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Abstract:
(francuski) Le seigneur Konstantin Dragas ?tait un seigneur local qui r?gnait en Mac?doine orientale (1372-1395) sur des territoires situes a l?est du Vardar et plus avant, en direction de la vall?e de la Mesta. Sur cet espace et plus particuli?rement dans la partie sud-est de la r?gion montagneuse appel?e Skopska crna gora, il d?tenait plusieurs possessions h?r?ditaires ('patrimoine'), dont une ?glise d?di?e a la Pr?sentation de la Vierge, sise dans le village d?Arhiljevica pr?s de Presevo. A cette ?glise ?taient rattaches 19 villages avec la totalit? de leur population, de sorte que le seigneur Konstantin et sa m?re l''imp?ratrice' (d?pointa) Jevdokija ont adopte une s?rie de r?glements, appel?s 'Loi pour les gens de l'?glise' ?tablissant les obligations des paysans d?pendants de cette ?glise. Il est connu que les paysans vivant dans les anciennes terres serbes ?taient redevables d'un grand nombre de corv?es compare aux donations en nature restant faible, a la diff?rence des contr?es que le roi Milutin avait enlev?es aux Byzantins (1280-1283) ou ils ?taient redevables de fortes donations en nature, qui ?taient per?ues selon le syst?me de la 'dime'. Un telle pr?dominance des donations en nature n'apparait pas de fa?on aussi nette dans la ' loi pour les gens de l'?glise', qui devait ?tre appliqu?e (1379) sur les possessions de l'?glise de la Pr?sentation de la Vierge a Arhiljevica. Parmi les donations en nature figurent uniquement la ' dime' des moutons et la 'dime' des peaux, alors que sont absentes les 'dimes' de bl? et de vin. Au lieu du versement du dixi?me de leur production de vin, les paysans ?taient tenus de travailler, pour l'?glise, une partie de sa vigne dont la superficie correspondait a l'mat' (environ 965 m?). Le texte de cette'loi' ne mentionne pas non plus la ' dime' du bl?, mais, en contre partie, les paysans y sont tenus d'effectuer ' 3 jours de labour par an' pour le compte de l'?glise et d'accomplir, sur la surface travaill?e, tous les travaux des champs lies a la production de c?r?ales, allant des semailles au battage. L'obligation de ' d'effectuer 3 jours de labour' repr?sente approximativement un tiers de la grande obligation de labour concernant 9 ' mati', soit ' 8 jours de labour', dont ?taient redevables les paysans des anciennes terres serbes. Le second tiers de la ' dime' de bl? ?tait fourni par les paysans sous forme d'une donation de 4 kab?l (68,32 l) de bl?, ce qui repr?sente approximativement le tiers du dixi?me de la production correspondant a une moisson moyenne. En l'occurrence un agriculteur disposant d'une paire de b?ufs pouvait, au cours d'une ann?e, labourer et semer de bl? environ 2,5 a 3 hectares et obtenir, sur cette superficie, un peu plus de 2000 litres de bl?. Un dixi?me de cette quantit? correspond donc a 200 litres, de sorte que 68 l. repr?sentaient approximativement un tiers d'une ' dime' habituelle. Enfin, le troisi?me tiers de la ' dime' de bl? ?tait fourni sous forme de service de transport pour le compte de l'?glise, concr?tement le transport du bl? et d'autres choses depuis Arhiljevica jusqu'a la vall?e de la Struma. Il en ressort que la totalit? des charges des paysans ?taient approximativement identique sur tout le territoire de l'Etat serbe m?di?val et ce qu'ils soient tenus de verser des ' dimes' de bl? ou d'animaux domestiques ou se voient imposer de grandes corv?es de ' labour' ou sous forme d'autres travaux des champs.
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Abitan, Audrey, and Silvia Krauth-Gruber. "« Ça me dégoûte », « Tu me dégoûtes » : déterminants et conséquences du dégoût physique et moral." L’Année psychologique 114, no. 1 (2014): 97. http://dx.doi.org/10.3917/anpsy.141.0097.

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McKinley, Mary B. "Rabelais, Marguerite de Navarre et la dédicace du Tiers Livre: voyages mystiques et missions terrestres." Romanic Review 94, no. 1-2 (January 1, 2003): 169–83. http://dx.doi.org/10.1215/26885220-94.1-2.169.

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Houssou, C., and B. Lachaux. "La demande du tiers et la validité de l’hospitalisation à la demande d’un tiers : les difficultés à surmonter." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 168, no. 10 (December 2010): 727–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2010.08.007.

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Houssou, C., and B. Lachaux. "La demande du tiers et la validité de l’hospitalisation à la demande d’un tiers : mise en œuvre de l’hospitalisation." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 168, no. 10 (December 2010): 723–26. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2009.12.021.

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Defaux, Gerard. "L'Extase et ses paradoxes: Essai sur la structure narrative du Tiers Livre (review)." French Forum 27, no. 1 (2002): 149–51. http://dx.doi.org/10.1353/frf.2002.0005.

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Butterworth, Emily. "Scandal in Rabelais’s Tiers Livre: Divination, Interpretation, and Edification." Renaissance and Reformation 34, no. 4 (September 20, 2012): 23–43. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v34i4.18649.

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Abstract:
Cet article explore les liens entre la divination, l’interprétation et le scandale, en se penchant sur le Tiers Livre de Rabelais, et en empruntant à la théologie du scandale d’après les épîtres de Paul. L’auteur développe d’abord les raisons pour lesquelles la divination a pu apparaître comme scandaleuse au XVIe siècle. L’auteur retrace ensuite la notion de scandale de Rabelais dans son Tiers Livre, en examinant en détail le personnage ambigu de Panurge et sa capacité à la fois de se scandaliser et de scandaliser. On se penche ensuite sur l’alternative qu’offre Rabelais au scandale, en particulier, à la prophétie dans le sens paulinien de l’édification. Cet article montre enfin que l’oeuvre de Rabelais est elle-même un scandale de la même façon que l’évangile en est un dans la première épître de Paul aux Corinthiens : un objet étrange et paradoxal qui prouve la foi de quelqu’un, ou son absence.
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Larlham, Daniel. "Show Me a Good Time by Sean Patten et al." Theatre Journal 73, no. 1 (2021): 108–10. http://dx.doi.org/10.1353/tj.2021.0026.

