Academic literature on the topic 'C'est pas moi'

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Journal articles on the topic "C'est pas moi"

1

Welsh, Geneviève. "« C'est pas moi, c'est la chimie... »." Revue française de psychanalyse 73, no. 3 (2009): 801. http://dx.doi.org/10.3917/rfp.733.0801.

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Rathier, Jean-Paul. "C'est pas moi qui l'ai fait !" Psychanalyse 12, no. 2 (2008): 117. http://dx.doi.org/10.3917/psy.012.0117.

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3

Francoeur, Louis. "Le créateur de culture." Études littéraires 29, no. 2 (April 12, 2005): 39–48. http://dx.doi.org/10.7202/501157ar.

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Abstract:
Le Moi de Vadeboncoeur que l'on cherche à saisir et à décrire, c'est le Moi qui ne se montre que dans ses livres, son Moi artiste, qui ne doit pas être confondu avec le Moi dans l'artiste que définit la linguistique, ni avec le Moi de l'artiste que décrit la psychanalyse. On parvient à circonscrire le Moi artiste en le définissant d'abord comme une possibilité unique, lieu de tous les commencements, en le saisissant ensuite grâce aux limites que lui impose son appartenance à un monde autre, celui de l'art et, enfin, en contemplant les fruits de son activité créatrice.
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4

TOOKE, A. "Review. 'Mme Bovary, c'est pas moi!': E Altri saggi flaubertiani. Bonaccorso, Giovanni." French Studies 46, no. 3 (July 1, 1992): 342. http://dx.doi.org/10.1093/fs/46.3.342-a.

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5

Zéphir, Jacques J. "Nature et fonction de la mémoire dans À la recherche du temps perdu." Articles 17, no. 2 (August 3, 2007): 147–68. http://dx.doi.org/10.7202/027123ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans À la recherche du temps perdu, Proust est, en réalité, à la recherche de son identité, de son moi profond et véritable. Pour ce faire, il s'isole du présent dans le but de se retrouver dans le passé. Cependant, la « résurrection du passé », qui doit lui apporter le salut éperdument recherché, n'est pas le produit de la mémoire volontaire. Cette forme de mémoire, fonction de l'évocation objective et « quasi-dépersonnalisée », n'a pas, au dire de Proust, le don de nous représenter le passé dans sa plénitude totale. Dès lors, elle ne saurait le conduire au moi profond, dont elle ne pourrait lui donner qu'une image factice et tronquée. En revanche, la mémoire authentique, selon Proust, est la mémoire involontaire, qui est liée à l'actualité de notre vie par la plus mystérieuse des intimités. Et même, à l'en croire, cette mémoire aurait une fonction méta- physique précise, qui serait de nous révéler notre moi profond, de faire émerger, à la surface de la monotonie de notre présent, notre « essence ». C'est que, pour Proust, le souvenir involontaire n'est pas, en réalité, quelque chose qu'on a, mais bien quelque chose qu'on est. Son rôle n'est pas seulement de fixer des événements écoulés, mais de nous exprimer nous-même, d'affirmer, par delà la multiplicité de nos moi changeants et superficiels, l'identité et la permanence d'un moi authentique et profond.
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6

Chartier, Roger. "Différences Entre les Sexes et Domination Symbolique (note critique)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 48, no. 4 (August 1993): 1005–10. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1993.279190.

