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Journal articles on the topic 'Banques'

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MBIDA, Joachim Achille Christel. "impact des TIC sur les stratégies organisationnelles et relationnelles des banques en contexte camerounais." Journal of Academic Finance 15, no. 1 (2024): 92–107. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v15i1.813.

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Abstract:
Objectif : Dans cet article, nous mettons en lumière l’impact des TIC sur la stratégie relationnelle, organisationnelle et humaine des banques en contexte camerounais. Méthodologie : La méthodologie de recherche utilisé à cet effet procède des entretiens semi-directifs réalisés auprès des différentes parties prenantes (banquiers et clients) complétés par un questionnaire adossé sur un modèle économétrique pour mieux cerner l’objet de la recherche. Par ailleurs, les données ainsi collectées sont analysées sur la base du contenu thématique d’une part et d’une analyse comparative des variables d’autre part. Résultats : Les principaux résultats relèvent que l’intégration des TIC permet à la banque d’améliorer sa stratégie relationnelle avec les clients ; l’adoption des TIC conduit à une meilleure efficience organisationnelle et humaine de la banque. Originalité : Cette étude se situe au niveau de la dématérialisation via les TIC qui a poussé les banques encore ancrées au mode traditionnel vers les banques à distance au vu du contexte socio-économique traversé par le Cameroun marqué par les crises sanitaire et sécuritaire.
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Deffains, Bruno. "La Banque centrale, frein ou stimulant à l’essor de l’industrie bancaire en Russie ?" Économie appliquée 50, no. 1 (1997): 131–62. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1997.1628.

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Abstract:
L’article analyse l’écart qui sépare un système intermédié efficace et les pratiques actuelles du système bancaire russe. L’auteur attire l’attention sur le fait que les comportements micro- et macro-économiques de la Banque centrale de Russie ont contribué à freiner l’essor de l’industrie bancaire. La Banque centrale est en situation de prêteur contraint et les banques ne sont pas en mesure d’assurer les fonctions bénéfiques prévues par les théories de l'intermédiation financière (information, contrôle, choix des projets d’investissement). Ce constat se fonde sur le poids des structures héritées du passé, en particulier sur la nature des relations banques-entreprises et banques-Banque centrale.
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Oñate, Abdiel. "French Bankers in Revolutionary Mexico: Exploring the Limits of informal Empire, 1917–1928." French Colonial History 12 (May 1, 2011): 143–66. http://dx.doi.org/10.2307/41938214.

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Abstract:
Abstract Les banques modernes émergèrent au Mexique dans les années 1860, pendant l’empire français de Maximilien de Habsbourg (1862 -1867), une des conquêtes impériales commanditées par Napoléon III, et à partir de ce moment-là, les banquiers français jouèrent un rôle dominant dans le développement du Mexique. Pendant les décennies précédant la Révolution mexicaine, les banques françaises financèrent la modernisation du pays, et une d’entre elles, la Banco Nacional de México, fonctionna comme banque centrale du Mexique. La Révolution mexicaine détruisit l’ancien régime et mit fin à la domination française des marchés du crédit mexicain. En 1920, le Président Alvaro Obregón, dans le but d’initier la reconstruction économique du pays, réorganisa tout le système monétaire et bancaire du Mexique; le Crédit Foncier se retrouva non conforme à la nouvelle législature et fut donc liquidé, causant une grande perte financière aux investisseurs français. Les puissants banquiers parisiens ou le gouvernement français ne purent rien faire. Après 1920, la France cessa de jouer le rôle principal dans le secteur financier du Mexique. A partir d’archives mexicaines et françaises, cet article raconte l’histoire du Crédit Foncier Mexicain, une banque française qui opéra au Mexique pendant et après la Révolution mexicaine de 1910, et montre comment sa liquidation, en 1928, illustre la fin de l’hégémonie française en Amérique latine, notamment au Mexique, un pays où les banques françaises avaient dominé les marchés du crédit et des finances pendant un demi-siècle. Cette étude nous permet d’explorer les limites de l’impérialisme informel dans le contexte d’un pays non-colonial tel que le Mexique.
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Asiedu-Akrofi, Derek. "Central Bank Immunity and the Inadequacy of the Restrictive Immunity Approach." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 28 (1991): 263–307. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800004136.

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Abstract:
SommaireLes Banques Centrales sont engagées dans des activités multiples. Leur rôle actuel est le résultat de l'histoire, dans la mesure où chaque banque centrale est apparue à un certain stage de développement de son pays et a commencé à exercer son rôle en fonction des objectifs de développement du pays en question. En conséquence, les fonctions des Banques Centrales varient d'un endroit à un autre. Cependant, en dépit des circonstances différentes dans lesquelles elles opèrent, la plupart des Banques Centrales ont la tendance d'agir de manière identique, particulièrement eu égard aux principes et pratiques développés par la Banque d'Angleterre, lesquels ont fini par être acceptés comme le prototype des fonctions traditionnelles des Banques Centrales.Cette étude effectue une comparaison entre les fonctions traditionnelles des Banques Centrales et leurs rôles nouveaux et en expansion constante dans les pays en développement. L'axe central de l'analyse, c'est l'importante question des immunités des gouvernements. Agissant comme agents de leurs gouvernements, les Banques Centrales violent parfois leurs obligations et c'est ainsi que la question des immunités se pose. Dans la détermination de l'étendue des immunités des États étrangers, de leurs agents ou organismes affiliés, les cours et tribunaux qualifient les activités de ces personnes publiques d'actes de nature publique ou privée. Ce processus de qualification a été plutôt difficile en ce qui concerne son application aux Banques Centrales. Cela est dû au fait qu'il n'existe pas d'uniformité des fonctions des Banques Centrales. En conséquence, il est difficile de déterminer quand une Banque Centrale est en train d'exécuter une fonction que l'on peut qualifier de propre aux Banques Centrales.L'approche basée sur la théorie de l'immunité relative présuppose que les fonctions des Banques Centrales peuvent être facilement définies comme étant soit de nature commerciale soit d'une nature propre aux Banques Centrales. Notre approche est comparative en ce qu'elle se fonde sur une analyse des différents modèles d'évolution des Banques Centrales, ainsi que sur une étude de l'étendue de la protection dont elles bénéficient dans le droit actuel des immunités aux États-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne et dans d'autres conventions internationales.L'étude se termine par une évaluation de l'étendue des immunités accordées aux Banques Centrales ainsi que des problèmes liés au processus de qualification. Nous concluons enfin qu'en l'absence d'uniformité des fonctions des Banques Centrales et d'un accord sur l'étendue des sphères d'activité gouvernementale, la théorie de l'immunité relative apparaît inadéquate pour le règlement des problèmes liés aux immunités des Banques Centrales. En conséquence, un programme de signature de traités bilatéraux nous semble plus approprié comme alternative.
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Bourrinet, Jacques. "Réflexions sur l'hypertrophie de la politique monétaire conduite par la Banque Centrale Européenne." La Revue Internationale des Économistes de Langue Française 2, no. 1 (2017): 162–71. http://dx.doi.org/10.18559/rielf.2017.1.9.

