Academic literature on the topic 'Biens communs mondiaux'

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Journal articles on the topic "Biens communs mondiaux"

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Luffin, Xavier. "La Seconde Guerre mondiale, la guerre de l’Autre ? Le conflit mondial dans la littérature arabe (Égypte et Soudan)." Études littéraires africaines, no. 40 (April 5, 2016): 111–23. http://dx.doi.org/10.7202/1035984ar.

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Abstract:
Si la Seconde Guerre mondiale est présente dans la littérature arabe, elle y apparaît toutefois autrement que dans la littérature occidentale, parce qu’il s’agit d’un conflit dont les acteurs principaux sont essentiellement européens, mais aussi parce que, parmi ces acteurs, certains – en l’occurrence la Grande-Bretagne, la France et l’Italie – occupent une partie du monde arabe. Le conflit marque par exemple l’oeuvre de Naguib Mahfouz, notamment dans Le Jardin du passé. Cinquante ans plus tard, il figure aussi dans le roman d’un écrivain soudanais, ‘Adil Sa’ad Yusuf. Si les deux romans présentent bien des points communs, dus notamment à un voisinage culturel et à une occupation britannique commune, le fait notamment que le Soudan a été dominé aussi par l’égypte confère au concept d’impérialisme une dimension particulière.
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Florent, Luc. "L’utilisation du label UNESCO dans la communication touristique." Tourisme et patrimoine mondial 30, no. 2 (September 7, 2012): 17–27. http://dx.doi.org/10.7202/1012238ar.

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Abstract:
Lorsqu’elle a institué la liste du patrimoine mondial, l’UNESCO cherchait avant tout à protéger et valoriser les sites naturels et culturels, biens communs de l’humanité. Si cette fonction reste toujours la préoccupation première, force est de constater que le label « patrimoine mondial de l’humanité » est de plus en plus utilisé comme un argument commercial traduisant la qualité du site. On peut donc se demander comment les touristes perçoivent ce label et comment ils l’utilisent dans le choix de leur destination de séjour touristique. Par un travail d’enquête, nous montrons qu’il est un élément déterminant dans le processus de choix. Nous avons ensuite observé comment les collectivités locales utilisaient ce label dans leur communication Internet et si elles avaient conscience de l’intérêt du public. On constate alors que si certaines peuvent s’en passer, d’autres ont l’impérieuse nécessité de l’utiliser pour augmenter leur attractivité.
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Vachon, Robert. "Système politique intégrationniste et identité culturelle." V. Sociétés intégratrices et migrants, no. 14 (January 14, 2016): 177–86. http://dx.doi.org/10.7202/1034521ar.

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Abstract:
Sans chercher à condamner en bloc, ni le système mondial dans lequel nous vivons, ni toute action ou même politique d’intégration culturelle, l’auteur, dans une première partie, cherche 1) à prendre conscience, un peu plus, de la nature du système (humanisme, norme mondiale, mégamachine), 2) de son caractère intégrationniste incompatible avec les cultures, 3) à partir d’un exemple pris du domaine politique : l’État-nation moderne. Dans une seconde partie, il examine 1) ce que l’on peut faire devant un tel état de choses : comment s’émanciper d’un système politique intégrationniste, tout en étant, forcément, à l’intérieur de lui, 2) en ayant soin de l’illustrer par quelques exemples bien concrets, pris de la pratique politique du Centre Interculturel Monchanin de Montréal.
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Assens, Christophe, and François Coléno. "L’agriculture durable. Comment réconcilier le public et le privé pour la gestion d’un bien commun." Management international 21, no. 4 (October 31, 2018): 136–45. http://dx.doi.org/10.7202/1053583ar.

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Abstract:
Face au réchauffement climatique, à l’augmentation de la population mondiale et aux demandes sociétales il est nécessaire de repenser la diffusion des innovations agricoles en impliquant tout les maillons de la chaîne de valeur agro-alimentaire et en leur fournissant un bénéfice équitable. Dans cet article nous présentons la gestion collective d’une filière du fait d’une gestion en bien commun d’une innovation variétale (la pomme Ariane®). Cette modalité de gestion est permise par un partenariat public-privé original entre un institut de recherche public (l’INRA) et les acteurs de la chaîne de valeur.
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Hugon, Philippe. "Les Frontières de l'ordre concurrentiel et du marché : les Biens Publics Mondiaux et les patrimoines communsl." Géographie, économie, société 6, no. 3 (September 19, 2004): 265–90. http://dx.doi.org/10.3166/ges.6.265-290.

