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Estève, Jean. "DESTRUCTION OF FOREST AREAS AS A RESULT OF LOGGING AND HARVESTING IN AFRICAN OR AMERICAN DENSE TROPICAL RAINFORESTS." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (2017): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31298.

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Abstract:
Il est devenu habituel de lire dans les médias des articles accusant l’exploitation fores- tière d’être le moteur principal de la dispari- tion des forêts tropicales. Ce raccourci trom- peur est imputable à une méconnaissance des réalités forestières, d’une part, et à un amalgame entre l’exploitation forestière et le défrichement agricole, d’autre part. L’ob- jet de cet article rédigé par un praticien fami- lier du contexte forestier tropical était d’éva- luer l’impact de l’exploitation forestière sur les forêts denses tropicales humides, dans les deux continents africain et améri- cain. Par souci d’exactitude, les phases de l’exploitation ont été distinguées : installa- tion de la base vie, constitution du réseau routier de vidange des bois, réalisation des opérations d’exploitation proprement dites. Des scénarios ont été distingués en fonction de la richesse de la forêt, dont le volume ré- colté varie de 3 à 15 m3/ha. Ces estimations confirment que la destruction du couvert fo- restier demeure si faible qu’à l’exception de situations radicales l’exploitation forestière ne constitue pas une menace pour le main- tien durable des forêts tropicales. La mise en place des réseaux routiers et de pistes de débardage affecte de 4,5 à 5,5 % du couvert forestier. Les surfaces des trouées consé- cutives à l’abattage ne dépassent jamais 4 % du couvert, et restent inférieures à 2 % pour les forêts riches ou de richesse moyenne. L’exploitation forestière n’est donc direc- tement responsable que de la destruction de 5,5 à 8,5 % du couvert forestier. Dans le cas de forêts riches, des exploitations fores- tières successives peuvent certes atteindre 12 à 16 % du couvert forestier. Mais c’est alors sans compter sur la dynamique de reconstitution de la biomasse opérant natu- rellement entre deux séquences d’exploi- tation. En Asie du Sud-Est où l’exploitation est plus intensive en raison d’un potentiel commercial très élevé, la reconstitution du couvert est acquise en 20 ans. Si la valeur économique d’une forêt dense tropicale humide diminue avec l’exploitation, ses va- leurs biologique et écologique restent quant à elles sensiblement intactes.
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2

Lugo, Ariel E., Oscar Abelleira Martinez, and Jéssica Fonseca da Silva. "Biomasse aérienne, volume de bois, stocks de nutriments et litière de feuilles au sein de nouvelles forêts, mis en comparaison avec des forêts naturelles et des plantations à Puerto Rico." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (2012): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20493.

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Abstract:
L'article présente une étude comparative de données de biomasse aérienne, de volume de bois, de stocks de nutriments (N, P, K) et de litière dans différents types de forêts à Puerto Rico. L'objectif de l'étude a été de procéder à une évaluation comparative de nouvelles forêts à Castilla elastica, arbre à caoutchouc, et Spathodea campanulata, tulipier du Gabon, avec des plantations et des forêts naturelles (aussi bien secondaires que matures). Il s'avère que ces deux types de nouvelles forêts peuvent rapidement accumuler en hauteur de grandes quantités de nutriments et de biomasse, produisant ainsi d'importantes chutes de feuillage. Elles peuvent égaler voire dépasser les plantations et les forêts naturelles pour tous les paramètres à l'exception de l'accumulation d'azote au niveau aérien. Ces résultats confirment bien le fait que ces nouvelles forêts peuvent contribuer à la restauration de la biomasse et des nutriments dans les sites déboisés. Cependant, à l'échelle de l'île dans son ensemble, les valeurs obtenues pour la biomasse dans plusieurs types de nouvelles forêts sont inférieures par rapport à celles observées dans cette étude pour les forêts à Spathodea et à Castilla. L'âge des peuplements et les conditions de site seraient ainsi des déterminants critiques du niveau d'accumulation d'éléments nutritifs et de biomasse dans ces forêts.
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3

Loubota Panzou, Grace Jopaul. "Biomasse et stocks de carbone en Afrique centrale : importance de l’allométrie des arbres." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 343 (March 31, 2020): 85–86. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.343.a31853.

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Abstract:
Quantifier les stocks de biomasse et de carbone dans les forêts tropicales est essentiel pour la mise en œuvre des stratégies d’atténuation des changements climatiques, et notamment le mécanisme de réduction des émissions dues à la déforestation et la dégradation des forêts. Les scientifiques s’accordent aujourd’hui à utiliser une équation allométrique de biomasse générale, combinée à une allométrie hauteur-diamètre ajustée sur des données locales non destructives. Or, l’allométrie des arbres varie entre les espèces et stratégies fonctionnelles d’une part, entre les types de forêts et conditions du milieu d’autre part. L’objectif de cette thèse de doctorat était d’étudier les variations de l’allométrie des arbres entre espèces coexistantes, et entre sites et types de forêts, en vue d’améliorer les estimations de la biomasse et des stocks de carbone en Afrique centrale. Les variations des allométries hauteur-diamètre et houppier-diamètre ont été rapportées pour les 45 espèces d’arbres coexistantes d’un site représentatif des forêts semi-décidues à Celtis du nord du Congo. Les relations entre les traits architecturaux dérivés à partir des allométries spécifiques aux espèces et les traits fonctionnels ont mis en évidence un continuum d’espèces entre les espèces de grande taille dominant la canopée et les espèces de petite taille dominant le sous-bois. Les espèces d’arbres de grande taille étaient exigeantes en lumière, dispersées par le vent, décidues avec une large contribution à la biomasse forestière, alors que les espèces d’arbres de petite taille étaient tolérantes à l’ombrage, dispersées par les animaux, sempervirentes et plus abondantes en densité de tiges. Les variations des allométries hauteur-diamètre et houppier-diamètre ont été également montrées entre les types de forêts en Afrique centrale. Ces tendances étaient en outre confirmées pour les espèces communes entre les types de forêts, suggérant un contrôle environnemental sur les variations de l’allométrie des arbres. Des attributs architecturaux dérivés des allométries spécifiques aux sites, en plus des attributs plus classiques de structure et de composition, ont pu être dérivés et reliés aux variations spatiales de la biomasse et des stocks de carbone. Cette thèse de doctorat a fourni de nouvelles données pour les futures cartes de biomasse dans le cadre du suivi du carbone forestier en Afrique centrale.
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Ferraz, Antonio, Clément Mallet, Stéphane Jacquemoud, et al. "Estimation de la Biomasse Aérienne à partir de données lidar aéroporté." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 205 (February 21, 2014): 59–68. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2014.8.

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Abstract:
Dans le cadre des politiques de lutte contre le réchauffement climatique (programme UN-REDD des Nations Unies), les techniques de télédétection sont désormais utilisées pour extrapoler des estimations de la biomasse aérienne à l'échelle locale (dérivées à partir des mesures terrain obtenues via des inventaires forestiers) sur des grandes surfaces où aucune donnée de référence n'est disponible. Néanmoins, la communauté scientifique signale encore une grande incertitude concernant la quantification du CO2 stocké dans les forêts. Cela est dû au nombre insuffisant d'échantillons terrains surdes grandes zones de forêt de la planète, notamment dans des pays qui n'ont pas de pratiques régulières d'inventaires forestiers. Dans cet article, nous investiguons la fiabilité de la technologie lidar aéroporté (airborne laser scanning, ALS) pour estimer la biomasse aérienne des forêts sans nécessiter d'importantes mesures terrain. D'abord, des métriques forestières clés qui sont couramment obtenues via les inventaires forestiers traditionnels sont dérivées par analyse des donnés lidar. Il s'agit notamment de la densité d'arbres, leur hauteur individuelle, l'épaisseur de la couronne, la hauteur moyenne de chaque strate, et le taux de couverture de canopée de chacune de celles-ci. Puis, des équations allométriques sont utilisées pour estimer la biomasse à partir des mesures terrain ainsi que des mesures lidar. Enfin, les résultats sont évalués pour chaque strate de végétation sur 40 parcelles d'une forêt portugaise à plusieurs strates de végétation. La biomasse aérienne est dérivée à l'échelle de la placette forestière avec une erreur de 0,4% comparée aux estimations terrain, ce qui prouve que notre approche est un outil efficace pour estimer la biomasse aérienne avec précision. Le développement de techniques similaires fondées sur le lidar aéroporté, capables de traiter forêts de différents biomes, avec l'utilisation conjointe de mesures obtenues par télédétection satellitaire, serait une avancée significative pour l'estimation de la biomasse sur de vastes régions à l'échelle mondiale.
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Sist, Plinio, Lilian Blanc, Lucas Mazzei, Christopher Baraloto, and Raphaël Aussenac. "Nouvelles connaissances sur la dynamique globale de la biomasse après exploitation en forêt nord amazonienne." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (2012): 41. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20489.

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Abstract:
L'article présente les effets de l'exploitation forestière sur la dynamique de la biomasse aérienne à partir des résultats issus de l'exploitation commerciale au sein de deux forêts : Cikel dans l'Est du Pará au Brésil et Paracou en Guyane française. L'objectif principal a été de comparer l'impact de ce type d'exploitation sur la régénération de la biomasse aérienne dans ces deux forêts dont les caractéristiques sont différentes en termes de structure et de croissance. Dans les deux sites, l'intensité de l'exploitation s'avère être un facteur essentiel déterminant de la perte de biomasse et le temps nécessaire à sa régénération. À Paracou, la régénération de la biomasse aérienne perdue lors des coupes d'abattage de 10 arbres par hectare prendra 45 ans et plus de 100 ans en cas d'exploitation à plus forte intensité (21 arbres par hectare). À la Cikel, la biomasse aérienne se régénérera au bout de 49 ans après exploitation à raison de 6 arbres par hectare et au bout de 87 ans après prélèvement de 8 arbres par hectare. Cette régénération prendra donc autant de temps sur les deux sites, mais avec un moindre nombre d'arbres exploités à la Cikel, les arbres abattus étant de plus grande taille avec une biomasse aérienne individuelle plus importante qu'à Paracou. Après le passage en coupe, l'étude a établi une corrélation directe de la dynamique de la biomasse aérienne avec la structure initiale de la forêt ainsi qu'avec les paramètres de la dynamique forestière : mortalité, croissance et recrutement. L'accumulation de biomasse aérienne par la croissance globale des peuplements après coupe s'avère être un paramètre clé pour le stockage net du carbone, toutefois la contribution du recrutement ne devient significative à Paracou qu'au bout de 10 ans après exploitation. Il s'agit donc de favoriser la croissance des arbres résiduels après la coupe, grâce aux traitements sylvicoles tels que l'éclaircie sélective ou l'élimination de lianes. Alors que les deux forêts sont géographiquement assez proches, leurs capacités de régénération ne sont pas identiques et, en raison de la différence significative de taille des arbres, la forêt guyanaise pourrait tolérer une plus forte intensité d'exploitation.
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Désy, Jean, and Gille Tremblay. "Pour une renaissance planifiée et globale de l’écoumène agro-forestier régional québécois." Cahiers de géographie du Québec 37, no. 101 (2005): 309–35. http://dx.doi.org/10.7202/022347ar.

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Abstract:
Devant les effets inévitables d'une exploitation minière et monovalente des forêts du Québec méridional, du moins jusqu'à récemment, il devient urgent d'explorer et de gérer plus humainement et plus naturellement l'écoumène forestier et agro-forestier entourant les régions ressources. C'est l'ambition de cet article de proposer une utilisation beaucoup plus judicieuse de la biomasse forestière par le vecteur privilégié de la planification stratégique régionale. D'abord approfondie dans sa dimension théorique, on tentera d'opérationnaliser cette planification dans un scénario alternatif pour l'horizon 2010, utilisant comme matière première la vingtaine de filières de transformation possibles de la biomasse forestière. On décomposera ce scénario jusqu'à la structure d'action prévue pour l'an 2010.
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Bouchy, Anne. "Les rapports communautaires aux espaces forestiers entre politiques du dehors et stratégies du dedans : les montagnes-forêts de Sasaguri." Cahiers d'Extrême-Asie 22, no. 1 (2013): 115–202. http://dx.doi.org/10.3406/asie.2013.1417.