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Abstract:
Réaction inquiétante d'un expert ayant assumé de lourdes responsabilités dans l'ordre monétaire international et européen1. D'autant que ce trouble est assez largement ressenti et, souvent, exprimé en termes beaucoup moins nuancés. Certains n'hésitent pas, en eff et, à dénoncer une folie collective des banques centrales [Artus et Virard 2016]. Les banquiers centraux, hier technocrates inconnus, seraient devenus les nouveaux maîtres du monde. On compterait, aujourd'hui, sur leurs interventions pour faire repartir la croissance, combattre la défl ation, résoudre les problèmes d'endettement des États, empêcher l'éclatement de la zone euro. Depuis 2008, ces banquiers centraux auraient cherché à éviter un désastre pire que celui de 1929 en injectant des milliers de milliards d'euros dans l'économie. Mais, en inondant de liquidités l'économie mondiale, ils l'auraient plongée dans une crise fi nancière géante où chaque secousse serait suivie de répliques toujours plus désastreuses. La Banque centrale européenne (BCE) est-elle atteinte par cette folie des banques centrales ? Sa politique nous conduit-elle vers l'abîme de doutes évoqué par Jacques de Larosière?
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Duterme, Tom. "Convaincre le marché. Les banquiers centraux belges à l’épreuve de la globalisation." Revue Française de Socio-Économie 33, no. 2 (2024): 105–26. http://dx.doi.org/10.3917/rfse.033.0105.

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Abstract:
Au cours des années 1980, les instruments et objectifs de nombreuses Banques centrales sont transformés. À partir d’une étude du cas belge, cet article éclaire une dimension peu explorée de ce tournant : l’anonymisation des interlocuteurs des banquiers centraux. Le recours à des instruments basés sur un marché monétaire en voie de globalisation met en crise le mode opératoire familialiste qui reposait sur la proximité entre banquiers centraux et acteurs financiers nationaux. Il en résulte un effort communicationnel nouveau, censé rendre les interventions de la Banque centrale perçues, comprises et obéies par les professionnels des marchés financiers.
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DIFE, YASSSINE. "The Reality of Liquidity in Islamic Banks: A Case Study of a Sample of Islamic Banks Operating in the UAE Banking Sector during The Period (2009-2014)." Milev Journal of Research and Studies 1, no. 2 (2015): 115–30. http://dx.doi.org/10.58205/mjrs.v1i2.1157.

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Abstract:
Le but de cet article est de présenter la situation réelle de la liquidité dansles banques islamiques, l'étude comprenait un échantillon de quatre banquesislamiques qui travaillent au secteur bancaire des Emirats Arabes Unis, pendantla période de 2009 jusqu'à 2014.A travers cette étude, des statistiques descriptives des données ont été réalisée etrecueillies à partir des rapports annuels de ces banques pendant toute la périoded'étude, lorsque le calcul et l'analyse des sept ratios de liquidité afin d'atteindreles objectifs souhaités.L'étude a révélé que: Il y’a un grand excédent de liquidité de la banqueislamique d'Emirats et la banque islamique de Sharjah contrairement au banqueislamique de Dubaï et banque islamique d'Abu Dhabi. Cela reflète la capacité -de ces deux dernières banques- de contrôler et maîtriser la liquidité et aussil’investissement rationnel de leurs ressources.
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Violle, Alexandre. "Une stabilité financière pour quelle Europe ?" Politique européenne N° 79, no. 1 (2023): 132–59. http://dx.doi.org/10.3917/poeu.079.0132.

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Abstract:
Cet article étudie les mesures déployées par les acteurs de la Banque centrale européenne (BCE) au titre de leur fonction de supervision des banques de la zone euro dans le cadre de la mise en place de l’Union bancaire en 2014. Il s’intéresse à la façon dont la mise en œuvre juridique du concept de « stabilité financière », qui justifie les actions de la BCE pour préserver les finances publiques des États membres, est investi de significations différentes par les acteurs publics et privés de la régulation financière internationale (banquiers, économistes, responsables d’autorités nationales de supervision). Des études de controverses relatives à l’usage de différents instruments de supervision mobilisés par la BCE au sein d’arènes expertes, allant de débats académiques jusqu’au Comité de Bâle, permettent de saisir des problématisations concurrentes des moyens assurant la « stabilité financière », ainsi que la façon dont se négocient les compétences de la BCE à agir sur les banques de la zone euro.
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Kouzez, Marc, Ji-Yong Lee, Gurvan Branellec, and Jaesin Oh. "RSE et banques en ligne : le cas du marché sud-coréen." Recherches en Sciences de Gestion N° 158, no. 5 (2023): 367–95. http://dx.doi.org/10.3917/resg.158.0367.

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Abstract:
L’adoption des pratiques socialement responsables intéresse de plus en plus les banques à réseaux, mais aussi les banques en ligne. Ces dernières, profitant du contexte sanitaire favorisant la transformation digitale, ont connu un développement remarquable de leurs activités ces dernières années. Différentes des études précédentes, notre étude s’intéresse aux banques en ligne et vise à examiner comment l’intégration de préoccupations économiques, philanthropiques, éthiques, et environnementales à leurs activités affecte leur développement commercial. Les résultats mettent en exergue l’importance des activités socialement responsables dans la fidélisation des clients à travers la réputation de la banque et la confiance de ses clients.
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Robiony, Mario. "The actual effects of supervision on small and medium-sized banks and the local banking market." Revue française d'histoire économique N° 20, no. 2 (2024): 64–84. http://dx.doi.org/10.3917/rfhe.020.0064.

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Abstract:
Cet article analyse le rôle de superviseur de la Banque d’Italie vis-à-vis d’un groupe de petites et moyennes banques locales dans les années 1920-1930. Plus spécifiquement, la recherche vise à analyser : a) comment la supervision a été effectivement exercée, b) l’impact de la supervision sur les banques ; c) l’impact de la supervision sur le marché du crédit local. L’analyse - basée sur des documents d’archives - est menée au niveau microéconomique, en se concentrant sur les banques individuelles dans une zone géographique donnée (le nord-est de l’Italie), mais elle est également intégrée dans le tableau macroéconomique plus large. L’article montre que, suite à l’introduction des nouvelles règles, le système bancaire local a été reconfiguré sur le plan quantitatif et qualitatif.
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DEH, Amon Aniké, Kéba Aly GOUDIABY, and Mamadou Nouhou DIALLO. "Quelles sont les variables managériales et économiques qui influencent la performance opérationnelle des banques de l’UEMOA ?" Journal of Academic Finance 12, no. 2 (2021): 19–34. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v12i2.500.

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Abstract:
Objectif : cet article vise à étudier les facteurs managériaux et économiques qui impactent la performance opérationnelle des banques de l’UEMOA.
 Méthode : l’approche méthodologique porte sur un panel dynamique avec la méthode des moments généralisés (GMM). Les données proviennent de la base de données de la BCEAO et portent sur un échantillon de 83 banques de l’UEMOA durant la période de 2012 à 2018, soit 581 observations.
 Résultats : notre étude montre que pour ce qui sont des facteurs managériaux, la taille et le poids du risque de crédit impactent négativement la performance opérationnelle des banques de l’UEMOA au moment où la surface financière et l’âge de la banque impactent positivement cette performance. Pour ce qui sont des facteurs économiques, on constate que le taux de croissance du PIB et le rendement de l’indice BRVMC impactent positivement le rendement des actifs de ces banques; alors que l’impact du taux d’inflation est négatif.
 Originalité / pertinence : ce travail tire son origanité du fait que nous avons analysé l’influence à la fois des facteurs manageriaux et macro-économiques sur la performance operationnelle des banques des huits pays de l’UEMOA avec un modèle panel dynamique. Ce travail pourrait être utile dans la prise de décision et la mise en place de stratégie pour les dirigeants des banques, les gestionnaires de portefeuilles, les investisseurs ainsi que la BCEAO.
 
