Academic literature on the topic 'Cameroun – Politique et gouvernement'

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Journal articles on the topic "Cameroun – Politique et gouvernement"

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Lachenal, Guillaume. "Le médecin qui voulut être roi." Annales. Histoire, Sciences Sociales 65, no. 1 (October 2009): 121–56. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900026226.

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Abstract:
RésuméCet article mène une réflexion sur l’usage des métaphores expérimentales, et en particulier de la notion de « laboratoire », dans le domaine de l’histoire de la médecine et des études coloniales. Il s’appuie sur l’étude d’une expérimentation politique entreprise pendant la Seconde Guerre mondiale : l’attribution exclusive aux médecins coloniaux d’une région entière du Cameroun, le Haut-Nyong, pour y soumettre complètement l’administration aux impératifs de la santé publique. Cette utopie sanitaire rappelle que les colonies ont pu être un « champ d’expériences » biopolitiques. Mais l’expérience du Haut-Nyong révèle surtout, en tournant rapidement au désastre, le rôle constitutif de l’échec et de la démesure dans les logiques et les pratiques du gouvernement colonial. L’article propose ainsi des pistes pour une approche pragmatique des ambitions expérimentales des médecins coloniaux, et pour reconsidérer la question historiographique de l’écart entre « projet » et « réalité ».
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Akumbu, Pius W. "Legitimizing the development and use of Cameroon’s national languages: Lessons from COVID-19." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 15, no. 3 (August 4, 2020): 193–206. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v15i3.5.

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Abstract:
The advent of COVID-19 has revealed the inability of the Cameroonian Government to provide information to all its citizens in the languages they understand best since a majority of the languages are neither developed for use nor empowered by the language policy of the country. Based on data from online and secondary sources this study highlights and insists on the necessity to develop and use national languages in official communication particularly when transmitting health related information. If this is done, it will become possible to easily reach out to all Cameroonians with vital information for their wellbeing whenever need be. Other sectors of the country such as education and agriculture would benefit squarely from a language policy that incorporates the language of each and every Cameroonian. Keywords: Legitimize, development, use, national languages, Cameroon, COVID-19 L’avènement du COVID-19 a révélé l’incapacité du gouvernement camerounais à informer ses citoyens dans les langues qu’ils comprennent puisqu’une majorité de ces langues ne sont ni développées pour être utilisées ni habilitées par la politique linguistique du pays. Sur la base de données provenant de sources en ligne et secondaires, cette contribution souligne et insiste sur la nécessité de développer et d’utiliser les langues nationales dans la communication officielle, en particulier lorsqu’il s’agit de transmettre des informations liées à la santé. Si cela est fait, il deviendra possible de tendre facilement la main à tous les Camerounais chaque fois qu’il sera nécessaire de leur transmettre des informations vitales pour leur bien-être. D’autres secteurs du pays, tels que l’éducation et l’agriculture, bénéficieraient aussi d’une politique linguistique qui intègre la langue de chaque Camerounais. Mots clés : Légitimer, développement, utilisation, langues nationales, Cameroun, COVID-19
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Abdourhaman, Ibrahim. "La déclinaison de la professionnalisation dans le secteur de l’enseignement au Cameroun." Éducation et francophonie 45, no. 3 (May 28, 2018): 128–44. http://dx.doi.org/10.7202/1046420ar.

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Abstract:
En partant des différentes acceptions du concept de professionnalisation et de ses dimensions, la présente étude propose d’analyser le sens qu’en a donné le gouvernement camerounais et les actions qui en ont découlé. Un corpus documentaire constitué des plans quinquennaux, des plans d’ajustement structurel, des stratégies globales de développement et des stratégies sectorielles de l’éducation concernant la période de 1960 à 2020, complété par des entretiens avec des personnes-ressources, a été soumis à une analyse du contenu. Il ressort de cette analyse que deux grandes dimensions de la professionnalisation sont mises en oeuvre au Cameroun, celle de l’enseignement, pris comme corporation, et celles des enseignements. La première a fait l’objet de plusieurs politiques publiques, sans pour autant être officiellement désignée sous le terme professionnalisation. Quant à la seconde, elle est présente dans le discours officiel depuis le milieu des années 1970. Elle vise une meilleure gestion des flux d’élèves et une insertion facile des jeunes dans la vie active. La présente étude suggère un examen plus approfondi du rapport entre « professionnalisation des enseignements » et « professionnalisation du personnel enseignant ».
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Gagnon, Chantal. "Québec et Canada : entre l’unilinguisme et le bilinguisme politique." Meta 59, no. 3 (February 11, 2015): 598–619. http://dx.doi.org/10.7202/1028659ar.

