To see the other types of publications on this topic, follow the link: Bailleurs de fonds – Maroc.

Journal articles on the topic 'Bailleurs de fonds – Maroc'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 39 journal articles for your research on the topic 'Bailleurs de fonds – Maroc.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

de Torrenté, Nicolas. "L'Ouganda et les bailleurs de fonds." Politique africaine 75, no. 3 (1999): 72. http://dx.doi.org/10.3917/polaf.075.0072.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Rasendratsirofo, Elyette. "La pression des bailleurs de fonds." Africultures 55, no. 2 (2003): 22. http://dx.doi.org/10.3917/afcul.055.0022.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Plugaru, Rodica. "Le poids des bailleurs de fonds dans les transferts d’expérience internationale." Revue d’études comparatives Est-Ouest N° 4, no. 4 (April 23, 2021): 215–44. http://dx.doi.org/10.3917/receo1.514.0215.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Mützelburg, Irina. "L’empowerment par des financements internationaux ? Comment les donateurs créent un secteur non étatique en Ukraine." Revue Gouvernance 15, no. 1 (February 12, 2019): 63–85. http://dx.doi.org/10.7202/1056261ar.

Full text
Abstract:
Des acteurs internationaux tels que l’Union européenne cherchent à diffuser leurs normes et pratiques à des États comme l’Ukraine en finançant des projets portés par des organisations internationales et mis en oeuvre par des ONG nationales. Cette contribution analyse l’usage que font les acteurs du secteur non étatique relatif à l’asile en Ukraine des financements internationaux. Elle questionne le concept d’empowerment et montre que les ONG financées par des bailleurs de fonds internationaux gagnent en accès et en influence dans les politiques publiques et que leurs membres acquièrent des compétences, notamment dans la levée de fonds et la gestion de projets internationaux. Les financements communautaires n’atteignent cependant pas les réseaux de solidarité de migrants, et très peu les organisations d’activistes engagés depuis plus longtemps. Ils concourent plutôt à l’émergence de « DONGO », à savoir des ONG fondées grâce à des financements internationaux ou ayant su adapter leurs activités aux opportunités de fonds disponibles. Du fait de leur dépendance, ces ONG se conforment aux attentes de leurs bailleurs de fonds, ce qui tend à standardiser leurs pratiques et à asseoir le pouvoir des acteurs internationaux. Par ailleurs, cette situation accroît les différences entre les organisations dont le financement est institutionnalisé et celles dont le financement est instable. Les premières disposent de moyens substantiels pour fournir une aide juridique et matérielle aux demandeurs d’asile, et ont aussi plus de facilité à entrer en contact avec les autorités locales. Ce sont elles qui adoptent, appliquent et diffusent les normes internationales sur l’asile. Les secondes ne s’y réfèrent pas ; elles sont aussi moins dotées, et contraintes à l’improvisation pour leurs différentes activités.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Mondello, Gérard. "La responsabilité environnementale des prêteurs : difficultés juridiques et ensemble des possibles." L'Actualité économique 88, no. 2 (September 23, 2013): 257–78. http://dx.doi.org/10.7202/1018431ar.

Full text
Abstract:
Indéniablement, les bailleurs de fonds exercent une responsabilité environnementale par les prêts qu’ils accordent aux activités risquées. Cependant, en 1996, les amendements apportés à la loi CERCLA ont exempté les prêteurs d’une grande part de leur responsabilité. Cet article montre que cette situation tend à devenir pérenne ce qui pose la question de la normativité de la littérature économique contemporaine consacrée à la responsabilisation des prêteurs. Pour mettre fin au hiatus entre la « pratique » qui exonère les financeurs de responsabilité et la théorie qui la prend pour acquise, il est proposé d’introduire une responsabilité pour faute pour les prêteurs qui ne contrôleraient pas le respect des règles environnementales des opérateurs. Les bailleurs de fond joueraient alors le rôle de principal en permettant de déterminer le montant d’effort de sécurité le plus élevé possible.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Métivier, Céline. "L’autonomie : un principe au coeur de l’identité du mouvement d’action communautaire autonome." Échos de pratique 29, no. 1-2 (February 19, 2018): 184–92. http://dx.doi.org/10.7202/1043400ar.

Full text
Abstract:
Le mouvement d’action communautaire autonome (ACA) est traversé, depuis 50 ans, par un principe incontournable : son autonomie d’action. Ce principe a même obtenu une reconnaissance officielle de la part du gouvernement québécois en 2001. Or, cet acquis est fragilisé par un sous-financement chronique et des exigences de bailleurs de fonds qui briment l’autonomie des organismes. Le mouvement résiste, notamment par la campagne Engagez-vous pour le communautaire, mais la lutte s’annonce ardue.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Lebel, Estelle, and Colette Beauchamp. "Moitié Moitié sur les écrans : de l’attribution des fonds publics dans l’industrie audiovisuelle." Articles 7, no. 2 (April 12, 2005): 95–113. http://dx.doi.org/10.7202/057794ar.

Full text
Abstract:
Ce texte porte sur la participation des femmes à l'industrie audiovisuelle québécoise. Il a pour but de montrer le caractère discriminant du discours sur le libre jeu des talents comme facteur objectif pour la répartition des fonds publics par les institutions mandatées. L'analyse s'appuie sur l'étude de l'évolution de la présence des réalisatrices, sur les actions pour l'équité déployées par les femmes du milieu et sur les réactions paradoxales des bailleurs de fond et des décideurs politiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Campbell, Bonnie. "Réinvention du politique en Côte d'Ivoire et responsabilité des bailleurs de fonds multilatéraux." Politique africaine 78, no. 2 (2000): 142. http://dx.doi.org/10.3917/polaf.078.0142.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Carpentier, Marie-Ève. "Le secteur de la lutte au décrochage entre besoin de reconnaissance et autonomie." Échos de pratique 29, no. 1-2 (February 19, 2018): 193–200. http://dx.doi.org/10.7202/1043401ar.

Full text
Abstract:
Le présent article traite de l’enjeu de l’autonomie dans le secteur de l’action communautaire autonome (ACA) en lutte au décrochage. L’auteure soutient que cette notion, surtout portée par le Regroupement des organismes communautaires québécois de lutte au décrochage (ROCLD), se bute à une tension entre le besoin d’être connue et reconnue par le gouvernement, par les bailleurs de fonds et la population en général, et la volonté de préserver et d’appliquer une autonomie d’action, et ainsi d’appartenir pleinement au mouvement de l’ACA. Elle démontre cette tension qui s’exprime au niveau économique, social et de l’intervention avec les jeunes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Haddab, Eddine, and Pierre Traimond. "La finance islamique et la contrainte des besoins en fonds de roulement des PME." Revue internationale P.M.E. 5, no. 3-4 (February 16, 2012): 141–52. http://dx.doi.org/10.7202/1008158ar.

Full text
Abstract:
Le problème des fonds de roulement des PME intéresse particulièrement les institutions financières des pays d’Islam où petit commerce et artisanat dominent et où les relations d’argent s’effectuent intuitu personae. Les difficultés des PME des pays en développement à accéder au crédit apparaissent dans le besoin de financement du cycle d’exploitation. Composante essentielle, sinon unique, du fonds de roulement, le crédit se révèle particulièrement court. Dans un environnement économique précaire, la tradition islamique connaît un partage des risques entre prêteur et emprunteur. Les insuffisances des systèmes bancaires sont compensées par la présence d’un secteur informel qui aide les PME à se procurer matières premières et semi-produits, sans oublier des équipements souvent obsolètes, ou à surmonter les risques-pays. La Charia, loi musulmane, repose sur l’équité des transactions et le refus de la thésaurisation. Les bailleurs de fonds s’associent aux projets qu’ils financent selon la règle de partage des profits et des pertes. Le financement se détermine à partir du montant des stocks, des créances sur les clients et des dettes. Tout cela est réduit au maximum, car l’entreprise vit au jour le jour et les co-contractants se connaissent. Les contrats islamiques, musharaka, murabaha ou ijara, sorte de crédit-bail, apportent à la fois études de projets et moyens financiers. Rigide en raison de l’hostilité au prêt à intérêt, la finance islamique reste pragmatique par son souci du quotidien.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Diallo, Rozenn N. "Vers une gouvernance privatisée et internationalisée de la conservation. Étude de cas autour du « partenariat public-philanthropique » du parc national de Gorongosa, au Mozambique." Lien social et Politiques, no. 65 (September 30, 2011): 121–37. http://dx.doi.org/10.7202/1006029ar.

