Academic literature on the topic 'Bouddhisme – Rites et cérémonies'

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Journal articles on the topic "Bouddhisme – Rites et cérémonies"

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Coulmont, Baptiste. "Marcelle Saindon, Cérémonies funéraires et postfunéraires en Inde. La tradition derrière les rites." Archives de sciences sociales des religions, no. 124 (October 1, 2003): 63–170. http://dx.doi.org/10.4000/assr.991.

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Tremblay, Martine. "Cérémonies de mariage dans la vallée du Haut-Richelieu au XXe siècle : le faste et le sacré." Articles 67 (December 14, 2011): 93–104. http://dx.doi.org/10.7202/1006765ar.

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Abstract:
Une enquête menée dans la région de Saint-Jean-Iberville, auprès de personnes mariées au cours des périodes 1920-1940 et 1980-1995, a permis de montrer la transformation de la cérémonie religieuse du mariage au XXe siècle. Ce changement est le résultat de multiples tensions. D’abord, l’Église édicte les règles de la célébration des mariages et établit une classification des cérémonies en fonction de l’aisance des familles. Ensuite, les prêtres tentent de répondre aux demandes des fidèles qui réclament des rites renforçant la distinction sociale. Enfin, un groupe au sein du clergé s’oppose au déploiement cérémoniel lors des mariages. À la fin du siècle, les cérémonies de mariage sont fastueuses et les couples tiennent une place très importante dans leur organisation. Si l’Église favorise la participation des époux et de leurs familles, elle n’a pas totalement perdu son privilège de définir le rituel religieux. Elle est parvenue à transmettre aux jeunes mariés sa vision sacrée du mariage et de la famille.
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Javeau, Claude. "Le cadavre sacré." Article 19, no. 1 (November 1, 2007): 21–24. http://dx.doi.org/10.7202/016631ar.

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Abstract:
Résumé Peu après la fin de la Grande Guerre, divers États vainqueurs ont inhumé à une place d’honneur un soldat inidentifiable, qu’on a appelé Inconnu. Celui-ci devenait « le Fils de toutes les mères qui n’ont pas retrouvé leur Fils », le métonyme de tous les soldats tombés pour la Patrie, dont leurs mères était la métaphore. Les rites qui sont liés à la présence de ce corps méconnaissable présentent les divers aspects des rites funéraires en général, mais portés au niveau de cérémonies commémoratives, dont la signification se perd, qui sont à la fois d’expiation (de toutes ces morts glorieuses) et d’exaltation de la communauté nationale.
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Cressy, David. "Death and the social order: the funerary preferences of Elizabethan gentlemen." Continuity and Change 5, no. 1 (May 1990): 99–119. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000003891.

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Abstract:
Cet exposé utilise les testaments de gentilshommes d'Essex pour étudier les cérémonies funéraires en vogue en Angleterre pendant la seconde moitié du 16e siècle. Plusieurs rites traditionnels ont survécu la Réforme et aussi dans certains cas, les trente jours ou le mois du ‘souvenir’. Les pratiques réformatrices étaient lentes à se propager. Alors que certains membres de la noblesse proclamaient leur aversions de toute ‘pompe’, d'autres spécifiaient la panoplie complète des cérémonies: vêtements de deuil, cortèges funèbres, distributions charitables, fêtes communautaires et le verre à vider solennellement en souvenir du défunt. Les testateurs se souciaient souvent autant de l'endroit où reposerait leur dépouille, soit á proximité de leurs ancêtres ou parents et alliés, soit dans un lieu consacré ou socialement important, que du sort de leur âme. On peut mieux comprendre ces coutumes á partir des observations anthropologiques modernes. Les funérailles des gentilshommes élisabéthains non seulement disposaient d'un cadavre, mais elles servaient encore á souligner certaines valeurs, telles que la décence, la réputation, la continuité de la famille, l'hospitalité ainsi que d'autres piliers de l'ordre moral et social.
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Boisvert, Mathieu. "Comptes rendus / Reviews of books: Cérémonies funéraires et postfunéraires en Inde. La tradition derrière les rites." Studies in Religion/Sciences Religieuses 30, no. 3-4 (September 2001): 447–48. http://dx.doi.org/10.1177/000842980103000333.

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Rivera Andía, Juan Javier, and Geneviève Deschamps. "Comparaison entre la herranza, la « fête de l’eau » et la zafa-casa dans les Andes." Recherches amérindiennes au Québec 44, no. 2-3 (June 1, 2015): 39–48. http://dx.doi.org/10.7202/1030965ar.

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Abstract:
Le but de cet article est de comparer le rituel andin qui entoure le marquage du bétail (herranza) avec d’autres rites essentiels du cycle annuel de la région. L’auteur compare tout d’abord la herranza avec les rituels liés au nettoyage des canaux d’irrigation, puis il la confronte avec les cérémonies relatives au recouvrement des chaumières. La première comparaison est géographiquement limitée à une seule région – celle de la sierra de Lima –, tandis que la seconde considère les ethnographies d’autres régions de langue quechua afin de pallier le manque de données existantes sur le sujet. Lorsqu’elle est intégrée de cette façon au cycle rituel annuel, la herranza se révèle être une forme de rite de passage dont les multiples dimensions symboliques sont ici explorées.
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7

Sauvage‑Cerisier, Manon. "S’isoler pour honorer : l’exemple des sanctuaires de Déméter dans le Péloponnèse." Matérialiser la frontière, no. 3 (December 14, 2020): 43–53. http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.389.