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Abstract:
Le Canada est un pays officiellement bilingue, en ce sens que la communication qui émane de son gouvernement central se fait dans les deux langues officielles, l’anglais et le français. Cependant, les gouvernements des provinces canadiennes sont unilingues, à une exception près (la province du Nouveau-Brunswick est officiellement bilingue). Le contexte québécois est particulier puisque cette province est la seule dont la majorité s’exprime en français, d’où son statut de province unilingue française. Cependant, tant d’un point de vue politique que démographique, la population anglophone a toujours joué un rôle clé dans la société québécoise. La présente étude a pour objectif d’observer les différentes pratiques de traduction officielle du gouvernement du Canada et du gouvernement du Québec. Plus précisément, nous analyserons la traduction des discours de différents chefs politiques au provincial et au fédéral. Afin d’obtenir des résultats comparables, nous étudierons tout particulièrement les discours entourant un seul événement, soit le référendum québécois de 1995. Nos recherches précédentes ont démontré qu’au gouvernement fédéral, la traduction des discours politiques varie entre autres en fonction de l’époque et du premier ministre au pouvoir. Nous posons l’hypothèse qu’étant donné la longue tradition de traduction institutionnelle de certains partis politiques, les stratégies de traduction adoptées par ces partis seront plus efficaces que celles adoptées par les partis peu habitués à faire traduire leurs discours.
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Owona Nguini, Mathias Éric, and Hélène-Laure Menthong. "« Gouvernement perpétuel » et démocratisation janusienne au Cameroun (1990-2018)." Politique africaine 150, no. 2 (2018): 97. http://dx.doi.org/10.3917/polaf.150.0097.

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Harvey, Fernand. "Le gouvernement de Robert Bourassa et la culture, 1970-1976." Les Cahiers des Dix, no. 72 (February 28, 2019): 291–326. http://dx.doi.org/10.7202/1056419ar.

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Abstract:
Slogan électoral ou politique culturelle? La souveraineté culturelle mise de l’avant par le premier ministre Robert Bourassa a suscité d’importants débats à caractère politique, social et culturel au cours des deux mandats du gouvernement libéral, de 1970 à 1976. Ce débat met à l’avant-scène différents acteurs: deux ministres du gouvernement Bourassa – Jean-Paul L’Allier aux Communications et Denis Hardy aux Affaires culturelles –, des membres de l’opposition à Québec, le ministre Gérard Pelletier au niveau fédéral et un regroupement issu de la société civile, le Tribunal de la culture, présidé par l’anthropologue Marcel Rioux. En relation avec ce débat se profile un élargissement de la notion même de culture qui ne se limite plus aux arts, aux lettres et au patrimoine. La recherche d’une politique culturelle pour le Québec est ainsi étroitement liée à l’affirmation d’une politique des communications, laquelle soulève des obstacles constitutionnels avec le gouvernement fédéral.
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Gay, Daniel. "Réflexions sur les politiques ethniques du gouvernement fédéral canadien 1971-1985 et du gouvernement du Québec." II. Le discours de l’État et les groupes ethniques, no. 14 (January 14, 2016): 79–92. http://dx.doi.org/10.7202/1034511ar.

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Abstract:
À partir principalement des documents officiels des gouvernements canadien et québécois, l’auteur procède à une étude minutieuse de leur politique multiculturelle, tout en dégageant leurs similitudes et leurs différences. Il ressort de l’analyse que les politiques ethniques sont axées sur l’idée centrale que l’individu ne peut jouir de sa liberté qu’en autant qu’il n’est pas coupé de son ethnie. Ainsi, l’État, en garantissant la pleine existence de cette dernière, contribue également à l’épanouissement individuel. D’où la principale importance du pouvoir de l’État qui l’habilite à garantir la survie de l’ethnie comme celle de l’individu. Cependant, la politique fédérale du multiculturalisme et la politique québécoise de la convergence culturelle entraînent dans leur conceptualisation même l’assimilation aux groupes dominants. Enfin, si la politique multiculturelle est un élément non négligeable dans la construction de l’unité du Canada, il en est tout autrement pour le Québec qui cherche à sauvegarder sa particularité.
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Beaud, Jean-Pierre. "Recensement et politique." Articles 41, no. 2 (January 15, 2013): 203–26. http://dx.doi.org/10.7202/1013491ar.