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Adam, Anne-Marie, and Agnès Rouveret. "Cavaleries et aristocraties cavalières en Italie entre la fin du VIe siècle et le premier tiers du IIIe siècle av. notre ère." Mélanges de l’École française de Rome. Antiquité 107, no. 1 (1995): 7–12. http://dx.doi.org/10.3406/mefr.1995.1882.

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Bahier-Porte, Christelle. "« L’expérience me l’apprend » : Marc Michel Rey et la presse en Hollande." University of Toronto Quarterly 89, no. 4 (April 2021): 731–46. http://dx.doi.org/10.3138/utq.89.4.07.

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Kincaid, James R. "Pouvoir, Félicité, Jane, et Moi (Power, Bliss, Jane, and Me)." Critical Inquiry 25, no. 3 (April 1999): 610–16. http://dx.doi.org/10.1086/448936.

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Kramer, Samuel Noah, and J. van Dijk. "Lugal ud me-lám-bi nir-g̃ál: Texte, Traduction et Introduction." Journal of the American Oriental Society 105, no. 1 (January 1985): 135. http://dx.doi.org/10.2307/601544.

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Beaucage, Pierre. "Le vent du sud: Les idées du Tiers-Monde et les marxistes quéabécois dans les années 1970." Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie 27, no. 1 (July 14, 2008): 95–114. http://dx.doi.org/10.1111/j.1755-618x.1990.tb00446.x.

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Verba, Cynthia. "What recitatives owe to the airs: a look at the dialogue scene, Act I scene 2 of Rameau's Hippolyte et Aricie – version with airs." Cambridge Opera Journal 11, no. 2 (July 1999): 103–34. http://dx.doi.org/10.1017/s0954586700004973.

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Abstract:
The oft-cited observations of Italian librettist Carlo Goldoni as he described his first visit to the Académie Royale de Musique in 1763 are usually presented with an emphasis on what Goldoni missed. Accustomed as he was to eighteenth-century Italian opera, he could not hear a single aria in the French opera: “I waited for the aria … The dancers appeared: I thought the act was over, not an aria. I spoke of this to my neighbor who scoffed at me and assured me that there had been six arias in the different scenes which I had just heard. How could this be? I am not deaf; the voice was always accompanied by instruments … but I assumed it was all recitative.”
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Amann, Elizabeth. "Dress, Desire, and Displacement in Góngora’s Sonnets." Renaissance and Reformation 34, no. 4 (September 20, 2012): 65–84. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v34i4.18651.

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Abstract:
Ces dernières années, les études critiques ont souligné le rôle du regard — le plaisir de la vue — dans la représentation du désir chez Góngora. Cet article met l’emphase sur le rôle d’intermédiaire du désir dans la poésie de Góngora. L’analyse se penche sur un groupe de sonnets qui représentent diverses robes, « Oh piadosa pared, merecedora » (1582), « Culto Jurado, si mi bella dama » (1583), et « Del color noble que a la piel vellosa » (1584). À l’aide d’une lecture attentive, on y examine comment le désir dans ces poèmes est déplacé du corps de l’aimé vers un tiers, intermédiaire, qui est associé à l’esthétique. Dans ces trois cas, la relation entre le sujet qui regarde et l’intermédiaire prend le pas sur la relation entre ce sujet et l’objet du désir. Les poèmes mettent en lumière l’importance du phantasme et de la perception esthétique dans le concept du désir chez Góngora.
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Reveyron, Nicolas. "Technologie médiévale et archéologie d'élévation : l'échafaudement du chevet de la cathédrale Saint-fean de Lyon (dernier quart XIIe - premier tiers XIIIe)." Archéologie médiévale 27, no. 1 (1997): 91–129. http://dx.doi.org/10.3406/arcme.1997.902.

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Renner, Bernd. "“Ni l’un ni l’autre et tous les deux à la fois”: Le Paradoxe ménippéen inversé dans le Tiers Livre de Rabelais." Romanic Review 97, no. 2 (March 1, 2006): 153–68. http://dx.doi.org/10.1215/26885220-97.2.153.

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Manchester, Ralph A. "Technology in Performing Arts Healthcare Research." Medical Problems of Performing Artists 29, no. 3 (September 1, 2014): 121–22. http://dx.doi.org/10.21091/mppa.2014.3026.

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Abstract:
Two articles in this issue of Medical Problems of Performing Artists use specific technologies to advance our understanding of particular aspects of performance health. Clemente et al. used three-dimensional accelerometers to measure the motion of the head, jaw, and neck in pianists. Saito et al. used electromyography (EMG) in the soleus muscles of dancers along with transcranial magnetic stimulation to show that the corticospinal tract adapts to the demands of dancing. These two examples of the use of technology in performing arts medicine research led me to review past issues of the journal to get a better sense of which technologies have been more or less frequently used and how they have contributed to the state of the art.
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Madsen-Brooks, Leslie. "« Je ne me suis pas perdue et ne souhaite pas que l’on me trouve ». Stratégies des femmes dans les musées de sciences en Californie (xixe-." Culture & musées, no. 30 (December 1, 2017): 111–31. http://dx.doi.org/10.4000/culturemusees.1229.

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Bojovic, Bosko. "Eglise - société - Etat L’Église orthodoxe serbe à la fin du XXe et au début du XXIe siècle." Balcanica, no. 41 (2010): 231–66. http://dx.doi.org/10.2298/balc1041231b.

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Abstract:
Au cours du dernier tiers du XXe si?cle les institutions religieuses ont parcouru subrepticement le chemin entre marginalisation et passage au premier plan de la sc?ne publique des pays en transition. La fin des id?ologies s?est sold?e par la mise en place des identit?s communautaristes. Alors que dans les d?mocraties lib?rales le fait religieux est caract?ris? par la formule believing without belonging, les choses sont diam?tralement oppos?es dans les soci?t?s en transition. Minoritaire avant la fin des ann?es quatre-vingts, l?appartenance confessionnelle atteint ainsi 94% lors du recensement de 2003 en Serbie-Mont?negro. L?appartenance ? la confession majoritaire se situe autour de 50% d?une population dans un pays comme la France, le point commun avec la Serbie ?tant que quelques 4% seulement se d?clarent pratiquants. La sp?cificit? des pays en transition tardive comme la Serbie, o? le cat?chisme a ?t? introduit en 2000, dix ans apr?s la Croatie et la Bosnie-Herz?govine, soul?ve la question de la cl?ricalisation rapide de la soci?t? en contrepartie de la s?cularisation et de la politisation des communaut?s confessionnelles. ? d?faut d?un projet de soci?t?, en moins de temps que dans les autres pays en transition, les institutions religieuses se sont mues en supports id?ologiques des autorit?s politiques affaiblies, en g?n?ratrices des restructurations des identit?s ethno-confessionnelles, en piliers des coh?sions communautaires, en institutions pilotes de consensus sociaux. Cela explique qu?une analyse de ce processus d?histoire de soci?t? n?est pas seulement ? m?me de nous ?clairer sur notre pass? le plus r?cent, mais encore sur le devenir du pr?sent qui est le n?tre ? l?horizon de nouveaux ?largissements europ?ens.
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Han, Qijun. "Feng Xiaogang’s Youth and the Nostalgic Imagination." Canadian Journal of Film Studies 30, no. 2 (September 1, 2021): 93–111. http://dx.doi.org/10.3138/cjfs-2019-0004.