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GODIH, Djamel, and Mohammed LAZREG. "Eléments de réflexion sur la relation banque-entreprise en Algérie -Etude réalisé au niveau de dix Entreprises de l’Ouest Algérien-." Dirassat Journal Economic Issue 8, no. 2 (2017): 347–70. http://dx.doi.org/10.34118/djei.v8i2.270.

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Abstract:
Les relations banque-entreprise revêtent une importance d’autant plus grande qu’elles mettent en présence deux partenaires d’un poids économique non négligeable. Les banques sont au cœur de l’économie. Parce qu’elle en est un acteur incontournable, une banque doit évoluer au même rythme que l’économie qu’elle accompagne. Parce qu’elle est le partenaire crucial des entreprises, elle doit suivre l’évolution de sa clientèle pour satisfaire l’ensemble de ces besoins. A l’heure de la mondialisation des économies et des marchés de capitaux, la banque apparait comme le moteur de ce phénomène et doit, avant tous les autres acteurs, savoir s’adapter pour offrir des prestations répondant aux objectifs d’une économie de plus en plus mouvementée. Dans les Pays qui sont pleinement et de longue date établis dans l’économie de marché, les banques sont organisées pour s’assurer avec les agents économiques, des relations étroites, permanentes et multiformes.
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Pasquet, Guy-Noël. "Les raisons des banques et des banquets." Le sociographe N° 62, no. 2 (2018): 4. http://dx.doi.org/10.3917/graph.062.0004.

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Jaeger, Claude. "Crédit Lombard et refinancement des banques en République fédérale d'Allemagne." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 17, no. 2 (1985): 215–35. http://dx.doi.org/10.3406/reval.1985.2787.

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Abstract:
Le Crédit Lombard est un crédit accordé aux banques par la Banque Fédérale contre nantissement de titres. Dans sa conception initiale, défendue par la Banque Centrale depuis 1952, ce type de crédit ne devait servir qu’à surmonter des difficultés passagères et imprévues de trésorerie et de ce fait ne devait pas être contingenté. Ce non-contingentement est apparu rapidement comme très gênant, surtout en période de politique monétaire restrictive, les banques ayant tendance à abuser de ce mode de refinancement en “libre-service”. L’histoire du Crédit Lombard est jalonnée de mesures destinées à limiter ce risque mais aucune n’a pu être maintenue. Le rétablissement systématique du Crédit Lombard dans sa forme initiale tient au fait qu’il joue dans le système monétaire allemand un rôle indispensable de “soupape de sécurité” et que dans ce rôle il ne semble pouvoir être actuellement remplacé par aucun des instruments de politique monétaire à la disposition de la Banque Fédérale.
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Sigouin, Christian, and Jacques Raynauld. "Quel rôle peut-on imputer aux banques à charte canadiennes dans la transmission des chocs monétaires des années quatre-vingt?" L’économétrie de la politique économique 73, no. 1-2-3 (2009): 367–93. http://dx.doi.org/10.7202/602233ar.

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Abstract:
RÉSUMÉCette recherche s’inscrit dans la foulée de nombreux travaux entrepris suite aux publications de Bernanke et Blinder (1988, 1992) ayant remis à l’avant-plan le rôle joué par le système bancaire dans la transmission de la politique monétaire. Nous proposons d’examiner la dynamique inhérente à certains postes du bilan des banques à charte canadiennes suite aux mouvement des principaux taux d’intérêt, habituellement jugés révélateurs des conditions monétaires du moment. Pour ce faire, nous avons recours à un modèle VAR hebdomadaire comportant à la fois, des éléments de l’actif et du passif des banques ainsi que les taux de rendement associés à divers instruments financiers. Cependant, dans le but de bien encadrer cette analyse, nous développons un modèle formel du comportement d’une banque où les seuls changements aux postes de son bilan suite aux mouvements de taux d’intérêt sont dictés par des ajustements de portefeuille visant à tirer avantage des écarts se creusant entre ceux-ci. Ce modèle théorique est soumis aux variations de taux d’intérêt issues du modèle empirique VAR. Les mouvements observés aux postes du bilan de cette banque « témoin » fournissent un guide utile permettant d’interpréter de façon éclairée les résultats empiriques obtenus. À cet égard, l’exercice proposé montre qu’il est possible d’établir un parallèle assez étroit entre l’évolution des postes du bilan de la banque hypothétique et celle captée par le modèle VAR et ainsi apporte un certain support à l’approche traditionnelle sur le rôle joué par les banques dans la transmission des chocs monétaires.
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Allal, Nabila, and Billel BENILLES. "Les déterminants de la distribution de dividendes Le cas des banques privées algériennes." Dirassat Journal Economic Issue 11, no. 2 (2020): 457–72. http://dx.doi.org/10.34118/djei.v11i2.721.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’étudier les déterminants de la distribution de dividendes au sein des banques privées algériennes sur la période 2011-2017. Pour ce faire, nous avons utilisé une méthode de régression sur donnée de panel sur un échantillon composé de onze banques privées algériennes. Les résultats de la présente étude indiquent l’impact significatif et positif de la rentabilité, des dividendes antérieurs, du niveau des fonds propres, de l’endettement, de la liquidité, et de la croissance de la banque sur la distribution de dividendes. En revanche, il existe une relation négative entre le risque et la distribution de dividendes.
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Boistel, Philippe, and Dimitri Laroutis. "Sensibilisation à l’offre de services bancaires en ligne." La Revue des Sciences de Gestion N° 312, no. 6 (2022): 83–90. http://dx.doi.org/10.3917/rsg.312.0087.

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Abstract:
La mutation du secteur bancaire est liée l’arrivée de nouveaux entrants, aux conditions macro-financières peu favorables et à la digitalisation du secteur bancaire. Cette digitalisation change la relation client entraînant des répercussions fortes sur toute l’industrie bancaire : fréquentation des guichets traditionnels réduite ; multiplication des offres digitales ; apparition de banques totalement en ligne... Pour les banques, il est nécessaire de comprendre les raisons amenant les clients à adopter les services digitaux. Nous avons étudié les facteurs expliquant la souscription à une offre bancaire digitale. Notre étude porte sur 264 clients de banques françaises. L’utilisation de la méthode des préférences déclarées souligne l’impact significatif de la satisfaction, de la confiance, des PCS+ et de l’âge quant à la souscription de services en ligne bancaires. La satisfaction client apparaît au centre de la réflexion sur la complémentarité des canaux entre les services de banque de proximité et en ligne.
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Matringe, Nadia. "Le dépôt en foire au début de l’époque moderne: Transfert de crédit et financement du commerce." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 2 (2017): 381–423. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264917000580.

