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Mangulu, Motingea. "Esquisse de l'egbuta une langue en passe d'extinction." Studies in African Linguistics 32, no. 2 (2003): 26–98. http://dx.doi.org/10.32473/sal.v32i2.107343.

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Abstract:
L' egbuta dont les elements de grammaire et de lexique sont presentes dans la presente etude est une langue bantoue parlee par un petit groupe enclave par les Ababoa et les Bendza en Territoire d' Aketi dans la Province Orientale, mais dont quelques villages debordent sur I'Equateur. Sa structure suggere qu' il peut etre rattache aux parlers budza (bantou C.37) ou a l'ebango (C.44) et qu'il est en train d'etre influence par les langues environnantes, surtout par Ie lingala, la langue commerciale de I' ouest du pays. Les transformations que subit cette langue se justifient certes par Ie faible effectif de ses locuteurs. Les facteurs les plus determinants pour son extinction sont Ie commerce, I' administration et I' action exercee par un systeme educatif organise depuis I' epoque coloniale en lingala. Sur Ie plan de la linguistique historique pourtant, la langue des Egbuta est peut-etre a ranger parmi les plus anciennes du bassin de l'Itimbiri, region qui fut troublee par la penetration des Ngombe.
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Patricio, Beltamiro. "Enseigner le français au Mozambique : une intervention didactique innovante qui favorise la comparaison des langues en contact." OLBI Journal 12 (December 22, 2022): 333–48. http://dx.doi.org/10.18192/olbij.v12i1.5968.

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Abstract:
Le contexte de notre étude est celui du Mozambique qui est caractérisé par un multilinguisme où le français cohabite avec des langues bantoues en sus du portugais. Dans ce contexte, le français est appris comme une langue étrangère mais sans aucune considération des autres langues connues et pratiquées par les élèves. Cette recherche réinterroge donc cette pratique. Ainsi, notre objectif est de voir l’impact qu’ont les autres langues de la région de Maxixe dans l’apprentissage du français. L’hypothèse majeure à vérifier s’appuie sur les recommandations des derniers travaux des didacticiens du plurilinguisme. Selon ces chercheurs, une approche plurilingue qui s’appuie sur les connaissances des autres langues favorise l’apprentissage d’une nouvelle langue. Pour vérifier cette hypothèse, nous avons recueilli des données dans trois classes où nous avons comparé trois situations : la première dispense l’enseignement du français de manière classique, la seconde articule le français et le portugais et la troisième s’appuie sur la comparaison français vs langues bantoues régionales.
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Darrigol, Adeline. "Politique linguistique et traduction juridique en Guinée équatoriale : pratiques et enjeux." Études littéraires africaines, no. 53 (August 17, 2022): 57–70. http://dx.doi.org/10.7202/1091414ar.

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Abstract:
Outre l’espagnol, qui est la langue coloniale, la Guinée équatoriale compte plusieurs langues bantoues et deux créoles. Dans ce pays plurilingue où l’espagnol est la langue officielle de la justice, la plupart des justiciables ne maîtrisant pas cette langue, des traducteurs et interprètes les assistent pendant la procédure judiciaire et les procès. Cet article pose la question de leur formation professionnelle en vue d’un aménagement linguistique équitable et durable nécessaire au bon fonctionnement de la justice.
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KHANDI MAMBOTE, Noelly. "Esquisse de la description morphologique de sonde, langue bantu H32." Revue du Centre de Recherche Interdisciplinaire de l'Université Pédagogique Nationale 96, no. 1 (2023): 229–40. http://dx.doi.org/10.62362/ypln7554.

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Abstract:
Résumé La présente étude est un essai de description morphologique de la langue sonde, langue bantu Classifiée H32 et parlée dans le secteur Muziama dans le territoire de Feshi dans la Province de Kwango en République démocratique du Congo. Elle tente de découvrir et d’analyser particulièrement les morphèmes grammaticaux ou les préfixes flexionnels des formes nominales et pronominales. L’analyse effectuée nous a permis de relever que le sonde fait partie des langues agglutinantes dont le mot se forme à partir d’un radical auquel se joint de part et d’autre des morphèmes grammaticaux qui permettent de classifier les mots dans les différentes catégories grammaticales et permettre leurs combinaisons sur l’axe syntagmatique. En effet, le sonde dispose des préfixes nominaux des classes, des préfixes pronominaux et des morphèmes de dérivation et de conjugaison.
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5

Hyman, Larry M., and Jeri Moxley. "The Morpheme in Phonological Change." Diachronica 13, no. 2 (1996): 259–82. http://dx.doi.org/10.1075/dia.13.2.04hym.

