To see the other types of publications on this topic, follow the link: Banque des états de l'Afrique centrale.

Journal articles on the topic 'Banque des états de l'Afrique centrale'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 18 journal articles for your research on the topic 'Banque des états de l'Afrique centrale.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Guillaumont Jeanneney, Sylviane. "L'indépendance de la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest : une réforme souhaitable ?" Revue d'économie du développement 14, no. 1 (2006): 45. http://dx.doi.org/10.3917/edd.201.77.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Massoud, Mahamat. "Quelles perspectives pour la gouvernance de la banque des États de l'Afrique centrale - BEAC ?" Marché et organisations 20, no. 1 (2014): 53. http://dx.doi.org/10.3917/maorg.020.0053.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Crettez, Bertrand. "Le système d'informations économiques d'une Banque centrale européenne et le principe de subsidiarité." Revue économique 49, no. 4 (July 1, 1998): 989–1003. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1998.49n4.0989.

Full text
Abstract:
Résumé La question analysée dans cet article est : une Banque centrale européenne doit-elle disposer de son propre système de collecte et de traitement de l'information économique ou bien peut-elle se reposer sur les États membres de l'Union économique et monétaire ? Autrement dit, le principe de subsidiarité doit-il s'appliquer à la collecte des informations économiques ? Le principal inconvénient d'un système décentralisé est que les États membres ont la possibilité de manipuler les informations qu'ils transmettent à la banque en vue de modifier son comportement. Nous modélisons les relations entre la Banque centrale européenne et les États membres par un jeu en informations incomplètes. Nous montrons que si les objectifs de la Banque et des États ne diffèrent pas trop les informations transmises à l'équilibre du jeu sont exactes. Dans ce cas, le principe de subsidiarité s'applique avec efficacité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Allard, Patrick. "Les monnaies numériques dans tous leurs États." Questions internationales 113-114, no. 3 (July 12, 2022): 146–52. http://dx.doi.org/10.3917/quin.113.0146.

Full text
Abstract:
Avec une ironie dont l’histoire n’est pas avare, l’apparition et l’essor des cryptomonnaies, nées d’une idéologie techno-libertarienne 2 , ont suscité l’intérêt des autorités monétaires dans un grand nombre de pays. Au début de l’année 2021, plus de cinquante des soixante banques centrales interrogées par la Banque des règlements internationaux (BRI) avaient lancé qui des études, qui des projets, qui des pilotes de monnaie numérique de banque centrale 3 . Toutefois, au-delà de cet intérêt commun, leurs approches et leurs intentions apparaissent encore fortement distinctes .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Barilari, André. "Le bras de fer entre le juge constitutionnel allemand et la banque centrale européenne." Gestion & Finances Publiques, no. 6 (November 2020): 98–103. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2020.6.014.

Full text
Abstract:
La Cour constitutionnelle allemande, dans son arrêt du 5 mai 2020, a contesté la régularité de la politique d’achats de titres de la BCE. Un compromis a été trouvé par le Gouvernement et le Parlement allemands. Dans un contexte de faible productivité et d’inflation très modérée, il serait dans l’intérêt de tous les États-membres, y compris l’Allemagne, que les taux bas entetenus par la BCE, permettent la poursuite des politiques budgétaires expansionnistes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Grangeray, Jonas. "6. Monétiser ou ne pas monétiser la dette publique… Est-ce vraiment la question ? Une perspective post-keynésienne néo‑chartaliste." Cahiers d'économie politique 84, no. 1 (May 3, 2024): 175–214. http://dx.doi.org/10.3917/cep1.084.0175.