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Abstract:
Le débat sur l’abandon de l’obligation de répondre au questionnaire long du recensement canadien a été l’occasion de poser certaines questions fondamentales (par exemple, sur l’avenir du recensement) et de diffuser certaines connaissances (par exemple, sur la « supériorité » des techniques d’échantillonnage probabiliste et sur les vertus de l’obligation de répondre). Certes, par bien des aspects, la décision du gouvernement conservateur est désastreuse : elle met en péril le crédit d’une institution statistique réputée, elle brisera la chaîne historique des données et rendra périlleuses bien des tentatives d’analyse longitudinale. Les dégâts sont déjà importants. Cela dit, cette décision a aussi conduit à ouvrir un certain nombre de boîtes noires (sur l’utilisation des données tirées du recensement, sur la capacité réelle des individus à répondre aux questions) et à replacer une question (Faut-il s’en tenir à la technologie canadienne du recensement pour collecter des données ?) dans un ensemble d’expériences nationales (abolition du recensement, utilisation des fichiers administratifs, etc.).
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Leroux, Éric, and Marcel Lajeunesse. "Le gouvernement du Québec et sa Politique de la lecture et du livre de 1998 : les objectifs et les réalisations." Documentation et bibliothèques 53, no. 1 (March 24, 2015): 27–41. http://dx.doi.org/10.7202/1029215ar.

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Abstract:
Au printemps 1998, le gouvernement du Québec, dirigé par Lucien Bouchard, adoptait la Politique de la lecture et du livre. Presque une décennie plus tard, il est pertinent de faire un retour sur cette politique, pour s’en rappeler l’élaboration, pour en comprendre les contours, et surtout pour en évaluer les résultats. Au fil des années, des évaluations ont été effectuées, des ajustements ont été apportés, des pans de cette politique ont été abandonnés. Des mesures mises de l’avant pour une période limitée (trois ou cinq ans) ont été annulées à la fin de ce terme, et d’autres l’ont été à la suite d’un changement de priorités d’un nouveau gouvernement. C’est l’objectif de cet article de dessiner le portrait d’ensemble de ce grand dessein politique lancé en 1998 et de comparer les objectifs qui ont été avancés avec les réalisations qui ont suivi. En définitive, on peut dresser un tableau nuancé, soulignant des réalisations éclatantes et durables comme la création de la Grande Bibliothèque et de l’Observatoire de la culture et des communications du Québec, mais retenant aussi des essais intéressants qui ont été abandonnés pour diverses raisons de politique gouvernementale.
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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Cameroun – Politique et gouvernement"

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Ngwe, Luc. "La question politique de l'indépendance : contribution à la définition d'un cadre d'analyse pour l'étude de la construction sociale de l'état au Cameroun." Paris 10, 1999. http://www.theses.fr/1999PA100102.

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Abstract:
L'independance qui prend place dans l'explicitation du processus d'avenement de l'etat au cameroun est tres souvent consideree comme une guerison miraculeuse enchassee dans le recit heroique qui la retrace. En effet, l'etat au cameroun revet un caractere essentialiste et sa naissance s'enonce dans l'imaginaire collectif comme le resultat de la revendication nationaliste. En ce sens, l'independance se concoit a la fois comme une prise de conscience des domines et/ou une programmation politique et sociale et comme naturelle. Or, le cameroun est une construction historiquement situee. Sa construction est faite d'etapes et d'episodes disparates. Elle merite d'etre etudiee alors comme des processus differents qui ont leurs logiques propres et s'inscrivent dans des configurations politiques et sociales differenciees. Cependant ces processus s'inscrivent dans un mouvement d'ensemble qu'est le "proces de civilisation". Ce qui conduit a considerer la revendication independantiste comme un travail politique des elites politiques en situation de concurrence. De la meme maniere, l'antinomie entre colonisation et independance s'efface pour ceder la place a la restitution des continuites pratiques et mentales malgre l'affirmation symbolique de la rupture entre les deux ordres politiques et le travail de celebration auquel l'independance donne lieu.
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Ziem, A. Kiboung Marius. "Les partis politiques en Afrique dans les pays non militaires : Cameroun, Cote d'Ivoire, Sénégal." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100059.

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Abstract:
Les partis dans ces pays, et d'une manière générale les partis en Afrique, ont été créés autour des années 1945. Ils évoluent dans des conditions de concurrence jusqu'en 1960, date des indépendances. 1) une fois au pouvoir, ils suppriment des conditions de cette concurrence, et s'érigent en parti unique dans le but de réaliser le développement économique et l'unité nationale. Ils adoptent une organisation fondée sur le modelé des partis totalitaires d’Europe. Leur fonctionnement devient autocratique. 2) trente ans après les indépendances, le bilan de leur gestion est négatif, l'intégration nationale n'est pas réalisée, le développement économique non plus, par-contre l'on peut constater le développement économique des dominants, la restructuration sociale et parfois le démantèlement de l'état et au moins son contrôle par le parti unique
Those parties and in a general way, the african parties were created around 1945. They evoluate in conditions of competition up to 1960, date of independance. 1) Once in power, they remove those conditions and become one party with the aim of accomplishing the economic developement and national unicity. They adopt an organisation based on model of European totalitarian parties and their functioning becomes autocratic. 2) thirty years after the independence their management appraisal is negative national integration is not achieved or economic developement. On the other hand the economic development of the leaders can be noticed, social restructuring, and sometimes the dismantling of the state, and at least his supervising by the single party
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Lee, Han-Kyu. "Le développement politique et les partis politiques au Cameroun sous la colonisation française entre 1945-1958." Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100047.