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Abstract:
Les sanctuaires de Déméter dans le Péloponnèse sont le théâtre de rites dont la nature nécessite souvent d’être dissimulés. Ainsi, il est possible de déterminer l’existence de plusieurs niveaux de frontières protégeant ces cérémonies secrètes. L’installation de sanctuaires éloignés des centres urbains constitue une première façon de s’isoler et permet, de surcroît, d’exploiter les caractéristiques naturelles du terrain ; la pente d’une montagne, les bois ou encore les grottes offrent une couverture supplémentaire. Les délimitations peuvent tout autant être architecturées : de hauts murs d’enceinte interviennent parfois pour protéger les lieux de culte en contexte urbain, ces derniers peuvent aussi être agrémentés d’un bois pour encore plus de discrétion. Il existe également des bâtiments conçus pour abriter les rites qui ne doivent pas être vus ou entendus de certaines catégories de personnes (hommes ou non-initiés). Enfin, plusieurs éléments doivent même être cachés des fidèles : il est parfois interdit à quiconque de voir la statue de culte, d’assister au sacrifice ou d’accéder à une certaine partie du lieu de culte. Par conséquent, la frontière revêt divers rôles au sein des cultes de Déméter et divise la population des fidèles en différentes catégories.
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Grosse, Christian. "Des « rites de passage » avant van Gennep : les cérémonies funéraires dans les traités antiquaires et « ethnographiques » de la première modernité (xvie-." Anabases, no. 23 (May 2, 2016): 99–114. http://dx.doi.org/10.4000/anabases.5599.

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9

Mahdavi Zadeh, Mojgan. "La mise en scène des pièces de théâtre européennes par Ali Raffi en Iran et Circulation des savoirs entre la France et l’Iran." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 5 (February 13, 2020): 6–20. http://dx.doi.org/10.29173/af29394.

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Abstract:
Résumé Des traces de diverses cérémonies plutôt rituelles datant de l'Antiquité prouvent la fertilité de l'histoire du théâtre persan. Il y a eu même à cette époque des échanges culturels entre l'Orient et l'Occident. Au cours des siècles, les rites traditionnels ont cédé la place à des genres de théâtre populaire tels les farces, les comédies, les marionnettes, les imitations mimétiques, …etc. Puis, des conteurs se sont mis à réaliser les récits à épisodes basés sur des histoires épiques, de divers romans picaresques, des lamentations pour les Imams martyrisés, sur des places publiques ou dans des maisons de thé. Ce n'est qu'au XIXe siècle que le théâtre moderne d'inspiration occidentale a été créé par les témoignages des étudiants envoyés en Europe pour se spécialiser en diverses technologies occidentales. En 1886, une première salle de théâtre a été construite à l'École Polytechnique de Téhéran (Dâr Ol- Fonûn), où la traduction du Misanthrope de Molière, y a été mise en scène en 1889. Sous le règne des Pahlavis, fut créé un théâtre nationaliste, se référant au passé préislamique de l'Iran. Puis, vu que les iraniens diplômés en études théâtrales et cinématographiques des universités, des grandes écoles et des conservatoires européennes se sont mis à traduire les pièces de théâtre étrangères, les pièces ont pris un air socio-politique. Sous la Révolution islamique, le théâtre a vécu plusieurs périodes de détente et de tension. Et enfin, depuis 1997, une autorisation de la mise en scène des pièces de théâtre a été émise de nouveau. Ali Raffi, iranien contemporain, dont la dernière réalisation théâtrale à Téhéran date du mois de Janvier 2019, a su exposer l'essentiel de sa conception esthétique par le mépris total des conventions scéniques mises en pratique en Iran. L'esthétique de ses pièces a suscité des discussions sans nombre. Il a toujours privilégié la couleur, le mouvement et l'intuition. Il a eu une influence considérable sur la mentalité du peuple iranien par la mise en scène des pièces de théâtre françaises ou européennes traduites vers le français. Notre problématique consiste à mettre en évidence les échanges interculturels qui se sont effectués entre l'Iran et la France grâce à la mise en scène des pièces de théâtre européennes en Iran et de voir l'innovation créative et le rôle d'Ali Raffi dans l'enrichissement de ces transferts culturels et artistiques. Notre but est de mettre en relief la circulation des savoirs, issue de la mise en scène des pièces de théâtre françaises par les réalisateurs iraniens, en particulier par Ali Raffi en Iran, de démontrer l'omniprésence des grands auteurs dramatiques, tragiques et comiques français dans ce pays, et de dévoiler que les élites intellectuelles iraniennes vivent en symbiose permanente avec ces éminents auteurs français. Mots clés: Circulation des savoirs France-Iran, Échanges culturels, Mise en scène, Ali Raffi, Pièces de théâtre européennes, Francophonie, Conception esthétique
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Hautecoeur, Jean-Paul. "Variations et invariance de l'Acadie dans le néo-nationalisme acadien." Articles 12, no. 3 (April 12, 2005): 259–70. http://dx.doi.org/10.7202/055537ar.

