Academic literature on the topic 'Autochtones – Canada – Politique et gouvernement'

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Journal articles on the topic "Autochtones – Canada – Politique et gouvernement"

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Dalton, Jennifer E. "Aboriginal Self-Determination in Canada : Protections Afforded by the Judiciary and Government." Canadian journal of law and society 21, no. 1 (April 2006): 11–37. http://dx.doi.org/10.1353/jls.2006.0034.

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Abstract:
RésuméOn présume en général que les arrêts décisifs de la Cour suprême canadienne représentent une tendance vers une protection croissante des droits des Autochtones en droit canadien. Cet article prend la position inverse. En dépit des décisions judiciaires concernant des droits autochtones sous 35(1), les droits des peuples autochtones du Canada ne sont pas mieux protégés. Les juges ont plutôt développé différents tests juridiques qui ont freiné l'élargissement de droits autochtones. On découvre ainsi que la reconnaissance politique et gouvernementale des peuples autochtones et de leurs droits, incluant le droit à l'autodétermination, fut plus grande que celle par la Cour suprême du Canada, et ceci malgré le traitement destructeur des peuples autochtones par l'État canadien. Le gouvernement du Canada a été prêt à reconnaître leur droit inhérent à l'autodétermination. Ceci est dû au statut légal modifié de qui constitue un «peuple» en droit international et au rôle du gouvernement canadien en tant que signataire de plusieurs conventions et déclarations internationales, tout autant qu'à des déclarations politiques plus récentes et des développements dans les négociations territoriales et d'autonomie plus globales.
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Baines, Stephen Grant, and Alice Fiuza. "Politiques indigénistes au Brésil, au Canada et en Australie." Recherches amérindiennes au Québec 44, no. 2-3 (June 1, 2015): 5–12. http://dx.doi.org/10.7202/1030962ar.

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Abstract:
Cet article examine certains des défis rencontrés par l’ethnologie autochtone au Brésil, au Canada et en Australie au cours des dernières décennies, en mettant l’accent sur les situations où se produit le contact interethnique entre peuples autochtones et États nationaux et dans lesquelles l’anthropologue intervient au moyen de recherches politiquement engagées. La représentation des peuples autochtones dans les trois pays s’est renforcée depuis la consolidation des mouvements politiques autochtones à partir des années 1970, au moment où les grandes sociétés minières, forestières, d’élevages, agro-industrielles et hydroélectriques convoitaient les ressources naturelles sur les territoires autochtones. L’anthropologue travaille dans des contextes fortement politisés en collaboration avec des agents sociaux des communautés autochtones et de la société nationale, tant du gouvernement que des entreprises actives sur les territoires autochtones. Un des rôles joués par l’anthropologue consiste à interpréter les situations complexes d’interventions gouvernementales et de l’indigénisme entrepreneurial en analysant et en contextualisant les différentes opinions des intervenants sociaux qui y prennent part.
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Scholtz, Christa. "The Influence of Judicial Uncertainty on Executive Support for Negotiation in Canadian Land Claims Policy." Canadian Journal of Political Science 42, no. 2 (June 2009): 417–42. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423909090349.

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Abstract:
Abstract. Governments and Indigenous groups bargain under the shadow of the law, and this paper pushes the judicial politics research agenda by examining empirically whether flickers in law's shadow systematically affect the implementation of the Canadian government's negotiation choice in the Indigenous land rights context. Through interviews and a time series analysis of Canada's specific claims policy, I find that judicial uncertainty increases the federal government's propensity to accept specific claims for negotiation. However, there is evidence that Indigenous protest action during the Oka crisis and Elijah Harper's role in scuttling the Meech Lake constitutional accord, more than other factors, greatly impacted the federal budget allocated towards negotiation.Résumé. Les négociations entre les gouvernements et les groupes autochtones se déroulent sous les auspices de la loi, et le présent document examine le programme de recherche sur les politiques légales afin de déterminer de façon empirique si certaines imprécisions dans la loi influent sur les options retenues par le gouvernement du Canada en ce qui concerne les droits sur les terres autochtones. Une analyse statistique de la politique de revendication en vigueur au Canada ainsi qu'un certain nombre d'entrevues m'ont permis de constater l'existence d'un flou juridique qui amène le gouvernement fédéral à accepter d'examiner certaines revendications spécifiques à la table des négociations. Il semble toutefois que certains incidents particuliers, comme les gestes de protestation posés par les autochtones lors de la crise d'Oka, ou le rôle joué par Elijah Harper dans l'échec de l'Accord constitutionnel du lac Meech, aient eu une incidence marquée sur l'importance des sommes allouées par le gouvernement fédéral à ces négociations.
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Ladner, Kiera L., and Caroline Dick. "Out of the Fires of Hell: Globalization as a Solution to Globalization—An Indigenist Perspective." Canadian journal of law and society 23, no. 1-2 (April 2008): 63–91. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100009583.

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Abstract:
RésuméDepuis les années 1960, les peuples autochtones du Canada essaient de reconstruire leurs nations ainsi que leurs systèmes économiques, politiques, sociaux et culturels. Ceux-ci défendent leurs revendications sur le plan domestique, à l'aide de démarches politiques et légales, tout en faisant valoir leurs demandes à l'échelle internationale. Malgré l'empiètement des droits constitutionnels des Autochtones et le choix du Canada de s'engager dans un discours sur les droits inhérents des peuples autochtones, les voies domestiques sont marquées, néanmoins, par une « paralysie des paradigmes » et les autorités canadiennes s'accrochent fermement au paradigme colonial. Par conséquent, les cours ainsi que les politiciens ont été incapables de remettre en cause l'autorité du gouvernement du Canada sur les questions touchant les Premières nations ou encore d'entériner la relation de nation à nation qui gouvernait autrefois les négociations de la couronne avec les peuples autochtones. Tandis que les démarches politiques ont abouti à la reconnaissance de formes inférieures d'autonomie gouvernementale par des gouvernements canadiens « supérieurs », les droits constitutionnels protégés des peuples autochtones ont été interprétés par la Cour suprême du Canada de la manière la plus limitée, ébranlant, par le fait même, les revendications autochtones sur la question de la souveraineté, limitant l'autonomie culturelle des peuples autochtones et empêchant la création d'économies autochtones modernes. Ainsi, on peut se poser la question suivante : les démarches globales représentent-elles de meilleurs espoirs pour les peuples autochtones et leurs aspirations? En examinant l'engagement des peuples autochtones dans des domaines touchant les mécanismes de libéralisation des échanges et les droits sur la propriété intellectuelle, les auteurs concluent que, même si l'aréna internationale et les organisations d'échange multilatéral ne cherchent certainement pas à protéger les autochtones ou leurs intérêts, ceux-ci peuvent toutefois être utilisés afin de faire avancer les aspirations politiques, sociales, culturelles et économiques des peuples autochtones.
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Augustine, Millie, and Joan Gamble. "Le point de vue d’une juriste autochtone sur la situation des Amérindiens." Articles 23, no. 1 (October 10, 2007): 161–67. http://dx.doi.org/10.7202/031911ar.

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Abstract:
Résumé S'inspirant de l'exemple des Micmacs du Nouveau-Brunswick, Me Millie Augustine1 fait le point sur la situation des autochtones dans les pays des Amériques en ce qui concerne le respect de leurs droits. Elle souligne d'abord l'importance pour son peuple d'être éduqué par rapport à ses droits devant le système de justice et relève certaines contradictions qui opposent le système juridique du Canada et les moeurs autochtones traditionnelles. Elle analyse les causes de la tension qui divise les collectivités autochtones et non autochtones et explique quelle incidence ont sur les autochtones les politiques du gouvernement fédéral les concernant, notamment la Loi sur les Indiens. Elle identifie enfin trois défis pour l'école: freiner l'assimilation culturelle des autochtones en s'ouvrant à la différence des moeurs à la source des cultures autochtones et non autochtones; intervenir directement auprès des jeunes qui manifestent des comportements racistes et mettre en lumière la perspective autochtone dans l'enseignement de l'histoire.
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MacDonald, Fiona. "Indigenous Peoples and Neoliberal “Privatization” in Canada: Opportunities, Cautions and Constraints." Canadian Journal of Political Science 44, no. 2 (June 2011): 257–73. http://dx.doi.org/10.1017/s000842391100014x.

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Abstract:
Abstract.This article addresses the impact of the current neoliberal political context for Indigenous governance in Canada. While some observers have argued correctly that the neoliberal context provides new opportunities or points of entry in the political opportunity structure for “self-government” initiatives (Helvin, 2006; Scott, 2006; Slowey, 2008), I examine to what extent recent decentralizing initiatives, generally viewed as “concessions” made by the state to meet the demands of Indigenous peoples, must be evaluated as part of a broader governmental strategy of neoliberalism. This strategy is not simply about meeting the demands of Indigenous peoples but also about meeting the requirements of the contemporary governmental shift towards “privatization” within liberal democratic states. As such, I argue that certain manifestations of Indigenous self-government are vulnerable to criticisms launched against practices of privatization, practices which include a variety of policies designed to promote a shifting of contentious issues out of the public sphere and thereby limiting public debate and collective—that is, state—responsibility.Résumé.Le présent article analyse d'un oeil critique l'impact du contexte politique néolibéral actuel sur la gouvernance autochtone au Canada. Certains auteurs ont avancé avec raison que le contexte néolibéral donnait aux peuples autochtones de nouveaux points d'entrée pour leurs initiatives d'autogouvernance (Helvin, 2006; Scott, 2006; Slowey, 2008). Toutefois, j'examine ici dans quelle mesure les tentatives récentes de décentralisation, souvent comprises comme des «concessions» faites par l'État pour répondre aux revendications des peuples autochtones, doivent être évaluées dans le cadre plus vaste d'une stratégie de néolibéralisme du gouvernement. Cette stratégie ne vise pas uniquement à répondre aux besoins des peuples autochtones, mais aussi à permettre au gouvernement de s'orienter vers la «privatisation» qui distingue l'État libéral démocratique contemporain. À ce titre, je soutiens que certaines manifestations d'autogouvernance des Autochtones peuvent se prêter aux mêmes critiques que les pratiques de privatisation, qui comprennent diverses politiques visant à retirer de la place publique certains sujets controversés afin de limiter le débat public et la responsabilité collective, c'est-à-dire celle de l'État.
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Mailly, Sophie. "Un impérialisme canadien ? Inco et la politique du nickel au Guatemala (1956-1981)." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 26 (September 25, 2018): 63–75. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.026.05.

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Abstract:
L’extraction minière a joué un rôle primordial dans le processus de construction nationale du Canada. Une fois l’unification du pays, d’un océan à l’autre, complétée et après avoir dépossédé les peuples autochtones de leurs ressources naturelles et territoires ancestraux, l’industrie minière canadienne s’est exportée chez ses voisins latino-américains. À travers l’étude de cas de l’entreprise Inco au Guatemala et de sa filiale Exmibal, nous démontrons en quoi l’industrie minière canadienne constitue une forme d’impérialisme et ses opérations à l’étranger reproduisent les dynamiques impériales internes. En examinant les activités commerciales d’Inco de 1956 à 1981 au Guatemala, la participation du gouvernement canadien ainsi que l’opposition locale et celle des missionnaires catholiques canadiens au projet de la compagnie, nous pouvons ainsi saisir la façon dont se déploie l’empire canadien interne et externe. Cet article est un pas pour mettre en lumière les éléments de réciprocité et de continuité historiques du Canada et du Guatemala en replaçant la saga Exmibal dans l’histoire plus longue de ces pays.
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Dubois, Janique, and Kelly Saunders. "“Just Do It!”: Carving Out a Space for the Métis in Canadian Federalism." Canadian Journal of Political Science 46, no. 1 (March 2013): 187–214. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423913000164.

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Abstract:
Abstract.Disagreement over how and between whom power should be shared has led to competing conceptions of federalism in Canada. The model of federalism adopted in theConstitution Act 1867divides power between the provinces and the federal government to the exclusion of Aboriginal peoples. However, pre-Confederation documents such as the Royal Proclamation of 1763 and the early treaties suggest that federalism is founded on the coexistence of self-governing nations. This paper presents a case study of how one Aboriginal people, the Métis, are reviving the pre-Confederation vision of federalism founded on mutual recognition by carving out a space for themselves in Canada's political and institutional landscape. We argue that by delivering an expanded array of programs and services to their citizens, creating innovative governance structures, adopting legislation in key areas of Métis interest and fostering economic self-sufficiency, the Métis are reshaping federalism from the bottom up.Résumé.Deux visions antagoniques du fédéralisme canadien existent en raison de conceptions divergentes de la séparation des pouvoirs. Le modèle de fédéralisme adopté par la Loi constitutionnelle de 1867 divise les pouvoirs entre les provinces et le gouvernement fédéral, en dépit des peuples autochtones. Or, la Proclamation royale de 1763 et les premiers traités proposent une vision du fédéralisme fondée sur la coexistence de nations autonomes. Cet article présente une étude de cas qui démontre comment un peuple autochtone, les Métis, fait renaitre la vision originale du fédéralisme fondée sur la reconnaissance mutuelle en se taillant une place au sein du paysage politique et institutionnel canadien. Les Métis prennent une approche ascendante pour façonner le fédéralisme canadien à cette image par le biais du développement de programmes et services, la création de structures de gouvernance innovatrices, l'adoption de politiques dans des domaines clés et la poursuite de l'autosuffisance économique.
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Morden, Michael. "Telling Stories about Conflict: Symbolic Politics and the Ipperwash Land Transfer Agreement." Canadian Journal of Political Science 46, no. 3 (September 2013): 505–24. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423913000668.

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Abstract:
Abstract. Direct protest actions by Indigenous peoples in Canada have rarely yielded the specific gains that were targeted. In the aftermath of conflict, Canadian governments have typically proven to be intransigent. An exception to this general tendency is the Anishinabek occupation of Ipperwash Provincial Park, which began in 1995. In 2007, the government of Ontario agreed to return the parkland to the First Nation, making it an unusually successful instance of direct action. It is argued here that this outcome can best be explained by drawing on the “symbolic politics” theory of intergroup conflict. The Ipperwash inquiry, acting as a post-conflict truth commission, generated a micro-narrative shared by both groups, which altered the political incentive structure and enabled the outlier accommodative outcome.Résumé. Les actions de protestation directe par les peuples autochtones du Canada ont rarement donné les résultats recherchés. Au lendemain d'un conflit, les gouvernements canadiens se sont généralement montrés intransigeants. L'occupation du Parc provincial d'Ipperwash par les Anishinabek, qui débuta en 1995, représente toutefois une exception à cette tendance générale. Le gouvernement ontarien a accepté, en 2007, de retourner les territoires du parc à cette première nation, ce qui en fait un des rares cas où l'action directe a porté fruit. L'article soutient que c'est en s'appuyant sur la théorie de la politique symbolique des conflits intergroupes qu'il est possible d'expliquer ce résultat. Agissant comme une commission de vérité et de réconciliation, la Commission d'enquête sur Ipperwash a généré un récit commun, partagé par les deux groupes. En changeant la structure d'incitatifs politiques, ce récit explique l'étonnant résultat d'accommodement qui en est ressorti.
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Charest, Paul. "La prise en charge donne-t-elle du pouvoir ? L'exemple des Atikamek et des Montagnais." Anthropologie et Sociétés 16, no. 3 (September 10, 2003): 55–76. http://dx.doi.org/10.7202/015233ar.

