Academic literature on the topic 'Assistance militaire américaine'

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Journal articles on the topic "Assistance militaire américaine"

1

Porc, Gabriel. "Les stratégies d’assistance américaine à l’Ukraine sous Obama et Trump : évolution et adaptation aux enjeux sécuritaires." Politique américaine N° 42, no. 1 (July 8, 2024): 157–91. http://dx.doi.org/10.3917/polam.042.0157.

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Abstract:
Parallèles aux programmes visant à renforcer la présence militaire américaine en Europe, les stratégies d’assistance américaine à l’Ukraine s’imposent comme des outils incontournables de l’arsenal américain pour répondre aux enjeux de sécurité contemporains. Cet article étudie l’évolution de l’assistance américaine à l’Ukraine sous les administrations Obama et Trump. Il met en exergue les formes d’assistance à la fois militaires et civiles et souligne la continuité des deux administrations sur cet enjeu. Le rôle du Congrès et des groupes d’intérêts dans l’élaboration de ces politiques d’assistance est étudié. L’article démontre que les États-Unis ont progressivement sécuritisé leur assistance démocratique et érigé la lutte contre la désinformation russe en tant qu’objectif central de leurs politiques, dans un contexte de guerres de l’information. Les politiques d’assistance, même démocratiques, sont ainsi un outil du smart power américain.
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Van Der Kroef, Justus M. "Clients, mandataires et partenaires silencieux : Configurations du conflit américano-soviétique en Asie du Sud-Est." Études internationales 13, no. 1 (April 12, 2005): 109–26. http://dx.doi.org/10.7202/701316ar.

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Abstract:
In the Southeast Asian area modalities of political dependence have developed which involve the distinctive typology of clients, silent partners, and proxies. These modalities govern the relationship between the Socialist Republic of Vietnam, Laos, and the People's Republic of Kampuchea. They also are operative in the international interaction between the members of the Association of Southeast Asian nations (Asean) and the Western major powers. A set of strategic cooperative arrangements, as well as direct military assistance between Asean, the Commonwealth and the U.S., has its counterpart in similar relations between the U.S.S.R. and the Hanoi dominated lndo-China alliance. As a result, the U.S.-Soviet confrontation in Southeast Asia is expressed politically and strategically primarily through the proxy relationships with the lndo-China states and key Asean members respectively. In turn, there are strong undercurrents in Asean seeking an accommodation with Hanoi, in order to minimize the conflict potential in the region generated by opposing U.S. and Soviet strategic interests. Particularly the relatively warming relationship between the U.S. and People's China has strengthened the Asean fears of China s long-term intentions in the region. An independent Vietnam, free from its proxy-client status toward the Soviet Union, could act as a buffer between China and the Southeast Asian region. Since Hanoi, if only for long-standing nationalistic reasons, wishes to be free from its currently necessary dependence on Moscow, Asean's accommodationist interests may well meet with appreciation in Hanoi in the future. This would tend to lessen the effect of the American-Soviet confrontation in the area.
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3

Kilani, Mondher. "Identité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

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Abstract:
Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.
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Dissertations / Theses on the topic "Assistance militaire américaine"

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Capela, Charles. "Plan Colombie, narcoterrorisme et géopolitique : l'aide militaire des Etats-Unis à la Colombie, 1998-2002." Toulouse 2, 2007. http://www.theses.fr/2007TOU20053.