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Abstract:
On se représente trop souvent l'Acadie comme une société «monolithique», «unidimensionnelle», «non pluraliste», un peu comme la survivance d'un antique modèle de société hiérarchique où la transmission des traditions est rigoureusement contrôlée par des grands-prêtres ou des dignitaires initiés par la « patente », et méthodiquement rythmée par les rites et cérémonies du calendrier occulte. Une telle image constituée par analogie ressemble trop au type-idéal pour rendre compte de cette formation historique originale qu'est la société acadienne. Elle est aussi trop conforme, par certains côtés, aux canons d'une idéologie unitariste pour ne pas être soumise à la critique. Cette première représentation à laquelle se rattachent de nombreuses variations est très optimiste dans le sens où elle constitue un objet fini, non contradictoire, non problématique : la société existe en soi, tel est son modèle. Une deuxième représentation, moins « savante » que l'autre, consiste à définir l'Acadie comme un souvenir et à ne voir en l'Acadie actuelle qu'un terrain vague parsemé des débris d'une histoire malheureuse. Il resterait quelques ilôts acadiens au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Ecosse où on parle encore un français archaïque et où l'on continue à filer et à chanter, comme dans la chanson. Ce sont eux qui justifiaient que la province du Nouveau-Brunswick se déclare bilingue alors qu'elle était renommée pour son loyalisme à la couronne britannique... Cette image, trop pessimiste, à laquelle se rattachent aussi de nombreuses variations, a des relents de l'idéologie anglo-canadienne intégratrice qui nie à l'autre toute existence autonome pour, au mieux, en faire une originalité « culturelle » à préserver. Acadie traditionnelle, Acadie folklorique : deux stéréotypes — on pourrait en trouver d'autres — dont on découvre vite l'étroite filiation avec des formations idéologiques connues et qui ont tous deux pour conséquence de surdéterminer au départ le terrain sémantique ou de brouiller momentanément le champ d'investigation au « regard prolongé » (celui du sociologue, journaliste, homme politique, etc.). La société acadienne est en soi une certaine configuration de rapports sociaux dont il ne sera pas question dans cet article. Elle existe aussi pour soi dans les diverses théories qu'en ont les acteurs et groupements d'acteurs sociaux. Contrairement à la théorie ou idéologie dominante, j'emploie théories au pluriel et c'est précisément de l'aventure de l'idéologie contestataire de l'idéologie officielle qu'il sera question. L'existence même du discours discordant d'intellectuels et leaders étudiants détruit la théorie simplificatrice selon laquelle la société serait un consensus et ses leaders nationaux les « chefs naturels » incontestés. Il existe deux discours visant à définir les finalités et objectifs de la société globale qui ont en commun une grande cohérence et la même prétention à faire l'unanimité des consciences. La différence est que l'un vise à protéger et perpétuer une certaine lecture de la tradition et une certaine pratique de la culture, et comme tel il a la légitimité, alors que l'autre vise à changer lecture et pratique de la culture pour donner à la société un nouveau destin. Celui-ci n'a pas comme dans d'autres formations sociales la légitimité que pourrait lui conférer l'affiliation à un club, un parti, un syndicat ou tout autre groupement organisé et reconnu : il est tenu pour sauvage, quand il n'est pas tout simplement nié comme tel. Mon propos est le suivant : observer et comprendre le rapport des jeunes idéologues au signe Acadie ou Acadien, en suivre l'itinéraire pour retracer la genèse du projet collectif tout neuf de l'annexion de « L'Acadie » au futur Québec indépendant. Le contenu proprement dit de ce projet m'importe peu ; m'intéresse sa genèse en rapport avec le signe d'identité collective. Mon hypothèse était la suivante : il fallait que les étudiants conservent le signe, qu'ils lui donnent un sens explicite et positif pour faire entrer leur discours dans l'histoire ou pour lui donner des chances objectives de devenir collectif. Mieux : afin que le discours gagne la cohérence nécessaire pour entrer en concurrence avec le discours traditionnel, il devait faire du signe Acadie son centre. Le symbole primordial devait assurer la liaison entre l'ancien et le nouveau : il devait continuer d'être le lieu de l'échange entre le caché et le manifeste, entre la langue et la parole, entre la culture et les traditions. J'ai distingué, dans l'évolution du rapport des nouveaux idéologues au signe Acadie, trois moments qui reproduisent à peu de choses près trois étapes successives de la praxis collective des étudiants de l'Université de Moncton : le Ralliement de 1966, les «événements» de '67-'69, la «répression» de '70-'71. Je n'ai retenu pour ce travail que les exemples les plus significatifs, sélectionnés à partir d'un fichier systématique de la production idéologique acadienne de ces dernières années. Beaucoup de documents annexes ou connexes ne seront pas reproduits ici.
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Dissertations / Theses on the topic "Bouddhisme – Rites et cérémonies"

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Mersan, Alexandra de. "Espace rituel et construction de la localité : contribution à l'étude ethnographique d'une population de la Birmanie contemporaine : les Arakanais." Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0191.

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Abstract:
Cette thèse a pour objet l'étude d'une population tibéto-birmane de l'ouest de la Birmanie, les Arakanais, et traite de la place du territoire dans la constitution de cette société bouddhiste, à partir d'une ethnographie originale. Une première partie contextuelle présente la particularité de la région étudiée, par la prédominace de l'eau, ainsi que du lieu même d'enquête, Mrauk U capitale du dernier royaume d'Arakan, marqué par son héritage historique. Celui-ci est abordé tant au niveau des rites de fondation qu'à travers la politique gouvernementale actuelle de promotion du tourisme. La description des cérémonies du cycle de vie (funérailles, noviciat et mariage) et leur analyse révèlent, ensuite, que les relations sociales reposent essentiellement sur l'appartence ç un espace de résidence et que la cohésion du groupe se fait autour du village, analysé comme unité sociale de base. On retrouve cette unité dans le monde des esprits (nat). Les cultes annuels en l'honneur de ces puissances invisibles font ressortir la valeur accordée tant au terroir qu'au territoire. L'étude fait apparaître une configuration rituelle de dernier en plusieurs unités ordonnées, et englobées dans le cadre large de la cosmologie bouddhique. Enfin, la légende de la statue du Bouddha Mahamuni - ancien palladium de la royauté - constitue le mythe fondateur de la société arakanaise qui l'entretient via la statuaire bouddhique. Ce faisant elle perpétue l'espace sacré de la localité
This doctoral dissertation deals with the Arakanese, a tibeto-burman population of western Burma, it explores the significance of territory as a constituen of this buddhist society. In the first and contextual, i lay bare the peculiarity of Arakan state consisting of the predominance of water, and present the very field of my research observation : Mrauk U, capital city of the last arakanese kingdom, still rich of its historical legacy. With regard to this legacy, i am interested in analyzing notably the founding rites as welle as the current politics of the burmese government to promote tourism. The ethnography of the ceremonies related to events such as funerals, noviciate, marriage, underscores two facts : on the one hand, that social relations are heavily based on membership to a residential unit ; on the group shows itself clearlyduring the ritual ceremonies. Indeed, annual worships of the spirits (nat) reveal the value conferred on locality and terrotory is inscribed into several well-ordered units, which are included in a larger buddhist cosmology. Finally, this study underlines that the legend of the Buddha's Mahamuni image - the ancient palladium of the arakanese kingship - is the founding and federating myth of the arakanese society that maintains it via the buddhist statuary. By doing so, this society perpetuates the sacred space of this locality
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Gao, Ya-Li. "Musique, rituel et symbolisme : étude de la pratique musicale dans le rituel shuilu chez les bouddhistes orthodoxes à Taiwan." Paris 10, 1999. http://www.theses.fr/1999PA100058.