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Résumé La prise en charge donne-t-elle du pouvoir ? L'exemple des Atikamek* et des Montagnais Après avoir défini la notion de pouvoir, cet article traite d'abord du processus de délégation de pouvoirs administratifs aux communautés amérindiennes par le ministère des Affaires indiennes du Canada. Dans une deuxième partie, la prise en charge est illustrée par le cas des nations atikamek* et montagnaise (ou innu) qui s'y sont engagées dans le milieu des années soixante-dix par la création de différentes associations et corporations. Les domaines de l'éducation et du développement économique servent d'exemples pour clarifier les acquis et les difficultés rencontrées. En fait, il existe une contradiction fondamentale dans la politique du gouvernement canadien à l'égard des Amérindiens : le ministère des Affaires indiennes demeure responsable devant le Parlement de la gestion des programmes et de l'utilisation des fonds destinés aux Indiens, alors que la délégation de pouvoirs administratifs est considérée par ces derniers comme une forme d'autonomie visant à réduire, sinon à abolir, la tutelle fédérale. Dans le contexte d'échec du projet d'accord constitutionnel qui aurait reconnu le droit inhérent des autochtones à l'autonomie gouvernementale, l'étape de la prise en charge ne laisse aux organisations amérindiennes qu'un simple pouvoir de gestion.
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Dissertations / Theses on the topic "Autochtones – Canada – Politique et gouvernement"

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Gobit, Johanna. "Territoire politique et identités autochtones-spatialités en mutation : le cas de la communauté inuit des îles Belcher au Nunavut (Canada)." Bordeaux 3, 2004. http://www.theses.fr/2004BOR30029.

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Abstract:
Le 1er avril 1999, le Canada redessinait ses frontières intérieures en entérinant la création d'un troisième Territoire : le Nunavut. Issu de près de 30 années de négociations, le Nunavut est aujourd'hui un territoire identitaire, non ethnique, peuplé à 85 % par les Inuit qui conduisent leur propre politique Pour comprendre la manière dont ils ont construit le Nunavut, le vivent et le rêvent, une réflexion à la fois conceptuelle, épistémologique et méthodologique s'est imposée. Nous avons été amenée à repenser les méthodes de recherche habituellement utilisées, ainsi que certains concepts fondamentaux de la géographie occidentale, comme celui de territoire. En accédant à une forme de territoire politique les Inuit ont en effet dû concilier leur conception du territoire, fondée sur une cosmogonie où la Terre est génitrice, avec celle véhiculée par le modèle idéologique occidental. Le territoire politique du Nunavut, en reconnaissant le droit des hommes sur la Terre, bouleverse les fondements de la spatialité inuit. En choisissant d'appartenir au Nunavut, allant à l'encontre de ses réseaux sociaux et spatiaux, la communauté inuit des îles Belcher, a exprimé une identité spatiale essentielle, liée au territoire fondateur des baies James et Hudson. Cet exemple montre que la création du Nunavut a permis l'expression d'une spatialité fondatrice, rendue possible grâce à la manière dont les dirigeants inuit ont négocié avec le pouvoir fédéral en injectant, à chaque étape des négociations, leurs propres valeurs culturelles. Le Nunavut matérialise l'ajustement d'un modèle territorial occidental par une idéologie spatiale autochtone
On April, 1st 1999, the creation of a third territory called Nunavut led to a reorganisation of the internal boundaries of Canada. After some 30-year negociations, Nunavut has become a territory with a strong identity, but with no ethnic meaning. The land is peopled up to 85% by Inuit natives who follow their own policy. To understand the way the Inuit have built Nunavut and now experience and dream it on a day-to-day basis, our investigation led us to a conceptual, epistemological and methodological inquiry. We first questioned the research methods that were used by our predecessors and some basic concepts underlying Western geographical notions such as that of "territory". In achieving a form of political territory, the Inuit had to fit their own conception of the territory -based on a cosmogony in which the Earth is the mother of men- to the Western ideological model of territory. By acknowledging the right men have upon the Earth, the Nunavut political territory disrupts the foundations of the inuit sense of place. When they chose to belong to Nunavut, the Inuit community of the Belcher islands turned their back on the social and spatial networks that connected them to Nunavik. They decided instead that their essential spatial identity should be linked to the core territory of Hudson Bay and James Bay. This example shows that the creation of Nunavut led to the expression of a foundational sense of place. This was mainly possible because of the way Inuit leaders negotiated with the Federal, by instilling their own cultural values at each step of the negotiations. Nunavut materializes the adjustment of a territorial model by a native ideology of space
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Mejia, Mesa Oscar. "Maîtres chez-nous? : fédéralisme, fédérations et autonomie autochtone dans les Amériques." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/36276.