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Gond, Valery, Emilien Dubiez, Marine Boulogne, et al. "DYNAMICS OF FOREST COVER AND CARBON STOCK CHANGE IN THE DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO: CASE OF WOOD-FUEL SUPPLY BASIN FOR KINSHASA." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 327, no. 327 (2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.327.a31293.

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Abstract:
Afin de contribuer à la mise au point de mé- thodes de gestion durable des écosystèmes forestiers en Afrique centrale, la question de recherche suivante a été posée : l’analyse de l’évolution de la couverture végétale per- met-elle de comprendre et de documenter l’organisation spatiale et les mécanismes de la dégradation des forêts tropicales ? Pour cela, en République démocratique du Congo, le projet Makala a cartographié les arbres et les ressources forestières du bas- sin d’approvisionnement en bois-énergie de Kinshasa et a essayé de prédire son évolu- tion future. La carte a été réalisée à quatre périodes (1984, 2001, 2006 et 2012) avec une mosaïque de quatre images Landsat. L’estimation de la biomasse aérienne a été faite en 2012, par l’inventaire forestier de 317 parcelles (4 337 arbres de 44 espèces) dans les quatre types de couverture végétale, sur le plateau Batéké. Entre 2000 et 2012, le volume moyen de bois-énergie a chuté de plus de 50 % et les stocks de carbone de 75 % en 28 ans. La réduction drastique du couvert forestier, la baisse significative des périodes de jachère, l’augmentation des surfaces de savane, le déclin des stocks de biomasse et de carbone, constituent des signaux particulièrement forts. Mais ces premières estimations sont dérivées des données d’un petit échantillon, extrapolées au bassin d’approvisionnement. Il serait très utile d’augmenter l’échantillonnage, pour approcher des valeurs plus justes et concrètes. L’expérience du projet Makala montre clairement que l’analyse de l’évo- lution de la couverture végétale permet de comprendre et de documenter l’organisa- tion spatiale et les mécanismes de la dégra- dation des forêts. Mais seules une politique consciente et une gestion durable des terres des communautés, combinées avec une réintroduction des arbres dans les terres agricoles, peuvent initier un processus de restauration durable.
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Ouedraogo, Wendsom Osée, Alain P. K. Gomgnimbou, Saïdou Santi, Daniel Ilboudo, and Aboubacar Toguyeni. "Quantification de la Biomasse et stockage du carbone du massif forestier de l’Ecole Nationale des Eaux et Forêts de Dindéresso province du Houet au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (2020): 3276–88. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.24.

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Abstract:
La dégradation forestière provoque la perte de carbone et contribue indirectement au changement climatique. Afin d’évaluer la contribution du massif forestier de l’Ecole Nationale des Eaux et Forêts (ENEF) à l’atténuation du changement climatique, une étude d’estimation du stock de carbone a été menée. Dans cette étude, la quantité de carbone ligneux a été estimée dans des placettes carrées de 900 m2 pour la savane, 400 m2 pour la plantation de Tectona (P Teck) et 2500 m2 en zone agroforestière (Z Agf). L’équation de type polynomial et le modèle allométrique ont été utilisés pour l’évaluation du stock de carbone. Dans la savane, le carbone stocké dans la biomasse épigée s’élève à 17,66 ± 22,05 tC/ha et celui de la biomasse hypogée ainsi que de la végétation herbacée ont été respectivement de 2,28 ± 2,41 tC/ha et de 1,39 ± 0,61 tC/ha. Au niveau de la plantation de teck et de la zone agroforestière, les quantités de carbone contenues dans la biomasse aérienne ligneuse ont été respectivement de 54,38 ± 12,04 tC/ha et 2,50 ± 3,28 tC/ha contre 7,09 ± 1,40 tC/ha et 0,35 ± 0,42 tC/ha dans les racines. Cette étude contribue à la compréhension de l’apport de la savane, de la plantation et du système agroforestier ; à la séquestration du carbone. Des actions de renforcement du potentiel ligneux de cet écosystème s’imposent pour minimiser la dégradation de ce site à long terme et afin qu’il soit une source durable de séquestration du carbone. .Mots clés : Biomasse, stock de carbone, changement climatique, savane, zone soudanienne, Burkina Faso. Forests degradation causes carbon loss and contributes indirectly to climate change. In order to estimate the contribution of the forest of ENEF (called Ecole Nationale des Eaux et Forêts) forest in the mitigation of climate change, a work based on carbon stock in the forest was implemented. In this study, the quantity of ligneous carbon was estimated in some squares of 900 m 2 for the savannah, 400 m2 for the Tectona plantation (P Teck) and 2500 m2 for the agroforestry area (Z Agf). The equation polynomial and the allometric standard were used to evaluate carbon storage. In savannah, the carbon stocked in above ground biomass was 17.66 ± 22.05 tC/ha. The contribution roots and herbaceous is respectively 2.28 ± 2.41 tC/ha and 1.39 ± 0.61 tC/ha. In teak plantation and agroforestery land, the carbon stocked in AGB was respectively 54.38 ± 12.04 tC/ha and 2.50 ± 3.28 tC/ha. Concerning the roots, it is respectively 7.09 ± 1.40 tC/ha and 0.35 ± 0.42 tC/ha. The actions to strengthen the wood potential of this ecosystem are needed to minimize the degradation of this site in the long term and to be a source of carbon sequestration.Keywords : Biomass, carbon storage, climate change, savannah, soudanian zone, Burkina Faso.
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Vincent, Grégoire, F. Caron, Damien Sabatier, and Lilian Blanc. "L'imagerie LiDAR montre que les forêts les plus hautes comportent des tiges plus élancées." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (2012): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20490.

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Abstract:
Une opération de balayage laser aéroporté à haute densité a permis de modéliser la hauteur du couvert forestier d'un site expérimental en forêt néotropicale (à Paracou en Guyane française). La hauteur des arbres individuels a été calculée par segmentation manuelle des houppiers sur le modèle numérique de canopée et extraction de la hauteur maximale locale du couvert forestier. Trois cent quatrevingt- seize estimations de hauteur d'arbres dominants ou émergents ont été mises en relation avec les données de terrain correspondantes pour les diamètres des tiges échantillonnées sur deux placettes de hauteur moyenne différente (28,1 m et 31,3 m). Les résultats montrent une corrélation positive et très significative entre l'élancement des tiges et la hauteur moyenne du couvert à l'échelle des placettes. La même corrélation apparaît à l'échelle des peuplements des trois essences suffisamment échantillonnées. Il est possible de conclure qu'une stratification selon la hauteur du couvert est à recommander dans le calcul de relations allométriques afin d'éviter les biais dans les estimations de biomasse aérienne.
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Weaver, Peter L. "Distribution des essences et structure forestière selon les gradients environnementaux de la forêt naine des monts Luquillo à Puerto Rico." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 306, no. 306(4) (2010): 33. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.306.a20429.

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Abstract:
Onze groupes de trois placettes stratifiées selon leur exposition (face au vent/sous le vent), la topographie (arête, pente ou ravin) et l'altitude, entre 880 et 1000 mètres environ, ont servi un échantillonnage de la structure forestière et de la composition floristique de la forêt naine des monts Luquillo Puerto Rico. La densité des tiges face au vent est sensiblement plus importante sur les pentes, et pour l'ensemble des topogra-phies, que sous le vent. Le couvert sous le vent est sensiblement plus élevé sur les pentes, et pour l'ensemble des topographies, que face au vent. En outre, dans tous les sites, la densité totale médiane décroît mesure que l'on descend de l'arête vers les pentes et jusqu'aux ravins, alors que cette tendance s'inverse pour la hauteur moyenne de l'ensemble du couvert. Pour les deux types d'exposition, la biomasse est plus importante sur les arêtes et les pentes que dans les ravins. La biomasse est plus importante sous le vent que face au vent pour l'ensemble des topographies; cependant, aucune relation biomasse n'est significative. Tabebuia rigida Urban est l'essence la plus abondante, avec plus de 23% des 3 619 tiges recensées, et Eugenia borinquensis Britton la plus largement présente, sur 90% des pla-cettes. La moitié des 42 essences recensées totalisent moins de 2% de l'ensem-ble des tiges. La forêt naine, adaptée la survie sous des conditions rudes, évolue sous l'influence de facteurs édaphiques, climatiques et physiologiques. Ces forêts naines apportent de nombreux bénéfices: elles représentent un habitat critique pour de nombreuses espèces de faune et flore endémiques, renferment de précieuses ressources en eau et offrent des paysages panoramiques et bon nombre d'opportunités récréatives. (Résumé d'auteur)
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Dorisca, Samba, Luc Durrieu De Madron, Bénédicte Fontez, Adeline Giraud, and Bernard Riéra. "Établissement d'équations entre le diamètre et le volume total de bois des arbres, adaptées au Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (2011): 75. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20477.

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Abstract:
Le mécanisme financier de la Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts (Redd) intéresse les pays du bassin du Congo, qui disposent de peu de données précises sur les stocks de carbone en forêt. Les principales équations allométriques pantropicales disponibles ont pour paramètres : le diamètre, la hauteur et la densité spécifique du bois ; mais aucun des arbres mesurés ne provient de forêts africaines. Les rares équations établies en Afrique s'avèrent insuffisantes, notamment par déficit d'échantillon en arbres de grande taille. Ainsi, pour pallier cette carence, 55 arbres de 10 à 120 cm de diamètre, appartenant à 23 espèces, ont été mesurés en forêt dense semidécidue du Sud-Est du Cameroun. Après abattage, les arbres tronçonnés ont été mesurés jusqu'à la découpe d'un centimètre de diamètre. Cet échantillon a permis de relier le diamètre et le volume total de bois des arbres via des modèles polynomiaux et non linéaires (additif et multiplicatif). La biomasse des arbres pourra être alors déduite par l'utilisation de la densité spécifique et un facteur correctif pour le feuillage. Dans la perspective de cette étude, afin d'affiner les mesures, l'échantillon sera augmenté lors d'une prochaine campagne de mesures, pour mieux estimer le volume total des gros arbres. (Résumé d'auteur)
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BOURGOIN, Clément. "Un cadre d'évaluation de la vulnérabilité écologique des forêts dans les fronts de déforestation tropicaux à partir de l'évaluation de la dégradation des forêts dans une approche paysagère : études de cas au Brésil et Vietnam." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 346 (January 13, 2021): 81–82. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.346.a36294.

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Abstract:
La conservation du couvert forestier tropical est essentielle pour assurer la fourniture durable de services écosystémiques. Cependant, l'accroissement de la population, la demande de produits agricoles et les changements dans l'utilisation des terres affectent leur durabilité. L'objectif de cette thèse est de développer une approche multidimensionnelle pour évaluer la dégradation des forêts et les relations avec la dynamique de l'utilisation des terres afin d’estimer leur vulnérabilité. La thèse a été appliquée à Paragominas (Brésil) et Di Linh (Vietnam). À Paragominas, la dégradation est directement liée à l’exploitation sélective du bois et au feu, impliquant des changements dans la structure forestière. Grâce aux outils de télédétection, nous avons cartographié la biomasse forestière aérienne à partir de données de stock de carbone et avons étudié les conséquences de la dégradation sur les structures forestières. Nous avons aussi constaté que 58 % de la dégradation était expliquée par l’analyse des changements d’occupation du sol. La distribution des forêts dégradées est pilotée par la fragmentation issue de l’expansion du soja mais est aussi associée à la déforestation récente et aux pratiques de culture sur brûlis. À Di Linh, la dégradation est due à l'empiètement de la culture de café. L'inventaire des différents types d’occupation du sol, combiné aux images Sentinel-2, a permis de cartographier la couverture du sol actuelle. Nous avons construit des trajectoires de dynamique paysagère afin de caractériser l'expansion de la frontière agricole. Nous avons identifié des trajectoires de dégradation et de fragmentation qui affectent le couvert forestier à différentes intensités. Ensemble, ces indicateurs ont mis en évidence des points chauds de vulnérabilité. Grâce aux approches et aux indicateurs de télédétection développés à l'échelle de la forêt et du paysage, nous avons fourni un diagnostic holistique des forêts dans les paysages modifiés par l'homme. Cette thèse vise à ouvrir la voie à une gestion adaptée et prioritaire des forêts dégradées à l'échelle du paysage.
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Pinta, François, and Philippe Girard. "Production d'énergie à partir de forêt tropicale humide : une étude de cas en Guyane française." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 302, no. 302 (2009): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.302.a20401.