Full text
Abstract:
Le secteur de la conservation, entendue comme la protection de la biodiversité, est marqué en Afrique subsaharienne par la forte présence d’acteurs internationaux : bailleurs de fonds, organisations internationales de la conservation et fondations privées. Le contexte d’extraversion de l’État, c’est-à-dire d’une forte dépendance vis-à-vis des ressources et des acteurs internationaux, sous-tend un discours faisant la promotion d’une privatisation de la nature. L’accent est en effet mis sur l’implication du secteur privé, et notamment sur les partenariats public-privé – maîtres d’oeuvre d’un développement efficace, alliant prise en compte sociale et efficacité économique. L’exemple du parc national de Gorongosa, dans la région centre du Mozambique, cogéré depuis 2008 par l’État et la fondation Carr, fondation philanthropique américaine, illustre ce nouveau mode de gouvernance de la conservation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Andriamahefazafy, Fano, and Philippe Méral. "La mise en œuvre des plans nationaux d’action environnementale : un renouveau des pratiques des bailleurs de fonds ?" Mondes en développement 127, no. 3 (2004): 29. http://dx.doi.org/10.3917/med.127.0029.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Feudjo, Jules Roger, and Jean-Paul Tchankam. "Les déterminants de la structure financière." Revue internationale P.M.E. 25, no. 2 (May 28, 2013): 99–128. http://dx.doi.org/10.7202/1015801ar.

Full text
Abstract:
Le paradoxe des entreprises insolvables qui contractent régulièrement de nouvelles dettes constitue la motivation principale de cette recherche. Les tests statistiques effectués sur un échantillon de 62 PMI mettent en évidence deux principaux facteurs explicatifs de ce comportement financier au Cameroun : le taux des actifs immobilisés et le capital social du dirigeant, c’est-à-dire la capacité des actifs à servir de garanties, et la possibilité qu’offrent les réseaux relationnels de contourner les normes ou d’accéder aux sources et circuits informels alternatifs de financement. Cette étude montre la coexistence au Cameroun de deux dimensions parallèles dans l’environnement des affaires. À côté du formel où le manque de confiance et de lisibilité entre les acteurs poussent les bailleurs de fonds aux excès prudentiels subsiste un univers informel où la confiance, la loyauté et la solidarité semblent constituer le socle des relations d’affaires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Caupin, Vincent, Jean-Marc Gravellini, and Claude Périou. "L'action des bailleurs de fonds pour soutenir le développement financier en Afrique : le cas de l'Agence française de développement." Revue d'économie financière 116, no. 4 (2014): 177. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.116.0177.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Verna, Gérard. "Le comportement des ONG engagées dans l’aide humanitaire." Anthropologie et Sociétés 31, no. 2 (September 4, 2008): 25–44. http://dx.doi.org/10.7202/018681ar.

Full text
Abstract:
Résumé Les ONG engagées dans l’aide humanitaire ont des comportements différents sur leur terrain d’action. L’article montre que cela s’explique par ce que les créateurs de ces organismes ont des visions différentes du monde et des effets qu’ils peuvent espérer de leurs missions. La culture du pays d’origine, et tout particulièrement la religion, a pesé lourdement sur ces critères de départ et donc sur les modalités d’action sur le terrain. Mais au fil du temps, les choses tendent à changer, en se radicalisant. La notion omniprésente de guerre contre le terrorisme oblige les ONG à choisir leur camp et à tenir compte des énormes pressions politiques qu’elles subissent. Cela s’ajoute à une forte professionnalisation qui, dans le cadre de la formation de réseaux internationaux d’ONG et le développement d’organisations humanitaires transnationales, tend à normaliser de nombreuses procédures, en particulier dans les relations avec les bailleurs de fonds. On peut donc constater que de nombreuses différences initiales s’estompent progressivement, même s’il en subsiste encore assez pour que de nombreuses ONG gardent une identité propre.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Elbers, Willem, and Bas Arts. "Comment joindre les deux bouts : les réponses stratégiques des ONG du Sud aux conditions imposées par les bailleurs de fonds." Revue Internationale des Sciences Administratives 77, no. 4 (2011): 743. http://dx.doi.org/10.3917/risa.774.0743.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Maurel, Christian. "Structures familiales et solidarités lignagères a Marseille au XVe siècle : autour de l'ascension sociale des Forbin." Annales. Histoire, Sciences Sociales 41, no. 3 (June 1986): 657–81. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1986.283302.

Full text
Abstract:
C'est au cours de la dernière décennie du xive siècle que le nom de Forbin fit son apparition sur la scène provençale. Après un court séjour aixois, le maîtrepeaussier bourguignon Guillaume Forbin s'établit définitivement à Marseille dans les années 1392-1394; la cité phocéenne était alors un grand centre de traitement des cuirs et des peaux.Une cinquantaine d'années plus tard, les Forbin comptaient, au milieu du xve siècle, au nombre des plus puissantes familles marchandes marseillaises. Enrichis dans le commerce maritime méditerranéen — ils se consacrèrent tout aussi activement au grand négoce levantin qu'au trafic du cabotage avec la Catalogne, le Languedoc et la Riviera génoise, ou bien encore à la lucrative exploitation des bancs coralligènes sardes — les deux premiers leaders familiaux, les frères Jean et Bertrand purent alors s'affirmer comme assureurs ou bailleurs de fonds de la municipalité ou de la monarchie angevine ; leur fortune leur ouvrit également les portes de Pédilité marseillaise : chargés à plusieurs reprises du ravitaillement en blé et en armes de la ville, investis de nombreuses missions d'ambassade, ils devaient enfin accéder par trois fois, en 1431, 1435 et 1451, à la charge de syndic, magistrature suprême de la cité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Semi, Emanuela Trevisan. "Entre lieux de mémoire et lieux de l’oubli au Maroc." Ethnologies 39, no. 2 (September 27, 2018): 69–80. http://dx.doi.org/10.7202/1051664ar.

Full text
Abstract:
À partir des années 1990, le Maroc a entamé un processus de reconnaissance des différentes identités, d’origine berbère ou juive, qui ont contribué à la formation de l’identité marocaine à travers le temps. En fait, jusque dans les années 1990, et en accord avec l’atmosphère panarabiste de l’époque, les politiques gouvernementales au Maroc cherchaient à cacher et à marginaliser tous les héritages historiques et culturels non arabes. Le changement de politique intervenu dans les années 90 a donné lieu à un nouvel ensemble de problèmes en termes de mémoire et de politique du patrimoine. L’intérêt manifesté par le roi Mohammed VI, qui souhaitait que tous les cimetières juifs du Maroc soient restaurés grâce à des fonds provenant directement du Palais Royal, a permis de sauver 167 cimetières juifs au Maroc en 2015. Face à cette situation, le cas de Meknès est unique et intéressant à analyser. Meknès, l’une des villes les plus importantes de l’histoire des juifs au Maroc, ne compte jusqu’à aujourd’hui aucun lieu de mémoire juif restauré et préservé, à l’exception d’une restauration partielle de l’ancien cimetière réalisé en 2017. Le cimetière de l’ancien mellah à Meknès, en particulier, présente une typologie urbaine unique qui voit les tombeaux nichés le long de ses murs, les plus sacrés étant placés au pied des murs eux-mêmes, comme pour protéger, de cette position, tout le mellah. Cet article analysera donc le cas spécifique de Meknès et de l’oubli de son héritage juif.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Louppe, Dominique. "Plantations forestières : un sujet d'actualité ? [Editorial]." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20465.