Full text
Abstract:
Qu’est-ce que la Modern Monetary Theory (MMT) ? Juste une vulgaire et dangereuse économie de la « planche à billets » comme l’affirme nombre de ses critiques ? En l’articulant avec les théories post-keynésiennes circuitiste et horizontaliste, nous démontrons que la MMT n’est pas une économie de la « planche à billets » et que le développement d’une perspective néo-chartaliste, s’appuyant sur une description approfondie des opérations interbancaires et de leurs interactions avec les politiques monétaire et budgétaire, met en évidence la stabilisation du taux d’intérêt opérée par la banque centrale face aux émissions de titres du trésor. Aux États-Unis, cette stabilisation nécessite une coordination entre la Fed et le trésor.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Diaw, Adama, and Abdoul Khadry Sall. "Ciblage d’inflation : quelle règle pour la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) ?" Revue d'économie du développement 26, no. 2 (2018): 5. http://dx.doi.org/10.3917/edd.322.0005.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Jaillet, Pierre. "L’improbable policy mix de la zone euro." Revue française d'économie Vol. XXXVIII, no. 2 (October 31, 2023): 63–82. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.232.0063.

Full text
Abstract:
Le traité sur l’Union économique et monétaire définit un modèle original de policy mix où les politiques budgétaires restent sous l’autorité des États membres alors que la politique monétaire unique est déléguée à la Banque centrale européenne, institution fédérale au cœur de l’Eurosystème. Cet article analyse les limites de ce modèle à la lumière de l’expérience des deux premières décennies d’UEM. Il passe ensuite en revue les différentes phases du policy mix de la zone euro depuis 1999, marquées par des revirements parfois brutaux d’une dominance budgétaire à une dominance monétaire. La dernière partie examine les propositions visant à renforcer la gouvernance économique de la zone euro et à améliorer un modèle de policy mix intrinsèquement instable.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Asiedu-Akrofi, Derek. "Central Bank Immunity and the Inadequacy of the Restrictive Immunity Approach." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 28 (1991): 263–307. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800004136.

Full text
Abstract:
SommaireLes Banques Centrales sont engagées dans des activités multiples. Leur rôle actuel est le résultat de l'histoire, dans la mesure où chaque banque centrale est apparue à un certain stage de développement de son pays et a commencé à exercer son rôle en fonction des objectifs de développement du pays en question. En conséquence, les fonctions des Banques Centrales varient d'un endroit à un autre. Cependant, en dépit des circonstances différentes dans lesquelles elles opèrent, la plupart des Banques Centrales ont la tendance d'agir de manière identique, particulièrement eu égard aux principes et pratiques développés par la Banque d'Angleterre, lesquels ont fini par être acceptés comme le prototype des fonctions traditionnelles des Banques Centrales.Cette étude effectue une comparaison entre les fonctions traditionnelles des Banques Centrales et leurs rôles nouveaux et en expansion constante dans les pays en développement. L'axe central de l'analyse, c'est l'importante question des immunités des gouvernements. Agissant comme agents de leurs gouvernements, les Banques Centrales violent parfois leurs obligations et c'est ainsi que la question des immunités se pose. Dans la détermination de l'étendue des immunités des États étrangers, de leurs agents ou organismes affiliés, les cours et tribunaux qualifient les activités de ces personnes publiques d'actes de nature publique ou privée. Ce processus de qualification a été plutôt difficile en ce qui concerne son application aux Banques Centrales. Cela est dû au fait qu'il n'existe pas d'uniformité des fonctions des Banques Centrales. En conséquence, il est difficile de déterminer quand une Banque Centrale est en train d'exécuter une fonction que l'on peut qualifier de propre aux Banques Centrales.L'approche basée sur la théorie de l'immunité relative présuppose que les fonctions des Banques Centrales peuvent être facilement définies comme étant soit de nature commerciale soit d'une nature propre aux Banques Centrales. Notre approche est comparative en ce qu'elle se fonde sur une analyse des différents modèles d'évolution des Banques Centrales, ainsi que sur une étude de l'étendue de la protection dont elles bénéficient dans le droit actuel des immunités aux États-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne et dans d'autres conventions internationales.L'étude se termine par une évaluation de l'étendue des immunités accordées aux Banques Centrales ainsi que des problèmes liés au processus de qualification. Nous concluons enfin qu'en l'absence d'uniformité des fonctions des Banques Centrales et d'un accord sur l'étendue des sphères d'activité gouvernementale, la théorie de l'immunité relative apparaît inadéquate pour le règlement des problèmes liés aux immunités des Banques Centrales. En conséquence, un programme de signature de traités bilatéraux nous semble plus approprié comme alternative.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Violle, Alexandre. "Une stabilité financière pour quelle Europe ?" Politique européenne N° 79, no. 1 (October 6, 2023): 132–59. http://dx.doi.org/10.3917/poeu.079.0132.