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Abstract:
L'un des verrous à la mise en oeuvre de projet de génération d'électricité à partir de la biomasse réside dans la bonne appréciation de la nature de la ressource et de sa disponibilité. Cet article s'inspire de travaux qui ont été réalisés en 2007 afin d'apprécier la faisabilité de la mise en place de centrales dendro-électriques de vingt mégawatts en Guyane française. L'analyse de la disponibilité en ressources de biomasse a été au coeur de l'étude. L'originalité de l'approche consiste à apprécier la capacité de la forêt à fournir de manière durable tout ou partie des volumes nécessaires et sans remettre en cause la gestion actuelle. Différentes ressources ont été étudiées dont la valorisation de bois issus de deux gisements : l'exploitation forestière pour la production de bois énergie et l'exploitation mixte de bois énergie en complément de l'exploitation de bois d'oeuvre. Des scénarios ont été étudiés pour la zone côtière où se concentre la majorité de la demande électrique. Les travaux ont montré une disponibilité importante permettant d'approvisionner des centrales électriques de cinq et dix mégawatts de capacité électrique. L'étude de préfaisabilité d'une centrale de cinq mégawatts électriques près du village de Régina a montré la faisabilité économique du projet utilisant du bois issu de l'exploitation mixte des forêts de production et du bois récupéré sur l'emprise des pistes forestières. Cependant, la validation des schémas prévisionnels d'exploitation durable de bois énergie en forêt naturelle aménagée exige des recherches spécifiques complémentaires. (Résumé d'auteur)
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Weaver, Peter L. "Changements à long terme de structure et de composition d'une forêt primaire humide de basse montagne suite au passage d'ouragans a Puerto Rico." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 317, no. 317 (2013): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.317.a20525.

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Abstract:
Dacryodes excelsa, espèce arborée connue sous les noms de tabonuco à Puerto Rico et de gommier aux Petites Antilles, domine les sommets de la forêt tropicale humide de basse montagne (selon Beard) de l'archipel des Caraïbes ; où périodiquement les ouragans passent à travers les îles modifiant la structure des massifs forestiers, leur composition en essences et leur dynamique. Au nord-est de Puerto Rico, l'étude chronologique post-ouragans menée entre 1946 et 2010 a permis de suivre les modifications de la végétation sur une parcelle de 0,40 hectare à 380 metres d'altitude dans la forêt expérimentale de Luquillo. Celle-ci a montré : (1) la défoliation, la casse et les chablis provoqués par le vent induisant une mortalité immédiate entraînent une déstructuration de forêt en perte du nombre de tiges, de hauteur des arbres et de biomasse ; (2) la mortalité différée de d'autres arbres blessés s'accompagne d'un rapide et abondant recrutement de Cecropia schreberiana et d'espèces cicatricielles, augmentant le nombre de tiges dans la forêt ; (3) une accélération de la croissance en diamètre et l'accumulation de la biomasse pendant une vingtaine d'années après l'ouragan, suivie du déclin de leur ratio ; (4) un très fort taux de survie après l'ouragan et une augmentation de la vitesse de croissance en diamètre de Dacryodes excelsa ; (5) toujours suite à l'ouragan, une augmentation de la richesse en espèces pendant une période de 20 ans au cours de laquelle les espèces primaires et secondaires grandissent ensemble, suivie dune chute d'abondance liée la concurrence ; (6) enfin, des conditions d'évolution asymptotiques aussi bien pour les tiges et la biomasse que pour le nombre d'espèces, après plus de 40 ans. En outre, d'autres études connexes menées dans des types de forêts semblables ont montré que les ouragans et les coupes intensives induisent des réactions de croissance comparables. Cette étude s'avère être d'intérêt régional puisque la forêt humide de basse montagne de Puerto Rico partage des conditions environnementales semblables ainsi que les mêmes essences forestières avec les montagnes des Antilles.
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Brown, Sandra, Andrew J. R. Gillespie, and Ariel E. Lugo. "Biomass of tropical forests of south and southeast Asia." Canadian Journal of Forest Research 21, no. 1 (1991): 111–17. http://dx.doi.org/10.1139/x91-015.

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Abstract:
Stand tables from forest inventories representing more than 22 × 106 ha of forests in tropical Asia were used to estimate aboveground biomass (point and 99% confidence interval). The mean inventory-based biomass for moist forests (225 Mg/ha) was lower than that reported by direct measurements for mature forests in the same region (350 Mg/ha), whereas the mean inventory-based biomass for dry forests (82 Mg/ha) was higher than estimates based on direct measurements (55 Mg/ha). Our analyses demonstrated that human use of the forests in tropical Asia is intense, leading to degradation. Between two national forest inventories of Peninsular Malaysia in 1972 and 1981, the total area and biomass of forests declined by 18 and 28%, respectively. Modeling land-use changes and carbon dynamics of tropical Asian forests must take into consideration human impact on vegetation because such use of forests reduces their biomass and may stimulate forest growth and carbon uptake.
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Le Clec'h, Solen, Johan Oszwald, Nicolas Jégou, et al. "Cartographier le carbone stocké dans la végétation : perspectives pour la spatialisation d¿un service écosystémique." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (2013): 35. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20529.

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Abstract:
Les grands programmes internationaux d'observation des écosystèmes, tels que le Millenium Ecosystem Assessment (Mea), puis Redd (Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts) et Redd+, préconisent le développement des approches permettant de quantifier et de spatialiser les services écosystémiques afin de mettre en oeuvre des pratiques et des politiques de gestion environnementale plus adaptées. La cartographie des services écosystémiques apparaît ainsi comme un outil majeur des espaces à forts enjeux environnementaux. Cependant, elle souffre encore de certaines limitations. C'est le cas du stock de carbone dans la biomasse végétale. À l'échelle d'une localité d'Amazonie brésilienne de 175 km², cette fonction écologique a été cartographiée avec une résolution spatiale de 30 x 30 m. Afin de quantifier ces stocks, des mesures de biomasse arborée et arbustive au sein de 45 " points " et des données géographiques obtenues par télédétection sont mises en jeu. Pour cela, deux méthodes statistiques sont testées : l'arbre de décision et la régression linéaire multiple. Les résultats statistiques de chacune de ces méthodes sont présentés, permettant d'en comprendre les intérêts et les inconvénients. La qualité d'ajustement de ces modèles est testée. Si l'arbre de décision décrit mieux le rôle des variables explicatives, la régression linéaire multiple permet une prédiction beaucoup plus efficace. Elle rend alors davantage compte de la variabilité spatiale au sein de chaque type d'occupation du sol. Cette méthode fait apparaître à l'échelle de la ferme des phénomènes spécifiques au territoire étudié. Cela permet de retranscrire simplement le résultat d'un processus écologique tout en le mettant en relation avec les activités anthropiques. Cette étude permet donc d'illustrer l'importance des choix méthodologiques afin d'obtenir la cartographie d'un processus.
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KONKO, Yawo, Bareremna AFELU, and Kouami KOKOU. "Potentialité des données satellitaires Sentinel-2 pour la cartographie de l’impact des feux de végétation en Afrique tropicale : application au Togo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 347 (March 31, 2021): 59–73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.347.a36349.

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Abstract:
Le réchauffement climatique est un phénomène d’envergure mondiale qui se répercute sur le système climatique. Une des conséquences du réchauffement climatique est l'extension de la période de sécheresse, favorisant ainsi l’augmentation des fréquences du phénomène des feux de végétation. Les feux incontrôlés perturbent l’écologie et la fonctionnalité des écosystèmes, entraînant parfois leur érosion. La présente étude est une contribution pour la gestion des feux de végétation au Togo et porte sur le suivi spatial pour la saison des feux 2018-2019. Elle explore la potentialité des nouvelles données satellitaires Sentinel-2 (S-2) en accès libre dans la gamme de la télédétection optique pour la détection des surfaces brûlées, la cartographie des feux utilitaires et des feux incontrôlés. Elle teste également la performance de la méthode de cartographie des feux de végétation à partir de l’indice NBR (Normalized Burn Ratio) initialement conçue pour les images Landsat et évalue la biomasse végétale brûlée. Les résultats révèlent que les images S-2 présentent du potentiel dans la restitution des surfaces brûlées. La performance de la méthode de l’indice NBR sur les images S-2 est satisfaisante. La cartographie des feux de végétation montre que les feux utilitaires représentent 21,75 % contre 78,25 % pour les feux incontrôlés. L’ensemble des feux de végétation enregistrés a occasionné l’incendie de 5 878 km2 du couvert végétal, soit 10,39 % du territoire national. Le couvert végétal brûlé est composé majoritairement de savanes (33,12 %), de cultures et jachères (24,48 %), de plantations (14,59 %), de forêts claires (14,43 %) et de forêts riveraines (13,02 %). Les résultats obtenus constituent des éléments tangibles pour le suivi, la sensibilisation, l’élaboration des plans d’aménagement, de prévention et de gestion des feux.
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Durrieu De Madron, Luc, Sébastien Bauwens, Adeline Giraud, Didier Hubert, and Alain Billand. "Estimation de l'impact de différents modes d'exploitation forestière sur les stocks de carbone en Afrique centrale." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (2011): 75. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20476.

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Abstract:
L'impact, en termes d'émission de carbone, d'une exploitation forestière n'a fait l'objet que de rares et réels travaux de recherche en Afrique centrale. Pourtant, dans le cadre des mécanismes Redd (Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts), cette problématique comporte des enjeux importants avec l'augmentation du nombre de concessions aménagées et l'importance grandissante des techniques d'exploitation à faible impact. Cette étude constitue un essai de méta-analyse incluant les diverses expériences issues de la littérature. Les données ainsi récoltées ont été appliquées à une exploitation hypothétique, afin de dresser un bilan théorique de l'impact sur le stock de carbone. Les résultats montrent qu'avec les hypothèses retenues l'aménagement d'une forêt permettrait une réduction du dixième des pertes en carbone, pour un prélèvement à l'hectare de 10 à 20 m3 de bois d'oeuvre ; et cela par rapport à une concession forestière conventionnelle sans gestion prévisionnelle. L'essentiel de l'économie en carbone proviendrait de l'augmentation des diamètres minimums d'exploitation. Par ailleurs, les gains que pourrait induire la pratique d'une exploitation à faible impact seraient ceux découlant de l'amélioration du tracé des pistes et des routes, à savoir 5 à 8 % des pertes en carbone dues à l'exploitation conventionnelle. Ces gains sont supérieurs à l'erreur constatée sur la mesure de biomasse par coupe rase, la plus proche de la réalité, faite en Guyane. Néanmoins, ces gains sont largement inférieurs aux erreurs calculées sur l'estimation de la biomasse pour plusieurs études disponibles dans la littérature. Quoi qu'il en soit, la mise sous aménagement d'une concession forestière et l'utilisation de techniques d'exploitation à faible impact sont à même d'entraîner une différence favorable du stock de carbone en forêt dense africaine. (Résumé d'auteur)
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Zhang, Yuzhen, Shunlin Liang, and Lu Yang. "A Review of Regional and Global Gridded Forest Biomass Datasets." Remote Sensing 11, no. 23 (2019): 2744. http://dx.doi.org/10.3390/rs11232744.