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Green, L. C. "Is World Citizenship a Legal Practicality?" Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 25 (1988): 151–85. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800003167.

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Abstract:
SommaireLe présent article cherche à déterminer dans quelle mesure le droit international, d'origine coutumière ou conventionnelle, peut être utilisé comme fondement pour le développement d'une citoyenneté mondiale. L'analyse révèle en outre qu'à l'époque biblique et classique ancienne le droit traçait des frontières assez étanches entre les droits des citoyens et ceux des étrangers. Toutefois, les "pères" du droit international ont, sans reconnaître la notion de citoyenneté mondiale, voulu reconnaître que certains droit étaient communs à tous, sans égard à la nationalité, alors que d'autres furent d'avis que le prince possédait le droit d'intervenir au nom des étrangers si le principe d'un traitement humain n'était pas respecté à leur égard. Au tournant du dix-neuvième siècle cependant, tout droit d'intervention fondé sur le droit international était devenu très limité et ne devait être exercé qu'en faveur de co-religionnaires, bien qu'à l'occasion un droit plus large était revendiqué, notamment dans le cas où il paraissait être exercé au nom de la société des nations. Il était pas ailleurs clairement reconnu que des demandes d'intervention dans un autre État donnaient lieu à des abus tenant à des raisons politiques ou idéologiques. En ce qui a trait au droit des traités modernes, les diverses conventions relatives aux droits et libertés, à la protection des minorités, aux réfugiés et aux apatrides ne faisaient guère évoluer leur statut juridique, bien que ceux-ci se voyaient dorénavant reconnaître des droits dans l'État de résidence, sans toutefois qu'ils puissent bénéficier dans la plupart des cas des mêmes droits politiques que les citoyens locaux. Même à l'intérieur de la Communauté européenne, où se conjuguent des demandes pour une devise et un passeport communs et où est reconnu un droit général d'établissement ayant comme corollaire un abandon de la traditionnelle insistance sur la nationalité des réclamations, une forte opposition à l'instauration d'une citoyenneté commune persiste. De plus, les difficultés économiques semblent causer une xénophobie croissante et voient les citoyens résister à l'extension des droits des étrangers, y compris ceux des sans-abris, les gouvernements résistant dès lors aussi à concéder de tels droits. En conséquence, la possibilité de créer une citoyenneté mondiale paraît nettement moins plausible aujourd'hui que l'ouverture des frontières, sur une basée non restrictive, aux réfugiés et aux apatrides.
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Fortin, Sabrina. "De la donnée personnelle au bien commun." Dossier 70, no. 1 (January 27, 2015): 93–103. http://dx.doi.org/10.7202/1028167ar.

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Abstract:
La recherche sur les populations permet d’améliorer nos conditions de vie en identifiant les facteurs de risque attribuables aux liens entre l’environnement et certains déterminants socio-sanitaires. Elle nécessite de vastes échantillons qui proviendront souvent de renseignements personnels ou de matériel biologique déjà recueillis. Pour les utiliser, la règle générale veut qu’un consentement individuel soit obtenu. Cependant, dans la pratique, il est souvent impossible d’obtenir un tel consentement sans affecter la qualité et la capacité de généralisation des résultats de recherche. Cette obligation de consentement est fondée sur la primauté de la personne et la dignité humaine, qui ont été intégrées dans le droit des personnes à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce principe fondamental a également été inséré au coeur de l’encadrement de la recherche scientifique. La philosophie personnaliste en serait à l’origine. Cet article, après avoir établi la provenance philosophique et historique du principe de dignité humaine, tente de rétablir un certain équilibre entre les intérêts individuels et collectifs impliqués dans la recherche populationnelle.
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Stanton-Jean, Michèle. "Une vision universelle du bien commun dans un contexte mondial de pluralité et de diversité culturelle est-elle possible ?" Dossier 70, no. 1 (January 27, 2015): 85–92. http://dx.doi.org/10.7202/1028166ar.