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Abstract:
En analysant Youth (Feng Xiaogang, 2017), film sorti il n’y a pas longtemps, et son extraordinaire popularité en Chine, cet article entend se pencher sur les débats actuels concernant le rôle du cinéma en évoquant la nostalgie à travers la référence continuelle au passé national. Dérivé du roman semi-biographique You Touched Me du romancier chinois basé aux États-Unis Yan Geling, le film fournit à la fois une source et une réinvention de la mémoire collective du passé révolutionnaire et socialiste. La popularité de Youth réside dans le sentiment nostalgique qu’il crée non seulement pour les téléspectateurs qui ont vécu dans cette période historique spécifique, mais aussi pour ceux qui ont une image imagée du passé historique. Le mélodrame « pleurant » puissant trouve une expression séduisante dans des objets nostalgiques, tels que le style vestimentaire symbolique, la décoration intérieure avec des caractéristiques historiques et l’utilisation combinée de la musique « rouge classique » et des chansons populaires, qui fonctionnent pour construire l’authenticité perçue de la période. La nostalgie postsocialiste construite par Youth est une réaction réflexive au passé traumatique, et en même temps, elle anticipe un avenir meilleur.
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Lacore-Martin, Emmanuelle. "“Encores me frissonne et tremble le coeur dedans sa capsule”: Rabelais’s Anatomy of Emotion and the Soul." Renaissance and Reformation 39, no. 3 (January 14, 2017): 33–58. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v39i3.27720.

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Abstract:
This article examines the role of anatomical references in the representation of emotion and argues that they constitute textual markers of the Rabelaisian view of the relationship between the body and the soul, and the nature of the soul itself. By analyzing the ancient models of natural philosophy and medicine on which Rabelais draws—Galen, in particular—and by contextualizing Rabelais’s thinking within contemporary debates on the faculties of the soul, the article aims to shed light on his representation of the intersection between material and immaterial processes within the human body. Instead of trying to reconcile potentially contradictory aspects of these ancient models with the Christian faith, Rabelais’s prose is informed by an intuitive understanding of ancient philosophy. His exploitation of the Galenic concept of the animal spirits gives us invaluable insights into the influence of materialist representations of the soul on Rabelais’s thinking. Cet article étudie le rôle des références anatomiques dans la représentation rabelaisienne de l’émotion et propose d’y voir les marqueurs textuels de la façon dont Rabelais conçoit les rapports entre l’âme et le corps, et la nature de l’âme elle-même. En analysant les modèles anciens de la philosophie naturelle et de la médecine — Galien en particulier — dont Rabelais s’inspire et en situant sa pensée dans le contexte des débats contemporains sur les facultés de l’âme, l’article vise à éclairer la façon dont Rabelais représente l’intersection à l’intérieur du corps humain des processus matériels et immatériels. Sans chercher à réconcilier avec la foi chrétienne certains aspects de ces anciens modèles qui peuvent être en contradiction avec elle, la prose rabelaisienne porte la marque d’une compréhension intuitive de la philosophie ancienne. En particulier, l’exploitation de la conception galénique des esprits animaux donne de précieux aperçus concernant l’influence des représentations matérialistes de l’âme sur la pensée de Rabelais.
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Taylor, Miles. "'Teach Me This Pedlar's French': The Allure of Cant in The Roaring Girl and Dekker's Rogue Pamphlets." Renaissance and Reformation 41, no. 4 (January 1, 2005): 107–24. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v41i4.9060.

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Abstract:
Dans The Roaring Girl de Dekker et Middleton, ainsi que dans les pamphlets délinquants de Dekker, des citoyens respectables de Londres, fascinés par l’argot des bas-fonds de la société jacobéenne, offrent de payer Moll Cutpurse et des libraires, afin de se familiariser avec ce langage marginal. Aujourd’hui, comme à l’époque, on a soutenu que les dictionnaires d’argot avaient pour fonction de contribuer au contrôle des classes désavantagées par les lecteurs des classes dominantes. Toutefois, ces interprétations ne tiennent pas compte des transformations des discours au sujet de ces dictionnaires durant cette période. Au moment où The Roaring Girl est mis en scène en 1611, date séparée par presque un demi siècle des débuts de l’essor de la littérature délinquante, l’exploration des bas-fonds londoniens ne s’explique pas tant par les moyens qu’elle donne d’anticiper et de prévenir la délinquance en la reconnaissant, que par la pure recherche du plaisir des lecteurs. Dekker lui-même affirme que son exploration des faits et méfaits, et de l’argot de la classe criminelle jacobéenne, est amusante à lire pour tout le monde. La fonction de ces explorations n’est donc pas d’éviter de devenir une victime, mais plutôt d’amuser. Ces plaisirs procèdent aussi du lien entre le langage délinquant et le corps grotesque, objet même d’exclusion et de plaisir.
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Ezquerro, Lorena Suelves. "« J’avais peur de me faire déporter, mais j’ai demandé de l’aide » : Quand l’immigration par le parrainage se retourne contre les femmes." Anthropologica 62, no. 2 (December 24, 2020): 406–19. http://dx.doi.org/10.3138/anth-2018-0053.

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Abstract:
Cette recherche explore les effets que produisent les lois ayant trait à l’immigration sur le parcours des femmes parrainées. Le parrainage d’un conjoint ou d’une conjointe, qui facilite le regroupement familial des couples dont un membre réside au Québec et l’autre à l’extérieur du Canada, implique des démarches qui encouragent une « incorporation dépendante » (Roca Girona 2009) à la société d’accueil pour la personne parrainée. Des entrevues semi-dirigées menées auprès de dix femmes ayant été parrainées au Québec montrent que le processus est complexe et crée des relations de pouvoir asymétriques, menant parfois à la violence, dans un contexte de triple dépendance: légale, économique et sociale.
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Bowen, Barbara C. "Anne-Pascale Pouey-Mounou. Panurge comme lard en pois: Paradoxe, scandale et propriété dans le “Tiers livre.” Travaux d’Humanisme et Renaissance 513; Études rabelaisiennes 53. Geneva: Librairie Droz, 2013. 586 pp. $81.60. ISBN: 978-2-600-01608-7." Renaissance Quarterly 67, no. 2 (2014): 690–91. http://dx.doi.org/10.1086/677498.

