Academic literature on the topic 'Balante (langue) – Modalité (linguistique)'

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Journal articles on the topic "Balante (langue) – Modalité (linguistique)"

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Poulin, Christine. "La structure conceptuelle de la référence : vers une représentation indépendante de la modalité d’expression." Revue québécoise de linguistique 23, no. 1 (April 29, 2009): 17–33. http://dx.doi.org/10.7202/603078ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Certains aspects du sens affectent la forme linguistique d’un énoncé mais non sa structure syntaxique. Dans cet article, je montre que l’alternance des formes simples et à déplacement référentiel en LSQ en est un exemple, et que cette alternance indique un changement de point de vue de la part du locuteur par rapport à l’entité dont il parle. De plus, l’exploitation de la différence dans la façon de référer à une entité semble varier selon la modalité d’expression utilisée par la langue (visuo-spatiale vs audio-orale). Il s’ensuit qu’une représentation plus abstraite par rapport aux propriétés purement liées à la modalité serait plus compatible avec les stratégies différentes des langues signées et des langues orales.
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Dixon, R. M. W. "Internal reconstruction of tense-modal suffixes in Jarawara." Diachronica 18, no. 1 (December 31, 2001): 3–30. http://dx.doi.org/10.1075/dia.18.1.03dix.

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Abstract:
Summary Jarawara (from the small Arawá family in southern Amazonia) has a system of eleven tense-modal suffixes, which show irregular form; each consists of an initial part (of form -hV-) and a final part of one or two syllables; both parts mark gender of the pivot argument in the clause. An earlier stage of the paradigm, which was almost regular, is obtained by internal reconstruction. The method hinges on recognition that the vowel e plays a pervasive role in diachronic change, engendering various types of assimilation. In addition, what was the final syllable of the stem has — as the result of reallocation of morpheme and word boundaries — been reanalysed as the initial -hV- syllable of the suffix. Résumé Jarawara, langue amérindienne qui fait partie de la petite famille linguistique Arawá de l’Amazonie meridionale, présente onze suffixes de modalité e de temps, chacun avec une forme irregulière. Chaque suffixe comprend une partie initiale, de forme -hV-, et une partie finale, d’une ou de deux syllabes. Les deux parties lèvent une marque de concordance en genre avec l’argument-pivot de la phrase. En suivant la métodologie de reconstruction interne, on arrive à une étape antérieure du système qui était prèsque régulier. L’application de cette méthode est basée à une présupposition que la voyelle e avait joué un rôle préponderant dans les processus de changement diachronique, tout en occasionnant de differents types d’assimilation. En plus de ça, la syllabe finale de chaque radical serait reanalysée comme la syllable initiale -hV- du suffixe, en consequence des modifications des frontières de morphème et de mot. Zusammenfassung Jarawara (eine Sprache der kleinen Arawá-Sprachfamilie im südlichen Amazonien) besitzt ein System aus elf Suffixen, die Tempus/Modalität ausdrücken. Diese sind unregelmäßig in ihrer Form. Jede Form besteht aus einer Anfangskomponente der Form -hv- und einer ein- oder zweisilbigen Endkomponente. Beide Komponenten kennzeichnen das Genus desjenigen Arguments im Satz, das in der Topikalitätshierarchie am höchsten steht (‘the pivot argument’). Durch interne Rekonstruktion erhält man ein früheres Stadium des Paradigmas, das fast regelmäßig war. Die Rekonstruktionsmethode hängt entscheidend davon ab zu erkennen, daß der Vokal e im historischen Wandel eine überaus wichtige Rolle spielt und verschiedene Assimilationsprozesse auslöst. Außerdem wurde aufgrund einer Verschiebung von Morphem- und Wortgrenzen die letzte Silbe des Stamms als Anfangssilbe -hV- des Suffixes reanalisiert.
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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Dissertations / Theses on the topic "Balante (langue) – Modalité (linguistique)"

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Gomes, Cleonice Candida. "O Sistema verbal do balanta : um estudo dos morfemas de tempo." Universidade de São Paulo, 2008. http://www.teses.usp.br/teses/disponiveis/8/8139/tde-19012009-154521/.