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Abstract:
Notre these se compose de trois parties dans lesquelles deux sujets essentiels sont abordes. Le premier concerne la domination europeenne (notamment allemande et francaise) dans le rapport dialectique entre la colonisation et la civilisation. Le second traite des partis politiques et de leur dilemme dans le processus du developpement politique du cameroun. L'histoire de la colonisation n'est pas une histoire ordinaire, meme si celle-ci releve d'un fait economique (capitalisme), ou se caracterise par la force (imperialisme). Son projet "civilisateur" s'appuyait sur l'idee qu'il existait une inegalite entre civilise et civilisateur. Il ne pouvait alors y avoir de "mission civilisatrice" sans devoir de civilisation. Le colonialisme francais se fondait donc sur des differences a maintenir et sur la necessite d'attribuer arbitrairement des devoir aux peuples colonises. Les partis politiques au cameroun ont pris naissance dans cette perspective historique. Par ailleurs, les partis camerounais, comme la majorite des pays africains colonises a cette epoque, doivent concilier deux exigences : celle de lutter contre la colonisation et celle d'encadrer politiquement la population. Ainsi de 1945 a 1958, s'attribuent-ils une fonction de transformation des forces sociales (conflits sociaux) en forces politiques. De cette maniere, ils amenent la population a la participation politique. Ainsi, pour les partis camerounais, la politisation est-elle un devoir incombant a la population et non pas un droit relevant d'une volonte. Ils ont eu recours a toutes les actions politiques (violentes ou non violentes) sans distinction de forme ou de contenu. Quelque soient les conflits socio-politiques elementaires, ceux-ci existeront toujours pour faire fonctionner une societe donnee parce qu'il n'y pas de societe sans conflit. Les partis politiques doivent assumer leur responsabilite face aux conflits socio-politiques. Les partis politiques ont la particularite de se faire et de se defaire constamment entre les groupes d'individus rassembles par des interets communs et le systeme politique qui tient compte des revendications de la population dans la realite. Cependant, les conflits socio-politiques ne sont pas tout a fait a exclure. Ils appartiennent egalement au domaine de l'analyse et de l'hypothese du developpement politique qui necessite des certaines situations des efforts
Our thesis is divided into three parts and deals essentially with two subjects. The first is the domination of europe, and in particular that of germany and france, in the dialectical relationship between colonization and civilization. The second is the political parties in cameroon and the dilemma they face in the political development process in that country. The story of colonization is not an ordinary story, even if it is related to an economic phenomenon (capitalism) and characterized by the use of force (imperialism). Since then, however, civilization has been based on the inequality between the people being civilized and the people bringing the civilization. Indeed, there can be no "civilizing mission" without the duties of civilization. The "civilizing mission" has not allowed the natives to become french because if that had happened, they would have experienced their rights as their duties. Thus, the capitalistic and imperialistic colonialism practiced by the french has been based on a "distinct" civilization that requires arbitrarily performing the duties of the colonized people. The political parties in cameroon came into being in this historical context. These parties, like those in most of the african countries colonized at the same period, have to reconcile two demands: the first is to fight against colonialism and the second, to provide the population with political structures. Thus, between 1945 and 1958, they gave themselves the task of transforming social forces (social conflicts) into political forces. For the parties in cameroon, politicization is a duty that falls on the people and not a right possessed because it is desired. They had recourse to all kinds of political actions, both violent and non-violent, irrespective of form or content. Through their efforts, the parties in cameroon were able to achieve a positive rather than the normative or doctrinal position that they had during the last phase of colonization. Whatever the basic socio-political conflicts may be, they will always exist and contribute to the functioning of a given society, because there is never a society without conflict. The political parties must face up to their responsibility with regard to socio-political conflicts. One characteristic of the political parties is that they form and break up constantly between groups of individuals who are united by common intere
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Galim, Ngong Irénée. "Le personnel gouvernemental au Cameroun 1957-1996." Bordeaux 4, 1996. http://www.theses.fr/1996BOR40040.

