Academic literature on the topic 'Beyala, Calixthe (1961-....) – Critique et interprétation'

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Dissertations / Theses on the topic "Beyala, Calixthe (1961-....) – Critique et interprétation"

1

Effah, Charline Patricia. "L'Espace et le temps chez Calixthe Beyala." Lille 3, 2008. http://www.theses.fr/2008LIL30037.

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Abstract:
Calixthe Beyala fait partie de cette nouvelle génération des écrivains africains qui tentent de redéfinir la place de la femme dans la société. C'est à travers le parcours et le regard des personnages féminins que l'espace et le temps se révèlent au lecteur. Notre analyse se propose d'élucider l'organisation spatio-temporelle de trois romans de Beyala. Nous tenterons, de cette manière, sans avoir l'intention d'occulter la forte empreinte féministe qui caractérise ses écrits, d'élargir le champ d'investigation en considérant des points à mi-chemin entre la philosophie et la métaphysique. Après avoir relevé que l'organisation spatiale se révèle à travers une structuration bipolaire qui témoigne de la quête identitaire de la femme divisée entre deux mondes et deux modes de vie, nous montrerons que le temps, considéré comme l'écoulement des évènements s'organise autour de deux concepts : le temps de l'histoire et le temps du récit pour terminer dans la mise en exergue de la corrélation entre l'idéologie Béyalienne et les structures spatio-temporelles
Calixthe Beyala is part of this new generation of African writers who is trying to redefined the role of a woman in the society. It is through the course and the eyes of female characters that space reveal to the reader. Our analysis is intended to elucidate the organization spatial-temporal three novels of Beyala. We will try in this way, without intending to conceal the strong impression that characterizes feminist writings, to broaden the scope of investigation considering points midway between philosophy and metaphysics. After pointing out the spatial organization is revealed through a bipolar structure reflecting the quest for identity of the woman divided between two worlds and two lifetsyles, we will show that time regarded as the flow of events organised around the concepts : the time of history and time to finish the story in setting out the correlation between ideology and spatial-temporal structures
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2

Manfoumbi, Mve Achille-Fortuné. "L'univers romanesque de Calixthe Beyala : pour une illustration des orientations actuelles du roman féminin d'Afrique noire francophone." Paris 12, 2007. http://www.theses.fr/2007PA120008.

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Abstract:
De son point de départ en 1969 avec "Rencontres essentielles" de Thérèse Kuoh-Moukoury, jusqu'en 1987 lorsque paraît "C'est le soleil qui m'a brûlée" de Calixthe Beyala, le champ romanesque féminin d'Afrique noire francophone se caractérise majoritairement par une très grande pudibonderie, un certain conformisme idéologique et bientôt esthétique. De fait, à travers les neuf romans étudiés, il nous est apparu que la romancière déconstruit la phallocratie, au profit de l'avènement de la "clitocratie". Il s'agit d'un modèle de société sous influence matriarcale, dont le siège est lové dans la capacité érectile du pénis en miniature que constitue le clitoris. Tout comme la phallocratie repose sur la turgescence pénienne, le phallus. Cependant, réduire l'univers romanesque béyalien au terreau libidineux, dont il est communément et d'emblée assimilable, serait passer outre une masse non négligeable de suggestions esthétiques fécondes. En l'espèce, des figures marginales telles les prostituées, les fous, les nymphomanes et les bâtards rejoignent le centre du texte béyalien at par là même, la société. L'humanité dysfonctionnelle comme grille d'analyse de soi, des autres et du monde, celui dit "pôle institutionnalisé", voilà un des enjeux critiques phares que révèle la présente étude. Il en va de même, de la prépondérance chromatique, une distribution coloriste s'opérant essentiellement entre le Rose/Violet, le Blanc, le Noir, le Bleu, le Vert. Mais par dessus tout, le Jaune (très fortement rattaché au soleil et à son incandescence) et le Rouge. Couleur du sang, couleur de la "terre-mère", couleur du pouvoir, qui a échappé à la femme et que les héroïnes de Calixthe Beyala reconquièrent. Celles-ci q'appellent Andela, Beyala, Biloa, Gono ou Ngono. . . Patronymes souvent à forte charge symbolique, et déjà mystique, chez les Eton ; famille ethnique de la romancière et sous-groupe du grand groupe Béti-Boulou-Fang, dont nombre d'artifices, d'éléments des mythologies fondatrices sont revisitées. Veine créatrice orale, épique entre autres, traversant ainsi, personnages, lieux et structures narratives béyaliennes
From its beginning with "Rencontres essentielles" by Thérèse Kuoh-Moukoury in 1969 until 1987 with Calixthe Beyala's "C'est le soleil qui m'a brulée", black women's fiction in Franch-speaking Africa has been characterized by strong prudishness, and by a kind of ideological and (sooner) aesthetic conformism. Actually, the study of the nine novels reveals that the author decontructs phallocracy in favor of the advent of "clitocracy". It is a model of society under matriarchal influence and which relies upon the erectile capacity of the clitoris as a penis on a small scale. In the same way phallocracy relies on the turgescence of the phallus. Yet, reducing Beyalian fictional universe to its libidinous characteristics would overlook significant aesthetic suggestions. In fact characters such as prostitutes, lunatic people, nymphomaniac and bastards are central in Beyala's texts and thus play an important role in society. The crisis of humanity as a self analysis chart, as an analysis of the other and the world (considered as an institutionalised pole), constitutes one of the main interest of this work. The same for the chromatic predominance, the mixture of colours between pink/purple, white, black, blue, green. But yellow (linked to the sun and its incandescence) and red are more predominant. Red referring to blood, mother earth, and power (out of women's control and which Beyala's heroines reconquer). Their names are Andela, Beyala, Biloa, Gono and Ngono. . . Patronymic that are very often charged with symbolic meaning among the Eton, the ethnic group of the novelist and subgroup of the Beti-Boulou-Fang whose tricks and mythologies are revisited. Oral creative vein, epic, going through the author's characters, settings, and narrative structures
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3