Full text
Abstract:
L'Afrique intertropicale sert de cadre à notre réflexion bien que les autres continents tropicaux regorgent d'exemples tout aussi édifiants. Forêt naturelle et forêt plantée ont bien souvent été considérées comme deux pôles opposés de la foresterie, pôles entre lesquels les projets de développement effectuent un mouvement de balancier. Déjà en 1953, Alba1 écrivait : " Il semble inutile d'opposer la sylviculture basée sur la régénération naturelle et celle basée sur la régénération artificielle. D'une part, cela risque d'entraîner des querelles qui, quoique faites sur un ton toujours extrêmement courtois, peuvent blesser inutilement les uns et les autres qui croient le plus souvent, et en toute bonne foi, il faut bien le dire, détenir la vérité en la matière, ce dont on ne saurait les blâmer. " Cette mise en garde n'a pas empêché les deux " clans " d'être plus souvent en opposition qu'en synergie. Dans les années 1960-1970, le balancier était du côté des plantations. C'était l'époque des grands programmes de reboisement, teck en Afrique francophone : gmélina au Mali, pins à Madagascar et okoumé au Gabon dans les années 1950- 1960, puis des grands reboisements périurbains des années 1970 pour le bois énergie. Ces projets étatiques onéreux se sont avérés peu rentables en raison des faibles prix du bois de forêt naturelle pratiqués sur les marchés locaux, ce qui a découragé les bailleurs de fonds. Les plantations sont un investissement à long terme alors que le financement des projets est à court ou moyen terme. Même lorsque les premières rentrées financières des plantations arrivent après six à sept ans (pour le bois de trituration), la faible valeur marchande de ce bois fait que plusieurs rotations sont nécessaires pour rentabiliser l'investissement. Pour les bois d'oeuvre, la révolution est de plusieurs décennies, incompatible avec les cycles des bailleurs de fonds. Ceux-ci considèrent généralement que l'investissement forestier s'arrête quelques années après la plantation et les premiers entretiens. Pourtant, il est nécessaire de financer les travaux ultérieurs pour obtenir in fine des bois de haute qualité à forte valeur marchande car les élagages de pénétration et la première éclaircie fournissent des bois de faibles dimensions qui sont abandonnés sur place en l'absence d'usine de trituration, ce qui est le cas en Afrique. Les éclaircies suivantes produisent des perches et des piquets dont la vente ne finance au mieux que le coût des travaux. Cette absence de retour financier rapide a généré, dans les années 1980, des problèmes au sein des programmes nationaux de reboisement. Par exemple, la Société de développement des forêts ivoiriennes a, faute de pouvoir vendre les premières éclaircies, cessé de planter des tecks pendant plusieurs années, jusqu'au jour où des acheteurs étrangers se sont intéressés à ces produits. À Madagascar, le bailleur de fonds voulait arrêter de financer les plantations de pins initialement destinées à la pâte à papier ; une longue négociation permit de modifier l'objectif du projet et de faire comprendre que les éclaircies et l'élagage étaient indispensables à la production d'un bois de qualité à haute valeur commerciale, et d'obtenir la poursuite du financement des travaux : ce n'est que 26 ans après les premières plantations de pins que les plantations ont commencé à s'autofinancer. Les calculs financiers montrent de très faibles taux de rentabilité interne des plantations ; mais ces calculs ne prennent pas en compte les emplois créés dans les plantations ni le développement des filières de transformation et de commercialisation en aval. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Ibourk, Aomar, and Mohammed Bensaïd. "Impact des transferts de fonds des migrants marocains sur l’éducation de leurs enfants restés au Maroc." Migrations Société N° 155, no. 5 (2014): 13. http://dx.doi.org/10.3917/migra.155.0013.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Wabnitz, Hans-Werner. "La coordination entre Bailleurs de Fonds et Maître d´Ouvrage – Le Comité Consultatif de l´Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (O.M.V.S.)." Verfassung in Recht und Übersee 22, no. 2 (1989): 170–81. http://dx.doi.org/10.5771/0506-7286-1989-2-170.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

KHOURIBA, Khalid, and Mohamed YAOUHI. "Le degré d’intégration des sous-traitants marocains dans le secteur du textile-habillement : est-il vraiment une sous-traitance de capacité ?" International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 3 (July 2, 2021): 302–21. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i3.95.

Full text
Abstract:
L’industrialisation des territoires est un processus dans lequel le Maroc s’est engagé depuis plusieurs années. Néanmoins, à partir des années 2000, le Maroc a mis, de plus en plus, l’industrie au centre de ses préoccupations, visant le développement d’une économie basée sur l’industrie à travers l’intégration des chaines de valeurs mondiales. Pour ce faire, plusieurs fonds et programmes d’accompagnement, d’assistance et d’appui des PMI, PME et des grandes entreprises ont été mis en place. A la lumière des autres secteurs industriels, le textile-habillement a enregistré des bons chiffres en matière de création d’emploi. Cependant, la vraie réussite se trouve dans le développement d'une industrie nationale compétitive et durable déclenchée par l’émergence d’unités industrielles nationales capables de se positionner dans les chaines de valeurs mondiales et dans la pyramide de la sous-traitance. Donc, de passer d’une simple sous-traitance de capacité tirée par le coût de la main à la fabrication de produits finis ou au moins à une sous-traitance de spécialité et d’intelligence. C’est pourquoi il a été jugé très pertinent de réaliser une enquête traitant le degré d’intégration des sous-traitants marocains dans le secteur du textile-habillement.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Frimousse, Soufyane. "Autorité et pratiques d’animation des relations humaines des dirigeants de TPE dans un éthos méditerranéen." Revue internationale P.M.E. 25, no. 1 (March 18, 2013): 13–38. http://dx.doi.org/10.7202/1014872ar.

Full text
Abstract:
La région nord du Maroc évolue avec les effets de la « mondialisation », la montée concomitante de l’individualisme… Toutefois, la dimension communautaire constitue encore le noyau dur de cette région. Les valeurs ne se délitent pas, mais évoluent et se transforment. Cette dimension communautaire et les valeurs qui les accompagnent se transposent-elles dans les pratiques des dirigeants de toutes petites entreprises ? Comment le dirigeant parvient-il à concilier, dans son style d’encadrement et ses pratiques d’animation des relations humaines, le halo de valeurs puisé dans les permanences du passé et les évolutions sociétales ? Comment s’opère la complexe articulation entre l’universel et le contextuel ? Notre contribution s’attache à expliquer comment le fonds culturel est préservé par le dirigeant et pourquoi il a encore un effet social et une signification.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Effina, Driss, and Othmane Fahim. "Détermination d’un Nouveau Système de Critères de Transfert de L’état Vers les Collectivités Territoriales au Maroc." International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 3 (May 31, 2021): 35–53. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i3.46.

