Academic literature on the topic 'Ateliers nationaux (France)'

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Journal articles on the topic "Ateliers nationaux (France)"

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Genet, Jean-Philippe. "La première année des ateliers ATHIS." Mélanges de l École française de Rome Moyen Âge 119, no. 1 (2007): 253–72. http://dx.doi.org/10.3406/mefr.2007.9440.

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Abstract:
Cet article rend compte des deux premiers ateliers organisés dans le cadre du programme ATHIS, financé par l’A.N.R. Ce programme dans lequel collaborent un groupe de laboratoires promoteurs du site Ménestrel (LAMOP, IRHT, CRAHM, École nationale des Chartes, auxquels s’ajoute le Centre d’Histoire du XXe siècle de Paris I), Reti medievali et l’École française de Rome, vise à faire le point sur l’impact de l’informatique et des méthodes auxquelles elle donne accès. Le premier atelier s’était déroulé à l’École française de Rome en mars 2006 et portait sur la mise en ligne du document. Les expériences des historiens, des conservateurs d’archive ou de bibliothèque et des informaticiens révèlent plusieurs tendances, d’ailleurs assez différentes en France et en Italie, qui mettent en évidence la place primordiale qu’occupe désormais le XML. Le second atelier s’est déroulé à l’École normale supérieure. Lettres-sciences humaines de Lyon en novembre 2006 et portait, quant à lui, sur les problèmes du texte, qu’il s’agisse de la lemmatisation ou de la textométrie.
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Biniek, Sébastien, Guillaume Touya, Gilles Rouffineau, and Thomas Huot-Marchand. "Designing typefaces for maps. A protocol of tests." Proceedings of the ICA 1 (May 16, 2018): 1–5. http://dx.doi.org/10.5194/ica-proc-1-9-2018.

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Abstract:
The text management in map design is a topic generally linked to placement and composition issues. Whereas the type design issue is rarely addressed or at least only partially. Moreover the typefaces especially designed for maps are rare. This paper presents a protocol of tests to evaluate characters for digital topographic maps and fonts that were designed for the screen through the use of geographical information systems using this protocol. It was launched by the Atelier National de Recherche Typographique Research (ANRT, located in Nancy, France) and took place over his ‘post-master’ course in 2013. The purpose is to isolate different issues inherent to text in a topographic map: map background, nonlinear text placement and toponymic hierarchies. Further research is necessary to improve this kind of approach.
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SEVIN, C., N. LUPPI, PD MERIGOT, M. FLORI, and C. PIGACHE. "TUTEUR : UNE FICHE DE POSTE NATIONALE." EXERCER 35, no. 202 (April 1, 2024): 184–90. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2024.202.184.

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Abstract:
Contexte. Depuis la réforme de 2017, les tuteurs jouent un rôle dans l’accompagnement et la certification des étudiants de 3e cycle (E3C) de médecine générale (MG). Chaque département de médecine générale (DMG) a un fonctionnement propre en matière de tutorat. Objectif. Créer une fiche de poste nationale du tuteur d’E3C de MG. Méthode. Consensus par ronde Delphi : 32 experts du tutorat de facultés françaises de médecine sollicités ont permis l’élaboration d’une première fiche de poste. Cette fiche a été présentée à 27 enseignants de MG lors d’un atelier du congrès du Collège national des généralistes enseignants (CNGE) 2021, recueillant leurs propositions de modification. Enfin, la fiche de poste modifiée a été soumise à validation des participants de l’atelier. Résultats. Trois tours de ronde Delphi avec 15, puis 14 répondants, suivis d’une validation par 18 participants à l’atelier ont permis l’obtention des caractéristiques du tuteur. Le tuteur est un enseignant, référent pédagogique de l’étudiant, formé et continuant à se former à la pédagogie. Il est diplômé et exerce la MG en soins de santé primaire. Il est l’intermédiaire entre le DMG et l’E3C. Il accompagne les mêmes E3C pendant les trois années du cursus (1 à 3 par an, maximum souhaitable 9 tutorés sur trois ans). Il tisse avec l’E3C une relation de confiance. Il identifie l’E3C en difficulté et l’oriente vers les personnes ressources. Il aide l’E3C à identifier ses besoins en formations, valorise sa réflexivité, ses démarches d’autoformation. Il le supervise en favorisant son appropriation et son utilisation du portfolio, le guide dans la réalisation de ses travaux d’écriture. Il le rencontre une fois par semestre au minimum, participe à son évaluation formative et suit sa progression tout au long du cursus. Il propose la validation de l’E3C en fin de chaque phase. Conclusion. Cette fiche de poste nationale permet de formaliser un cadre autour des missions du tuteur. Elle permet d’envisager une harmonisation du tutorat de MG en France, tout en permettant aux DMG d’adopter un fonctionnement propre.
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Schinck, Carole. "Habiller l’Opéra: costumes et ateliers de l’Opéra de Paris1, Centre national du costume de scène et de la scénographie, Moulins-sur-Allier, France, 25 May–3 November 2019." Studies in Costume & Performance 5, no. 1 (June 1, 2020): 124–30. http://dx.doi.org/10.1386/scp_00019_5.

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Ruffini-Ronzani, Nicolas. "Cartulaire de l’abbaye de Saint-Pierremont (1095–1297). Édition d’après le manuscrit de la Bibliothèque nationale de France, nouvelles acquisitions latines, 1608 , éd. Yoric Schleef, N atacha Helas , Turnhout, Brepols, 2018 ; 1 vol., 375 p. ( Atelier de recherche sur les textes médiévaux , 25). ISBN : 978-2-503-58084-5. Prix : € 85,00." Le Moyen Age Tome CXXVII, no. 3 (April 24, 2022): XXXIX. http://dx.doi.org/10.3917/rma.273.0681zm.