Full text
Abstract:
Cet article étudie les mesures déployées par les acteurs de la Banque centrale européenne (BCE) au titre de leur fonction de supervision des banques de la zone euro dans le cadre de la mise en place de l’Union bancaire en 2014. Il s’intéresse à la façon dont la mise en œuvre juridique du concept de « stabilité financière », qui justifie les actions de la BCE pour préserver les finances publiques des États membres, est investi de significations différentes par les acteurs publics et privés de la régulation financière internationale (banquiers, économistes, responsables d’autorités nationales de supervision). Des études de controverses relatives à l’usage de différents instruments de supervision mobilisés par la BCE au sein d’arènes expertes, allant de débats académiques jusqu’au Comité de Bâle, permettent de saisir des problématisations concurrentes des moyens assurant la « stabilité financière », ainsi que la façon dont se négocient les compétences de la BCE à agir sur les banques de la zone euro.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Nono, Guy Marcel. "Regional integration and free movement in Central Africa Integración regional y libre circulación en África Central L'intégration régionale et la libre circulation en Afrique centrale." Regions and Cohesion 3, no. 3 (December 1, 2013): 123–40. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2013.030307.

Full text
Abstract:
A pillar of African emergence and an important issue of political debate that is central to regional integration, free movement is however not yet acquired in Central Africa. Yet a glance at the pre colonial history invites us to believe that Central Africa has been an area of free movement. The recognition of a right that cannot be realized only by an agreement leads to the Central African states pledging to work together in the context of regional integration by recognizing their citizens' right to full mobility. This contribution highlights the efforts, challenges and prospects of free movement in Central Africa by reference to the African Union framework, and asks if the legal and institutional framework of free movement in Central Africa has led to the emergence of a social policy supportive of free movement at the sub regional level. Spanish La libre circulación de personas es un pilar del África emergente, un tema importante en el debate político, un punto central de la integración regional, y sin embargo todavía intangible en África Central. No obstante, una mirada a la historia precolonial nos invita a pensar que África Central ha sido un espacio de libre circulación. El reconocimiento de un derecho que no puede realizarse sólo por un acuerdo, conduce a que los Estados de África Central se comprometan a trabajar juntos en el marco de la integración regional para reconocer el derecho de sus ciudadanos a la movilidad total. Esta contribución destaca los esfuerzos, desafíos y perspectivas de la libre circulación en África Central en referencia con el marco de la Unión Africana, y se pregunta si el marco legal e institucional de la libre circulación en África Central ha llevado a la aparición de una política social que apoye la libre circulación a nivel subregional. French Pilier de l'émergence de l'Afrique, enjeu des débats politiques et de l'intégration, la libre circulation n'est pas encore un acquis en Afrique Centrale. Pourtant, un regard porté sur l'histoire précoloniale nous invite à croire que l'Afrique centrale a été un espace de libre circulation. La reconnaissance d'un droit ne pouvant se faire que par l'objet d'un accord, les États d'Afrique Centrale se sont engagés dans le choix d'une histoire à réaliser ensemble dans le cadre de l'intégration, en consacrant dans des pactes communautaires la pleine mobilité de leurs ressortissants. Cette contribution met en évidence les efforts, défis et perspectives de la libre circulation en Afrique centrale par référence au cadre de l'Union africaine, et pose la question de savoir si le cadre juridique et institutionnel de la libre circulation en Afrique centrale a conduit à l'émergence d'une politique sociale en faveur de la libre circulation au niveau sous régional.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Farah, Frédéric, and Jérôme Maucourant. "L’effondrement libanais : quelques hypothèses." Maghreb - Machrek N° 254-255, no. 2 (December 1, 2023): 55–64. http://dx.doi.org/10.3917/machr.254.0055.