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Abstract:
Este trabalho analisa os valores dos morfemas de tempo e de modalidade da língua balanta. O balanta é uma língua falada entre Casamansa, sul do Senegal, e o rio Geba, norte de Guiné-Bissau. A língua balanta pertence à família Atlântica do tronco Nigero-Congolês, que possui como línguas mais faladas: fula, uolofe (wolof), diola, serer, temne. A língua balanta se encontra no braço do norte, no grupo denominado Bak, juntamente com o diola, o manjaco, o mancanha e o papel. O paradigma verbal do balanta apresenta os seguintes morfemas de tempo e de modalidade: {-Æ} presente, passado remoto, futuro, mudança de estado, dêitico, concluso, e inconcluso, os quatro últimos são usados para a expressar a atitude do falante em relação ao conteúdo proposicional ou ao valor de verdade do enunciado, ou em relação ao ouvinte a quem o enunciado se destina. O morfema {-Æ} presente, de acordo com o paradigma verbal e o tipo de verbo, apresenta valores como presente e passado no acabado; presente ou futuro no inacabado; os morfemas de modalidade, de acordo com o paradigma verbal e o tipo de verbo, apresentam valores como mudança de estado e interrupção da ação, fechamento da ação no tempo e certeza ou não fechamento da ação e incerteza.
The focus on this paper is to show the values of the tenses and the modality morphemes in the Balanta language. The Balanta is a language spoken between Casamance, South of Senegal, and Geba River, north of Guinea-Bissau. The Balanta is an Atlantic language of the Niger-Congo branch, of which Fufulde, Wolof, Diola, Serer, Temne are among the most spoken. The Balanta is located in the north branch, in the group called Bak, togheter with Diola, Mandyak, Mankanya and Papel. The verbal paradigm of Balanta presents the following tenses and modality morphemes: {-Æ} present, remote past, future, change of stage, deictic, conclusive, inconclusive, the last four morphemes are used to express the attitude of the speaker in relation to the propositional content or in relation to the truth of the statement, or in relation to the listener. The morpheme {-Æ} present, in accordance with the verbal paradigm and the kind of verb, present values such as present and past in the perfective, present or future in the imperfective; the modality morphemes, in accordance with the verbal paradigm and the kind of verb, present values such as change of stage and interruption action, closing action in the time and certitude, no action closing and incertitude
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Chantarawaranyou, Mayurie. "Etude de la modalité : en français (modes verbaux) et en thaï (auxiliaires préverbaux de mode)." Paris 3, 1987. http://www.theses.fr/1987PA030114.

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Abstract:
Il s'agit, dans ce travail, d'une etude contrastive entre les deux langues concernant, en francais, les modes verbaux et en thai, les auxiliaires preverbaux de mode. Chaque systeme est analyse au moyen des exemples recueillis dans le corpus ecrit. Et se fondant sur la theorie linguistique de gustave guillaume, l'etude est realisee par la valeur en langue et celle en discours
This paper is a contrastive study between two languages on moods in french and modal preverbs in thai, analysed from different texts and based on the linguistic theory of gustave guillaume concerning the value of language and the value of speech
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López, Izquierdo Marta. "Recherches sur la modalité : les verbes de modalité factuelle en espagnol médiéval." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100093.

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Abstract:
Nous nous sommes proposee dans ce travail d'etudier sous un nouvel angle les verbes de modalite en espagnol. Pour cela, nous avons adopte une perspective semantico-syntaxique, prenant appui sur les procedes des grammaires casuelles, plus precisement de la grammaire a base semantique de bernard pottier (1987, 1992). Dans un premier temps, nous developpons une reflexion theorique sur le concept de modalite et ses differents types et nous proposons un classement sur trois niveaux : 1. Modalite de la langue versus modalite du discours ; 2. Modalite de renonciation versus modalite de l'enonce, 3. Modalites epistemique, factuelle et axiologique. Nous abordons ensuite les enjeux theoriques fondamentaux dans l'etude des verbes modaux, a partir d'exemples de l'espagnol contemporain. Nous determinons les differents modules syntaxiques et casuels des verbes etudies et delimitons les frontieres entre les verbes modaux et des categories proches, telles que le mode verbal et la force illocutoire. Dans la deuxieme partie, nous traitons du fonctionnement des verbes de modalite factuelle, a partir d'exemples tires d'un corpus forme des textes allant du xiie siecle a la fin du xve siecle. Nous etudions pour chaque verbe (quinze, au total): 1. L'etymologie et les valeurs semantiques; 2. La combinatoire syntaxique ; 3. Le module casuel et les valeurs discursives reperees. L'observation des conditions formelles et contextuelles dans lesquelles les valeurs factuelles se realisent nous permet de conclure par une caracterisation formelle des predicats factuels. Nous determinons egalement les proprietes specifiques de la modalite factuelle, face aux modalites epistemique et axiologique. Notre approche theorique nous a permis de depasser le cadre trop etroit adopte traditionnellement dans l'etude de cette classe de verbes, ou verbe modal s'identifiait a auxiliaire modal. De nouvelles proprietes semantico-syntaxiques sont repertoriees afin de proposer une explication globale des verbes etudies.
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Bottineau, Didier. "Aspect, actance et modalité : systématique de l'infinitif anglais." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040205.