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Abstract:
Dans la communaute bouddhique taiwanaise, la pratique musicale est indissociable de la vie des bouddhistes et des rituels en general. Mais elle n'est pas consideree comme un "art pur" et elle ne dispose pas d'un vocabulaire approprie pour s'exprimer. L'objectif de cette etude est de comprendre, d'une part, comment, dans ce contexte, la musique a ete pensee et dite : d'autre part, comment, elle a ete pratiquee. L'analyse s'appuie sur des observations et des informations recueillies depuis une dizaine d'annee dans la com♭ munaute bouddhique taiwanaise. Celles-ci concernent non seulement la formation mu♭ sicale des moines, mais aussi la celebration du rituel du shuilu, repute pour sa richesse musicale, pour son ampleur ainsi que pour les depenses somptuaires qu'il entraine. L'analyse des interventions musicales dans differents aspects du rituel permet de de♭ montrer le role "performatif" de la musique dans le rituel bouddhique. Au moment de la celebration, c'est la pratique musicale qui conditionne directement l'existence et l'effica♭ cite du rituel. En outre, la musique est egalement un outil privilegie pour structurer. Ponctuer, rythmer et caracteriser les differentes etapes du rituel. Par ailleurs, l'organi♭ sation des repertoires musicaux devoile finalement la vision du monde et l'ordre social hierarchique de la societe chinoise traditionnelle. Ainsi, chez les bouddhistes taiwanais, penser la musique est en meme temps penser le monde et la relation entre la societe et soi. En tant que fait musical et social, l'ensemble de la celebration du shuilu dans la societe taiwanaise. Est une "ritualisation" de l'union des relations entre les pouvoirs religieux, economique et politique. Dans cette etude, elle constitue un dispositif rituali♭ se qui permet de reunir des convictions des croyances et des manifestations politisees auquelles les representations musicales apportent une contribution essentielle.
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Doré, Mani-Samouth. "Le Grand Tambour de monastère chez les peuples taïs bouddhistes du Quadrangle d'Or : une approche d'anthropologie comparative dans une perspective ethno-historique." Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA070021.

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Abstract:
A partir d'une recherche sur le Grand-Tambour de monastère louang-phrabanais (Laos), entreprise dans le cadre de mon DESS (Paris VII, 2002), le présent mémoire vise à étudier ledit Grand-Tambour et son ensemble instrumental, d'une part, dans un cadre géographique plus large, celui des communautés tai bouddhistes du Quadrangle d'Or ; d'autre part, dans un champ historique plus profond, remontant à la première dynastie chinoise, les Xia, partageant des affinités culturelles avec les Yue, ancêtres des Tai. Utilisant une méthodologie comparative et ethno-historique, le mémoire se compose de deux tomes. Le premier tome (267 pages) comprend quatre chapitres et la bibliographie : 1. Caractères physiques du Grand-Tambour et de son ensemble ; 2. Techniques de construction et de mensuration ; 3. Rites de construction et de consécration ; 4. Objets introduits dans le Grand-Tambour et symbolisme ésotérique. Le deuxième tome (156 pages) comprend dix annexes, deux index, quatre glossaires, une table des poids et des mesures et sept cartes géographiques. En conclusion il apparaît que, nonobstant ses modestes fonctions liturgiques et profanes exercées dans le cadre du présent bouddhisme theravâda, le Grand-Tambour a connu une longue et honorable destinée. Plongeant ses racines dans le chamanisme sibérien, présent en filigrane jusqu'à nos jours, c'est à la dynastie Xia qu'il doit sa morphologie et la composition de son ensemble instrumental. Symbole du pouvoir politique et militaire, il fut l'instrument non seulement des conquêtes impériales mais également celui des peuples sinisés, tels les Yue et leurs descendants Tai, tentés de reproduire le modèle chinois. Instrument de pouvoir, le Grand-Tambour fit montre de nouvelles facettes de sa personnalité dès lors que les communautés tai établies dans le Quadrangle d'Or, à partir du VIle siècle de notre ère, reçurent l'influence de diverses écoles bouddhiques : non plus seulement instrument ou monture chamanique comme dans ses origines sibériennes, il devint tour à tour, selon les contextes historiques et culturels, chamane, Bouddha Maitreya (bouddhisme primitif), Bodhisattva Avalokitesvara (bouddhisme lamaïque) et « Souverain du Dharma » (bouddhisme tantrique)
Following a research project in the Great-Drum of Luang Prabang monastery ( Laos) undertaken for my DESS (Paris VI1, 2002), the aim of the present dissertation is to study the aforesaid Great-Drum and its accompanying instruments on one hand in a larger geographical frame, namely that of the Buddhist Tai communities of the Golden Quadrangle, and on the other hand in a deeper historical perspective, dating back to the first Chinese dynasty, the Xia who share a common cultural relationship with the Yue, the ancestors of the Tai. Using comparative and ethno-historical methodology, the dissertation is composed of two volumes. The first one (267 pages) is composed of four chapters and the bibliography: 1. Physical characters of the Great-Drum and its accompanying instruments; 2. Techniques of construction and measurement; 3. Rites of construction and consecration; Objects introduced into the Great-Drum and its esoteric symbolism. The second volume (156 pages) is composed of ten annexes, two indices, four glossaries, a table of weights and measures and seven geographical maps. In conclusion, it appears that notwithstanding its modest liturgical and secular fonctions, practised in the present frame of Theravada Buddhism, the Great-Drum has enjoyed a long and honourable destiny. Its roots delve into Siberian shamanism which survives till today in margins, but it is to the Xia dynasty that it owes its morphology and the composition of its instrumental accompaniment. A symbol of political and military power, it has been the instrument not only of imperial conquests, but also of the sinized people, such as the Yue and their Tai descendants, who seek to reproduce the Chinese model. An instrument of power, the Great-Drum expressed new facets of its personality as soon as the Tai communities which had become established in the Golden Quadrangle from the 7th century, came under the influence of various Buddhist schools. It became no longer only an instrument or shamanic mount as in its Siberian origins, but by turns, depending on the historical and cultural contexts: Shaman, Maitreya Buddha (primitive Buddhism), Avalokitesvara Buddhism (Tibetan Buddhism) and "Sovereign of the Dharma" (Tantric Buddhism)
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Hureau, Sylvie. "Kumārajīva (env. 344-413) : conseiller des princes, traducteur et instigateur d'une orthodoxie bouddhique en Chine." Paris, INALCO, 2003. http://www.theses.fr/2003INAL0007.