Full text
Abstract:
Plusieurs interprétations de la crise libanaise sont discutées. La thèse mettant en avant le caractère politique du capitalisme libanais est privilégiée, grâce à la problématique de Max Weber, même si l’élite dirigeante a radicalisé la Wealth Defense propre aux États capitalistes contemporains. Fondée sur l’exportation du travail qualifié et l’importation de capitaux, la structure économique interne - totalement négligée par un État néo-patrimonial – ne cesse de s’affaiblir, ce qui engendre une croissance de la dette publique et le recours à des privatisations d’une ampleur extrême. Le sommet de la société parvient ainsi à se nourrir du dysfonctionnement global. La politique d’ancrage de la monnaie nationale au dollar ne pouvait alors qu’être un théâtre de l’illusion, d’autant que plusieurs facteurs concouraient à l’appréciation du taux de change réel (dont le « syndrome hollandais »). La cécité de nombre d’expert est stupéfiante, notamment leur apologie idéologique du taux de change fixe. Le gouverneur de la banque centrale, visé par des enquêtes portant sur une corruption inouïe, a bénéficié de l’indulgence de ces experts. Il n’y avait pas de « miracle libanais » mais une simple exploitation de la « crédulité routinière » des intérêts financiers (Veblen). JEL : A10, A11, B50, E58, F24.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Momzikoff, Sophie. "Gérer les « traces » de l’empire soviétique. Le district militaire de la Baltique : d’un outil de commandement et de contrôle à un outil de pression diplomatique ? (1945-1994)." Parlement[s], Revue d'histoire politique N° 39, no. 4 (February 7, 2024): 105–24. http://dx.doi.org/10.3917/parl2.039.0105.

Full text
Abstract:
Cette contribution s’intéresse au destin des troupes soviétiques présentes dans les trois États baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie), durant la période de transition qui signe la sortie de l’empire soviétique, de 1990, annonce unilatérale d’indépendance de ces trois républiques, jusqu’à 1994, qui règle la question du départ des forces militaires, désormais devenues russes, en Baltique. Durant quatre années donc, les Baltes doivent compter avec la présence de 170 000 hommes, qu’ils perçoivent comme des troupes d’occupations. Cet article a donc pour objectif d’étudier les mutations des pratiques soviétiques, puis russes, vis-à-vis de l’outil militaire. À l’origine outil de contrôle, de protection des frontières orientales de l’URSS et d’administration des territoires baltes longtemps rétifs à l’ordre soviétique, il s’agira d’étudier dans quelle mesure ces troupes deviennent un instrument de négociation pour conserver une certaine influence dans la région et négocier au mieux le retrait impérial soviétique. La présente contribution entendra par conséquent rendre compte des nouvelles pratiques de la diplomatie russe durant cette période de passage d’un ordre international à l’autre, en s’appuyant sur des archives du Conseil de l’Europe, de la CSCE, de la CIA, du Département d’État américain et des archives de la Banque centrale russe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Fambeu, Ariel Herbert, and Patricia Tchawa Yomi. "Technologies de l'Information et de la Communication et exportation des entreprises manufacturières en Afrique Centrale." African Development Review, November 6, 2023. http://dx.doi.org/10.1111/1467-8268.12718.

Full text
Abstract:
RésuméCette étude examine l'effet des technologies de l'information et de la communication (TIC) sur les exportations des entreprises en Afrique Centrale. Nous utilisons les données d'enquêtes de la Banque Mondiale sur les entreprises manufacturières dans 42 pays d'Afrique, afin de faire des comparaisons entre l'Afrique Centrale et d'autres régions d'Afrique. Les estimations proviennent des modèles probit et probit fractionnaire. Les résultats montrent qu'en Afrique Centrale tout comme dans toutes les autres régions d'Afrique, les TIC favorisent la décision d'exporter des entreprises. Toutefois, cet effet positif des TIC est de plus faible ampleur en Afrique Centrale. Par ailleurs, les résultats montrent que les TIC n'ont pas d'effet sur l'intensité d'exportation en Afrique Centrale et en Afrique de l'Est. Ces résultats ont des implications significatives pour les gouvernements qui doivent faciliter l'accès et l'usage optimal des TIC afin de favoriser les exportations des entreprises.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Da, Dominique. "L’intervention des organisations internationales économiques pour la consolidation de la paix dans les États sortant de conflit : l’exemple de la Banque mondiale." Paix et sécurité européenne et internationale Numéro 10 (October 15, 2018). http://dx.doi.org/10.61953/psei.1132.