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Abstract:
Forest biomass quantification is essential to the global carbon cycle and climate studies. Many studies have estimated forest biomass from a variety of data sources, and consequently generated some regional and global maps. However, these forest biomass maps are not well known and evaluated. In this paper, we reviewed an extensive list of currently available forest biomass maps. For each map, we briefly introduced the data sources, the algorithms used, and the associated uncertainties. Large-scale biomass datasets were compared across Europe, the conterminous United States, Southeast Asia, tropical Africa and South America. Results showed that these forest biomass datasets were almost entirely inconsistent, particularly in woody savannas and savannas across these regions. The uncertainties in biomass maps could be from a variety of sources including the chosen allometric equations used to calculate field data, the choice and quality of remotely sensed data, as well as the algorithms to map forest biomass or extrapolation techniques, but these uncertainties have not been fully quantified. We suggested the future directions for generating more accurate large-scale forest biomass maps should concentrate on the compilation of field biomass data, novel approaches of forest biomass mapping, and comprehensively addressing the accuracy of generated biomass maps.
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Srikosamatara, Sompoad. "Density and biomass of large herbivores and other mammals in a dry tropical forest, western Thailand." Journal of Tropical Ecology 9, no. 1 (1993): 33–43. http://dx.doi.org/10.1017/s026646740000691x.

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Abstract:
ABSTRACTDensity and biomass of four ungulate species, elephant (Elephas maximus) and seven other mammal species were estimated in an area of about 50 km2 in a dry tropical forest in Huai Kha Khaeng Wildlife Sanctuary, western Thailand. Density estimations employed line transects, using either direct sightings or indirect signs. Total biomass of these ungulates and elephant was 1450 kg km–2 which was lower than that found in a well protected and managed area of similar forest, Nagarahole National Park, in India. This is due to the intensive poaching activity and the lack of wildlife management in this study site. Three species of ungulate, banteng (Bos javanicus), gaur (Bos gaurus) and sambar deer (Cervus unicolor), contributed over 70% of the estimated herbivore biomass. This situation is similar to that found in other parts of Asia. The high biomass of a subterranean mammal, Cannomys badius, has not been documented elsewhere in Asia; this species probably influences the forest dynamics and ecology of small carnivores in this area.
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SGHAIER, Tahar, Salah GARCHI, and Thouraya AZIZI. "Modélisation de la croissance et la production du liège en Tunisie." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 346 (January 11, 2021): 3–20. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.346.a31805.

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Abstract:
L’absence d’outils nécessaires pour l’estimation des productions, la gestion et l’aménagement des peuplements de chêne-liège (Quercus suber L.) en Tunisie constitue un handicap pour le développement et la conservation de la suberaie dans le pays. Les objectifs de ce travail étaient de préciser l’impact de l’intensité de démasclage des arbres de chêne-liège sur la croissance et la production du liège, d’élaborer des modèles d’estimation de la croissance et la biomasse du liège à l’échelle de l’arbre, et enfin de vérifier des coefficients de démasclage appliqués en Tunisie et leur impact sur la production nationale de liège. Les données collectées proviennent d’un essai multisites de démasclage et de deux inventaires réalisés dans différents chantiers de démasclage durant deux campagnes successives de récolte de liège. Trois sites expérimentaux représentatifs des forêts productives de chêne-liège en Tunisie ont fait l’objet d’un même essai où trois coefficients de démasclage ont été appliqués sur des arbres appartenant à trois classes de diamètre. Des mesures de l’épaisseur du liège à hauteur de poitrine ont été effectuées annuellement durant une rotation de 12 ans, à la fin de laquelle le liège produit sur chaque arbre a été récolté et pesé. Les résultats obtenus ont montré un effet « coefficients de démasclage » non significatif et un effet « classes de diamètre » très hautement significatif sur la croissance en épaisseur du liège. Le poids de liège récolté est affecté significativement par les coefficients de démasclage et les classes de diamètre. Deux modèles de croissance et de biomasse de liège ont été développés à l’échelle de l’arbre avec des précisions respectives de 96 % et 93 %. Les coefficients de démasclage réellement appliqués en Tunisie varient de 0,6 à 3,6 avec une valeur moyenne de 1,7. Les pertes dans les quantités de liège récolté issues des deux inventaires ont été respectivement estimées, en cas d’application des coefficients de démasclage étudiés (2, 2,5 et 3), à 14 %, 32 % et 50 %.
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Turner, Edgar C., and William A. Foster. "The impact of forest conversion to oil palm on arthropod abundance and biomass in Sabah, Malaysia." Journal of Tropical Ecology 25, no. 1 (2009): 23–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0266467408005658.

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Abstract:
Abstract:Deforestation rates in South-East Asia are among the highest of any tropical region, with expansion of oil palm being one important factor. Despite this, few studies have investigated the impact of oil palm expansion on the arthropod fauna. We report here the first study on the impact of forest conversion to oil palm on overall arthropod abundance, biomass and composition. We compared arthropod abundance and biomass, collected from epiphytic bird's nest ferns, the canopy, and leaf litter between primary forest, logged forest and oil palm plantation. Epiphytes, canopy and litter all contained a lower abundance (epiphytes: 67.2%, canopy: 2.3% and litter: 77.1% reduction) and biomass (epiphytes: 87.5%, canopy: 37.9% and litter: 72.4% reduction) of arthropods in oil palm compared with primary forest. However, not all orders of arthropods showed the same level of decline, with some groups having higher abundance and biomass in oil palm, resulting in an altered community composition in the epiphytes and canopy in oil palm compared with forest. Our results show that forest conversion to oil palm impacts detrimentally on invertebrates in all compartments of the forest ecosystem.
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Ochuodho, Thomas, Janaki Alavalapati, Pankaj Lal, Domena Agyeman, Bernabas Wolde, and Pralhad Burli. "Potential Economic Impacts of Allocating More Land for Bioenergy Biomass Production in Virginia." Forests 10, no. 2 (2019): 159. http://dx.doi.org/10.3390/f10020159.

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Abstract:
The growing attention to renewable energy and rural development has created greater demand for production of biomass feedstock for bioenergy. However, forest growth rates and the amount of land in most existing forests may not be sufficient to sustainably supply the forest biomass required to support existing forest products industries and the expanding bioenergy industry. Additionally, concerns about agricultural land use competition have dampened expansion of biomass production on agricultural land base. One of the ways to meet the growing forest biomass feedstock demand for bioenergy production is by allocating currently marginal non-forested land for growing bioenergy feedstocks. In Virginia, about 80% of forestland is under nonindustrial private forest ownership. The land use allocation decisions of these private owners are critical for the supply of the forest biomass feedstock to support bioenergy production. We apply a computable general equilibrium model to assess the economy-wide impacts of forestland owners’ willingness to plant pine on non-forested land for woody bioenergy in Virginia. We consider three counterfactual scenarios of biomass feedstock supply increase as intermediate demand for bioenergy production based on forestland owners’ willingness to accept biomass bid prices to set aside more non-forested land for biomass production in Virginia under general equilibrium conditions. Overall, the results show an increase in social welfare and household utility but a marginal decline in GDP. However, increased demand of biomass from logging sector depressed the manufacturing sector (the wood manufacturing sub-sector particularly), which also relies on the logging sector for its intermediate inputs. Results from this study provide insights into the bioenergy land use competition debate, and pathways towards sustainable bioenergy feedstock supply.
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Feldpausch, T. R., J. Lloyd, S. L. Lewis, et al. "Tree height integrated into pan-tropical forest biomass estimates." Biogeosciences Discussions 9, no. 3 (2012): 2567–622. http://dx.doi.org/10.5194/bgd-9-2567-2012.

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Abstract:
Abstract. Above-ground tropical tree biomass and carbon storage estimates commonly ignore tree height. We estimate the effect of incorporating height (H) on forest biomass estimates using 37 625 concomitant H and diameter measurements (n = 327 plots) and 1816 harvested trees (n = 21 plots) tropics-wide to answer the following questions: 1. For trees of known biomass (from destructive harvests) which H-model form and geographic scale (plot, region, and continent) most reduces biomass estimate uncertainty? 2. How much does including H relationship estimates derived in (1) reduce uncertainty in biomass estimates across 327 plots spanning four continents? 3. What effect does the inclusion of H in biomass estimates have on plot- and continental-scale forest biomass estimates? The mean relative error in biomass estimates of the destructively harvested trees was half (mean 0.06) when including H, compared to excluding H (mean 0.13). The power- and Weibull-H asymptotic model provided the greatest reduction in uncertainty, with the regional Weibull-H model preferred because it reduces uncertainty in smaller-diameter classes that contain the bulk of biomass per hectare in most forests. Propagating the relationships from destructively harvested tree biomass to each of the 327 plots from across the tropics shows errors are reduced from 41.8 Mg ha−1 (range 6.6 to 112.4) to 8.0 Mg ha−1 (−2.5 to 23.0) when including $H$. For all plots, above-ground live biomass was 52.2±17.3 Mg ha−1 lower when including H estimates (13%), with the greatest reductions in estimated biomass in Brazilian Shield forests and relatively no change in the Guyana Shield, central Africa and southeast Asia. We show fundamentally different stand structure across the four forested tropical continents, which affects biomass reductions due to $H$. African forests store a greater portion of total biomass in large-diameter trees and trees are on average larger in diameter. This contrasts to forests on all other continents where smaller-diameter trees contain the greatest fractions of total biomass. After accounting for variation in $H$, total biomass per hectare is greatest in Australia, the Guyana Shield, and Asia and lowest in W. Africa, W. Amazonia, and the Brazilian Shield (descending order). Thus, if closed canopy tropical forests span 1668 million km2 and store 285 Pg C, then the overestimate is 35 Pg C if H is ignored, and the sampled plots are an unbiased statistical representation of all tropical forest in terms of biomass and height factors. Our results show that tree $H$ is an important allometric factor that needs to be included in future forest biomass estimates to reduce error in estimates of pantropical carbon stocks and emissions due to deforestation.
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Houghton, R. A. "Releases of carbon to the atmosphere from degradation of forests in tropical Asia." Canadian Journal of Forest Research 21, no. 1 (1991): 132–42. http://dx.doi.org/10.1139/x91-017.

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Abstract:
The net annual flux of carbon from south and southeast Asia as a result of changes in the area of forests was calculated for the period 1850 to 1985. The total net flux ranged from 14.4 to 24.0 Pg of carbon, depending on the estimates of biomass used in the calculations. High estimates of biomass, based on direct measurement of a few stands, and low estimates of biomass, based on volumes of merchantable wood surveyed over large areas, differ by a factor of almost 2. These and previous estimates of the release of carbon from terrestrial ecosystems to the atmosphere have been based on changes in the area of forests, or rates of deforestation. Recent studies have shown, however, that the loss of carbon from forests in tropical Asia is greater than would be expected on the basis of deforestation alone. This loss of carbon from within forests (degradation) also releases carbon to the atmosphere when the products removed from the forest burn or decay. Thus, degradation should be included in analyses of the net flux of carbon from terrestrial ecosystems. Degradation may also explain some of the difference between estimates of tropical forest biomass if the higher estimates are based on undisturbed forests and the lower estimates are more representative of the region. The implication of degradation for estimates of the release of carbon from terrestrial ecosystems is explored. When degradation was included in the analyses, the net flux of carbon between 1850 and 1985 was 30.2 Pg of carbon, about 25% above that calculated on the basis of deforestation alone (with high estimates of biomass), and about 110% above that calculated with low estimates of biomass. Thus, lower estimates of biomass for contemporary tropical forests do not necessarily result in lower estimates of flux.
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Tun, Juchelkova, Win, Thu, and Puchor. "Biomass Energy: An Overview of Biomass Sources, Energy Potential, and Management in Southeast Asian Countries." Resources 8, no. 2 (2019): 81. http://dx.doi.org/10.3390/resources8020081.