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Abstract:
L'histoire de Kumārajīva, moine originaire du royaume de Koutcha, qui fut exilé en 401 à Chang'an où il termina sa vie comme maître et traducteur, s'est cristallisée autour de la figure du traducteur dont les œuvres ont permis l'éclosion de quelques grandes écoles bouddhiques. Cependant, au sein d'une étude plus générale sur le bouddhisme au nord de la Chine à l'aube du Ve siècle, Kumārajīva apparaît comme un maître aux talents multiples dont l'un des rôles fut de transmettre une liturgie en vigueur à Koutcha et de l'implanter sur le sol chinois. En effet, sa renommée et le tournant qu'il marqua dans l'histoire du bouddhisme ne se réduisent pas à l'introduction de nouveaux textes ni au talent avec lequel ils furent traduits, mais résultent d'autres facteurs. En cherchant des indices dans ses biographies, quelques lignes de force se dégagent : dès sa jeunesse, qu'il passa en Asie centrale, il aurait été un maître vainqueur des courants hérétiques, un excellent prédicateur et un familier des monarques. Un rappel des données sur la situation du bouddhisme dans les contrées d'Asie centrale effectué en compilant les indications des pèlerins et des annales historiques, apporte non seulement la confirmation de la pénétration du bouddhisme dans les milieux royaux des contrées bouddhiques, de Koutcha à Ceylan, mais aussi des indications sur le faste et l'importance des cérémonies auxquelles participaient les souverains et leurs familles. En étudiant les indications rapportées dans les préfaces des traductions que Kumārajīva fit à Chang'an, il apparaît que celui-ci procéda à des prédictions-traductions devant des auditoires composés de moines et de laïcs, parfois membres de la famille royale, lors des journées du rituel de jeûne bouddhique (poṣadha) et que quelques unes de ses plus grandes œuvres, le Dapin jing, le Da zhidu lun, le Xiaopin jing, le Weimojie jing, le Siyi jing et le Fahua jing furent traduites selon une alternance de jours de prédication publique et de jours de retraite que les scribes mettaient à profit pour rédiger les textes en mettant au propre les notes qu'ils avaient prises lors des séances de prédication. Du parallèle évident entre la pratique de Kumārajīva et les descriptions des pèlerins à la même époque, on peut déduire que Kumārajīva appliqua en Chine une pratique qui était courante à cette époque dans les pays bouddhiques
The history of Kumārajīva, monk from the Kucha kingdom who was exiled to Chang'an in 401, where he ended his life as a master and translator, has crystallized the figure of a translator whose works paved the way to the development of some of the greatest Buddhist schools. However, in a general study concerning Buddhism in northern China at the beginning of the 5th century, Kumārajīva appears as a master whose role consisted to transmit a liturgy practiced in Kucha and to establish it in China. As a matter of fact, the renown of Kumārajīva and the changes he made in the history of Buddhism are not reduced to the introduction of new texts and the talent with which they were translated, but they result from other factors. Searching for leads in his biographies, some core points can be spotted : since his youth in Central Asia, he was supposed to be a master winner of heretical schools, an excellent preacher and to have been on close terms with sovereigns. A recall of the particularities of Buddhism in the countries of Central Asia, by compiling the information provided by pilgrims and historical annals, confirms not only the penetration of Buddhism in royal circles in all the Buddhist countries, from Kucha to Ceylon, but also reports information on the display and importance of ceremonies in which the kings and their relatives participated. From further indications found in the prefaces of the translations done by Kumārajīva in Chang’an, we learn that he preached and translated for audiences composed of monks and lay persons, sometimes members of royal families, on days of Buddhist fasting (posadha). Thus some of his greatest works, such as the Dapin jing, Da zhidu lun, Xiaopin jing , Weimojie suoshuo jing, Siyi jing and Miaofa lianhua jing were translated on the basis of the notes taken by the scribes during his public preaching on posadha days. From the obvious parallel between the way Kumārajīva practiced the posadha ceremonies and the descriptions of the pilgrims at the same time, it is possible to infer that Kumārajīva applied in China a way of practice current in other Buddhist countries at that time
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Guidoni, Rachel. "Les reliques dans le monde tibétain." Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100165.

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Abstract:
En s'appuyant sur des sources textuelles et des matériaux de terrain, cette étude vise à décrire les représentations et les usages des reliques dans l'aire de langue et de culture tibétaines. La première partie situe la catégorie des reliques dans des cadres de référence plus larges. Elle rappelle la place des reliques dans les trois monothéismes, les concepts relatifs à la mort dans les mondes indien, centralasiatique et chinois, ainsi que les traditions bouddhiques relatives aux reliques telles qu'elles figurent dans les sources canoniques. La deuxième partie présente la catégorie des reliques dans le monde tibétain. Elle décrit les concepts relatifs à la mort des saints, les types d'obsèques qui leur sont appliqués, les modalités de recueil des reliques, leur terminologie, leurs spécificités et leurs typologies. La troisième partie décrit les modalités de circulation des reliques, leurs bienfaits et leurs usages. Les textes décrivent les bienfaits, tandis que les usages sont surtout documentés par les données de terrain. La tradition tibétaine des reliques se caractérise par sa diversité, que ce soit dans sa terminologie, ses typologies ou ses usages
Based on literary sources and fieldwork materials, this Ph. D. Thesis aims at describing the traditions concerning the relies all over the Tibetan cultural area. The first part aims at placing the category of relies in a broader context. It reminds of the place of relies in the three monotheisms, the concepts on death in the Indian, Central Asian and Chinese civilizations, and of the Buddhist traditions on relics as they are mentioned in canonicate sources. The second part presents the category of relies in the Tibetan culture. It describes conceptions on saints' death, funerals which are applied to them, the different circumstances in which relies may be collected, their terminology, properties and classifications. The third part describes the ways relies may be put into circulation, their benefits and uses. Textual sources are mainly concerned with benefits, whereas uses are mostly documented by fieldwork materials. The Tibetan tradition of relies is remarkable through its diversity, be it the terminology, the classifications or the uses of these sacred objects
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Pimenova, Ksenia. "Les sources de savoirs : le renouveau du bouddhisme et du chamanisme chez les Touvas de la Sibérie du Sud." Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0089.

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Abstract:
La thèse propose une étude comparative du « renouveau » post-soviétique du chamanisme et du bouddhisme tibétain (école Guélougpa) chez les Touvas de la Sibérie du Sud (Russie). Ce phénomène a lieu après des décennies de poursuites antireligieuses ayant abouti à la destruction de la communauté bouddhique et à la marginalisation du chamanisme. L’analyse se développe sur deux niveaux complémentaires : le premier centré sur les organisations religieuses ; le deuxième sur une sociologie des identités et des pratiques rituelles. Au premier niveau, la thèse montre les relations d’entre-aide et d’instrumentalisation réciproque entre, d’un côté, les nouveaux acteurs du religieux (les chamanes et le clergé bouddhique) et, de l’autre, les milieux politiques et les réseaux religieux et spirituels globalisés (bouddhiques et « néochamaniques »). Malgré leurs nombreux avantages, ces partenariats extérieurs aboutissent aux transformations profondes du chamanisme, et à la déstabilisation de l’autorité religieuse dans le bouddhisme touva. Au deuxième niveau, la thèse s’intéresse aux pratiques rituelles bouddhiques et chamaniques, ainsi qu’aux récits de vies de chamanes. Les unes comme les autres apparaissent comme les moyens de revendiquer les identités religieuses et de mettre en usage les savoirs rituels présentés comme « traditionnels ». Ensemble, ces deux niveaux d’analyse rendent compte des problèmes et des enjeux du renouveau religieux touva, pris entre la nécessité de pallier l’insuffisance des savoirs rituels perdus, l’impératif idéologique d’affirmer la continuité avec le passé et le besoin de s’adapter au nouveau contexte politique, légal et culturel de la Russie post-soviétique
The thesis makes a comparative study of the post-soviet « revival » of Shamanism and Tibetan Buddhism (Guelougpa school) among the Tuvans of South Siberia (Russia). This phenomenon takes place after decades of antireligious persecutions that have resulted in the destruction of the Buddhist community and in the marginalization of Shamanism. The analysis is developed on two complementary levels: the first is focused on the religious organizations; the second on a sociology of identities and ritual practices. At the first level, the thesis shows the relationship of mutual aid and instrumentalization between, on one side, the new religious actors (the Shamans and the Buddhist clergy) and, on the other side, the political circles and the globalized spiritual and religious networks (Buddhist and « Neoshamanist »). Despite their many advantages, these external partnerships result in profound transformations of Shamanism, and in the destabilization of the religious authority in the Tuvan Buddhism. At the second level, the thesis analyses ritual practices in Shamanism and Buddhism, and the life stories of Shamans. It shows that they are both means to claim religious identities and to put into usage the ritual knowledge presented as « traditional ». Together, these two levels of enquiry provide a global understanding of the problems and stakes of the Tuvan religious revival, seized between the necessity of compensating for the inadequacy of the lost ritual knowledge, the ideological requirement of claiming the continuity with the past, and the need to adapt to the new political, legal and cultural context of Post-Soviet Russia
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Tamoufe, Simo Raymond Charlie. "Le corps dans les rituels des Bandjoun au Cameroun (1901-1972) : pratiques et représentations." Strasbourg 2, 2007. http://www.theses.fr/2007STR20067.

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Abstract:
Depuis l’avènement de la colonisation dans les profondeurs des hautes montagnes de l’ouest-Cameroun au début du XXème siècle, beaucoup de peuple se sont sentis soit concernés, soit consternés au plus profond de leurs corps et de leurs âmes. Dans la société Bandjoun, plusieurs faits fondamentaux visent la compréhension, les circonstances et les conséquences que la prescription des pratiques modernes va susciter. L’exemple des pratiques et des rites chrétiens véhiculés par les missionnaires occidentaux, constitue l’un des phénomènes observables ayant défrayé la chronique du début du siècle dernier. E destin culturel et cultuel des Bandjoun, comme celui de sa tradition fortement rattachée aux valeurs coutumières, sera incontestablement confronté si l’on s’en tient aux représentations, aux trajectoires religieuses et/ou aux itinéraires spirituelles en présence : D’abord, entre les pratiques et les rites coutumiers de la vie quotidienne et les sacrements chrétiens. Ensuite, l’impact des croyances ancestrales vis-à-vis de la tradition chrétienne. Enfin, la symbolique des valeurs traditionnelles initiatiques et le discours théologique acquis lors du Baptême. L’évidence et la pertinence de cette collision trouvent leurs fondements sur les plans sociaux, historiques et ethnologiques. Plutôt que de produire regret ou émerveillement, rupture ou continuité, notre thèse relève la complexité culturelle du corps, véritable espace d’expression culturelle chez les Bandjoun. Conscient des révélations dont l’avènement du clergé local en 1972 éveillera dans la construction des représentations individuelles et collectives inhérentes à la Foi, à travers les pratiques et les rites corporels protecteurs et/ou purificateurs, ces représentations du corps n’adviennent pas seulement comme une grâce Divine. Elles sont une construction divine, conçu dans la mémoire ancestrale et socialement élaborée
Since the advent of colonization in the depths of the high mountains of west-Cameroon at the beginning of the XXth Century, many people felt either concerned, or deeply dismayed. In the Bandjoun society, several fundamental facts aimed at understanding the circumstances and the consequences which arose from the prescriptions of modern practices. The example of practices and Christian rites conveyed by the Western missionaries constitutes one of the main phenomena which were widely talked about at the beginning of the last Century. The cultural destiny of the Bandjoun people, like that of their tradition strongly attached to the customary values, is incontestably confronted as seen in the representations, the religious trajectories and/or spiritual routes existing: - First of all, between the daily life practices and the customary rites and the Christian sacraments. - Next, the impact of ancestral beliefs with respect to the Christian tradition. - Finally, the symbolic system of initiatory traditional values and the theological speech acquired during Baptism. The obviousness and the relevance of this collision find their root at social historical and ethnological level. My thesis does not aim at creating regret or amazement, rupture or continuity. It records the cultural complexity of the body, genuine space of cultural expression in Bandjoun. Conscious of the revelations which the advent of the local clergy in 1972 stimulates in building up the individual and collective representations inherent to Faith, through practices and protective and/or purifying body rites , these representations of the body do not only occur as a divine grace. They are a divine construction, conceived in the ancestral and socially elaborate memory
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Semin, Jeanne. "Mise en scène d'une oikonomia africaine : tontines et cérémonies chez les Wolof, les Khassonké, et dans la diaspora." Paris, EPHE, 2011. http://www.theses.fr/2011EPHE5009.

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Abstract:
Le phénomène des tontines est omniprésent en Afrique de l’Ouest, en particulier depuis les années 80 et la crise du développement. Cette thèse analyse les raisons de leur succès à partir d’une approche anthropologique de l’efficacité contraignante à l’œuvre dans ces groupements ou réseaux de cotisation solidaire, qui obligent leurs membres à épargner régulièrement malgré les difficultés économiques. La thèse présente une ethnographie comparative des pratiques tontinières des femmes en différents contextes : urbain à Saint-Louis du Sénégal, rural à Bafoulabé au Mali, et migratoire en région Ile-de-France. Les tontines s’y déclinent en trois grands types : tontine de groupement, tontine auprès d’une gérante et tontine cérémonielle. D’une manière générale, elles se trouvent imbriquées dans un système complexe de dépenses cérémonielles, porté par les femmes et mis en œuvre pour les rites de mariage et de naissance. L’auteur décrit et analyse ce système, à travers notamment l’attribution de rôles particuliers qui configurent les circuits d’échange, et montre en quoi les échanges suscités par les cérémonies, bien que largement condamnés dans le discours comme étant des gaspillages, sont à l’origine de la dynamique des tontines. Elle a recours au concept d’efficacité symbolique et décrit un ensemble de références contraignantes (les objets circulants, les paroles proférées, et les gestes exécutés) qui donne sens à la vie des femmes et, à travers leurs échanges, corps à la société. Les femmes expriment ainsi quelque chose d’indicible dans le quotidien de ces contextes musulmans, à savoir le rôle central des femmes dans la structuration des réseaux sociaux
The women’s "money-go-rounds" phenomenon is omnipresent in West Africa, especially since the Eighties and the development crisis. This thesis analyzes the reasons of their success from an anthropological point of view, emphasizing the constraining effectiveness in these groups or networks of interdependent contribution, which oblige their members to save regularly in spite of economic difficulties. The thesis presents a comparative ethnography of "money-go-rounds" practices in various contexts : urban ones in Saint-Louis, Senegal, rural ones in Bafoulabé, Mali, and migratory ones in Ile-de-France. There are three great types of "money-go-rounds" in these contexts : grouping type, " depending on a manager " type, ceremonial type. Usually, "money-go-rounds" are overlapping in a complex system of ceremonial expenses, carried by the women for the rites of marriage and births. The author describes and analyzes this system, especially through the attribution of roles which configure the exchanges, and shows how the exchanges caused by the ceremonies, although often condemned as wasting, are at the origin of the dynamic of the "money-go-rounds". She uses the concept of symbolic effectiveness and describes a system of constraining references (circulating objects, uttered words, and performed gestures) which gives meaning to the women's life and, through their exchanges, shapes the society. The women thus express something unspeakable in everyday life of these Muslim societies, namely the central role of women in structuring the social networks
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Manniez, Yves. "Les pratiques funéraires en Narbonnaise méditerranéenne (partie occidentale) du IIIe au VIIIe siècle." Aix-Marseille 1, 1999. http://www.theses.fr/1999AIX10094.