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Abstract:
Cette recherche étudie les enjeux géostratégiques de la composante militaire de l’aide des Etats-Unis au gouvernement colombien du Président Andrés Pastrana, destinée à renforcer l'Etat et à lutter contre le narcotrafic et l'insurrection armée dans le cadre du Plan Colombie. L'internationalisation du traitement répressif de la criminalité organisée liée au trafic de drogue et la réorientation militariste de la stratégie de lutte contre la menace narcoterroriste en Colombie auxquelles aboutit le soutien de Washington s'inscrivirent dans la nouvelle architecture sécuritaire mise en place par la première puissance mondiale pour garantir la stabilité géopolitique de la région andine depuis la fin de la Guerre Froide, dans un contexte de redéfinition des concepts de puissance, de défense et de sécurité. Après avoir rappelé les antécédents historiques, les acteurs et les facteurs de reproduction de la violence en Colombie et de la stratégie géopolitique des Etats-Unis en Amérique latine, ce travail analyse l'influence des intérêts politiques, militaires et économiques sur l'élaboration de l'aide états-unienne au Plan Colombie, et les effets de la mobilisation des moyens militaires contre les menaces asymétriques relatives aux conflits de basse intensité sur la dynamique géopolitique du conflit colombien entre 1998 et 2002. L'échec des négociations de paix entre le gouvernement et les rebelles colombiens, le changement d'Administration aux Etats-Unis et le contexte de guerre contre le terrorisme suite aux attentats du 11 septembre 2001 firent évoluer le soutien états-unien au Plan Colombie d'une aide anti-drogue à la lutte anti-terroriste
This study analyses the geostrategic issues of military component of the United States' assistance to the colombian governement of President Andrés Pastrana in order to strenghen the State and - through the frame of Plan Colombia - to fight against both narcotrafic and armed rebellion. The assistance of Washington has lead to an internationalization of the repressive treatment of the organized criminality linked to the drug trafic and to a military oriented strategy to fight the narcoterrorist threat in Colombia. These two elements were part of the new security architecture developped by the leading world power to guarantee the geopolitic stability of the andean region, within a framework of a redefinition of power, security and defense concepts after the Cold War. After a relation of historic roots, main actors and reproduction factors of violence in Colombia and US geopolitic strategy in Latin America, this thesis focuses on the politic, economic and military interests influence on the definition process of US aid to Plan Colombia, and the effects of the military instruments mobilisation against asymetric threats of Low Intensity Conflicts on the geopolitic dynamics of the war in Colombia between 1998 and 2002. The end of peace negociations between colombian governement and rebels, the arrival of a new Administration in the United States and the context of war against terrorism after 9/11 attacks transformed the US participation to Plan Colombia from counter-drug support to an assistance to fight terrorism
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Dauchelle, Sandrine. "Le réarmement français après la Seconde Guerre Mondiale : le rôle des Etats-Unis dans la reconstruction d'une industrie française d'armement (1945-1958)." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040076.

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Abstract:
L’objectif de cette recherche est de savoir en quoi l’aide apportée par les Etats-Unis, à la fois sous l’angle financier, technique et militaire, a pu permettre le redémarrage d’une industrie française d’armement, et sa constitution en une entité technologiquement et financièrement indépendante de l’étranger. Du fait de la destruction de la plus large partie de son potentiel industriel militaire, la France a dépendu des Etats-Unis pour son approvisionnement en matériels et en armes. Dans le même temps où les Etats-Unis fournissent à l’armée française une partie décisive de ses armes, les Etats-Unis aident l’industrie d’armement à se relever à l’aide d’importantes commandes off-shore. De 1945 à 1958, la France reçoit des Etats-Unis une aide financière considérable à laquelle s’ajoute une aide en nature encore plus importante. L’aide militaire est impressionnante. Dès lors, l’on peut se demander si, après la saignée de la Seconde Guerre mondiale, il aurait été possible de reconstruire l’industrie française d’armement sans aide extérieure. Plusieurs questions viennent à l’esprit : Pourquoi les Etats-Unis ont-ils décidé d’aider la France à cette époque ? Quels sont les accords bilatéraux qui ont permis à la France de reconstruire son industrie d’armement ? Sous quelles formes l’aide se manifeste-t-elle ? A combien s’élève-t-elle ? A-t-elle réorienté le destin de la France ? La recherche s’intéresse aux évolutions technologiques ainsi qu’au rôle des missions de productivité
The purpose of this study is to understand in what way the financial, technical and military support of the United States enabled the emergence of the French arms industry into a sovereign player. Due to the destruction of the major part of its military capacity, France depended on the United States for its supply in weaponry. At the same time as the United States was the main provider of arms to the French army, it was also nurturing the renewal of the French arms industry through a policy of important “offshore procurement". Between 1945 and 1958, France received a considerable amount of financial aid from the United States, it was also the recipient of an even bigger quantity of end items. The military aid was impressive. In consequence, it is questionable that the French arms industry, ailing after the haemorrhaging of WWII, would have been able to rebuild itself without foreign help. Therefore, several questions spring forth: why did the United-States decide to help France at the time? What were the bilateral agreements which helped France reconstitute its arms industry? What form did this aid evolve into? How important is it? Did it alter the course of France? There is also the technical aspect of the problem as well as the possible impact of the missions of productivity
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Gagné, Louis. "REPENSER LES RAPPORTS EST-OUEST: Les États-Unis face à la Yougoslavie de Tito (1948-1953)." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/26938/26938.pdf.

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Kajja, Kamal. "Les relations américano-saoudiennes à l’épreuve des attaques du 11 septembre 2001." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2014. http://www.theses.fr/2014PA080001.

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Abstract:
La rencontre historique entre Abdul Aziz Ibn Saoud et le président américain Franklin D. Roosevelt à bord de l’U.S.S Quincy en mer rouge en février 1945, donna lieu à l’instauration des fondements d’une véritable alliance à long terme, basée sur des intérêts communs très forts entre l’Arabie Saoudite et les Etats-Unis. Le royaume a joué d’ailleurs un rôle important dans l’endiguement du nationalisme arabe et dans l’empêchement de toute pénétration soviétique au Moyen-Orient. Il a joué également un rôle central dans l’endiguement de la révolution islamique iranienne de Khomeiny. Cette alliance va mettre cependant du temps pour atteindre le degré au quelle elle est arrivée lors de la guerre du Golfe de 1990-1991, qui a eu comme résultat une présence militaire américaine permanente sur le sol saoudien et la radicalisation de l’opposition islamiste. Les attentats du 11 septembre 2001, qui ont constitué un véritable choc pour les deux pays, provoquèrent un profond malaise dans les relations américano-saoudiennes. Riyad s’est trouvée dans une situation délicate, quinze des dix neuf pirates de l’air étaient Saoudiens ainsi que le chef d’al-Qaida, Oussama Ben Laden. On assista à une détérioration des relations entre les deux pays et une grande suspicion qui eut du mal à se dissiper, malgré les déclarations de bonne volonté des dirigeants des deux pays. Soumise à d’énormes pressions américaines, l’Arabie Saoudite lança une série de réformes en vue de rassurer Washington et faire face également à une situation très compliquée sur le plan interne (problèmes socio-économiques, le rôle de l’institution religieuse wahhabite, l’extrémisme religieux, droits de la minorité chiite, la question de succession…). Le réchauffement constaté dans les relations entre les deux pays à partir de 2003, qui culmina avec l’instauration du « dialogue stratégique » en 2005, laissa rapidement place à une graduelle prise de distance entre Riyad et Washington à propos de plusieurs dossiers régionaux (la situation en Irak, les ambitions régionales ainsi que le programme nucléaire et balistique de l’Iran, le processus de paix, la Syrie…). Cette prise de distance s’est confirmée avec l’éclatement du «printemps arabe » et le lancement par les Etats-Unis d’une nouvelle stratégie, axée sur un désengagement de la puissance américaine vers la zone du Pacifique
The Historical meeting between Adul Aziz Ibn Saoud and the US President, Franklin D. Roosevelt on bord of U.S.S Quincy in the Red Sea at February, 1945, had set up a real long standing Alliance based on a strong common Interests between Saudi Arabia and the United States. It will take a time for this Alliance to be at the level it had during the Gulf War (1990-1991), Wich had as result a permanent US Military presence in the Kingdom and the radicalization of Islamist Opposition. The 9/11 Attacks, which was a real Choc for the two Countries and provocated an Embarassment in the US- Saudi relations. Riyad was in a delicate situation, Fifteen of the Nineteen Hijackers of September 9, 11 was Saudis such as head of Al-Qaeda Oussama Ben Laden. We assisted then to a deterioration of the relations between the two Countries and a great Suspicion although some declarations of good Intentions by leaders of two Countries. Subject of a tremendous US pressures, the Saudi Arabia has inaugurated a series of Reforms to reassure Washington and to face a complicated internal situation (Socio-economic problems, the role of the Wahhabi religious Institution, religious Extremism, rights of Chia minority, the problem of succession). The warming of the relations between the two Countries by 2003 wich culminated with the instauration of « Strategic Dialogue » in 2005, made rapidly room to a gradual taken distance between Riyad and Washington about some Regional matters (Iraqi situation, the regional ambitions just as the Nuclear and Balistic program of Ira ; Peace Process ; Syria…). This taken distance is confirmed by the events of « Arab Spring » and the New American Strategy of disengagement to the Pacific Zone
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Kajja, Kamal. "Les relations américano-saoudiennes à l’épreuve des attaques du 11 septembre 2001." Thesis, Paris 8, 2014. http://www.theses.fr/2014PA080001.

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Abstract:
La rencontre historique entre Abdul Aziz Ibn Saoud et le président américain Franklin D. Roosevelt à bord de l’U.S.S Quincy en mer rouge en février 1945, donna lieu à l’instauration des fondements d’une véritable alliance à long terme, basée sur des intérêts communs très forts entre l’Arabie Saoudite et les Etats-Unis. Le royaume a joué d’ailleurs un rôle important dans l’endiguement du nationalisme arabe et dans l’empêchement de toute pénétration soviétique au Moyen-Orient. Il a joué également un rôle central dans l’endiguement de la révolution islamique iranienne de Khomeiny. Cette alliance va mettre cependant du temps pour atteindre le degré au quelle elle est arrivée lors de la guerre du Golfe de 1990-1991, qui a eu comme résultat une présence militaire américaine permanente sur le sol saoudien et la radicalisation de l’opposition islamiste. Les attentats du 11 septembre 2001, qui ont constitué un véritable choc pour les deux pays, provoquèrent un profond malaise dans les relations américano-saoudiennes. Riyad s’est trouvée dans une situation délicate, quinze des dix neuf pirates de l’air étaient Saoudiens ainsi que le chef d’al-Qaida, Oussama Ben Laden. On assista à une détérioration des relations entre les deux pays et une grande suspicion qui eut du mal à se dissiper, malgré les déclarations de bonne volonté des dirigeants des deux pays. Soumise à d’énormes pressions américaines, l’Arabie Saoudite lança une série de réformes en vue de rassurer Washington et faire face également à une situation très compliquée sur le plan interne (problèmes socio-économiques, le rôle de l’institution religieuse wahhabite, l’extrémisme religieux, droits de la minorité chiite, la question de succession…). Le réchauffement constaté dans les relations entre les deux pays à partir de 2003, qui culmina avec l’instauration du « dialogue stratégique » en 2005, laissa rapidement place à une graduelle prise de distance entre Riyad et Washington à propos de plusieurs dossiers régionaux (la situation en Irak, les ambitions régionales ainsi que le programme nucléaire et balistique de l’Iran, le processus de paix, la Syrie…). Cette prise de distance s’est confirmée avec l’éclatement du «printemps arabe » et le lancement par les Etats-Unis d’une nouvelle stratégie, axée sur un désengagement de la puissance américaine vers la zone du Pacifique
The Historical meeting between Adul Aziz Ibn Saoud and the US President, Franklin D. Roosevelt on bord of U.S.S Quincy in the Red Sea at February, 1945, had set up a real long standing Alliance based on a strong common Interests between Saudi Arabia and the United States. It will take a time for this Alliance to be at the level it had during the Gulf War (1990-1991), Wich had as result a permanent US Military presence in the Kingdom and the radicalization of Islamist Opposition. The 9/11 Attacks, which was a real Choc for the two Countries and provocated an Embarassment in the US- Saudi relations. Riyad was in a delicate situation, Fifteen of the Nineteen Hijackers of September 9, 11 was Saudis such as head of Al-Qaeda Oussama Ben Laden. We assisted then to a deterioration of the relations between the two Countries and a great Suspicion although some declarations of good Intentions by leaders of two Countries. Subject of a tremendous US pressures, the Saudi Arabia has inaugurated a series of Reforms to reassure Washington and to face a complicated internal situation (Socio-economic problems, the role of the Wahhabi religious Institution, religious Extremism, rights of Chia minority, the problem of succession). The warming of the relations between the two Countries by 2003 wich culminated with the instauration of « Strategic Dialogue » in 2005, made rapidly room to a gradual taken distance between Riyad and Washington about some Regional matters (Iraqi situation, the regional ambitions just as the Nuclear and Balistic program of Ira ; Peace Process ; Syria…). This taken distance is confirmed by the events of « Arab Spring » and the New American Strategy of disengagement to the Pacific Zone
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Thériault, Dimitri. "Et si Machiavel avait été banquier? : une étude sur l'allocation des prêts de la Banque mondiale." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/31887.