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Bayer, Mark. "Staging Foxe at the Fortune and the Red Bull." Renaissance and Reformation 39, no. 1 (January 1, 2003): 61–94. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v39i1.8880.

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Abstract:
Cet article considère jusqu’à quel point deux pièces de théâtre jacobéennes, If You Know Not Me, You Know Nobody (1604), par Thomas Heywood, et The Whore of Babylon (1606), par Thomas Dekker, promouvaient l’éducation religieuse et le zèle protestant des spectateurs londoniens de la classe populaire après la Réforme pas encore achevée. Pour ce faire, elles disséminaient des histoires choisies aussi bien que l’idéologie du livre hautement significatif de John Foxe, Acts and Monuments (dit The Book of Martyrs), à un public plus large que celui que l’auteur lui-même avait visé.
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Natif, Mika. "Renaissance Painting and Expressions of Male Intimacy in a Seventeenth-Century Illustration from Mughal India." Renaissance and Reformation 38, no. 4 (February 9, 2016): 41–64. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v38i4.26373.

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Abstract:
This article explores the artistic relationship between Western European Renaissance art and Mughal painting ca. 1630s at the ateliers in North India. A central theme is the employment of European painterly modes in the Mughal visual tradition that expressed male-male intimacy, carnal desire, and emotional attachment. In particular, the article focuses on the work of the Mughal painter Govardhan, who illustrated the opening scene of Sa‘dī’s Gulistan (Rose Garden). Govardhan built upon sixteenth-century European compositional elements and the themes of Noli me tangere and the Doubting Thomas to form subtle yet unmistakable allusions to male-male sexuality. Cet article explore les relations artistiques entre l’art de la Renaissance européenne et la peinture moghole des années 1630 dans les ateliers du nord de l’Inde. On y traite de l’utilisation de motifs de la peinture européenne dans la tradition visuelle moghole exprimant l’intimité masculine, le désir charnel et l’attachement affectif. Cet article se penche en particulier sur l’œuvre du peintre mogol Govardhan qui a illustré la scène d’ouverture du Gulistan (Rose Garden) de Sa‘dī. Govardhan y a construit son illustration à l’aide l’élément de composition de l’Europe du XVIe siècle, ainsi que sur les thèmes Noli me tangere et du Thomas incrédule, afin de créer une évocation subtile mais univoque de la sexualité homosexuelle masculine.
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Humbert, Jean-Marcel. "Mariette Pacha and Verdi's Aïda." Antiquity 59, no. 226 (June 1985): 101–5. http://dx.doi.org/10.1017/s0003598x0005691x.

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Abstract:
Aïda est en effet un produit de mon travail; c'est moi qui ai d#x00E9;cidé le Vice-Roi à en ordonner la représentation; Aïda, en un mot, est sortie de mon cerveau, et il me semble qu'avant d'en disposer aussi complètement, on me devait au moins la déférence de m'en écnire (Mariette, 1871a).Auguste Mariette, born in Boulogne-sur-Mer on 11 February 1821, is one of the most endearing characters of Egyptology. Very far ahead of his time, he did all he could to prevent Egypt being further plundered by archaeologists, and to enable it to learn how to conserve its treasures and use them to its advantage. He was given the title of Bey after his discovery of the Memphis Serapeum, and was later raised to the high rank of Pacha, a rare distinction for foreigners, on 5 June 1879. He died on 18 January 1881, and was buried at Boulaq, afterwards Cairo. A monument in his honour was set up in his native town which held glittering celebrations on the centenary of his death.
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Hershkowitz, Debra. "Pliny the Poet." Greece and Rome 42, no. 2 (October 1995): 168–81. http://dx.doi.org/10.1017/s0017383500025626.

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Abstract:
In letter 4.14, Pliny the Younger remarks that he doesn't worry too much about criticism of his poetry since he's not planning to give up the day job (§10):nam si hoc opusculum nostrum aut potissimum esset aut solum, fortasse posset durum uideri dicere ‘quaere quod agas’: molle et humanum est ‘habes quod agas’.For if this little work were my chief or sole effort it might possibly seem unkind to tell me to ‘find something else to do’: but there is nothing unkind in the gentle reminder that I ‘have something else to do’.
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Pannabecker, John R. "Inventing Industrial Education: The Ecole d'Arts et Métiers of Châlons-sur-Marne, 1807–1830." History of Education Quarterly 44, no. 2 (2004): 222–49. http://dx.doi.org/10.1111/j.1748-5959.2004.tb00162.x.

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Abstract:
Today eight Schools of Arts and Crafts are the largest source of engineers in France but they originated from a single school established by Napoleon Bonaparte in 1803. At the time many French were concerned that their industries lagged behind the British. What better way to modernize industry than to train boys and young men in a more rational approach to production and send them out to lead industrial change? Historians have left a pessimistic view of the school's first quarter century, but my reading of the evidence, including the archives on school shops and commerce, has led me to nearly the opposite conclusion—the school of Châlons was, from 1807 to 1830, one of the most innovative and unusual schools of all time.
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Xinyue, Bobby. "THE DIDOS OF BOOK FOUR: GENDER, GENRE, AND THEAENEIDIN PROPERTIUS 4.3 AND 4.4." Greece and Rome 65, no. 2 (September 17, 2018): 218–41. http://dx.doi.org/10.1017/s0017383518000165.