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Abstract:
Potential depletion of fossil fuel and climate change have globally accelerated the demand in renewable and alternative energy. Most of the Southeast Asian countries have an abundance of biomass sources for the energy sector due to their agriculture-based economy and enormous forest resources. Therefore, the study aimed at highlighting an overview of biomass energy in the Southeast Asia countries to convey the environmental and economic benefits from the available biomass sources in the region. In order to achieve the aim, the study synthesized and evaluated the biomass sources, energy potential, utilization, and management in the region, based on the published research papers, review papers, and country reports. It was found that the major biomass sources in this region were fuelwood, wood residues, rice husk, rice straw, sugarcane residues, oil palm residues, and coconut residues. The total annual quantity of the biomass potential from agriculture and forest sector in the region was estimated at more than 500 million tons per year and equal to over 8000 million gigajoules of total energy potential. In order to implement the sustainable utilization of biomass sources, the study specified the barriers and challenges of biomass utilization in these countries and proposed a sustainable approach of biomass energy, by comparing the way of traditional biomass utilization.
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Feldpausch, T. R., J. Lloyd, S. L. Lewis, et al. "Tree height integrated into pantropical forest biomass estimates." Biogeosciences 9, no. 8 (2012): 3381–403. http://dx.doi.org/10.5194/bg-9-3381-2012.

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Abstract:
Abstract. Aboveground tropical tree biomass and carbon storage estimates commonly ignore tree height (H). We estimate the effect of incorporating H on tropics-wide forest biomass estimates in 327 plots across four continents using 42 656 H and diameter measurements and harvested trees from 20 sites to answer the following questions: 1. What is the best H-model form and geographic unit to include in biomass models to minimise site-level uncertainty in estimates of destructive biomass? 2. To what extent does including H estimates derived in (1) reduce uncertainty in biomass estimates across all 327 plots? 3. What effect does accounting for H have on plot- and continental-scale forest biomass estimates? The mean relative error in biomass estimates of destructively harvested trees when including H (mean 0.06), was half that when excluding H (mean 0.13). Power- and Weibull-H models provided the greatest reduction in uncertainty, with regional Weibull-H models preferred because they reduce uncertainty in smaller-diameter classes (≤40 cm D) that store about one-third of biomass per hectare in most forests. Propagating the relationships from destructively harvested tree biomass to each of the 327 plots from across the tropics shows that including H reduces errors from 41.8 Mg ha−1 (range 6.6 to 112.4) to 8.0 Mg ha−1 (−2.5 to 23.0). For all plots, aboveground live biomass was −52.2 Mg ha−1 (−82.0 to −20.3 bootstrapped 95% CI), or 13%, lower when including H estimates, with the greatest relative reductions in estimated biomass in forests of the Brazilian Shield, east Africa, and Australia, and relatively little change in the Guiana Shield, central Africa and southeast Asia. Appreciably different stand structure was observed among regions across the tropical continents, with some storing significantly more biomass in small diameter stems, which affects selection of the best height models to reduce uncertainty and biomass reductions due to H. After accounting for variation in H, total biomass per hectare is greatest in Australia, the Guiana Shield, Asia, central and east Africa, and lowest in east-central Amazonia, W. Africa, W. Amazonia, and the Brazilian Shield (descending order). Thus, if tropical forests span 1668 million km2 and store 285 Pg C (estimate including H), then applying our regional relationships implies that carbon storage is overestimated by 35 Pg C (31–39 bootstrapped 95% CI) if H is ignored, assuming that the sampled plots are an unbiased statistical representation of all tropical forest in terms of biomass and height factors. Our results show that tree H is an important allometric factor that needs to be included in future forest biomass estimates to reduce error in estimates of tropical carbon stocks and emissions due to deforestation.
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Hetzer, Jessica, Andreas Huth, Thorsten Wiegand, Hans Jürgen Dobner, and Rico Fischer. "An analysis of forest biomass sampling strategies across scales." Biogeosciences 17, no. 6 (2020): 1673–83. http://dx.doi.org/10.5194/bg-17-1673-2020.

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Abstract. Tropical forests play an important role in the global carbon cycle as they store a large amount of carbon in their biomass. To estimate the mean biomass of a forested landscape, sample plots are often used, assuming that the biomass of these plots represents the biomass of the surrounding forest. In this study, we investigated the conditions under which a limited number of sample plots conform to this assumption. Therefore, the minimum number of sample sizes for predicting the mean biomass of tropical forest landscapes was determined by combining statistical methods with simulations of sampling strategies. We examined forest biomass maps of Barro Colorado Island (50 ha), Panama (50 000 km2), and South America, Africa, and Southeast Asia (3 × 106–11 × 106 km2). The results showed that around 100 plots (1–25 ha each) are necessary for continent-wide biomass estimations if the sampled plots are randomly distributed. However, locations of current inventory plots often do not meet this requirement, for example, as their sampling design is based on spatial transects among climatic gradients. We show that these nonrandom locations lead to a much higher sampling intensity being required (up to 54 000 plots for accurate biomass estimates for South America). The number of sample plots needed can be reduced using large distances (5 km) between the plots within transects. We also applied novel point pattern reconstruction methods to account for aggregation of inventory plots in known forest plot networks. The results implied that current plot networks can have clustered structures that reduce the accuracy of large-scale estimates of forest biomass if no further statistical approach is applied. To establish more reliable biomass predictions across South American tropical forests, we recommend more spatially randomly distributed inventory plots (minimum: 100 plots) and ensuring that the analyses of inventory plot data consider their spatial characteristics. The precision of forest attribute estimates depends on the sampling intensity and strategy.
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RATNASINGAM, Jegatheswaran, Geetha RAMASAMY, Weiching TOONG, et al. "Carbon Stocking in the Natural Forests - The Case of Malaysia." Notulae Botanicae Horti Agrobotanici Cluj-Napoca 43, no. 1 (2015): 278–86. http://dx.doi.org/10.15835/nbha4319978.

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Forested land in the world is about 28% of the global land area, accounting for 80% of the terrestrial carbon stored as biomass and soil organic carbon. Human activities, namely fossil fuel combustion and deforestation resulted in anthropogenic emissions into the atmosphere. Deforestation is being focused in this study in view of the role of forests as carbon stocks. Carbon is normally referred to as biomass of the tree. Several studies revealed that carbon is mostly sequestered in the aboveground part of biomass. As Southeast Asia has the highest level of deforestation, this study focused on observing carbon stocks in Malaysian forests. The conducted estimation of forest carbon stocks reveals carbon stock increment owing to the increment in the forested land. Yet, the forest transition process necessary for expanding the areas of forested land appears to be difficult to achieve. The economic development in the agricultural sector, land conversion for industrialization and settlement, expansion of wood-based industry and employment opportunities in the wood-based sector may hamper forest transition.
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Pinel-Alloul, B., D. Planas, R. Carignan, and P. Magnan. "Synthèse des impacts écologiques des feux et des coupes forestières sur les lacs de l'écozone boréale au Québec." Revue des sciences de l'eau 15, no. 1 (2005): 371–95. http://dx.doi.org/10.7202/705460ar.

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Abstract:
Cet article présente une première synthèse comparative des impacts des feux et des coupes forestières sur la qualité des eaux et les communautés aquatiques des lacs de l'écozone boréale de l'est du Canada. La recherche a été réalisée de 1996 à 1998 dans le cadre d'un projet du Réseau de centre d'excellence sur la gestion durable des forêts (RCE-GDF) et porte sur 38 lacs du Bouclier Canadien du Québec. Les changements dans la qualité de l'eau ainsi que dans la diversité, la biomasse et la structure des communautés de plancton et de poissons ont été suivis pendant trois ans dans 20 lacs dont les bassins versants étaient non perturbés, dans 9 lacs qui avaient subit des coupes forestières et dans 9 lacs qui avaient subit des feux de forêt. Notre étude montre que les feux et les coupes ont des impacts significatifs qui diffèrent selon le type de perturbation. En général, les lacs affectés par les coupes et les feux ont des concentrations de phosphore 2 à 3 fois plus élevées que les lacs de référence. Toutefois, les lacs affectés par les feux montrent des concentrations en nitrates beaucoup plus élevées tandis que les lacs affectés par les coupes sont moins transparents et ont des eaux plus colorées, très riches en carbone organique dissous. Les feux et les coupes affectent aussi de façon différente la minéralisation des eaux et les concentrations des ions majeurs. Les feux et les coupes n'ont pas d'effet sur la biodiversité des communautés planctoniques, sauf dans les lacs ayant un grand bassin versant et plus de 40 % de perturbation. Aucune différence n'a été observée entre les lacs de référence et les lacs perturbés au niveau de l'occurrence, l'abondance et la croissance des espèces de poissons. En revanche, les feux et les coupes affectent la production et la structure des communautés aquatiques. Dans les lacs affectés par les feux, l'enrichissement en azote et phosphore provoque une hausse de la concentration en chlorophylle a, et de la biomasse du phytoplancton et du limnoplancton (seston > 53 µm), en particulier des diatomées, des rotifères et des gros crustacés, pendant deux à trois années après les feux. En revanche, dans les lacs affectés par les coupes, l'enrichissement en phosphore n'entraîne qu'une augmentation très faible et limitée à un an de la biomasse des algues et pas de changement dans les biomasses du limnoplancton, en raison de la forte couleur et de la transparence réduite des eaux, qui limite la production biologique. Les coupes ont un impact négatif sur les copépodes calanoïdes, un groupe de zooplancton caractéristique des lacs oligotrophes et transparents. Une diminution significative de la proportion des individus de petite taille a été observée chez les populations de perchaude et de meunier noir des lacs perturbés (lacs de coupe et de feux formant un seul groupe). Les impacts observés dans la qualité des eaux et la production du plancton augmentent avec l'importance relative des perturbations au niveau du bassin versant. Cependant, la variabilité dans les caractéristiques des bassins versants et des lacs, en particulier le rapport de drainage et le temps de résidence des eaux, a des effets confondants sur les réponses des écosystèmes lacustres aux perturbations par les feux et les coupes.
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Jha, Nidhi, Nitin Kumar Tripathi, Wirong Chanthorn, et al. "Forest aboveground biomass stock and resilience in a tropical landscape of Thailand." Biogeosciences 17, no. 1 (2020): 121–34. http://dx.doi.org/10.5194/bg-17-121-2020.

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Abstract:
Abstract. Half of Asian tropical forests were disturbed in the last century resulting in the dominance of secondary forests in Southeast Asia. However, the rate at which biomass accumulates during the recovery process in these forests is poorly understood. We studied a forest landscape located in Khao Yai National Park (Thailand) that experienced strong disturbances in the last century due to clearance by swidden farmers. Combining recent field and airborne laser scanning (ALS) data, we first built a high-resolution aboveground biomass (AGB) map of over 60 km2 of forest landscape. We then used the random forest algorithm and Landsat time series (LTS) data to classify landscape patches as non-forested versus forested on an almost annual basis from 1972 to 2017. The resulting chronosequence was then used in combination with the AGB map to estimate forest carbon recovery rates in secondary forest patches during the first 42 years of succession. The ALS-AGB model predicted AGB with an error of 14 % at 0.5 ha resolution (RMSE=45 Mg ha−1) using the mean top-of-canopy height as a single predictor. The mean AGB over the landscape was 291 Mg ha−1, showing a high level of carbon storage despite past disturbance history. We found that AGB recovery varies non-linearly in the first 42 years of the succession, with an increasing rate of accumulation through time. We predicted a mean AGB recovery rate of 6.9 Mgha-1yr-1, with a mean AGB gain of 143 and 273 Mg ha−1 after 20 and 40 years, respectively. This rate estimate is about 50 % larger than the rate prescribed for young secondary Asian tropical rainforests in the 2019 refinement of the 2006 IPCC guidelines for national greenhouse gas inventories. Our study hence suggests that the new IPCC rates, which were based on limited data from Asian tropical rainforests, strongly underestimate the carbon potential of forest regrowth in tropical Asia. Our recovery estimates are also within the range of those reported for the well-studied Latin American secondary forests under similar climatic conditions. This study illustrates the potential of ALS data not only for scaling up field AGB measurements but also for predicting AGB recovery dynamics when combined with long-term satellite data. It also illustrates that tropical forest landscapes that were disturbed in the past are of utmost importance for the regional carbon budget and thus for implementing international programs such as REDD+.
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Ndamiyehe Ncutirakiza, Jean-Baptiste, Philippe Lejeune, Sylvie Gourrlet-Fleury, Adeline Fayolle, Léopold Ndjele Mianda-Bungi, and Gauthier Ligot. "Quantifier les dimensions des houppiers à l’aide d’images aériennes à haute résolution pour estimer l’accroissement diamétrique des arbres dans les forêts d’Afrique centrale." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 343 (March 27, 2020): 67–81. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.343.a31848.