Yanzigiye, Béatrice. "L'expression du féminin dans "C'est le soleil qui m'a brûlée" de Calixthe Beyala et "La répudiation" de Rachid Boudjedra : approche narratologique et sémiologique." Bordeaux 3, 2009. http://www.theses.fr/2009BOR30009.

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Abstract:
L’analyse de C’est le soleil qui m’a brûlée de Calixthe Beyala et La Répudiation de Rachid Boudjedra a été conduite selon une étude comparée. La dimension esthétique de l’écriture de ces romans permet d’adopter une approche narrato-sémiologique, en vue de dévoiler la façon dont sont représentées les conditions dans lesquelles vit la femme en Afrique noire et au Maghreb. Les textes fonctionnent comme un vaste chantier de construction romanesque. Celui-ci présuppose une matière langagière et des techniques narratives adéquates en vue de faire exister la figure féminine et de lui accorder le droit d’expression. En fonction de conditions culturelles, politiques et sociales, chaque écrivain délègue un personnage afin de transmettre un message, et partant, de prouver le bien-fondé de sa parole. La lecture plurielle et pluridimensionnelle met au jour une forte volonté de dire ce qui jusque là restait l’indicible. Elle permet de faire remonter en surface le désir longtemps réprimé d’une parole féminine recouverte d’interdits et de voile de tabous. Le point majeur de l’étude consiste à montrer les différentes apparitions des personnages féminins dans les romans du corpus pour mesurer leur impact sur la bipolarité écriture-lecture, ainsi que l’endroit de leur identification dans le narratif. La solution aux impasses de la position féminine est alors envisagée par une écriture-évasion, à la fois libératrice de la mémoire, de la parole et de la pensée de la femme longtemps cloîtrée dans un mutisme. La force et le pouvoir des mots permettent de contourner les barrières érigées par les traditions patriarcales aussi dégradantes que déshonorantes pour la femme
The analysis of C’est le soleil qui m’a brûlée by Calixthe Beyala and that of La Répudiation by Rachid Boudjedra, is certainly a comparative study. The writing aesthetic dimension of these novels helps in tackling the narrato-semiological approach, in order to unveil living condition of a woman in black Africa and in Maghreb. The passages stand as a wide construction of novel design. This one requires a language material and suitable narrative techniques so as to display the feminine character and to attach to it the right of expression. In consideration of cultural, political and social conditions, each writer delegate a character in order to convey a message and to prove the truth of the words. The diverse and multidimensional reading shows a strong will to express an inexpressible. It allows to reveal a long time hidden desire of feminine expression due to prohibitions and tabous. The major challenge to overcome laps in showing different appearences of feminine characters in corpus novels. It is a way to measure their impact on the bipolarity in writing and reading ; as well as their place in the narrative. The solution to the feminine deadlock position is therefore given in escapist writing, liberating the memory, the expression and thought of a woman that has been shut away in a mutism for a long time. The force and the power of words help in overcoming the obstacles brought about by the patriarchal traditions that are both degrading and deshonorable for a woman
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4