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Abstract:
In the second poem of Propertius’ fourth book, the form-shifting deity Vertumnus claims that he is suited to any role that he is associated with because he can appear convincingly as a girl or a man:indue me Cois: fiam non dura puella; /meque uirum sumpta quis neget esse toga?(‘dress me in Coan silk, I shall be a gentle maiden: and who would say that I am not a man when I don the toga?’, 4.2.23–4). Later in Propertius 4.9, another gender ambiguous character, Hercules, while trying to gain entry into the shrine of the Bona Dea, boasts that he had woven and performed a handmaiden's service (4.9.47–50):idem ego Sidonia feci seruilia pallaofficia et Lydo pensa diurna colo;mollis et hirsutum cinxit mihi fascia pectus,et manibus duris apta puella fui.I have also done the tasks of a slave-girl in a Sidonian gownand worked at the daily burden of the Lydian distaff.A soft breastband has surrounded my shaggy chest,and with my hard hands I was a fitting girl.Scholars have noted that the language used by Propertius to depict gender inversion in these episodes has profound implications for understanding the generic complexity of the poet's new, more aetiological, fourth book. DeBrohun points out that, when Hercules recalls the soft (mollis) breastband on his hairy (hirsutum) chest – a contrast further substantiated by his claim that he had become apuellawith rough hands (manibus duris) – the hero ‘softens’ his appearance in terms that resonate strongly with the Augustan poets’ expression of the terminology of Callimachean poetics, thus allowing readers to interpret this scene as an act of generic realignment that symbolizes Book 4's attempt to accommodate both grand topics and erotic narratives.
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Stankovic, Vlada. "Tropeoforos kod Mihaila Psela - jedan primer politicke upotrebe retorike." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 133–51. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441133s.

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Abstract:
(francuski) En raison de sa grande ?rudition, de son talent litt?raire, mais aussi de son caract?re, Michel Psellos est assur?ment un des auteurs byzantins les plus probl?matiques lorsqu'il s'agit de l'interpr?tation et de la compr?hension de ses oeuvres. Le recours ? l'allusion, surtout dans ses ?crits politiques, r?v?le chez un auteur imbu de son savoir le besoin de jouer avec la signification ?officielle?, claire et compr?hensible de tous de ses textes, et une seconde plus profonde en recourant ? des images ?sot?riques, absconses ou difficilement compr?hensibles. Il en est ainsi s'agissant de l'emploi de l'?pith?te tropaiophoros (tropaioph?roz) que Michel Psellos utilise de fa?on sp?cifique, en jouant avec sa signification principale et concr?te. 1. L'emploi du qualificatif tropaiophoros (tropaioph?roz) chez Psellos 1.1. L'?loge ? Constantin Monomaque (Psellus, Orationes, Oratio 2) L'?loge ? Constantin Monomaque r?dig? par Psellos au d?but m?me du r?gne de cet empereur (avril-mai 1043) est caract?ristique lorsqu'il s'agit de l'utilisation du terme tropaiophoros par Psellos. C?l?brant la victoire de l'empereur sur l'usurpateur Georges Maniak?s, Michel Psellos a r?ussi par l'habile emploi de cette ?pith?te ronflante ? qui ? cette ?poque ?tait avant tout utilis?e pour d?signer la fondation de Constantin Monomaque, Saint-Georges Tropaiophoros ? Manganes ? d'exprimer, par le biais de l'ironie, son opinion critique vis-?-vis du nouvel empereur. Proc?dant ? un rappel de l'histoire de Byzance depuis la mort de Jean Tzimisk?s (976) jusqu'? la r?daction de son ?loge, Michel Psellos utilise ? trois reprises l'?pith?te tropaiophoros : 1) associ?e ? Michel IV le Paphlagonien : ...le tropaio- phoros c?leste (immacul?) retourne ? son seigneur, c.-?-d. ? Dieu (ka? tropaioph?roz ana?maktoz pr?z t?n o?ke?on desp?t?n ch?rei ?e??????? x^pei) ; 2) ? Constantin Monomaque : ...et avant le sceptre tu ?tais empereur tropaiophoros (ka? pr? t?n sk?ptr?n basile?z ?stha tropaioph?roz ??o??a????o?) ; 3) et ? l'usurpateur d?fait qui s'?tait dress? contre cet empereur, Georges Maniak?s (symb?llei t? t?z d?se?z strat?g?, nik?, tropaioph?roz ?p?neisi, sobar?teroz t? e?tych?mati g?netai?). Son habile r?partition du terme tropaiophoros dans trois passages ?galement ?loign?s les uns des autres, respectivement dans le premier, deuxi?me et troisi?me tiers de la partie historique de son oratio, met tout particuli?rement en exergue l'importance de ce qualificatif. En tant qu'id?e, la notion de tropaiophoros est sous-jacente ? tout le cours narratif de cet ?loge, constituant d'une certaine fa?on le fondement sur lequel l'orateur a construit et ?labor? son r?cit. Le choix des personnages auxquels Psellos associe l'?pith?te tropaiophoros et les diverses nuances qu'elle rev?t avec chacun d'eux, renforcent l'impression d'un emploi intentionnel d'un terme inhabituel, visant par l? ? transmettre un message politique. Tout d'abord, l'?pith?te tropaiophoros est utilis?e exclusivement pour des personnages contemporains dont le nouvel empereur Constantin Monomaque qu'un lien particulier rattache aux deux autres ? ces deux derniers ayant ?t?, en quelque sorte, l'un comme l'autre ses adversaires, et tous deux l'ayant, du moins provisoirement, d?fait. Autrement dit, seuls les rivaux de Monomaque sont, tout comme lui, qualifi?s de tropaiophoros, alors que ni Basile II, ni Romain Argyre, auquel Psellos dresse des louanges particuli?res dans le cadre de cet ?loge, n'ont re?u cette ?pith?te. Le fait que Michel Psellos ait renonc? par la suite ? utiliser l'?pith?te tropaiophoros dans ses ?loges post?rieurs de Constantin Monomaque et n'ait renou? pleinement avec son emploi qu'apr?s le r?gne de cet empereur, lorsque le temps ?coul? avait ?t? toute actualit? politique ? ce terme, atteste peut-?tre une dose redoubl?e de prudence (voire de crainte?) de la part de cet ?rudit qui redoutait que ne soient d?crypt?es ses allusions et critiques politiques d?guis?es sous formes d'?loges. 1.2. La Chronographie et autres oeuvres de Psellos Le choix m?me des personnages s'?tant vu attribuer l'?pith?te de tropaiophoros dans la Chronographie est d?j? significatif par lui-m?me (Bardas Phocas, Constantin Monomaque, Isaac Comn?ne, Romain Diog?ne et Andronic Doukas, fils du c?sar Jean Doukas), mais Psellos a ?galement exprim? ses positions vis ? vis de ceux-ci ? travers les nuances introduite dans l'emploi de cette ?pith?te avec chacun d'entre eux. Passant de l'ironie non dissimul?e (dans le cas de Romain Diog?ne) ? la moquerie d?guis?e (Andronic Doukas), Psellos joue avec la signification premi?re de l'?pith?te tropaiophoros et ce d'une fa?on qui n'est pas pleinement apparue ? des ?rudits tels que Nic?phore Bryennios et Anne Comn?ne lesquels, proc?dant ? la copie des donn?es fourmes par Psellos, ont repris tel quel ce terme. La possibilit? de l'emploi ambivalent de l'adjectif tropaiophoros nous sont r?v?l?s par Psellos lui-m?me dans sa description de l'empereur H?raclius dans le Logos sur les miracles de l'archange Michel, lorsqu'il dit de cet empereur qu'il ?tait un authentique tropaiophoros (tropaioph?roz ?z ?l?th?z), formule que l'on ne retrouve pour aucun de ses contemporains. 2. Caract?risation de l'emploi du terme tropaiophoros chez Psellos La caract?risation de l'emploi de l'?pith?te tropaiophoros par Psellos, tout en gardant la r?serve qui s'impose, montre que le consul des philosophes a intentionnellement utilis? cette ?pith?te, l'a introduite ? des endroits parfaitement bien choisis et attribu?e ? des personnages bien pr?cis tout en lui conf?rant le plus souvent une connotation ironique. Deux exemples relev?s dans l'?loge de Constantin Monomaque montrent parfaitement que tropaiophoros pouvait ?tre utilis? avec une double signification, ? officielle? (positive) mais aussi ? dissimul?e ? (cachant une critique). L'empereur lui-m?me, alors qu'il n'y va d'aucun m?rite particulier de sa part, et avant m?me de recevoir la couronne imp?riale, est tropaiophoros, qualificatif ? travers lequel Psellos fait, de toute ?vidence, allusion ? l'?rection contemporaine de la fondation du m?me nom de Monomaque, d'une fa?on que l'empereur lui-m?me pouvait comprendre, approuver et r?compenser. Toutefois, l'exemple de Michel IV tir? de ce m?me oratio, montre un autre aspect de l'utilisation de cette ?pith?te ? cet empereur est, en effet, tropaioph?roz ?na?maktoz, ce qui l'?l?ve au-dessus de Monomaque auquel l'?loge est destin?. C'est l? une position conforme ? l'opinion g?n?rale positive de Psellos sur Michel le Paphlagonien que l'on retrouve ?galement exprim?e dans la Chronographie. Dans tous les autres cas ? ? l'exception de celui de l'empereur H?raclius ? une connotation ironique dissimul?e ou un ton moqueur annonce les intentions de l'auteur, en particulier du fait du contraste que Psellos cr?? en attribuant l'?pith?te tropaiophoros ? des empereurs y compris lorqu'il n'y a pas eu de v?ritables victoires. L'?pith?te li?e ? saint Georges, et le plus souvent associ?e dans la rh?torique byzantine ? un empereur ? victorieux a ?t? utilis? par Psellos pour jouer avec sa signification premi?re, mais aussi afin de traduire un message associ? ? son utilisation. 3. Saint Georges Tropaiophoros ? Manganes L'emploi appuy? de l'?pith?te tropaiophoros par Psellos dans son ?loge r?dig? au d?but du r?gne de Constantin Monomaque (avril ? mai 1043) confirme indubitablement que la construction de la fondation de Monomaque ?tait alors commenc?e, 151 mais aussi qu'elle portait d?j? l'?pith?te de tropaiophoros. En outre, le sceau de Skl?raina sur lequel est ?galement mentionn? le sekret?n du saint grand martyr Georges Tropaiophoros, puis l'existence du monast?re du Tropaiophoros avant le mois de mai 1046 (sur la base de la charte de Constantin Monomaque), ainsi que le caract?re et les appellations des ?loges de Mauropous, montrent que l'?glise de Saint-Georges Tropaiophoros a ?t? inaugur?e plus t?t qu'on ne le pensait jusqu'? pr?sent. L'absence de toute description de la nouvelle ?glise, de ses d?corations ou de son luxe dans les r?cits de Jean Mauropous, ce qui ?tait habituel pour les hom?lies qui c?l?braient la sanctification des ?glises depuis l'?poque de patriarche Photius, incite ? conclure qu'il ne s'agissait pas dans ce cas d'un acte aussi solennel. Les imges usuelles et neutres employ?es par Mauropous pour louer les fondations de l'empereur, tel que saint Sion et nouvelle J?rusalem ou la mention stipulant que l'?glise surpassait les autres ?glises par sa taille et ses d?corations, ne doivent en aucun cas ?tre rattach?es avec la c?r?monie de sanctification de l'?glise qui, ? ce qu'il semble, a eu lieu avant mai 1046, et certainement avant le 21 avril 1047 lorsque Jean Mauropous y a prononc? l'?loge de son fondateur, l'empereur Constantin Monomaque.
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Engh, Line Cecilie, Stefka G. Eriksen, and Francis F. Steen. "Homo renovatur de die in diem: Transforming Selves and Communities." Acta ad archaeologiam et artium historiam pertinentia 31 (December 31, 2019): 1–7. http://dx.doi.org/10.5617/acta.7797.