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Abstract:
Dans un texte superbe, intitulé « Le sexe ni vrai ni faux », Louis Marin commente le mythe d'Hermaphrodite tel que le conte Ovide au quatrième livre des Métamorphoses. Pour lui, c'est la sphère immobile et éternelle de l'Être, unissant de manière indéfectible le masculin et le féminin, « que, sur le mode de la prière et du votum, la Naïade du mythe ovidien désire constituer à jamais, mais dans le temps : “ Tu te débats, en vain, cruel, s'écrie-t-elle, tu ne m'échapperas pas. Dieux, ordonnez que nul jour ne le voit séparé de moi ni moi séparée de lui ”. Bisexualité originaire dont le mythe d'Hermaphrodite donnerait le récit. Et cependant, il n'est que de relire le voeu de Salmacis, nymphe à la violence masculine à l'égard du trop féminin Hermaphrodite, pour découvrir, dans le langage du poème, l'autre face de la bisexualité : le travail de la différence, la puissance du neutre ; non pas “ Faites, ô Dieux, que nous soyons à jamais unis en un seul corps ”, mais “ Ordonnez, ô Dieux, qu'il ne soit jamais séparé de moi ni moi de lui ”. Tel est le geste du neutre que l'affirmation de l'union ne puisse se dire que par la négation de l'impossible désir de la non-différence »
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7

Muris-Prime, Camille. "‘ Trouver une langue ’: Rimbaud et l’éthique de la traduction." Nottingham French Studies 56, no. 2 (July 2017): 201–11. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2017.0181.

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Abstract:
Dans les lettres dites « du voyant », Rimbaud se donne comme tâche de « trouver une langue » engageant une réflexion sur ce qu'est la langue de création qui s'accompagne dans sa poésie d'une interrogation sur la qualité du matériau poétique qu'est le langage et sur sa forme: celle de la prose. Trouver une langue pour faire de la poésie c'est trouver la forme d'une parole polyphonique et presque polyglotte. Le « je est un autre » de Rimbaud résonne avec la formule de Derrida « Je n'ai qu'une langue mais ce n'est pas la mienne » pour la transformer en: « Je n'est qu'une langue, mais ce n'est pas moi. » La poésie rimbaldienne se définit comme un projet où le je est à la fois multiple et potentiel pour devenir ce « lieu mixte » dont parle Kristin Ross et mettre au point ce que nous appellerons une éthique de la traduction.
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8

Bergeron, Gérard. ""Comment peut-on être Persan?" Propos théoriques d'étape." Articles - Le politique 23, no. 3 (April 12, 2005): 293–315. http://dx.doi.org/10.7202/055988ar.

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Abstract:
Le « Persan » de la communauté des chercheurs en sciences humaines, n'est-ce pas un peu le théoricien? Comment peut-on être théoricien? Rica écrit à Ibben : « Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance [...] Si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement : Ah! ah! Monsieur est Persan ? C'est une chose bien extraordinaire ! Comment peut-on être Persan ? » C'est un être bien étrange, en effet, que celui qui consacre autant d'années d'écriture pour préciser de long en large comment voir les choses sociales et politiques, comment en traiter avec intention de « science », mais qui, finalement, les dit souvent en dehors de l'appareil analytique si patiemment construit. Rica avait préalablement confié à son correspondant: «Je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare [...] Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable [...] Je me vis apprécié au plus juste [...] car j'entrai tout à coup dans un néant affreux.»2 Hors l'acte propre de théoriser, le théoricien est un chercheur comme un autre, soumis aux mêmes critères critiques que tous les autres praticiens. Il n'est plus « Persan ».
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9

Elboudrari, Hassan. "Quand les saints font les villes. Lecture anthropologique de la pratique sociale d'un saint marocain du XVIIesiècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 40, no. 3 (June 1985): 489–508. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1985.283179.

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Abstract:
« La ville qui est à moi,j'en dispose. »L'Ecclésiaste, VIII-12.Le premier acte d'un fondateur religieux qui réussit à imposer la reconnaissance sociale de son charisme est toujours de descendre au premier degré de cette réalité en cherchant à concrétiser la position acquise dans ce qui abstraitement s'appelle le champ religieux par l'emprise symbolique, voire aussi juridique, sur un espace, c'est-à-dire un territoire, les hommes et les choses qui le peuplent. Bien qu'il ne le fasse pas explicitement à propos du prophète proprement dit, Max Weber souligne cette « aspiration normale de l'institution ecclésiale » à dominer un territoire Les pages qui suivent entendent expliciter et interroger le sens de cette tendance sur la base d'un examen aussi approfondi que le permettent nos sources, essentiellement hagiographiques, de l'itinéraire d'un saint marocain du XVIIesiècle Mawlây ‘Abdallah ash-Sharîf (1596-1678), double et heureux héritier d'une généalogie et d'une tradition mystique prestigieuses, constituant les deux composantes du capital symbolique initial sur lequel il appuiera la construction de son charisme propre.
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10