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Abstract:
Dans le cadre de la psychomécanique du langage fondée par G. Guillaume, complété de ceux de la grammaire metaopérationnelle (H. Adamczewski) et de la théorie des opérations énonciatives (A. Culioli) dans la mesure des compatibilités, on rend compte de la formation en syntaxe génétique des énoncés anglais comprenant un infinitif avec ou sans to. Une proposée de discours saisie à l'état de puissance par une idée regardante interceptive livre, en syntaxe des résultats, une relation sujet-verbe puissancielle dont la source est contrôlée par l'énonciateur et réinvestissable dans un sujet de puissance discursif déterminé ou non, pouvant ou non coïncider avec lui ou s'en disjoindre. Non interceptée, la même relation n'est pas marquée. Les auxiliaires et relateurs avec ou sans to dépendent de la précocité de l'interception modale. Une relation préconstruite est revalidée par -ing ou virtualisée par le participe passé. Une idée regardante sans sujet propre s'insère en position de relateur au sein de l'idée regardée qu'elle modalise; avec un sujet propre, elle se thématise. Le système de l'aspect verbal est réinvesti dans la chronologie modale du temps opératif et détermine l'état résultant des schèmes actanciels, puissanciels, effectifs ou préconstruits. Le signifie de puissance des mots de langue et la systématique verbo-temporelle du verbe anglais sont revus en fonction d'une sémantique des phonèmes, qui représentent individuellement un processus cognitif invariant, chaque mot grammatical étant constitue d'une grappe de ces formants qui détermine ses valeurs et sa syntaxe. L'infinitif se caractérise par une morphologie cognitive qui détermine ses relations à l'actance, l'aspect, la modalité, la genèse des énoncés et leur structure résultante. Dans l'acte de langage, on distingue ainsi le cheminement sémio-génétique mis en œuvre par l'énonciateur du parcours sémio-génétique qu'il cherche à susciter chez le destinataire du signal acoustique : le « décodage » ne se résume pas à une inversion des opérations «d'encodage »
This study, based on the linguistic theory of G. Guillaume (the psychomechanics of language), with references to the meta-operational grammar of H. Adamczewski and the theory of operations of A. Culioli, deals with the way in which English utterances containing an infinitive verb form are generated : the genesis of a projected subject-predicate matrix, submitted to the mental scrutiny of the enunciator, can be intercepted at an early stage, resulting in an utterance which displays a virtualized connection between a potential subject (determined or undetermined) and the predicate, with a verbal relator passing a modal comment justifying the interception. A relator with a subject of its own is fore fronted, whereas a subjectless one remains inserted between the subject and the verb. An unintercepted subject-to-predicate connection is unmarked; an intercepted one is marked by one or several auxiliaries, with or without to, depending on the degree of actualization; a previously available connection is revalidated by -ing or virtualized by a past participle. The choice of aspectual verb forms is shown to reveal the degree of modal validation of the subject-to predicate link accepted by the enunciator, resulting in a correspondingly actualized link between the subject and the verb. The potential significates of verb forms, affixes and grammatical words in general are ascribed to the clusters of phonemes they contain: each sound represents an elementary mental process, and the meaning and syntax of grammatical words and some major lexical words is determined by the combination of processes their morphology involves. The infinitive is defined as the keystone between this cognitive structure of the word and the modal genesis of utterances it enables. This approach leads to a distinction between the morphogenic operations carried out by the enunciator and the semantic processes he tries to induce the hearer to perform
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Brul, Willem van den. "Les verbes de modalité en néerlandais contemporain." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040168.

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Abstract:
Après une brève description du système verbal néerlandais, avec ses valeurs temporelles, aspectuelles et modales, définition des opérations invariantes qui se trouvent à la base de toute utilisation des verbes de modalité : zullen, moeten, kunnen, mogen, willen, dans l'expression de la nécessite, de la possibilité, de la volonté ainsi que du futur
After a summary of the verbal system in Dutch, with its temporal, aspectual and modal values, there follows a description of the invariant operations that form the bases of all modal verb usage (zullen, moeten, kunnen, mogen, willen) when expressing necessity, possibility and will, as well as the future with zullen
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Novakova, Iva. "Temporalité, modalité et aspectualité au futur : l'exemple du français et du bulgare." Grenoble 3, 1998. http://www.theses.fr/1998GRE39015.

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Abstract:
Ce travail étudie l'idée d'avenir en tant que catégorie semantico-cognitive universelle à travers ses différentes manifestations et moyens d'expression en français et en bulgare. Les emplois des + temps ; futurs sont analyses à travers les trois grandes catégories énonciatives: la temporalité, la modalité et l'aspectualité. La dimension textuelle des tiroirs futurs vient compléter le tableau assez riche du fonctionnement des futurs, car les valeurs sémantiques des occurrences changent en fonction du registre énonciatif ou elles apparaissent. La formation tardive des tiroirs futurs est une tendance généralisée dans les langues. La mise en perspective historique des futurs permet de mieux appréhender leur fonctionnement à l'étape actuelle de la langue. Cette étude est basée sur un vaste corpus d'exemples tant bien littéraires qu'appartenant à l'usage quotidien des deux langues étudiées. Le classement des énoncés recueillis et leurs traductions a permis de dégager la structure du travail. Celui-ci fait largement appel aux outils et aux concepts de la théorie de l'énonciation, de la linguistique contrastive, de la sémantique cognitive, de la pragmatique et de la linguistique textuelle. L'approche méthodologique choisie se veut transcatégorielle; elle insiste sur l'impossibilité de séparer les dimensions temporelle, modale et aspectuelle dans l'analyse des futurs, car celles-ci s'influencent mutuellement. Elle prouve que le découpage traditionnel du futur en emplois + temporels ; et + modaux ; est réducteur et ne correspond pas aux réalités de la langue. Les process au futur sont ultérieurs au moment de l'énonciation (paramètre temporel). Le fait qu'ils échappent aux critères de vérité explique leur nature modale. Le troisième paramètre énonciatif, à savoir l'aspect ou le regard que porte l'énonciateur sur le déroulement du process (global, inaccompli, accompli, prospectif) occupe une place importante dans la présente étude. Le travail met également en relief l'importance de la personne énonciative qui véhicule différentes nuances de sens. Si, pour les process, référant au passé, elle peut se tenir + en retrait, au futur elle devient incontournable
The present work analyses the idea of futurity as a universal semantic and cognitive category through its different ways of expression in French and Bulgarian. The uses of the future tenses are analysed through three basic utterer-centered categories: temporality, modality and aspectuality. The textual dimension of futures contributes to the vast panorama of way the future tenses function, because the semantic values of the occurrences change according to the register in which they appear. The late formation of the future tenses is a general tendency in languages. The historical perspective of the futures enables one to better understand of their meanings at the present stage of the language. The study is based on a large corpus of literary and everyday use examples in the two analysed languages. The classification of the collected utterances and their translations made it possible to determine the structure of the work. It widely resorts to the instruments and the concepts of the utterer-centered linguistic theory, contrastive linguistics, cognitive semantics, pragmatics and textual linguistics. The methodological approach chosen in this study insists on the impossibility to separate the temporal, modal and aspectual dimensions in the analyses of the futures because they influence each other. This approach proves that the traditional classification of the futures into "temporal" and "modal" uses does not correspond to the realities of the language. The future processes are ulterior to the speaker's present (temporal parameter). The fact that they escape the truth criteria explains that the future is inherently a modalized tense. The third parameter, namely aspect or the speaker's view point on the process (global, accomplished, non-accomplished, prospective) is widely analysed in the present study. The work also shows the importance of the subject's person, which conveys various shades of meaning. If, for processes referring to the past, it may remain discreet, in the future, it becomes unavoidable
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Mettouchi, Amina. "Aspect et négation : recherche d'invariants et étude énonciative de l'incidence de la modalité négative sur l'aspect en berbère (kabyle)." Paris 3, 1995. http://www.theses.fr/1995PA030069.

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Cotte, Pierre. "Le système des auxiliaires modaux dans le système verbal de l'anglais contemporain." Grenoble 3, 1989. http://www.theses.fr/1989GRE39001.

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Abstract:
Cette etude a trois objets : l'analyse des proprietes morphosyntaxiques des auxiliaires modaux de l'anglais, la definition semantique generale de la classe qu'ils constituent et la caracterisation de chaque auxiliaire modal particulier. Il y est montre que la classe des auxiliaires modaux est caracterisee par une abstraction et une virtualisation semantiques qui se percoivent lorsqu'on en compare les elements a la masse des autres verbes de l'anglais ainsi qu'a leurs periphrases en to. Ce sont ces proprietes semantiques qui expliquent que les auxiliaires modaux ne demandent pas a etre suivis de to et ne se combinent pas avec la marque specifique du present de l'indicatif. L'analyse precise aussi comment la constitution des modaux en un paradigme dont to est le modele, les conduit a delaisser le mode quasi nominal et a etre toujours conjugues. Elle s'interesse aussi a la relation entre ce paradigme et do et explique que les modaux et ce verbe ne se combinent pas. La these montre ainsi que chaque propriete formelle est motivee par le sens general de la classe, mais elle etudie aussi systematiquement le potentiel semantique de chaque modal particulier, et elle s'interesse aux relations entre les modaux et les autres auxiliaires, en particulier a l'ordre des operateurs dans le syntagme verbal anglais
The subject of this study is threefold; it is an analysis of the morphosyntactic properties of the modal auxiliaries of english and it aims at giving a general semantic definition of their class as well as of each individual modal auxiliary. It is shown that the class of modal auxiliaries is characterized by abstraction and virtualisation - semantic properties that are revealed by a comparison with the mass of the other verbs of english and to-periphrases. These properties explain why the modals do not require to after them and lack the specific marker of the present tense of the indicative mood. The analysis also shows how the modals became orga- nized into a paradigm whose model is to and were thus led to abandon the quasi nominal mood to be used only finitely. It is also concerned with the relation between this paradigm and do and is able to account for the fact that they do not combine. The thesis thus shows that each formal property is motivated by the general meaning of the class but it is also a systematic exploration of the semantic potential of each particular modal and is concerned with the relations between modal and other auxiliaries, in particular the order of operators in the verb phrase of english
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Boneva-Borissevitch, Krassimira. "Le rôle des modalités épistémiques dans l'élaboration d'une semiosis." Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100029.

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Abstract:
La détermination du rôle des modalités épistémiques dans l'élaboration d'une sémiosis est présentée grâce aux méthodes d'analyse de l'appareil théorique mis en place par la sémiotique greimassienne. Les modalités prennent forme au sein des structures ab quo du parcours génératif pour modeler un sujet contribuant à la stabilité du sens recherché, adéquat aux visions modalisantes de l'énonciateur. Les modalités ne peuvent être la fonction d'une sémiosis que faisant partie de la compétence et de la performance du sujet. Tout au long des programmes narratifs, les structures modales peuvent entrer en relation de contrariété et de contradiction qui, projetées sur le carré sémiotique en tant que schémas, engendrent la sémiosis. La modalité du vouloir est à la base de l'instauration du sujet, elle affirme sa puissance d'exister. Le devoir pose le sujet dans une position de dépendance du Destinateur au coeur de la relation ternaire Sujet-Destinateur-Objet. Le pouvoir est l'instance actualisante de la modalisation. Pourvu de cette modalité seulement, le Sujet ne peut assumer pleinement son identité. Le texte de l'Exode 28 de l'Ancien Testament choisi en vue d'une analyse sémiotique, n'impose pas un impératif direct de croire. Le sujet édifie son croire en construisant un objet qui conditionne son existence modale. L'objet à construire (les vêtements sacerdotaux) contribue à la constitution du croire du sujet, tout en provoquant une esthésis où sont perçues les premières valences de l'objet de valeur qui assurent sa pré-croyance. L'esthésis garantit la confiance énonciative. Le contrat épistémique représente un acte de foi réciproque où le faire interprétatif de l'énonciataire correspond au faire persuasif de l' énonciateur. Le croire a le statut d'une modalité d'assomption qui couronne tout l'ensemble modal et permet au sujet de l'assumer. Les modalités épistémiques de savoir et de croire contribuent ainsi à l'élaboration d'une sémiosis infinie où le sujet peut sans cesse enrichir son croire et où, de sujet "potentialisé", il peut devenir sujet réalisé, selon la science d'une sémiotique subjectale
The role of epistemic modalities in building up the semiosis is possible to establish, with reference to French semiotics, only through Greimas's semiotic theory and l'Ecole de Paris. The occurrence of the semiosis is in close connection with the structure which can be defined as a network of relations which precedes their manifestation on the surface structure. The constitutive model is graphically presented by means of a semiotic square where the two schemas defined through the relations of contradiction stand in relation of contrariety and produce the semiosis. The occurrence of the semiosis is theoretically traced by means of generative trajectory structures. Modalities are considered to be necessary conditions for building up the subject's competence (being, wanting, having to do or to be) and his getting to performance (doing, being able to do or to be). Epistemic modalities expressed through the categories of knowing and believing are based on the subject's identity that has already been established. His believing makes it possible for him to assume his own modal completion and the credibility of enunciator's universe. The believing lays the foundation of a new modality - the asumption modality, which, together with the enunciator's persuasive doing, is a premise for the building up of semiosis combining the sender's immanent nature and the receiver's interpretative doing. In the analysed text (Exodus 28 of the Old Testament) the believing is not a fully completed category yet. This category contributes to building up the Subject's epistemic judgement through the making of an Object (sacerdotal vestments). In the process of making the Object, the Subject experiences the esthesis of the Object thus forming his believing which is unlimited in time. In such a way the assumption modality contributes to the creation of an unlimited semiosis in which the subject - the conscious bearer of the whole modality complex - can under go an endless evolution
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Nguyen, Thi Thanh Hoa. "Contribution à l'étude de la prosodie du Vietnamien : Variations de l'intonation dans les modalités - assertive, interrogative et impérative -." Paris 7, 2004. http://www.theses.fr/2004PA070018.

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Abstract:
Cette étude vise principalement les 2 aspects de la prosodie du vietnamien : 1. Les variations prosodiques de l'intonation dans les 3 types de phrase : assertion, interrogation et injonction. 2. L'influence de l'intonation sur les tons en position finale de la phrase. C'est une étude expérimentale qui relève à la fois du discours lu (analyse acoustique, test de perception et resynthèse) et du discours spontané (analyse acoustique et étude comparative). Les résultats montrent que chaque type de phrase possède une intonation spécifique déterminée le plus souvent par la hauteur globale de Fo, la durée et l'intensité de la phrase. Le contour de Fo général est cependant un indice peu plausible pour la caractérisation des modalités en raison des variations tonales au niveau des syllabes. Par contre, le comportement du ton que porte la syllabe finale peut être considéré comme élément prépondérant quand on parle de la mélodie d'une phrase. Sur ce point, on peut dire que les différences entre les variantes tonales générées, par l'intonation sont plus significatives quand il s'agit de la hauteur de Fo, de la forme et de l'amplitude du contour tonal que de la durée et de l'intensité de la syllabe en question
This study aims mainly the 2 aspects of the prosody of Vietnamese: 1. The prosodic variations of the intonation in the 3 types of sentence: assertion, interrogation and injunction. 2. The influence of the intonation on the tone in final position of the sentence. It is an experimental study which concerns at the same time the read speech (acoustic analysis, test of perception and re-synthesis) and the spontaneous speech (acoustic analysis and comparative study). The results show that each type of sentence bas a specific intonation generally given by the overall height of Fo, the duration and the intensity of the sentence. However, the general contour of Fo is not a very plausible index for the characterisation of the modalities because of the tonal variations on the level of syllables. On the other hand, the behaviour of the tone that carries the final syllable can be regarded as a preponderant element when one speaks about the melody of a sentence. On this point, one can say that the differences between the tonal variants generated by the intonation are more significant when one concerns about the height (Fo), the form and the amplitude of tonal contour than the duration and the intensity of the syllable in question
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Book chapters on the topic "Balante (langue) – Modalité (linguistique)"

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GAVRIS, Daniele. "Inclusion et intégration des élèves allophones dans un contexte multilingue." In Formation linguistique des apprenants allophones et pédagogies innovantes, 173–84. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.4173.

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Abstract:
La recherche que nous présentons a comme finalité d’étudier les procédures et les techniques mises en place par un lycée professionnel d’Italie, pour intégrer et scolariser les élèves allophones qu’ils accueillent. L’objectif de cette étude est d’analyser les étapes fondamentales de prise en charge de ces élèves et les procédures mises en œuvre pour les intégrer dans la salle de classe, pour permettre d’abord une socialisation et une inclusion avec d’autres élèves et, par la suite, dans la société italienne. En particulier, notre but est d’analyser les points suivants : la modalité d’intégration des élèves allophones dans les classes, la place de la langue maternelle des élèves allophones en milieu interculturel, l’enseignement de l’italien, langue de scolarisation pour la transmission des connaissances, l’enseignement des autres langues étrangères, en l’occurrence du français et de l’anglais et l’évaluation des élèves allophones, les critères et les démarches adoptés.
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