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Abstract:
Caractériser la dynamique d’une forêt est essentiel pour la gestion forestière. Les houppiers des arbres forment un élément clé de cette dynamique ; mais, en forêt tropicale, les mesurer n’est pas simple. Cette étude teste l’utilisation d’images aériennes à haute résolution pour estimer la croissance diamétrique des arbres, en intégrant des mesures fines des houppiers détectés. Des ortho-images de 10 cm/pixel de résolution ont été obtenues à l’aide d’un drone à aile fixe sur une parcelle de 9 ha, installée dans la forêt de Yoko en République démocratique du Congo. Les inventaires menés sur les arbres de DHP ≥ 10 cm en 2008 et en 2016 ont permis d’avoir accès à différentes caractéristiques dendrométriques individuelles, dont le diamètre des arbres et leur tempérament, et de calculer des accroissements diamétriques. Des modèles linéaires mixtes ont été calibrés pour prédire l’accroissement de 163 arbres identifiés à la fois sur le terrain et sur les ortho-images en utilisant les variables quantifiées uniquement sur le terrain et/ou à partir de variables mesurées sur les ortho-images. Les images aériennes ont permis de détecter 23,4 % des arbres de DHP ≥ 10 cm inventoriés au sol, et représentant 75,1 % de la biomasse aérienne du peuplement. La probabilité de détection des arbres a varié en fonction de leur DHP : de 0,09 pour les arbres de DHP < 30 cm à 0,97 pour les arbres de DHP ≥ 60 cm. Les variables quantifiées par télédétection ajoutées aux variables de terrain ont permis d’améliorer significativement la prédiction de l’accroissement diamétrique. Les meilleurs modèles d’estimation des accroissements diamétriques contiennent notamment un terme caractérisant la dimension du houppier des arbres qui n’a pu être mesuré que par télédétection. Parmi les variables déterminées par télédétection, la superficie convexe du houppier est apparue la plus performante dans les modèles, et s’avère ainsi être la mesure la plus intéressante pour décrire la compétition entre les houppiers. Ces résultats ouvrent des perspectives pour construire de nouveaux outils d’acquisition de données au service de l’aménagement forestier.
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Flint, Elizabeth P., and John F. Richards. "Historical analysis of changes in land use and carbon stock of vegetation in south and southeast Asia." Canadian Journal of Forest Research 21, no. 1 (1991): 91–110. http://dx.doi.org/10.1139/x91-014.

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Abstract:
A time series (1880, 1920, 1950, 1980) of estimates of land use and carbon content of vegetation is presented for a contiguous area of 1.7 × 106 km2 in northern India, Bangladesh, and Burma. This was developed using sequential bookkeeping models, which systematically incorporate official agricultural and forest statistics with ecological, botanical, historical, geographical, and demographic data. For 149 administrative units, aggregated into 39 ecological zones, we estimated area and carbon content for each of the following land-use categories: net cultivated area, settled–built-up area, forest–woodland, interrupted woods, grass–shrub complexes, barren – sparsely vegetated areas, wetlands, and surface water. Dominant patterns of land-use change were deforestation, agricultural expansion, and wetland clearance, but significant regional and temporal disparities were observed. For the entire study region, the estimated standing stock of carbon in biomass declined by 2.62 Gt over the century. Release by periods was 911 Mt for 1880–1920, 750 Mt for 1920–1950, and 964 Mt for 1950–1980. Forest–woodland and interrupted woods vegetation released carbon equivalent to over 90% of the total release. Both conversion of forest to other vegetation types and reduction over time of biomass within vegetation types contributed significantly to decreases in total standing carbon stock during the period.
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Peltier, Régis, Émilien Dubiez, Simon Diowo, et al. "Assisted Natural Regeneration in slash-and-burn agriculture: Results in the Democratic Republic of the Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, no. 321 (2014): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31220.

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Abstract:
La majorité des impacts anthropiques sur les forêts tropicales naturelles en Afrique centrale est liée à l’agriculture itinérante et à l’extraction du bois de feu en zone périur- baine. Cela est en particulier le cas autour de Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC). C’estpourquoi, en 2010, la Régénération naturelle assistée (RNA) a été adaptée et testée par le Projet Makala dans le bassin d’approvisionnement en bois de feudecetteville, pouraméliorerlessystèmes de culture sur abattis-brûlis et contribuer à l’enrichissement des jachères forestières. Avant la défriche, des arbres utiles sont sé- lectionnéspourêtre protégés. Puis, pendant la période de culture, la germination et la multiplication par rejets de souche et dra- geons des espèces forestières locales pré- existantessontfavoriséespar despratiques de sarclages sélectifs, d’éclaircies et d’éla- gages. Lesuividecestestsmontreunefaible survie des vieux arbres conservés lors du défrichementpour lescultures, enraisonde la difficulté de contrôle des feux lors du brû- lis, ce qui limite l’applicabilité de cette tech- nique à la périphérie des parcelles, sous forme d’enrichissement progressif de haies bocagères. Par contre, à l’intérieur des par- celles, les rejets de souche exploités et les drageonsdesespècesforestièresnaturelles, protégéspar RNA aumomentdessarclages, ont montré une croissance rapide qui per- met, àfaiblecoût, d’installer rapidementune jachère ligneuse. En 2014, trois ans et demi après le brûlis, ces jachères ont une biodi- versité etune biomasse supérieuresà celles des jachères non gérées par RNA. Une meil- leure productivité en charbon et en produit agricole ainsi qu’une réduction de la sava- nisation des espaces forestiers sont espé- rées. Cependant, l’acceptation sociale, qui estunfacteurcritiquepourladiffusiond’une telle innovationàgrandeéchelle, resteàétu- dier, en relation avec l’évolution possible desdroitsfoncierstraditionnelsetmodernes.
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GERMON, Amandine. "Conséquences de la coupe rase sur la production de racines fines, CO2, CH4 et N2O jusqu'à la nappe phréatique dans une plantation d'Eucalyptus grandis menée en taillis sur un dispositif d'exclusion de pluie." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 346 (January 13, 2021): 79–80. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.346.a36293.

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Abstract:
Une meilleure connaissance de la dynamique spatio-temporelle des racines fines et des gaz à effet de serre dans les couches profondes du sol est indispensable pour identifier des pratiques sylvicoles plus durables pour les forêts plantées dans un contexte de changement climatique. Notre étude visait à évaluer les effets des coupes claires et de la sécheresse sur la production de racines fines et les flux et la production de CO2, CH4 et N2O sur tout le profil de sol jusqu'à la nappe, dans des plantations d'Eucalyptus grandis conduites en taillis au Brésil. Les racines fines (diamètre < 2 mm) ont été échantillonnées jusqu'à une profondeur de 17 m sur un dispositif d’exclusion de pluviolessivat permettant de comparer des peuplements où 37 % du pluviolessivat a été exclu à l'aide de bâches en plastique (–W) avec des peuplements sans exclusion d'eau de pluie (+W). La dynamique racinaire, les flux en surface et les concentrations dans le sol de CO2, CH4 et N2O ont été mesurés dans deux fosses permanentes pour les deux traitements, + W et – W, avant la coupe des arbres et ensuite en conduite en taillis. La croissance des racines fines était considérable à grande profondeur (> 13 m) pour les arbres menés en taillis et, étonnamment, la mortalité des racines fines était extrêmement faible quelle que soit la profondeur et le traitement. La biomasse des racines fines, leur longueur et leur surface spécifiques étaient respectivement plus élevées d'environ 25 %, 15 % et 15 % pour le traitement –W que pour +W. Les concentrations moyennes de CO2 et N2O pour –W sont plus faibles de 20,7 % et 7,6 % que pour +W, et les concentrations de CH4 pour –W sont plus élevées de 44,4 % que pour +W sur l'ensemble des profils du sol. Un modèle de diffusivité montre une production et une consommation de CO2, N2O et CH4 en grande profondeur et similaire pour les deux traitements, +W et –W. La mise en place de systèmes racinaires profonds dans les forêts tropicales plantées pourrait permettre aux arbres de résister aux périodes de sécheresse attendues dans le futur. Notre étude réalisée dans des peuplements d'eucalyptus gérés en taillis, représentatifs de vastes zones tropicales, suggère que les émissions de gaz à effet de serre pourraient être peu influencées par les modifications de régimes de précipitations dues au changement climatique.
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Niiyama, Kaoru, Takuya Kajimoto, Yojiro Matsuura, et al. "Estimation of root biomass based on excavation of individual root systems in a primary dipterocarp forest in Pasoh Forest Reserve, Peninsular Malaysia." Journal of Tropical Ecology 26, no. 3 (2010): 271–84. http://dx.doi.org/10.1017/s0266467410000040.

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Abstract:
Abstract:Precise estimation of root biomass is important for understanding carbon stocks and dynamics in tropical rain forests. However, limited information is available on individual root masses, especially large trees. We excavated 121 root systems of various species (78) and sizes (up to 116 cm in dbh), and estimated both above- and below-ground biomass in a lowland primary dipterocarp forest in the Pasoh Forest Reserve, Peninsular Malaysia. A tree census was conducted in four research plots (each 0.2 ha) and stand-level biomass was estimated. We examined relationships between tree size parameters and masses of coarse roots (roots ≥5 mm in diameter) and derived a dbh-based allometric equation. The amounts of coarse roots that were lost during excavation were corrected. Coarse-root biomass before and after correction for lost roots was estimated to be 63.8 and 82.7 Mg ha−1, indicating that significant amounts of roots (23%) were lost during the sampling. We also estimated the biomass of small root (<5 mm) by applying pipe-model theory. The estimate, 13.3 Mg ha−1, was similar to another estimate of small roots, 16.4 Mg ha−1, which was obtained directly by the soil-pit sampling method. Total below-ground (BGB) and above-ground biomass (AGB) was estimated to be 95.9 and 536 Mg ha−1, respectively. The biomass-partitioning ratio (BGB/AGB) was about 0.18. In conclusion, the dbh-based allometric equation for coarse roots developed in this study, which kept good linearity even including the data of larger trees, might be useful for evaluating below-ground carbon stocks in other stands of similar forest (old-growth dipterocarp) in South-East Asia.
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Quennehen, B., A. Schwarzenboeck, A. Matsuki, et al. "Anthropogenic and forest fire pollution aerosol transported to the Arctic: observations from the POLARCAT-France spring campaign." Atmospheric Chemistry and Physics 12, no. 14 (2012): 6437–54. http://dx.doi.org/10.5194/acp-12-6437-2012.