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Abstract:
RésuméÀ partir des archives privées d'une banque marchande de premier plan au xvie siècle (la maison Salviati de Lyon), cet article apporte un éclairage sur un important instrument de financement du commerce au début de l’époque moderne : le dépôt en foire. Si l'histoire financière a souvent fait du dépôt bancaire et des activités des banques d'affaires des sujets d’étude distincts, cet article démontre qu'un type spécifique de dépôt bancaire a émergé au xvie siècle sur les places de foire, en lien étroit avec les activités de banque d'affaires et le commerce international. Il apparaît que le dépôt en foire, tel que révélé par l'analyse des livres de la maison Salviati, est tout à la fois un instrument de compensation et un instrument de crédit, et qu'il participe largement au financement des grands échanges commerciaux européens. Le crédit, issu principalement du commerce international et de la banque, s'y trouvait ainsi immédiatement réinjecté. Les investissements étaient stimulés par les nombreux avantages qu'offraient les foires de Lyon, notamment la licéité du prêt avec intérêt, les options d'investissement et les possibilités d'achats et de transferts rapides. Les prêts aux hommes d'affaires locaux et étrangers stimulaient le commerce des marchandises et, surtout, le change, en conférant à Lyon une position unique dans le système du commerce et des changes en Europe. Cette forme de dépôt bancaire était étroitement liée au développement des banques d'affaires qui travaillaient principalement sur commission et en tiraient des bénéfices substantiels, sans pour autant se spécialiser dans le dépôt ni même devenir des banques de dépôt.
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Fraser, Monika Pohle. "Bankiers und „Hasardeure“. Die Rolle bürgerlicher Tugenden im Bankgeschäft. Deutschland und Frankreich, 1800-1912." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 40, no. 1 (2008): 101–22. http://dx.doi.org/10.3406/reval.2008.5991.

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Abstract:
Les études d’archives récentes sur le financement de l’industrie aux XIXe et début XXe siècles ont révélé que le crédit à découvert jouait un rôle plus important dans le financement de l’industrie que ce que l’on avait imaginé. Qu’est-ce qui faisait qu’un industriel obtenait un crédit bancaire ? Sur quels principes était basé le management du risque dans les banques ? L’étude des Festschriften et des correspondances des banquiers allemands et français démontre que le banquier vérifiait les vertus bourgeoises de ses clients et ses collègues. Il y avait substitution entre affaire et personne. L’affaire commençait avec la bonne réputation, qui était bourgeoise et, dans ce cadre, plutôt caractérisée par une attitude contraire au jeu du hasard.
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Tremblay, Johane. "Décisions rendues par le Conseil canadien des relations du travail." Articles 43, no. 2 (2005): 447–52. http://dx.doi.org/10.7202/050417ar.

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Abstract:
Le 18 décembre 1985, le Conseil accréditait le Syndicat des Employés des Banques Nationales de Rimouski pour représenter tous les employés des cinq succursales de la Banque à Rimouski. Près de deux ans plus tard, le Conseil canadien des relations du travail révoquait le certificat d'accréditation et expliquait les mécanismes du Code en pareilles circonstances.
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Harvey, Louis-Georges. "Banques, société et politique dans le discours politique d’Edmund Bailey O’Callaghan, 1833-1837." Les Cahiers des dix, no. 69 (March 14, 2016): 251–79. http://dx.doi.org/10.7202/1035602ar.

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Abstract:
Au premier regard, il semble que peu de journalistes bas-canadiens aient eu une sensibilité aussi développée que celle des journalistes radicaux new-yorkais sur les questions sociales et économiques reliées au développement du capitalisme commercial. Nous avons toutefois trouvé un exemple de cette sensibilité dans le discours du lieutenant politique de Louis-Joseph Papineau, Edmund Bailey O’Callaghan. Bien qu’il soit un promoteur acharné des positions du Parti patriote, O’Callaghan démontre parfois un esprit frondeur, et sa désolidarisation la plus remarquée se manifeste sur la question des banques et de leur rapport aux classes agricoles et ouvrières du Bas-Canada. En fait, sur cette question, il affirme une position nettement plus radicale que celle adoptée par ses collègues de La Minerve, et sa condamnation sans exception de l’effet de la manipulation du numéraire par toutes les banques, même la Banque du peuple, lui attire les reproches de certaines éminences du parti et crée un froid dont le Patriote irlandais se souviendra longtemps. En ce sens, O’Callaghan se rapproche des journalistes radicaux Democrats de la trempe de William Leggett qui mène une croisade contre les grandes banques des États-Unis au nom des travailleurs de New York et Philadelphie.
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Wei, Lei, and Erwan Le Saout. "Central Bank Digital Currency: Definition and Progress." Marché et organisations N° 49, no. 1 (2024): 67–88. http://dx.doi.org/10.3917/maorg.pr1.0003.

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Abstract:
En marge du développement des crypto-actifs, les banques centrales ont entamé une réflexion sur la création de monnaie numérique nationale. Une telle monnaie est l’équivalent des billets sous forme dématérialisée. Une telle innovation constituerait une solution de paiement supplémentaire, plus facile à utiliser, contribuant ainsi à l’accessibilité et à l’inclusion. En d’autres termes, les monnaies numériques devraient avoir des conséquences importantes sur la désintermédiation bancaire. De nombreuses fintechs sont à même de se créer, afin de profiter de la création de ce nouvel écosystème, dans le but de faire bénéficier les consommateurs des moyens de paiement électroniques rapides et sûrs (car garantis par une banque centrale). Cet article dresse un état des lieux sur ces différentes monnaies numériques en cours de création. Il s’appuie notamment sur l’exemple des banques centrales nordiques et chinoise.
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Cargnello-Charles, Emmanuelle. "Gestion de la rentabilité des clients bancaires." Décisions Marketing N° 16, no. 1 (1999): 25–37. http://dx.doi.org/10.3917/dm.016.0025.

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Abstract:
Le secteur de la banque connaît depuis les années 90 une crise de rentabilité. Aujourd’hui, il est devenu impérieux pour un grand nombre de banques de s’interroger sur leurs performances. L’objet de cet article est de présenter précisément une méthode qui vise à dégager la rentabilité des activités et des clients bancaires, afin de mieux les gérer.
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Roux, Xavier. "L’Épreuve de l’Argent. Banques, banquiers, clients, J. Lazarus." Sociologie du travail 55, no. 3 (2013): 415–17. http://dx.doi.org/10.4000/sdt.11361.

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Allard, Patrick. "Les monnaies numériques dans tous leurs États." Questions internationales 113-114, no. 3 (2022): 146–52. http://dx.doi.org/10.3917/quin.113.0146.

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Abstract:
Avec une ironie dont l’histoire n’est pas avare, l’apparition et l’essor des cryptomonnaies, nées d’une idéologie techno-libertarienne 2 , ont suscité l’intérêt des autorités monétaires dans un grand nombre de pays. Au début de l’année 2021, plus de cinquante des soixante banques centrales interrogées par la Banque des règlements internationaux (BRI) avaient lancé qui des études, qui des projets, qui des pilotes de monnaie numérique de banque centrale 3 . Toutefois, au-delà de cet intérêt commun, leurs approches et leurs intentions apparaissent encore fortement distinctes .
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Eve, Arnaud, and Joëlle Randriamiarana. "Basel Regulation and Quality Management in the French Banking Sector." Recherches en Sciences de Gestion N° 159, no. 6 (2024): 127–55. http://dx.doi.org/10.3917/resg.159.0127.