Full text
Abstract:
Les inégalités territoriales renvoient généralement à une situation de déséquilibre entre les territoires. Il s’agit d’un déséquilibre économique, social et de bien-être entre les populations des différents territoires du pays. Les écarts entre les populations et les territoires sont quantifiables à travers plusieurs indicateurs socio-économiques et culturels. Le phénomène des inégalités territoriales au Maroc traduit une situation de déficit structurel. Des retards sont observés en matière de développement social et humain dans les différentes régions. Pour remédier à ces carences, le modèle de solidarité territoriale en vigueur est construit autour de plusieurs mécanismes de financement (BGE, ressources des CT, fonds spécialisés). Ces mécanismes sont loin de pouvoir combler les déficits et répondre aux besoins exprimés par les collectivités territoriales. De plus, ce modèle connait l’intervention de plusieurs acteurs (Etat, CT…) sans un cadre de gouvernance bien défini. Ce papier propose un nouveau système de critères et d’orientations pour améliorer l’efficacité du système de solidarité en vigueur afin d’accélérer la résorption des déficits sociaux, de lutter contre les déficits anciens et de créer une équité en matière de répartition de ressources financières transférées du central vers les territoires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Debat, Humberto, and Dominique Babini. "Plan S in Latin America: A Precautionary Note." Scholarly and Research Communication 11, no. 1 (February 7, 2020): 12. http://dx.doi.org/10.22230/src.2020v11n1a347.

Full text
Abstract:
Background Latin America has historically led a vital and open access movement and leads the worldwide region with the adoption of wider open access practices. Argentina has expressed its commitment to join Plan S, an initiative from a European consortium of research funders with a mandate to promote the open access publishing of scientific outputs. Analysis This opinion article suggests that the potential adhesion of Argentina or other Latin American nations to Plan S ignores the reality and tradition of Latin American open access publishing. Conclusion and implications Plan S must demonstrate that it will encourage at a regional and global level the advancement of non-commercial open access initiatives. Latin America should invest and promote open nonprofit scholarly-led infrastructures, allowing the academy to regain control of scholarly communications. Keywords Plan S; Latin America; Open access publishingContexte Historiquement, l’Amérique latine a été un chef de file dans le mouvement pour fournir un accès aux communications savantes qui soit vital et ouvert. Aujourd’hui, ce continent demeure un leader mondial en adoptant des pratiques de libre accès qui sont plus englobantes. L’Argentine, notamment, a manifesté son engagement pour se joindre au Plan S, lequel est l’oeuvre d’un collectif de bailleurs de fonds européens dont le mandat est de promouvoir l’édition de recherches scientifiques à libre accès. Analyse Cet article d’opinion suggère que l’adhésion potentielle au Plan S par l’Argentine ou d’autres pays latino-américains ignore la réalité et l’histoire de l’édition à libre accès latino-américaine. Conclusion et implications Le Plan S doit démontrer qu’il encouragera des initiatives non-commerciales envers le libre accès à un niveau régional et mondial. L’Amérique latine doit investir dans des infrastructures sans but lucratif qui soient ouvertes et menées par des universitaires, de manière à permettre à ceux-ci de reprendre le contrôle sur les communications savantes. Mots clés Plan S; Amérique latine; Édition à libre accès
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Abbott, Marilyn, Marian Rossiter, and Sarvenaz Hatami. "Promoting Engagement with Peer-Reviewed Journal Articles in Adult ESL Programs." TESL Canada Journal 33, no. 1 (May 22, 2016): 80. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v33i1.1228.

Full text
Abstract:
Engagement with current research is essential for the implementation of evidence-informed instructional practices in adult English as a second language classrooms. We explored Canadian administrators’ and instructors’ engagement with peer-reviewed research articles, perceptions of their impact, and ways in which stakeholders could enhance engagement. Online surveys were conducted with 41 administrators and 268 instructors, and 4 administrators participated in a focus group interview. Results revealed that administrators were not actively fostering instructors’ engagement with peer-reviewed research and that neither administrators nor instructors were engaging extensively with research. Those who were reading research, however, reported a positive impact on their work, and 86% of instructors indicated interest in enhancing their engagement. We provide recommendations for professional organizations, program funders, program administrators, and instructors to promote TESL practitioner engagement with research. La participation à la recherche actuelle est essentielle pour la mise en œuvre, dans les cours d’anglais langue seconde pour adultes, de pratiques pédagogiques éclairées par des données probantes. Nous avons examiné l’implication d’administrateurs et d’enseignements canadiens face aux articles de recherche revus par les pairs, les perceptions de l’impact de ceux-ci et des façons dont les parties prenantes pourraient augmenter l’engagement. Des sondages en ligne ont été complétés par 41 administrateurs et 268 enseignants, et un entretien/groupe de discussion a eu lieu avec 4 administrateurs. Les résultats indiquent que les administrateurs n’encourageaient pas activement la participation des enseignants relative à la recherche examinée par les pairs et que ni les administrateurs ni les enseignants ne prenaient part activement à la recherche. Par contre, ceux qui lisaient la recherche ont noté qu’elle avait un impact positif sur leur travail et 86% des enseignants ont indiqué qu’ils voulaient augmenter leur implication. Nous offrons, aux organisations professionnelles, bailleurs de fonds, administrateurs de programmes et enseignants, des recommandations qui visent la promotion de l’implication des enseignants en ALS dans la recherche.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Bel Lakhdar, Abdelhak. "Survivance de l'esprit d'inventaire." Journal of Quality in Education 2, no. 2 (November 11, 2011): 13. http://dx.doi.org/10.37870/joqie.v2i2.99.

Full text
Abstract:
RÉFORME. n. f. Rétablissement dans l'ordre, dans l'ancienne forme, ou dans une meilleure forme. Ces choses-là ont besoin de réforme, d'une réforme complète. Cela ne pourrait se faire que par une réforme générale. La réforme des institutions. La réforme des mœurs. La réforme du calendrier. On a fait de nombreuses réformes dans cette administration. RÉFORME se dit encore en parlant des Chevaux de la cavalerie, de l'artillerie, etc., qui ne sont pas ou qui ne sont plus en état de servir. Il y a eu dans ce régiment une réforme de vingt chevaux, qu'il a fallu remplacer. Un cheval de réforme. On dit de même : Du matériel en réforme. Dictionnaire de l’Académie française 8ème édition (1932) La langue française étonnera toujours : voilà deux sens pratiquement contradictoires du même réforme, vocable qui nous préoccupe depuis nombre d’années. La première entrée signifie, globalement, rétablissement dans l'ordre et rendre meilleur. Ce qui n’est pas la même chose, ou, plutôt pas le même cheminement pour obtenir la même chose : rétablir dans l’ordre est, dans une situation de pertinence pédagogique, l’équivalent de ce que j’ai appelé jusqu’à présent restaurer l’académique dans ses droits, spoliés par tant de pratiques informationnelles (au niveau de l’université) et paradigmatiques (au niveau de l’ensemble du système éducatif marocain). La deuxième entrée signifie rejeter ce qui a été jugé désormais inexploitable, dépassé ou forclos. On achève bien les chevaux ! Bien évidemment, la contradiction n’est qu’apparente, et le deuxième sens est pratiquement inclus au deuxième ; on ne réforme, on ne rend meilleur qu’en rejetant, tout ou partie de l’objet à réformer. Et il nous semble bien, comme pour l’Abbé de Saint-Pierre de d’Alembert que le système d’éducation et de formation, fait partie des «établissements les plus utiles [qui ont] besoin de réforme » telles ces « horloges qu’il faut de temps en temps nettoyer et remonter». Pourtant, si la raison lexicale, sur laquelle il me plaît souvent de fonder mes interventions[1], délimite quelque peu le cadre sémantique, elle demeure insuffisante à préciser clairement l’objet critique de mon propos. Réinventons un peu la roue. De l’intérieur du système éducatif[2] et de formation, réformer est un appel magistral d’une ‘’pause épistémologique’’, qui décide de modifier certains rapports au savoir selon les orientations suivantes : - L’actualité académique et épistémique dans la mesure où les contenus sont à la fois renouvelables à l’envie et objets ou supports de critique et d’innovation, - La pertinence méthodologique de ce rapport qui en validerait les dispositifs de production, de transmission et de réception ; dont la fonctionnalité (ou la caducité) de concepts et des moyens pédagogiques mis en œuvre ainsi que l’opportunité des compétences acquises en fonction des besoins sociétaux, humains et économiques à venir ; et, donc, - L’efficience de la formation, dans le souci de ne point gaspiller leur argent et leur temps aux bailleurs de fonds, à l’étudiant, aux employeurs et à la communauté. C’est dire que l’on entame pas une réforme, quand celle-ci engage des fonds lourds et des risques majeurs pour le devenir d’un pays, juste pour le plaisir d’adopter une nouvelle terminologie et la structuration qui en découle (ou qu’elle traduit ?). Celle-ci n’est pas qu’un habillage. Elle est une instrumentalisation conceptuelle qui, pour rétablir dans le droit et rendre meilleur, a dû s’assurer d’une conscience cognitive critique, donc d’un diagnostic fiable, qui, même en tenant compte des maqâmat (séances informelles) de l’opinion publique, doit formaliser cette dernière et la transcender, afin de décider de ce qui est à conserver ou à réformer du système objet de Réforme, tel que celle-ci pourrait se traduire dans le quotidien des professeurs, et dans les performances des établissements. La Réforme implique une nouvelle normalisation. Je voudrais dans les lignes qui suivent démontrer qu’en dépit de la richesse des tableaux, et des documents produits pour la Réforme et autour d’elle, l’on a oublié d’inscrire quelques garanties, dans la police de l’assurance qualité à l’Université.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Tyers, Dianne, and Judy Sillito. "Locating Continuing Professional Development within a Proposed Complex Dynamic Systems Model for Today's English Language Teaching Profession." TESL Canada Journal 35, no. 2 (December 31, 2018): 179–93. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v35i2.1297.