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Abstract:
Les dernières décennies du XXe siècle ont été marquées par le réveil politique des peuples autochtones des Amériques. Cette résurgence s’est manifestée sur le plan politique par les demandes autochtones d’autonomie afin d’établir un cadre de relations plus justes avec l’État. Cette thèse étudie comment deux fédérations – des régimes qui, selon certains universitaires, incarnent les principes du fédéralisme en tant que combinaison du gouvernement partagé et autonome – répondent aux demandes d’autonomie autochtone. Ensuite, en partant du constat que l’adaptation institutionnelle des fédérations canadienne et mexicaine a été insuffisante pour combler les aspirations autonomiques des peuples autochtones, la thèse présente une réflexion normative sur le rétablissement de l’autogouvernement autochtone et la réconciliation des souverainetés autochtone et étatique par le biais du fédéralisme.
In the last decades of the twentieth century, the Americas experienced an undeniable resurgence of indigenous peoples. At the political level, that revival brought to the forefront the demands for autonomy through which Indigenous peoples sought to establish a fairer framework of relationships with the state. This dissertation examines how two federations – polities that, according to some scholars, embody the principles of federalism as combination of shared and autonomous government – respond to the demands of indigenous autonomy. Thus, based on the observation that institutional adaptation of Canadian and Mexican federations has been insufficient to meet the autonomic aspirations of Indigenous peoples, the dissertation addresses a normative exploration on the restoration of Indigenous self-government and reconciliation of Indigenous and state sovereignty through federalism.
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Roy, Jean-Olivier. "Une compréhension critique des nations et du nationalisme autochtones au Canada : traditionalisme et modernité politique et étude de cas sur les Innus au Québec." Doctoral thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25757.

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Abstract:
Cette thèse s’interroge sur la nature évolutive des nations et du nationalisme autochtones au Canada. L’auto-identification des nations ainsi que les bases normatives du nationalisme autochtone sont principalement ancrées dans la tradition et la continuité. En contrepartie, on remarque l’insertion grandissante du discours autochtone dans un langage essentiellement moderne, tout comme certaines actions politiques des élites et des citoyens témoignent d’une conception de plus en plus moderne de la nation. La recherche se concentre donc sur l’impact de la tradition et de la modernité dans la définition de la nation et du nationalisme autochtones contemporains. La recherche propose une perspective croisée entre les idées politiques, l’analyse empirique et les théories normatives. Deux scénarios interprétatifs sont envisagés. D’abord, la thèse de la continuité, issue de l’approche primordialiste, où on observerait, chez les Autochtones, la présence, antérieure au contact avec les Européens et à l’avènement de la modernité, de nations et d’éléments politiques structurés. Un second scénario, issu de l’ethnosymbolisme, n’exclut pas que les nations se soient formées autour de noyaux ethniques préexistants, mais prend aussi en compte l’évolution vers des éléments politiques plus contemporains, due à l’impact de la modernité et à l’influence des nations et des nationalismes environnants. Ce scénario est privilégié dans la recherche. Suit l’examen des divers types de nationalismes autochtones contemporains au Canada, en fonction de leur rapport à l’État, aux structures émanant de celui-ci et au rôle des élites et des citoyens. Puis, une étude de cas est présentée, celle des Innus au Québec, constituée d’entrevues avec des acteurs clés permettant de vérifier la validité du scénario interprétatif. En parallèle, la recherche contient une importante partie normative. Celle-ci, s’appuyant sur le droit à l’autodétermination des nations, examine les présupposés normatifs du nationalisme autochtone, qui se trouvent eux aussi à effectuer une synthèse entre tradition et modernité. En conclusion, une reformulation concernant la nature des nations et du nationalisme autochtone est proposée. Les bases normatives, principalement ancrées dans le passé, sont reconsidérées en intégrant également des éléments plus modernes, en fonction des conclusions établies par la recherche.
This dissertation examines the evolving nature of indigenous nations and nationalism in Canada. Nations self-identification and normative foundations of indigenous nationalism are mainly rooted in tradition and continuity. In return, we note the increasing integration of indigenous discourse in a very modern repertoire, making use of concepts such as "self-determination", "sovereignty" citizenship and "government", among others, as certain political elites and citizens actions demonstrate a modern conception of the nation. Research therefore focuses on the impact of tradition and modernity in the contemporary definition of the nation and the indigenous nationalism. This research proposes a cross perspective between political thought, empirical analysis, and normative theories. Two interpretive scenarios are considered. First, the thesis of continuity, following the primordialist approach, where one would observe among Aboriginals the presence, prior to contact with Europeans and the advent of modernity, of nations and structured political elements. It is a dominant speech among Aboriginal nationalist elites. A second scenario, derived from the theory of ethnosymbolism, does not exclude that some core elements have remained, such as myths, symbols, traditions, and that nations are formed around pre-existing ethnic cores. However, it also takes into account the evolution towards more political standards, due to the impact of modernity and the influence of surrounding nations and nationalism. This scenario is favored in the research. Following the observation of various types of contemporary indigenous nationalism in Canada, with regard to the relation with the state, its structures and the role playing by elites and citizens. Then, a case study is presented, that of the Innu in Quebec, consisting of interviews with key players, which allows to verify the validity of the interpretative scenario. In parallel, research has a considerable normative part. The latter, based on the self-determination of nations, examines the normative assumptions of Aboriginal nationalism which perform a synthesis between tradition and modernity. To conclude, some reformulation of the nature of Aboriginal nations and nationalism is proposed, in which the normative bases, mainly rooted in the past, are reconsidered by integrating and taking more modern elements as well, depending on the conclusions reached by the research.
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Depelteau, Julie. "Nitaskinan, territoire : analyse des discours des représentants politiques des Atikamekw Nehirowisiwok et des gouvernements coloniaux, 1973-2004." Thesis, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2019. http://hdl.handle.net/10393/39368.