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Abstract:
"This special issue of Acta ad archaeologiam et artium historiam pertinentia (from now on Acta) interrogates religious practices of reading, writing, praying and engaging with texts, images, architecture, music, and ritual spaces in late antique Rome and medieval Europe. More specifically, it aims to analyze and deepen our understanding of how liturgy and religious practice modeled and modified selves and communities, how they shaped and transformed identities and built communities - both individual and collective, religious and lay". On cover:Monks singing the Office and decorated initial A[sperges me.]. Gradual Olivetan Master (Use of the Olivetan Benedictines), illuminated manuscript on parchment ca. 1430-1439. Italy, Monastero di Santa Maria di Baggio near Milan, Ca 1400-1775.Beinecke Ms1184: The olivetan Gradual. Gradual. General Collection, Beinecke Rare Book and Manuscript Library, Yale University.
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Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

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Abstract:
(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
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McClelland, John. "Girot, Jean-Eudes et Alice Tacaille, éds. (avec la collaboration d’Anne Delafosse et Pierre Iselin). «Que me servent mes vers?» La musique chez Ronsard, avec un supplément vocal de 22 chansons." Renaissance and Reformation 44, no. 1 (July 22, 2021): 239–42. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v44i1.37072.

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Leconte, Alexandra. "Hors de l’Église, point de salut ? La transmission du sens des oeuvres d’art religieux." Études 12 (September 29, 2014): 39–56. http://dx.doi.org/10.7202/1026783ar.

