Academic literature on the topic 'Banque centrale des États de l'Afrique de l'ouest'

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Journal articles on the topic "Banque centrale des États de l'Afrique de l'ouest"

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Guillaumont Jeanneney, Sylviane. "L'indépendance de la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest : une réforme souhaitable ?" Revue d'économie du développement 14, no. 1 (2006): 45. http://dx.doi.org/10.3917/edd.201.77.

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Massoud, Mahamat. "Quelles perspectives pour la gouvernance de la banque des États de l'Afrique centrale - BEAC ?" Marché et organisations 20, no. 1 (2014): 53. http://dx.doi.org/10.3917/maorg.020.0053.

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Dissertations / Theses on the topic "Banque centrale des États de l'Afrique de l'ouest"

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Ilboudo, Elisabeth. "L'indépendance de la banque centrale." Paris 9, 1989. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=1989PA090025.

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Abstract:
La présente étude s'interroge sur le statut de la banque centrale dans les principaux pays développés afin d'en apprécier l'opportunité pour certains pays africains. L'institution relativement récente de la BC s'est imposée face à l'anarchie monétaire. L'intérêt pour son indépendance s'est très vite amplifié, afin de mettre une certaine distance entre son pouvoir et les autorités politiques. Cette indépendance, tantôt dogmatique, tantôt relative à l'adaptation de la BC à quelque pression conjoncturelle, est restée d'actualité du fait tant des débats passionnés sur la question que des paradoxes de la BC. Depuis 1983, la modernisation des systèmes monétaires et financiers dans les PD s'est accélérée, réduisant quelque peu le pouvoir de la banque sur son objet. L'incertitude touchant l’évolution de certains de ses domaines propres augmente celle relative à son évolution dans les pays africains, ou l'instabilité économique est aggravée par le poids de l'endettement. C'est le cas du Nigeria où cependant, l'autonomie de la BC semble se renforcer. Dans le cas de la Côte d'Ivoire ou du Burkina, l'avantage d'une BC commune apparait plus évident en période de crise. La situation critique de l'économie de la plupart de ces pays a suscité des interventions fréquentes d'institutions internationales comme le FMI ou la Banque Mondiale, qui deviennent, avec la forme de BC y évoluant, des acteurs essentiels du redressement de l'économie concernée. Compte tenu d'une part de leur présence dans les PED et, d'autre part de la dynamique actuelle des marchés financiers dans les PD, comment pourraient évoluer les rapports entre ces différents acteurs, l'Etat et la BC ?
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Alpha, Barry Mamadou. "Demande de monnaie et optimalité de la politique monétaire de la banque centrale des États d'Afrique de l'Ouest (1960-1990)." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010019.

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Abstract:
L'objet de cette thèse est d'étudier la stabilité de la demande de monnaie dans les 7 pays membres de la BCEAO et l'impact des politiques monétaires sur les variables macro-économiques (revenu, prix, avoirs extérieurs nets) pour tenter de déterminer l'optimalité de la politique monétaire de la BCEAO. La méthode utilisée est celle du traitement économétrique des principales séries statistiques pour la période 1960-1990. L'ensemble est construit autour de deux parties : analyse théorique et analyse empirique de la demande de monnaie et de la politique monétaire. Les résultats empiriques conduisent à des résultats significatifs pour l'ensemble des pays de la BCEAO et pour chacun d'entre eux : la théorie quantitative est validée (sauf pour la Côte-d’Ivoire et le Bénin). Par contre le taux de change n'est pas significatif. Le taux d'intérêt ne joue que pour la Côte d'Ivoire et le Burkina. L'équation de demande de la monnaie est stable pour le Bénin, le Mali, le Niger ; instable pour le Sénégal et, les résultats sont mixtes pour le Burkina, la Côte-d'Ivoire et le Togo. L'inflation a un effet négatif sur la croissance économique et, l'augmentation des crédits de la BCEAO, a un effet négatif sur les avoirs extérieurs nets, bien qu'ils dépendent principalement des cours mondiaux des matières premières
The objective of this Ph. D. Dissertation is to determine, wether there exists a stable money demand function and, the impact of monetary policies of the central bank "bceao" on macroeconomic variables, namely, economic activity, price level, nets foreign assets, in order to define an optimal monetary policy of the central bank. To achieve this objective, an econometric investigation is made, using economic datas for the period 1960-1990. The dissertation is organised in two sections: section 1 reviews the theories of money demand and monetary policy and, section 2 is the empirical evidence of testing for equilibrium relationship between monetary aggregates and economic aggregates. The empirical results indicate : the validity of the quantity theory of money except for the ivory-coast and the benin, the non significance of the exchange rate. The interest rate plays a role, only, for Burkina Faso and the Ivory Coast. The money demand is stable for Benin, Mali, Niger; instable for Senegal and, the results are mixte for Burkina, Ivory Coast and Togo. The inflation has a negative impact on economic growth and, finally, the domestic credits have an negative effect on nets foreign assets which are more correlated to the external shocks (i. E. The price level of commodities)
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Noupoyo, Gabriel. "Les banques centrales africaines et la conduite de la politique budgétaire nationale : les exemples de la B.C.E.A.O. et de la B.E.A.C. : aspects juridiques et financiers." Bordeaux 4, 2004. http://www.theses.fr/2004BOR40013.