Full text
Abstract:
For novice and expert English language teaching professionals alike, it is important to understand the dynamic complexity of the context in which we workto intentionally and strategically forge a relevant and personally meaningful, continuing professional development path. English language teaching has longoutgrown a “one-size-fi ts-all” continuing professional development model. Rather, the context in which we teach influences the knowledge and skills weneed to develop and maintain as we move through our careers. This, in turn, drives the strategic choices we make for our continuing professional development.However, what does context in English language teaching actually mean, and how do we unpack its elements to locate ourselves within it? Using a proposedmodel of nested complex dynamic systems, we can first locate ourselves within a broad socioeconomic, complex dynamic system created by the ongoing interaction of a society’s economy, politics, history, geography, technology, culture, language, and education. We can then locate ourselves within multiple complex dynamic systems in the professional, program, and classroom contexts that give shape to and, at times, constrain our agency. Finally, we can consider ourselves, English language teachers, as complex dynamic systems. Each of us is the unique creation of our interacting education and training, professional experience, and self. This complex dynamic systems model can be used to guide teachers, administrators, and funders to intentionally and strategically select, design, or support continuing professional development, leading to teachers’ building knowledge and practice for ongoing success in a rapidly evolving profession. Qu’il s’agisse de débutants ou de professeurs expérimentés, il est important que les professionnels de l’enseignement de l’anglais comprennent la complexité dynamique du contexte dans lequel nous travaillons afin de pouvoir ouvrir intentionnellement et stratégiquement la voie à un mode de perfectionnement professionnel continu qui soit à la fois pertinent et significatif sur le plan personnel. Il y a longtemps que l’enseignement de l’anglais ne tient plus dans un modèle unique de perfectionnement professionnel continu. Il faut plutôt reconnaître que le contexte dans lequel nous enseignons influe sur les connaissances et les compétences que nous devons développer et entretenir au fil de notre carrière, ce qui a pour effet d’orienter les choix stratégiques que nous effectuons pour notre perfectionnement professionnel continu. Mais que signifie réellement le contexte de l’enseignement de l’anglais, et comment en dégageons-nous les éléments afin de nous y inscrire personnellement? À l’aide d’un modèle suggéré de systèmes dynamiques complexes imbriqués, nous pouvons commencer par nous situer dans un vaste système socioéconomique complexe créé par l’interaction continue de l’économie, de la politique, de l’histoire, de la géographie, de la technologie, de la culture, de la langue, et de l’éducation. Nous pouvons ensuite nous situer à l’intérieur de multiples systèmes dynamiques complexes dans les contextes de la profession, du programme, et de la salle de classe qui donnent forme à notre agentivité et parfois la limitent. Enfin, nous pouvons nous considérer nous-mêmes, en tant que professeurs d’anglais, comme des systèmes dynamiques complexes. Nous sommes toutes et tous le produit unique d’une interaction entre notre éducation et notre formation, notre expérience professionnelle et notre identité. Ce modèle de système dynamique complexe peut être utilisé pour amener les enseignants, les administrateurs, et les bailleurs de fonds à sélectionner, concevoir et appuyer intentionnellement et stratégiquement une forme de perfectionnement professionnel continu susceptible d’amener les enseignantes et les enseignants à accumuler des connaissances et des pratiques qui assureront leur succès dans une profession en évolution rapide.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Taous, Ali, Abdelletif Tribak, Mohamed Laaouane, and Brahim Akdim. "Impacts des cônes latéraux sur le fonctionnement hydrodynamique et morphosédimentaire actuel des fonds de vallées prérifaines : cas de l'Oued Larbâa (Maroc) / Impact of lateral fans on the current hydrodynamic and morphosedimentary characteristics of valley bottoms : the case of the Larbâa wadi (Morocco)." Revue de géographie alpine 92, no. 1 (2004): 17–28. http://dx.doi.org/10.3406/rga.2004.2273.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Freud, Christian. "Qu'attendent les bailleurs de fonds des anthropologues ?" Bulletin de l’APAD, no. 1 (March 15, 1991). http://dx.doi.org/10.4000/apad.295.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Perreault, Michel, Isabelle Tremblay, Céline Mercier, David Barbeau, Radegonde Ndejuru, and Pierre Lauzon. "Évaluation d’implantation dans un contexte participatif : Le processus suivi à Relais-Méthadone." Articles 2, no. 1 (December 3, 2003). http://dx.doi.org/10.7202/007185ar.

Full text
Abstract:
Résumé Relais-Méthadone est un programme d’intervention qui s’inscrit dans un contexte de réduction des méfaits. Comme ce programme comporte le recours à des pratiques innovatrices à Montréal, on a jugé nécessaire d’évaluer son implantation. La collaboration entre les chercheurs, les promoteurs du projet, les responsables administratifs et les intervenants est décrite ici pour ce qui a trait à cette évaluation. On estime que l’évaluation d’implantation s’est avérée profitable pour chacune des parties. Ce succès serait attribuable aux facteurs suivants : l’intérêt pour les promoteurs d’associer la recherche au programme ; le contexte de projet pilote, qui impliquait la production de données probantes pour justifier la poursuite de ce type de programme ; le consensus entre les partenaires, y compris les bailleurs de fonds, pour procéder à une étude systématique de l’implantation du programme ; la disponibilité de financement pour l’évaluation, qui a permis aux chercheurs de s’associer dès le départ à la mise sur pied du programme ; le choix d’une démarche participative appliquée à toutes les étapes du processus, qui a favorisé l’appropriation de l’évaluation et des résultats par le milieu.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

Full text
Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

Full text
Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Nutting, Stéphanie. "La place de l'anglais dans la chanson francophone : controverses et débat." Nouvelle Revue Synergies Canada, no. 11 (February 4, 2018). http://dx.doi.org/10.21083/nrsc.v0i11.3990.