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Abstract:
L'etude du personnel gouvernemental au cameroun concerne les 268 personnalites qui ont alterne au sein des differentes formations gouvernementales depuis le 16 mai 1957 ; jusqu'au 19 septembre 1996 qui marque la derniere modification de l'equipe gouvernementale. Ce faisant, le recrutement de l'ensemble de ces personnalites (1ere partie), obeit a une selection minutieuse (titre i) qui fait du president de la republique, le maitre de leur nomination (ch. 1). Ceci permet de decouvrir les filieres dominantes de selection du personnel gouvernemental (ch. 2) ainsi que le profil du personnel gouvernemental qui est passe de la mediocrite a l'excellence (ch. 3). Ceci impose par ailleurs des fonctions specifiques au recrutement gouvernemental (titre ii) qui donne une image symbolique de l'integration nationale (ch. 4) et permet la realisation des equilibres politiques (ch. 5). Une fois recrute, le personnel gouvernemental exerce ses fonctions (deuxieme partie) a partir d'une division hierarchique du travail (titre i) avec notamment un sommet de la hierarchie gouvernementale (ch. 6) qui comporte un corps et une base dudit personnel (ch. 7). D'ou un encadrement juridique desdites fonctions (titre ii) fait a la fois de principes de travail et de regles a observer (ch. 8) ainsi que de nombreux pouvoirs d'initiative de la regle de droit, d'administration et de gestion du personnel, et d'exercice surveille de pouvoirs financiers (ch. 9). L'issue de la carriere gouvernementale est sanctionnee par le president de la republique, tandis que la responsabilite dudit personnel devant les tribunaux reste encore au niveau de la seule theorie juridique. (ch. 10)
The study on the governmental staff in cameroon deals with the 268 personnalities who have alternated within different governmental teams from may, 16, 1957, when the first cabinet was made up to the last cabinet reshuffle in september 19 st 1996. The recruiting of those personnalities complies with a close selection (part one, title i) that presents the president of the republic as a master of their nomination (ch. I) ; as well as it enables to pick out the government personnal (ch. I). Also, behind an amelioration in quality of the government personnel, we can think of a republic of good students (ch. Iii). But the governmental recruiting cameroon requires specific fonctions (title ii). That lead to the search of national integration (ch. Iv) and of great balances between political forces (ch. V). Theremore, the governmental staff carries out its duties (second part) according to a hierarchical work division (title i) where you find a summit as well as the basis (chap vi + vii). All those categories develop in conditions which are legally protected by execution of their duties (title ii), made of regulations and principles to be respected in accomplishment of their missions (ch. Viii). As such, the governmental team uses its prerogatives for creating the law, for administration of the personnel and for financial engagement in name of the state. That needs support from the president of the republic, and incidentally from the prime minister (ch. Ix). Judged according to their action, each member of government has to take on his responsability at the end of career by a suspension from his functions before the president of the republic, or theoretically in a trial before a court by a sentence (ch. X)
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Binam-Bikoï, Auguste Cabral. "La sociologie des mobilisations partisanes au Cameroun : les partis politiques dans l'action collective en contexte de libéralisation post guerre froide." Bordeaux 4, 2010. http://www.theses.fr/2010BOR40012.

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Abstract:
Le retour de l'Afrique au multipartisme a donné un regain d'intérêt à l'action collective auprès des chercheurs en sciences sociales. Dans le cas d'un pays comme le Cameroun, la fin du parti unique s'accompagne d'un mouvement de contestations de l'ordre établi (opération "villes mortes") Des réformes institutionnelles en découleront et déboucheront sur les premières élections pluralistes en 1992 (Législatives le 1er mars; les présidentielles le 11 octobre). D'autres échéances suivront, notamment en 1997, 2002 et 2004. Test par excellence pour le processus démocratique enclenché dès 1990, l'ensemble de ces consultations met les partis politiques en première ligne des mobilisations et formes d'action collective. Pourtant, objet politiquement identifié et acteurs majeurs des transformations en cours, que maints spécialistes nomment "transition démocratique", les partis demeurent les parents pauvres des analyses du politique en Afrique. A la lumière des processus politiques au Cameroun depuis 1990, une attention est accordée à l'influence des élites politiques, économiques et des notabilités traditionnelles sur l'action collective des partis politiques et la restructuration des rapports de pouvoir entre les différentes forces. Il s'agit d'abord de s'interroger sur : l'articulation des partis politiques au clivage Centre/périphérie, le poids des contraintes hégémoniques, à la fois externes et sociologiques du pluralisme, sur les interactions entre les partis au pouvoir et de l'opposition, aussi bien que sur leurs stratégies d'adaptation et de coordination des mobilisations autour des nouvelles règles de la compétition politique. Il s'agit ensuite d'évaluer l'impact des partis politiques sur les mutations politiques intervenues depuis 1990
The return to multiparty politics in Africa has generated renewed interest of researchers in social sciences for collective action. In the case of countries like Cameroon, the ending of one-party politics triggered contestations of the established order. This context of vulnerability leads to civil disobedience (operation "ghost towns"). Institutional reforms followed and lead to the first multiparty elections in 1992 (legislation on 1st March, the presidential October 11). Other dates will follow, includind, in 1997, 2002 and 2004. In these processes that may experts xcall democratic transitions, political parties are the forefront of mobilisations and other forms of collective action. Yet polically identified object and key players in changes attributed to the "global time" period, the parties still are left aside in policy analysis in Africa. The need for a new focus of politics in Africa justifies an analysis of parties as an object of research in light of collective mobilisation in Cameroon since the liberalisation after the Cold War. This current research work questions the sociological logics by which political parties rally behind the veil of democratic propaganda, popular internationally. On the one hand, it estimates the burden of hegemony, both external and sociocultural on collective action amongst the parties and, on the other hand, this work highlights the strategies and modes of coordination around the conventions of political competition
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Ze, Martin. "Fonctionnaire et politique au Cameroun : contribution à l'étude des systèmes politico-administratifs des Etats africains." Reims, 2005. http://theses.univ-reims.fr:80/exl-doc/GED00000131.pdf.

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Abstract:
A l’instar des autres citoyens le fonctionnaire camerounais jouit de droits et libertés politiques. Un cadre juridique a été prévu à cet effet, adapté aux impératifs de l’administration publique et de la culture politico-administrative camerounaises. Sur la base de ce cadre, et pour des raisons historiques, on note une forte participation des agents publics dans la vie politique camerounaise. Cette implication se traduit par les phénomènes connexes de politisation de l’administration et de fonctionnarisation des institutions politiques
Can a Cameroonian civil servant deal with politics which consequences for his taking part on political matters. Like other citizens, the Cameroonians civil servant has political right and freedom. Specific legal norms have been provide some restrictions on the base of these legal norms, one can observe a massive implication of civil servants in political life, with various consequences within phenomenon of “politization of administration and fonctionnarisation of political institutions”
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Ayissi, Antoine-Claude. "Le développement politique au Cameroun : de l'autoritarisme politique aux revendications des jeunes." Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100040.

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Abstract:
Notre étude porte sur le développement politique au Cameroun de l'autoritarisme politique aux revendications des jeunes (1960 1990. Il s'agit d'une monographie socio-politique dont le cadre théorique s'appuie sur trois supports épistémologiques : l'anthropologie urbaine, la sociologie dite de la socialisation, et la science politique dans son versant inhérent au rapport Etat/Sociétés civiles notamment dans la dialectique entre ces deux entités qui fondent "la production de la société" Camerounaise. Cette ossature heuristique triangulaire pose les jalons de la lecture théorique que nous proposons de la ville Africaine d'aujourd'hui. Ce regard vise à expliquer, suivant une perspective diachronique, les canaux de la politisation des générations post-indépendante. Après avoir analyser la crise de l'autoritarisme (première partie), le mode de fonctionnement du système autoritaire, le mode d'accumulation des ressources politiques et le système néo-patrimonial de la régulation politique au Cameroun (Chap. 1 et 2). Après avoir mis en exergue une ébauche théorique de l'anthropologie urbaine, la sociologie politique, nous poserons les étapes historiques de l'encadrement et la reproduction sociale (ou projet) par le système scolaire sous l'ex-parti unique (Chap. III et IV), et des enjeux sectoriels que ces moments mettent en branle. Ainsi nous expliciterons brièvement les théories de la socialisation politique, de leur naissance américaine, à leur ré-interprétation française, due notamment à Annick Percheron. Cette perspective diachronique sera de coupée en socialisations primaire et secondaire. Elle aboutira sur une présentation des mobilisations urbaines, notamment celles des étudiants jusqu'aux revendications démocratiques mettant en jeu les aspirations au changement social depuis 1990-1992. Dans le cadre socio-politique de compression des personnels appartenants au premier employeur (l'Etat).
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Ebanda, Jangwa Manfred. "Le développement des petites et moyennes entreprises au Cameroun : un essai d'application d'une politique d'incitation économique." Paris 10, 1987. http://www.theses.fr/1987PA100008.