Full text
Abstract:
Soumission à Epi-revel Among international economic organizations, the World Bank deserves particular attention because it occupies a central position and represents a model for other international institutions, particularly in the field of peacebuilding intervention. This article examines the legitimacy of the World Bank's intervention in peacebuilding, discusses the procedures and operational policies governing its intervention in post-conflict contexts and the intervention mechanisms put in place. Finally, it examines the impact of the World Bank's intervention on peacebuilding and can prospects for improvement be identified. International audience Parmi les organisations économiques internationales, la Banque Mondiale mérite une attention particulière car elle occupe une place centrale et représente un modèle pour d’autres institutions internationales, notamment dans le domaine de l’intervention pour la consolidation de la paix. Cet article s’interroge sur la légitimité de l’intervention de la Banque mondiale dans la consolidation de la paix, évoque les procédures et les politiques opérationnelles gouvernant son intervention dans les contextes post-conflit et les dispositifs d’intervention mis en place. Il examine enfin quel est l’impact de l’intervention de la Banque mondiale sur la consolidation de la paix et peut-on dégager des perspectives d’amélioration.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Moupebele Makadjoa, Ghislain. "Le Gabon, la France et la Banque des États de l’Afrique centrale, 1959-1992 : entre logique « géomonétaire » et financement de l’économie." L'Atelier du CRH, December 31, 2020. http://dx.doi.org/10.4000/acrh.11938.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Larue, Louis. "Numéro 127 - septembre 2016." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.14403.

Full text
Abstract:
De nombreuses monnaies parallèles circulent depuis toujours à côté de la monnaie officielle. Aujourd’hui, une nouvelle génération de monnaie est en train de naître des nouvelles technologies : les crypto-monnaies, dont l’exemple le plus connu est le bitcoin. Ces monnaies n’existent que sous forme de code informatique, sans équivalent papier ou métallique. Leur particularité est d’être créées et gérées de manière décentralisée. Bien qu’elles constituent une avancée technologique remarquable, elles soulèvent de nombreux défis tant éthiques qu’économiques, que ce numéro de Regards économiques essaie d’éclairer. Le bitcoin est aujourd’hui la crypto-monnaie la plus populaire. Son fonctionnement est totalement indépendant des banques et des États, et garantit l’anonymat des utilisateurs. Sa sécurité repose sur une innovation cruciale : un système de paiement entièrement décentralisé. Plus besoin de banques commerciales ou de banques centrales pour gérer le système de paiement et s’assurer de la sécurité des transactions. L’ensemble des paiements en bitcoin est archivé dans un registre public (le «distributed ledger»), conçu pour être infalsifiable (ou presque). Ce registre permet d’éviter un problème inhérent à toute monnaie électronique sans forme matérielle : la possibilité de dépenser plusieurs fois un même bitcoin pour plusieurs transactions. Puisqu’aucune autorité ne possède un pouvoir de contrôle sur le bitcoin et ne peut surveiller les transactions, ce registre virtuel garantit un traçage de chaque bitcoin et évite qu’il ne soit dépensé plusieurs fois par un même utilisateur. Cette innovation a été essentielle pour le succès et la sécurité du bitcoin. Elle intéresse d’ailleurs de nombreux acteurs, comme les banques commerciales. Géréer de manière automatique et décentralisée le système de paiement permet en effet d’épargner d’importantes sommes d’argent. Cependant, le bitcoin n’est pas sans connaître quelques difficultés. Au regard de l’efficacité économique, le bitcoin est encore loin de constituer une monnaie de confiance. De nombreuses fraudes et quelques faillites retentissantes ont émoussé l’enthousiasme initial qu’il suscitait. Par ailleurs, la conception même du bitcoin interdit qu’un État ou qu’une banque centrale puisse intervenir, une impossibilité qui, en cas de crise, peut se révéler problématique. Le bitcoin soulève également problème au regard de la justice sociale. Tous les utilisateurs ne sont pas égaux, notamment en termes technologiques. Par ailleurs, bien que la protection de la vie privée et des données personnelles de chaque utilisateur soit légitime, l’anonymat des utilisateurs de bitcoins constitue un nouvel instrument pour le blanchiment d’argent qui complique le travail des autorités fiscales. Ce numéro de Regards économiques entend éclairer le fonctionnement des crypto-monnaies, en prenant l’exemple du bitcoin. Il apporte également quelques réflexions sur les enjeux économiques et éthiques de cette nouvelle forme de monnaie. En conclusion, il insiste sur les enseignements principaux et les pistes éventuelles que tracent ces nouvelles monnaies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Larue, Louis. "Numéro 127 - septembre 2016." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2016.09.02.