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Abstract:
Le présent article est tiré de mon travail dirigé, réalisé dans le cadre de la maîtrise en muséologie à l’Université de Montréal. Intéressée par le patrimoine religieux du Québec, je me penche plus particulièrement sur la conservation et la transmission des oeuvres d’art religieux. Dans mon travail, je cherche à comprendre et à relever ce qui reste du caractère religieux de ces objets une fois devenus patrimoine. Pour ce faire, j’ai fait l’étude de trois cas qui présentent des types de conservation différents, soit la Basilique Sainte-Anne-de-Beaupré et son musée, l’église de Saint-Joachim et le Musée national des beaux-arts du Québec. J’ai étudié le processus de patrimonialisation de chacun d’eux en regard des caractères immatériels intrinsèques au patrimoine religieux que je définis ainsi : la notion du sacré, l’expérience religieuse, l’esprit du lieu et l’identité collective. L’analyse de mes études de cas m’amène ensuite à soulever la nature polysémique et multiforme de l’oeuvre d’art religieux, qui influence dès lors la patrimonialisation et plus encore la transmission qu’on en fait.
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Laclotte, Michel. "L’Institut national d’histoire de l’art." Art Libraries Journal 23, no. 3 (1998): 4–7. http://dx.doi.org/10.1017/s0307472200011056.

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Abstract:
Le projet d’Institut national d’histoire de l’art (INHA) a une longue histoire, qu’il serait trop long de détailler dans le cadre de cet article. Je préfère me réjouir de la bonne nouvelle: l’INHA va enfin voir le jour.L’INHA doit s’installer rue Vivienne et rue de Richelieu, dans une partie des locaux libérés par les Départements des Imprimés et des Périodiques et par certains services de la Bibliothèque nationale de France. Le bâtiment Colbert, rue Vivienne, abritera les activités de recherche et d’enseignement au niveau du 3e cycle, ainsi que les espaces destinés à l’accueil, aux rencontres scientifiques et aux expositions, tandis que la bibliothèque et l’iconothèque documentaire seront rassemblées rue de Richelieu.La Mission interministérielle des Grands Travaux a conduit une étude de programmation. Elle a permis de prévoir, dans le détail, l’utilisation des lieux dans le bâtiment Vivienne et de tracer les grandes lignes d’une implantation de l’Institut dans le quadrilatère Richelieu, à côté des Départements spécialisés de la BnF, appelés à se redéployer: Département des Estampes et de la Photographie, Département des Manuscrits, Département des Cartes et Plans, Département des Monnaies, Médailles et Antiques, Département de la Musique, Département des Arts du spectacle.
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Medick, Hans. "Une Culture de la Considération." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no. 4 (August 1995): 753–74. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279399.

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Abstract:
« Je me souviens d'une conversation vieille de plus de trente ans avec Lucien Febvre », écrit Claude Lévi-Strauss dans un article paru il y a quelques années. Et il continue : « [Febvre] souhaitait que les historiens se penchent sur des problèmes comme celui de l'origine et de la distribution du bouton. Il se rendait parfaitement compte que, par sa présence ou son absence, cet humble article de mercerie trace, dans les comportements humains, une ligne de démarcation majeure : entre le drapé et le cousu, deux styles vestimentaires exigeant plus l'un du corps, l'autre du matériau ; ce qui, dans les registres complémentaires de l'art textile et du maintien, mais aussi en correspondance avec d'autres registres, implique des conduites corporelles, des arts de vivre, des modes d'insertion dans le monde, propres à différencier des civilisations ».Ces remarques énoncées par l'un des pères de l'histoire desAnnalesm'ont, il y a quelque temps, encouragé à croire que mes recherches sur l'histoire du vêtement et de ses couleurs dans le village souabe de Laichingen entre 1750 et 1820 pourraient amener à des résultats intéressants.
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Dean, Glenna. "Correcting an Error in “Early Irrigation on the Colorado Plateau near Zuni Pueblo, New Mexico”." American Antiquity 69, no. 1 (January 2004): 149–50. http://dx.doi.org/10.2307/4128353.

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Abstract:
Damp et al. (2002:667) quote me as stating “Old fields in New Mexico in the fertile Rio Grande Valley produced maize pollen, typically at levels of less than 2.0 grains per cc (Dean 1998)” (emphasis added). In actuality, my statement reads, “It is not uncommon for as few as five corn pollen grains/g of sample to be the only evidence of a prehistoric cornfield” (Dean 1998:55; emphasis added). There is no “standard correction factor” that will allow sediment weights to be transformed to volumes or vice versa. Pollen concentrations for cultigens in pre-Columbian New Mexico fields can be very small numbers and reproducibility of laboratory methods is crucial.
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Manchester, Ralph A. "The Keyboard Instruments." Medical Problems of Performing Artists 29, no. 1 (March 1, 2014): 1–2. http://dx.doi.org/10.21091/mppa.2014.1001.

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Abstract:
When I was growing up, it seemed like posture was a big deal—to my parents, other (older) relatives, teachers, and other authority figures. Hardly a day passed (as I recall) without an adult telling me to stand up taller or sit up straighter. ... On the other hand, I have suggested to a number of music students who have come in to see me about a performance-related musculoskeletal disorder (PRMD) that they should talk with their teacher and a physical therapist about their posture and the effect it may be having on their body and their performance. So how can we best understand the relationships among posture, performance, and injury in the performing arts? The article by Ramella et al. in this issue of MPPA gives us some new information about the potential importance of posture for instrumental musicians. In order to provide some context for this article, I will try to give a brief overview of what we know about posture and the health of performing artists.
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Davison, Rosena. "A French Troupe in Naples in 1773: A Theatrical Curiosity." Theatre Research International 10, no. 1 (1985): 32–46. http://dx.doi.org/10.1017/s0307883300010476.