Dib, Abir. "Étude comparée sur «l'écriture du corps» chez Calixthe Beyala et Ahlam Mosteghanemi." Thesis, Clermont-Ferrand 2, 2015. http://www.theses.fr/2015CLF20001/document.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d’étudier l’écriture du corps chez deux romancières qui ont l’Afrique comme terre natale ; Ahlam Mosteghanemi de l’Algérie et Calixthe Beyala du Cameroun. Notre analyse trace l’inscription du corps dans une structure symbolique où se croisent discours sociaux et pratiques littéraires. L’écriture du corps, féminin et masculin, est étudiée dans une optique de problématisation des pratiques sociales et littéraires qui lui sont attachées. Plus qu’une simple représentation, le corps devient un travestissement esthétique par lequel les deux romancières contournent la censure pour aborder tous les tabous de leurs sociétés. Ainsi l’espace dudit corps réunit des discours de subversion et de renversement, mais aussi de négociation et d’autocensure. D’autre part le corps sujet d’écriture porte en lui un déchirement, un morcellement et une souffrance et ne semble se concevoir et se vivre que dans la douleur et dans la difficulté d’être. Ce corps textuel sentant et souffrant exprime un rapport au monde et aux autres et s’inscrit dans une quête de confirmation de soi
The goal of this thesis is the study of way tow African novelists describe the body ; Ahlam Mosteghanemi from Algéria and Calixthe Beyala from Cameroon. Our analisis traces the writings about the body to a symbolic structure where social discourses meet literary practices. The writings about the body, male or female, are studied from a perspective locked in the problematics of social and literary practices. More than a simple description, the body becomes an esthetic disguise through which the two novelists bypass censorship to tackle all their cultural taboos. Thus the sphere of the body combines discourses of subversion and reversal as well as negotiation and self censorship. What’s more, the body subject of literature bears in itself a tearing, a division and a suffering and seems to only understand and live its existence in pain and difficulty. This literal body that feels and suffers expresses a relationship to the world and to others and is part of a quest for self-affirmation
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5

Ngolwa, Moïse. "Disqualification de l'homme et (en)jeux symboliques dans l'œuvre romanesque de Calixthe Beyala." Doctoral thesis, Université Laval, 2012. http://hdl.handle.net/20.500.11794/23757.

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Abstract:
Se fondant sur un corpus de huit romans de Calixthe Beyala (C'est le soleil qui m'a brûlée, Le petit prince de Belleville, Maman a un amant, Les honneurs perdus, La petite fille du réverbère, Comment cuisiner son mari à l'africaine, L'homme qui m'offrait le ciel et Le roman de Pauline) publiés entre 1987 et 2009, notre recherche a voulu interroger la disqualification de l'homme au-delà des clichés et des stéréotypes de lecture, en relation avec les enjeux symboliques de l'institution. Écrivaine polymorphe, Beyala, à travers ruses, dénégations, marque son entrée fracassante dans le champ par le meurtre de l'homme. Et, d'un roman à l'autre, la romancière accentue sa singularité par le rabaissement de l'homme. Celui-ci déserte généralement le couple conjugal, abandonne les enfants, ou alors il est pris en charge par la femme qui le soumet. La femme, quant à elle, est pleine de belles initiatives, mène une vie enviable et c'est elle qui pourvoit aux besoins des enfants. Mais ces thématiques sociales permettent à Beyala d'observer de préférence les petites circonscriptions de la vie quotidienne et à les traiter en données immédiates de la conscience sociale au niveau des rapports, à s'attacher à peindre la condition des gens de peu (les minorités, les démunis, les banlieues, l'Afrique) et celle des marginaux ou de ceux qu'on peut prendre pour tels, comme les relations mixtes sur le plan social, la polygamie, les enfants issus de ces relations. Ces sociologies qu'on appellerait de terrain sont, pour Beyala, fort instructives, pour autant qu'on veuille bien en dépasser le particularisme. En effet, la romancière ne saurait penser la réalité globale que construite, en dépit des contingences et incongruités dont elle fait son miel à l'ordinaire, et qui lui a valu une farouche levée de boucliers. Ainsi elle verra dans des formes très excentriques de positionnement de soi des occurrences très banales des stratégies distinctives inhérentes à tout groupement humain. Mais ces formes ne la retiennent que si elle peut s'élever à une conception plus générale des rapports sociaux entre dominants et dominés.
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6