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Abstract:
Le bien commun est un concept fréquemment utilisé pour aborder la question du vivre ensemble. Rarement défini, on l’utilise pour le critiquer comme le fruit d’une vision occidentale et chrétienne non applicable sur le plan universel ou encore pour en proposer une vision moderne affranchie de sa rigidité traditionnelle. Le texte qui suit se base sur une thèse qui a examiné les principes et les valeurs qui pourraient fonder une vision renouvelée du bien commun, susceptible d’être utilisée dans tous les contextes culturels et historiques, en prenant comme exemple l’élaboration de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme adoptée à la conférence générale de l’UNESCO en 2005.
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Champion, Emmanuelle, and Corinne Gendron. "De la responsabilité sociale à la citoyenneté corporative." Le dossier : Enjeux environnementaux contemporains : les défis de l’écocitoyenneté 18, no. 1 (February 7, 2006): 90–103. http://dx.doi.org/10.7202/012198ar.

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Abstract:
Cet article s’intéresse à l’émergence du nouveau concept de citoyenneté corporative en éthique des affaires. Ce concept normatif cherche à redéfinir le rôle de l’entreprise privée de manière à intégrer à sa mission la prise en charge du bien commun. Le discours éthique ne permet néanmoins pas de remettre en cause la mission d’accumulation de capital inscrite au coeur du statut juridique de l’entreprise, si bien que la notion de citoyenneté corporative alimenterait plutôt une nouvelle stratégie de légitimation : la citoyenneté corporative, en redéfinissant le statut social de l’entreprise privée, contribue à la positionner comme l’institution sociale « mondiale » légitime pour assurer des fonctions jusqu’alors dévolues à l’État.
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Laygues, Arnaud. "Pour une réaffirmation de l’« être-ensemble » par la traduction." Langue, traduction et mondialisation : interactions d’hier, interactions d’aujourd’hui 51, no. 4 (December 11, 2006): 838–47. http://dx.doi.org/10.7202/014346ar.

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Abstract:
Résumé Cet article s’inscrit dans une vision éthique du rôle du traducteur dans le contexte de la mondialisation. Il souligne le comportement nécessaire du traducteur dans un monde global où l’humain et la connaissance sont placés en concurrence face à la marchandisation des rapports interpersonnels. Cette idée sera développée à l’aide de trois notions philosophiques que le traducteur est invité à intégrer dans sa pratique professionnelle : le besoin d’accroître le désir de l’« être-ensemble » ainsi que l’a défini Paul Ricoeur en s’appuyant sur les travaux d’Hannah Arendt ; sa responsabilité dans la protection et la diffusion du « bien commun » écrit ; et, enfin, l’importance de la « philosophie du dialogue » telle qu’elle est présentée par Buber et Marcel et poursuivie par Levinas. En ces temps d’échanges mondiaux, cette intégration vise à préserver l’unicité de la relation humaine.
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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Biens communs mondiaux"

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Cadalen, Pierre-Yves. "Gouverner les communs environnementaux : l'Amazonie en Equateur et en Bolivie : conflictualité socio-écologique, échelles de pouvoir et espace global à l'heure de l'Anthropocène." Electronic Thesis or Diss., Paris, Institut d'études politiques, 2019. http://www.theses.fr/2019IEPP0036.