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Abstract:
La situation et les perspectives du développement dans le tiers monde font aujourd'hui l'objet d'appréciations les plus diverses. Mais il est au moins une région de ce tiers monde qui semble faire l'unanimité dans le pessimisme : c'est l’Afrique noire. Si l'unanimité semble faite autour du diagnostic, (endettement sans cesse croissant, chômage très élevé, démographie galopante,. . . ). Il n'en va pas de même en ce qui concerne les remèdes. Plusieurs solutions ont été proposées par des chercheurs, des universitaires, mais surtout par les organismes régionaux ou internationaux : politiques budgétaires et financières, mise en place d'un secteur prive. . . Malgré cette prolifération des remèdes, le mal semble viscéral. Alors pourquoi ce blocage ? Pourquoi une détérioration incessante des perspectives ? Deux problèmes semblent constituer des obstacles dans l'application des solutions ou des politiques proposées. Le premier est celui de l'extrême fragilité politique et sociale de l’Afrique. Le second est de savoir s'il y a adéquation entre la dynamique sociale interne des sociétés africaines et des politiques proposées ou inspirées des organismes internationaux. Il résulte donc d'une part des interférences entre la mise en œuvre des politiques qui demandent une application à long terme, et cette fragilité politique et sociale. D'autre part, ces sociétés ne disposent que d'un faible degré de maitrise sur l'ensemble des composantes de leur développement. C'est dans ce cadre que nous avons posé le problème de la promotion des petites et moyennes entreprises et de l'incitation économique au Cameroun
Perspectives and situation of the third world are nowadays subject to many valuations. But everyone seems to be particularly pessimistic about one area of this third world: black Africa. If unanimously everyone can agree with the diagnosis (getting into debt, high unemployment rate, and increase in population. . . ), no one can give the right remedy. Many answers have been proposes by international organizations (financial and budgetary policies, encouraging private companies and sector). Despite those various remedies, the disease is getting worse. So what are the reasons of this dead end? Why this continual deterioration of perspects ? Application of proposed solutions and policies faces two major problems. The first one is the flimsy social and political frame work of the black-continent. The second one is the inadequacy between the internal social dynamism of African societies, and proposed policies or models drawn up by international organization. The result of this is on one side. There are interferences between long term policies to be applied, and the social and political flimsy. In the other side, most of this societies, master little, the mains components of their development. It is on the basis of this matter, we would like to analyze the promotion of medium and small companies, and the economic incitement in Cameroun
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Bertoua, Philippe Jacques. "L'état et le développement au Cameroun : étude critique et constructive par l'analyse des politiques publiques." Paris 9, 1992. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=1992PA090048.

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Ndoumbe, Eboule Jacques-Alfred. "Succession présidentielle en Afrique sub-saharienne et continuité de la politique étrangère : l'expérience du Cameroun 1982-1990." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100098.

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Abstract:
Le 4 novembre 1982, le président de la République unie du Cameroun, M. Ahmadou Ahidjo, dont le mandat présidentiel expirait légalement en 1985, annonce sa démission de ses fonctions de chef de l'Etat. Le 6 novembre 1982, il est remplacé conformément aux dispositions constitutionnelles en vigueur par le premier ministre M. Paul Biya, dauphin présidentiel et héritier présomptif. Avec cet usage du "delphinat", la succession présidentielle en Afrique subsaharienne apparaît comme une rationalisation du mode de régulation politique permettant de garantir non seulement une continuité exécutive du pouvoir, mais aussi et au-delà, la survie du régime politique et de sa "gouvernementalité". En dépit d'inquiétants risques d'éclatement du système causés par les conflagrations postsuccessorales de 1983-1984 entre l'héritier présidentiel et le "de oujus", les élites anciennes et nouvelles ont de manière collusoire convenu d'un compromis historique global, afin de reconduire les formules autochtones et extraverties de construction d'un Etat moderne. Dès lors, et initialement, le projet rénovateur et réformateur de M. Biya était voué à s'accommoder sur le mode de la persistance des contraintes, des résistances et des impératifs inhérents à cette entreprise de construction stable d'un système moderne d'inégalité et de domination, emmanchée depuis 22 ans au moment où il accès au pouvoir. La dynamique de la politique étrangère du Cameroun a étroitement observé le même "tempo" d'obstruction structurelle à la rénovation, car il n'y a ni véritable déconnexion, ni cloison
The 4th of November 1982, the president of the United Republic of Cameroon, Mr Ahmadou Ahidjo, whose presidential mandate was supposed to expire in 1985, announced his resignation from his position of Head of State. On the 6th of November 1982, in accordance with the constitutionnal arrangements, he was replaced by the Prime Minister Mr Paul Biya, presidential apparent, appointed at this occasion. With this practise of "delphinat", the presidential succession appears to be like the rationalization of the political mode of regulation giving the opportunity to assure the continuity of the executive power, and beyond the political regime survival and its "governmentality". In spite of some serious risks of split in the system, provoked by the post-successorals conflicts between the presidential successor and his predecessor, the old and the new elites have made a historical and global compromise in order to renew the building methods, both local and extrovert in origin, of a modern state. From that time on, Mr Biya's plan, formaly of renewal and change, was doomed to deal with the constraints, resistances and necessities inherent to that building goal of a modern system of inequality and domination put in place twenty-two years ago. The dynamics of foreign policy in Cameroon has suffered the same structural obstruction in its way to renovation, for there is no real disconnection between the choices in foreign
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Books on the topic "Cameroun – Politique et gouvernement"

1

La France au Cameroun, 1916-1939: Colonialisme ou mission civilisatrice? Paris: L'Harmattan, 2002.

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2

Kom, David. Le Cameroun: Essai d'analyse économique et politique. Paris Budapest Torino: L'Harmattan, 2001.