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Abstract:
Le domaine d'etude choisi pour cette these sont les sepultures a inhumation de la fin de l'antiquite et du haut moyen age mises au jour sur un territoire qui correspond aux actuels departements de l'aude, du gard et de l'herault. Ce travail comprend trois volumes. Le premier est la synthese des informations issues de 580 points de decouvertes. Apres une evocation des rites et de leur fonction sociale puis un historique de la recherche funeraire en france et en languedoc, une premiere partie permet de situer le site funeraire dans son environnement et d'apprehender la tombe en tant qu'element de la necropole. Un examen typologique donne en outre un apercu de la diversite des tombes rencontrees dans la region. Les deux autres chapitres sont consacres a l'analyse du contenu des sepultures duiiie au ve s. D'abord et du vie au ville s. Ensuite. Le defunt et le mobilier qui l'accompagne parfois servent de toile de fond a une reconstitution des gestes rituels accomplis autour de la tombe et a la connaissance des elements de la culture materielle contemporains de cette derniere. Les diverses observations qui resultent de cet examen temoignent parfois de la specificite de certaines coutumes. Les deux autres tomes constituent la base de donnees sur laquelle se fonde l'approche des pratiques funeraires de la bordure occidentale de la narbonnaise. Le volume 2 est le catalogue general des sites etudies. Il regroupe des notices d'importance inegale redigees a partir de comptes-rendus de decouvertes anciennes et de rapports de fouilles recentes. Le volume 3 est un fichier detaille de deux necropoles majeures de l'antiquite tardive.
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Devo, Irène E. H. "Contribution à la connaissance des rites traditionnels d'une communauté africaine : les Pédah d'Anyron-Kopé au sud du Togo." Paris 7, 1994. http://www.theses.fr/1994PA070129.

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Abstract:
Une étude des pratiques rituelles du milieu traditionnel africain en général avec l'option des Pédah d'Anruyon-Kopé situé au sud du Togo : la thèse cherche à faire connaitre aux non-initiés les rites d'initiation pratiqués par ce peuplade du sud du Togo que sont les Pédah. Le travail repose essentiellement sur trois parties : la première partie présente le terrain de la recherche Anyron-Kopé avec sa situation géographique, historique et aussi bien que l'organisation de la famille, la cosmogonie, les croyances et les pratiques religieuses. La deuxième partie se consacre à la description notamment du cycle de vie de la femme, mariage, vie conjugale, grossesse, accouchement, dation de nom, les rites d'initiation, de formation. La troisième partie aborde les rites funéraires comportant : - les cérémonies avant l'enterrement, préparatifs des cérémonies - l'enterrement proprement dit et celles relatives au post-enterrement. Ce travail par son titre, sa description, son analyse nous illumine sur les pratiques traditionnelles des Pédah, et nous donne des points de repères dans le domaine socio-culturel de cette communauté du sud du Togo. Cette thèse est le fruit de notre souci de faire jaillir la lumière sur la richesse et le mystère des pratiques et les valeurs dans la formation du personnage Pédah
The study of the ritual practices of the african traditional milieu in general with particular reference to the Pedah of Anyron-Kope located in southern Togo. The thesis tries to shed light on the initiation rites as performed by the people in the south of Togo known as the Pedah. The study is essentially in three parts: the first part introduces the area of research namely Anyron-Kope with its geographical, historical backround as well as the organisation of the family, cosmogony, beliefs and religious practices. The second part devotes itself to the description of the life cycle of the woman, marriage, married life, pregnancy, childbirth, name-giving, initiation rites and upbringing. The last part deals with funeral rites consisting of preburial ceremonies, preparation for burial, burial itself as well as burial ceremonies. The study undertaken, by its title, description and analysis, illuminates for us the traditional practices of the Pedah and, on a socio-cultural level, provides us with salient points of reference concerning this community in southern Togo. The thesis is therefore the fruit of our concern to shed light on the great cultural wealth and the mystery of the practices and values involved in forming members of the Pedah society
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Books on the topic "Bouddhisme – Rites et cérémonies"

1

Segalen, Martine. Rites et rituels contemporains. Paris: Nathan, 1998.

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2

Duchesne, Jean. Retrouver le mystère: Plaidoyer pour les rites et la liturgie. Paris: Desclée de Brouwer, 2004.

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3

Matsunami, Kodo. International handbook of funeral customs. Westport, CT: Greenwood Press, 1998.

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4

Bourgault, Luc. Le sentier de la beauté: Cérémonies et rituels autochtones amérindiens. St. Ambroise de Kildare, Qc: Productions Orfée, 2000.

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5

La violence et les morts. Chêne-Bourg/Genève: Georg Editeur, 2003.

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6

Maisonneuve, Jean. Les rituels. Paris: Presses universitaires de France, 1988.

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7

Maisonneuve, Jean. Les rituels. Paris: Presses universitaires de France, 1988.

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Centre national du livre (France), ed. Rome, le prince et la cité: Pouvoir impérial et cérémonies publiques, 1. siècle av.-début du 4. siècle apr J.-C. Paris: Presses universitaires de France, 2005.

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9

Brown, Joseph Epes. L' héritage spirituel des Indiens d'Amérique. Paris: Éditions du Rocher, 1996.

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10

Sati, a study of widow burning in India. New Delhi, India: Viking, 1990.

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Book chapters on the topic "Bouddhisme – Rites et cérémonies"

1

Coulet, Noël. "De l’intégration à l’exclusion : la place des juifs dans les cérémonies d’entrée solennelle au Moyen Âge." In Rites, histoires et mythes de Provence, 43–55. Presses universitaires de Provence, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/books.pup.13332.

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2

Kaci, Maxime. "Citoyenneté modelée, citoyenneté modulée : les rites et cérémonies publics durant la Révolution française." In Citoyenneté et éducation par la société, 73–84. Presses universitaires de Franche-Comté, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/books.pufc.12272.

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