DeGuise, Jacques. "Le colloque : une réflexion sur la relation État-citoyen." Articles 16, no. 3 (April 12, 2005): 321–35. http://dx.doi.org/10.7202/055700ar.

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Abstract:
Le problème que pose dans une société moderne la relation État-citoyen est assez complexe. Il peut être enrichissant de lire à ce sujet les ouvrages des politicologues ou d'en parler avec un interlocuteur à l'esprit ouvert; il est plus difficile cependant d'en discuter à vingt-cinq, devant un auditoire du métier. C'est sans doute aux situations de ce genre que s'applique le vieux proverbe : tôt capita, quot sensus. Et encore. Quand les participants sont sélectionnés de façon à représenter un échantillon « tout azimut », on ressent la nécessité d'un CRTC pour donner à chacun sa longueur d'ondes et éviter la cacophonie. On retrouve dans un des films de Leone cette phrase : la révolution, c'est la confusion ; après deux jours de colloque on a envie de paraphraser: la démocratie, c'est la confusion. L'ennui, en démocratie, a dit quelqu'un de célèbre, c'est qu'il y a trop de monde à s'occuper de l'État. Vous comprendrez donc que je n'ai pas la prétention ni d'ailleurs l'intention de donner un compte rendu fidèle du colloque en pondérant les interventions selon leur longueur ou leur profondeur. Je n'ai pas ce talent de monteur (j'aspirerais plutôt à devenir tombeur !) pour racoler de façon logique des rushes ou des bribes d'interview en une demi-heure cohérente, comme on le fait à Radio-Canada. Le colloque s'est tenu les jeudi et vendredi, 10 et 11 octobre 1974, au lac Delage. Il groupait dix-huit participants ' dont M. Pierre Nadeau qui dirigeait les débats. Ces « hommes ressources » discutaient en présence d'un auditoire de connaisseurs, composé surtout de fonctionnaires impliqués dans la communication. Ils avaient à leur tête le ministre des communications, M. Jean-Paul L'Allier et le directeur général des communications, M. Gilles Loiselle, qui ont été les principaux interlocuteurs gouvernementaux. Cette « rencontre avec les experts » n'était qu'une étape d'un processus plus vaste de réflexion sur la relation État-citoyen. La première étape avait été l'étude de Vincent Lemieux, menée auprès des fonctionnaires et qui servait, avec le texte de M. Jean-Paul Quinty, responsable de toute l'opération, de position de problème et d'amorce au débat. De façon générale, le colloque a été stimulant, et, pour plusieurs, jusqu'à la frustration. Tous les problèmes ont sans doute été abordés, les uns de manière théorique, les autres de manière pratique. Toutes les solutions? ça c'est une autre histoire. Peut-être à cause de la présence du ministre L'Allier, je pense que le colloque s'est plutôt défini «dans l'opposition », chacun accusant l'État de sa carence préférée. Le tableau impressionniste qui s'en dégage est pessimiste et noir. Une des fonctions des groupes de référence est la fonction normative car ces groupes nous fournissent des situations de comparaison qui servent de base à nos jugements ; à part quelques très rapides allusions à l'histoire et aux pays totalitaires, les normes de comparaison sont demeurées les aspirations de chacun: le Québec, croyez-moi, est loin de ce qu'on voudrait qu'il soit ! C'est peut-être Vincent Lemieux qui a posé le meilleur diagnostic d'ensemble : « Dans les années 60, on a cru à une formule qui était celle de l'État-levier. » Ce fut une erreur, dira-t-il un peu plus tard, l'État n'était pas un levier, mais une masse à soulever. Mais de toute façon, on s'est attaché à rénover la politique et la fonction publique. C'est peut-être cette arrivée soudaine de l'État à l'avant-scène de la société québécoise qui nous sert maintenant de beaudet contre la peste. « À partir d'une date connue, avait dit plus tôt le Frère Untel, soumis aux diaphragmatiques coliques du rattrapage, nous avons saccagé les solidarités existantes pour les remplacer par des organigrammes. » Tout le problème que nous avons posé au colloque m'apparaît graviter de près ou de loin autour de ce thème : il y a des trous dans l'organigramme. Il semble que la population en soit parfois absente; quand elle y est présente, les labyrinthes qu'elle doit parcourir pour obtenir les services qu'elle désire sont tels qu'ils décourageraient, en situation expérimentale, tout autant les rats que les psychologues ! Ce n'est pas nécessairement le fait d'une mauvaise volonté, bien que dans certains secteurs la mauvaise volonté soit manifeste et plus encore, quelle horreur ! fasse partie des règles du jeu. C'est plutôt le fait d'une situation d'hypercomplexité. Après avoir participé au colloque, poser le problème en termes de la relation État-citoyen apparaît comme une terrible simplification. On s'aperçoit vite qu'il y a polyvalence des deux partis : il y a plusieurs « État » et plusieurs « citoyen ». Essayons, donc de démêler l'écheveau pour tisser ne serait-ce que la silhouette des problèmes cruciaux.
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Dissertations / Theses on the topic "C'est pas moi"

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Lemelin, Daphnée. "UNE IDENTITÉ INDIVIDUELLE. L'énonciation du narrateur enfant dans Le souffle de l'Harmattan de Sylvain Trudel, La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy et C'est pas moi, je le jure! de Bruno Hébert." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26241/26241.pdf.

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Jean, Anne-Marie. "Léon et le vent du diable : adaptation dramatique ; suivi de Réflexion sur un parcours de création : de l'adaptation dramatique de C'est pas moi, je le jure! à la représentation scénique de Léon et le vent du diable." Thesis, Université Laval, 2006. http://www.theses.ulaval.ca/2006/23942/23942.pdf.

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Grenier-Turcot, Julie. ""Aurélie, c'est moi!" Le journal d'Aurélie Laflamme, le succès de la série expliqué par une étude de sa réception." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25899.

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Abstract:
C’est une adolescente parfaitement normale qu’India Desjardins met en scène dans Le Journal d’Aurélie Laflamme. Aurélie, maladroite et complètement immergée dans la culture populaire des années 2000, ne diffère toutefois pas énormément des personnages d’adolescentes mis en scène dans les romans du même genre. Et pourtant, la série a remporté un succès qui la classe dans une catégorie à part. Qu’est-ce qui explique donc l’impressionnant succès populaire qu’elle a remporté? Il est vrai que l’auteure démontre une connaissance approfondie de cet univers et se veut accessible à ses lecteurs, des aspects qui ne manquent certainement pas de charmer son public cible. Avec le succès remporté par sa série, l’auteure prouve que les jeunes cherchent à se reconnaître dans ce qu’ils lisent. Nul besoin de créer un monde imaginaire pour les séduire, il suffit de leur offrir un personnage auquel ils peuvent se rattacher, un personnage qui leur ressemble.
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"UNE IDENTITÉ INDIVIDUELLE. L'énonciation du narrateur enfant dans Le souffle de l'Harmattan de Sylvain Trudel, La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy et C'est pas moi, je le jure! de Bruno Hébert." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26241/26241.pdf.

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"Léon et le vent du diable Adaptation dramatique Suivi de Réflexion sur un parcours de création : de l'adaptation dramatique de C'est pas moi, je le jure ! à la représentation scénique de Léon et le vent du diable." Thesis, Université Laval, 2006. http://www.theses.ulaval.ca/2006/23942/23942.pdf.