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Abstract:
Abstract. During the POLARCAT-France airborne measurement campaign in spring 2008, several pollution plumes transported from mid-latitude regions were encountered. The study presented here focuses on air masses from two different geographic origins (Europe and Asia) and from 2 different source types (anthropogenic pollution and forest fires). A first case study is dedicated to a European air mass, which was repeatedly sampled and analysed during three consecutive days. Thereby, the evolution of the aerosol properties (size distributions, CO mixing ratio) is characterised and related processes are discussed. In particular, the role of coagulation, condensation and cloud processing in the evolution of the Aitken and the accumulation mode particles are contrasted. A second case study focuses on European air masses impacted solely by biomass burning emissions and Asian air masses with contributions from both biomass burning and anthropogenic emissions. The analysis of aerosol modes highlight a similar behaviour for particle originating from biomass burning (from Europe as well as Asia). In comparison to the predominating aged accumulation mode in biomass burning particles, a still larger aerosol accumulation mode related to Asian anthropogenic emissions can be isolated. These findings corroborate the external mixing of such kind of aerosol size distributions. An electron microscopy study (coupled to X-ray elemental analysis) of particles illustrated soot-like inclusions in several samples. Within samples attributed to forest fire sources, the chemical signature is highly associated with the presence of potassium, which is a characteristic tracer element for biomass burning plumes. The single particle images suggest an internal mixing of sampled individual aerosol particles. Thus, particles are found externally mixed as demonstrated from particle size distributions while they appear internally mixed at the particle scale.
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Kenzo, Tanaka, Tomoaki Ichie, Daisuke Hattori, et al. "Development of allometric relationships for accurate estimation of above- and below-ground biomass in tropical secondary forests in Sarawak, Malaysia." Journal of Tropical Ecology 25, no. 4 (2009): 371–86. http://dx.doi.org/10.1017/s0266467409006129.

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Abstract:
Abstract:We developed allometric relationships between tree size parameters (stem diameter at breast height (dbh), at ground surface (D0) and tree height) and leaf, stem, small-root (diameter <5 mm) and total root biomass in various tropical secondary-forest trees in Sarawak, Malaysia. In total, 136 individuals from 23 species were harvested to measure above-ground parts. Root systems of 77 individuals of 16 species were also excavated. The coefficients of correlation for the obtained allometric relationships between tree diameter and plant-part biomass showed high values, ranging from 0.83 to 0.99. In addition, there were few interspecific differences in relationships for all biomass parts, except for leaves. We also found relatively high coefficients of allometric relationships between tree height and plant-part biomass ranging from 0.83 to 0.94. Comparison of above- and below-ground biomass equations for various tropical rainforests implies that our allometric equations differ largely from the equations for tropical primary forests. Thus, choosing both above- and below-ground allometric equations for biomass estimation in tropical secondary forests of South-East Asia requires careful consideration of their suitability.
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Abbas, Sawaid, Man Sing Wong, Jin Wu, Naeem Shahzad, and Syed Muhammad Irteza. "Approaches of Satellite Remote Sensing for the Assessment of Above-Ground Biomass across Tropical Forests: Pan-tropical to National Scales." Remote Sensing 12, no. 20 (2020): 3351. http://dx.doi.org/10.3390/rs12203351.

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Abstract:
Tropical forests are acknowledged for providing important ecosystem services and are renowned as “the lungs of the planet Earth” due to their role in the exchange of gasses—particularly inhaling CO2 and breathing out O2—within the atmosphere. Overall, the forests provide 50% of the total plant biomass of the Earth, which accounts for 450–650 PgC globally. Understanding and accurate estimates of tropical forest biomass stocks are imperative in ascertaining the contribution of the tropical forests in global carbon dynamics. This article provides a review of remote-sensing-based approaches for the assessment of above-ground biomass (AGB) across the tropical forests (global to national scales), summarizes the current estimate of pan-tropical AGB, and discusses major advancements in remote-sensing-based approaches for AGB mapping. The review is based on the journal papers, books and internet resources during the 1980s to 2020. Over the past 10 years, a myriad of research has been carried out to develop methods of estimating AGB by integrating different remote sensing datasets at varying spatial scales. Relationships of biomass with canopy height and other structural attributes have developed a new paradigm of pan-tropical or global AGB estimation from space-borne satellite remote sensing. Uncertainties in mapping tropical forest cover and/or forest cover change are related to spatial resolution; definition adapted for ‘forest’ classification; the frequency of available images; cloud covers; time steps used to map forest cover change and post-deforestation land cover land use (LCLU)-type mapping. The integration of products derived from recent Synthetic Aperture Radar (SAR) and Light Detection and Ranging (LiDAR) satellite missions with conventional optical satellite images has strong potential to overcome most of these uncertainties for recent or future biomass estimates. However, it will remain a challenging task to map reference biomass stock in the 1980s and 1990s and consequently to accurately quantify the loss or gain in forest cover over the periods. Aside from these limitations, the estimation of biomass and carbon balance can be enhanced by taking account of post-deforestation forest recovery and LCLU type; land-use history; diversity of forest being recovered; variations in physical attributes of plants (e.g., tree height; diameter; and canopy spread); environmental constraints; abundance and mortalities of trees; and the age of secondary forests. New methods should consider peak carbon sink time while developing carbon sequestration models for intact or old-growth tropical forests as well as the carbon sequestration capacity of recovering forest with varying levels of floristic diversity.
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Behling, Maurel, Marie-Gabrielle Piketty, Thiago Fonseca Morello, Jean-Pierre Bouillet, Francisco Mesquita Neto, and Jean-Paul Laclau. "Plantations d'eucalyptus et sidérurgie en Amazonie : apports du modèle 3-PG." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (2011): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20464.

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Le secteur sidérurgique de Carajás, en Amazonie Brésilienne, fait l'objet de contestations environnementales du fait de sa forte consommation en charbon de bois. Ce charbon est essentiellement produit à partir de biomasse de forêts naturelles, avec des impacts directs et indirects sur la déforestation et la dégradation de ces écosystèmes. Les plantations d'eucalyptus à vocation énergétique installées sur des pâturages dégradés constituent une alternative intéressante. Peu de ces plantations ont été mises en place jusqu'à présent et faute d'évaluations valables de leur potentiel de production, une étude a été menée pour présenter une estimation consolidée de la croissance et de la productivité des plantations d'eucalyptus du pôle de Carajás. Celles-ci ont été obtenues à partir du modèle 3-PG (Physiological Principles in Predicting Growth). Son paramétrage a été réalisé à partir de données de croissance du massif d'eucalyptus d'une entreprise de la municipalité de Breu Branco dans l'État du Pará au Brésil. La calibration locale du modèle s'est avérée beaucoup plus performante que l'utilisation de paramètres établis pour des plantations d'eucalyptus dans d'autres régions du Brésil, d'Afrique du sud ou d'Australie. Les simulations réalisées indiquent que l'accroissement moyen annuel actuel de l'ordre de 20 m³ à l'hectare, obtenu pour une période de six ans, pourrait augmenter jusqu'à 30 m³ avec des fertilisations adaptées et un contrôle efficace du sous bois. Elles suggèrent aussi que des productions supérieures seraient obtenues sans déficit hydrique. Cela montre la nécessité de sélectionner les zones de plantation où la saison sèche est la moins marquée autour du pôle de Carajás. La calibration du modèle 3-PG a permis d'améliorer cet outil de gestion des plantations industrielles dans les conditions amazoniennes. (Résumé d'auteur)
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Engling, G., J. He, R. Betha, and R. Balasubramanian. "Assessing the regional impact of Indonesian biomass burning emissions based on organic molecular tracers and chemical mass balance modeling." Atmospheric Chemistry and Physics Discussions 14, no. 2 (2014): 2773–98. http://dx.doi.org/10.5194/acpd-14-2773-2014.

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Abstract:
Abstract. Biomass burning activities commonly occur in Southeast Asia (SEA), and are particularly intense in Indonesia during dry seasons. The effect of biomass smoke emissions on air quality in the city state of Singapore was investigated during a haze episode in October 2006. Substantially increased levels of airborne particulate matter (PM) and associated chemical species were observed during the haze period. Specifically, the enhancement in the concentration of molecular tracers for biomass combustion such as levoglucosan by as much as two orders of magnitude and diagnostic ratios of individual organic compounds indicated that biomass burning emissions caused a regional smoke haze episode due to their long-range transport by prevailing winds. With the aid of air mass back trajectories and chemical mass balance modeling, large-scale forest and peat fires in Sumatra and Kalimantan were identified as the sources of the smoke aerosol, exerting a significant impact on air quality in downwind areas, such as Singapore.
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Engling, G., J. He, R. Betha, and R. Balasubramanian. "Assessing the regional impact of indonesian biomass burning emissions based on organic molecular tracers and chemical mass balance modeling." Atmospheric Chemistry and Physics 14, no. 15 (2014): 8043–54. http://dx.doi.org/10.5194/acp-14-8043-2014.

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Abstract:
Abstract. Biomass burning activities commonly occur in Southeast Asia (SEA), and are particularly intense in Indonesia during the dry seasons. The effect of biomass smoke emissions on air quality in the city state of Singapore was investigated during a haze episode in October 2006. Substantially increased levels of airborne particulate matter (PM) and associated chemical species were observed during the haze period. Specifically, the enhancement in the concentration of molecular tracers for biomass combustion such as levoglucosan by as much as two orders of magnitude and the diagnostic ratios of individual organic compounds indicated that biomass burning emissions caused a regional smoke haze episode due to their long-range transport by prevailing winds. With the aid of air mass backward trajectories and chemical mass balance modeling, large-scale forest and peat fires in Sumatra and Kalimantan were identified as the sources of the smoke aerosol, exerting a significant impact on air quality in downwind areas, such as Singapore.
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Aditya, T., and D. Laksono. "GEOGAME ON THE PEAT: DESIGNING EFFECTIVE GAMEPLAY IN GEOGAMES APP FOR HAZE MITIGATION." ISPRS - International Archives of the Photogrammetry, Remote Sensing and Spatial Information Sciences XLII-4 (September 19, 2018): 5–10. http://dx.doi.org/10.5194/isprs-archives-xlii-4-5-2018.

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<p><strong>Abstract.</strong> The Southeast Asian Haze in 2014 and 2015 is the worst transboundary haze episodes recorded to date. The haze mainly originated from burning of biomass material in peatland area, caused major health problems and economic losses. Peat forest conversion to forest and agriculture industry by utilizing drainage canals is one of main fire drivers that need to be restored, while conflicts on land and livelihood further adding complexity on the issue. Water and peatland management are among the key activities for reducing the peat fire risk and for eliminating the transboundary haze problems. Geospatial data have been collected in peatland areas in Indonesia to support hydrological restoration plans to prevent drying of peat biomasses. Aside from satellite and UAV data, crowdsourcing could also be conducted by engaging residents in collecting spatial data on peat environment while at the same time raising awareness on peatland management and peat fire prevention. This paper elaborates our findings in developing a Geogame App for mitigating haze in peatland area. The study area is situated in Padang Island, Riau, Indonesia. The gamification was implemented as a location-based, augmented reality adventure game. The storyline revolves around peat-related theme, with game elements represent different aspects of peatland management. The game incorporates real-world data as a game element, which also serves as a platform for collecting data around the users. Game mockup and use case scenario are provided to model the spatial data collected through the game for decision makers related to peat fire management.</p>
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Tao, B., H. Tian, G. Chen, et al. "Changes in carbon fluxes and pools induced by cropland expansion in South and Southeast Asia in the 20th century." Biogeosciences Discussions 8, no. 6 (2011): 11979–2012. http://dx.doi.org/10.5194/bgd-8-11979-2011.

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Abstract. A process-based ecosystem model, the Dynamic Land Ecosystem Model (DLEM), was applied to evaluate the effects of cropland expansion on terrestrial carbon fluxes and pools in South and Southeast Asia in the 20th century. The results indicated that cropland expansion in both regions has resulted in a release of 18.26 Pg C into the atmosphere in the study period. Of this amount, approximately 23 % (4.19 Pg C) was released from South Asia and 77 % (14.07 Pg C) from Southeast Asia. More land area was converted to cropland but less carbon was emitted in South Asia than in Southeast Asia, where forest biomass and soil carbon are significantly higher. Carbon losses in vegetation, soil organic matter, and litter carbon pools accounted for 15.09, 2.01, and 1.60 Pg C, respectively. Significant decreases in vegetation carbon occurred across most regions of Southeast Asia due to continuous cropland expansion and depletion of natural forests. Our study also indicated that it is important to take into account the land use legacy effect when evaluating the contemporary carbon balance in terrestrial ecosystems.
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Zhang, Xun, Jane Liu, Han Han, et al. "Satellite-Observed Variations and Trends in Carbon Monoxide over Asia and Their Sensitivities to Biomass Burning." Remote Sensing 12, no. 5 (2020): 830. http://dx.doi.org/10.3390/rs12050830.