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Abstract:
La thèse porte sur les relations de pouvoir autour des communs environnementaux en Bolivie et en Equateur au début de ce siècle. La période étudiée court du début des années 2000 à 2014-2015. Le point nodal du travail consiste à étudier les interactions entre la conflictualité socio-écologique des espaces amazoniens dans ces deux pays avec les projections internationales menées par les gouvernements de Rafael Correa en Equateur, et d’Evo Morales en Bolivie. En effet, la question écologique est devenue centrale dans les récits diplomatiques de ces deux gouvernements, élément crucial de leurs politiques d’influence internationale. Les deux premières parties de la thèse sont consacrées aux modalités de projection internationale des deux diplomaties, et au rattrapage de l’autonomie politique de ces pays périphériques, rattrapage inscrit dans les rapports de pouvoir écologique. Les conclusions tirées de ce rattrapage des dynamiques politiques invitent à penser un cadre général d’analyse des relations de pouvoir écologique, dont la robustesse pourrait être éprouvée par la suite. C’est le cœur de la troisième partie de la thèse. J’y propose le concept d’éco-pouvoir, qui déterminerait, du fait de la réalité structurante de l’anthropocène, des configurations et des dynamiques de pouvoir absolument neuves. Les tensions autour de l’autonomie indigène, la souveraineté nationale de ces Etats périphériques, la justice climatique sont observées à travers ce prisme. L’éco-pouvoir y est défini comme pouvoir polycentrique de vie et de mort sur l’espèce, dont l’instauration et la force d’inertie dépendent foncièrement de l’imposition d’une représentation univoque de l’espace et du temps
This work is about power relations around environmental commons in Bolivia and Ecuador at the beginning of our century. The chronological limits are from the early 2000’s to 2014-2015. It consists in studying the interactions between socio-ecological conflictuality of Amazonian spaces in both countries with the international projections led by Rafael Correa’s government in Ecuador, and Evo Morales’ one in Bolivia. Indeed, the ecological issue has become central to the diplomatic narratives of those governments and has become crucial to their international influence strategies. The two first parts of the PhD. are dedicated to the modalities of the international projections, and to the way their acquired political autonomy was caught up. This phenomenon is inscribed in what I call Ecological Power Relations. The conclusions I drew from this phenomenon invite us to think about a general framework of analysis of those relations, whose strength must be tested later on. That is the heart of the third part. I introduce the concept of Eco-power, which would determine, given the structuring reality of the Anthropocene, new power configurations and dynamics. The tensions around the indigenous autonomy, the Peripheral States’ national sovereignty, and climate justice, are observed through this prism. Eco-power is defined as the polycentric power of life and death over the specie, whose instauration and inertia strength depend on the imposition of unique time and space representation
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Sok, Bovy. "Commerce équitable, développement durable : approche juridique." Phd thesis, Université Montpellier I, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00853402.

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Abstract:
Face aux effets néfastes de la croissance économique mondiale, la société civile réclame un autre développement, qui a été dénommé " développement durable " et défini dans le rapport Brundtland de 1987. Engagée dans l'Agenda 21, la France s'efforce d'adopter des textes législatifs et réglementaires pour promouvoir le développement durable. La charte de l'environnement de 2004 a été intégrée dans le préambule de la Constitution de 1958, conférant au développement durable le statut d'objectif à valeur constitutionnelle. Par l'article 60 de la loi du 2 août 2005, le commerce équitable s'inscrit dans la stratégie nationale de développement durable. Mais, aucune définition du commerce équitable ne figure dans cet article. Actuellement, les acteurs économiques pratiquent leur propre équité pour mettre en œuvre les conditions du commerce équitable. Celles-ci sont notamment le commerce avec les petits producteurs des pays du Sud, une production respectant l'environnement, le paiement d'un juste prix, ainsi que l'attribution de bénéfices sociaux aux producteurs et à leur famille. Les acteurs économiques établissent des attestations de qualité pour garantir aux consommateurs le respect de ces principes. D'un point de vue juridique, des questions se posent du fait que ces attestations ne sont ni initiées ni validées par les pouvoirs publics en France ou à l'étranger. La fiabilité de ces pratiques menace l'ordre juridique lorsque leur véracité ne peut pas être vérifiée. L'intervention de l'État est indispensable pour légiférer sur l'équité en question. Cependant, un État ne représente que l'intérêt de son peuple sans pouvoir faire d'ingérence dans les affaires d'un autre État souverain, alors que la législation du commerce équitable implique une gouvernance des relations commerciales entre les acteurs économiques des pays du Nord avec les petits producteurs des pays du Sud. En conséquence, il va falloir trouver un nouveau mode de gouvernance pour réguler le commerce équitable. M. Pascal LAMY appelle cette nouvelle gouvernance " gouvernance alternationale ". Pour la réaliser, la participation de la société civile à côté de celle des pouvoirs publics est nécessaire.
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Stanton-Jean, Michèle. "La Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme : une vision du bien commun dans un contexte mondial de pluralité et de diversité culturelle?" Thèse, 2010. http://hdl.handle.net/1866/5181.