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Abstract:
On January 2nd 1773 the abbé Galiani wrote to his friend in Paris, Mme d'Epinay: ‘Qu'on voie Paris et Naples, on verra une légère esquisse du tout et du néant.’ He is referring to the dearth of interesting people and events he found on returning to his native Naples, in contrast to the flourishing social and cultural life which he had enjoyed with his many friends in Paris. Forced to leave the post he had held for ten years as secretary to the ambassador of the Kingdom of Two Sicilies because of a diplomatic blunder, Galiani dreaded his return to Naples, and his letters constantly complain of the intolerable conditions of what he termed his ‘exile’. While prone to a certain amount of exaggeration in his letters – thereby hoping to provoke sympathy amongst his Parisian correspondents – Galiani nevertheless had cause to complain of the intellectual ‘desert’ in which he now found himself. This is how he expressed it to Mme d'Epinay, his closest and most faithful correspondent:Si vous ne me rendez pas ma gaîté, je n'écrirai plus à personne; car ici je n'ai rien qui me tourmente, si ce n'est que je n'ai ni d'amusements, ni de plaisirs, ni d'amis, ni d'écoliers, ni de dîners, ni de soupers, ni d'argent, ni de vanité, ni de gaîté, ni d'affaires agréables, ni d'amours. (I, 50–1)It is therefore not surprising that an unusual theatrical event in Naples shook him out of the apathy into which he had retreated, and temporarily at least filled the Neapolitan ‘néant’ of which he complained. This was the arrival of a French theatre company; and for approximately two and a half months, from early January to mid-March 1773, Galiani's letters to Mme d'Epinay were almost entirely devoted to what he enthusiastically called his ‘Gazette des Spectacles’. The event could not fail to capture his undivided attention. The company, directed by Sennepart, was to perform seventeenth- and eighteenth-century French plays at the Teatro dei Fiorentini. Apart from delighting Galiani, this brief episode of theatrical history provides us with some interesting insights into the taste in drama, both French and Italian, at the mid-way point of the second half of the eighteenth century. In this article we propose to examine the choice of plays, and the reactions of the Neapolitan audiences, as reported by Galiani who, with his thorough and up-to-date knowledge of the French theatre and of the milieu which had inspired it, frequently amazes (and amuses) us with the perspicacity of the comments in his ‘Gazette’.
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Scott, Colin H. "On Nation-to-Nation Partnership and the Never-Ending Business of Treaty-Making: Reflections on the Experience of the Crees of Eeyou Istchee (Eastern James Bay)." Anthropologica 62, no. 2 (December 24, 2020): 248–61. http://dx.doi.org/10.3138/anth-2019-0007.

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Abstract:
This article discusses the successes of the Crees of Eeyou Istchee in the continual negotiation and renegotiation of their treaty relationship with the Quebec and Canadian governments but also queries how arrangements reached during more than four decades of treaty relationship, charting a course of proliferating entanglements with resource-extractive capitalism and state administration, both express and diverge from the “community of life” relational ontology of Cree activity on the land. While the Crees of Eeyou Istchee have achieved important successes in negotiating economic equity and territorial self-government and have not allowed themselves to be trapped in a once-and-for-all “settlement” of their rights, their negotiations with the state and with corporate entities reward certain Cree interests and positions over others. Compromises have occurred and development pathways chosen that increasingly challenge those who maintain as political priorities the defence of ecological diversity and integrity and accompanying Cree lifeways. Incommensurable premises of liberal capitalism and statehood have inhibited the conditions for the reproduction of Cree relationality, however nimbly the latter grapples with the former in reaching successive treaties and agreements Dans cet article, je me penche sur les succès obtenus par les Cris de Eeyou Istchee dans la (re)négociation perpétuelle de la relation de traité qu’ils entretiennent avec les gouvernements du Québec et du Canada. En même temps, j’explore comment la relation de traité, qui a dessiné pendant plus de quatre décennies des enchevêtrements proliférants avec le capitalisme d’extraction et l’administration étatique, reflètent tout en s’en distinguant l’ontologie relationnelle de type « communauté de vie » qui caractérise l’activité des Cris sur le territoire. Bien que les Cris de Eeyou Istchee aient engrangé d’importants succès dans la négociation de l’équité économique et de l’autonomie territoriale, et bien qu’ils ne se soient pas laissés piéger dans un « règlement » définitif de leurs droits, les négociations engagées avec l’État et les corporations ont favorisé certains intérêts et positionnements Cris par rapport à d’autres. Les compromis réalisés et les voies de développement empruntées mettent de plus en plus au défi ceux dont les priorités politiques restent la défense de la diversité et de l’intégrité écologiques et l’accompagnement des modes de vie cris. En ce sens, les présupposés incommensurables du capitalisme libéral et de l’État entravent la reproduction de la relationnalité crie, même si cette dernière lutte habilement contre les premiers dans la conclusion des traités et des ententes successives.
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Sabloff, Jeremy A. "How can archaeologists usefully contribute to public policy considerations?" Archaeological Dialogues 16, no. 2 (November 5, 2009): 169–71. http://dx.doi.org/10.1017/s1380203809990110.

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Abstract:
I would like to focus my brief remarks on Shannon Dawdy's very important third question, ‘can archaeology save the world?’ But to show my biases up front, I would rephrase it to read, ‘how can archaeologists usefully contribute to public policy considerations on the future of this planet?’, or perhaps just modify her question to say, ‘how can archaeologists help save the world?’ As one looks at recent books such as Newman, Beatley and Boyer's Resilient cities. Responding to peak oil and climate change (2009), Richard Heinberg's The party's over. Oil, war and the fate of industrial societies (2005), or Howard and Elisabeth Odum's A prosperous way down (2001) or key articles such as ‘Ecology in times of scarcity’ by John Day et al. (2009) or ‘Tracking the ecological overshoot of the human economy’ by Mathis Wackernagel et al. (2002), it seems clear to me that archaeologists could readily amplify the important arguments mounted by these authors and play a useful role in helping planners confront looming global cultural–ecological issues. It is not that these writers are unaware of archaeology and its potential contributions – Heinberg (2005, 34–38), for example, looks quite favorably on the work of Joseph Tainter – but that archaeological research could be more thoroughly and productively utilized.
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Glidden, Hope. "Edwin Duval. The Design of Rabelais' Tiers Livre de Pantagruel. (Travaux d'Humanisme et Renaissance, 316.) Geneva: Librairie Droz S. A., 1997. 247 pp. index, append, n.p. ISBN: 2-600-00228-6. - Edwin Duval. The Design of Rabelais' Quart Livre de Pantagruel. (Travaux d'Humanisme et Renaissance, 324.) Geneva: Librairie Droz S. A., 1998. 150 pp. + index, n.p. ISBN: 2-600-00288-X." Renaissance Quarterly 56, no. 2 (2003): 498–501. http://dx.doi.org/10.2307/1261884.

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Célestine, Audrey. "Ta-Nehisi Coates au pays d'Aimé Césaire. À propos de la réception de Between the World and Me et We Were Eight Years in Power: An American Tragedy." Revue Française d Etudes Américaines N° 158, no. 1 (2019): 132. http://dx.doi.org/10.3917/rfea.158.0132.

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