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Abstract:
As the carbon monoxide (CO) total column over Asia is among the highest in the world, it is important to characterize its variations in space and time. Using Measurements of Pollution in the Troposphere (MOPITT) and Atmospheric InfraRed Sounder (AIRS) satellite data, the variations and trends in CO total column over Asia and its seven subregions during 2003–2017 are investigated in this study. The CO total column in Asia is higher in spring and winter than in summer and autumn. The seasonal maximum and minimum are in spring and summer respectively in the regional mean over Asia, varying between land and oceans, as well as among the subregions. The CO total column in Asia shows strong interannual variation, with a regional mean coefficient of variation of 5.8% in MOPITT data. From 2003 to 2017, the annual mean of CO total column over Asia decreased significantly at a rate of (0.58 ± 0.15)% per year (or −(0.11 ± 0.03) × 1017 molecules cm−2 per year) in MOPITT data, resulting from significant CO decreases in winter, summer, and spring. In most of the subregions, significant decreasing trends in CO total column are also observed, more obviously over areas with high CO total column, including eastern regions of China and the Sichuan Basin. The regional decreasing trends in these areas are over 1% per year. Over the entire Asia, and in fire-prone subregions including South Siberia, Indo-China Peninsula, and Indonesia, we found significant correlations between the MOPITT CO total column and the fire counts from the Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS). The variations in MODIS fire counts may explain 58%, 60%, 36%, and 71% of the interannual variation in CO total column in Asia and these three subregions, respectively. Over different land cover types, the variations in biomass burning may explain 62%, 52%, and 31% of the interannual variation in CO total column, respectively, over the forest, grassland, and shrubland in Asia. Extremes in CO total column in Asia can be largely explained by the extreme fire events, such as the fires over Siberia in 2003 and 2012 and over Indonesia in 2006 and 2015. The significant decreasing trends in MODIS fire counts inside and outside Asia suggest that global biomass burning may be a driver for the decreasing trend in CO total column in Asia, especially in spring. In general, the variations and trends in CO total column over Asia detected by AIRS are similar to but smaller than those by MOPITT. The two datasets show similar spatial and temporal variations in CO total column over Asia, with correlation coefficients of 0.86–0.98 in the annual means. This study shows that the interannual variation in atmospheric CO in Asia is sensitive to biomass burning, while the decreasing trend in atmospheric CO over Asia coincides with the decreasing trend in MODIS fire counts from 2003 to 2017.
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Chen, Bangqian, Tin Yun, Jun Ma, et al. "High-Precision Stand Age Data Facilitate the Estimation of Rubber Plantation Biomass: A Case Study of Hainan Island, China." Remote Sensing 12, no. 23 (2020): 3853. http://dx.doi.org/10.3390/rs12233853.

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Abstract:
Rubber (Hevea brasiliensis Muell.) plantations constitute one of the most important agro-ecosystems in the tropical region of China and Southeast Asia, playing an important role in the carbon budget there. Accurately obtaining their biomass over a large area is challenging because of difficulties in acquiring the Diameter at Breast Height (DBH) through remote sensing and the problem of biomass saturation. The stand age, which is closely related to the forest biomass, was proposed for biomass estimation in this study. A stand age map at an annual scale for Hainan Island, which is the second largest natural rubber production base in China, was generated using all Landsat and Sentinel-2 (LS2) data (1987–2017). Scatter plots and the correlation coefficient method were used to explore the relationship (e.g., biomass saturation) between rubber biomass and different LS2-based variables. Subsequently, a regression model fitted with the stand age (R2 = 0.96) and a Random Forest (RF) model parameterizing with LS2-based variables and/or the stand age were respectively employed to estimate rubber biomass for Hainan Island. The results show that rubber biomass was saturated around 65 Mg/ha with all LS2-based variables. The regression model estimated biomass accurately (R2 = 0.79 and Root Mean Square Error (RMSE) = 14.00 Mg/ha) and eliminated the saturation problem significantly. In addition to LS2-based variables, adding a stand age parameter to the RF models was found to significantly improve the prediction accuracy (R2 = 0.82–0.96 and RMSE = 4.08–10.59 Mg/ha, modeling using samples of different biomass sizes). However, all RF models overestimated the biomass of young plantations and underestimated the biomass of old plantations. A hybrid model integrating the optimal results of RF and regression models reduced estimation bias and generated the best performance (R2 = 0.83 and RMSE = 12.48 Mg/ha). The total rubber biomass of Hainan Island in 2017 was about 5.40 × 107 Mg. The northward and westward expansions after 2000 had great impact on the biomass distribution, leading to a higher biomass density for the inland coastal strip from south to northeast and a lower biomass density in the northern and western regions.
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Lin, C., and J. Cohen. "A DECADAL ANALYSIS AND SENSITIVITY STUDY USING MOPITT CO COLUMNS OVER ASIA." ISPRS - International Archives of the Photogrammetry, Remote Sensing and Spatial Information Sciences XLII-3/W5 (October 29, 2018): 53–59. http://dx.doi.org/10.5194/isprs-archives-xlii-3-w5-53-2018.

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Abstract:
<p><strong>Abstract.</strong> Biomass burning and urbanization are both significant sources of CO emissions and atmospheric loadings in the real environment. The sources of CO are due to incomplete combustion, on one hand of biomass from agriculture or forest clearing, and on the other hand from coal, oil, gas, and other similar materials. However, the spatial and temporal underlying properties and patterns are quite different between these two types of source regions, with urban regions having a relatively constant source of CO emissions, with only short term concentration fluctuations due to local meteorology. On the other hand, in biomass burning regions, the emissions themselves tend to be highly concentrated over a short burning period, and very low otherwise. We hence present a new technique to classify and quantify biomass burning regions and urban regions based on an objective analysis of the CO total column measurements from the MOPITT satellite. By using all of the data from 2000–2016, in connection with averages and standard deviation cutoffs, we successfully determine these regions. By performing a sensitivity analysis, in connection with additional ground-based measurements, we determine that the ideal cutoffs for the mean column loading and standard deviation of the column loading 28<span class="thinspace"></span>×<span class="thinspace"></span>1017<span class="thinspace"></span>mol/cm<sup>2</sup> and 6<span class="thinspace"></span>×<span class="thinspace"></span>1017<span class="thinspace"></span>mol/cm<sup>2</sup> respectively. These results are capable of representing known urban regions and biomass burning regions well throughout China, Southeast Asia, and South Asia, specifically including Beijing, Hebei, Shandong, Jiangsu, Anhui, Hunan, Guangdong, and Bangkok on one hand, and Northeastern India, Myanmar, Laos, Northern Thailand, and Vietnam on the other hand. A detailed analysis of the time series over the different classified regions show that while the urban areas have a much higher annual value, and a relatively long peak time, that their maximum is never as high as the peaks in the biomass burning regions, and that these peaks in the biomass burning regions are extremely short in duration, although they occur annually or bi-annually. Finally, we have not been able to obtain a statistically relevant decreasing trend, as others have found, making CO possibly an interesting species for future studies.</p>
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Jadán, Oswaldo, Miguel Cifuentes, Bolier Torres, Daniela Selesi, Dario Veintimilla, and Sven Günter. "INFLUENCE OF TREE COVER ON DIVERSITY, CARBON SEQUESTRATION AND PRODUCTIVITY OF COCOA SYSTEMS IN THE ECUADORIAN AMAZON." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 325, no. 325 (2015): 35. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.325.a31271.

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Abstract:
La production de cacao dans la région ama- zonienne de l’Équateur représente une source de revenus importante pour la popu- lation locale. Les systèmes de production de cacao varient entre forêt primaire enrichie, systèmes agroforestiers traditionnels et monoculture. Cette étude vise à évaluer la relation entre diversité spécifique, stocks de carbone, productivité agricole et utilisations potentielles des ressources forestières pour trois modes d’utilisation des terres dans la région amazonienne de l’Équateur : agrofo- resterie à dominante cacaoyère (AF Cacao), monoculture de cacao (Monoculture) etforêt primaire (FP). La connaissance et la quanti- fication des meilleurs compromis entre les différents services écosystémiques liés à la culture du cacao permettent de contri- buer à la conservation des forêts primaires et d’optimiser les revenus des populations locales. La richesse spécifique, la diver- sité bêta, les stocks de carbone (biomasse aérienne et souterraine, nécromasse et sols) et la production de cacao et de bois ont été déterminés pour chaque système de culture sur des parcelles de 1 600 m2 (n = 28). Nos résultats montrent que la diversité bêta, la richesse spécifique et les stocks de carbone sont significativement plus élevés dans les systèmes FP et AF Cacao, tandis que la pro- duction du cacao est 1,5 fois plus élevée en Monoculture que sur les parcelles en AF Cacao. Pour ces deux systèmes, la richesse spécifique, la diversité bêta et les stocks de carbone totaux sont corrélés négativement avec la productivité de cacao. Alors que nos résultats montrent que la monoculture de cacao est plus rentable pour les agriculteurs que l’AF Cacao, un système de rémunération monétaire de la déforestation évitée, basé sur les crédits carbone, pourrait représenter une stratégie viable pour encourager la mise en œuvre de systèmes AF Cacao, lesquels contribueraient aux efforts de conservation et d’atténuation des effets du changement climatique tout en permettant de maintenir une production commerciale de cacao dans la région.
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Forni, Eric, Vivien Rossi, Jean-François Gillet, et al. "Dispositifs permanents de nouvelle génération pour le suivi de la dynamique forestière en Afrique centrale : bilan en République du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (July 20, 2019): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31760.

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Abstract:
Gérer durablement les forêts tropicales de production nécessite de connaître leur diversité, leur dynamique et l’impact de l’exploitation sur ces caractéristiques. Cette connaissance peut s’obtenir avec de grands dispositifs de suivi permanents dont les arbres sont régulièrement mesurés. Un seul dispositif de ce type existe en Afrique centrale, M’Baïki, installé en 1982 en République centrafricaine. Il a fait référence pour établir les règles d’aménagement d’un grand nombre de concessions forestières de la région. Plusieurs projets ont permis l’installation de nouveaux dispositifs, en privilégiant des zones situées sur des substrats géologiques différents. Deux dispositifs ont ainsi été installés dans des concessions forestières aménagées au nord de la République du Congo, sur alluvions de l’ère cénozoïque (Loundoungou) et sur grès de Carnot de l’ère mésozoïque (Mokabi). Chaque dispositif est constitué de deux blocs de 400 ha, contenant chacun un sentier d’environ 4 000 arbres d’une vingtaine d’espèces commerciales et deux parcelles de 9 ha suivies en plein. Tous les arbres supérieurs à 10 cm de diamètre sont mesurés. Un bloc sera exploité après quelques années de suivi, l’autre restera en témoin. L’installation et le premier inventaire d’un dispositif ont nécessité en moyenne 34 mois de travail avec une équipe de huit personnes pour un coût total moyen de 94500 €. Les peuplements des deux dispositifs, Loundoungou et Mokabi respectivement, ont les caractéristiques suivantes : 240 et 230 espèces d’arbres, densité de 346,8 (± 5,8) et 426,8 (± 3,6) arbres par hectare, biomasse de 432,6 (± 13,8) et 457,3 (± 9,3) Mg/ha. Les difficultés rencontrées lors de l’installation des dispositifs (emplacement, localisation des parcelles, constitution des sentiers, application du protocole d’inventaire, logistique...) sont analysées. Plusieurs recommandations sont émises pour améliorer l’installation de tels dispositifs et leur protocole d’inventaire.
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