Mansiantima, Nzimbu Clémentine. "De l’éclatement du noyau familial au discours sur la collectivité dans l’œuvre romanesque de Calixthe Beyala." Doctoral thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25237.

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Abstract:
Reposant sur un corpus de huit romans -C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– la recherche doctorale montre que l’éclatement du noyau familial est une constante des fictions de Calixthe Beyala. De l’éclatement du noyau familial en jeu, les romans de Beyala disent le discours sur la collectivité. Ainsi, l’hétérogénéité discursive et textuelle étant une caractéristique capitale, la problématique de l’éclatement du noyau familial est reliée aux faits énonciatifs en tant que mise en œuvre d’un discours polyphonique. Le « je-narrateur », utilisé comme une stratégie rhétorique pour parler d’un « nous », ne serait que l’allégorie ou l’emblème d’une conscience collective. On observe que ce n’est pas seulement un « je » individuel qui s’y exprime mais un «je » préoccupé par la condition de la femme ou de l’enfant. Le désir de représenter la collectivité supplante l’intensité du discours individuel de revendication ou de dénonciation qui hante l’écriture de Beyala. La fiction intègre souvent le littéraire, se construit sur un fond des textes antérieurs, favorise le dialogue avec d’autres genres. Beyala réinvestit également les stéréotypes et clichés sociaux dans sa fiction. Les discours des protagonistes explorent les rapports sociaux, les mécanismes de défense d’attitudes ou de comportements par rapport au réel sociohistorique. Les romans de notre corpus déjouent donc les discours de la doxa pour se poser comme textes multiples. Ce sont des récits de vie qui fictionnalisent les souvenirs racontés par un « je » polyvocal. L’implicite se fonde sur une adhésion à une certaine vision du monde, à un ensemble d’opinions et de croyances. Entre locuteur et interlocuteur, scripteur et lecteur s’instaure une sorte de complicité. Dans l’ensemble, le « je-narrant » est multidimensionnel : enfant, adolescente, femme, africaine, immigrée, romancière, etc. Il s’ensuit que la plupart des textes de Beyala se modulent autour de sa propre identité psychologique, de ses expériences vécues.
Based on a eight-novels corpus –C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– this doctoral research shows that the breakdown of the family unit is a constant theme in the fictions of Calixthe Beyala. From the breakup of the family unit, Beyala’s novels tell the discourse about community. Discursive and textual heterogeneity being a capital characteristic, the dilemma (the problem) of family-unit (family-nucleus) fragmentation is connected to the enunciation facts as implementing a polyphonic discourse. The "I-narrator" used as a rhetorical strategy to talk about a "We" is a mere allegory or emblem of a collective consciousness. One observes that it is not only an individual "I" that is expressed, but an "I" concerned about the status of women or children. The desire to represent community supersedes the intensity of that claim or denunciation individual speech which haunts Beyala’s writing. Often, fiction incorporates literature, is built upon a background of previous texts, and promotes dialogue with other genres. In his fiction, Beyala also reinvests social stereotypes and clichés. The speeches of protagonists explore social relationships, namely the defense mechanisms inside attitudes or behaviors compared to the socio-historical reality. Thus, the novels of our corpus thwart the doxa discourse and stand as multiple texts. These life stories fictionalize the memories told (narrated) by a polyvocal "I". What is implicit is based on adhering to a certain worldview, to a set of opinions and beliefs. Between the speaker and the interlocutor, the writer and the reader, is self-created a kind of complicity. The "narrating I" is overall multidimensional: female child, female teenager, woman, female African, female immigrant, female novelist etc.. Consequently, most of Beyala’s texts are modulated around her own psychological identity, her own experiences.
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