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Abstract:
L'encadrement du financement monétaire des trésors nationaux, pourtant initié à la base comme un instrument de rigueur financière a été paradoxalement vidé de sa substance et utilisé comme un outil d'accompagnement et de correction d'une gestion budgétaire laxiste. Les tentatives de rétablissement de la situation financière des Etats africains de la zone franc, amorcé dès le début des années 90 avec la contribution des institutions financières internationales, exigeait non seulement la mise à contribution des banques centrales dans le processus de redressement financier, mais aussi une modification de la parité du franc CFA suivie d'un renforcement de l'intégration régionale. Les nouvelles structures communautaires découlant de la constitution de la C. E. M. A. C. (Communauté économique et monétaire d'Afrique Centrale) et de l'U. E. M. O. A. (Union économique et monétaire ouest africaine) sont désormais chargées d'assurer la surveillance multilatérale des finances publiques traduites à travers la mise en oeuvre des critères de convergence et la communautarisation des règles et procédures budgétaires. . .
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Sarr, Fodé Sira. "Les effets asymétriques d'une politique monétaire unique : cas de l'Union économique et monétaire Ouest africaine (U.E.M.O.A)." Rennes 1, 2010. http://www.theses.fr/2010REN1G026.

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Abstract:
Les études des effets asymétriques de la politique monétaire unique des pays membres de l'UEMOA conduite par la Banque centrale des états de l'Afrique de l'Ouest montre tout d'abord une asymétrie au niveau global, une certaine persistance au niveau des fonctions de réponses dans leur retour à l'équilibre, et une asymétrie au niveau sectoriel. L'analyse de ces effets par la méthode de Cover (1979) montre que les chocs monétaires non anticipés comme ceux anticipés ne sont pas neutres au sein des pays membres. La composante monétaire anticipée est non neutre dans tous les pays sauf au Togo alors que les chocs monétaires non anticipés affectent la production industrielle du Bénin, de la Côte d'Ivoire et du Sénégal. La politique monétaire anticipée et non anticipée a donc des effets réels sur l'activité des pays. Comme il n'existe pas une homogéneité au niveau des réactions des économies de l'UEMOA, la politique monétaire commune conduite par la BCEAO est source de divergences. Ces différences au niveau de la transmission de la politique monétaire font que les taux d'intérêt se trouvent à des niveaux très élevés dans la zone UEMOA. Il se pose alors la question de la coordination des politiques économiques au sein de la zone. Elle apparait plus que nécessaire puisqu'une hausse des déficits stimule l'activité mais entraine une hausse des taux d'intérêt. Contrairement aux enseignements de la théorie budgétaire du niveau général des prix, la hausse des déficits n'entraîne pas une hausse de l'inflation dans la zone car la masse monétaire n'a pas augmenté à cause de la surcompensation des crédits à l'état. L'appartenance de ces pays à cette zone monétaire a permis quand même d'obtenir des taux d'inflation bas comparativement aux autres pays de l'Afrique subsaharienne non membres de la zone franc. Elle a permis, également, magré la non optimalité de la zone monétaire d'avoir une politique monétaire crédible conduite par une banque centrale qui prend de plus en plus d'indépendance par rapport à la France depuis la dévaluation du Fcfa de janvier 1994.
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N'Guessan, Tchétché. "Une application de la théorie économique de la bureaucratie, à l'analyse de la politique monétaire de la BCEAO." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010028.

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Abstract:
Les théories monétaires traditionnelles considèrent que les banques centrales conduisent leurs politi que monétaires en vue uniquement de réaliser l'intérêt général. Nous soutenons à partir de la théorie de la bureaucratie, que tout en ayant pour objectif de réaliser l'intérêt général, les dirigeants des banques centrales et ici ceux de la BCEAO recherchent aussi leurs propres intérêts. On montre ainsi grâce à la lecture des faits et différents modèles que les objectifs personnels des dirigeants de la BCEAO influencent aussi la politique monétaire de la banque. Pour lutter contre cette influence nous proposons un nouveau système de contrôle de la politique monétaire de BCEAO; avec ce système les désirs bureaucratiques des dirigeants de la banque ne sont satisfaites que s'ils mènent une politique monétaire performante
Traditional monetary theories consider that the central banks set their monetary policy with the sole objective of ach ievement public interest by relying upon the theory of the bureaucracy; we sustains that the authorities of central banks but more specifically those of BCEAO are al also searching for their personal interest. It is thus shown with some models that the search for personal interest by it's authorities has an influence on the monetary policy of BCEAO ; to eliminate this influence we recommands a new monetary policy control system. With this system the bureau cratic wishies of the authorities are achieved only when they conduct a performing monetary policy
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Aguessy, Amédée. "Contrôle de l'émission monétaire et union monétaire ouest africaine." Paris 10, 1986. http://www.theses.fr/1986PA100177.

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Abstract:
Au lendemain des indépendances, les états africains de la zone franc se sont constitués en unions monétaires. L'une d'elles, l'union monétaire ouest africaine (umoa) regroupe sept pays essentiellement agricoles et à faible revenu. Son fonctionnement repose sur les clauses conventionnelles: 1) entre les états membres: une monnaie commune, le franc de la communauté financière africaine (FCFA), un institut d'émission commun, la banque centrale des états de l’Afrique de l'ouest (bceao), la mise en commun des avoirs extérieurs entre l'ensemble de ces états et la France, grâce au fonctionnement d'un "compte d’opérations" ouvert au trésor français. Alors que les mécanismes de fonctionnement dudit compte en faveur des pays africains sont très complexes à mettre en application, les clauses conventionnelles permettent à la France d'avoir d'énormes privilèges. Notamment elles lui permettent de participer au choix des instruments de politique monétaire, de siéger au conseil d'administration de la banque centrale et d'y avoir le droit de veto. La bceao est sous le contrôle du trésor français et l'umoa, n'est qu'une "chasse gardée" pour la France. Les instruments de contrôle de l'émission monétaire, trop calques sur le modèle français sont quasiment les mêmes dans tous les états membres. Ils ne tiennent toujours pas compte des spécificités africaines, de la diversité des situations économiques et des réseaux bancaires domines par les banques étrangères enfin, la crise et l'instabilité des marches financiers internationaux, la création et le flottement généralisé des principales devises de transactions, notamment le dollar, perturbent énormément la gestion monétaire de l'umoa. L'inflation importée, la dette extérieure et les mesures systématiques du FMI contre lesquelles chacun de ces pays ne peut rien, constituent un frein au développement et une cause majeure de la misère. Face à cette structure d'ensemble très défavorable, nous proposons une autre union monétaire sans la France. Une union dans laquelle chaque état membre aura sa monnaie nationale et son institut d'émission, le tout sera sous le contrôle d'une banque centrale supranationale
At their early independency, the African nations from the "zone franc" assembled themselves into monetary unions. One of them, the West African monetary union (umoa) concerns seven countries essentially agricultural with low income its achievement is based upon conventional clauses between: the African nations of umoa (a common currency and thosuing institute, all those states and France due to the existence of an "operating account" in the French treasury. Even though the mechanisms of the "operating account" in favor the African countries are very complex to apply; the conventional clauses allow France to have enormous privileges. Particularly, the permit France to participate in the choice of the monetary policy instruments, to be member of the administration bureau of bceao and he have the right of veto. Bceao is under the control of French treasury and umoa is no more than a "hunting zone". The instruments of the monetary control copied on the French model are quite the same in all the member states. They don't always take into account the African specifies; the diversities of economic situations, the diversities banking institutions predominated by the foreign banks. Finally, the crisis and instability of the international financial markets the excessive creation and the generalizing fluctuation of the main currencies of transaction precisely us dollar, perturbed seriously the monetary management of the African countries. The imported inflation, the external debt and the systematical imf'measures-gainst which those countries have no solution, constitute a brake for their development and a major cause of poverty. In front of such defavorizing structure it would be better to have a new monetary union without France. A union where each member state will have its national currency and issuing institute. The whole being under the control of a supranational bank issuing a common currency for all the member states. He will represented the union in front of the foreign countries an IMF
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Kabore, Pagoundé. "Monnaie unique et souveraineté étatique : l'exemple du franc de la communauté financière africaine." Paris 10, 1996. http://www.theses.fr/1996PA100192.

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Abstract:
Certains auteurs ont soutenu que la souveraineté des états ouest-africains est atteinte du fait de la circulation d’une monnaie unique sur leurs territoires. Ce point de vue est erronée. En effet, il semble que les états ci-dessus mentionnés n’ont fait qu’exercer leur souveraineté en créant le franc CFA et en confiant sa gestion à l’UEMOA et à la BCEAO
Some authors have asserted that the sovereignty the West-African states is impaired by the circulation of a common currency on their territories. This theory is mistaken : it seems that the above-mentioned states have exercised their sovereignty by creating the CFA franc and by confiding its administration to the UEMOA (West-African Monetary and Economic Community) and the BCEAO (Central Bank of the West-African States)
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Egounlety, Epiphane. "L'endettement public dans les pays de la B. C. E. A. O. : endettement interne et externe : remise en cause des schémas théoriques existants." Paris 10, 1986. http://www.theses.fr/1986PA100065.

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Djelhi-Yahot, Adamoh. "La crise de liquidité dans l'économie ivoirienne des années 1980-1990." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2001. http://www.theses.fr/2000VERS007S.

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Abstract:
Cette thèse démontre les effets néfastes de la crise de liquidité sur l'économie ivoirienne des années 1980-1990 et propose, comme instrument de politique économique, la règle de Taylor. Divisée en deux parties, elle aborde successivement le phénomène de crise de liquidité, ses causes et conséquences négatives et l'impact de la répression monétaire sur la croissance économique pour recommander la règle de Taylor comme instrument de politique économique dans le cas de l'économie ivoirienne. La première partie détermine, à partir de la théorie quantitative de la monnaie, le concept de taux de liquidité dont l'hétérogénéité des composantes amènera à introduire une nouvelle formulation de ce concept ; l'analyse de la nouvelle formule aboutit à une crise de liquidité dont les causes et les conséquences sur l'économie ivoirienne seront examinées par la suite. La seconde partie, à la suite d'une revue des différentes théories économiques taitant de la relation entre la répression financière et la croissance économique, depuis Keynes jusqu'au modèle McKinon-Shaw et ses théoriciens, démontre l'impact négatif de la répression monétaire ur l'éconmie ivoirienne sur la période considérée (1987-1993) à travers la pratique d'un taux d'intérêt débiteur prohibitif ; par la suite, il relève les faiblesses des politiques monétaires discrétionnaire et automatique, celles de l'approche monétariste de la balance des paiements et de la théorie de la gouvernance et propose la règle de Taylor comme instrument de politique économique
This thesis demonstrates the harmful effect of the liquidity crisis on the ivorian economy in the years 1980-1990 and proposes, as an instrument of economic policy, Taylor's rule. Divided into two parts, it deals in turn with the liquidity crisis as a phenomenon, its causes and negative consequences and the impact of monetary repression on economic growth, and finally recommends Taylor's rule as an instrument of economic policy in the case of the ivorian economy. The first part, using the quantity theory of money, defines the concept of rate of liquidity ; the heterogeneity of its components will lead to the introduction of a new formulation of this concept. The analysis of the new formula ends up in a liquidity crisis ; then its causes and its consequences on the ivorian economy will be examined. The second part, following a review of the different economic theories dealing with the relationship between financial repression and economic growth, from Keynes to the McKinnon-Shaw model and its theoreticians, demonstrates the negative impact of monetary repression on the ivorian economy over the period under consideration (1987-1993), through the application of a prohibitive interest rate on loans, undermines the weaknesses of the discretionary and automatic policies and that of the theories of the monetary approach of the balance of payments and governance, and then proposes Taylor's rule as an instrument of economic policy
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Ndiaye, Cheikh Tidiane. "Chocs extérieurs et politiques monétaire et budgétaire : le cas du Sénégal." Electronic Thesis or Diss., Orléans, 2011. http://www.theses.fr/2011ORLE0503.

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Abstract:
Il est temps, après 50 ans d’indépendance, de faire la lumière sur les performances économiques du Sénégal en mettant l’accent sur le chemin de la croissance du PIB et le rôle des politiques de stabilisation. En effet, les structures économiques du Sénégal sont tributaires des aléas du contexte international. Ceux-ci sont difficilement contrôlables par les autorités monétaires et budgétaires. Cette présente thèse propose de faire une caractérisation cyclique de la croissance et une analyse des catégories de chocs qui affectent l’économie sénégalaise. Elle a permis de distinguer les chocs extérieurs des fluctuations induites par le fonctionnement de l’économie et de juger de la capacité des instruments monétaires et budgétaires à y faire face. Ainsi, il a été question d’entrevoir l’usage et la nature des politiques monétaire et budgétaire mises en œuvre selon les types de chocs qui touchent l’économie sénégalaise.Les résultats suggèrent la présence d'une volatilité accentuée de la composante cyclique et une forte fréquence de ruptures de tendance. Le Sénégal est fortement affecté par les chocs qui sont principalement externes avec une certaine persistance significative. Quoi que la persistance du PIB ait diminué en particulier depuis la dévaluation de 1994,certaines réformes structurelles s'avèrent nécessaires afin de renforcer la résilience aux chocs et la stabilisation macroéconomique. Ces réformes consistent principalement à atténuer les déficiences dans les secteurs productifs et financiers. De même, la politique monétaire de la BCEAO ne stabilise pas suffisamment les chocs spécifiques du Sénégal tandis que la politique budgétaire nationale s’ajuste aux chocs extérieurs avec une marge de manœuvre très limitée. L’intensité de ces chocs demeure tributaire de la structure de l'économie
Il is time, after 50 years of independence, to shed light on Senegalese economic performance by focusing on the GDPgrowth path and the role of stabilization policies. Indeed, the behaviors of the Senegalese economic structures are dependent on the vagaries of the international context. These are hardly controllable by the monetary and budgetary authorities. This thesis has proposed to characterize the cyclical growth and analysis of categories of shocks affecting the economy of Senegal. It has distinguished external shocks from fluctuations induced by the functioning of the economy and assessed the ability of monetary and budgetary instruments to deal with them. Thus, there has been discussion of a glimpse of the use and nature of monetary and budgetary policies implemented according to the types of shocks affecting the economy of Senegal.The results suggest the presence of heightened volatility of the cyclical component and a high frequency of breaks intrend. Senegal is highly affected by shocks that are mainly external with some significant persistence. Even though the GDP persistence has decreased particularly since the devaluation of 1994, some structural reforms are needed in order to reinforce the resilience to shocks and the macroeconomic stabilization. These reforms consist in mitigating deficiencies mainly in the productive sector and in the financial. Similarly, the BCEAO’s monetary policy does not sufficiently stabilize the specific shocks of Senegal while national budgetary policy adjusts to external shocks within avery limited scope. The intensity of these shocks is dependent upon the structure of the economy
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Books on the topic "Banque centrale des États de l'Afrique de l'ouest"

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africaine, Union monétaire ouest, ed. La Nouvelle politique de la monnaie et du crédit de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest. [Dakar, Senegal]: UMOA, 1989.

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Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest. Documents de référence mis à jour suite aux séminaires nationaux (quatrième série) sur les états financiers harmonisés et les données à produire dans le cadre de la réglementation. Dakar: Banque centrale des états de l'Afrique de l'ouest, 1995.

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Niamien, M. N'Goran. L' Union monétaire Ouest africaine et la B.C.E.A.O. [Paris?: Banque centrale des états de l'Afrique de l'ouest, 1987.

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Banque des états de l'Afrique centrale., ed. Banque des états de l'Afrique centrale: XXe anniversaire, 1972-1992. [Yaoundé?]: BEAC, 1992.

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Massoud, Mahamat. La banque des Etats de l'Afrique Centrale: Une dérive prévisible. Paris: Harmattan, 2010.

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6

Centre international de formation de la profession bancaire. Le système bancaire et la politique monetaire et de crédit. Paris: CIFPB, 1990.

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7

Union économique et monétaire ouest africaine. Le programme economique régional de l'UEOMA (2006-2010): Fair de l'UEMOA un espace unifé et ouvert au profit d'une population solidaire. Ouagadougou: Commission de l'UEMOA, 2010.

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8

Makadjoka, Chislain Moupebele. Le Gabon, la France et la banque des états de l'Afrique centrale (1959-1992): De la décolonisation à l'internationalisation des relations monétaires et financières. Paris: L'Harmattan, 2021.

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Mazido, Abel. Le régime monétaire du compte d'opérations et le degré de liberté économique des États de la B.E.A.C. (Banque des États de l'Afrique Centrale). Grenoble: A.N.R.T. Université Pierre Mendès France Grenoble 2, 1987.

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10

Barry-Kebaly, Mamadou Alpha. Demande de monnaie et optimalité de la politique monétaire de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (1960-1990). Grenoble: A.N.R.T, Université Pierre Mendes France (Grenoble II), 1995.

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