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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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BENOIT, Marc, Lucille STEINMETZ, Dorian FLECHET, Laurent PIET, and Thomas POMEON. "Les productions d’élevage en AB en France : structures des fermes, répartition spatiale et évolution récente." INRAE Productions Animales, June 3, 2024, 7444. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2024.37.2.7444.

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Abstract:
L’agriculture biologique (AB) représentait 10,3 % de la surface agricole française en 2021. Ce mode de production est régi par un cahier des charges européen et des principes qui, combinés à une relation privilégiée aux consommateurs, conduisent à développer des systèmes de production se distinguant généralement de ceux de l’agriculture conventionnelle. L’Agence Bio, structure de coordination nationale en charge du développement, de la promotion et de la structuration de l’AB française, gère une base de données recensant tous les opérateurs français certifiés en AB et qui alimente l’observatoire national de l’agriculture biologique (ONAB). Grâce à cette base, nous avons pu affiner la connaissance des fermes françaises entièrement engagées en AB et ayant une activité d’élevage. Après une présentation globale permettant d’identifier des grands types de fermes en fonction de leur degré de spécialisation animale et du type de production végétale associée, nous analysons huit filières de production majeures : bovins et ovins lait et viande, caprins, poules pondeuses, poulets de chair et porcs. Pour chacune, nous précisons la localisation géographique des fermes tout en tenant compte de leur dimension et de leur gradient de diversification en élevage. Cette première analyse met en évidence la forte incidence de la présence locale de filières d’élevage conventionnelles historiques ayant développé un segment AB, avec a priori des répercussions sur la dimension des ateliers et sur le niveau et le type de diversification des élevages. Ces derniers éléments semblent ainsi être en interaction avec les modes de commercialisation, en particulier de type circuit court ou circuit long.
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ICHTER, Jean, Marie-Caroline PRIMA, and Guillaume GIGOT. "Quelles menaces pèsent sur la faune et la flore de France hexagonale et de Corse ? Un éclairage à partir de la Liste rouge nationale." Naturae 2024, no. 7 (April 17, 2024). http://dx.doi.org/10.5852/naturae2024a7.

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Abstract:
La Liste rouge nationale (LRN) est une démarche collaborative d’évaluation du risque d’extinction des espèces sur le territoire français selon la méthodologie de l’Union internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Entre 2008 et 2020, 6700 espèces réparties en 11 chapitres ont été évaluées, et 700 sont considérées comme menacées. Les auteurs ont bancarisé et harmonisé les catégories de menaces identifiées lors des ateliers selon la classification des menaces directes de l’UICN, afin de proposer une analyse des activités et des processus d’origine humaine ayant un impact négatif sur les espèces menacées de France hexagonale et de Corse. La disparition de leurs milieux de vie due à l’urbanisation, au développement industriel, à l’agriculture, à la production d’énergie, aux exploitations minières et aux modifications du système naturel apparaît comme la principale menace qui pèse sur les espèces terrestres. Pour les espèces inféodées au milieu marin, les résultats de la Liste rouge nationale en métropole mettent en évidence les prélèvements comme la principale menace directe ou indirecte. Cet article présente également une carte de la répartition des espèces menacées en France hexagonale et en Corse à partir de 1,7 millions de données d’occurrence de l’INPN. Celle-ci met en évidence l’importance de la région méditerranéenne (en particulier du sud-est), des massifs montagneux et des vallées comme celles de la Loire et du Rhône. Cette carte n’a pas l’ambition d’être exhaustive, notamment en raison de l’hétérogénéité du niveau de connaissance, mais doit contribuer à l’identification de secteurs à fort enjeu de conservation à l’échelle nationale. Enfin, ce travail inclut à titre exploratoire, une analyse des patrons de distribution des espèces impactées par la pollution et l’enfrichement afin de diagnostiquer les zones potentiellement plus sensibles.
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Poggioli, Morgan. "Entre santé au travail et culture ouvrière : la question du vin ‘‘prolétaire’’ dans la France de l’entre-deux-guerres." Territoires du vin, no. 10 (October 16, 2019). http://dx.doi.org/10.58335/territoiresduvin.1720.

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Abstract:
Depuis l’apparition de la question sociale et le Tableau de l'état physique et moral des ouvriers employés dans les manufactures de coton, de laine et de soie de Villermé en 1840, le monde ouvrier a souvent été stigmatisé par sa misère, sa dangerosité, ses mœurs dissolues et/ou son ivrognerie. Si certains stéréotypes ont disparu, le penchant supposé des ouvriers pour l’alcool, et le vin en particulier, perdure. Ce qui est encore vrai aujourd’hui l’est donc évidemment pour l’entre-deux-guerres. Or, dans le cadre d’une France en pleine mutation économique induite par la seconde révolution industrielle, la législation initiée avec la loi de 1898 sur les accidents du travail, se renforce durant notre période d’étude (création du Ministère de la Santé publique en 1920, loi du 25 octobre 1919 et modifiée en 1931 sur les maladies professionnelles, instauration des Assurances sociales en 1930) et questionne entre autre le lien entre la consommation de vin des ouvriers à l’usine et l’hygiène/sécurité au travail. L’Etat, les employeurs et les ouvriers, selon des intérêts différents et divergents (santé publique/antialcoolisme, productivité, protection), sont alors amenés à (re)penser leur rapport au vin en milieu professionnel. Durant cette époque où chaque Français consommait près de 200 litres par an, notre contribution se propose donc d’interroger les différents acteurs (étatiques, patronaux et syndicaux), d’analyser à la fois leur perception du vin mais également les politiques ou stratégies, plus ou moins prohibitives, adoptées dans le cadre de mesures de protection sanitaire des travailleurs et d’en évaluer les résultats. Notre démarche vise ainsi à mettre en lumière les oppositions qui ont pu exister entre ces différents intervenants autour du vin et de la santé au travail, le rapport ambigu que chacun entretenait vis-à-vis de ce qui demeure la « boisson nationale » (tantôt fortifiant, tantôt facteur accidentogène, marqueur d’une identité professionnelle partagée voire complément rémunérateur dans certains métiers) et de relever durant ces vingt années les permanences mais surtout les ruptures en termes de pratiques et de prévention. Notre intervention s’articulera autour de trois points : - Fantasmes et réalités de la consommation de vin sur (et hors) le lieu de travail : cantines, cafés, ateliers et « gamelles ». - Le vin, un bouc émissaire désigné pour expliquer les accidents du travail et les maladies professionnelles ? Débats entre patronat et syndicats autour de la question de la responsabilité de l’ouvrier ou du manque de mesures de sécurité. - Entre culture ouvrière et défense de la santé des travailleurs : un difficile équilibre syndical à trouver. Pour traiter ces questions, nous nous appuierons sur les archives de la CGT de l’entre-deux-guerres (entre autres celles de l’Institut confédéral d’études et de prévention des maladies professionnelles), revenues de Moscou à la fin des années 1990 et sur celles du ministère du Travail relatives à la législation et aux travaux des organismes de consultation/conciliation telle la Commission d’hygiène industrielle où les différents acteurs interviennent. Nous utiliserons également la presse ouvrière de l’époque et les travaux récents issus des nouveaux champs de recherche appliqués aux pratiques alimentaires et à la santé au travail, afin de compléter notre approche.
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Dejemeppe, Muriel, and Bruno Van der Linden. "Numéro 40 - avril 2006." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15873.

Full text
Abstract:
Ce numéro de Regards économiques se concentre sur divers aspects du "plan Marshall" (ci-dessous "le plan") qui ont un lien direct avec le marché du travail en Wallonie. Il les situe par rapport à son fonctionnement, par rapport à certaines politiques fédérales et à la problématique salariale en Belgique et dans ses régions. Face aux difficultés à pourvoir certains types d'emplois vacants en Wallonie et au manque simultané d'opportunités d'emploi, quels sont les remèdes ? Où le plan peut-il agir ? “Le problème de la Wallonie, c'est le manque d'offres d'emploi”, entend-on dire souvent. D'un autre côté, depuis quelques années, est apparue la problématique des postes vacants difficiles à pourvoir (ou des "fonctions critiques"). Bien que la coexistence de ces deux problèmes n'ait rien de surprenant, on a de bonnes raisons de se soucier simultanément de chacun d'eux. Divers mécanismes sont à prendre en compte. Le “plan” agit sur certains d'entre eux mais doit être complété par des outils fédéraux. Le plan devrait par divers canaux stimuler à terme le nombre de postes vacants créés (renforcement de l'innovation, stimulation de la création d'activités et création de “pôles de compétitivité”). Il est trop tôt cependant pour en juger. L'essentiel dépendra de la capacité de nos institutions publiques et privées à mettre ces actions en œuvre avec efficacité. Dans ses domaines de compétence, le "plan" prévoit des mesures qui devraient favoriser la conciliation entre vie familiale et professionnelle (renforcement des capacités d'accueil de jeunes enfants et d'aide «aux personnes dépendantes» par le recrutement de près de 2000 emplois subventionnés dans le secteur non marchand). Ceci devrait faciliter l'acceptation d'une offre d'emploi. Le FOREM et des organismes privés cherchent à faciliter la rencontre entre demandeurs d'emplois et postes vacants. Le plan prévoit un renforcement des moyens du FOREM à cet égard mais uniquement en faveur des stagiaires en formation au sein du FOREM lui-même. Cette restriction est difficile à justifier. Comme les difficultés de recrutement tiennent aussi à un déficit de compétence, le "plan" prévoit un renforcement de l'effort de formation, en particulier pour les fonctions identifiées comme critiques et dans les secteurs liés aux pôles de compétitivité. Cette sélectivité apparaît cohérente. Divers instruments renforcés par le "plan" (le Plan Formation-Insertion, l'apprentissage des langues, l'enseignement en alternance) ne sont pas nouveaux. Ils ont fait parfois l'objet d'évaluations critiques. On attend des décideurs qu'ils prennent la pleine mesure des conclusions essentielles de celles-ci parallèlement à l'octroi de moyens supplémentaires. Le "plan" intègre la création d'un instrument nouveau par la Communauté française: les Centres de Technologies Avancées. Il s'agit de labelliser et de renforcer les moyens d'établissements scolaires spécialisés dans des secteurs porteurs d'emploi. Ces centres s'ajoutent à une autre structure, créée assez récemment par la Région wallonne et dénommée les Centres de compétence. Etant donné la rapidité des évolutions technologiques, l'enjeu est de taille. La sélection des projets et la coordination entre la Région et la Communauté seront ici aussi déterminants. La difficulté à pourvoir des emplois vacants est aussi liée à des facteurs non monétaires nuisibles à la qualité de l'emploi (horaires difficiles, risques d'accident de travail, etc.), au statut social associé ou non à l'emploi et aux images que l'on a de la fonction offerte (voir la récente étude du DULBEA sur ce sujet). Dans le cadre du "plan", le FOREM a récemment mis en place un “plan d'action”qui vise notamment à agir sur certains de ces aspects. Sans oublier les actions régionales dans le domaine du transport public et du logement, qui ne relèvent pas du "plan", pour promouvoir davantage une meilleure rencontre entre les emplois vacants et les demandeurs d'emploi, la Région wallonne doit en particulier s'appuyer sur les instruments suivants, qui sont essentiellement du ressort de l'Etat fédéral : On sait que les gains monétaires immédiats en cas de reprise d'emploi se sont accrus dans bien des cas entre 1999 et 2003. Ces gains paraissent toutefois demeurer fort faibles en cas de reprise d'un emploi à bas salaire et à temps partiel. Le gouvernement fédéral s'est engagé à adapter périodiquement les prestations de remplacement de revenus des salariés. Face à cela, pour éviter le développement de désincitants à la reprise d'emploi, toute modification de la (para)fiscalité devrait avoir un double souci : (a) elle devrait atteindre les catégories au bas de l'échelle des revenus du travail d'une manière immédiatement tangible pour celles-ci (via en particulier les cotisations personnelles ou le précompte professionnel); (b) cependant, on ne peut alléger la (para)fiscalité au bas de l'échelle des revenus sans un ajustement dans le même sens pour les revenus plus élevés sous peine de créer des incitations perverses qui réduiraient la base taxable. Il est possible que le plan d'activation du comportement de recherche d'emploi entraîne une augmentation de l'effort de recherche. Les évaluations sont en cours. Pour autant qu'elles stimulent effectivement l'effort de recherche d'emploi, les politiques actives rendant celui-ci plus efficace (conseillers en recherche d'emploi, ateliers de recherche active, stage de mise en situation professionnelle) peuvent stimuler une embauche durable, ainsi que l'a montré une évaluation en France. Le plan d'accompagnement des chômeurs pourrait affecter le comportement de recherche d'emploi par ce canal et pas uniquement par le contrôle qu'il exerce. Coûts salariaux et productivité : Faut-il régionaliser la formation des salaires, alléger le coût du travail ? Le “plan” n'aborde qu'incidemment la problématique du coût du travail. A-t-il tort ? En soi, non, car la matière est fédérale. Cette problématique et celle de la productivité sont néanmoins en toile de fond du "plan" et de bien des débats. Nous avons donc estimé utile de consacrer un part de ce numéro à ces aspects. Sur base des récentes statistiques de l'ICN, comparés à la Wallonie, le coût salarial par personne est dans la plupart des secteurs supérieur en Flandre (en moyenne, l'écart est de 8 % en 2003) mais la productivité du travail est dans la plupart des secteurs supérieure en Flandre (en moyenne, l'écart est de 14 % en 2004). En combinant ces informations pour 2003, on conclut que le coût salarial par unité de valeur ajoutée est en moyenne inférieur de 4,5 % en Flandre. Ces moyennes cachent néanmoins une hétérogénéité sectorielle importante. De ce constat, on peut être tenté de conclure qu'il faudrait abandonner la formation des salaires au niveau (interprofessionnel et sectoriel) fédéral au profit d'une négociation à un niveau régional ou local. Ceci devrait conduire à une meilleure prise en compte des conditions locales du marché du travail lors de la négociation salariale. Nous émettons des doutes sur l'efficacité d'une telle approche. Il est bien établi que les salaires réagissent faiblement au niveau du chômage en Belgique. Rien ne permet de penser qu'une forme de régionalisation modifierait l'ampleur de cette saine réaction. Plus fondamentalement, les résultats d'une négociation se jugent par comparaison aux résultats obtenus par d'autres négociations salariales. Si donc on découpe les commissions paritaires nationales en commissions (sous-)régionales, on doit s'attendre à un effet de comparaison très puissant entre les ex-membres de la même commission nationale. Une régionalisation des négociations est alors moins efficace du point de vue de l'emploi qu'une négociation nationale qui prend en compte les spécificités régionales. Ceci est vrai tant pour la Flandre que pour les autres régions. Sans être le seul facteur pertinent (voir notamment le numéro 41 de Regards économiques relatif à la fiscalité), le coût du travail est un facteur central pour les régions belges. Outre le ciblage inadéquat des allégements structurels (fédéraux) de cotisations patronales de sécurité sociale, nous rappelons que des subventions temporaires à l'embauche présentent une efficacité du point de vue de l'insertion en emploi pour autant que le ciblage soit adéquat et la durée de subvention courte (un an devrait être un ordre de grandeur). La région wallonne a de longue date privilégié une autre option : les créations directes et/ou la subvention forte et durable d'emplois réservés aux chômeurs. Le "plan" prolonge cette option par le subventionnement de 2000 emplois supplémentaires (voir point b ci-dessus). Les secteurs bénéficiaires – dans une large mesure les secteurs publics et non-marchand – reçoivent ainsi un soutien parfois essentiel. Il nous apparaît que cette dernière motivation domine en pratique. Nous ne voyons donc pas les raisons de réserver ces emplois à des personnes disposant de statuts spécifiques – souvent complexes à définir. Que faut-il faire et, surtout, ne pas faire en matière d’évaluation des politiques d’emploi ? L'enjeu de l'évaluation est proclamé de plus en plus souvent, en particulier par le "plan". Mais est-on bien conscient de ce que "évaluer" veut dire ? Nous sommes convaincus du contraire. Le «nombre de contrats signés», le «nombre de bénéficiaires», le «parcours des bénéficiaires sur le marché du travail» et même une comparaison grossière entre ces parcours et ceux d'un vague groupe de contrôle sont autant d’indicateurs descriptifs intéressants. Ils ne permettent cependant pas de se prononcer sur l’effet du dispositif sur les chances d’insertion des demandeurs d’emploi. Des méthodes plus sophistiquées et plus fiables existent mais elles ne s'improvisent pas. Elles requièrent du temps et un savoir-faire pointu. Nous préconisons donc ceci : Il y a lieu de penser l’évaluation d’un programme avant même son lancement. Il faudrait interdire le lancement d'une nouvelle politique avant que le processus d'évaluation n'ait été défini et reconnu pertinent par une instance indépendante. L'Institut Wallon de l'Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS) doit être doté de moyens substantiellement plus importants pour qu'il puisse notamment mener à bien ses missions d'évaluation.
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Dissertations / Theses on the topic "Ateliers nationaux (France)"

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Le, Mée Isabelle-Cécile Collard Auguste Hippolyte. "Collard Auguste Hippolyte et son atelier central de photographie : [suivi d'un] Catalogue des oeuvres conservées dans les bibliothèques publiques parisiennes /." [Paris] : I. Le Mée, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb358357993.

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Lemny, Doïna. "Le milieu artistique et culturel de Brancusi : essai d'investigation à partir du legs au Musée national d'art moderne." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010665.

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Abstract:
L'œuvre et la personnalité de Constantin Brancusi ont constitué l'objet d'étude de nombreux chercheurs qui, dans leur analyse, se sont appuyés sur des documents conservés à la documentation du musée national d'art moderne. Souvent cité, le legs de Brancusi au musée n'a jamais été présenté et analysé dans son ensemble à cause du destin particulier des archives trouvées dans l'atelier. L'approche analytique à ce legs nous a ouvert d'autres voies vers des archives publiques ou privées afin de comprendre, à travers son milieu, la personnalité de "l'inventeur de la sculpture moderne". Une présentation intégrale du contenu de la bibliothèque nous a permis de pénétrer dans l'ambiance culturelle de l'artiste, alors que la simple reproduction de la liste des disques nous a offert un aperçu de ses gouts en matière de musique. Le corpus de correspondance entre Brancusi et Duchamp a constitué le point de départ d'une cherche plus poussée pour mettre en valeur une amitié rappelée souvent par les spécialistes du premier, à peine évoquée par les biographes du deuxième. Le dossier du procès de l'oiseau (1926-28), comprenant la correspondance avec ses deux avocats et un album de coupures de presse rangées en ordre chronologique par l'artiste-même est l'un des plus importants. Chaque dossier d'archives, même si incomplet, marque des épisodes importants dans la vie et création du sculpteur. Les interviews avec des critiques d'art, artistes ou d'autres personnalités culturelles qui l'ont rencontré constituent un important support documentaire pour refaire l'ambiance, renommée par sa singularité, de l'atelier transforme en musée, installé par l'artiste lui-même
Constantin Brancusi's work and personality have been the object of several art historians' research. Many of them have based their analysis upon a number of documents which are kept at the documentation center of the national museum of modern art. Brancusi's bequest is often quoted. However, it has never been analysed and revealed in its entirely because of the strange ill-fortune these archives - which were found in the artist's studio - have met. Our present analysis is based upon Brancusi's bequest and includes research led in other public and private archives. Its aim is to provide an understanding of the cultural milieu and the personality of "the inventor of modern sculpture". The discovery of his library has allowed us to penetrate the artist's cultural atmosphere and his collection of records have given us an idea of his taste in music. The correspondence between Brancusi and marcel duchamp has been the starting point of more subtle research to understand the friendship between the two artists. This relationship has, so far, been reported by the specialists of Brancusi while only being evoked by those of duchamp. The files concerning the bird's trial (1926-28) contain Brancusi's correspondence with lawyers and a book of clippings put together by the artist. These count amidst the most interesting files. Overall, each file - even if it is more or less complete - unravelsseveral episodes of the sculptor's life and creation. Interviews with art historians, artists and cultural personalities who knew him, were another important documentary source in order to help restore the famous atmosphere of Brancusi's studio which the artist had organised as a museum display
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Proust, Clotilde. "Les ateliers du Musée des Antiquités nationales : aux origines de la restauration en archéologie." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H015/document.

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Abstract:
Le musée des Antiquités nationales (MAN) a été créé sous l'impulsion de l'Empereur Napoléon III en 1862. Avec le projet de création du musée s'est imposée la nécessité de le doter d'ateliers de moulage et de restauration. Abel Maitre, sculpteur de formation, est le premier chef d'atelier de 1866 à la fin du 19e siècle. Rouage Indispensable du MAN, Il s'est avéré être un véritable précurseur de la restauration des objets archéologiques telle qu'on la conçoit de nos jours. Son successeur, Benoit-Claude Champion, dirige les ateliers durant toute la première moitié du 20e siècle et œuvre à la professionnalisation de cette discipline, à une période où la question de la formation des restaurateurs est au centre des débats. A travers l'exemple concret des ateliers du MAN, cette recherche se propose de montrer comment a émergé la spécialité archéologie dans l'univers très artistique de la restauration, et comment le développement de cette activité en discipline est Intimement lié à la politique Internationale de sauvegarde du patrimoine, qui prend toute son ampleur après la première guerre mondiale
The National Museum of Antiquities (MAN) was created at the instigation of Emperor Napoleon Ill in 1862. With the proposed creation of the museum has become the need to equip the workshops of molding and restoration. Abel Maître, a sculptor by training, is the first leader of workshop in the late 19th century. Indispensable part of the MAN, Il proved to be a !rue precursor of the restoration of archaeological objects as it conceives today. His successor, Benoit-Claude Champion, leads workshops throughout the first half of the 20th century and works to professionalize the discipline, at a time when the Issue of training for restorers is central to the debate. Through concrete example of MAN workshops, this research alms to show how archeology has emerged as a specialty in the highly artistic restoration, and how the development of this discipline is closely linked to International politics Heritage Preservation, which comes into its own after World war 1
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Briselance, Claude. "Les écoles d' horlogerie de Besançon : une contribution décisive au développement industriel local et régional (1793-1974)." Thesis, Lyon 2, 2015. http://www.theses.fr/2015LYO20078/document.

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Abstract:
L’Histoire des écoles d’horlogerie de Besançon est inhérente à la naissance et à la continuité d’une industrie spécifique très localisée sur un territoire. Avec elles nous partons de l’ère « proto-industrielle » qui plonge ses racines dans les idéaux révolutionnaires de 1793 pour aboutir aux bouleversements technologiques de l’électronique et du « quartz » des années 1970… S’inscrivant sur la longue durée, trois « écoles » vont se succéder. Pour répondre aux attentes d’une industrie horlogère qui doit constamment faire face aux évolutions techniques, chacune à sa manière, va innover pour constituer un « corpus » original de formation qui n’est pas sans bousculer les rites et usages du temps. Si les deux premières « écoles » eurent une durée de vie limitée, la dernière entité, née en 1861 de la volonté municipale, va pendant plus d’un siècle, accompagner toute une ville (et sa région) dans sa réussite industrielle. Dès sa création, et au fur et à mesure des adaptations qu’elle a su mettre en place, par la qualité et la spécificité des formations dispensées, elle va irriguer de ses élèves toute une industrie toujours à l’affût de personnels qualifiés. Au plan national elle va diffuser le nom de Besançon comme « capitale française de l’horlogerie » en formant nombre d’horlogers-rhabilleurs tenant boutiques et autres ateliers de réparation par tout le territoire… Elle va servir de référence pour implanter dans la Cité des laboratoires de recherche et d’enseignement supérieur : un Observatoire chronométrique, une École d’ingénieurs, un Centre d’études horlogères et de développement industriel (Cétéhor)… Elle va contribuer à la diversification industrielle de la ville dans des domaines connexes à l’horlogerie, notamment dans le découpage, la micromécanique, l’appareillage et les microtechniques… Nationalisée en 1891, elle fait dès lors partie de la petite élite des Écoles Nationales Professionnelles (par assimilation), qui vont marquer le développement industriel du Pays. En 1933, quand elle intègre ses nouveaux locaux, par le nombre et l’originalité de ses filières (de l’ouvrier qualifié à l’ingénieur), par sa dotation en matériels modernes, elle est signalée comme étant le « premier établissement de l’enseignement technique » en France. Le cheminement de cette dernière école fait aussi ressortir une histoire « humaine », « prosopographique », qui met en exergue les nombreux anciens élèves qui se sont lancés avec grande réussite dans la création d’entreprises. Restés fidèles à leur école, ils ont contribué au renom et au développement de la richesse économique de la cité et de sa région… Avec ces écoles d’horlogerie, on aborde enfin l’histoire de l’Enseignement Technique en France. Pour répondre à la demande d’une industrie horlogère en pleine croissance qui déplorait les carences de l’apprentissage en atelier, elles ont été pionnières en ouvrant la voie de « la scolarisation » de la formation professionnelle. Par leurs innovations pédagogiques, et soutenues par les Anciens Élèves, elles ont su établir un lien « École-Entreprise » des plus fructueux qui marque encore la mémoire collective des Bisontins…En 1974 elle perd toute référence à l’horlogerie pour devenir le Lycée Jules Haag. Le temps de l’histoire est désormais advenu pour tenter de comprendre ce qui a fait la force et la réussite de ces « Écoles d’horlogerie » dans leur participation active, sur la durée, à la prospérité économique et industrielle d’une ville et de sa région…
The history of the watchmaking schools in Besançon is part of the birth and continuous development of a specific industry in a very limited sector of the French territory. When studying those schools we start at the « protoindustrial » time with its roots in the revolutionary ideals of 1793 and end up with the technological upheavals of electronics and the « quartz » technology in the 1970s. Three « schools » followed one another over the long term. Each school aimed at satisfying the demands of a watchmakng industry confronted to rapidly changing technical evolutions ; so it innovated in its own way by creating an original « corpus » in the students training and most of the time upset the practices and common ideas of the time. If the first two « schools » had a limited lifespan, the last one created in 1861 by the town council itself has been supporting the industrial growth of the city and the surrounding region. Since its foundation it has stuck to the industrial reality by placing the emphasis on high standards and opening new specific branches whenever necessary, thus answering the needs of firms always looking for highly qualified staff. For a large number of French people Besançon became the « capital town of the watchmaking industry » thanks to the shops or repair workshops kept by Besançon-trained former students all over France… It served as a background to set up research and university laboratories in the city : Observatoire Chronométrique, Ecole d’Ingénieurs, Centre d’Etudes Horlogères et de Développement Industriel (Cétéhor)… It contributed to the industrial diversification of the town in fields related to watchmaking such as mechanical cutting, micromechanics, equipment and microtechniques. It was nationalized in 1891 and then belonged to the very small elite goup of the Professional National Schools that influenced the future industrial development of the country. In 1933 it moved into sparkling-new premises and was acknowledged as the flagship of technical education in France : it offered a large number of innovating courses ranging from the skilled worker to the engineer and was granted the latest equipments in every field. The path of this new school also enhanced a « humane » and « prosopographical » history ; it highlighted the part played by the numerous former students who created their own successful businesses. Being faithful to their old school they contributed to the renown and economic growth and prosperity of the city and its region… Beyond the local impact we must regard the history of the watchmaking schools as an important part of the history of Technical Education in France. To meet the needs of a soaring watchmaking industry they opened the way to the transfer of professional training from apprenticeship in workshops with its observed shortcomings to education in technical high schools. Their pedagogical innovations, the strong support of their former students created a vital school-business link that still lives on in the collective memory of the town inhabitants.In 1974 its name changed to Lycée Jules Haag thus losing any reference to watchmaking. Let us now try and understand the strong influence and success of those watchmaking schools, the active part they played in the economic industrial prosperity of a town and its surrounding region…
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Books on the topic "Ateliers nationaux (France)"

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Laure-C, Starcky, and Meulen, Adam Frans van der, 1632-1690., eds. Dessins de Van der Meulen et de son atelier. Paris: Ministère de la culture et de la communication, Editions de la Réunion des musées nationaux, 1988.

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national, France Mobilier. Paris, Mobilier national: Dessins de Van der Meulen et de son atelier. Paris: Ministère de la Culture et de la Communication, Editions de la Réunion des musées nationaux et du Centre national des Arts plastiques, 1988.

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École nationale supérieure des beaux-arts (France), ed. Expérience chilienne: Atelier Emmanuel Saulnier = Experiencia chilena. Paris: Beaux-arts de Paris, 2008.

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École nationale supérieure des beaux-arts (France), ed. Expérience chilienne: Atelier Emmanuel Saulnier = Experiencia chilena. Paris: Beaux-arts de Paris, 2008.

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Coural, Jean. L'Atelier de recherche et de création du Mobilier national (1964-2000): Plaidoyer pour le mobilier contemporain : hommage à Jean Coural : Galerie nationale de Beauvais, Beauvais, 15 mars-15 septembre 2001. Paris: Centre national des arts plastiques, Administration générale du mobilier national, 2001.

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6

Brancusi, Constantin. L' atelier Brancusi. Paris: Centre Georges Pompidou, 1997.

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7

Brancusi, Constantin. L' atelier Brancusi. Paris: Centre Georges Pompidou, 1997.

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8

Du "poche" aux collections de poche: Histoire et mutations d'un genre : actes des ateliers du livre, Bibliothèque nationale de France, 2002 et 2003. Liège: CEFAL, 2010.

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Conference papers on the topic "Ateliers nationaux (France)"

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Sempere i Soler, Josep Francesc. ""Memorial National de Gurs. 1994"." In III Congreso Internacional de Investigación en Artes Visuales :: ANIAV 2017 :: GLOCAL. Valencia: Universitat Politècnica València, 2017. http://dx.doi.org/10.4995/aniav.2017.5879.

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Abstract:
El propósito del trabajo es dar a conocer la existencia de este campo denominado de internamiento en el Béarn, desde los años 1939 a 1945. En concreto en la población de Gurs, un pequeño pueblo, en el Pirineo Atlántico francés. Y del Memorial obra de Dani Karavan. Tras la derrota militar del ejército republicano se produce un exilio masivo - se cifra en medio millón de personas tras la caída de Barcelona el 26 de enero de 1939-, del ejército y población de la IIª República. El gobierno francés crea esta suerte de campos de internamiento. El de Gurs fue el más grande y encerró a los que consideraban indeseables: republicanos procedentes de España, brigadistas internacionales, aviadores republicanos. Refugiados de la Europa Central y sin papeles, comunistas y resistentes franceses, gitanos y judíos extranjeros. En esta landa inhóspita permanecieron encerrados 60.550 hombres, mujeres y niños. Muchos descansan en los dos cementerios adjuntos al antiguo campo (en uno los republicanos, brigadistas, otros presos y el otro es el cementerio judío). Decidí realizar esta investigación en el terreno y hablando con supervivientes del campo, residentes en pueblos cercanos, para que los jóvenes europeos puedan tener conocimiento de que la Segunda Guerra Mundial comenzó en 1936, aunque no aparezca en ningún libro de historia. El gobierno francés tras años de intentar hacer desaparecer cualquier vestigio del mismo y ante la presión de los ciudadanos del Béarn, de la “Amicale du camp de Gurs”, asociaciones judías y otras muchas organizaciones y personalidades, paralizaron la destrucción completa de los restos del antiguo campo y encargaron al artista israelí Dani Karavan - uno de los artistas de “Land Art” vivos más reconocidos -, la construcción de este Memorial (existen tres en toda Francia), se inaugura el 14 de octubre de 1994. Al estar realizando la tesis sobre la obra y persona de Dani Karavan, acudí - en octubre de 2011- , al igual que a otros países y lugares donde tiene emplazadas obras ( Alemania, España, Francia, Italia, Israel,..), para realizar fotografías, filmaciones, dibujos, apuntes, obtener información de los ayuntamientos e ir recabando información para la tesis. Descubrí el lugar y recordé las palabras del artista: “Cuando trabajo en un nuevo emplazamiento trato con aspectos visibles e invisibles, con materiales sensibles, con memorias y con mi propio estado de conciencia y conocimiento histórico” . Tal fue el impacto, que pasé unos días consternado y más conforme oía relatos de supervivientes y leía sobre el campo y el trabajo de Dani Karavan, ante el ofrecimiento de realizar la obra y descubrir la realidad de lo sucedido. En enero acudí al “atelier” de Dani en París (ahora reside en Tel Aviv, pero venía a Europa unos días por compromisos ), hablé con el maestro el día 21/01/2017 y realicé unas fotografías tipo retrato, tras la entrevista. Detrás de él , en la pared, había unos fotos de este “Memorial National de Gurs".http://dx.doi.org/10.4995/ANIAV.2017.5879
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Fuentes, O., and G. Pincon. "PARIETAL AND MOBILE ART OF ROC-AUX-SORCIERS ROCK SHELTER (MIDDLE MAGDALENIAN, VIENNE, FRANCE)." In Знаки и образы в искусстве каменного века. Международная конференция. Тезисы докладов [Электронный ресурс]. Crossref, 2019. http://dx.doi.org/10.25681/iaras.2019.978-5-94375-308-4.15-16.