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3

Ntonfo, André. Football et politique du football au Cameroun. Yaoundé, Cameroun: Editions du CRAC, 1994.

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4

Kom, David. Le Cameroun: Essai d'analyse économique et politique. Paris: L'Harmattan, 2001.

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5

Migration, religion et politique au Nord Cameroun. Paris: L'Harmattan, 1999.

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6

N'Sangou, Arouna. Politique agricole et autosuffisance alimentaire: L'exemple du Cameroun. Yaoundé]: République du Cameroun, Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Institut des sciences humaines, Centre des recherches économiques et démographiques, 1986.

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7

Wirtz, Peter. Politique de financement et gouvernement d'entreprise. Paris: Economica, 2002.

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8

Gouvernement et politique en Grande-Bretagne. Paris: Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 1989.

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9

Rassemblement démocratique pour moderniser le Cameroun. Projet politique alternatif pour gouverner et moderniser le Cameroun. Paris: Harmattan, 2009.

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10

Projet politique alternatif pour gouverner et moderniser le Cameroun. Paris: Harmattan, 2009.

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Book chapters on the topic "Cameroun – Politique et gouvernement"

1

Vandermeersch, Bernard. "La valse aux collations: Enjeux et échec d’une politique de mainmise du gouvernement des Pays-Bas autrichiens (1740-1792)." In Bibliothèque de la Revue d'histoire ecclésiastique, 137–62. Turnhout, Belgium: Brepols Publishers, 2020. http://dx.doi.org/10.1484/m.brhe-eb.5.119298.

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2

Monnet, Pierre. "Bien Commun et bon gouvernement: le traité politique de Johann von Soest sur la manière de bien gouverner une ville (Wye men wol eyn statt regyrn sol, 1495)." In De Bono Communi. The Discourse and Practice of the Common Good in the European City (13th-16th c.), 89–106. Turnhout: Brepols Publishers, 2010. http://dx.doi.org/10.1484/m.seuh-eb.3.3869.

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3

Roland Nyeck, Cirille. "Nouveau management public et gouvernance légitime au Cameroun." In Droit et politique, 47–62. Presses universitaires de Grenoble, 2014. http://dx.doi.org/10.3917/pug.frome.2014.01.0047.

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4

Touaibia, Yasmina. "Chapitre 3. Politique et gouvernement." In Arabie saoudite, 41–62. De Boeck Supérieur, 2018. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.touai.2018.01.0041.

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5

Hodieb, Liliane. "Quelle politique linguistique pour le Cameroun ?" In Plurilinguisme et tensions identitaires, 35–44. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3772.

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Abstract:
Le Cameroun compte plus de 230 langues. Avec le français et l’anglais comme langues officielles, les langues nationales ou « indigènes » n’ont aucun statut réel. La situation linguistique du Cameroun est doublement conflictuelle. En effet on assiste d’un côté, à une « guerre » entre anglophones et francophones, et de l’autre côté, entre les langues officielles et les langues nationales. La colonisation a certes une grande part de responsabilité dans ce problème, mais il serait simpliste de considérer ce facteur comme l’unique cause de la crise qui sévit actuellement au Cameroun. Plus qu’une crise politico- linguistique, il s’agit manifestement d’une crise identitaire. D’où la question, quelle politique linguistique pour le Cameroun ? Après avoir fait une revue de la littérature sur la sociolinguistique du Cameroun, nous montrerons, à partir de la « Language Management Theory » (Nekvapil et Sherman 2015), qu’une politique linguistique plus inclusive, c’est-à-dire de type «bottom-up », pourrait aider à pallier les conflits.
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6

Negroni, Barbara de. "Opinion publique, mœurs, esprit du gouvernement : Rousseau lecteur de Montesquieu ?" In Rousseau, politique et esthétique, 93–109. ENS Éditions, 2011. http://dx.doi.org/10.4000/books.enseditions.8432.

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7

Tellier, Geneviève. "La politique budgétaire du gouvernement Couillard." In Bilan du gouvernement de Philippe Couillard. 158 promesses et un mandat contrasté, 91–108. Presses de l'Université Laval, 2018. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1g247qr.11.

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"XI. De la juridiction du gouvernement sur l’éducation." In Mélanges de littérature et de politique, 323–36. De Gruyter, 2012. http://dx.doi.org/10.1515/9783110274714.323.

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Join-Lambert, Odile. "Chapitre 1. Gouvernement des musées et politique d’emploi." In Travailler au musée, 103–42. Presses universitaires du Septentrion, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/books.septentrion.88081.

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"L'égalité dans la vie politique et au gouvernement." In Situation des enfants dans le monde, 50–67. UN, 2007. http://dx.doi.org/10.18356/8ea55358-fr.

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