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Abstract:
Cette recherche étudie l’allocation des prêts de la Banque mondiale à l’aide de données de panel couvrant 115 États au maximum et trois périodes : guerre froide (1973-1990), post-guerre froide (1991-2000) et post-11 septembre (2001-2013). Parmi nos découvertes, nous trouvons que plus un État reçoit un montant élevé de prêts, plus il se rapproche de la politique étrangère des États-Unis. Cependant, peu importe la période, les récipiendaires des prêts de la Banque mondiale sont en moyenne plus près de la politique étrangère de la Russie que de la politique étrangère des États-Unis. Nous soutenons que ces résultats impliquent que les prêts de la Banque sont utilisés pour acheter et récompenser des appuis ou des abstentions aux Nations unies pour quelques résolutions seulement et non pas pour l’ensemble des résolutions votées au cours d’une session. En outre, nous trouvons qu’à la suite du 11 septembre 2001, plus un récipiendaire de prêts de la Banque mondiale a reçu un montant important d’assistance militaire américaine, plus le montant des prêts qu’il reçut de la Banque fut important. Bien que ce dernier résultat soutienne la thèse que les attentats du 11 septembre aient amené les États-Unis à utiliser la Banque mondiale pour soutenir ses intérêts comme durant la guerre froide, nous trouvons que la Banque apparaît avoir laissé moins de place aux considérations politiques dans l’allocation de ses prêts après la dislocation de l’URSS et plus significativement entre 2001 et 2013. Mots clés : Banque mondiale, AID, BIRD, Institutions multilatérales de développement, aide, assistance militaire, affinité politique
This research studies the allocation of World Bank loans with panel data covering up to 115 countries over three time periods: Cold War (1973-1990), post-Cold War (1991-2000), and post-September 11 (2001-2013). Among our findings, we show that the more a state receives a large amount of loans by the World Bank, the more it supports the US foreign policy. At the same time, our data reveals that recipients of World Bank loans are on average closer to Russian foreign policy than American foreign policy for all periods under consideration. We argue that these results provide evidence that World Bank’s loans are used to buy and reward supports or abstentions for specific resolutions in the United Nations rather than for all the ones adopted in a session. Our study furthermore indicates that after September 11 terrorist attacks, World Bank recipient countries receiving the greatest amount of US military assistance were also the ones receiving the largest loans by the Bank. Although this supports the thesis that the events of 9/11 led the United States to use the World Bank in their national interests as during the Cold War, we find that the Bank appears to have limited political considerations in the allocation of its loans after the collapse of the USSR and especially between 2001 and 2013. Keywords : World Bank, IBRD, IDA, multilateral development institutions, aid, military assistance, political affinity
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Books on the topic "Assistance militaire américaine"

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Allard, C. Kenneth. Somalia operations: Lessons learned. Washington, DC: National Defense University Press, 1995.

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National Defense University. Institute for National Strategic Studies., ed. Somalia operations: Lessons learned. Washington, DC: National Defense University Press, 1995.

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3

F, Buss Terry, ed. A fragile balance: Re-examining the history of foreign aid, security, and diplomacy. Sterling, VA: Kumarian Press, 2009.

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4

Bossuat, Gérard. Les aides américaines économiques et militaires à la France, 1938-1960: Une nouvelle image des rapports de puissance. Paris: Comité pour l'histoire économique et financière de la France, 2001.

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5

O'Hanlon, Michael E. Saving lives with force: Military criteria for humanitarian intervention. Washington, D.C: Brookings Institution Press, 1997.

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6

(Editor), Walter G. Hermes, ed. Military Advisors in Korea: Kmag in Peace And War. University Press of the Pacific, 2005.

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7

Colombian Agency and the Making of US Foreign Policy: Intervention by Invitation. Taylor & Francis Group, 2017.

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Mendez, Alvaro. Colombian Agency and the Making of US Foreign Policy: Intervention by Invitation. Taylor & Francis Group, 2017.

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9

Mendez, Alvaro. Colombian Agency and the Making of US Foreign Policy: Intervention by Invitation. Taylor & Francis Group, 2017.

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10

U. S. Arms Policies Towards the Shah 's Iran. Routledge, 2014.

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