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Books on the topic "C'est pas moi"

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Hébert, Bruno. C'est pas moi, je le jure! Saint-Laurent, Qc: Diffusion Dimédia, 1997.

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2

C'est pas moi, je le jure!: Roman. [Montréal]: Boréal, 1997.

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3

Hebert, Bruno. C'est pas moi, je le jure!: Roman. Montreal: Boreal, 1999.

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4

Rojzman, Charles. C'est pas moi, c'est lui: Ne plus être victime des autres. Paris: Lattès, 2006.

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5

Bonaccorso, Giovanni. "Mme. Bovary, c'est pas moi!" e altri saggi flaubertiani. Napoli: Liguori, 1988.

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6

Bonaccorso, Giovanni. Mme Bovary, c'est pas moi e altri saggi Flaubertiani. Napoli: Liguori, 1988.

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7

Gagnier, Nadia. C'est pas moi, c'est lui!: Les relations fraternelles et les défis particuliers aux enfants uniques. Montréal: Éditions La Presse, 2008.

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8

Perez, Félix. En découvrant le quotidien d'Emmanuel Levinas: Ce n'est pas moi, c'est l'être. Paris: L'Harmattan, 2000.

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9

Perez, Félix. En découvrant le quotidien avec Emmanuel Lévinas: Ce n'est pas moi, c'est l'être. Paris: L'Harmattan, 2000.

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10

D'une sensibilité à l'autre dans la pensée d'Emmanuel Lévinas: Ce n'est pas moi, c'est l'autre. Paris: Harmattan, 2001.

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Conference papers on the topic "C'est pas moi"

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Abraham, Marine. "Jeunesse et plage : approche sociolinguistique des publicités contemporaines." In XXV Coloquio AFUE. Palabras e imaginarios del agua. Valencia: Universitat Politècnica València, 2016. http://dx.doi.org/10.4995/xxvcoloquioafue.2016.3171.

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Abstract:
Lors de la présente étude, mon objectif sera de révéler de quelle manière les professionnels de la publicité emploient les allégories se référant à l'eau de mer afin de convaincre leurs futurs clients de consommer le produit objet de la publicité. Nous centrerons nos recherches sur les campagnes situées en zone blanéaire mettant en scène les jeunes d'aujourd'hui, population représentant un autre mythe manifeste de nos sociétés occidentales. L'emploi des images de l'eau dans les spots ou affiches actuels n'est pas anodin. En effet, elle symbolise un temps de rupture et d'évasion, des moments jouissifs dont tout individu souhaite profiter. La plage transmet ainsi des émotions positives, ce qui permet d'une part de capter l'attention des consommateurs et, d'autre part, de formater leurs sentiments envers le produit ou la marque. La publicité réussit de cette manière à rendre matériel des notions abstraites telles que la liberté, idéal qui semble désormais pouvoir s'acheter à travers la consommation. Associer à la figure du jeune, la campagne publicitaire s'inscrivant en bord de mer n'est que plus attirante. De ce fait, la jeunesse représente en quelque sorte l'âge idéal pour tout type de public, tant chez les enfants qui désirent accéder à cette vie d'apparence autonome que chez les adultes qui rêvent de jeunesse éternelle. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle non seulement il sont acteurs de la plupart des publicités mais aussi des films, des séries et des médias en général. Dans le corpus analysé, nous rendrons compte de la sémiotique des propagandes contemporaines en accord avec des aspects linguistiques ancrés dans le monde des jeunes. Les professionnels de la publicité disposent ainsi des réalités sociolinguistiques adolescentes et mettent en scène une sélection de leurs préoccupations environnantes dans un univers idyllique. En définitive, nous démontrerons que la combinaison de l'élément eau et du facteur jeune s'avère être judicieux dans les campagnes publicitaires modernes.DOI: http://dx.doi.org/10.4995/XXVColloqueAFUE.2016.3171
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