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Abstract:
SUMMARY This paper addresses a potential problem for the Neogrammarian hypothesis of strict phonetic conditioning of primary sound change and the specific claim by Kiparsky (1973:75) that 'no sound change can depend on morpheme boundaries'. In many Bantu languages *k and *g are palatalized before front vowels only if the velar consonant is morpheme-initial. In order to explain this unusual morphological restriction, an extensive study was undertaken of velar palatalization throughout the Bantu zone of approximately 500 languages. Bantu languages that palatalize velars were found to fall into one of five types, which are systematically related to each other by the nature of environments in which velar palatalization takes place. The morpheme-initial restriction on velar palatalization is shown to result from analogical extensions of the original sound change based on its distribution within Bantu morphology. While the initial sound change is shown to be regular in the Neogrammarian sense, the morphological determinism that we document in this paper shows that speakers may exploit morpheme-based distributions in shaping the direction of phonological change. RÉSUMÉ Dans cet article les auteurs traitent d'un problème potentiel pour l'hypothèse néogrammairienne selon laquelle tout changement des sons doit être conditionné de façon strictement phonétique et également pour la proposition explicite de Kiparsky (1973:75) selon laquelle 'aucun changement phonétique ne pouvait dépasser une frontière morphologique'. Dans beaucoup de langues bantoues, *k and *g sont palatalisés devant les voyelles antérieures seulement si la consonne vélaire se trouve ä l'initial d'un morphème. Pour expliquer cette restriction morphologique inattendue, une étude détaillée a été entreprise de la palatalisation des vélaires ä travers l'ensemble de la zone bantoue (environ 500 langues). Les langues bantoues qui palatalisent les vélaires se répartissent en cinq types différents qui sont systématiquement reliés par la nature des contextes dans lesquels la palatalisation a lieu. Cette étude montre que la restriction du processus ä l'initial d'un morphème résulte d'extensions analogiques du changement phonétique original basées sur sa distribution dans la morphologie bantoue. Bien que le changement phonétique original soit 'régulier' dans le sens néogrammarien, le déterminisme morphologique que documentent les auteurs dans cet article montrent que les locuteurs d'une langue peuvent exploiter les distributions des sons dans les morphèmes pour façonner la direction ultérieure des changements phonologiques. ZUSAMMENFASSUNG Dieser Aufsatz betrifft gleichzeitig die junggrammatische Hypothese von der strikten phonetischen Bedingtheit ursprùnglichen Lautwandels und die besondere Behauptung Kiparskys, daB 'kein Lautwandel von einer Morphem-grenze abhängig sein könne' (1973:75). In vielen Bantu-Sprachen werden *k and *g vor Frontvokalen palatalisiert, jedoch nur dann, wenn der velare Kon-sonant am Anfang des Morphems steht. Um dièse ungewöhliche morpholo-gische Einschränkung zu erklären, wurde eine detaillierte Studie der velaren Palatalisierung durch ein Bantu-Gebiet von etwa 500 Sprachen unternom-men. Bantu-Sprachen, die Palatalisierung aufweisen, erwiesen sich als einem von fünf Typen zugehörig, und zwar jeweils untereinander systematisch in der Weise verwandt, wie die Umgebung beschaffen ist, in welcher velare Palatalisierung stattfindet. So zeigte es sich, daB die morphem-initiale Einschränkung solcher Palatalisierungen als das Ergebnis einer analogischen Erweiterung eines ursprünglichen Lautwandels zu sehen ist, die ihre Grund-lage in der Distribution innerhalb der Bantu-Morphologie hat. Wenngleich es zutrifft, daB der erste Lautwandel im junggrammatischen Sinne gleichmaßig sich vollzog, so zeigt es sich, daB die hier nachgewiesene morphologische Bestimmtheit deutlich macht, daB die Sprecher diese auf dem Morphem ba-sierenden Distributionen in Richtung eines phonologischen Wandels aus-nutzen können.
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Misago, Manoah-Joël, Pascal Tuyubahe, and Epimaque Nshimirimana. "Syntagmes nominaux locatifs de la classe 17 ku en kirundi (JD62)." Revista Odisseia 4, no. 2 (2019): 34–52. http://dx.doi.org/10.21680/1983-2435.2019v4n2id18234.

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Abstract:
Dans les langues bantoues, le préfixe nominal locatif de la classe 17 est généralement employé pour exprimer le lieu. Le but de cet article est de montrer qu’en kirundi (JD62), langue parlée au Burundi, les syntagmes nominaux locatifs de la classe 17 ku n’expriment pas toujours un vrai lieu, et leurs valeurs sémantiques sont particulièrement étendues. Dans cet article, l’étude des diverses valeurs sémantiques de ces syntagmes nominaux locatifs est faite sur base d’un corpus de textes kirundi de BantUgent. Quinze types de valeurs sémantiques ont été identifiés dans l'échantillon considéré. Par rapport à l’action exprimée dans une phrase, le syntagme nominal locatif de la classe 17 peut exprimer le thème, le bénéficiaire, le but, la cause, la manière, le numéral, l’origine, le patient, l’adjuvant, le prix, l’aboutissement, l’agent, la raison, la source et le point de vue.
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Bastin, Y. "Les suffixes causatifs dans les langues bantoues." Africana Linguistica 10, no. 1 (1986): 55–145. http://dx.doi.org/10.3406/aflin.1986.927.

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Bulkens, Annelies. "Quelques thèmes pour ‘pirogue’ dans les langues bantoues." Africana Linguistica 15, no. 1 (2009): 27–58. http://dx.doi.org/10.3406/aflin.2009.1001.

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Rebuschi, Georges. "Classes nominales et genre dans les langues Bantoues." Faits de langues 7, no. 14 (1999): 185–96. http://dx.doi.org/10.3406/flang.1999.1281.

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Hadermann, Pascale. "Grammaticalisation de la structure infinitif verbe dans quelues langues Bantoues." Studies in African Linguistics 25, no. 2 (1996): 155–70. http://dx.doi.org/10.32473/sal.v25i2.107399.

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Abstract:
Dans certaines langues bantoues, nous avons reI eve I' existence de formes verbales complexes ou l'auxilie precede l'auxiliant. Nous nous proposons ici d'analyser quelques-unes de ces formes verbales a partir d'un corpus constitue de langues des zones B40-50 et HIO-H30 (+L) de Guthrie. En realite il y a lieu de distinguer entre deux structures differentes: "infinitifx + verbe conjuguex" et "infinitif + auxiliant". Dans cet article nous examinerons comment ces structures ont pu etre generees et queUes sont les raisons qui motivent leur existence. Nous montrerons qu'il faudra tenir compte de plusieurs parametres, tels que la tendance a accepter un ordre SOV, Ie facteur pragmatique de la mise en emphase et I 'usure phonetique et semantique d'anciennes formes verbales composees.
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Baka, Jean. "Definition de L’adjectif en Langues Bantu." Afrika Focus 14, no. 1 (1998): 43–54. http://dx.doi.org/10.1163/2031356x-01401007.

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Abstract:
Definition of the Adjective in Bantu Languages In Bantu, as in other language groups, the definition of the adjective depends on the type of criteria that one uses. Some authors make use of morphological criteria, some of syntactic criteria and others of semantic criteria. From this variety of criteria there follows a diversity of definitions. One can reach, nevertheless, a more appropriate definition, by having recourse to the whole set of possible criteria but giving primacy to the syntactic ones. Such definition allows us – on the one hand – to bypass the dichotomy between nouns and pronouns which is founded on a purely morphological criterion « the form of the prefix » and – on the other hand – to restrict the meaning of the word 'adjective' to a purely semantic notion.
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Hadermann, Pascale. "Aspects morphologiques et syntaxiques de l'infinitif dans les langues bantoues." Africana Linguistica 11, no. 1 (1994): 79–91. http://dx.doi.org/10.3406/aflin.1994.945.

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Donzo, Jean-Pierre Bunza. "Langues bantoues de l’entre Congo-Ubangi (RD Congo): documentation, reconstruction, classification et contacts avec les langues oubanguiennes." Afrika Focus 28, no. 1 (2015): 109–19. http://dx.doi.org/10.1163/2031356x-02801008.

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Abstract:
This PhD thesis consists of the documentation, reconstruction and classification of ten Bantu langages (bolondó, bonyange, ebudzá, ebwela, libóbi, lingͻmbε, mondóngó, monyͻngͻ, mosángé, págaɓéte) spoken in the geographical area between the Congo and Ubangi Rivers in the northwestern part of the Democratic Republic of the Congo. The study examines the interaction between these languages and seven neighboring Ubangian languages (gbánzírí, gͻbú, maɓó, mbānzā, monzͻmbͻ, ngbandi, ngbaka-mīnāgendē). By means of a lexicostatistical study which determines the degree of lexical similarity between the languages under study, a phylogenetic classification has been established which integrates these languages in the larger sample of 401 Bantu languages used by Grollemund et al. (2015). This quantitative approach has generated Neighbor-Net and Neighbor-Joining networks as well as Bayesian trees, which indicate the internal sub-groups of the Bantu family in general, and more specifically of the Bantu languages of the central Congo basin to which the Bantu languages spoken between the Congo and Ubangi Rivers belong. Subsequently, we have undertaken a descriptive and comparative study of the those languages as well as a study of regular sound correspondances with regard to Proto-Bantu. They possess certain foreign phonemes that have not been reconstructed to Proto-Bantu, such as implosives and labiovelar stops, which have the status of distinct phonemes. The study of these specific sounds suggests that they were borrowed from the neighboring Ubangian languages. The lexical comparison also revealed an interaction between Bantu and Ubangian languages. Certain lexical borrowings were transferred from Bantu to Ubangian, while others moved in the opposite direction. Through the comparative method, we have obtained a phonological reconstruction of the hypothetical ancestor language of these langues. This Proto-Congo-Ubangi Bantu split into two sub-branches, i.e. Proto-Congo Bantu and Proto-Ubangi Bantu.
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Nsuka Nkutsi, François. "Formatifs et auxiliaires dans les langues bantoues : Quelques critères de détermination." Africana Linguistica 10, no. 1 (1986): 337–64. http://dx.doi.org/10.3406/aflin.1986.933.

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Donzo Bunza, Jean-Pierre. "L'idéophone en Ebwela, langue Bantoue du nord-ouest de la RD Congo." Studies in African Linguistics 43, no. 1 (2014): 1–24. http://dx.doi.org/10.32473/sal.v43i1.107267.

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Abstract:
Partant de la définition proposée par (Doke, 1935) de l’idéophone comme représentation vivante d’une idée en sons, nous décrivons, dans cet article, les aspects phonologiques, morphologiques et syntaxiques des mots idéophoniques en Ebwela, langue bantu (C42), d’un peuple minoritaire habitant quelques villages dans le territoire de Lisala, au nord-ouest de la RD Congo. Nos analyses indiquent que l’idéophone, dans cette langue, n’appartient pas à une catégorie spécifique, pour la simple raison qu’il prend selon l’emploi des préfixes de classe et peut se réinterpréter en substantif, adjectif ou verbe.
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Ngadi Maïssa, Laude. "Les traductions des œuvres littéraires de langue française en Afrique du Sud." Tydskrif vir Letterkunde 60, no. 2 (2023): 37–47. http://dx.doi.org/10.17159/tl.v60i2.16208.

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Abstract:
En reprenant le sujet d’étude des Nouveaux Cahiers de l’IFAS consacré au “dix ans (1994-2004) d’échanges littéraires entre l’Afrique du Sud et la France”, l’article analyse la stratégie et le rôle des traducteurs des littératures francophones en Afrique du Sud. En utilisant les outils de la sociologie de la traduction, je montre comment les œuvres d’auteurs francophones s’insèrent dans le circuit littéraire sud-africain tout en établissant une forme de continuité de la francophonie littéraire. Par le biais d’une enquête, j’établis une bibliographie de dix-sept œuvres traduites et, par des échanges avec les traducteurs et la consultation de divers types de sources documentaires, je précise le rôle des différents acteurs littéraires, culturels et politiques dans la production de ces traductions. Je constate que les traductions, réalisées principalement par des universitaires, sont publiées avec le soutien d’institutions françaises. Les œuvres traduites en anglais sont généralement liées à la contestation de l’hégémonie mondiale de cette langue; celles traduites principalement en afrikaans s’expliquent aussi par l’affirmation identitaire et linguistique des traducteurs. Ces derniers, souvent membres du corps académique, cherchent à témoigner de la présence française dans l’histoire de l’Afrique du Sud et confirment, par le choix des œuvres, la domination d’un canon littéraire européen. La retraduction est l’un des facteurs qui expliquent la continuité d’un canon historique occidental, tandis que le nombre limité de traductions des œuvres d’écrivains africains souligne également l’absence de traductions dans les langues continentales, bantoues, etc.
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Kouoh Mboundja, Christian Josué. "De la structure du verbe Bantu: Valeurs du monème -i- en bàlòŋ (Bantu A 13)." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 36 (November 8, 2013): 89–103. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2013.613.

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Abstract:
Dans plusieurs langues Bantu, il est connu que le -i représente le monème du passé. La présence du i- comme marque temporelle du futur, par exemple, est plutôt un fait surprenant. C'est pourtant le cas en bàlòŋ (Bantu A13). La marque du futur semble discontinue et se compose d'un monème tonal haut qui apparaît devant l'actualisateur et d'un monème segmental i- directement préfixé à la base verbale.
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Kersting, Philippe. "Von den Bantu-Sprachen zur Bantu-Bodenerosion: Genealogie und Performativität des Konzepts Bantu." Geographische Zeitschrift 102, no. 3 (2014): 162–74. http://dx.doi.org/10.25162/gz-2014-0017.

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Batumona Adi, Gilbert Kadima. "Etude de la néologie terminologique en Bantu: cas de la cilubalisation des termes français des équipements et matériels de bureau." Afrika Focus 26, no. 1 (2013): 108–28. http://dx.doi.org/10.1163/2031356x-02601009.

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Abstract:
« L’étude de la néologie terminologique en bantu », à laquelle nous avons done consacré notre thèse de doctorat en langues et cultures africaines, a eu pour point de départ des observations passives mais soutenues que nous avons faites sur de nombreux cas en rapport avec le recours aux technologies occidentales à des fins de modernisation d’un secteur de la vie socioculturelle au Congo-Kinshasa : l’administration publique. Ces technologies occidentales non localisées et fonctionnant dans leurs langues d’origine, connaissent à leur arrivée en République démocratique du Congo une situation de sous-utilisation essentiellement due à une carence terminologique dont font montre Jes langues de ce pays d’accueil, lesquelles (langues) ne sont pas suffisamment aptes à prendre les (technologies) en charge. Nous fondant sur de riches enseignements issus de l’analyse de cene situation atypique, dans la problématique de notre thèse, nous avons fait un constat que cene modernisation de l’administration assistée avec le recours aux technologies d’importation pose, en République démocratique du Congo, un réel problème deportée organisationnelle, économique et linguistique à la fois. Les raisons qui motivent ces conclusions sont fondées sur le fait que parmi de nombreuses difficultés qu’éprouvent les utilisateurs congolais de ces technologies, figurent non seulement des difficultés de savoir en faire usage, mais également celles de trouver des termes appropriés, susceptibles de les nommer dans leurs prop res langues. C’est dans ce contexte que nous avons relevé le lien entre l’économie et la linguistique et partant de cene dernière discipline, nous avons également découvert la nécessite d’une recherche néonymique devant aboutir à l’elaboration d’un outil lexicographique ou terminologique multilingue, susceptible de soutenir les utilisateurs cibles quant aux efforts d’appropriation de ces technologies dans leurs propres langues.
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Ingouacka, Guy-Cyr, and Eugène Shimamungu. "Représentation du temps en bantu. Système comparé du lingala et du kinyarwanda." Revue québécoise de linguistique 23, no. 2 (2009): 47–71. http://dx.doi.org/10.7202/603092ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le kinyarwanda et le lingala, l’un vernaculaire, l’autre véhiculaire, sont représentatifs respectivement d’un système complexe et d’un système réduit parmi les langues bantu. Le système du lingala, basé sur l’expression de l’aspect, oppose les formes qui expriment le révolu à celles qui expriment le non-révolu (absence/présence du morphème |(-)ko-|. Le système du kinyarwanda oppose, quant à l’expression du temps, les formes hypothétiques (infinitif, optatif et potentiel) qui ne peuvent exprimer que le présent et le futur, à la forme thétique, l’indicatif, qui peut exprimer, en plus du présent et du futur, le passé. Il apparaît que, du plus au moins complexe, le système fondamental commun aux deux langues reste basé sur un schème binaire d’oppositions : actuel/virtuel, révolu/non-révolu, sans position intermédiaire.
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Ngom, Gilbert. "L'égyptien et les langues bantu : Le cas du duala." Présence Africaine 149-150, no. 1 (1989): 214. http://dx.doi.org/10.3917/presa.149.0214.

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Rekanga, Jean-Paul. "Les réflexes du protobantou en myene-nkomi, langue bantoue du Gabon." Africana Linguistica 11, no. 1 (1994): 149–67. http://dx.doi.org/10.3406/aflin.1994.951.

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Ankei, Yuji. "Nomenclatures comparées de mammifères dans deux langues bantoues : Songola (D 24) et Ombo (C-69)." Journal d'agriculture traditionnelle et de botanique appliquée 33, no. 1 (1986): 243–53. http://dx.doi.org/10.3406/jatba.1986.3954.

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Nzang Bie, Yolande. "La dérivation causative dans les langues bantu du groupe A 70." Africana Linguistica 14, no. 1 (2008): 85–107. http://dx.doi.org/10.3406/aflin.2008.1051.

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Mberamihigo, Ferdinand, Gilles-Maurice De Schryver, and Koen Bostoen. "Entre modalité et conditionnalité." Studies in African Linguistics 49, no. 2 (2020): 241–72. http://dx.doi.org/10.32473/sal.v49i2.125887.

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Abstract:
In the Bantu language Kirundi (JD62), the verbal prefix oo- has traditionally been described as either conditional or potential. In this article, we show by means of a corpus-based analysis of its uses that it is first and foremost a modal prefix, and its conditional use is only a secondary development.
 Dans la langue bantoue kirundi (JD62), le préfixe verbal oo‑ a été décrit comme un marqueur soit du conditionnel, soit du potentiel. Dans cet article, nous montrons à partir d’une analyse de corpus qu’il est avant tout un préfixe modal et que son usage comme marque du conditionnel n’est qu’un développement secondaire
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Gombé-Apondza, Guy-Roger Cyriac. "Syntagme qualificatif en akwá, langue bantu (C22) parlée en République du Congo." Cahiers Africains de rhétorique 1, no. 2 (2022): 24–36. http://dx.doi.org/10.55595/ga2022.

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Abstract:
The present work describes, based on European structuralism, the qualifying phrase in Akwá, a language classified by the linguistic literature in zone C and group C20. The qualifying phrase is obviously a phrase with qualifying determination, fundamentally constituted around two elements, which are the qualified, and the qualifying. Depending on whether it is unmarked or marked, this syntagm can be made up of elements, which follow one another without a relator or can belinked to one another by means of a copula verb or a functional of the prepositive type. Keywords: phrase, qualifying phrase, qualified, qualifying, akwá.
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Koni Muluwa, Joseph, and Koen A. G. Bostoen. "La diphtongaison dans les langues bantu B70-80 (Bandundu, RDC) : typologie et classification historique." Africana Linguistica 18, no. 1 (2012): 355–86. http://dx.doi.org/10.3406/aflin.2012.1015.

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Philippson, Gérard. "Evolution des systèmes prosodiques dans les langues bantu : de la typologie à la diachronie." Faits de langues 6, no. 11 (1998): 429–40. http://dx.doi.org/10.3406/flang.1998.1225.

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Paulian, Christianne. "La dérivation verbale dans une langue bantu atypique : le cas du küküa." Faits de langues 6, no. 11 (1998): 377–90. http://dx.doi.org/10.3406/flang.1998.1221.

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MONTLAHUC, Marie-Laure. "La classe 15 en chaga, langue bantu du nord de la Tanzanie." Bulletin de la Société de Linguistique de Paris 91, no. 1 (1996): 335–37. http://dx.doi.org/10.2143/bsl.91.1.2002524.

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Sévry, Jean. "Registres, niveaux de langue et manipulations idéologiques : à propos de traductions de Chaka, une épopée bantoue de Thomas Mofolo." Palimpsestes, no. 10 (September 1, 1996): 141–54. http://dx.doi.org/10.4000/palimpsestes.1515.

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Botne, Robert. "The Evolution of Future Tenses from Serial 'Say' Constructions in Central Eastern Bantu." Diachronica 15, no. 2 (1998): 207–30. http://dx.doi.org/10.1075/dia.15.2.02bot.

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Abstract:
SUMMARY Future tense markers have been shown to arise from a variety of verbal sources, among them motion verbs and volitional verbs. In a small number of central eastern Bantu languages, a verb 'say' has developed into a future marker, a phenomenon not previously noted in the literature. In this study, the author presents a description and analysis of this grammatical shift, proposing two principal paths of evolution: decategorialization and auxiliation. RÉSUMÉ Les marques de temps futur proviennent d'une grande variété de sources verbales, parmi elles les verbes de mouveet et volition. Dans un petit nombre de langues bantoues du centre-est, on trouve un verbe 'dire' qui est devenu une marque de futur, un phénomène non-signalé dans la litterature jusqu'à présent. Dans l'étude actuelle l'auteur présente une description et une analyse de cette modification grammaticale, proposant deux voies principales d'évo-lu-tion: 'decategorialization' et 'auxiliation'. ZUSAMMENFASSUNG Tempusmarkierungen fur das Futur haben bekanntlich eine Reihe ver-schiedenener verbaler Ursprünge, u.a. Verben, die Bewegung oder eine Àb-sicht ausdrücken. In einer kleinen Anzahl von mittelöstlichen Bantusprachen z.B. hat sich des Verb, das gewöhnlich 'sprechen' ausdrückt, zu einem Futur-Markierungszeichen entwickelt, eine Erscheinung, die bisher nicht in der wis-senschaftlichen Literatur aufzufinden gewesen ist. In der vorliegenden Arbeit legt der Autor eine Beschreibung und Erklärung dieses grammtischen Wan-dels vor, in denen er zwei hauptsächliche Entwicklungslinien unterscheidet: 'Entkategorisierung' und 'Hilfszeitwortwerdung'.
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Teil-Dautrey, Gisèle. "Et si le proto-bantu était aussi une langue … avec ses contraintes et ses déséquilibres." Diachronica 25, no. 1 (2008): 54–110. http://dx.doi.org/10.1075/dia.25.1.04tei.

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Abstract:
This article aims to define the phonological structure of Proto-Bantu lexical units on the basis of frequencies of reconstructed consonant co-occurrences. Starting from the main reconstructions given in BLR3, I present evidence for the presence of unexpected frequencies indicating imbalances in two directions. Certain consonant co-occurrences have not been reconstructed, essentially consonants sharing the same place of articulation and differing by only one feature, either voicing or nasality. These “gaps” in the proto-lexicon turn out to correspond to more general constraints that tend, on the one hand, towards the differentiation of place of articulation and, on the other hand, on agreement in voicing and nasality. However, in cases where *C1 and *C2 share the same place of articulation, Proto-Bantu seems to prefer identity over similarity. In looking to establish a link between the phonotactic constraints of the mother language and those of daughter languages, the latter take different directions, either a direction identical to that of the mother language, or a divergent one. In the reconstructions, the constraints on the nasality feature show similarities to those present in contemporary languages: Ganda has extended the constraint reconstructed for alveolars to all co-occurrences between a voiced stop and a nasal with the same place of articulation. However, the constraints on voicing generated by the dissimilation rule known as Dahl’s Law go in a divergent direction. I bring support here for the view that Dahl’s Law is in fact a daughter-language innovation. Furthermore, I show that this innovation was probably induced by the imbalances of the mother language; the rule fills Proto-Bantu distributional gaps. Finally, I discuss the implications of this study for the Obligatory Contour Principle (OCP).
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Botne, Robert. "The Pronominal Origin of an Evidential." Diachronica 12, no. 2 (1995): 201–21. http://dx.doi.org/10.1075/dia.12.2.03bot.

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Abstract:
SUMMARY Evidentials most commonly arise from reduced or reanalyzed verbs or tensed verb forms, particularly from performative verbs of saying or hearing. However, in a few seemingly rare examples, this is not the case. In this paper the author presents the case of two evidential particles —ambo and ampo — found in the Pangi variety of Lega, a Bantu language spoken in eastern Zaire. A diachronic analysis is proposed in which it is argued that ambo has derived from a third person personal pronoun. While the case of ampo is not as clear, it is proposed that it, too, ultimately derived from the same third person pronoun, but came into the Pangi variety of Lega via borrowing. RÉSUMÉ Les formes 'évidentiares' proviennent généralement des formes verbales réduites ou re-analysées, surtout des verbes performatifs de dire et de ouïr. Cependant, dans des exemples assez rares, ceci n'est pas le cas. Dans l'article actuel l'auteur présent le cas de deux particules 'évidentiares' — ambo et ampo — qui se trouvent dans le dialecte Pangi du Lega, langue bantoue de l'est du Zaire. Il propose une analyse diachronique dans laquelle ambo provient d'un pronom personnel de la troisième personne du pluriel. Bien que le cas de ampo n'est pas aussi clair, on propose que cette forme provient également du même pronom, mais à travers un emprunt. ZUSAMMENFASSUNG Sog. 'Evidentiale' rühren von reduzierten oder reanalysierten Verbalfor-men oder Zeitverben her, insbesondere performativen, die sagen oder hören zum Inhalt haben. Bei einigen, scheinbar seltenen Beispielen ist dies jedoch nicht der Fall. Im vorliegenden Aufsatz werden zwei Evidentialpartikel vor-geführt —ambo und ampo — die in Pangi, einem Dialekt des Lega, einer Bantu-Sprache des östlichen Zaire zu finder ist. Der Autor schlägt eine diachronische Analyse vor, derzufolge ambo von einem Personalpronomen der 3. Person stammt. Obgleich der Fall von ampó nicht vollends klar ist, wird doch vorgeschlagen, daß auch diese Form denselben Ursprung hat, auch wenn sie durch Entlehung ins Pangi gelangt war.
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Miller, Roy Andrew. "Externalizing Internal Rules." Diachronica 2, no. 2 (1985): 137–65. http://dx.doi.org/10.1075/dia.2.2.02mil.

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Abstract:
SUMMARY Old Japanese, the language of 8th-century texts, frequently displays voicing dissimilation of certain consonants in successive syllables, a phenomenon sometimes (but incorrectly) deemed to have been sporadic, but now understood to have operated according to a rigid pattern of regular phonological constraints ('Lyman's Law") strikingly analogous to Grassmann's Law in Indo-European and Dahl's Law in Bantu. Evidence is offered in this paper, chiefly through the analysis of twenty-seven Japanese-Altaic etymologies (and mostly published for the first time), that argues for interpreting this Old Japanese phenomenon as a direct inheritance from Proto-Altaic, hence also as a further example of a specific variety of deeply-embedded phonological-historical rule variously termed 'floating', 'persistent', or 'permanent' in the recent literature, i.e., as a long-standing internal rule inherited by Japanese from Altaic, but until now recognized solely in the surface manifestations through which this rule was externalized in our Old Japanese texts. RÉSUMÉ Le vieux japonais, la langue des textes du VIIIe siecle, montre souvent la dissimilation du voisement de certaines consonnes dans des syllabes consecutives, phenomene qui parfois (mais a. tort) a ete juge sporadique, mais qui est maintenant entendu d'avoir opere selon un mo-d¸èle rigide de contraintes phonologiques regulieres (la 'lois de Lyman') qui est analogue, d'une facon saississante, aux lois de Grass-maim (pour 1'indo-europeen) et de Dahl (pour le bantous). L'article fournit de 1'èvidence, surtout a travers 1'analyse de 27 etymologies japonaises-altaïques (dont la plupart sont publiees ici pour la premiere fois), en faveur d'une interpretation selon laquelle ce phenomène du vieux japonais represente un heritage direct du proto-altaique, d'ou egalement un exemple supplementaire d'une espèce specifique d'une regie phonologique historique profondement enfoncee qui a ete appelee, dans la litterature recente, 'flottant', 'persistant' ou 'permanent' — en autres mots, comme une règie interne heritee par le japonais de 1'altaique, mais qui n'a ete reconnue que dans ses manifestations de surface par lequelles cette règie a ete exteriorisee dans nos textes du vieux japonais. ZUSAMMENFASSUNG Das Altjapanische, d.h. die in Texten aus dem 8. Jahrhundert ver-wendete Sprache, zeigt häufig die Dissimilation bestimmter stimmhafter Konsonanten in aufeinanderfolgenden Silben, ein Phanomen, das manchmal (jedoch zu unrecht) als sporadisch angesehen wurde. Heute jedoch weißt man, dafi dieser Erscheinung ein festes Muster aus regelmafiigen phonolo-gischen Zwangen zugrundeliegt ('Lymansches Gesetz'), das den Gesetzen von Grassmann (fur das Indogermanische) und Dahl (fur die Bantuspra-chen) auffallend analog ist. Gegenwartiger Aufsatz liefert den Nach-weis — hauptsachlich durch die Analyse von 27 japanisch-altaischen Etymologien (zum großten Teil hier zum ersten Mal veroffentlicht) — daft dieses altjapanische Phanomen als direktes Erbe des Proto-Altai-schen anzusehen sei, von daher als ein weiteres Beispiel für die spe-zifische Vielfalt tief verwurzelter phonologisch-historischer Regeln, die zeitweilig in der jüngeren Literatur wechselnd als '(an der Ober-flache) schwimmend', 'persistent' oder 'permanent' bezeichnet worden sind, d.h. als ein schon seit langem vom Japanischen dem Altaischen er-erbten Gesetz, das bisher nur als eine Oberflachenerscheinung angesehen worden ist, durch die diese Regel in unseren altjapanischen Texten zum Vorschein gekommen sei.
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Melatagia Yonta, Paulin, and Michael Franklin Mbouopda. "Named Entity Recognition in Low-resource Languages using Cross-lingual distributional word representation." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 33 - 2020 - Special... (September 29, 2020). http://dx.doi.org/10.46298/arima.6439.

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Abstract:
International audience Named Entity Recognition (NER) is a fundamental task in many NLP applications that seek to identify and classify expressions such as people, location, and organization names. Many NER systems have been developed, but the annotated data needed for good performances are not available for low-resource languages, such as Cameroonian languages. In this paper we exploit the low frequency of named entities in text to define a new suitable cross-lingual distributional representation for named entity recognition. We build the first Ewondo (a Bantu low-resource language of Cameroon) named entities recognizer by projecting named entity tags from English using our word representation. In terms of Recall, Precision and F-score, the obtained results show the effectiveness of the proposed distributional representation of words La reconnaissance des entités nommées (REN) est une tâche fondamentale du TALN dont le but est d'identifier les expressions telles que les noms de personnes, de lieux et d'organisations dans un texte. Il existe de nos jours plusieurs systèmes de REN, cependant les données nécessaires pour les utiliser dans le traitement des langues peu dotées telles que les langues camerounaises ne sont pas disponibles. Nous exploitons le fait que les entités nommées apparaissent rarement dans les textes pour définir une nouvelle représentation distributionnelle interlingue des mots, qui soit adaptée à la REN. En utilisant notre représentation, nous projectons les entités nommées de l'anglais vers l'ewondo (une langue bantou du Cameroun); nous obtenons donc le tout premier modèle de reconnaissance des entités nommées en langue ewondo. Les résultats en terme de précision, rappel et f-mesure montrent l'efficacité de notre représentation
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Donzo, Jean-Pierre Bunza. "Langues bantoues de l’entre Congo- Ubangi (RD Congo): documentation, reconstruction, classification et contacts avec les langues oubanguiennes." Afrika Focus 28, no. 1 (2015). http://dx.doi.org/10.21825/af.v28i1.4745.

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Abstract:
This PhD thesis consists of the documentation, reconstruction and classfication of ten Bantu languages (bolondo , bonyange, ebudzà , ebwela, lib bi, ling mb , mond ng , mony ng , mos ngé, pagabéte) spoken in the geographical area between the Congo and Ubangi Rivers in the north- western part of the Democratic Republic of the Congo. The study examines the interaction between these languages and seven neighboring Ubangian languages (gb nz r , g b , ma , mb nz , monz mb , ngbandi, ngbaka-m n gend ). By means of a lexicostatistical study which determines the degree of lexical similarity between the languages under study, a phylogenetic classi cation has been established which integrates these languages in the larger sample of 401 Bantu languages used by Grollemund et al. (2015). This quantitative approach has generated Neighbor-Net and Neighbor-Joining networks as well as Bayesian trees, which indicate the in- ternal sub-groups of the Bantu family in general, and more speci cally of the Bantu languages of the central Congo basin to which the Bantu languages spoken between the Congo and Ubangi Rivers belong. Subsequently, we have undertaken a descriptive and comparative study of the those languages as well as a study of regular sound correspondances with regard to Proto-Bantu. They possess certain foreign phonemes that have not been reconstructed to Proto-Bantu, such as im- plosives and labiovelar stops, which have the status of distinct phonemes. The study of these spe- ci c sounds suggests that they were borrowed from the neighboring Ubangian languages. The lexical comparison also revealed an interaction between Bantu and Ubangian languages. Certain lexical borrowings were transferred from Bantu to Ubangian, while others moved in the opposite direction. Through the comparative method, we have obtained a phonological reconstruction of the hypothetical ancestor language of these langues. This Proto-Congo-Ubangi Bantu split into two sub-branches, i.e. Proto-Congo Bantu and Proto-Ubangi Bantu.
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Gombé-Apondza, Guy-Roger Cyriac, and Simpson Dorothy Mbadinga Mbadinga. "Contribution à la fonction complément en isáángu, langue bantu (B42) de la République du Gabon." Cahiers Africains de rhétorique, December 30, 2023, 10–22. http://dx.doi.org/10.55595/grcdmm2023.

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Abstract:
Illustrated using a corpus of three hundred sentences, the present study aims to study, following the functionalist model initiated by André Martinet, the different types of complement function in isángu. It emerges from this study that isángu attests to three types of complement function: the object complement function, the complement function of determination and the circumstantial complement function. They can be assumed by several monemes, in particular, nominals, phrases, adverbs, numerals, infinitive, demonstratives and totalizer. Keywords: add-in function, add-in, isangu, syntax
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Kopa wa Kopa, David, та Birgit Ricquier. "Les labiales-vélaires et l’histoire linguistique de trois langues bantu orientales : ɛnyá, mokpá et metóko". Linguistique et langues africaines, № 9(2) (20 грудня 2023). http://dx.doi.org/10.4000/lla.13070.

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Singleton, Michael. "Magie et sorcellerie." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.099.

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Abstract:
Bien avant que Heidegger ait insisté sur la nécessité de poser la bonne question (Fragestellung), les Scolastiques en établissaient l’état (status questionis) avant d’y répondre. Or, les savants occidentaux qui se sont interrogés à propos des phénomènes de la Magie et de la Sorcellerie ont souvent sauté à pieds joints dans le piège ethnocentrique tendu aussi bien par leur tradition gréco-latine et judéo-chrétienne que leur usage d’une langue indoeuropéenne. D’une part, la première a opposé les Vérités objectives de la Raison pure aux dérapages subjectifs de la Déraison émotive et la morale de la Religion révélée à l’immoralité de la superstition satanique. D’autre part, le second, à cause de la distinction factice entre le nom (nature) et le verbe (action adventice) a dissocié comme allant de soi les substances permanentes et profondes des choses de leurs variations accidentelles. Il se fait que ces présupposés paradigmatiques sont ignorés par la plupart des cultures non occidentales et préjugent la compréhension équitable de celles-ci par des esprits occidentaux. Pour bien le comprendre, jusqu’à preuve manifeste du contraire, il faut assumer que l’Autre le soit radicalement : qu’il a fait son monde en fonction de principes primordiaux et de préoccupations pratiques irréductibles à leurs pendants responsables pour le monde occidental et qu’il en parle de manière tout aussi incommensurable. Pour commencer au commencement : tout ce qui fait sens part de et revient à un acteur personnel, à un « Je », incarné dans son corps propre d’instant en instant et incorporé en continu dans sa situation sociohistorique. A supposer que « Je » soit un anthropologue occidental ou occidentalisé (il n’y en a pas d’autres) alors il aborde les faits ou les construits culturels d’autrui avec le déjà tout fait chez lui dont sa rationalité (scientifique) et sa religiosité (chrétienne) avec le risque d’identifier son interlocuteur indigène comme lui-même en plus petit et en moins performant. Le seul moyen d’éviter cette réduction des réalités d’autrui aux réalisations de chez soi est de le rencontrer en fonction de prémisses purement heuristiques telles qu’en amont, la primordialité de l’Agir et en aval, la localisation des actions de fait dans des lieux particuliers. Si tous les vivants, les humains inclus, cherchent à en sortir, justement, vivants, ils le font dans le milieu ou mode de (re)production où ils se retrouvent et avec la mentalité et selon les mœurs qui s’y trouvent. C’est dire que l’abc de l’approche anthropologique est d’ordre topologique : à chaque lieu (topos) sa logique et son langage. Or, abstraction faite de son dénigrement rationaliste et religieux, la magie définie comme la confiance (aveugle) dans l’efficacité (automatique) du recours (rigoureux voire rigoriste) à des moyens (mécaniques), des gestes (immuables) et des formules (figées), possède en propre un milieu où il a droit d’avoir lieu. Néanmoins, commençons par le non-lieu de la magie. Chez les Pygmées Bambuti du Congo il n’y a ni prêtre ni politicien, ni policier ni professeur, ni plombier ni prédateur. Par conséquence, en l’absence de tout Dehors pesant, idéologique ou institutionnel, il est tout à fait topo-logique que dans ses rapports avec les siens et la Forêt le « Je » le Mbuti ne se fie qu’à son dedans. D’où le fait que les topographes du monde pygmée ont constaté non seulement qu’il était sans magie aucune mais que sa religiosité étant une affaire de pure spiritualité personnelle il y avait peu de sens à parler d’une religion pygmée faute de spéculations dogmatiques et de structures cléricales. Par contre, chez leurs voisins, des agriculteurs bantous, les mêmes topographes (surtout les théologiens parmi eux) ont conclu que la magie avait largement pris le dessus sur le religieux. Mais, de nouveau, rien de plus topologiquement normal dans ce constat. Quand, dans un village bantou ou dans une paroisse ouvrière, tout vous tombe dessus en permanence du dehors et d’en haut, il n’y a guère de place pour le genre de religiosité profonde que peuvent se permettre des gens soit libres de leurs moyens soit en ayant peu. Quand les ancêtres ou l’administration vous ont imposé des tabous et des interdits dont le non-respect même involontaire entraine des sanctions immédiates et automatiques, quand votre comportement quotidien est préprogrammé à la lettre de votre condition sociale, de votre âge et sexe, quand pour faire face vous avez besoin des autorités et des experts, quand en respectant minutieusement le règlement vous évitez les ennuis et quand en remplissant correctement les formulaires des allocations familiales et autres vous sont acquises comme par magie… comment ne pas croire que des objets matériels et des opérations rituels produisent infailliblement par le simple fait d’avoir été scrupuleusement activés (ex opere operato) les objectifs escomptés ? Entre le respect irréfléchi des tabous ancestraux et l’observance stricte des commandements de l’Eglise, entre le recours à des amulettes prescrites par votre « sorcier » traitant et la foi dans les médailles miraculeuses distribuées par votre curé paroissial, entre l’efficacité ipso facto des malédictions et des bénédictions du magicien villageois et les paroles de transsubstantiation d’un prêtre catholique (même en vue d’une messe noire), il y a beau béer une abime théologique, topologiquement parlant c’est du pareil au même. De ce point de vue topologique, les missionnaires, notamment catholiques, n’ont pas tant converti le païen superstitieux à la religion révélée que remplacé la magie indigène par un succédané chrétien. Si, en devenant catholiques les WaKonongo que j’ai côtoyé dans la Tanzanie profonde entre 1969 et 1972 ont cessé de sacrifier un poulet noir à Katabi et commencé à se payer des messes à la Vierge contre la sécheresse c’est que restés foncièrement pagani ou ruraux, cette nouvelle interlocutrice leur était parue plus faiseuse de pluie que le préposé d’antan. Avant d’éventuellement passer à leur consécration ou à leur condamnation, il faut enlever dans la présence ou l’absence du langage et de la logique ritualiste (décrits et parfois décriés comme « la mentalité et mécanique magique ») tout ce qui relève inéluctablement du lieu. Ce ne sont pas les seuls rationalistes ou religieux occidentaux qui, en escamotant leurs conditions topologiques, se sont lancés dans appréciations et dépréciations intempestives de la magie et la sorcellerie. Les Pygmées préférant faire l’amour avec des femmes réglées se moquaient de la peur bleue du sang menstruel éprouvée par des Bantous. Débarqués volontairement au village, ils faisaient semblant de croire aux menées mortelles des sorciers afin de ne pas compromettre les ponctions qu’ils opéraient auprès de leur prétendus « Maîtres ». Les Ik, les pendants ougandais des Bambuti, tout en sachant que des rites magiques (sacrifice du poulet ou de la messe) ne pouvaient pas produire de la pluie en inventaient de toutes pièces pour profiter de la crédulité de leurs voisins pasteurs et agriculteurs. Il existe donc des lieux sans sorcellerie. Mais si c’est le cas, c’est surtout parce que pas plus que Le Mariage ou La Maladie et un tas d’autres choses du même gabarit onto-épistémologique, La Sorcellerie « ça » n’existe pas en tant qu’une substantialité qui serait solidement significative indépendamment de ses manifestations singulièrement situées. N’existent pleinement en définitive que des mariés, des malades et des sorciers. Le fait de s’exprimer en une langue indoeuropéenne induit cette illusion essentialiste que les pratiquants d’une autre langue ne partagent pas. En disant « il pleut » ou « it’s raining » nous imaginons instinctivement que le sujet de la phrase représente une entité essentielle, la pluie, qui existe au préalable avant, comme le verbe l’implique, qu’il se mette tout d’un coup mais après coup à pleuvoir. Or, et de manière autrement plus phénoménologiquement plausible, un peuple indien de l’Amérique du Nord, les Hopi, non seulement pensent uniquement à un processus, « la pluviation », mais quand ils en parlent ciblent une expérience particulière. Forcé et contraint par les évidences ethnographiques, ayant eu à enquêter sur des cas concrets de sorcellerie entre autres en Tanzanie, au Nigeria, au Congo, en Ethiopie et au Sénégal, j’ai chaque fois eu l’impression non pas d’avoir eu affaire à des variations de la Sorcellerie ut sic et en soi mais à des individus et des instances aussi incompressibles qu’incommensurables entre eux. Débarqué chez les WaKonongo non seulement avec des histoires de sorcellerie à l’occidentale en tête mais l’esprit empli d’élucubrations théoriques que j’imaginais devoir faire universellement loi et univoquement foi, mes interlocuteurs m’ont vite fait comprendre que je me trouvais ailleurs dans un monde tout autre. Puisqu’ils parlaient de mchawi et de mlozi, ayant en tête la distinction zande, j’ai demandé si le premier n’était pas mal intentionné à l’insu de son plein gré là où le second empoisonnait littéralement la vie des siens. Ils m’ont répondu n’avoir jamais pensé à cette possibilité, mais qu’ils allaient y réfléchir ! En conséquence, j’ai cessé de les harceler avec mes questions me contentant d’observer ce qu’ils disaient d’eux-mêmes et de participer à ce qu’ils faisaient – y inclus à des procès contre des sorciers. Ignorant notre dualisme manichéen (le Bon Dieu luttant avec le Mal incarné pour sauver les âmes du péché) ainsi que des manuels rédigés par des Inquisiteurs célibataires obsédés par « la chose », leurs sorciers n’avaient jamais pensé qu’ils pouvaient profiter d’un pacte avec le Diable et donner libre cours en sa compagnie à leur perversité sexuelle. Anthropophages, leurs sorciers avaient surtout faim (comme les WaKonongo eux-mêmes lors de la soudure ou des famines) et se débrouillaient sans faire appel à des démons. En outre, loin s’en faut, tous les wachawi n’étaient pas méchamment mauvais. Lors d’une réunion pour créer un village ujamaa personne n’a bronché quand parmi les spécialistes requis quelqu’un proposait un sorcier. « Etre vieux » et « être sorcier » semblaient parfois synonyme – peut-être comme l’aurait dit Gabriel Marcel, à cause du mystère qui entoure l’autorité des survivants. Traité de sorcier moi-même, on m’a rassuré que je comptais parmi les wachawi wa mchana (de plein jour) et non wa usiku (de la nuit). Si j’ai dû quitter précipitamment mon village c’est qu’à l’encontre des miens, contents d’avoir eu enfin affaire à un Blanc au courant du programme africain, les autorités du pays n’appréciaient guère le fait que j’aurais téléguidé des serpents sur un village rival. A première vue paradoxalement, la sorcellerie fonctionnait comme un mécanisme de justice distributive : ayant proposé de lui procurer de la tôle ondulée, un voisin dynamique a décliné mon offre de peur que le premier à en profiter des vieux jaloux n’envoient de nuit des hyènes dévorer les viscères de sa femme et ses enfants : « tant que tout le monde n’est pas en mesure de se procurer de la tôle » dit la croyance « personne n’y a droit ». Enfin et surtout, quand les WaKonongo parlaient de l’uchawi en général ils ne le faisaient jamais à froid afin d’aboutir au genre d’abstraction analytique d’ordre structurelle et substantialiste qui fait la joie des anthropologues théoriciens. C’était toujours à chaud et de manière heuristique : « n’ayant pas encore deviné le nom du mchawi qui m’en veut à mort je suis bien obligé de le situer dans un nébuleux anonyme ». Entre des hypothétiques sinon chimériques lames de fond qui ont pour nom la Magie ou la Sorcellerie et l’écume ethnographique qui émerge d’une multiplicité de monographies irréductibles, il faut bien choisir. Or, si l’anthropologie est ce que les anthropologues ont fait, font et feront, il n’y a pas de raison de croire que, pour l’essentiel, les magiciens et les sorciers (les uns plus approximativement que les autres), ne seraient que des avatars sociohistoriques de la Magie ou la Sorcellerie archétypiques fonctionnant comme des Réels de référence transhistorique et transculturels. Avant de les atteler accessoirement à l’une ou l’autre de ses charrues conceptuelles, l’anthropologue a intérêt de s’attarder sur le sort de ses bœufs vivants. En se contentant de faire état de ce que les magiciens et les sorciers ont diversement fait, font distinctement et feront autrement, on risque moins d’être victime de cette illusion d’optique ontologique que Whitehead décriait comme du « misplaced concreteness » - la confusion entre des substances purement spéculatives et la signification toujours singulière des « singletons » sociohistoriquement situées !
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