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Abstract:
Le management de la qualité est apparu dans le secteur bancaire au début des années 2000 comme un outil stratégique pour faire face à une concurrence accrue dans l'industrie des services financiers. Historiquement, le concept de management de la qualité dans le secteur bancaire a été considéré sous l'angle de la création de valeur pour les actionnaires. Cependant, dans un contexte de forte réglementation et de nécessité de restructurer le rôle des banques dans le financement de l'économie, le concept de management de la qualité a évolué et doit être vu dans une optique qui place le client au centre des préoccupations de la banque. Avec la réglementation de Bâle, le management de la qualité deviendra un élément clé de l'industrie bancaire et devra être renforcé. Notre étude exploratoire a été menée en analysant les rapports annuels et financiers de deux banques françaises de 2007 à 2019 pour appréhender le lien entre réglementation de Bâle et management de la qualité. En nous appuyant sur une analyse thématique des rapports annuels et financiers de deux banques françaises, nous utilisons le cadre de la qualité de service de Parasuraman et al., dans une approche qualitative qui considère cinq dimensions de la qualité de service (éléments tangibles, fiabilité, réactivité, assurance et empathie). Nos résultats montrent qu'à l'exception de la dimension « éléments tangibles », les autres dimensions du modèle de la qualité de service SERVQUAL de Parasuraman et al. sont peu significatives, bien que les banques mettent en place des actions en faveur de la qualité.
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Aglietta, Michel. "L'indépendance des banques centrales : Leçons pour la banque centrale européenne." Revue d'économie financière 22, no. 3 (1992): 37–56. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1992.1864.

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Abhervé, Michel. "Les banques coopératives, des banques comme les autres ?" Projet 345, no. 2 (2015): 73. http://dx.doi.org/10.3917/pro.345.0073.

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Chaigneau, Pierre. "Expliquer et contenir la prise de risque excessive des banques." L'Actualité économique 89, no. 2 (2014): 147–51. http://dx.doi.org/10.7202/1024888ar.

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Abstract:
Nous confrontons les critiques récemment adressées à l’encontre des banques à la théorie économique. Nous expliquons pourquoi les banques ne sont fondamentalement pas des entreprises comme les autres, de sorte que leur gouvernance devrait être spéciale. Pour que la prise de risque dans le secteur financier ne soit pas excessive, nous proposons ensuite deux mesures qui s’attaquent aux racines du problème, c’est-à-dire la responsabilité limitée des actionnaires des banques associée à l’optimalité de secourir des banques en détresse d’une part, et les externalités négatives exercées par les faillites de banques d’autre part.
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Bakewell, Antoine, and Emmanuelle Assouan. "Le NGFS : une coalition pour verdir le système financier." Annales des Mines - Réalités industrielles Août 2024, no. 3 (2024): 43–47. http://dx.doi.org/10.3917/rindu1.243.0043.

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Abstract:
Lancé en 2017 à Paris à l’initiative de huit banques centrales et superviseurs, dont la Banque de France qui en assure le secrétariat, le Network of central banks and financial supervisors for Greening the Financial System (NGFS) compte désormais 137 membres et 21 observateurs, et représente près de 90 % du PIB mondial et des émissions de GES. Depuis son lancement, le NGFS contribue activement aux efforts de prise en compte des risques climatiques et de verdissement du système financier, grâce à une méthode fondée sur la collaboration et le partage d’expériences entre ses membres et avec ses partenaires. Cette méthode vise d’abord à mieux comprendre les interdépendances entre le système financier et la nature au sens large, afin d’intégrer les risques climatiques et environnementaux (C&E) dans le cadre des missions des banques centrales et superviseurs, et, plus généralement, de mobiliser les acteurs financiers, pour soutenir la transition vers une économie bas-carbone et plus durable.
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El-Hassan, HACHIMI ALAOUI, and ACHMAKOU Lahoucine. "La transmission de la politique monétaire aux banques participatives à travers le canal de la convergence : cadre analytique et simulation numérique." RASEG 1, no. 1 (2022): 73–87. https://doi.org/10.5281/zenodo.7158908.

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Abstract:
L’expansion de la banque participative a donné naissance à un secteur bancaire duel dans plusieurs pays et suscite des interrogations quant aux mécanismes de transmission de la politique monétaire dans un tel système. Théoriquement, l’influence du taux créditeur sur le rendement des dépôts collectés par les banques participatives est inconcevable. Néanmoins, de plus en plus de travaux empiriques révèlent l’existence d’une convergence entre les deux. Cela étant, le présent papier fournit un cadre analytique à cette convergence et, ce faisant, démontre la possibilité d’une transmission de la politique monétaire aux banques participatives. Le cadre analytique proposé est un modèle d’équilibre partiel qui puise son soubassement théorique dans l’analyse microéconomique néoclassique inhérente aux duopoles. Ce modèle reproduit tant que faire se peut les interactions au sein d’un système bancaire duel, composé d’une banque participative et d’une banque conventionnelle, compte tenu de la différentiation des services offerts aux déposants. Les résultats du modèle montrent que le taux directeur de la banque centrale influence positivement le rendement des dépôts participatifs, à travers le canal de la converge qu’implique la concurrence sur le marché des dépôts.
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Meghouar, Hicham, and Hicham Sbai. "Caractéristiques de la gouvernance bancaire au Maroc : un état des lieux." Recherches en Sciences de Gestion N° 158, no. 5 (2023): 243–71. http://dx.doi.org/10.3917/resg.158.0243.

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Abstract:
En 2014, les instances marocaines ont adopté de nouveaux textes de gouvernance bancaire axés principalement sur les caractéristiques du conseil d’administration et de ses comités. Notre article analyse, six ans plus tard, ces caractéristiques en référence aux textes règlementaires. L’échantillon comprend les dix principales banques marocaines dont sept banques à actionnariat majoritairement marocain, et trois autres banques avec un actionnariat majoritairement français. Les résultats rapportent une évolution significative des caractéristiques des conseils des banques depuis la publication de ces textes. Toutefois, certains éléments, recommandés par les grands standards internationaux des bonnes pratiques de gouvernance, présentent des disparités notées particulièrement chez les banques à actionnariat majoritairement marocain.
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Toé, Mamadou, and Niassoué Toubania. "Stratégies de résilience des banques face au développement des Services Financiers Mobiles (SFMs) des Télécoms (Mobile Money)." La Revue des Sciences de Gestion N° 328-329, no. 2 (2024): 87–97. http://dx.doi.org/10.3917/rsg.328.0087.