Full text
Abstract:
De nombreuses monnaies parallèles circulent depuis toujours à côté de la monnaie officielle. Aujourd’hui, une nouvelle génération de monnaie est en train de naître des nouvelles technologies : les crypto-monnaies, dont l’exemple le plus connu est le bitcoin. Ces monnaies n’existent que sous forme de code informatique, sans équivalent papier ou métallique. Leur particularité est d’être créées et gérées de manière décentralisée. Bien qu’elles constituent une avancée technologique remarquable, elles soulèvent de nombreux défis tant éthiques qu’économiques, que ce numéro de Regards économiques essaie d’éclairer. Le bitcoin est aujourd’hui la crypto-monnaie la plus populaire. Son fonctionnement est totalement indépendant des banques et des États, et garantit l’anonymat des utilisateurs. Sa sécurité repose sur une innovation cruciale : un système de paiement entièrement décentralisé. Plus besoin de banques commerciales ou de banques centrales pour gérer le système de paiement et s’assurer de la sécurité des transactions. L’ensemble des paiements en bitcoin est archivé dans un registre public (le «distributed ledger»), conçu pour être infalsifiable (ou presque). Ce registre permet d’éviter un problème inhérent à toute monnaie électronique sans forme matérielle : la possibilité de dépenser plusieurs fois un même bitcoin pour plusieurs transactions. Puisqu’aucune autorité ne possède un pouvoir de contrôle sur le bitcoin et ne peut surveiller les transactions, ce registre virtuel garantit un traçage de chaque bitcoin et évite qu’il ne soit dépensé plusieurs fois par un même utilisateur. Cette innovation a été essentielle pour le succès et la sécurité du bitcoin. Elle intéresse d’ailleurs de nombreux acteurs, comme les banques commerciales. Géréer de manière automatique et décentralisée le système de paiement permet en effet d’épargner d’importantes sommes d’argent. Cependant, le bitcoin n’est pas sans connaître quelques difficultés. Au regard de l’efficacité économique, le bitcoin est encore loin de constituer une monnaie de confiance. De nombreuses fraudes et quelques faillites retentissantes ont émoussé l’enthousiasme initial qu’il suscitait. Par ailleurs, la conception même du bitcoin interdit qu’un État ou qu’une banque centrale puisse intervenir, une impossibilité qui, en cas de crise, peut se révéler problématique. Le bitcoin soulève également problème au regard de la justice sociale. Tous les utilisateurs ne sont pas égaux, notamment en termes technologiques. Par ailleurs, bien que la protection de la vie privée et des données personnelles de chaque utilisateur soit légitime, l’anonymat des utilisateurs de bitcoins constitue un nouvel instrument pour le blanchiment d’argent qui complique le travail des autorités fiscales. Ce numéro de Regards économiques entend éclairer le fonctionnement des crypto-monnaies, en prenant l’exemple du bitcoin. Il apporte également quelques réflexions sur les enjeux économiques et éthiques de cette nouvelle forme de monnaie. En conclusion, il insiste sur les enseignements principaux et les pistes éventuelles que tracent ces nouvelles monnaies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography