Academic literature on the topic 'Berenson, bernard, 1865-1959'

In the 1890s the poet Michael Field-the lesbian aunt-and-niece couple, Katharine Bradley (1846 -1914) and Edith Cooper (1862-1913)-were close friends with the art connoisseur Bernard Berenson (1865-1959). Under the influence of Walter Pater,the three avidly discussed the connections uniting the artwork, viewer, and artist. Critics have long known that Cooper fell passionately in love with Berenson, but no one has examined this relationship closely. This essay uses the Michael Field poems, letters, and diaries to explore the impact of falling in love with a man on the Bradly-Cooper relationship and their poetry. Cooper felt that she and Berenson were faun-like creatures who instinctively understood each other on a deeper level than the physical. Berenson sought Cooper's ethereal independence while he was courting a married woman;Cooper turned to him when she wanted a more separate life from her aunt. Berenson never forgot Cooper's intense emotional response to visual art, a response that represented his aesthetic ideal. Cooper experienced a burst of creativity, reliving her intoxicating love in verse and prose. Bradley, as the older woman, struggled to reconcile herself to this attractive, destructive male intrusion into Michael Field's poetic and personal "oneness." The three drew on the emotions that they stirred in each other as a source of inspiration, but each discovered that emotion can outrun aesthetics.

Este artigo trata das relações inusitadas do historiador da arte e connoisseur, Bernard Berenson (1865-1959), e a crítica de arte italiana, Margherita Sarfatti (1880-1961), com o meio artístico modernista de Buenos Aires, entre os anos 1940 e 1950. Procuramos assim elucidar a tradução, primeiro para o castelhano e depois para o português, de Aesthetics and History, de Berenson, e sua circulação no contexto sul-americano.

Cette etude envisage essentiellement les relations de bernard berenson (1865-1959), historien d'art americain, avec les milieux artistiques litteraires et politiques francais. Ses echanges avec la societe et la culture francaises furent constants. Son premier contact avec la france remonte a l'annee 1887 durant laquelle il assista aux representations theatrales de sardou et decouvrit l'art de puvis de chavannes et les romans de bourget. Ensuite, il ne cessera de s'interesser a la france, a ses evenements artistiques, son activite politique et son marche de l'art. Ses theories esthetiques furent revolutionnaires. Elles remettaient en cause la theorie du milieu de taine, lui substituant une histoire de l'art experimentale. Berenson fut celebre dans son domaine jusque vers 1940 apres quoi, il se heurta aux idees modernistes de la nouvelle generation d'historiens de l'art. Il eut pour disciples spirituels louis gillet et jean alazard. Son oeuvre et sa personnalite eurent un gros impact sur les romans de bourget et sur l'oeuvre de charles du bos et proust. Il se rallia spirituellement aux ecrivains catholiques tels que mauriac, et ecrivit son journal sous l'influence de gide. En matiere artistique, il s'interessa a l'art de maurice denis et de rene piot a qui il commanda une fresque pour sa villa de fiesole. Leur art d'inspiration religieuse et se referant a la technique des maitres anciens de la renaissance repondait a ses besoins. Il resta cependant ferme a l'art des contemporains juge decadent. Sur le marche de l'art, il fut un expert renomme, et travailla avec les grands marchands tels que georges wildenstein. Il etait connu de tous les grands collectionneurs francais, mais ses expertises servirent davantage le collectionnisme americain. En france, il fut considere comme un des derniers representants de la culture humaniste.