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Abstract:
Le Mobile Money , développé par les opérateurs Télécoms, a rencontré un grand succès, positionnant ces entreprises comme une menace majeure pour les banques. Cependant, malgré cette concurrence, les banques ont su maintenir leur résilience face à ces services. Cette recherche vise à comprendre les stratégies mises en œuvre par les banques du Burkina Faso (BF) pour faire face au développement du Mobile Money . L’étude a été réalisée sur la base de 15 entretiens semi-directifs auprès de six banques au BF et l’analyse effectuée à l’aide de Nvivo12. Les résultats indiquent que la résilience des banques du BF découle de quatre principales stratégies : le partenariat stratégique, la reconversion de l’activité bancaire, l’influence des décideurs et la bancarisation de masse dont l’usage et le contenu sont tributaires du contexte. La connaissance produite par ce texte contribue à éclairer les décideurs de banques dans l’élaboration de leurs plans stratégiques à l’ère du numérique.
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Maati-Sauvez, Christine, and Jérôme Maati. "Bank risk-taking: are contingent convertibles a resolution mechanism?" Recherches en Sciences de Gestion No. 99, no. 6 (2014): 105–24. https://doi.org/10.3917/e.resg.099.0105.

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Abstract:
Les CoCos (obligations convertibles contingentes) sont des titres hybrides récents qui sont convertis en fonds propres lorsqu’une recapitalisation de la banque est nécessaire. Notre modélisation permet d’obtenir une structure endogène optimale du capital qui tient compte du niveau de risque associé à la politique d’investissement. Elle montre que les CoCos réduisent la probabilité de défaillance des banques sans l’annuler. Toutefois, les CoCos peuvent inciter les actionnaires à la prise de risque et conduire à une destruction de richesse.
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Reyniers, Paul, and Jean-Éric Mercier. "Banques d'investissement et banques d'affaires : pour une entreprise globale." Revue d'économie financière 50, no. 6 (1998): 91–109. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1998.3351.

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Guimier-Sorbets, A. M. "Banques de données et banques d'images en archéologie classique." Bulletin de la Société préhistorique française 83, no. 10 (1986): 328–31. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.1986.8709.

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GARDES, Nathalie. "Risque d’opportunisme de la banque : le rôle de compétence relationnelle du dirigeant d’entreprise dans l’accompagnement financier." Revue Française de Gestion Industrielle 34, no. 2 (2015): 47–65. http://dx.doi.org/10.53102/2015.34.02.611.

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Abstract:
Dans une situation de crise économique et financière, nous avons souhaité démontrer en quoi l’engagement et le mode de gestion de la relation financière par le dirigeant de PME favorise l’accompagnement financier de l’entreprise. Cette recherche s’inscrit dans une approche relationnelle de l’échange. Nous examinons comment les relations interentreprises informelles et la multibancarité affectent le pouvoir de négociation de la PME à l’égard de sa banque. À travers une étude quantitative, ce travail permet d’identifier le rôle et l’origine du pouvoir de négociation de la PME dans sa relation financement. Celui-ci est en mesure de faciliter son accompagnement financier en créant une valeur relationnelle : la confiance. Cette recherche n’établit pas de lien entre la multibancarité et le pouvoir de négociation. Ce n’est pas tant le nombre de banques mais le mode de gestion de sa relation avec son banquier principal qui est déterminant dans la construction d’une capacité de négociation. Nous pointons ici les bénéfices pour le client bancaire de s’investir dans une gestion relationnelle de leur relation bancaire.
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Emfrun, Bernard. "La Banque de France et le système européen de banques centrales." Revue française d'administration publique 92, no. 1 (1999): 623–34. http://dx.doi.org/10.3406/rfap.1999.3340.

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Abstract:
The Bank of France and the European System of Central Banks ; The division of roles between national central banks and the European Central Bank follows the line of existing practices and seeks to optimise resources. It respects the principle of decentralisation which marks the European System of central banks. Applying the rule of subsidiarity the Bank of France retains its direct link with national banking and financial institutions and is developing its expertise to the extent that direct relations with economie actors are advantageous in permitting an exchange of information.
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Saikak, Moulay-driss, and Radouane RAOUF. "Indépendance de Bank Al-Maghrib : Un essai d’évaluation en utilisant la méthodologie de Cukierman, Webb et Neyapti." International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 3 (2021): 273–84. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i3.57.

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Abstract:
La majorité des banques centrales ont révisés leurs statuts afin d’obtenir plus d’indépendance en optant pour un seul objectif qui est la stabilité des prix. Bank Al-Maghrib, BAM, n’est pas épargnée par cette vague de réforme institutionnelle et s’est dotée d’un nouveau statut qui lui confère plus d’indépendance. L’analyse du degré de son indépendance en utilisant la méthodologie proposée par Cukierman, Webb et Neyapti (1992) a montré qu’effectivement BAM est une banque relativement indépendante de point de vue juridique que réel.
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Gross, Jonas, and John Kiff. "Privacy and Retail Central Bank Digital Currency." Revue française d'économie Vol XXXVIII, no. 4 (2024): 187–200. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.238.0187.

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Abstract:
Cet article examine les options dont disposent les banques centrales pour gérer les arbitrages entre la satisfaction des préférences légitimes des utilisateurs en matière de confidentialité et l’atténuation du risque d’intégrité financière, lorsqu’elles conçoivent une monnaie numérique de banque centrale de détail (MNBCD). Les particuliers pourraient ne pas utiliser une MNBCD qui n’offrirait pas le même niveau de confidentialité que les espèces, mais les autorités nationales sont fondées à craindre qu’une MNBCD autorisant des paiements anonymes ne facilite les transactions financières illicites. D’un point de vue technique, les systèmes de MNBCD peuvent servir de support à des transactions totalement transparentes, sous pseudonymes ou anonymes, ou à des approches hybrides qui permettent l’anonymat jusqu’à des limites de montant spécifiques. La plupart des banques centrales qui ont lancé ou testent une MNBCD ont adopté cette dernière approche. L’article compare un certain nombre de façons de la mettre en œuvre dans le cas des MNBCD qui ont été lancées ou qui sont en cours de test. Il traite aussi de quelques nouvelles approches qui n’ont pas encore été testées.
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Deh, Amon Aniké. "Système de gouvernance interne et performance des banques de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine." Recherches en Sciences de Gestion N° 157, no. 4 (2023): 95–120. http://dx.doi.org/10.3917/resg.157.0095.

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Abstract:
Cette recherche vise à analyser l’impact des mécanismes internes de gouvernance sur la performance des banques de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA). L’approche méthodologique porte sur un panel dynamique en système (GMM) et une régression quantile. L’échantillon est composé de quatre-vingt-trois banques des huit pays de l’UEMOA sur les périodes de 2012 à 2019. Nos résultats sur la base d’une analyse affinée des banques par pays, montrent une volatilité et une dichotomie de l’influence de certaines variables des mécanismes internes de gouvernance sur la performance de ces banques. D’où l’importance des tests de robustesse afin d’éviter des biais d’analyse.
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Maux, Laurent Le. "L'émergence d'une banque supérieure sous le régime de la liberté bancaire." Recherches économiques de Louvain 70, no. 2 (2004): 193–221. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800011477.

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Abstract:
RésuméLa théorie de la banque centrale analyse la hiérarchisation bancaire dans le cadre du monopole d'émission de billets de banque. Or sous le régime de la liberté bancaire dans lequel les banques peuvent émettre des billets et des dépôts à vue sans restrictions quantitatives ou autres, la structure bancaire converge également vers la hiérarchisation. L'émergence d'une banque supérieure intervenant en tant que prêteur en dernier ressort est alors un phénomène spontané et constitue une innovation du système de paiement afin d'endiguer les ruées de remboursement, et non une création du législateur ou une conséquence de la réglementation. Afin d'établir un système bancaire rigoureusement décentralisé, c'est-à-dire sans banque supérieure, les chambres de compensation doivent respecter des règles très strictes leur interdisant de créer de la monnaie supérieure. Sans ces règles et sans cette intervention du législateur, la structure hiérarchisée du système bancaire est alors définitive.
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Le Quang, Gaëtan, Jérôme Deyris, and Laurence Scialom. "Un passé dépassé ? L’indépendance des banques centrales au XXI e siècle." Revue Française de Socio-Économie 33, no. 2 (2024): 127–47. http://dx.doi.org/10.3917/rfse.033.0127.

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Abstract:
L’indépendance des banques centrales ( ibc ) repose sur des fondements théoriques dont on retrouve des traces dès les années 1920. Elle semble aujourd’hui avoir perdu en pertinence, l’idéal de neutralité qu’elle suppose étant remis en cause par la multiplication des interventions des banquiers centraux dans l’économie. Face aux conséquences distributives du central banking moderne sur les inégalités ou le changement climatique, l’ ibc pourrait bien être entrée en crise.
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Uasuf, Augusto, Mulualem Tigabu, Per Christer Oden, Dossahoua Traoré, Jean Lejoly, and Jan Bogaert. "Rôle des banques de semences du sol dans la régénération des forêts sèches de feuillus et des forêts-galeries en zone néotropicale du Nicaragua." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (2009): 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20422.

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Abstract:
Le déclin des forêts sèches tropicales et la nécessité de les restaurer sont aujourd'hui des réalités largement reconnues. Pour la restauration de forêts dégradées, la première étape consiste toujours à quantifier les niveaux réels et potentiels de régénération naturelle, en analysant le rôle des banques de semences du sol dans la dissémination de propagules. Pour cette étude, nous avons évalué la composition, la densité et la distribution spatiale de la banque de semences du sol et des populations de jeunes plants dans les forêts sèches de feuillus et les forêts-galeries du refuge de Chacocente au Nicaragua. Au total, 17 espèces ont été repérées dans la banque de semences du sol dans la forêt de feuillus, avec une densité de semences viables de 466 semen ces/m2. Dans la forêt-galerie, 24 espèces ont été repérées dans la banque de semences du sol, avec une densité viable de 1 257 semences/m2. Une analyse spatiale de la banque de semences a révélé des répartitions par paquets ou uniformes dans les deux types de forêts, suivant les essences. La densité globale des jeunes plants dans les forêts à feuillus et les forêts-galeries s'établissent respectivement à 6 250 et 6 600 individus/ ha. En termes de distribution spatiale, les peuplements de jeunes plants sont répartis par paquets ou uniformément, suivant les essences. La similitude entre banque de semences du sol, couche de jeunes plants et végétation aérienne est faible sur les deux sites. Cela permet de conclure que le nombre d'espèces dans les banques de semences du sol et la quantité de semences stockées dans le sol sont relativement faibles. La régénération est abondante pour certaines essences mais faible pour d'autres. Il convient donc d'assister le processus de régénération naturelle par ensemencement direct, établissement de jeunes plants et aménagement des sites afin d'améliorer les conditions de prise et de croissance des jeunes plants. (Résumé d'auteur)
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GHOUILA, Loubna, and Faouzi JILANI. "L’incidence des Changements Règlementaires sur la Performance des Banques Commerciales Algeriennes." International Journal of Financial Accountability, Economics, Management, and Auditing (IJFAEMA) 3, no. 1 (2021): 1–10. http://dx.doi.org/10.52502/ijfaema.v3i1.38.

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Abstract:
L'objectif de cette étude est d'évaluer dans quelle mesure la libéralisation financière peut apporter un avantage en termes d'amélioration la performance des banques commerciales en Algérie. L'analyse a porté sur un échantillon de 17 banques commerciales sur une période de quatorze ans (2000-2013). Nous avons utilisé les principaux changements réglementaires qui ont marqué le processus de libéralisation financière en Algérie à partir de l’année 2000. Chaque variable (Dummy) correspond à la date de survenance de la réforme. Pour déterminer l'incidence des changements réglementaires sur la performance financière des banques algériennes, nous avons régressé des variables de rentabilité : ROA et NIM sur des variables de changement réglementaire ainsi que d'autres variables spécifiques aux banques et des variables macroéconomiques. Les résultats de notre analyse suggèrent que les changements réglementaires qui dotent les banques algériennes d’un environnement plus libéral dans l'exercice du métier bancaire ont affiché de pouvoir explicatif de la performance bancaire.
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Larue, Louis. "Focus 26 - janvier 2021." Regards économiques, January 28, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.01.28.01.

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Abstract:
Les crypto-monnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, animent le débat public depuis au moins 10 ans. A leur avènement, les banques centrales se sont montrées pour le moins frileuses. Ainsi, dans un rapport publié en 2013, la Banque centrale européenne (BCE) avertissait que la nature non réglementée de ces monnaies pourrait exposer leurs utilisateurs à des risques élevés. Plusieurs années plus tard, les banquiers centraux reconnaissent maintenant leur potentiel. La Banque d'Angleterre, la Banque centrale suédoise et la BCE étudient toutes intensément la possibilité d'émettre leur propre monnaie numérique (ci-après dénommée «monnaie numérique de banque centrale» ou «central bank digital currencies» en anglais). Cet enthousiasme est-il justifié ? Les banques centrales devraient-elles créer leur propre monnaie numérique ? Ce focus de Regards économiques présente d’abord brièvement ce que sont ces monnaies. Il expose ensuite les raisons justifiant leur éventuelle introduction et détaille finalement les risques qu’elles pourraient poser.
 Notons tout d’abord que ces monnaies ne sont pas une copie «publique» des crypto-monnaies privées. Les banques centrales rejettent en effet la nature décentralisée et l’absence de gouvernance unifiée du Bitcoin et des crypto-monnaies similaires. Par ailleurs, la nature «numérique» de ces nouvelles monnaies n’est pas vraiment une innovation. La majorité de la masse monétaire prend déjà une forme numérique. A côté de la monnaie «physique» (pièces et billets), la plus grande partie de notre monnaie est constituée de dépôts bancaires privés et de dépôts à la banque centrale (la monnaie de réserve). Pour l'instant, seules les banques et certaines institutions financières ont accès aux réserves de la banque centrale. La véritable innovation au cœur des monnaies numériques de banque centrale serait de donner aux particuliers et aux entreprises la possibilité de détenir de l'argent sous forme de dépôts directement auprès de la banque centrale. En somme, les monnaies numériques de banques centrales, malgré leur nom, ne formeraient pas une nouvelle monnaie, mais plutôt un nouveau moyen de payement, labellisé en euros, et de valeur équivalente à l’euro. Pour quelles raisons une banque centrale pourrait-elle donner cette opportunité à toutes et tous ?
 Une première raison est liée à la dépendance des banques centrales vis-à-vis du système financier. Le système financier moderne est basé sur une certaine division du travail entre les banques commerciales qui sont chargées de prêter de l'argent au secteur productif, et les banques centrales qui supervisent les premières et tentent d'influencer l'économie par des interventions sur les marchés financiers. Schématiquement, ces dernières tentent de peser sur le comportement des premières de deux manières : soit en modifiant le taux d’intérêt auquel les acteurs financiers peuvent leur emprunter de l’argent, soit via l’achat ou la vente d’actifs financiers. Cela signifie que les banques centrales n'ont qu'une influence indirecte sur l'économie productive et qu'elles dépendent des banques commerciales pour canaliser la politique monétaire. Lors de la crise financière de 2007-2008, par exemple, la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales a conduit les premières à injecter des milliards d'euros et de dollars sur les marchés financiers, dans l'espoir que les banques commerciales utilisent cet argent pour des investissements productifs. Or, l’efficacité de ces politiques est loin d’être démontrée. D’aucuns s’effraient que cette situation ne génère des bulles spéculatives et ne privilégie indûment les banques commerciales, sans que ces dernières ne financent l’économie productive à la hauteur des espérances des banquiers centraux.
 La mise en œuvre de monnaies numériques de banque centrale à grande échelle pourrait modifier radicalement cette situation. Cela offrirait un système de paiement alternatif qui ne serait pas géré par le secteur bancaire commercial. Les citoyens pourraient également choisir de placer leurs économies sur un compte à la banque centrale qui, par définition, serait plus sûr qu’un compte dans une banque commerciale. En outre, l'introduction de ces monnaies réduirait la dépendance des banques centrales vis-à-vis des banques commerciales en permettant aux banques centrales de créditer directement les comptes des citoyens ou des entreprises, sans nécessairement recourir à des intermédiaires bancaires. Par conséquent, l'introduction de ces monnaies pourrait rendre la politique monétaire plus directe et plus simple.
 A première vue, donc, on pourrait se réjouir de la possibilité de limiter la dépendance des banques centrales par rapport aux banques commerciales. Il convient cependant de considérer plusieurs problèmes importants.
 Premièrement, si les particuliers et les entreprises décident de considérer leur banque centrale comme leur fournisseur de services bancaires, ne risque-t-on pas de rendre les banques commerciales obsolètes et superflues ? Dans ce cas extrême, ni les citoyens ni les banques centrales n'auraient plus besoin d'intermédiaires pour l’octroi de crédits et l’accueil de dépôts. Les banques commerciales garderaient sans doute le rôle d’intermédiaire sur les marchés financiers, mais manqueraient d'une source de financement appropriée (les dépôts des clients) et perdraient une de leurs principales activités (les prêts). La taille des marchés financiers pourrait se réduire considérablement. Cela pourrait fragiliser la santé économique des banques commerciales et celle des marchés financiers dans leur ensemble.
 Un deuxième problème concerne l’équilibre des pouvoirs entre gouvernements, banques centrales et banques commerciales. À la suite de la crise financière, les banques centrales ont déjà acquis d'énormes pouvoirs. La BCE a par exemple participé à la Troïka en Grèce et dicté des réformes économiques structurelles dans ce pays. La Réserve fédérale américaine (la Fed), la BCE et la Banque d'Angleterre ont également obtenu des pouvoirs supplémentaires de supervision du système bancaire. Et elles sont toutes intervenues massivement sur les marchés financiers, par l'achat massif d'obligations et de titres. L’introduction de monnaies numériques de banque centrale renforcerait ces tendances et accroîtrait le poids des banques centrales sur les marchés financiers, en leur donnant un accès direct aux comptes des citoyens et des entreprises, et en leur permettant de contourner les acteurs financiers commerciaux. Ce déséquilibre de pouvoir pourrait encore accroître le déficit démocratique dont souffrent les banques centrales. Par ailleurs, les banques centrales, si elles sont amenées à fournir des services bancaires et à alimenter l'économie productive par le crédit, pourraient être entraînées dans d’importants conflits d'intérêts. En effet, ces dernières deviendraient leur propre régulateur.
 En conclusion, il est certain que les monnaies numériques de banque centrale suscitent un débat intéressant sur le rôle des banques centrales dans le système financier. D’une part, elles pourraient constituer une piste de solution à la dépendance des banques centrales vis-à-vis des marchés financiers. Cependant, elles pourraient également conduire à accroître démesurément les pouvoirs des banques centrales et à fragiliser les marchés financiers en rendant le financement des banques commerciales plus complexe. L’enjeu, en définitive, est le partage du pouvoir financier entre banques commerciales et banques centrales – un débat qui dépasse de loin l’objectif de ce focus, et qu’il ne prétend pas trancher.
 Pour aller plus loin :
 Larue, L., Fontan, C. et Sandberg, J. (2020). The promises and perils of Central Bank Digital Currencies. Revue de la Régulation, Numéro 28.
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Koeune, Jean-Claude. "Numéro 8 - mars 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16213.

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Abstract:
En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe.
 Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale.
 Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire.
 La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application.
 Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination.
 De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie.
 Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle.
 L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC.
 Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays.
 Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit.
 Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
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48

Koeune, Jean-Claude. "Numéro 8 - mars 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.03.01.

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Abstract:
En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe.
 Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale.
 Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire.
 La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application.
 Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination.
 De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie.
 Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle.
 L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC.
 Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays.
 Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit.
 Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
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MANSOURI, Houda. "Impact de la Transformation Digitale des Banques Marocaines sur leur Proximité Relationnelle avec les TPE." August 5, 2023. https://doi.org/10.5281/zenodo.8217797.

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Abstract:
La majorité des recherches et des études en management confirment le caractère nécessaire de la proximité relationnelle entre la banque et la TPE. A l’ère de la banque 3.0, la stratégie de la banque étant de plus en plus intrinsèquement digitale, nous visons à comprendre l’impact de la transformation digitale de la banque sur la proximité relationnelle avec la TPE. Nous avons mené 4 entretiens semi-directifs avec 4 responsables de banques marocaines. Les résultats attestent de la logique relationnelle sur lesquelles sont basées les liens que tissent les banques marocaines avec les TPE. Les stratégies digitales sont, en théorie, également un moyen de poursuivre cette approche relationnelle. Néanmoins, les résultats montrent que la transformation digitale dans les banques marocaines ne permet pas toujours de poursuivre la proximité relationnelle avec la TPE, notamment en raison de : • La faiblesse de la culture digitale des TPE, autre variable de l’équation • Leur préférence du contact humain aux canaux digitaux • La priorisation des banques d’autres objectifs organisationnels
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AIT, OUHAMMOU MERIEM, TALEB NEZHA AIT, and MOHAMMED KHARISS. "LA TRANSFORMATION DIGITALE : QUEL IMPACT SUR LES MÉTIERS BANCAIRES ? CAS DES BANQUES MAROCAINES." October 28, 2019. https://doi.org/10.5281/zenodo.3520289.

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Abstract:
Ce travail a pour objectif d’étudier l’effet de la transformation digitale sur les métiers bancaires en se basant sur une étude empirique auprès de quelques banques au Maroc, les résultats issus de cette étude montrent que le digital dans le secteur des services financiers est incontournable, il transforme le métier de banquier et la relation banque-client.
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