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Abstract:
The rock shelter of the Roc-aux-Sorciers at Angles-sur-lAnglin (Vienne, France) is one of the archaeological reference sites for the Upper Paleolithic. The sculpted, painted and engraved frieze was gradually brought to light in its archaeological context by Susanne Cassou de Saint-Mathurin and Dorothy Garrod from 1949 onwards (Saint-Mathurin, Garrod, 1950). A wealth of archaeological material was discovered alongside the parietal art, comprising numerous works of portable art, tools made of animal bone, jewellery, etc. It was very rapidly observed that the portable art and the parietal art shared the same graphic and thematic conventions. For example, images of female bodies are rendered in high relief, in a monumental way, but also in the form of small statuettes. Our research has demonstrated the undeniable intra-site links between the portable art and the parietal art (Pinon, 2012). Here we propose to broaden this analysis within a well-identified culture of the Middle Magdalenian known as the Magdalenian of Lussac-Angles spearpoints. At the time of the discovery of the Magdalenian site of La Marche in 1937 (Vienne) (Lwoff, Pricard, 1940), some similarities had been identified between this site and that of Le Roc-aux-Sorciers, where the discoveries dated back to 1927 (Rousseau, 1933). These similarities are also perceptible in shared techniques (Chehmana, Beyries, 2010), as well as in the production of objects in hard organic materials such as the Lussac-Angles spearpoints (Pinon, 1988), the jewellery in fossil mammoth ivory (Dujardin, Pinon, 2000), the engraved horse incisors (Mazire, 2009) and the figurative art (Bourdier et al., 2016 Fuentes, 2016). We propose to further explore the links between these two sites through the analysis of the dynamic processes of reworking images. In particular we examine the engraved plaquettes of La Marche and the parietal art of Le Roc-aux-Sorciers to bring these links into perspective. This could shed light on some common ways of seeing the world in this Magdalenian group. Bourdier, C., Pinon, G., Bosselin, B. (2016). Norme et individualit au Rocaux-Sorciers (Vienne, France): approches des mains du registre animalier au travers de la forme. In M. Groenen, M.-Ch. Groenen (Eds.), Style, Techniques and Graphic expression in Rock Art (pp. 1735). BAR S2787. Chehmana, L., Beyries, S. (2010). Lindustrie lithique du Roc-aux-Sorciers (collection Rousseau). In J. Buisson-Catil, J. Primault (Eds.), Prhistoire entre Электронная библиотека ИА РАН: https://www.archaeolog.ru/ru/el-bib 16 Vienne et Charente. Hommes et socit du Palolithique (pp. 453460). Association des publications Chauvinoises, mmoire XXXVIII. Dujardin, V., Pinon, G. (2000). Le Magdalnien dans la Vienne et la Charente. In G. Pion (Dir.), Le Palolithique suprieur rcent: nouvelles donnes sur le peuplement et lenvironnement (pp. 213222). Actes de la table ronde de Chambry, 12-13 mars 1999, Mmoire de la Socit prhistorique franaise 28. Fuentes, O. (2016). The social dimension of human depiction in Magdalenian rock art (16,500 cal. BP 12.000 Cal. BP): the case of the Roc-aux-Sorciers rockshelter. Quaternary International, 430, 97113. https://doi.org/10.1016/ j.quaint.2016.06.023 Pericard, L., Lwoff, S. (1940). La Marche. Commune de Lussac-les-Chteaux (Vienne). Premier atelier de Magdalnien III dalles graves mobiles. Bulletin de la Socit Prhistorique franaise, 37(79), 155180. Pinon, G. (1988). Fiche sagaie de Lussac-Angles. In H. Camps Fabrer (Dir.), Fiches typologiques de lindustrie osseuse prhistorique. Commission de nomenclature sur lindustrie de los prhistorique. Cahier I: sagaies (fiche 3bis). Universit de Provence. Pinon, G. (2012). Art mobilier et art parital du Roc-aux-Sorciers (Angles-surlAnglin, Vienne, France): disparits ou sens communs In J. Clottes (Ed.), Lart plistocne dans le monde / Pleistocene art of the world / Arte pleistoceno en el mundo (pp. 15491558). Bulletin Socit Prhistorique Arige-Pyrnes. Mazire, G. (2009). Les incisives de chevaux graves. In G. Pinon (Dir.), Le Roc-aux-Sorciers: art et parure du Magdalnien. Runion des Muses Nationaux. http://www.catalogue-roc-aux-sorciers.fr Rousseau, L. (1933). Le Magdalnien dans la Vienne. Dcouverte et fouille dun gisement du Magdalnien, Angles-sur-lAnglin (Vienne). Bulletin de la Socit Prhistorique franaise, 30, 239256. Saint-Mathurin (de), S., Garrod, D. (1950). Une frise sculpte du Magdalnien ancien dcouverte Angles-sur-lAnglin, dans la Vienne. Acadmie des Inscriptions et Belles Lettres, 94(2), 123128.
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