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Abstract:
En octobre 2005, l’assemblée générale de l’UNESCO adoptait la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’Homme. Le projet de cette déclaration a été élaboré par le Comité international de bioéthique (CIB) en consultation avec le Comité intergouvernemental de bioéthique (CIGB), les États membres, le comité interagences des Nations Unies, des organisations gouvernementales et non gouvernementales, des comités nationaux d’éthiques et de multiples acteurs impliqués en bioéthique. Cette déclaration faisait suite à deux autres textes sur le même sujet produits en 1997 et 2003, la Déclaration sur le génome humain et les droits de l’homme et la Déclaration internationale sur les données génétiques humaines. Les nouvelles questions éthiques que suscitaient les développements scientifiques et technologiques ainsi que la mondialisation de la recherche avaient incité cette organisation à se doter d’instruments normatifs pouvant rejoindre toutes les nations. Seule organisation mondiale ayant une vocation spécifique en éthique, l’UNESCO a voulu par cette dernière déclaration fournir à ses États membres un cadre normatif susceptible de les aider à formuler des lois et des lignes directrices. Ayant été impliquée, à titre de présidente du Comité international de bioéthique dans la préparation de cet instrument nous nous sommes posée la question suivante : Dans un contexte de mondialisation, une bioéthique qui vise le bien commun universel est-elle possible au sein de la diversité et de la pluralité culturelle des nations ? L’exemple de l’élaboration de la déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de l’UNESCO. Le bien commun étant un concept fréquemment mentionné et à peu près jamais défini clairement, il nous a semblé intéressant d’en retracer l’histoire et de dégager un cadre conceptuel qui a ensuite servi à étudier et dégager le sens donné à ces concepts dans la préparation de la déclaration. Un premier chapitre présente le contexte et la problématique. Le deuxième chapitre présente la revue de la littérature et la définition des concepts ainsi que le cadre conceptuel. Le troisième chapitre présente le cadre théorique et les données analysées et la méthodologie. Le quatrième chapitre présente l’analyse détaillée des différentes étapes de l’élaboration de la déclaration. Le cinquième chapitre présente la portée et les limites de la thèse et le cinquième chapitre la conclusion. Nous concluons que la déclaration en ayant utilisé une méthode de consultation, de délibération et de consensus pragmatique, offre un texte avec une vision d’un bien commun universel susceptible d’être utilisé dans tous les contextes culturels et par toutes les nations, spécialement les nations en développement. En effet, son architecture flexible et son souci de ne pas catégoriser les principes, mais plutôt de les utiliser en complémentarité les uns avec les autres, en fait un texte souple et adaptable au plan mondial. Ce travail pourra aussi contribuer à enrichir la réflexion et l’action des organisations internationales impliquées en bioéthique. Il pourra aussi inspirer les recherches actuelles en sciences politiques et en droit alors que sont explorés de nouveaux modèles de gouvernance et de nouvelles façons de construire les législations et les normes et de faire face aux défis actuels qui se posent aux droits de l’homme.
In October 2005 the General Assembly of UNESCO adopted the Universal Declaration on Bioethics and Human Rights. This declaration was produced by the International Bioethics Committee in consultation with the Intergovernmental Bioethics Committee, Member States, Interagency Committee of the United Nations, governmental and non governmental organisations, national bioethics committees and many actors involved in bioethics. This declaration had been preceded by two other declarations adopted in 1997 and 2003: The Universal Declaration on the Human Genome and Human Rights and the International Declaration on Human Genetic Data. The ethical questions posed by the scientific and technological developments and globalization had prompted the organization to prepare normative instruments susceptible of being endorsed and used by all nations, especially developing ones. Being the only global organization with a specific mandate in ethics UNESCO wanted to give its Member States a normative framework that could help them in the formulation of their legislations and guidelines. Having been involved in that process as the Chair of the International Bioethics Committee, we asked ourselves this question: In the context of globalization, is it possible to have a bioethics based on a universal common good vision that could take into account cultural diversity and pluralism? The example of the elaboration of the Universal Declaration on Bioethics and Human Rights? Common good is a concept that is often mentioned without any specific definition. It appeared to us that it would be interesting to trace back its history and conception and to develop a conceptual framework that would serve after to study and find the meaning given to its basic concepts in the elaboration of the declaration. The first chapter of this work present the context and the problematic. The second chapter present a review of the literature, and the conceptual framework. The third chapter presents the theoretical perspective, the methodology and the data that have been analysed. The fourth chapter offers a detailed analysis of the different steps and the different versions of the declaration by looking at what was said about the concepts included in the conceptual framework. The fifth chapter presents the scope and the limits of the declaration and the sixth chapter offers a conclusion. We conclude that the declaration in going through a process of deliberation, consultation and pragmatic consensus offers a text that presents a renewed universal vision of the common good susceptible to take into account cultural diversity and pluralism, thus offering an instrument that can be used by all nations in different contexts its text being flexible and adaptable at the global level. That declaration offers a general framework of principles able to be used by all nations, specially the developing ones, in a globalized context because its flexible architecture and its willingness to not categorize the principles but to use them complementarily, presents us with a text that can be adaptable at the global level. This work will contribute to the enrichment of the thinking of international organizations involved in bioethics. It will also provide some ideas to the researchers in political sciences and laws when they are looking at new models of governance and at new ways of building legislations and norms, or at ways of facing human rights new challenges.
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Books on the topic "Biens communs mondiaux"

1

La théorie des biens publics mondiaux: Une solution à la crise. Paris: l'Harmattan, 2009.

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international, Fondation Guilé Colloque. La vocation de L'Europe face au bien commun mondial. Zürich: Thesis, 2001.

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3

François-Xavier, Verschave, ed. On peut changer le monde: À la recherche des biens publics mondiaux. Paris: Découverte, 2003.

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Chomsky, Noam. Le bien commun: Entretiens avec David Barsamian. Montréal: Les Éditions Écosociété, 2013.

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5

(Editor), Josee Johnson, Michael Gismondi (Editor), and James Goodman (Editor), eds. Nature's Revenge: Reclaiming Sustainability in an Age of Corporate Globalization. Broadview Press, 2006.

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Book chapters on the topic "Biens communs mondiaux"

1

Renouard, Cécile. "III. Multinationales et biens communs mondiaux." In Écologie politique de l'eau, 415–29. Hermann, 2017. http://dx.doi.org/10.3917/herm.pierr.2017.01.0415.

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2

Pflieger, Géraldine. "Délimiter les biens communs planétaires : le cas des océans, des fonds marins et de l’Antarctique." In L’Enjeu mondial, 103–12. Presses de Sciences Po, 2015. http://dx.doi.org/10.3917/scpo.gemen.2015.01.0103.

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3

"Nations grandes et petites : une nouvelle donne mondiale pour produire des biens publics mondiaux et atténuer les risques les plus graves." In Notre Programme Commun - Rapport du Secrétaire général, 47–68. United Nations, 2021. http://dx.doi.org/10.18356/9789210010139c006.

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4

"Le bien-être et la crise financière mondiale." In Comment va la vie ?, 81–115. OECD, 2014. http://dx.doi.org/10.1787/how_life-2013-7-fr.

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PRÉVOT-CARPENTIER, Muriel. "Le vivre en santé au travail." In Revue Education, Santé, Sociétés, Vol. 7, No. 2, 141–52. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.4668.

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Abstract:
L’Organisation Mondiale de la Santé définit la santé comme « un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Cette définition est ensuite reprise dans la Convention n° 155 sur la sécurité et la santé des travailleurs de l’Organisation Internationale du Travail. Ces deux définitions institutionnelles, si elles sont progressistes et fondées sur la définition canguilhémienne qui souligne que la santé ne se réduit pas à l’absence de maladie, restent statiques et linéaires. Permettent-elles d’élaborer des pratiques de prévention telles qu’elles pourraient exister dans le paradigme constructiviste de la santé porté par l’ergonomie et les ergodisciplines ? Comment les dépasser pour entrer dans la négociation permanente de l’agir au travail pris entre normes et normativité, qui fait continuité avec l’approche de Canguilhem ? Appréhender ainsi la santé comme construction et en développement, la rendrait perméable à de nouveaux apprentissages dans et hors de lieux de travail, par la considération des travailleurs comme des sujets capables, c’est-à-dire des êtres en posture d’engagement actif, en charge de leur développement et en capacité de le construire. En effet, c’est bien le plein développement anthropologique des individus et collectifs qui permet à l’humain de construire le vivre en santé.
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