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Abstract:
Nitaskinan est le nom donné par les Atikamekw Nehirowisiwok à leur territoire. Ce territoire n’a jamais été cédé de quelque façon aux gouvernements coloniaux, pourtant ils l’usurpent, notamment pour l’exploitation forestière et hydroélectrique et en imposant leurs propres découpages, comme les réserves à castor. Les Atikamekw Nehirowisiwok et les gouvernements coloniaux sont engagés depuis 1978 dans un processus de négociation territoriale globale. Cette recherche, menée en étroite collaboration avec le Secrétariat au territoire d’Atikamekw Sipi – Conseil de la Nation Atikamekw (AS – CNA), étudie les discours francophones de ces acteurs au sujet du territoire pour comprendre s’ils traitent bien du même « objet ». En substance, la recherche montre que même en français, les représentants politiques des Atikamekw Nehirowisiwok et les gouvernements coloniaux ne parlent pas du même territoire lorsqu’ils dialoguent. L’« objet » construit par chacun des acteurs dans leur discours est trop inséparable de leur pouvoir sur leur territoire pour qu’ils puissent parler du même « objet » sans admettre une diminution de leur pouvoir au profit de l’autre acteur. Pour étudier ces discours, les textes suivants ont été sélectionnés : la Recherche sur l’occupation et l’utilisation du territoire menée par le Conseil Attikamek-Montagnais (CAMROUT); le Rapport final du Sommet Aski; et le mémoire Position de la Nation Atikamekw. Les textes gouvernementaux choisis établissent un dialogue avec ces textes. Il s’agit de : la politique fédérale sur les revendications territoriales globales; la politique fédérale sur l’autonomie gouvernementale; et des textes de consultation du gouvernement du Québec sur l’affectation du territoire public et sur les objectifs de protection et de mise en valeur du milieu forestier. Les textes ont été analysés à l’aide de catégories de codes déterminées avec AS – CNA pour comprendre l’« objet » territoire auquel ces textes renvoient et pour examiner leurs interventions dans les rapports de pouvoir coloniaux entre les acteurs.
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Motard, Geneviève. "Le principe de personnalité des lois comme voie d'émancipation des peuples autochtones? : analyse critique des ententes d'autonomie gouvernementale au Canada." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29669/29669.pdf.

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Rulls, Mathias. "Les indigènes et la politique dans le Guatemala post-dictatorial (1985-2004)." Perpignan, 2010. http://www.theses.fr/2010PERP1042.

Full text
Abstract:
A la fin du XXème siècle, le Guatemala connaît deux évènements qui permettent d’envisager de sortir de la spirale de violence politique et de production d’inégalités sociales qui a marqué son histoire : l’instauration d’un régime démocratique en 1985 et la fin du conflit armé interne en 1996. Ce contexte établit des conditions plus propices à la participation politique d’un groupe de population majoritaire mais jusqu’alors exclu des espaces de pouvoir : les Mayas. Cette thèse prétend documenter les caractéristiques de cette prise de participation pendant les vingt premières années de démocratie (1985-2004). Elle aborde le sujet sous trois angles complémentaires. D’une part, elle dissèque le comportement électoral des indigènes. D’autre part, elle analyse les avancées en matière d’exercice de fonctions électives par des Mayas. Dans les deux cas, elle constate des progrès réels mais encore insuffisants pour signifier la disparition de la discrimination. Enfin, la thèse examine le cas de trois des premières formations politiques de l’histoire du pays ayant été créées et dirigées par des indigènes. Elle en étudie trois aspects : leurs origines (pourquoi elles naissent), leur composition sociale (qui sont les indigènes qui s’investissent en politique en marge des partis établis), enfin leurs projets politiques (quels sont leurs idéaux et leurs objectifs)
By the end of the XXth century, Guatemala experienced two historical events that permitted it to consider a way out of the spiral of political violence and reduce the social inequalities that have marked its history : the establishment of a democratic regime in 1985 and the end of the internal armed conflict in 1996. This new historical background established more favourable conditions to the political involvement of a majority that had, up untill then, been excluded from any kind of political participation : the Mayas. This thesis adresses the characteristics of this participation during the first twenty years of democracy (1985-2004). It focusses on three complementary angles. First, it examines the electoral behaviour of the Mayas. Second, it analyses the advances made by the Mayas in assuming elective functions. In both cases, it notes a real but insufficient progress in order to eliminate discrimation. Finally, this thesis explores three political movements among the very first in the country's history that have been created and led by indigeneous citizens. Three aspects will be considered : their origins (why and how these movements were born), their social composition (what type of person was involved outside the established political parties), and their political ideals and goals
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Combres, Alain. "La question linguistique et les partis politiques québécois : 1960-1990." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010306.

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Abstract:
Plus de trente ans de vie politique québécoise examinée à travers le prisme des programmes et politiques linguistiques permet d'approuver sans réserve l'observation selon laquelle les partis politiques ne parviennent que rarement à donner d'eux une image absolument cohérente et ordonnée. Parce que la logique interne aux partis - volonté de respecter des principes démocratiques, désir de rester fidèle à une orientation idéologique. . . - est confrontée, et souvent soumise, a une logique externe, faite de recherches de soutiens, de mobilisations dans des buts électoraux et d'interactions avec des organisations concurrentes, il semble que les systèmes partisans secrètent obligatoirement des organisations de plus en plus indifférenciables. Lorsque le "visage public" des partis politiques conditionne et commande toutes les attitudes de leurs membres, c'est-à-dire lorsque les intérêts électoraux et les objectifs de mobilisation réduisent la défense de valeurs et de convictions à une quantité négligeable, leurs programmes et politiques se doivent de satisfaire le plus grand nombre et de ne point s'aliéner automatiquement une trop grande partie de la société. Dans ce cas de figure, l'offre politique de partis en concurrence demeure fort peu différenciée. À cet égard, dans les années soixante, le parti libéral du Québec et l'union nationale développent des politiques linguistiques très modérées et sensiblement identiques. L'innovation politique en matière de langue viendra donc de ceux qui ne concourent pas au jeu politique ou qui, pour un temps encore, placent les préoccupations idéologiques avant les considérations électorales. Les mouvements sociaux tels que les syndicats et autres associations nationalistes, parce qu'ils ne sont pas soumis à "la logique du pouvoir politique", vont faire de la défense d'un statut amélioré du français une revendication majeure. Cet enjeu sera repris par des partis "contestataires" tels que le rassemblement pour l'indépendance nationale et le parti.
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Gély, Marie-Laure. "Le rôle de la Cour Suprême dans la répartition des compétences au Canada." Montpellier 1, 1998. http://www.theses.fr/1998MON10063.

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Abstract:
Conformément a la théorie classique de la justice constitutionnelle dans un état fédéral développé par Hans Kelsen, le rôle de la cour suprême dans la répartition des compétences au canada est un rôle d'arbitre puisque les juges doivent régler les conflits issus de la distribution des compétences entre le pouvoir fédéral et le pouvoir provincial inscrite, principalement, aux articles 91 et 92 de la loi constitutionnelle de 1867. Toutefois, cette image théorique du juge-arbitre est insuffisante pour rendre compte de la complexité du rôle de la justice constitutionnelle au Canada même si les juges ont tendance a présenter leur travail dans la logique de l'arbitre neutre. Au regard de la doctrine, qui d'une façon générale, conteste cet argument de neutralité et, plus encore, au regard de la jurisprudence elle-même, la cour suprême doit être appréhendée comme un arbitre contraint a la fois par le cadre jurisprudentiel, mais encore, et surtout, par le fédéralisme.
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Audesse, Alexandre. "Dérives et misères populistes : analyse des politiques pénales érigées, modifiées et abrogées sous le gouvernement de Stephen Harper, 2006-2015." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33748.

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Abstract:
Tableau d'honneur de la FÉSP
Plébiscité à titre de 22ième Premier ministre du Canada, Stephen Harper dirigea pendant près d’une décennie un gouvernement conservateur qui, mû par une philosophie Tough on Crime, ratifia plus de cinquante politiques pénales ayant toutes comme épicentre la promotion et l’accentuation de l’usage de la force pénale. Or, il appert que les réformes pénales de l’administration Harper ne reposaient pas uniquement sur des desseins répressifs ; elles étaient également traversées par une série d’idéaux populistes. Marquée par les possibles répercussions d’une telle approche pénale, la présente recherche documente certains des aspects populistes ayant sous-tendu les politiques pénales ratifiées par le gouvernement de Stephen Harper. Pour réaliser un tel objectif, la première partie de ce mémoire illustre que le gouvernement Harper a engendré, à des fins politiques, un impetus de punitivité sans précédent dans la sphère pénale canadienne. Poussant la réflexion à un autre niveau, la seconde partie de la présente recherche est constituée d’une série d'analyses qualitatives et de réflexions critiques portant sur trois des politiques harperiennes ayant eu les impacts les plus significatifs sur le champ pénal canadien, soit les projets de loi C-2, C-10 et C-59. À la lumière de ces analyses et de ces réflexions, ce mémoire aspire à mettre en exergue diverses facettes de l’ancrage populiste du gouvernement Harper en matière pénale. Loin de se limiter à l’oeuvre pénale du gouvernement Harper ce mémoire tente également d’offrir une compréhension des réalités sous-tendant les vagues populistes et les dérives que celles-ci peuvent engendrer en justice pénale.
Elected as the 22nd Prime Minister of Canada, Stephen Harper’s Conservative government ruled for close to a decade. Driven by a “Tough on Crime” philosophy, the Harper government ratified over fifty penal policies. All of these policies were centered on the promotion and increased use of penal force. It appears, however, that Harper’s penal reforms did not rest solely on such repressive intents but were also laced with a plethora of populist ideals. Struck by the implications of such a penal approach, this study is built on the necessity to document the populist aspects undergirding Harper’s penal policies. To achieve such an objective, the first part of this thesis illustrates that the Harper government created, under political imperatives, an unprecedented punitivity impetus on the Canadian penal scene. Pushing the reflection to another level, the second part of this thesis consists in a series of qualitative analyses and critical reflections on three of Harper’s penal policies which had the most significant impacts for the Canadian penal field: Bills are C-2, C-10 and C-59. From these analyses, this thesis highlights various aspects of the Harper government's penal populist stance. Going well beyond the penal work of the Harper government, this thesis also attempts to offer an understanding of the realities behind populist waves and drifts that can occur in Criminal justice.
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Ives, Andrew. "De la grandeur de la Nation à la Recherche du Bonheur individuel : la montée progressive de l'individualisme libéral au Canada 1896-1997." Paris 8, 2001. http://www.theses.fr/2001PA081844.

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Abstract:
Cette thése retrace l'évolution du discours politique électoral des principaux partis canadiens au cours du siècle. Nous partons du constat que le libéralisme se caractérise par la place prédominante réservée à l'individu, et par sa conception de la société comme un lieu de concurrence entre individus. Nous avons confronté ce discours individualiste à d'autres idéologies dites holistes, qui centrent leur réflexion sur le groupe social au-delà de l'individu, et qui conçoivent la société comme une communauté organique. Notre relecture de l'histoire politique canadienne met en évidence une série de changements idéologiques qui se sont faits de manière graduelle. L'analyse se focalise sur les questions suivantes : les rapports entre le citoyen et la collectivité, le sentiment d'appartenance sociale, la conception du rôle de l'Etat, et les interprétations des valeurs cardinales de liberté et. D'égalité, autant de domaines affectés par la montée de l'individualisme libéral. . .
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Books on the topic "Autochtones – Canada – Politique et gouvernement"

1

Canada. Affaires indiennes et du Nord Canada. Organismes autochtones nationaux au Canada. Ottawa, Ont: Affaires indiennes et du Nord Canada, 1998.

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2

Niemczak, Peter. La représentation politique des autochtones au Canada et à l'étranger. Ottawa, Ont: Bibliothèque du Parlement, Service de recherche, 1994.

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Arbour, Louise. Nouveau dialogue sur la démocratie au Canada. Montréal: Boréal, 2006.

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Alain, Dubuc, Erasmus Georges, and Griffiths Rudyard, eds. Dialogue sur la démocratie au Canada. Montréal: Boréal, 2003.

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5

Canada. Commission royale sur les peuples autochtones. Rapport de la Commission royale sur les peuples autochtones. Ottawa, Ont: Commission royale sur les peuples autochtones, 1996.

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6

Saul, John Ralston. A dialogue on democracy in Canada. Toronto: Penguin Canada, 2002.

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Canada. Affaires indiennes et du Nord Canada. Accord de transfert au Yukon d'attributions relevant du Programme des affaires du Nord entre le gouvernement du Canada et le gouvernement du Yukon. Ottawa, Ont: Affaires indiennes et du Nord Canada, 2001.

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8

Cardin, Jean-Francois. Histoire du Canada: Espace et différences. Québec, Qué: Presses de l'Université Laval, 1995.

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9

Canada. Dept. of Indian Affairs and Northern Development. Gathering strength : Canada's Aboriginal action plan : [information kit] =: Rassembler nos forces : le plan d'action du Canada pour les questions autochtones : [trousse d'information]. Ottawa, Ont: Government of Canada = Gouvernement du Canada, 1997.

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10

Fleras, Augie. The "nations within": Aboriginal-state relations in Canada, the United States, and New Zealand. Toronto: Oxford University Press, 1992.

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Book chapters on the topic "Autochtones – Canada – Politique et gouvernement"

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"LES AUTOCHTONES, LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL ET LES PROVINCES." In Les apories des politiques autochtones au Canada, 125–46. Presses de l'Université du Québec, 2019. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv10qqxgz.13.

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