Full text
Abstract:
Dans cet article, je partage les stratégies pédagogiques adoptées dans un nouveau cours universitaire sur la chanson et la poésie de langue française (3e année). Plus spécifiquement, je décris un module de ce cours consacré au thème du choix de langue - anglais ou français? -- dans le domaine de la musique populaire.Cette question est d'une grande actualité car beaucoup d'artistes francophones contemporains font le choix de composer leurs chansons et de se produire uniquement en anglais. D'autres, comme les membres du groupe acadien Radio Radio, ou le groupe montréalais, Loud Lary Ajust, mettent en musique une diglossie jouissive et sans complexe. Il faut dire que ce phénomène de code-switching embête les bailleurs de fonds (et de prix) dont le mandat est de soutenir et de reconnaitre la musique francophone. Il s'agit donc d'un sujet en or pour discuter de l'espace culturel francophone, de la liberté d'expression des artistes, des pouvoirs du marché et du rôle des auteurs-compositeurs-interprètes, souvent vus comme les poètes de la jeune génération.L'article expose les étapes d'une séquence pédagogique qui se résument ainsi:1. Description du cours 2. Objectifs de la séquence sur le débat 3. Choix de chansons 4. Découverte des chansons 5. Présentation et analyse des documents de presse sur les controverses 6. Préparation du débat et distribution des rôles 7. Déroulement du débat.Le deuxième volet consistera à offrir des observations sur le déroulement de la séquence ainsi qu'une réflexion sur le contenu culturel du module. Ce volet se termine par un bilan de la séquence et un retour à la question de l'authentique en didactique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Malenfant, Jayne A., Naomi Nichols, and Kaitlin Schwan. "Chasing Funding “To Eat Our Own Tail”: The Invisible Emotional Work of Making Social Change." Canadian journal of nonprofit and social economy research 10, no. 2 (November 28, 2019). http://dx.doi.org/10.29173/cjnser.2019v10n2a307.

Full text
Abstract:
This article presents findings from a multi-site study conducted in Montréal, QC, and Toronto, ON, Canada, on “social innovation” networks, focusing on the forms of emotional and relational work that many participants described. The article explores how these tasks related to how workers in the two nonprofit “backbone” organizations described their contributions to the impacts they hoped to make. The intersections of these forms of work and particular identities are framed within a feminist lens—when and how are these forms of relational work recognized or made invisible? This work is contextualized within neoliberal reforms, the restructuring of the state, and external funding requirements and how these determine what forms of work are deemed “impactful” in making significant social change around broad issues of homelessness and social exclusion.Cet article présente les résultats d’une étude multi-sites sur les réseaux « d’innovation sociale » menée à Montréal, QC et Toronto, ON, Canada, et met l’accent sur des formes de travail émotionnel et relationnel décrites par de nombreux participants. Les auteurs explorent la relation entre ces tâches et la manière dont les travailleurs de deux organismes à but non lucratif centraux décrivent leurs contributions aux impacts qu’ils espéraient avoir. Les intersections de ces travaux et des identités particulières s’inscrivent dans une perspective féministe—quand et comment les formes de travail relationnelles sont-elles reconnues ou rendues invisible? Cet article s’inscrit dans le cadre des réformes néolibérales, de la restructuration de l’État et des besoins des bailleurs de fonds externes, et comment ceux-ci déterminent quelles formes de travail sont considérées comme ayant un impact « décisif » sur le changement social important autour des grandes questions de l’itinérance et d’exclusion sociale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Shapiro, Sidney Joseph, and Vivian Oystrick. "Three Steps Towards Sustainability: Spreadsheets as a Data Collection Analysis System for non-Profit Organizations." Canadian Journal of Program Evaluation 33, no. 2 (November 30, 2018). http://dx.doi.org/10.3138/cjpe.31157.

Full text
Abstract:
Many non-profits face barriers developing systems to collect and analyze data that can leverage the type of information that their funders and stakeholders require. Constraints such as limited evaluation expertise, time, and money make this virtually impossible to achieve without a viable solution. In an increasingly competitive environment, it is imperative that non-profits find innovative ways to track and measure their work within their evaluative capabilities. There are different ways in which evaluators can help even the most constrained non-profit organizations capture their reach and make the most of their existing data. This article proposes a three-step framework for the development of a data-collection and -analysis system through the use of spreadsheets. Not only is this proposed system feasible within the constraints of the non-profit sector, but it is also valuable for the sustainability of their services over time.De nombreuses organisations à but non-lucratif font face à des obstacles en ce qui concerne la mise en place de systèmes de collecte et d’analyse de données pour offrir des informations pertinentes pour leurs bailleurs de fonds et parties prenantes. Le fait d’avoir une expertise limitée en évaluation, des contraintes de temps et financières sont des obstacles qui rendent impossible l’implantation de solutions viables. Dans un environnement de plus en plus concurrentiel, il est impératif que les organisations à but non-lucratif trouvent des moyens innovants pour monitorer leur travail en respectant leur capacité évaluative. Les évaluateurs disposent de divers moyens pour aider les organisations à but non-lucratif, même celles disposant de très minces ressources, à évaluer leur portée et à tirer le meilleur parti des données dont elles disposent. Le présent article propose une procédure en trois étapes pour l’élaboration d’un système de collecte et d’analyse des données faisant appel à des chiffriers. Non seulement il est possible d’implanter un tel système compte tenu des contraintes du secteur à but non lucratif, mais il apporterait beaucoup pour la pérennité des services.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Gautier, Axel. "Numéro 22 - juin 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16053.

Full text
Abstract:
La Commission européenne vient, en mars 2004, d’adopter une nouvelle série de réformes pour revitaliser le transport par chemin de fer. Les nouvelles directives (le «troisième paquet ferroviaire») prévoient l’ouverture d’ici 2010 du transport de passagers à la concurrence. Dans ce numéro de Regards économiques, nous analysons au travers de l’expérience de deux pays, l’Allemagne et l’Angleterre, les conséquences probables de la libéralisation du secteur sur le rail belge. Ces deux pays ont en effet profondément modifié leur marché ferroviaire depuis 1994, mais les moyens mis en œuvre sont cependant différents. L’Angleterre a choisi une privatisation rapide du rail accompagnée d’un démantèlement de l’opérateur historique British Rail et a confié la gestion de l’infrastructure à Network Rail (ex-Railtrack), une société indépendante des opérations de transport. La privatisation du rail s’est accompagnée de nombreux incidents : accidents (Hatfield), retards, baisse de la qualité du service, faillite de Railtrack. Résultat : le rail britannique est fortement décrié. L’Allemagne a par contre choisi une réforme plus graduelle où l’opérateur historique Die Bahn reste un acteur important malgré l’arrivée de nombreux concurrents privés, et continue de gérer à la fois l’infrastructure (via sa filiale DB Netz) et les opérations de transport. Les autorités régionales (Länders) jouent également un rôle important dans l’organisation du secteur. De manière générale, les performances du rail se sont améliorées depuis 1994. En Belgique, la SNCB va bientôt se transformer en une société holding formée de deux filiales, l’une chargée de la gestion de l’infrastructure (Infrabel), l’autre des opérations de transport (qui gardera le nom SNCB). Cette réforme doit s’accompagner d’une amélioration des performances de la société et d’une réforme structurelle pour mettre en adéquation le rail belge avec le nouveau contexte européen. De plus, la régionalisation du transport ferroviaire sera probablement discutée après les élections du 13 juin, et les décisions prises sur ce point conditionneront les futures performances du secteur. • Hausse des performances : en 2003, le résultat opérationnel de la SNCB (EBIT) fut de – 110 millions d’euros. Pour rivaliser avec ses concurrents, la société doit absolument améliorer ses performances tant dans le transport de marchandises que celui de passagers. L’avenir de la société dans le marché européen doit passer par une hausse sensible de son résultat opérationnel. La reprise d’une partie de la dette historique de la société par l’Etat (prévue par la directive européenne 91/440/EC) permettra en outre d’améliorer le résultat financier de la SNCB. • Réformes structurelles : dans le marché libéralisé, toutes les entreprises ferroviaires auront accès au réseau ferroviaire belge. L’arrivée probable de nouveaux opérateurs doit s’accompagner d’une régulation du secteur et d’une révision du financement des missions de service public. Réguler l’accès à l’infrastructure. Les directives européennes prévoient que le gestionnaire d’infrastructure alloue les sillons (infrastructure requise pour faire circuler un train donné d’un point à un autre à un moment donné) aux différents prestataires de service de manière transparente et non discriminatoire. Il faut donc instaurer un organe de contrôle qui vérifie que les concurrents sont traités de manière équitable. Ce contrôle est particulièrement nécessaire lorsque les opérations de transport et la gestion de l’infrastructure sont gérées au sein d’une même entreprise. En Allemagne, depuis la libéralisation du marché, les entreprises concurrentes se plaignent périodiquement du fait que Die Bahn avantage ses filiales dans le processus d’allocation des sillons. L’absence de régulation est un frein à l’introduction de la concurrence et au développement du marché. Le financement du service : dans l’actuel contrat de gestion, l’Etat spécifie l’offre minimale de services et alloue une dotation forfaitaire à la société. Actuellement, les lignes non rentables sont financées grâce à cette dotation de l’Etat et au surplus des lignes rentables. À l’avenir, les concurrents de la SNCB viendront s’installer prioritairement sur les segments rentables du marché, privant la société de revenus auparavant destinés au financement du service public. Le financement des missions de service public doit donc être entièrement revu et adapté à ce nouveau contexte. Deux options sont possibles : soit, pour l’exploitation des lignes non rentables, l’Etat et l’opérateur s’entendent sur un niveau de service et son financement. Au lieu d’une dotation forfaitaire, l’état alloue une dotation spécifique à chaque ligne. Ce système, utilisé en Allemagne pour le transport régional, met fin aux subsides croisés (les lignes non rentables sont financées grâce au surplus des lignes rentables et à la dotation de l’Etat) et facilite l’introduction de la concurrence via la procédure d’appel d’offre. Soit, on constitue un fond destiné au financement du service public; fond alimenté en partie par l’Etat et en partie par les compagnies. Chaque compagnie qui opère une ligne rentable contribue au fond. Chaque compagnie qui opère une ligne non rentable reçoit un subside du fond. • Régionalisation : la séparation de la filiale infrastructure en deux sociétés régionales est techniquement très difficile à mettre en œuvre. De plus, l’Europe ne reconnaît qu’un seul gestionnaire de réseau par pays, notamment pour la délivrance des certificats de sécurité. Cependant, il possible que l’on régionalise en partie le financement de l’infrastructure. La régionalisation, même partielle, du financement du réseau modifiera l’organisation du secteur. Les bailleurs de fonds voudront probablement obtenir le meilleur rendement sur leurs investissements. Un moyen pour y parvenir serait d’augmenter les revenus provenant des redevances d’infrastructure en permettant un plus large accès au réseau des opérateurs concurrents. L’Etat fédéral pourrait également confier aux régions le financement d’une partie des missions de service public. Ceci aurait pour conséquence probable le développement de compagnies ferroviaires régionales. La régionalisation pourrait aussi avoir comme conséquence l’augmentation de la concurrence dans le secteur.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Gautier, Axel. "Numéro 22 - juin 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2004.06.01.

Full text
Abstract:
La Commission européenne vient, en mars 2004, d’adopter une nouvelle série de réformes pour revitaliser le transport par chemin de fer. Les nouvelles directives (le «troisième paquet ferroviaire») prévoient l’ouverture d’ici 2010 du transport de passagers à la concurrence. Dans ce numéro de Regards économiques, nous analysons au travers de l’expérience de deux pays, l’Allemagne et l’Angleterre, les conséquences probables de la libéralisation du secteur sur le rail belge. Ces deux pays ont en effet profondément modifié leur marché ferroviaire depuis 1994, mais les moyens mis en œuvre sont cependant différents. L’Angleterre a choisi une privatisation rapide du rail accompagnée d’un démantèlement de l’opérateur historique British Rail et a confié la gestion de l’infrastructure à Network Rail (ex-Railtrack), une société indépendante des opérations de transport. La privatisation du rail s’est accompagnée de nombreux incidents : accidents (Hatfield), retards, baisse de la qualité du service, faillite de Railtrack. Résultat : le rail britannique est fortement décrié. L’Allemagne a par contre choisi une réforme plus graduelle où l’opérateur historique Die Bahn reste un acteur important malgré l’arrivée de nombreux concurrents privés, et continue de gérer à la fois l’infrastructure (via sa filiale DB Netz) et les opérations de transport. Les autorités régionales (Länders) jouent également un rôle important dans l’organisation du secteur. De manière générale, les performances du rail se sont améliorées depuis 1994. En Belgique, la SNCB va bientôt se transformer en une société holding formée de deux filiales, l’une chargée de la gestion de l’infrastructure (Infrabel), l’autre des opérations de transport (qui gardera le nom SNCB). Cette réforme doit s’accompagner d’une amélioration des performances de la société et d’une réforme structurelle pour mettre en adéquation le rail belge avec le nouveau contexte européen. De plus, la régionalisation du transport ferroviaire sera probablement discutée après les élections du 13 juin, et les décisions prises sur ce point conditionneront les futures performances du secteur. • Hausse des performances : en 2003, le résultat opérationnel de la SNCB (EBIT) fut de – 110 millions d’euros. Pour rivaliser avec ses concurrents, la société doit absolument améliorer ses performances tant dans le transport de marchandises que celui de passagers. L’avenir de la société dans le marché européen doit passer par une hausse sensible de son résultat opérationnel. La reprise d’une partie de la dette historique de la société par l’Etat (prévue par la directive européenne 91/440/EC) permettra en outre d’améliorer le résultat financier de la SNCB. • Réformes structurelles : dans le marché libéralisé, toutes les entreprises ferroviaires auront accès au réseau ferroviaire belge. L’arrivée probable de nouveaux opérateurs doit s’accompagner d’une régulation du secteur et d’une révision du financement des missions de service public. Réguler l’accès à l’infrastructure. Les directives européennes prévoient que le gestionnaire d’infrastructure alloue les sillons (infrastructure requise pour faire circuler un train donné d’un point à un autre à un moment donné) aux différents prestataires de service de manière transparente et non discriminatoire. Il faut donc instaurer un organe de contrôle qui vérifie que les concurrents sont traités de manière équitable. Ce contrôle est particulièrement nécessaire lorsque les opérations de transport et la gestion de l’infrastructure sont gérées au sein d’une même entreprise. En Allemagne, depuis la libéralisation du marché, les entreprises concurrentes se plaignent périodiquement du fait que Die Bahn avantage ses filiales dans le processus d’allocation des sillons. L’absence de régulation est un frein à l’introduction de la concurrence et au développement du marché. Le financement du service : dans l’actuel contrat de gestion, l’Etat spécifie l’offre minimale de services et alloue une dotation forfaitaire à la société. Actuellement, les lignes non rentables sont financées grâce à cette dotation de l’Etat et au surplus des lignes rentables. À l’avenir, les concurrents de la SNCB viendront s’installer prioritairement sur les segments rentables du marché, privant la société de revenus auparavant destinés au financement du service public. Le financement des missions de service public doit donc être entièrement revu et adapté à ce nouveau contexte. Deux options sont possibles : soit, pour l’exploitation des lignes non rentables, l’Etat et l’opérateur s’entendent sur un niveau de service et son financement. Au lieu d’une dotation forfaitaire, l’état alloue une dotation spécifique à chaque ligne. Ce système, utilisé en Allemagne pour le transport régional, met fin aux subsides croisés (les lignes non rentables sont financées grâce au surplus des lignes rentables et à la dotation de l’Etat) et facilite l’introduction de la concurrence via la procédure d’appel d’offre. Soit, on constitue un fond destiné au financement du service public; fond alimenté en partie par l’Etat et en partie par les compagnies. Chaque compagnie qui opère une ligne rentable contribue au fond. Chaque compagnie qui opère une ligne non rentable reçoit un subside du fond. • Régionalisation : la séparation de la filiale infrastructure en deux sociétés régionales est techniquement très difficile à mettre en œuvre. De plus, l’Europe ne reconnaît qu’un seul gestionnaire de réseau par pays, notamment pour la délivrance des certificats de sécurité. Cependant, il possible que l’on régionalise en partie le financement de l’infrastructure. La régionalisation, même partielle, du financement du réseau modifiera l’organisation du secteur. Les bailleurs de fonds voudront probablement obtenir le meilleur rendement sur leurs investissements. Un moyen pour y parvenir serait d’augmenter les revenus provenant des redevances d’infrastructure en permettant un plus large accès au réseau des opérateurs concurrents. L’Etat fédéral pourrait également confier aux régions le financement d’une partie des missions de service public. Ceci aurait pour conséquence probable le développement de compagnies ferroviaires régionales. La régionalisation pourrait aussi avoir comme conséquence l’augmentation de la concurrence dans le secteur.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Bosc, Helene, and Hans Dillaerts. "Le libre accès en France en 2012: Entre immobilisme et innovation │ O acesso livre na França em 2012: Entre imobilismo e inovação │ Open Acess in France in 2012." Liinc em Revista 8, no. 2 (December 18, 2012). http://dx.doi.org/10.18617/liinc.v8i2.502.

Full text
Abstract:
Résumé Pour faire l’état des lieux du libre accès (LA) en France en 2012, dix ans après la Budapest Open Access Initiative, nous avons examiné les deux voies : la voie verte (l’auto-archivage) et la voie dorée (publications dans les revues en LA). L’archive centrale multidisciplinaire HAL, créée en 2002 pour recevoir les publications scientifiques au niveau national, est reconnue pour sa qualité technique, mais elle ne propose que 10% à 15 % de la production scientifique annuelle française. Ce chiffre est à l’image de ce qu’offrent toutes les autres archives dans le monde où il n’y a pas d’obligation de déposer (pas de mandat). Les archives qui ont un mandat comme celle de l’université de Liège, ont atteint un taux de 80% en deux ans. Quelques archives institutionnelles se sont développées en France parallèlement à HAL, et deux d’entre elles (Archimer and OATAO) ont un bon taux de remplissage, grâce à l’implication d’un personnel dédié. Pour soutenir les offres éditoriales en libre accès le Centre pour l'Édition électronique Ouverte (CLEO) a récemment mis en place OpenEdition Freemium. Cette initiative pourrait favoriser le développement des revues en LA. Cependant, l’étude faite à partir des revues qualifiantes en Sciences Humaines et Sociales montre que les chercheurs sont peu encouragés à publier dans ces revues par les instances d’évaluation : peu de revues en libre accès françaises sont présentes dans les listes des revues qualifiantes de l’agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (AERES). On note aussi une forte disparité entre les disciplines. Différents exemples de politique en faveur du libre accès sont donnés : un politique forte peut être menée par des universités, comme à l’université de Liège, ou par des bailleurs de fonds, comme le FRS-FNRS en Belgique ou par l’Europe. Elle peut être entreprise au niveau législatif comme aux USA, au Brésil ou en Argentine. En France les deux voies du libre accès sont tracées par des initiatives intéressantes. Le gouvernement français devrait accompagner ces initiatives et devrait s’investir dans une politique forte pour recevoir rapidement les bénéfices du libre accès.Mots clés Libre accès, archives ouvertes, auto-archivage, publications en libre accès, voie verte, voie dorée, politique de la recherche, évaluation de la recherche, mandatResumo Para verificar como está o Acesso Livre (AL) na França em 2012, dez anos após a Budapest Open Access Initiative, foram examinadas as duas vias: a via verde (auto-arquivamento) e a dourada (publicação em periódicos em AL). O arquivo central multidisciplinar HAL, criado em 2002 para receber publicações científicas em nível nacional, é reconhecido por sua qualidade técnica, mas ele apresenta apenas 10% a 15% da produção científica francesa anual. Este número espelha o que oferecem todos os outros arquivos no mundo em que não há obrigação de depósito (ou seja, não há mandato). Os arquivos com mandato, como o da Universidade de Liège, chegaram a uma taxa de 80% em dois anos. Alguns arquivos institucionais desenvolveram-se paralelamente ao HAL, e dois deles (Archimer et OATAO) mostram um bom índice de preenchimento, graças à dedicação das pessoas envolvidas. Para sustentar a oferta editorial em acesso livre, o Centre pour l'Édition électronique Ouverte (CLEO) implementou recentemente o OpenEdition Freemium. Essa iniciativa poderia favorecer o desenvolvimento dos periódicos em AL. No entanto, o estudo feito com os periódicos qualificados em Ciências Humanas e Sociais mostra que os pesquisadores são pouco estimulados a publicar nauqueles periódicos pelas instâncias avaliadoras: poucos periódicos franceses em acesso livre estão presentes nas listas de periódicos qualificados da agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (AERES)[1]. Nota-se também uma grande disparidade entre as disciplinas. São fornecidos diversos exemplos de políticas de certos países em prol do acesso livre: uma política robusta pode ser impolementada pelas universidades, como na Universidade de Liège, pelas agências de fomento, como o FRS-FNRS na Bélgica e os Research Councils na Grã Bretanha, e também pode ser empreendida no nível legislativo, como nos Estados Unidos, no Brasil ou na Argentina. Na França, as duas vias do acesso livre são traçadas por iniciativas interessantes. O governo francês deveria acompanhar essas iniciativas e desenvolver uma política forte para obter rapidamente os benefícios do acesso livre. Palavras-chave Acesso livre, repositórios abertos, auto-arquivamento, publicações em acesso livre, via verde, via dourada, política cientifica, avaliação de pesquisa, mandato [1] Com funções semelhantes às da Capes. N.do T.Abstract Ten years after the Budapest Open Access Initiative, we have examined the current situation of Open Access in France via the two open access (OA) roads: the Green (self-archiving) and the Gold (OA publishing). HAL, a central multidisciplinary French archive launched in 2002, is recognized for its technical quality, but 10 years after its creation it only includes 10 to 15% of the annual French scientific output. This figure is similar to other repositories worldwide for which there is no mandatory policy (no mandate). On the other hand, archives such as that of Liège University which has a mandate, achieved an 80% deposit rate within two years. Other than HAL, a number of institutional archives are being developed in France, with Archimer and OATAO being two successful examples, thanks to dedicated library staff. In order to support the editorial offer in open access the Centre pour l'Édition électronique Ouverte (CLEO) recently launched the Open Edition Freemium. This initiative should favor the development of OA periodicals. However, the study based on the list of qualifying periodicals in Human and Social Sciences, shows that researchers are not encouraged to publish in these periodicals by national assessment bodies; very few French open access periodicals are on the different qualifying lists of the agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES - French research and higher education assessment agency). In addition, a wide disparity can be observed between disciplines. Different examples of strong policies in favor of OA are given: at the university level, as at Liège university, at the level of foundations, as at FRS-FNRS in Belgium, at the level of the Europe or at the legislative level, as attempted in the USA or Brazil or Argentina. In France the two roads are supported by interesting initiatives and these should be accompanied by strong French government policy to enable the benefits of open access to be rapidly reaped. Keywords Open access, repositories, self-archiving, open access publishing, green road, gold road, research policy, research assessment, mandate
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography